Introduc)on. Plusieurs facteurs jouent un rôle déterminant dans le déroulement de l'interac1on qui va être décomposée en séquences:
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- Odette Laurent
- il y a 8 ans
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1 Introduc)on Il s'agit d'une communica1on en face à face, d'un entre1en d'embauche, en situa1on naturelle, où les buts et les intérêts des deux interactants en présence sont clairement différents. différence donne naissance à une dissymétrie des rôles interac1onnels, à une inégalité entre les interactants, et ins1tue une rela1on de dominance entre eux. La mission de l'un des deux interactants est d obtenir par ses ques1ons des informa1ons de l'autre dont la tâche est de répondre le plus précisément possible. La rela1on entre les interactants est une rela1on professionnelle qui entre dans la catégorie dominant- dominé. Ils entre1ennent entre eux une distance sociale. La durée de l'entre1en est de 6 minutes 40 secondes. Le corpus obtenu à par1r d'enregistrement vidéo est soigneusement retranscrit avec les plus pe1ts détails pour res1tuer le plus fidèlement possible l'échange oral. Plusieurs facteurs jouent un rôle déterminant dans le déroulement de l'interac1on qui va être décomposée en séquences: 1- Le cadre spa1o- temporel. 2- Les caractéris1ques individuelles des deux interactants (âge, sexe, profession, statut...). 3- Le paralangage qui englobe: - Les indices non- verbaux qui par1cipent à la cohérence du dialogue (orienta1on du corps, direc1on du regard...). - Les indices paraverbaux (la hauteur de la voix, le rythme, l'intona1on, les pauses...). 4- Les éléments textuels (le bruit d'une sonnerie de téléphone...). 5- Les indices corporels ou les "sta1ques" (l'apparence physique, les vêtements, le maquillage...). 6- Le contenu séman1que du verbal. Il ne s'agit pas de séparer ces facteurs parce que la communica1on est un tout intégré. Le discours au cours de l'entre1en est nécessairement traversé de stratégies parce que l obten1on de l'emploi ne va être pas être possible que suite à une démonstra1on des compétences verbales et logiques évaluées par l'intervieweur.
2 La transcrip)on 0 : pause d une seconde 00 : pause de deux secondes : intona1on montante, : intona1on descendante ( ) : ac1ons non verbales des interactants et des éléments de la situa1on La séquence d'ouverture ( PRO recule sa chaise, tape fortement des mains sur son bureau puis se lève) 01 PRO: bonjour Laura (sourit) 02 LAU: bonjour professeur (sourit) (une poignée de mains) 03 PRO: asseyez- vous je vous en prie (indique la chaise devant son bureau) 04 LAU: merci ( sourit, s asseoit,, ne pose pas le dos sur le dossier, les mains entre les cuisses) 05 PRO: bon 00 (prend les feuilles placées devant lui et les regarde, LAU dirige son regard vers les feuilles) madmoselle Laura 0 Sayah (sourit et regarde LAU) 06 LAU: oui, (sourit avec un geste de tête) La séquence d'ouverture assure l'ouverture du canal, rend possible l'échange et l'amorce, établit le contact non seulement physique, mais aussi psychologique; elle n'est pas séparée par une fron1ère bien dessinée de la conversa1on proprement dite, le passage se fait en souplesse de l'une à l'autre. L'interac1on débute avec l entrée de Laura dans le bureau privé du professeur. Le canal visuel s'établit avant le canal verbal.
3 I- Les régulateurs non- verbaux confirment que la conversa1on se fait avec tout le corps; ces régulateurs nous échappent, ils sont inconscients, ils ne sont ni réglés, ni choisis: A- Le sourire: Remarquons la simultanéité et la symétrie des sourires réciproques ; ce@e "inter- synchronisa1on" est un phénomène psychologique très important. N'oublions pas qu'il s'agit d'une première rencontre entre PRO et LAU. Ils essaient dès l'ouverture de chercher par le sourire l'accepta1on d'une rela1on détendue qui leur servira de base à la poursuite de l'entre1en. Le sourire réciproque assure la régula1on de l'interac1on, c'est la garan1e d'un terrain d'entente, d'un entre1en posi1f parce que, même s'il est montré par courtoisie, il signifie l'accepta1on de l'autre. B- La poignée de mains: Ce@e saluta1on gestuelle précédée de la saluta1on verbale s'inscrit dans les rou1nes de la séquence d'ouverture et consolide le lien social. C- L'ac)vité gestuelle: Nos gestes nous trahissent. D'une part, ils accompagnent les signes verbaux et jouent le rôle de duplicata non- verbaux des signes verbaux; ils confirment nos paroles: - En demandant à LAU de s'asseoir (03), PRO lui indique en même temps la chaise placée devant son bureau. - En confirmant verbalement son iden1té (06), LAU fait également une confirma1on non- verbale avec un mouvement de la tête. D'autre part, les gestes prennent la forme d'une métaphore non- verbale: 1- Métaphore de la posi1on haute du PRO, de sa supériorité: - Il tape avec force les mains sur son bureau, métaphore de sa puissance. - Il tourne les feuilles du CV de LAU comme pour dire que LAU est à sa merci. - Il a une ges1cula1on très riche comme pour montrer sa maîtrise de la situa1on, ou pour cacher un certain embarras profond! 2- Métaphore de la posi1on basse de LAU: - Elle a une posture symétrique tout au long de l'interac1on (les mains entre les cuisses) qui montre qu'elle est en posi1on de soumission. Ses mains restent cachées jusqu'à la séquence de clôture, indica1on qu'elle est sur la défensive. L'absence de gestes prouve qu'elle est mal à l'aise et renfermée sur elle- même. - Elle ne se cale pas confortablement et ne pose pas le dos contre le dossier de sa chaise, ce@e
4 posture est le signe de nervosité et d un statut d infériorité. D- La direc)on du regard: Le regard est un support important de la communica1on entre individus. Comme pour le sourire, il y a une inter- synchronisa1on du regard. PRO dirige son regard vers le CV de LAU placé sur son bureau pour chercher probablement un renseignement (le nom se famille de LAU). Le regard de LAU, aimantée, prend la même direc1on. Le fait de diriger son regard vers le même but est une réac1on ins1nc1ve et spontanée; c est une obliga1on non revendiquée. E- L intona)on: La courbe intona1ve est ne@ement ascendante sur la dernière syllabe de Sayah. L intona1on est accompagnée d un indice mimo- gestuel (le regard en fin de tour dirigé vers LAU + le sourire). Ce@e accentua1on plus marquée sur l intona1on de la dernière syllabe présente en surface la forme syntaxique d une ques1on. Mais en fait, PRO débite une affirma1on qui n exige pas de réponse. Ce@e intensité vocale a un double sens: 1- C est un conformisme aux exigences officielles qui nécessitent la révéla1on de l iden1té de son interlocuteur. 2- C est une stratégie de domina1on. F- Le débit: Nous remarquons le débit ralen1 de PRO (ligne 05) qui confère sa confiance en soi et assure son autorité. Par contre, les répliques de LAU sont rapides; elle répond du tac au tac pour faire montre d une présence d esprit peut- être. II- Les interac)ons verbales: PRO a le privilège d entamer la conversa1on, donc en quelque sorte de décider de son orienta1on; c est le locuteur principal, il va dominer la conversa1on puisque c est lui qui va en choisir les thèmes. La saluta1on est une contrainte d implica1on qui comporte deux mouvements successifs. Les rituels confirma1fs de saluta1on visent à engager l interac1on sous les meilleurs auspices. Nous remarquons les échanges entre- croisés où nous avons une combinaison de saluta1on et de reconnaissance de l iden1té dans le même tour: La première par1e de (1) et la première par1e de (2) cons1tue un échange symétrique
5 de saluta1ons, cons1tué de deux interac1ons. La deuxième par1e de (1) et la deuxième par1e de (2) cons1tuent un échange du dévoilement de l iden1té qui révèle par l usage dissymétrique des 1tres la hiérarchie des deux interactants: - Le terme de profession professeur témoin du respect de LAU qui préfère s a@acher exclusivement au 1tre sans men1onner le nom de son interlocuteur. - Le prénom Laura témoin de l autorité de PRO. A cause du sexe féminin de son interlocuteur, PRO n u1lise pas le nom de famille seul de LAU, et c est son prénom qui vient en premier. Ce@e technique appella1ve connote la supériorité du mâle et la marque de sa virilité. On peut se demander si l interlocuteur de PRO avait été du sexe masculin si PRO se serait adressé à lui par son prénom! Nous remarquons les échanges enchâssés avec un retour au dévoilement de l iden1té à la fin de la séquence d ouverture: Des précisions sont apportées dans le dévoilement de l iden1té de LAU. Ces précisions comportent l appella1f madmoselle au lieu du terme d adresse madame qui peut être chargé de connota1on au Moyen- Orient + le prénom Laura répété + le nom de famille Sayah. Nous remarquons que, dans ce@e séquence d ouverture, il n y a pas de place pour les manifesta1ons de cordialité telles comment allez- vous qui a normalement sa place dans ce@e séquence. Son absence est logique puisque LAU et PRO ne se connaissent pas; donc les énoncés de la séquence d ouverture sont appropriés contextuellement. Regardons ces deux échanges plats: PRO préfère u1liser l impéra1f, amor1 par la formule de politesse, bien que la politesse proprement dite consiste à préférer le condi1onnel. Dans l emploi de la tournure impéra1ve, nous décelons un désir de pouvoir. L emploi du pronom de la 2ème personne du pluriel vous est le marqueur par excellence de la distance entre les deux interactants. Le vouvoiement dresse une barrière entre eux et les 1ennent à distance. L impéra1f est suivi d un ou1l- amor1sseur, le syntagme je vous en prie et non pas s il vous plaît. La présence de ce marqueur excessif est au service de la politesse. Nous pouvons parler d hyperbole par laquelle PRO veut faire bonne figure, traiter LAU avec déférence et ne pas se montrer imposant. Goffman a bien vu que les gens qui entre1ennent des rela1ons cérémonieuses doivent dépenser une grande énergie pour s assurer que rien d inconvenant ne vienne à s exprimer.
6 La réplique de LAU merci est une formule de politesse accompagnée du mouvement de consentement. PRO: bon 00 madmoselle Laura 0 Sayah LAU: oui, Le morphème bon connote normalement, mais pas du tout nécessairement comme nous le voyons dans la réplique de PRO, la clôture d un tour. Il s agit ici d une formule qui introduit une requête adressée à LAU. Ce@e requête se caractérise par son style ellip1que: [C est bien} madmoselle Laura Sayah. Ce@e ellipse est nécessaire dans ce@e réplique car il est inu1le de dire ce qui va de soi. LAU confirme sa coopéra1on conversa1onnelle avec le morphème oui, qui manifeste l assen1ment et qui est accompagné d un signe de tête qui a la même valeur.
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