ETAT DE L ART DES DECHARGES : SITUATION DANS LES PED.

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1 E-R-A CAMEROUN Atelier international sur la gestion durable et la valorisation des déchets solides dans les pays en voies de développement Du 26 au 1 er Février 2014 ETAT DE L ART DES DECHARGES : SITUATION DANS LES PED. Présenté par : YEBGA Jacques Albert ERA-Cameroun Le 28 Janvier 2014

2 PLAN DE L EXPOSE Dispositions pratiques de l aménagement, de l exploitation et de la fermeture des décharges dans les PED Etat de lieux de quelques décharges dans les PED Propositions d amélioration 2

3 Définition de quelques concepts Décharge : d après la directive 1999/31/CE concernant la mise en décharge des déchets pour les pays de l UE, une «décharge» est un site d élimination des déchets par dépôt dans la terre. Destination ultime et préférentielle des déchets aussi bien ménagers que dangereux dans les villes des PED. Décharge contrôlée = Centre de Stockage des Déchets Ultimes (CSDU) ou Centre d Enfouissement Technique (CET). Trois catégories de CET : CET de Classe 1 CET de Classe 2 CET de Classe 3 3

4 Types de CET CET de classe 1: destinés à recevoir les déchets dangereux. La directive 1999/31/CE des pays de l UE recommande une perméabilité inférieure à 10-9 m/s sur une épaisseur d au moins 5 mètres. Très peu de CET de classe 1: au Cameroun (PED), 2 fonctionnels et en France (Pays industrialisé) 14 fonctionnels. CET de classe 2: destinés à recevoir les déchets ménagers et assimilés. La même directive recommande une perméabilité inférieure à 10-6 m/s sur une épaisseur d au moins 5 mètres. CET les plus présents aussi bien dans les pays du Nord que dans les PED. CET de classe 3: destinés à recevoir les déchets inertes et non recyclables. une perméabilité inférieure à 10-7 m/s sur une épaisseur d au moins 1 mètre est requise. Presque inexistants dans les PED 4

5 5

6 Les décharges aménagées dans les PED sont réalisées sur financement des bailleurs de fonds extérieurs qui appliquent les normes techniques de leurs pays d origine à défaut d existence de normes locales. Ci-après le résumé des dispositions pratiques des acteurs du domaine dans les PED. 6

7 Critères de choix des sites d enfouissement La recherche des sites potentiels implique quelques priorités bien établies telles que : favoriser la stabilité à long terme des dépôts ; Éviter les conditions qui pourraient entraîner des dérèglements de l activité biologique des déchets (fortes pluviosité par exemple); éviter toute interaction entre le CET et l environnement ; tenir compte de l accessibilité du site ; tenir compte de l impact sur l environnement humain et écologique ; tenir compte du volume disponible et utilisable; tenir compte de la disponibilité du foncier; et Tenir compte de l acceptabilité par la population. 7

8 Critères de choix des sites d enfouissement (suite) À titre d exemple, dans le cadre de la Coopération Maroco- Allemande GTZ PGPE, voici quelques critères qui permettent de décider de l élimination d un site ou pas: puits privés (RS = 500m ) ; principaux fleuves (RS =500m ) ; sources thermales (RS = 2Km ) ; sources (RS = 2Km ) ; captages d'eau potable (RS = 1 à 2,5Km ); aéroport (RS = 5K m ) ;!Ces rayons pouvant être revus à la baisse en fonction de la volonté des communautés concernées, de la disponibilité des terrains et des conditions du milieu. 8

9 Conditions d ouverture des CET Les conditions d ouverture des CET ne sont pas précisées dans la plupart des PED. Dans les pays où elles sont précisées, elles concernent beaucoup plus les CET de classe 1. Ces dispositions seront davantage explicitées dans le groupe d activité réservé au cadre réglementaire et normatif. 9

10 Dispositions pratiques d aménagement 1. Conception de la base du CET et collecte des lixiviats deux types de barrières de sécurité : les barrières d étanchéité statiques ou géomembranes en matière plastique; les barrières dynamiques ou argileuses. La mise en place de l une ou l autre des barrières de sécurité dépend de plusieurs critères parmi lesquels: La perméabilité du sol naturel en présence; Les conditions climatiques. 10

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12 Coupe d'une cellule pour DIS à Ouagadougou 12

13 Dispositions pratiques d aménagement 2. Collecte des lixiviats Chaque casier est traversé longitudinalement par un drain principal d une pente variant entre 2 et 5% puis éventuellement plusieurs drains parallèles [IEPF, 2005]. Un réseau de tuyaux crépinés respectant également une pente variant entre 2 et 5% est disposé transversalement pour permettre la collecte des lixiviats et leur acheminement vers le drain principal [IEPF, 2005]. 13

14 configuration du système de drainage des lixiviats [IEPF, 2005] 14

15 Dispositions pratiques d aménagement 3. Collecte du biogaz Des puits de dégazages constitués de tuyaux crépinés et entourés par une masse drainante inerte sont généralement construits. Diamètres des puits : compris entre 0,6 et 1,2 mètres; diamètres des tuyaux (PEHD): compris entre 120 et 250 millimètres; espacement entre les puits : compris entre 35 et 50 mètres; les tuyaux sont reliés au système de collecte des lixiviats et élevés progressivement en cours d exploitation des casiers; les têtes de puits sont reliées au réseau de canalisation des gaz vers les dispositifs de traitement. 15

16 Schéma de construction d un puits de dégazage 16

17 L exploitation des décharges dans les PED Les facteurs les plus critiques au cours de l exploitation d une décharge sont entre autre : la gestion du biogaz et des lixiviats ; le contrôle des déchets entrants et leur affectation sur les différents casiers et alvéoles du site ; la prévention des risques: d'envol des déchets, d'intrusion pluviale et d'attraction des oiseaux, rongeurs, insectes et autres prédateurs ; la maintenance des installations et équipements ; la construction progressive des casiers et alvéoles inscrits au programme ; et la réhabilitation et la surveillance des casiers et alvéoles saturés 17

18 L exploitation des décharges dans les PED Deux modes d exploitation 1) En terrain plat: L espace disponible est divisé en un certain nombre de parcelles rectangulaires semblables allant de 3000 m² à plus d un ha. 2) En terrain accidenté: Si le terrain est en cuvette ou en dépression, on procède à mise en décharge jusqu au remplissage de la dépression ; Si le terrain est en relief, on procède également à la mise en décharge. Le matériau de couverture étant directement prélevé sur les flancs du site d exploitation, ce qui limite les coûts d'exploitation. 18

19 Schéma d une décharge en terrain plat 19

20 Schéma d une décharge en terrain accidenté. 20

21 L exploitation des décharges dans les PED 1. CET de classe 1 Taille des casiers est plus petite, étanchéité accrue et profondeur modérée (en moyenne 10 m); Casiers séparés en alvéoles bien différenciées de telle sorte qu on ne puisse pas mélanger acides et bases, métaux et oxydants, produits gras et produits solvants ; certains casiers conçus pour recevoir les déchets les plus dangereux après qu'ils aient fait l'objet d'un enrobage ou d'une contention individuelle; Entreposage des DIS dans les alvéoles, collecte des lixiviats et eaux pluviales; Surveillance de la qualité des eaux. 21

22 L exploitation des décharges dans les PED 2. CET de classe 2 Epandage répétitive des déchets par couches successives d épaisseur environ 2m; Compactage par un engin de génie civil; Couverture par une couche de matériaux inertes d épaisseur 20 à 30 cm; Captage et traitement des lixiviats et biogaz; Surveillance de la qualité des eaux souterraines; Caractérisation des déchets quelques fois. 22

23 L exploitation des décharges dans les PED 3. CET de classe 3 En général, les casiers de classe 3 sont construits dans les décharges de classe 1 et 2; Etanchéité passive faible et système de captage et décantation des eaux pluviales intrusives; Pas de dispositifs de drainage et traitement des lixiviats; Pas de dispositifs de captage et traitement de biogaz; et Recouvrement moins fréquent; 23

24 Dispositions pratiques de fermeture Pose de la couverture en forme de dôme pour tenir compte des tassements des déchets dans le temps. Les extrémités supérieures des puits de dégazage peuvent être placées en dessous ou au-dessus du sol de couverture du CET dépendamment de l utilisation future de l espace. Généralement, elles sont placées dans une chambre en béton avec couvercle mobile en acier ou en béton; Suivi du contrôle environnemental. La procédure et les dispositions concrètes de fermeture seront détaillées dans le GTT «normalisation» 24

25 Coupe de la couverture du CET de classe 2 (Guide pratique sur la gestion des déchets ménagers et des sites d enfouissement technique dans les pays du Sud, 2005) 25

26 Aménagements auxiliaires Ils concernent principalement: Les voies d accès à la décharge; Les drainage des eaux pluviales; La clôture autour du site; Le poste de contrôle et la station de pesage; Les bureaux; Les laboratoires; Les blocs de maintenance; Les station d épuration des lixiviats; Les stations de traitement des gaz; Les hangars de tris, de stabilisation, de conditionnement pour les DIS; Les puits piézométriques ; Etc. 26

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28 Les décharges pour déchets ménagers et assimilés 1. Les décharges contrôlées Très peu de villes disposent de décharge contrôlée dans les PED. On peut néanmoins citer les villes de Ouagadougou (Burkina Faso), Yaoundé (Cameroun) et certaines villes du Maghreb (Agadir, Rabat, ) qui en bénéficient. A Yaoundé, on passe d une décharge sauvage depuis 1990 à un CET en 2011 avec le captage et le brûlage du biogaz ainsi que le drainage et le traitement des lixiviats; Les autres CET sont conçus et sont plus ou moins exploités suivant les normes internationales de telles décharges (étanchéité, contrôle des paramètres de pollution, etc.). 28

29 Les décharges pour déchets ménagers et assimilés 1. Les décharges contrôlées Arrivée des déchets Contrôle d acceptation et pesage (contrôle visuel et identification de la provenance); Tri sommaire d une petite fraction pour valorisation Épandage des déchets, compactage et couverture; Collecte et traitement des lixiviats Captage et traitement du biogaz Monitoring 29

30 Les décharges pour déchets ménagers et assimilés 1. Les décharges contrôlées Généralement le contrôle de la qualité des eaux; Certains CET disposent de piézomètres à cet effet (Agadir, Rabat, Ouagadougou, etc.); Pour le cas particulier de Yaoundé (Nkolfoulou): examens périodiques de lixiviats par le centre pasteur.!qualité non satisfaisante des rejets de lixiviats dans la nature. 30

31 Les décharges pour déchets ménagers et assimilés 1. Les décharges contrôlées Cas particulier de Nkolfoulou (du bas vers le haut): 1 couche de terre de 1m d épaisseur ; une géomembrane étanche du type SOLPAC ; une deuxième couche de terre de 80cm ; un ensemencement. Collecte et traitement des lixiviats et biogaz pendant 30 ans après fermeture (Cameroun). 31

32 Les décharges pour déchets ménagers et assimilés 2. Les décharges traditionnelles simples entreposages de déchets sur des espaces aménagés ou non et ne répondant à aucune norme d ouverture de décharge. Les principales caractéristiques sont: Ouverture sans aucune étude technique ou environnementale; aménagement très sommaires ou inexistant de la voie d accès et de la plate-forme de déversement; aucun système de contrôle ni de traitement ; personnel d exploitation très peu ou pas du tout qualifié; engins d exploitation pas permanents; compactage des déchets insuffisant ou absent; pas de couverture des casiers; déchets entreposés sur le sol, à défaut de dépression naturelle; brulage des déchets pour en réduire la quantité; population vivant dans ou autour du site. 32

33 Les décharges pour déchets ménagers et assimilés 2. Les décharges traditionnelles décharge traditionnelle de la ville de Bamenda (brûlage des déchets par les agents municipaux) 33

34 Déversement d hydrocarbures sur la décharge de Limbe 34

35 Les décharges pour déchets dangereux 1. Les décharges publiques pour déchets industriels dangereux Bien que cela soit très rare, certaines villes de PED ont pu se doter de décharges publiques de classe 1. Tel est le cas: De la cellule pour DIS de Ouagadougou Du centre de traitement des déchets dangereux de Jradou (Tunisie) 35

36 Les décharges pour déchets dangereux Cellule de DIS réalisée dans le CET de classe 2 de Ouagadougou Simple entreposage des déchets dangereux dans la cellule Aucun traitement préalable des déchets Absence de couverture de la cellule Admission des déchets industriels banals Contrôle uniquement visuel effectué avant entreposage. 36

37 Les décharges pour déchets dangereux Capacité: tonnes /an provenant de huit régions tunisiennes; Trois possibilités pour les déchets entrant: l enfouissement direct dans les casiers de classe I, si le déchet n a pas besoin de subir un prétraitement sur le site ; prétraitement par stabilisation ou solidification, avant la mise en décharge des déchets prétraités ; prétraitement dans les filières physico-chimiques et enfouissement des déchets ultimes dans les casiers. 37

38 Les décharges pour déchets dangereux 2. Les décharges privées pour déchets industriels dangereux Au Cameroun deux CET de classe 1 Décharges privées Normes techniques d aménagement : CET d ALUCAM SOCATRAL (Edea): Norme française CET de COTCO (Belabo): Norme canadienne Pour tous les deux CET, Uniquement les déchets de l entreprise sont enfouis Tri manuel des DIB Évacués en CET de classe 2 pour ALUCAM Enfouis sur place pour COTCO Enfouissement des DIS sans prétraitement Traitement des lixiviats avant rejet Contrôle de la qualité des eaux souterraines effectif 38

39 Les décharges pour déchets inertes Les CET de classe 3 n existent presque pas dans les PED. Les déchets inertes sont utilisés pour combler les dépressions, les bas fonds marécageux ou les routes boueuses. 39

40 L aménagement et l exploitation des CET sont basés sur les normes Européennes, par conséquent pas toujours adaptés au contexte socio-économique des pays pauvres; L aménagement des CET se résume à la mise en place du système d étanchéité et le drainage des lixiviats et du biogaz soit plus de la moitié du coût de l aménagement; Près de 98% des villes des PED ont des décharges sauvages, dû au caractère très couteux de celles aménagées et aux ressources financières limitées des communautés; Le tri est non systématique dans les décharges conduisant à l enfouissement des déchets non admis; Le traitement non adéquat des lixiviats et gaz et la proximité des habitations du site de la décharge. 40

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42 Définir un standard pour l aménagement et l exploitation des décharges adapté aux pays pauvres: Réviser le niveau d étanchéité recherché et le système de drainage; Réviser le rayon de sécurité autour du site fonction du niveau de pollution tolérable. Utiliser les déchets inertes comme couverture des casiers dans les décharges de classe 1 et 2; Encourager le tri des déchets en amont; Encourager la mise en place des casiers de classe 1 dans les décharges de classe 2 à défaut de l aménagement de CET approprié. 42

43 Tas d ordures sauvage à M beubeuss au Sénégal 43

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