Les stratégies. et les étapes de développement d entreprises. Une stratégie... COMPLICES POUR RÉUSSIR L ENTREPRISE
|
|
- Marcel Labbé
- il y a 2 ans
- Total affichages :
Transcription
1 APPRENDRE COMPRENDRE ENTREPRENDRE Le processus 2 de développement d entreprise Les stratégies M O D U L E 5 et les étapes de développement d entreprises Un processus complexe, un plan à suivre Les listes de vérification 6 8 Processus de développement d une coopérative 12 Une ébauche de plan d action 16 COMPLICES POUR RÉUSSIR L ENTREPRISE Une stratégie... Une «stratégie», c est l art de diriger et de coordonner des actions pour atteindre un objectif : des actions politiques, économiques, personnelles, militaires, etc. Wikipédia La stratégie consiste en la définition d actions cohérentes intervenant selon une logique séquentielle pour réaliser ou pour atteindre un ou des objectifs. Elle se traduit ensuite, au niveau opérationnel en plans d action par domaines et par périodes, y compris éventuellement des plans alternatifs utilisables en cas d événements changeant fortement la situation. Dictionnaire Techno-Science, net
2 PAGE 2 «De tomber en amour avec une seule idée d entreprise peut être dangereux il peut prendre beaucoup de temps, d énergie Le processus de développement d entreprise Enterprising Non-profits (ENP) a documenté le continuum des modèles des entreprises. Nous constatons que l organisation à but non lucratif, à l extrême gauche du schéma, peut avoir un statut de bienfaisance et être financée par les subventions et les contributions. Cela n empêche pas que cette organisation peut avoir des activités génératrices de revenus pour diversifier son financement et viser une certaine autonomie financière. En se déplaçant vers la droite, il y a l entreprise sociale, l organisation ou la coopérative, qui a des revenus mixtes provenant de diverses sources tant des subventions, des contributions que des revenus générés par la vente de ses services et produits. Le prochain modèle est la corporation. Plusieurs corporations développent davantage leur responsabilité sociale pour s investir dans leur communauté. Ce sont des entreprises privées qui ont le souci de partager un pourcentage de leurs bénéfices à des activités, des causes qui leur sont chères. Finalement, à l extrême droite, l entreprise privée qui existe d abord pour faire des bénéfices pour son ou ses propriétaires. L ensemble du continuum présente un changement de culture entrepreneuriale et d attitude face à la structure, au risque, au profit et à l investissement. et d argent et donner peu de bénéfices d avoir une plus grande gamme d opportunités à considérer peut être très aidant.» Centre Canadien pour le Renouveau Communautaire Source : David Lepage, ENP, Vancouver, 2008 LES STRATÉGIES
3 Cheminement de l entreprise Qu il soit question du développement d une entreprise privée ou d une entreprise sociale, chaque entrepreneure doit identifier l opportunité d affaires, faire les diverses études appropriées, réaliser le plan d affaires et entreprendre les diverses étapes de démarrage, de développement et de croissance. (Toutes les étapes en blanc dans le tableau) Toutefois, étant donné que l entreprise sociale exige une démarche collective pour démarrer une entreprise, il est capital de travailler tant sur le développement organisationnel (le groupe de gens qui s associent pour partir en affaires) et la mobilisation communautaire = réseautage stratégique pour faciliter le positionnement sur le marché et le soutien du milieu. (Les étapes en orange dans le tableau) Que pensons-nous de ce cheminement? Nous semble-t-il complet? Si oui pourquoi? Sinon, qu est-ce qui manque? PAGE 3
4 PAGE 4 Processus et réflexion «Comparaison du taux de survie des entreprises Après plus de 25 ans en appui au développement d entreprises sociales, le Centre Canadien pour le Renouveau Communautaire a bien documenté l importance des 3 principales fonctions suivantes, soit : 1. le développement organisationnel; 2. le développement de l entreprise; 3. le réseautage stratégique et la mobilisation communautaire; Dans ce schéma, nous remarquons que certaines étapes réfèrent à deux de ces principales fonctions. coopératives et privées. Après 5 ans, le taux moyen de survie est de 64 % pour les coopératives comparativement à 36 % pour les entreprises privées. Après 10 ans, cela passe à 46 % pour les coopératives comparativement à 20 % pour les entreprises privées.» Chantier de l économie Et qu en pensons-nous? sociale LES STRATÉGIES
5 Pareil et different? PAGE 5 Que constatons-nous de pareil et de différent? Commentaires : Nous remarquons 3 principales fonctions regroupant 7 étapes nous menant au lancement de la coopérative. Aux étapes 1, 3 et 7, il est reconnu que ce sera un groupe de personnes qui développent cette entreprises. Cela fait référence à la création du groupe promoteur, à l assemblée d organisation et finalement à l assemblée de fondation. Toutefois, toutes les étapes se réaliseront de façon collective car la vision doit être commune et partagée, la mission élaborée et adoptée par l ensemble des membres du groupe promoteur. Aux étapes 5 et 6, le processus tient compte du développement organisationnel et entrepreneurial.
6 PAGE 6 Un processus complexe, un plan à suivre «Ce graphique de la Roue du développement démontre l interdépendance entre les éléments clés de la planification réaliste du développement économique communautaire.» Centre Canadien pour le Renouveau Communautaire Si nous partons seule en affaires, nous n avons pas besoin de créer un groupe toutefois, nous devons tout de même entreprendre un processus rigoureux tenant compte de notre niveau de préparation, de l identification de l opportunité d affaires, de l étude de faisabilité, du plan d affaires, de la mobilisation des ressources, du lancement et du démarrage, etc. Partir en groupe en affaires, cela nécessite aussi un processus rigoureux et même complexe, car nous devons nous assurer que toutes les personnes impliquées participent pleinement au développement de l entreprise et à la prise de décision collective. Pour mieux suivre toutes les étapes de développement de l entreprise sociale, nous allons nous inspirer de la liste de vérification provenant de la Roue du développement. Vous constaterez l importance des diverses périodes de développement de l entreprise sociale, qu il est important de travailler toujours sur l e d é v e l o p p e m e n t organisationnel, entrepreneurial et le réseautage stratégique. POUR COMPLÉTER LES LISTES DE VÉRIFICATIONS, SVP CONSULTER LA ROUE DU DÉVELOPPEMENT, PAGES 48 À 58. LES STRATÉGIES
7 Créer de la richesse communautaire Roue du développement: Centre Canadien pour le Renouveau Communautaire
8 PAGE 8 Les listes de vérification Le guide de la Roue du développement a davantage d information sur ce processus de développement de l entreprise sociale qui a été éprouvé pendant plus de 25 ans en Amérique du Nord. Dans le cadre de ce module, nous avons résumé chacune des listes de vérification et adapté le plan d actions. Ces listes de vérification peuvent autant aider un groupe à créer une entreprise sociale ou des leaders d une organisation qui décident de faire le point, d évaluer où ils en sont pour explorer les opportunités non exploitées afin de mieux répondre aux besoins de leurs membres ou de la communauté. En complétant ces listes de vérification, les membres du groupe constateront ce que nous avons déjà accompli et ce qu il reste à faire. Nous pourrons donc ensemble élaborer et mettre en œuvre le plan d actions qui nous permettront de passer à une prochaine étape ou actions. En plus, nous constaterons que plusieurs autres groupes ou partenaires potentiels peuvent jouer un rôle clé pour nous soutenir dans le démarrage de notre entreprise sociale. Il y a 4 grandes étapes : 1. évaluer le niveau de préparation et de pré planification; 2. créer la base pour le développement de l entreprise sociale; 3. cibler les opportunités; 4. planifier en détail et mobiliser les ressources. Il y a 3 sortes de tâches et de décisions : 1. le développement entrepreneurial ou d entreprise; 2. le développement organisationnel; 3. la participation communautaire et le réseautage stratégique. LES STRATÉGIES
9 Étape1 : Évaluer le niveau de préparation En résumé, la liste de vérification # 1 permet de faire une auto-évaluation. Elle nous aide à penser et à planifier qu il faut : PAGE 9 Que nous prenions le temps pour bien faire les choses. Que nous prenions le temps d apprendre ensemble car nous ne sommes pas toutes pareilles au sein du groupe. Que nous fassions nos devoirs comme il faut. Que nous réalisions que notre entreprise sociale n est pas une solution à court terme. Cela peut prendre du temps pour développer et mettre en œuvre notre entreprise sociale. Que nous ayons les compétences et l expérience en gestion de projet, en mobilisation des ressources et dans le secteur d activités économiques de notre future entreprise sociale. Que nous soyons prêtes à changer et à faire les choses autrement. La liste de vérification # 2 permet tant qu à elle, de débuter tranquillement la recherche et la consultation sans que cela soit trop compliqué. Elle nous aide à penser et à planifier qu il faut : Que nous nous posions certaines questions sur notre milieu, notre communauté et que nous débutions une recherche préliminaire pour consulter des gens clés. Que nous explorerions le rôle que nous désirons jouer au sein de l entreprise sociale et que nous confirmions si notre rôle est d être copropriétaire, promoteur ou en appui à une autre organisation ou personne qui créera l entreprise, etc. La liste de vérification # 3 permet de nous préparer et d identifier avec qui nous voulons travailler et établir des partenariats. Elle nous aide à penser et à planifier qu il faut : Que nous réfléchissions sur les liens que nous avons ou devrions avoir avec diverses organisations ou entreprises dans notre communauté pour nous aider à développer notre entreprise sociale. Commentaires :
10 Étape 2 : Créer la base À cette étape, nous avons 3 listes de vérification. PAGE 10 La liste de vérification # 4 permet de nous pencher davantage sur le développement organisationnel. Elle nous aide à penser, à planifier et même à confirmer qu il faut : Que nous comprenions ce que c est une entreprise sociale et ce qui est nécessaire pour la développer. Que nous faisions le point et que nous évaluons les ressources nécessaires et les compétences adéquates que nous devons avoir. Selon la situation, nous pourrions choisir d arrêter en cours de développement pour obtenir une formation. Que nous clarifions la mission de notre entreprise sociale, sa raison d être. Que nous prenions le temps de répondre aux questions : POURQUOI? QUOI? ET POUR QUI? Que nous définissions comment nous voulons évaluer l évolution de notre travail donc nous débuterons l élaboration d un plan d action. Que nous identifions si nous avons besoin d un coup de pouce de l extérieur, de l appui technique pour nous aider à aller de l avant. Entre la liste # 4 et # 5, nous allons nous arrêter un peu pour réellement réfléchir sur les occasions ou opportunités d affaires que se présentent à nous. Sachant que cela peut prendre au minimum 240 heures pour élaborer un plan d affaires pas trop compliqué, nous ne pouvons pas nous permettre de travailler sur trop d idées en même temps. En identifiant des critères de sélection d affaires, organisationnels et communautaires, et après avoir fait un premier remue-méninges, nous pourrons utiliser divers outils pour nous aider à sélectionner les 2 ou 3 meilleures idées. La liste de vérification # 5 permet de développer davantage notre entreprise sociale. Elle nous aide à déterminer : Le plan de travail pour le développement de notre entreprise sociale incluant l appui technique dont nous pourrions avoir besoin. La recherche d opportunités. La première sélection des opportunités. L étude de la préfaisabilité des initiatives retenues. La deuxième sélection plus ciblée. L identification du financement et des ressources. La liste de vérification # 6 permet de se poser des questions sur le réseautage stratégique et la participation communautaire. Elle nous aide à penser et à planifier qu il faut : Que nous impliquions des intervenants dans des décisions importantes. Que nous consultions des membres, des partenaires sur nos idées d entreprise. Que nous réfléchissions sur la meilleure stratégie de communication pour continuer de les informer. Que nous confirmions quand nous aurons besoin de leur appui.
11 PAGE 11 Étape 3 : Cibler les opportunités La liste de vérification 7 permet de travailler sur les 3 grandes tâches soit le développement organisationnel, le développement de l entreprise et la participation communautaire et le réseautage afin de préciser notre choix d opportunité d affaires. Elle nous aide à confirmer : Le travail se fait toujours en fonction des 3 grandes tâches tout au long du processus. À tout moment, le processus peut être arrêté pour faire de la place à une session d information ou de formation, à l élaboration d une étude, d un plan ou à un temps de réflexion avant d aller trop vite en affaires. Développement organisationnel : La structure d entreprise qui nous plaît davantage; Le modèle de gestion que nous souhaitons mettre en place; La formation en entrepreneuriat nécessaire pour que nous puissions être des promotrices bien outillées pour réussir en affaires. Développement de l entreprise : L étude de faisabilité. Participation communautaire et réseautage : Le réseau d investisseurs à mettre en place; L importance ou non de créer un comité consultatif. Étape 4 : Planifier en détail et mobiliser les ressources La liste de vérification # 8 permet de travailler encore une fois sur les 3 grandes tâches. Elle nous aide à confirmer : Développement organisationnel : La formation en gestion, commercialisation, etc. dont nous avons besoin; Le processus d évaluation et de contrôle à mettre en place. Développement de l entreprise : La réalisation du plan d affaires; L élaboration du budget pour le démarrage et le développement - idéalement pour 3 ans; Le plan de mise en œuvre. Participation communautaire et réseautage : La stratégie et les actions à entreprendre pour consolider les appuis pour soutenir le développement de notre entreprise sociale. LES STRATÉGIES
12 Processus de développement d une coopérative PAGE 12 VOIR TABLEAU PAGE 7 PHASE I ÉLABORER LE PROJET COOPÉRATIF Réunir un groupe promoteur autour d un projet Identifier les besoins à satisfaire : manque de travail ou travail précaire; non accessibilité de certains produits et services; mauvaise qualité de certains produits et services; prix de produits et services trop élevés; développement de marchés. Identifier les besoins en assistance professionnelle : conseiller juridique; conseiller en développement coopératif; conseiller en étude de faisabilité, plan d affaires, montage financier; conseiller en comptabilité, etc. Faire une étude de faisabilité faire une première étude sommaire de marché (pré faisabilité). repérer les services conseils et les ressources financières disponibles. évaluer la réceptivité du projet coopératif dans le milieu local. évaluer la pertinence de la formule coopérative pour satisfaire les besoins non satisfaits à l origine du projet (cadre juridique, type de coopérative le mieux adapté) : définir les caractéristiques de l avantage coopératif souhaité dont bénéficieront les membres, soit la qualité, les prix et les caractéristiques : des produits et services offerts (Coopérative de consommateurs); ou des produits et services mis en vente (Coopérative de producteurs); ou des salaires et conditions de travail (Coopérative de travailleurs); évaluer la capacité du projet d attirer le minimum de membres nécessaires. N. B. Si cette étude n est pas concluante, le groupe promoteur arrête ses activités. Si cette étude permet de conclure que le projet coopératif tel qu esquissé est faisable, le groupe promoteur s engage dans la deuxième phase.
13 PAGE 13 PHASE II COORDONNER LES ACTIVITÉS PRÉ COOPÉRATIVES Tenir une assemblée d organisation : choisir la dénomination sociale de la future coopérative et l emplacement de son siège social; définir la mission de la coopérative (buts, finalités); élire un conseil d administration et un secrétaire provisoires. Faire une étude de viabilité (plan d affaires) : Obtenir le financement des travaux de réalisation de l étude de viabilité : autofinancement par les membres; ou subventions spéciales; ou / et négociation d une entente d aide technique au démarrage d entreprise auprès d une organisation spécialisée; définir les objectifs stratégiques; évaluer les différents scénarios stratégiques, les coûts de production, les ressources humaines, matérielles et financières nécessaires; faire une première projection des états financiers prévisionnels et d un budget de caisse prévisionnel (revenus et dépenses, investissements des membres en capital social, de partenaires, prêts d une caisse populaire ou d une autre institution financière, subventions). NB. Si cette étude conclut que le projet coopératif, bien qu il apparaissait faisable, ne pourrait cependant pas être financièrement viable, le groupe promoteur met fin au projet. Si l étude permet de conclure que la nouvelle coopérative sera financièrement viable, le groupe promoteur s engage dans la troisième phase.
14 PAGE 14 PHASE III ORGANISER LE DÉMARRAGE DE LA COOPÉRATIVE Mettre sur pied des comités ad hoc pour répartir la charge de travail entre les membres du conseil d administration provisoire. Par exemple : comité de planification; comité de formation; comité de rédaction. Organiser l association Concevoir la structure associative et définir les différentes catégories des membres (consommateurs, fournisseurs, travailleurs). Déterminer les rôles et les responsabilités des différentes instances démocratiques (assemblée générale des membres, conseil d administration, comités). Établir les règlements administratifs. Recruter les membres. Organiser et offrir un programme de formation des membres à l administration et à la gestion d une coopérative, à la tenue d assemblées délibérantes, au fonctionnement d un comité ou d un conseil. Organiser l entreprise A-Planifier le fonctionnement de l entreprise Établir l organigramme de l entreprise. Faire la planification opérationnelle de la première année d activités. Négocier des contrats d approvisionnement en produits et services nécessaires (intrants) et, éventuellement, des contrats de vente ou de mise en marché (selon le type de coopération et la nature de l entreprise). Concevoir et mettre en place un système comptable ad hoc. Définir les tâches et les responsabilités de chaque poste de travail. Définir une politique salariale. Sélectionner et recruter la personne assumant le poste de direction générale. B-Planifier et organiser le financement du démarrage de l entreprise Déterminer le montant de la part sociale d éligibilité. Évaluer la valeur du capital social au démarrage et durant les 3 premières années d opération (en fonction de l évolution prévue du nombre des membres). Préparer les règlements de parts privilégiées (si nécessaire). Préparer les règlements d emprunts (si nécessaire). Concevoir le plan de financement global pour les trois premières années d opération. Rédiger le plan d affaires. Négocier l apport en capital de partenaires financiers externes (si nécessaire); société de capital de risque, fonds privés, programmes d investissement des caisses populaires. Demander une subvention publique au démarrage (si elles sont disponibles et si nécessaire). Négocier les emprunts à moyen terme et une marge de crédit auprès d une caisse populaire ou une autre institution financière. Identifier les étapes importantes à franchir quant au démarrage de l entreprise. Créer un échéancier.
15 PAGE 15 PHASE III ORGANISER LE DÉMARRAGE DE LA COOPÉRATIVE C-Préparer le personnel employé de l entreprise Sélectionner et recruter les employés (responsabilité de la direction générale sauf dans le cas d une coopérative de travailleurs où les décisions sont prises collectivement). Organiser et offrir un programme de formation à la coopération. D-Assurer la légalité des opérations de l entreprise Remplir les formalités et obtenir les autorisations légales nécessaires au démarrage des activités de l entreprise : Fédérales : numéros d employeur pour les remises gouvernementales, pour le TPS/ TVH, pour Revenu Canada; Provinciales : numéros pour le Ministère du Revenu de la province, pour la taxe provinciale; La coopérative peut avoir à s enregistrer auprès d un autre gouvernement provincial ou obtenir un permis d opération auprès du ministère fédéral ou des ministères provinciaux; Municipales : permis municipal, numéro d employeur, etc. Tenir l assemblée générale de fondation Adopter les règlements administratifs. Adopter le plan d affaires. Approuver l adhésion de la coopérative à une fédération sectorielle ou à une organisation intercoopérative intersectorielle. Nommer un vérificateur externe. Élire les membres du conseil d administration et, éventuellement des autres comités (si ce pouvoir appartient à l assemblée générale).
16 PAGE 16 Une ébauche de plan d action Ce plan deviendra la route, le chemin que nous allons parcourir pour réaliser notre projet d entreprise sociale. En se référant à toutes les actions à entreprendre dans le cadre des listes de vérification de la Roue du développement, nous pouvons compléter ce document et ainsi avoir un premier jet de plan d action pour le développement de notre entreprise sociale. Ce plan doit être adapté à chacune des entreprises sociales. Instructions : 1. Nous devons cocher toutes les tâches que nous estimons que nous aurons besoin d entreprendre au cours de la prochaine année; 2. Nous devons souligner les 3 à 6 grandes priorités à compléter dans la prochaine année; 3. Nous devons cocher toutes les tâches que nous avons déjà réalisées dans la colonne «nous avons fait ceci»; 4. Nous identifions là ou nous avons besoin d aide et qui pourrait nous aider à cet effet. LES STRATÉGIES
17 PAGE 17
18 PAGE 18
19 PAGE 19
20 PAGE 20 AVONS-NOUS LE VENT QUI NOUS POUSSE DANS LA BONNE DIRECTION? SINON, SOUFFLONS EN CŒUR POUR RÉUSSIR ENSEMBLE!
21 Au fil des ans, l Union culturelle des Franco- Ontariennes a voué ses efforts à informer et à conscientiser ses membres, mais aussi toutes les femmes sur divers sujets. Cette orientation L Union culturelle des Franco-Ontariennes , chemin Canotek Ottawa (Ontario) Canada K1J 9C1 Téléphone : Télécopieur : Courriel : Site Internet : a amené les femmes à prendre conscience de l importance et de l ampleur des problèmes sociaux et économiques qui touchent les femmes. L organisme consacre beaucoup d énergie à la conception et à la mise sur pied de programmes et de projets visant à contribuer à la croissance personnelle et collective des participantes par la sensibilisation et l information. Comme ce programme de formation, toutes ses activités répondent à des besoins réels et amènent un grand nombre de femmes à améliorer leur condition de vie. À nous de promouvoir nos entreprises. Sinon, les gens méconnaissent notre pouvoir économique et notre rôle dans la création de richesse collective.
Valorisation du capital humain, Une façon d accroître son revenu
Fiche technique 1.1 Étude de faisabilité page 1 Nous savons qu il y a une abondance de connaissances et de savoir-faire à la portée de chaque communauté agricole, agroalimentaire et rurale franco-ontarienne.
FONDS D ÉCONOMIE SOCIALE DU CLD DE LA MRC DE CHARLEVOIX-EST
FONDS D ÉCONOMIE SOCIALE DU CLD DE LA MRC DE CHARLEVOIX-EST GUIDE DE RÉDACTION DU PLAN D AFFAIRES Nom de l organisme : Montant total du projet : Montant demandé au FES : Nombre d emplois créés ou maintenus
Université d Ottawa. Cadre de référence Budget 2014-2015
Université d Ottawa Cadre de référence Budget 2014-2015 L Université d Ottawa souhaite communiquer à la communauté universitaire les priorités, les enjeux et les défis auxquels elle fera face pour la préparation
FONDS ÉMERGENCE. Financement. Conditions et admissibilité
FONDS ÉMERGENCE FÉ Le Fonds émergence vise à soutenir la préparation de projets d entreprise ou les activités nécessaires à la concrétisation de projets afin de diversifier et développer l économie locale.
Présentation. Cette formation est possible grâce à :
Présentation Cette formation est possible grâce à : Sommaire de la formation L entreprise collective Le tableau de bord : c est quoi? Le tableau de bord : pour qui? Les indicateurs L implantation Démo
CADRE DE RECONNAISSANCE ET DE FINANCEMENT DES ENTREPRISES D INSERTION 1. PREMIER VOLET : LA RECONNAISSANCE DU STATUT D ENTREPRISE D INSERTION
CADRE DE RECONNAISSANCE ET DE FINANCEMENT DES ENTREPRISES D INSERTION Le cadre de reconnaissance et de financement des entreprises d insertion comporte deux volets le premier volet comprend les éléments
SUR LE PLAN COMMUNAUTAIRE
Description de programme PROMOUVOIR L AUTONOMIE ÉCONOMIQUE SUR LE PLAN COMMUNAUTAIRE 1125, promenade Colonel By, Ottawa (Ontario) K1S 5B6 Tél. : (613) 520-2600, poste1588 Téléc. : (613) 529-3561 Courriel
Planification de la réussite. Un guide pour planifier votre projet communautaire
À propos de l APECA L Agence de promotion économique du Canada atlantique (APECA) est un organisme du gouvernement du Canada dont le siège social est situé dans la région de l Atlantique. Elle vise à renforcer
PROGRAMMES DE GESTION 3 ème année & 4 ème année de l Enseignement secondaire
RÉPUBLIQUE TUNISIENNE MINISTÈRE DE L ÉDUCATION & DE LA FORMATION DIRECTION GÉNÉRALE DES PROGRAMMES & DE LA FORMATION CONTINUE Direction des Programmes & des Manuels Scolaires PROGRAMMES DE GESTION 3 ème
Comptabilité, finance et gestion des affaires
Comptabilité, finance et gestion des affaires LCA.AX Information : (514) 376-1620, poste 388 Programme de formation Type de sanction Attestation d études collégiales permettant de cumuler 40 unités 1/3.
GOUVERNEMENT DU YUKON
GOUVERNEMENT DU YUKON Politique 1.7 MANUEL D ADMINISTRATION GÉNÉRALE VOLUME 1 : POLITIQUES MINISTÉRIELLES GÉNÉRALES TITRE : POLITIQUE SUR LES SERVICES EN FRANÇAIS ENTRÉE EN VIGUEUR: 12 mai 1994 DERNIÈRE
POLITIQUE D INVESTISSEMENT DU FONDS DE DÉVELOPPEMENT RÉGIONAL
POLITIQUE D INVESTISSEMENT DU FONDS DE DÉVELOPPEMENT RÉGIONAL En vigueur à partir du 12 juin 2014 * * * Conférence régionale des élu(e)s de la Chaudière-Appalaches 6, rue Saint-Jean-Baptiste Est, bureau
Comité régional d économie sociale
Comité régional d économie sociale LE CRÉS DU CENTRE-DU-QUÉBEC SE VEUT UN LIEU DE CONCERTATION ET D HARMONISATION, UN LIEU DE PLANIFICATION DU DÉVELOPPEMENT RÉGIONAL, UN LIEU D INTERFACE ET D ARRIMAGE
Accélérer la croissance des PME grâce à l innovation et à la technologie
CONSEIL NATIONAL DE RECHERCHES CANADA PROGRAMME D AIDE À LA RECHERCHE INDUSTRIELLE Accélérer la croissance des PME grâce à l innovation et à la technologie Apperçu PARI-CNRC : Qui sommes-nous? Quel est
Guide de rédaction. Plan d affaires d une entreprise ou d un projet d économie sociale
Guide de rédaction Plan d affaires d une entreprise ou d un projet d économie sociale Table des matières LA PRÉSENTATION DU PROJET 1.1. Le résumé du projet 1.2. L utilité sociale du projet 1.3. Le lien
La coopérative de solidarité
La coopérative de solidarité Une coopérative est une entreprise regroupant des personnes qui ont des besoins économiques et sociaux communs et qui, en vue de les satisfaire, s associent pour exploiter
Liste usuelle des conseillers Les buts de cet outil sont de : Instructions :
Outil Liste usuelle des conseillers L outil Liste usuelle des conseillers vous aidera à faire du transfert de votre entreprise un projet collectif et favorisera le travail d équipe entre vos différents
Dossier de candidature
Dossier de candidature Introduction: Avant d entreprendre la création d une entreprise, mais également à l occasion du développement d une nouvelle activité, il est absolument conseillé d élaborer un business
Guide d information de la bourse du tournoi de golf bénéfice du CLD de la MRC d Antoine-Labelle - APPEL DE PROJETS 2009 -
Guide d information de la bourse du tournoi de golf bénéfice du CLD de la MRC d Antoine-Labelle - APPEL DE PROJETS 2009-1) Objectif de la bourse du golf du CLD Ce fonds constitue, en soi, un incitatif
FONDS DE DÉVELOPPEMENT DES ENTREPRISES EN ÉCONOMIE SOCIALE (FDEÉS)
FONDS DE DÉVELOPPEMENT DES ENTREPRISES EN ÉCONOMIE SOCIALE (FDEÉS) Guide de demande de financement JUILLET 2015 Table des matières QU EST-CE QUE L ÉCONOMIE SOCIALE?... 5 LES ORGANISMES ADMISSIBLES...
Fiche 1 Le résumé du projet
Fiche 1 Le résumé du projet Le résumé présente les grandes lignes du plan en un seul coup d oeil. Aussi, il doit être concis et s énoncer dans peu de pages. Deux pages c est bien, mais une page, c est
Cadre de travail sur les relations avec les gouvernements et la défense des droits. Société canadienne de la sclérose en plaques
Cadre de travail sur les relations avec les gouvernements Société canadienne de la sclérose en plaques Juin 2009 Table des matières Contexte... 3 1.0 Mission de la Société canadienne de la sclérose en
MANUEL DE GESTION DE CYCLE DE PROJET DU SP/CONEDD
1 MINISTERE DE L ENVIRONNEMENT ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE SECRETRARIAT PERMANENT DU CONSEIL NATIONAL POUR L ENVIRONNEMENT ET LE DEVELOPPEMENT DURABLE MANUEL DE GESTION DE CYCLE DE PROJET DU SP/CONEDD
Rédaction d un Plan d affaires
Rédaction d un Plan d affaires Catherine Raymond 2001 INTRODUCTION Raisons qui ont motivé la rédaction du plan d affaires Personnes ou organismes qui ont collaboré à l élaboration du plan d affaires Sommaire
Mobilisation des ressources 45. Définition et composantes
vec l ouverture du Maroc sur l environnement international et sur les mécanismes et les enjeux planétaires du développement et de la coopération socioéconomique, ainsi qu avec le développement du mouvement
SGPNB au Nouveau-Brunswick. Le développement de l industrie des services financiers et des marchés boursiers dans la province
SGPNB au Nouveau-Brunswick Le développement de l industrie des services financiers et des marchés boursiers dans la province Mise à jour juillet 2013 1 Préambule L information suivante décrit les différents
LES PARTICULARITÉS DE LA COOPÉRATIVE DE SOLIDARITÉ
Vous envisagez de vous lancer en affaires sous la formule «Coopérative»? Une coopérative est une personne morale regroupant des personnes ou sociétés qui ont des besoins économiques, sociaux ou culturels
Direction générale PROGRAMME PRINCIPAL 02
PROGRAMME PRINCIPAL 02 WO/PBC/4/2 page 33 Direction générale 02.1 Cabinet du directeur général 02.2 Conseiller spécial et commissions consultatives 02.3 Supervision interne Résumé 61. La propriété intellectuelle
CADRE POUR L'ÉDUCATION ET LA FORMATION PROFESSIONNELLE DES AUTOCHTONES. Vue d ensemble
CADRE POUR L'ÉDUCATION ET LA FORMATION PROFESSIONNELLE DES AUTOCHTONES Vue d ensemble Le Cadre pour l'éducation et la formation professionnelle des Autochtones vise trois objectifs : = augmenter les taux
2004-2007. Programme triennal d assistance financière Unités régionales de loisir et de sport
Programme triennal d assistance financière Unités régionales de loisir et de sport 2004-2007 Troisième année du programme triennal Date limite d inscription : 23 juin 2006 Le sceau de la poste faisant
Simplifier vos projets d avenir
Simplifier vos projets d avenir FINANCEMENT Ouvrir à nos clients l accès aux marchés de capitaux publics et privés par le biais de formules innovatrices d emprunt et de recapitalisation. S O L U T I O
L usage du masculin a uniquement pour but d alléger le texte.
DESJARDINS Catégorie Agricole L usage du masculin a uniquement pour but d alléger le texte. DATE LIMITE : 30 mars 2015 CRITÈRES D ADMISSIBILITÉ Avoir son siège social au Québec ou en Ontario. Entreprise
Demande de propositions (DP) 13-1415. Services de recrutement d un ou d une cadre de direction. La Société du Paysage de Grand- Pré
La Société du Paysage de Grand- Pré Demande de propositions (DP) 13-1415 Services de recrutement d un ou d une cadre de direction Page 1 de 8 Page 2 de 8 Demande de propositions pour des services de recrutement
Soutien aux projets structurants de valorisation de transfert Direction du Soutien à l innovation technologique et sociale
Soutien aux projets structurants de valorisation de transfert Direction du Soutien à l innovation technologique et sociale Plan de la présentation Le secteur Recherche, innovation et science citoyenne
Liste usuelle des conseillers Les buts de cet outil sont de : Instructions :
Outil Liste usuelle des conseillers L outil Liste usuelle des conseillers vous aidera à faire du transfert de votre entreprise un projet collectif et favorisera le travail d équipe entre vos différents
Poste à temps plein permanent Selon l échelle salariale de la CDRHPNQ en vigueur
AFFICHAGE DE POSTE 2 e affichage Titre du poste : Département : Gestionnaire : Lieu de travail : Catégorie : Salaire : Employés sous gestion : Priorité d embauche : Directeur des Services de soutien Services
Canadian Arts Data / Données sur les Arts au Canada. Demande de propositions : Services de gestion
` Canadian Arts Data / Données sur les Arts au Canada Demande de propositions : Services de gestion Date limite : 20 septembre 2012 à 16 h (HAE) Veuillez faire parvenir votre proposition à l adresse suivante
GUIDE DE RÉDACTION DU PLAN D AFFAIRES POUR LES ENTREPRISES EN ÉCONOMIE SOCIALE
GUIDE DE RÉDACTION DU PLAN D AFFAIRES POUR LES ENTREPRISES EN ÉCONOMIE SOCIALE Octobre 2007 Table des matières Préambule 4 Sommaire exécutif 5 1. La présentation de l organisme 6 1.1 L historique de l
Objectif... 2 Candidats admissibles... 2 Conditions d admissibilité... 2 Projets admissibles... 3
Fonds Jeunes promoteurs CRITÈRES ET CONDITIONS D ADMISSIBILITÉ Sommaire Objectif... 2 Candidats admissibles... 2 Conditions d admissibilité... 2 Projets admissibles... 3 Volet A : concrétisation de projets
FONDS DE DÉVELOPPEMENT DES ENTREPRISES EN ÉCONOMIE SOCIALE (FDEÉS) Politique d investissement du CLD Robert-Cliche
FONDS DE DÉVELOPPEMENT DES ENTREPRISES EN ÉCONOMIE SOCIALE (FDEÉS) Politique d investissement du CLD Robert-Cliche SOUTIEN FINANCIER AUX ENTREPRISES D ÉCONOMIE SOCIALE Le dynamisme des communautés du territoire
Fiche Compétences en action : une boîte à outils en ligne
Fiche Compétences en action : une boîte à outils en ligne Centre de formation communautaire de la Mauricie CFCM Depuis sa création en 1988, le Centre de formation communautaire de la Mauricie (CFCM) se
HÉLÈNE JOLIN. 405, rue de Dieppe Saint-Jean-sur-Richelieu (Québec) J3B 1S9 Tél. : (450) 359-0141 Courriel : jolin.h@sympatico.ca SOMMAIRE D EXPÉRIENCE
HÉLÈNE JOLIN 405, rue de Dieppe Saint-Jean-sur-Richelieu (Québec) J3B 1S9 Tél. : (450) 359-0141 Courriel : jolin.h@sympatico.ca SOMMAIRE D EXPÉRIENCE Expérience acquise dans l intervention et le développement
Politique de soutien aux entreprises
Politique de soutien aux entreprises Préambule Suite à l adoption de la Loi 28 par le gouvernement du Québec, des modifications ont été apportées à la mise en œuvre de la nouvelle gouvernance municipale
Programme Partenariats entrepreneuriat jeunesse (PEJ) Appel de propositions Construire un écosystème dynamique propice à l entrepreneuriat jeunesse
Programme Partenariats entrepreneuriat jeunesse (PEJ) Appel de propositions Construire un écosystème dynamique propice à l entrepreneuriat jeunesse 1.0 CONTEXTE Le programme Partenariats entrepreneuriat
Promouvoir la finance sociale au Canada Aller de l avant vers les obligations à impact social
Maintenant et demain L excellence dans tout ce que nous entreprenons Promouvoir la finance sociale au Canada Aller de l avant vers les obligations à impact social Octobre 2012 Objet et vue d ensemble Présenter
MINISTÈRE DES AFFAIRES CIVIQUES, DE L'IMMIGRATION ET DU COMMERCE INTERNATIONAL
BUDGET DES DÉPENSES 1 DU COMMERCE INTERNATIONAL Le ministère des Affaires civiques, de l'immigration et du Commerce international (MACICI) sert trois ministres : le ministre des Affaires civiques, de l'immigration
Le Partenariat canadien contre l Alzheimer et les maladies apparentées. Une vision collective pour une stratégie nationale sur les maladies cognitives
Le Partenariat canadien contre l Alzheimer et les maladies apparentées Une vision collective pour une stratégie nationale sur les maladies cognitives Le Partenariat rendra possible la collaboration d un
GROUPE GIROUX MÉNARD. Roger Giroux, CPA, CA Associé fondateur. Éric Laprés, CPA, CA Associé fondateur. Josée Charbonneau, CPA, CA Associée fondatrice
GROUPE GIROUX MÉNARD Le Groupe Giroux Ménard vous offre des services en certification, en fiscalité et en financement ainsi que des services-conseils. La firme peut également vous conseiller en matière
Conférence nationale de PGBC Dossier pour documents justificatifs
Conférence nationale de PGBC Dossier pour documents justificatifs Le conseil d administration de PGBC remercie sincèrement les affiliés provinciaux d accueillir chaque année la conférence nationale. La
MANDAT DU CONSEIL D ADMINISTRATION Approuvé par le conseil d administration le 13 novembre 2014
OFFICE D INVESTISSEMENT DES RÉGIMES DE PENSION («INVESTISSEMENTS PSP») Approuvé par le conseil d administration le 13 novembre 2014 13 novembre 2014 PSP-Legal 1633578-1 Page 2 INTRODUCTION Le conseil d
Accélérer la croissance des PME grâce à l innovation et à la technologie
CONSEIL NATIONAL DE RECHERCHES CANADA PROGRAMME D AIDE À LA RECHERCHE INDUSTRIELLE Accélérer la croissance des PME grâce à l innovation et à la technologie Apperçu PARI-CNRC : Qui sommes-nous? Quel est
RÔLES ET RESPONSABILITÉS SUGGÉRÉES POUR LE COORDONNATEUR COMMUNAUTAIRE DU SISA
RÔLES ET RESPONSABILITÉS SUGGÉRÉES POUR LE COORDONNATEUR COMMUNAUTAIRE DU SISA Le présent document a pour but de servir de guide pour ce qui est des rôles et des responsabilités du coordonnateur communautaire
PROGRAMME AGRI-MARKETING. Formulaire de demande 2009-2010
PROGRAMME AGRI-MARKETING Formulaire de demande 2009-2010 6 avril 2009 1 Demande de financement pour 2009-2010 TABLE DES MATIÈRES A Coordonnées du demandeur et du représentant autorisé.. B Organisations
POLITIQUE DE RECONNAISSANCE ET DE SOUTIEN AUX ORGANISMES DE LOISIRS DE LA VILLE DE BROMONT
POLITIQUE DE RECONNAISSANCE ET DE SOUTIEN AUX ORGANISMES DE LOISIRS DE LA VILLE DE BROMONT 1. MISSION ET PHILOSOPHIE D INTERVENTION DU SLCVC En vue de l amélioration de la qualité de vie de tous les Bromontois
RÉSEAU MICROAGE POSSIBILITÉ DE FRANCHISE
RÉSEAU MICROAGE POSSIBILITÉ DE FRANCHISE À titre d entrepreneur, cherchez-vous à faire croître votre entreprise et votre part de marché local? À titre de fournisseur de solutions TI, cherchez-vous une
Au service des consommateurs d électricité de l Ontario
Au service des consommateurs d électricité de l Ontario Message du président et chef de la direction Le début d une nouvelle année offre l occasion d envisager la voie à suivre dans une nouvelle perspective.
1. BUTS DU PROGRAMME ET INTENTIONS ÉDUCATIVES LOCALES
ATTESTATION D'ÉTUDES COLLÉGIALES DÉVELOPPEMENT ET GESTION D ENTREPRISES COLLECTIVES (JWW.0M) Résumé du programme d études 1. BUTS DU PROGRAMME ET INTENTIONS ÉDUCATIVES LOCALES 1.1 INTRODUCTION Les entreprises
NOTRE MISSION HISTORIQUE CE QUE NOUS FAISONS
Exposé présenté par l Association des agents financiers autochtones du Canada à la 33 e Assemblée générale annuelle de l Assemblée des Premières Nations Palais des congrès du Toronto métropolitain du 17
PROGRAMMES DE GESTION
RÉPUBLIQUE TUNISIENNE MINISTÈRE DE L ÉDUCATION DIRECTION GÉNÉRALE DU CYCLE PREPARATOIRE & DE L'ENSEIGNEMENT SECONDAIRE Direction de la Pédagogie & des Normes du cycle préparatoire et de l'enseignement
L usage du masculin a uniquement pour but d alléger le texte.
L usage du masculin a uniquement pour but d alléger le texte. DATE LIMITE : 2 mai 2014 CRITÈRES D ADMISSIBILITÉ Connaître un succès commercial reconnu et avoir obtenu récemment d excellents résultats financiers.
Étapes d élaboration d une formation en compétences essentielles (CE) ou en anglais langue seconde (ALS) propre à l entreprise
Étapes d élaboration d une formation en compétences essentielles (CE) ou en anglais langue seconde (ALS) propre à l entreprise Vous souhaitez commencer à mettre en œuvre une formation en CE, mais vous
Comité régional d économie sociale
Comité régional d économie sociale 2 GUIDE DE REDACTION D UN PLAN D AFFAIRE D UNE ENTREPRISE COLLECTIVE 1.1 À QUOI CORRESPOND UNE ENTREPRISE COLLECTIVE? Une entreprise d économie sociale est une entité
De par ses actions structurantes, le CLDVG a contribué à renforcer le partenariat entre les divers organismes.
Présent dans la Vallée-de-la-Gatineau depuis 1998, le Centre local de développement s est impliqué fortement dans son milieu pour combler les besoins collectifs. De par ses actions structurantes, le CLDVG
Plan d affaires. Nom de l'entreprise. Nom du promoteur. par. Fait en collaboration avec le. Adresse complète. No de téléphone.
Nom de l'entreprise par Nom du promoteur Fait en collaboration avec le Adresse complète No de téléphone No de télécopie Courriel Site Internet Date SOMMAIRE EXÉCUTIF Description de l entreprise (ou du
SOMMAIRE DE LA RÉPONSE DE LA DIRECTION
SOMMAIRE DE LA RÉPONSE DE LA DIRECTION Rapport d évaluation final de l Initiative de la nouvelle économie (INÉ) Date : le 17 mars 2010 Programme de l INÉ : contexte Dans le cadre du plan du gouvernement
Mise en valeur des ressources naturelles et de l énergie
Mise en valeur des ressources naturelles et de l énergie Développement durable des ressouces naturelles et de l énergie Les Premières Nations font partie intégrante de l avenir des ressources naturelles
PROGRAMME DE MENTORAT
CONSEIL SCOLAIRE ACADIEN PROVINCIAL PROGRAMME DE MENTORAT ÉNONCÉ PRATIQUE Le Conseil scolaire acadien provincial désire promouvoir un programme de mentorat qui servira de soutien et d entraide auprès des
AMÉLIORER SON MILIEU DE VIE
Activités éducatives pour les élèves de 12 à 17 ans AMÉLIORER SON MILIEU DE VIE NIVEAU : SECONDAIRE GROUPE D ÂGE : ÉLÈVES DE 12 À 17 ANS SOMMAIRE DE L ACTIVITÉ Apprendre par la pratique permet d accroître
BIBLIOTHÈQUE ET ARCHIVES CANADA PLAN D ÉVALUATION 2008-2009
BIBLIOTHÈQUE ET ARCHIVES CANADA PLAN D ÉVALUATION 2008-2009 Division du rendement et de l information institutionnels Direction générale de la gestion intégrée Présenté au : Comité d évaluation de Bibliothèque
Document entrepreneurial
Document entrepreneurial 1. La culture entrepreneuriale Comme mentionné, la culture entrepreneuriale est présente dans les trois visées du PFEQ. L élève entreprend et mène à terme des projets qui développent
NOM DE L ENTREPRISE NO, RUE MUNICIPALITÉ (QUÉBEC) CODE POSTAL Téléphone d entreprise
NOM DE L ENTREPRISE NO, RUE MUNICIPALITÉ (QUÉBEC) CODE POSTAL Téléphone d entreprise Nom du promoteur Terminé le : insérer DATE TABLE DES MATIÈRES NOTE AU LECTEUR...4 1. LE PROJET...5 1.1 RÉSUMÉ DU PROJET...5
Modèles d'autorité du logement MODÈLE DEUX - COMMISSION DU LOGEMENT INDÉPENDANTE DOTÉE D UN CONSEIL D ADMINISTRATION. Assemblée des Premières Nations
Modèles d'autorité du logement MODÈLE DEUX - COMMISSION DU LOGEMENT INDÉPENDANTE DOTÉE D UN CONSEIL D ADMINISTRATION Assemblée des Premières Nations Mai 2012 TABLE DES MATIÈRES MODÈLE DEUX COMMISSION DU
Programme des experts associés des Nations Unies
Programme des experts associés des Nations Unies Descriptif de poste Expert associé INT-150-13-P099-01-V I. Généralités Titre : Expert associé en ressources humaines Secteur d affectation : Service du
Conseil canadien de développement social Programme de données communautaires
Conseil canadien de développement social Programme de données communautaires http://donneescommunautaires.ca http://www.ccsd.ca Page 2 de 7 Qu est-ce que le Programme de données communautaires? Au milieu
PROFIL DU POSTE. GESTIONNAIRE, Opérations des Jeux
PROFIL DU POSTE GESTIONNAIRE, Opérations des Jeux Objectifs associés au poste Le ou la gestionnaire, Opérations des Jeux, gérera les volets opérationnel et logistique des préparatifs des Jeux qui lui ont
!Mutuelle!!de microfinance (Québec)!!!!Défis et enjeux!
!Mutuelle!!de microfinance (Québec)!!!!Défis et enjeux! Du microcrédit à la microfinance!!!! Les défis et enjeux! La cohérence - Mission, vision! L innovation! Croissance et rentabilité! Gouvernance! L
Le volleyball est notre sport, notre passion, notre communauté nous inspirons les Canadiens à embrasser le volleyball pour la vie
Le volleyball est notre sport, notre passion, notre communauté nous inspirons les Canadiens à embrasser le volleyball pour la vie Révision du plan stratégique de Volleyball Canada février 2009 Table des
POLITIQUE DE FORMATION CONTINUE du Regroupement québécois de la danse pour le secteur de la danse professionnelle au Québec
POLITIQUE DE FORMATION CONTINUE du Regroupement québécois de la danse pour le secteur de la danse professionnelle au Québec 1. PRÉSENTATION DE LA POLITIQUE DE FORMATION CONTINUE En avril 2005, le Regroupement
MODÈLE POUR L ÉLABORATION D UNE STRATÉGIE GLOBALE D ENTREPRISE
MODÈLE POUR L ÉLABORATION D UNE STRATÉGIE GLOBALE D ENTREPRISE Direction du développement des entreprises et des affaires Préparé par Michel Coutu, F.Adm.A., CMC Conseiller en gestion Direction de la gestion
ÉNERGISER L AVENIR Étude d information sur le marché du travail 2008
Construire un avenir brillant ÉNERGISER L AVENIR Étude d information sur le marché du travail 2008 www.avenirbrillant.ca Financé par le gouvernement du Canada par l entremise du Programme des conseils
MINISTERES AMOUR CONCRET et FAIM DANS LE MONDE
MINISTERES AMOUR CONCRET et FAIM DANS LE MONDE PAGE DE GARDE DU FORMULAIRE DE DEMANDE NOM DE LA JURIDICTION : TITRE DU PROGRAMME : CITE/VILLAGE : ETAT/ PROVINCE/PAYS : DIRECTEUR DU PROGRAMME : ADRESSE
Sommet pleines voiles / Groupe de travail sur l autosuffisance : domaines d intérêt communs
Sommet pleines voiles / Groupe de travail sur l autosuffisance : domaines d intérêt communs Lors du Sommet pleines voiles en janvier 2007, la Commission des valeurs mobilières du Nouveau-Brunswick a publié
Bibliothécaire/Spécialiste de l information PROFIL DE L OPPORTUNITÉ
Bibliothécaire/Spécialiste de l information PROFIL DE L OPPORTUNITÉ Septembre 2014 Bibliothécaire/Spécialiste de l information Institut canadien pour la sécurité des patients Lieu de travail : bureau d
Opérations régionales. Évaluation du Programme de logement dans les réserves d' AINC DATE D'APPROBATION : 22/02/2011 DATE D ACHÈVEMENT PRÉVUE
COMPTE RENDU SUR L ÉTAT DE LA MISE EN ŒUVRE DU RAPPORT AU COMITÉ D ÉVALUATION, DE MESURE DU RENDEMENT ET D EXAMEN EN DU 30 SEPTEMBRE 2013 D'APPROBATION : 22/02/2011 Il est recommandé que, en collaboration
Catégorie développement durable
DESJARDINS Catégorie développement durable L usage du masculin a uniquement pour but d alléger le texte. DATE LIMITE : 30 mars 2015 CRITÈRES D ADMISSIBILITÉ Connaître un succès commercial reconnu et avoir
Réponses de la Fédération des chambres de commerce du Québec
Réponses de la Fédération des chambres de commerce du Québec Consultation du Groupe conseil sur l actualisation de la Stratégie québécoise de la recherche et de l innovation 8 septembre 2009 Préambule
Recruter et sélectionner son personnel avec Emploi-Québec
Recruter et sélectionner son personnel avec Emploi-Québec Coordination Direction des mesures et services aux entreprises et du placement Ministère de l Emploi et de la Solidarité sociale Rédaction Direction
PLAN D AFFAIRES DU PROJET DE PARC REGIONAL DE PERCE
ACTUALISATION DU CONCEPT DE PARC RÉCRÉOTOURISTIQUE À PERCÉ Rapport d étape préliminaire DU PROJET DE PARC REGIONAL DE PERCE Présenté à la Société de développement économique de Percé Février 2012 580,
Faire une étude de marché I et II. Michel Grenier, MBA
Faire une étude de marché I et II Michel Grenier, MBA Au menu ce midi Étude de marché Que feriez vous et comment? Environnement PESTEL La segmentation Le marché Son positionnement Le rapport Le Centre
POLITIQUE DU SEM RELATIVE AUX SERVICES AUX MEMBRES EN MATIÈRE DE RETRAITE
POLITIQUE DU SEM RELATIVE AUX SERVICES AUX MEMBRES EN MATIÈRE DE RETRAITE 1. NATURE DES SERVICES OFFERTS Le SEM offre des services de nature informative et d assistance en matière de retraite. De plus,
Session. L élaboration de la vision, de la mission. et du plan d action. Guide du participant. La Fédération provinciale des
Session L élaboration de la vision, de la mission et du plan d action Guide du participant Préparé par La Fédération provinciale des comités de parents du Manitoba Saint-Boniface Septembre 1996 Avant propos
OBTENIR LE FONDS DE ROULEMENT DONT VOUS AVEZ BESOIN
OBTENIR LE FONDS DE ROULEMENT DONT VOUS AVEZ BESOIN Vous avez conclu la transaction, mais il vous faut maintenant des liquidités pour démarrer la production. C est alors que votre crédibilité est en jeu.
FICHE. Le financement
FICHE # 7 Le financement Le financement Pourquoi entreprendre cette démarche? Parce que c est par le financement à la mission globale que les organismes communautaires autonomes pourront réaliser leur
Feuille de travail pour l analyse des résultats du questionnaire
Feuille de travail pour l analyse des résultats du questionnaire Veuillez noter que l analyse des besoins vous permet de déterminer les lacunes dans les compétences particulières, les aspects à améliorer
5.6 Concertation pour l emploi
5.6 Concertation pour l emploi Généralités 5.6 CONCERTATION POUR L EMPLOI 2015-01-05 Table des matières Page 2 sur 2 Table des matières Table des matières...2 CONCERTATION POUR L EMPLOI - Généralités...3
Plan Stratégique 2008-2013
Plan Stratégique 2008-2013 Version finale Adopté le 26 septembre par le Conseil d administration Septembre 2008 Mission La Société Santé en français est un chef de file national qui assure, en étroite
FORMULAIRE DE DEMANDE CONCERNANT LE FONDS DE FACILITATION EN MATIÈRE DE SEMENCES POUR 2016
FORMULAIRE DE DEMANDE CONCERNANT LE FONDS DE FACILITATION EN MATIÈRE DE SEMENCES POUR 2016 COORDONNÉES L Initiative de la famille Bauta sur la sécurité des semences au Canada Veuillez remplir toutes les
Service des arts visuels Consultations sur le soutien aux organismes artistiques
Service des arts visuels Consultations sur le soutien aux organismes artistiques En 2013, le Conseil des arts du Canada a publié le Document d'information : Révision des programmes de subventions de fonctionnement
Portrait de la rémunération globale
CHAPITRE 1 Portrait de la rémunération globale pendant longtemps, on a surtout considéré les programmes de rémunération comme un mal nécessaire pour attirer des employés compétents et les fidéliser. Pour
Politique de soutien aux entreprises MRC de La Nouvelle Beauce
Politique de soutien aux entreprises MRC de La Nouvelle Beauce Préparé par : Pour : 1 Table des matières 1. FONDEMENT DE LA POLITIQUE... 2 2. CLIENTÈLES ADMISSIBLES... 2 3. LES SERVICES OFFERTS... 3 3.1