WALLONIE Jambes 16 mars 2011
|
|
- Marie-Agnès Lessard
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 LES TROISIÈMES ASSISES DE L EAU L EN WALLONIE Jambes 16 mars 2011 Expérience de mise en place par un Organisme d'assainissement Agréé d un service d aide aux communes B. Antoine Directeur général adjoint de l AIVE
2 Territoire couvert: les 44 communes de la province de Luxembourg. 1. ORIGINE - Début des années 90: prise de conscience de la nécessité d aider les communes dans l application des législations. - Une Intercommunale se doit d être au service de ses communes : première initiative: élaboration d un règlement communal d égouttage standard. Mise sur pied d un groupe de travail piloté par l AIVE avec 2 secrétaires communaux, 2 chefs de travaux communaux, 2 commissaires voyers et une représentante de l UVCW : décision de créer un véritable service dédié à l aide à la gestion communale : élaboration du dossier de conviction et du programme d actions en concertation avec les communes.
3 2. CREATION Décision à l unanimité de l Assemblée Générale en Approbation du programme d actions. - Décision statutaire pour le financement : ~ Cotisation statutaire maximum de 50 FB (1,24 ) indexée par habitant. - Principe de financement : la cotisation communale couvre 50% des charges du service, l AIVE doit mobiliser des moyens financiers pour couvrir 50% (fonds propres, prestations pour des tiers rémunérées). - La cotisation appliquée est fixée à 30 FB (0,75 ) indexée par habitant. Début 1999 : - Engagement d une équipe de 4 conseillers en environnement.
4 3. PRINCIPE D ORGANISATION : UN SERVICE DE PROXIMITE - Chaque conseiller en environnement est responsable pour un certain nombre de communes, selon une division territoriale. - Dans chaque commune, il y a une ou plusieurs personnes relais (agents communaux ) qui sont les interlocuteurs privilégiés des conseillers en environnement. Ce sont les agents qui gèrent les matières de l urbanisme et de l aménagement du territoire, de l environnement et des travaux. - Le collège des bourgmestre et échevins est régulièrement informé de l essentiel des actions et des matières traitées. - Organisation au moins deux fois par année d une réunion d information sur l évolution et la mise en œuvre pratique des législations à l attention des mandataires et agents communaux concernés.
5 4. PRINCIPALES ACTIONS REALISEES EN DIX ANNEES. - Elaboration d outils de vulgarisation des législations (brochures, mémentos ). - Avis sur permis. - Conseils aux communes et aux particuliers pour la gestion des eaux dans les projets urbains + règlements types. - Formations pour les professionnels de la construction. - Mise en œuvre d outils de sensibilisation : circuits didactiques, classes d eau - Développement d un outil de cartographie informatique d aide à la gestion communale via le réseau Internet - Participation active à l élaboration des législations. - Aide à la mise en œuvre de l assainissement autonome groupé. - Elaboration des PASH et motivation des modifications. - Participation aux Contrats de Rivières sur notre zone d action.
6 : LE CONSTAT APRES DIX ANNEES - Législations de plus en plus complexes. - Prise en compte lacunaire de la problématique de la gestion des eaux usées dans la législation de l urbanisme et de l aménagement du territoire. - Augmentation exponentielle des prestations de remises d avis sur permis. - Outil de cartographie informatique d aide à la décision incontournable % de la population en assainissement autonome. - Evolution de l habitat rural vers de l habitat groupé. - Nécessaire prise en compte de la gestion des eaux pluviales. - Absence d une véritable politique transversale de la gestion des eaux urbaines résiduaires, voire même, situations conflictuelles entre administrations. - Sensibilisation indispensable. - Nécessité de développer des outils d aide à la gestion communale.
7 : ELABORATION D UN NOUVEAU PLAN D ACTIONS - Deux journées de travail en réunion plénière avec les communes. - L essentiel des actions relève de l intérêt général - Les remises d avis sur permis. - L application de cartographie informatique liée à la gestion de l eau à la parcelle - L accès à l expertise juridique de l Intercommunale. - La gestion des eaux pluviales. - La mise en conformité des habitations en assainissement autonome. - La sensibilisation du public, principalement scolaire.
8 7. LE NOUVEAU PLAN D ACTIONS La gestion des eaux usées et pluviales : approche intégrée et transversale en 5 thématiques : - La gestion des eaux et l aménagement du territoire. - L expertise juridique et les outils d aide à la décision. - Les équipements communaux de gestion des eaux usées et pluviales. - La gestion des eaux usées et pluviales à la parcelle. - La sensibilisation, la formation et l information.
9 7. LE NOUVEAU PLAN D ACTIONS 1. La gestion des eaux et l aménagement du territoire - Remise d avis sur permis (nouveau). - Développement d outils d aide à l instruction des dossiers. - Sensibilisation de la Région à l intégration des législations «eau»dans le CWATUPE. - Sensibilisation de la Région wallonne au nécessaire développement des législations «eaux pluviales» (nouveau) - Accompagnement et conseils sur la maîtrise des ruissellements sur projets d aménagement urbains (nouveau). - Motivation des dossiers de modification de régime d assainissement du PASH. - Définition des mesures particulières d assainissement autonome groupé (permis d urbanisation ).
10 7. LE NOUVEAU PLAN D ACTIONS 2. Expertise juridique et outils d aide à la décision - Veille légale. - Expertise juridique et technique de l AIVE en matière de permis d environnement (nouveau). - Vade-mecum des moyens d actions pour sanctionner les situations problématiques en termes de gestion des eaux. (nouveau). - Application cartographique de gestion technique des réseaux GIG (liaison avec Infonet). - Application cartographique de gestion des eaux usées à la parcelle (GEUP) GIG - Etudes de zones : faciliter les regroupements entre particuliers pour l installation de SEI (nouveau). - Elaboration de règlements-types: lotissements (nouveau), règlement communal d égouttage, prime SEI, prime citernes à eau de pluie (nouveau). - Service public d assainissement autonome :relais vers les instances compétentes (nouveau).
11 7. LE NOUVEAU PLAN D ACTIONS 2. Expertise juridique et outils d aide à la décision Vade-mecum des moyens d actions pour sanctionner les situations problématiques en termes de gestion des eaux (nouveau). - Etablissement, à destination des communes, d un vade-mecum des moyens d actions à disposition pour dénoncer et sanctionner les situations problématiques en termes de gestion des eaux: nuisances, dégâts aux tiers, pollution
12 7. LE NOUVEAU PLAN D ACTIONS 2. Expertise juridique et outils d aide à la décision Application cartographique de gestion des eaux usées à la parcelle (GEUP) GIG. Enquêtes études de zones Réseaux AA Diffusion des résultats des études de zone Registres des raccordements (contrat d égouttage) Registres des PE
13 7. LE NOUVEAU PLAN D ACTIONS 3. Equipements communaux de gestion des eaux - Suivi de projets : maîtrise technique du ruissellement pluvial. Etudes hydrologiques et hydrauliques, plans de zonages pluviaux, AMO investissements (nouveau). - Recensement et référencement des ouvrages pluviaux (nouveau). - Mise en place des modalités d entretien des ouvrages pluviaux (nouveau) : ~ Connaissance et maîtrise des réseaux: cartographie, diagnostiques ~ Entretien et amélioration des réseaux Nouveau : méthodologie, faisabilité d un service aux communes. - Assainissement autonome groupé, aide à la mise en œuvre.
14 7. LE NOUVEAU PLAN D ACTIONS 4. Gestion des eaux à la parcelle - Obligation de raccordement : travaux sur domaine public Nouveau: cahier des charges travaux de raccordement sur domaine public, marchés groupés, suivi des travaux. - Aide à la tenue du registre des raccordements à l égout (contrat d égouttage). - Mise en conformité des bâtiments communaux (nouveau).
15 7. LE NOUVEAU PLAN D ACTIONS 5. Sensibilisation, formation et information - Information, formation et sensibilisation sur les impositions eaux usées et les techniques alternatives de gestion des eaux pluviales (nouveau). - Sensibilisation du public scolaire : fonctionnement des stations d épuration et cycle anthropique de l eau (nouveau). - Mise en conformité des habitations suite aux études de zones (nouveau). - Entretien des systèmes d épuration individuelle (SEI) (nouveau). Vulgarisation de la législation et sensibilisation des propriétaires.
16 7. LE NOUVEAU PLAN D ACTIONS 5. Sensibilisation, formation et information Information, formation et sensibilisation sur les impositions eaux usées et les techniques alternatives de gestion des eaux pluviales (nouveau). Publics cibles: communes (services travaux et environnement), particuliers, maîtres d œuvre, bureaux d études, architectes et professionnels de la construction Séances d information Brochures, articles bulletins communaux Valorisation SEI et plateformes didactiques Guide de bonnes pratiques techniques alternatives (nouveau). Organisation de visites d applications concrètes de techniques alternatives (nouveau).
17 7. LE NOUVEAU PLAN D ACTIONS 5. Sensibilisation, formation et information Sensibilisation du public scolaire : classes d eau (nouveau). Mise en œuvre d animations (1/2 journée) centrées sur la visite d une station d épuration et le cycle anthropique de l eau. Implantation prévue àdampicourt, Arlon, Marche, Bastogne et Libramont.
18 8. LE NOUVEAU PLAN D ACTIONS : LES MOYENS - Les ressources humaines: de 4 agents en 1999 à 7 agents en La cotisation communale : - statuts: 1,24 indexé max. - jusque 2010 : 0,75 indexé. - Les prestations externes rémunérées: - diminution prévue. - Cotisation portée au max. statutaire : 1,24 indexée à partir de 2011.
19 Evolution des sources de financement du service en relation avec ses charges (en milliers d'euros) 600,00 500,00 400,00 300,00 200,00 100,00 0, Projection 2010 Budget 2011 Budget 2012 Budget 2013 Fonds propres AIVE 53,83 9,20 49,57 38,48 27,48 43,86 52,44 55,81 59,29 75,62 52,33 53,03 74,96 Autres recettes 76,52 53,74 72,76 112,07 99,46 28,89 15,50 96,23 151,01 105,19 73,50 73,50 60,00 Cotis ation 189,67 196,51 200,32 204,36 208,38 215,05 222,35 229,84 242,96 245,60 414,18 422,46 430,91
20 9. CONCLUSIONS - Les législations «eaux usées» sont complexes. - La gestion de l eau nécessite une approche transversale et intégrée - La région devrait pouvoir dégager des aides financières pour des actions de sensibilisation, à l instar de ce qui se fait dans la gestion des déchets. - Les avis sur permis représentent une charge de travail importante. - Le CWATUPE doit être adapté pour imposer la prise en compte détaillée de la gestion des eaux usées lors de l élaboration par le demandeur d un dossier de permis d urbanisme. - La gestion des eaux pluviales doit être appréhendée autrement que par le tout au tuyau, notamment par le biais de l adaptation des législations relevant de l aménagement du territoire. - Nécessité d un service de proximité d aide aux communes. - Les organismes d assainissement agréés doivent pouvoir assumer cette mission.
21 Merci de votre attention.
LE PERMIS D ENVIRONNEMENT A 10 ANS Cadre juridique et évolution
LE PERMIS D ENVIRONNEMENT A 10 ANS Cadre juridique et évolution 11 octobre 2012 LES REGLES DU JEU : L ANCIEN ET LE NOUVEAU Introduction Le cadre légal et réglementaire Les principes généraux La liste des
Plus en détailLambotte J.-M. Géographe-Urbaniste. Chercheur au Lepur ULg. Semaine Universitaire Luxembourgeoise de l'environnement - Libramont - 15-11-2011
Aménagement rural et développement durable Dépendance à la voiture en milieu rural : le cas de la Province du Luxembourg Constats, enjeux et pistes de solutions à moyen-long terme via l aménagement du
Plus en détailCap2020 Déjeuner des décideurs 11 octobre 2013. Enseignements suite à la construction d un bâtiment passif
Cap2020 Déjeuner des décideurs 11 octobre 2013 Enseignements suite à la construction d un bâtiment passif Le rôle de l architecte Par Alain Stevens, Chef de Service en maîtrise d ouvrage et construction
Plus en détailProcès-verbal du Conseil Municipal Du 15 décembre 2014
Procès-verbal du Conseil Municipal Du 15 décembre 2014 République Française Département de l Hérault Mairie de Saint-Drézéry 34160 SAINT-DREZERY Membres du Conseil Municipal : 19 Présents : 16 Votants
Plus en détailL eau dans les documents d urbanisme. L approche des solutions environnementales de l urbanisme CAUE 40 26 mai 2011
L eau dans les documents d urbanisme L approche des solutions environnementales de l urbanisme CAUE 40 26 mai 2011 Pourquoi ce guide? Participer à «décloisonner» les services «Environnement Eau» et «Urbanisme»
Plus en détailLES OUTILS DÉVELOPPÉS EN WALLONIE POUR PROMOUVOIR DES MARCHÉS PUBLICS DURABLES
LES OUTILS DÉVELOPPÉS EN WALLONIE POUR PROMOUVOIR DES MARCHÉS PUBLICS DURABLES Colloque sur les achats publics durables 18 novembre 2014 LES OUTILS DÉVELOPPÉS EN WALLONIE POUR PROMOUVOIR DES MARCHÉS PUBLICS
Plus en détailPermis unique pour un data center à VAUX-SUR-SÛRE. - Construction d un centre de données informatiques
AVIS Réf. : CWEDD/13/AV.343 Date : Permis unique pour un data center à VAUX-SUR-SÛRE 1. DONNEES DE BASE Demande : - Permis unique - Rubrique : 63.12.09.03.03 Projet : - Construction d un centre de données
Plus en détailAVIS. Objet : Demande de permis de lotir à Franc- Waret (FERNELMONT) Réf. : CWEDD/05/AV.276. Liège, le 14 mars 2005
AVIS Réf. : CWEDD/05/AV.276 Liège, le 14 mars 2005 Objet : Demande de permis de lotir à Franc- Waret (FERNELMONT) Avis du CWEDD portant sur une demande de permis de lotir à Franc-Waret (FERNELMONT) L avis
Plus en détailLe cheval de trait dans la gestion des espaces verts. Hannia Duvivier Coordinatrice du projet, Wallonie Bois
Le cheval de trait dans la gestion des espaces verts Hannia Duvivier Coordinatrice du projet, Wallonie Bois Action intégrée dans un projet plus large :!! Le cheval de trait au service de la gestion forestière
Plus en détailCOMPTE RENDU SOMMAIRE DU CONSEIL MUNICIPAL
COMPTE RENDU SOMMAIRE DU CONSEIL MUNICIPAL Séance du mercredi 10 Décembre 2014 Après avoir approuvé le compte rendu de la réunion du 12 novembre 2014, le conseil municipal a examiné les dossiers et pris
Plus en détailProcès verbal de la séance du Conseil Communal Du mardi 3 mai 2011
Procès verbal de la séance du Conseil Communal Du mardi 3 mai 2011 Présents MM. JC.MEURENS(AD), Bourgmestre-Président ; E.CABAY(AD), L.STASSEN(AD),et B.STASSEN(AD), membres du Collège communal ; P.PESSER(AD),
Plus en détailroupement d informations géographiques
G roupement d informations géographiques L outil unique pour une gestion cartographique communale complète! Février 2013 Le GIG En bref... Structure juridique Le GIG est un Secteur de l Intercommunale
Plus en détailPASSEPORT POUR LA MISE EN SITUATION PROFESSIONNELLE -MSP- HABILITATION DE L ARCHITECTE DIPLÔMÉ D ÉTAT À EXERCER LA MAITRISE D ŒUVRE EN SON NOM PROPRE
École nationale supérieure d architecture Montpellier PASSEPORT POUR LA MISE EN SITUATION PROFESSIONNELLE -MSP- HABILITATION DE L ARCHITECTE DIPLÔMÉ D ÉTAT À EXERCER LA MAITRISE D ŒUVRE EN SON NOM PROPRE
Plus en détailLe petit livre. des toilettes. Les égouts ne sont pas des poubelles!
Le petit livre des toilettes Les égouts ne sont pas des poubelles! Editeur responsable : B. ANTOINE AIVE Drève de l Arc-en-Ciel 98 6700 ARLON Tél. 063 23 18 11 www.aive.be infoligne@idelux-aive.be janvier
Plus en détailS O M M A I R E. Objet du Marché ARTICLE 1. Pièces constitutives du marché ARTICLE 2. Programme d'étude ARTICLE 3. Délais d exécution ARTICLE 4
S O M M A I R E ARTICLE 1 Objet du Marché ARTICLE 2 Pièces constitutives du marché ARTICLE 3 Programme d'étude ARTICLE 4 Délais d exécution ARTICLE 5 Propriété des études et documents ARTICLE 6 Secret
Plus en détailLe Président, Bordeaux, le 15 septembre 2011
Le Président, Bordeaux, le 15 septembre 2011 Références à rappeler : CM/JPR/RODII/064 036 931 Monsieur le Directeur, Par lettre du 21 janvier 2011, vous avez été informé que la chambre régionale des comptes
Plus en détailLES MODIFICATIONS DE L INSTRUCTION M 14 ET M 4
Décembre 2003 Département Finances Développement Économique LES MODIFICATIONS DE L INSTRUCTION M 14 ET M 4 APPLICABLES A COMPTER DU 1 ER JANVIER 2004 Le Comité de Finances Locales, lors de sa séance du
Plus en détailSéminaire éducation Focus Rythmes scolaires Compte-rendu 11 mars 2014
Séminaire éducation Focus Rythmes scolaires Compte-rendu 11 mars 2014 OUVERTURE DU SEMINAIRE : Bernard Amsalem, Vice-président du CNOSF Etat de l avancée des travaux depuis le dernier séminaire Rappel
Plus en détailMardi 19 mai 2015 20h30-22h30
CONSEIL DE QUARTIER DU CENTRE Mardi 19 mai 2015 20h30-22h30 ORDRE DU JOUR 1- Présentation du budget de la ville 2015 : serré et responsable. 2- Révision du Plan Local d Urbanisme : objectifs, cadre réglementaire
Plus en détailCréation d une coopérative scolaire
Pour créer une coopérative scolaire : Fiche modalités d adhésion Fiche d adhésion Création d une coopérative scolaire Règlement-type d une Coopérative scolaire (à conserver obligatoirement dans les archives
Plus en détailProjet de loi «Engagement national pour l environnement» Guide «simplifié» des principales mesures
Projet de loi «Engagement national pour l environnement» Guide «simplifié» des principales mesures Titre 1 : Bâtiments et urbanisme Chapitre 1 : amélioration de la performance énergétique des bâtiments
Plus en détailRéunion tenue en séance publique sous la présidence de M. DESHAYES Jean-Pierre, Maire.
Le lundi 28 octobre 2013 à 20h00, réunion du Conseil Municipal suivant convocation du 18 octobre 2013 remise ou envoyée aux conseillers municipaux et affichée ce même jour en mairie. Ordre du jour : -
Plus en détailDOL DE BRETAGNE ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2011
DOL DE BRETAGNE ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2011 Février 2011 1 LES ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2011 1. L EVOLUTION DU BUDGET DE FONCTIONNEMENT 2. L ENDETTEMENT 3. LES PERSPECTIVES POUR LES ANNEES A VENIR 4.
Plus en détailVersion définitive approuvée après enquête publique
Secteurs 3 et 4 de Marne-la-Vallée et communes environnantes Phase 3 Version définitive approuvée après enquête publique ROLAND RIBI & ASSOCIES Ingénieurs-conseils et urbanistes s.à.r.l. 15, avenue de
Plus en détailPrescriptions urbanistiques pour l implantation d une petite éolienne
Version du sept. 00 Prescriptions urbanistiques pour l implantation d une petite éolienne VENT La présence d'une éolienne doit être compatible avec les autres affectations de l'espace environnant. C'est
Plus en détailRenforcer la mobilisation du droit commun
Dossier ressources Comprendre le droit commun pour le renforcer dans les quartiers Dans son article 1 er, la loi pour la ville et la cohésion urbaine précise : «La politique de la ville mobilise et adapte,
Plus en détailINTRODUCTION... 2 CALENDRIER... 3 TRAVAUX DE L ANNEE 2004... 4 BUDGET REALISE 2004... 8 ANNEXES... 10
Rapport d avancement des travaux de lla Commiissiion Localle de ll Eau du bassiin du Loiiret ANNÉE 2004 INTRODUCTION... 2 CALENDRIER... 3 TRAVAUX DE L ANNEE 2004... 4 BUDGET REALISE 2004... 8 ANNEXES...
Plus en détailGUIDE DU CO- PROPRIéTAIRE
GUIDE DU CO- PROPRIéTAIRE Avril 2013 Sommaire SYNDIC DE COPROPRIÉTÉ 6 FONCTIONNEMENT ET VIE DE LA COPROPRIÉTÉ Quel est son rôle? Comment est rémunéré votre syndic? Les différents acteurs Assemblée Générale
Plus en détailREGLEMENT DE LA CONSULTATION (RC)
MARCHE PUBLIC DE PRESTATIONS INTELLECTUELLES REGLEMENT DE LA CONSULTATION (RC) COMMUNE DE TRAMOLE Pouvoir adjudicateur exerçant la maîtrise d'ouvrage Personne Responsable du Marché représentant le pouvoir
Plus en détailJournée d information du 5 novembre 2012. Mobilité Multimodale Intelligente Urbanisme, tourisme, logistique urbaine. économiques
Journée d information du 5 novembre 2012 Mobilité Multimodale Intelligente Urbanisme, tourisme, logistique urbaine économiques Gabrielle LABESCAT Principales tendances du tourisme urbain impactant la mobilité
Plus en détailDISPOSITIONS APPLICABLES A LA ZONE N
DISPOSITIONS APPLICABLES A LA ZONE N CARACTERE DE LA ZONE Zone faisant l objet d une protection en raison soit de la qualité des sites, des milieux naturels, des paysages et de leur intérêt notamment du
Plus en détailTAXES & PARTICIPATIONS : quelques outils à la disposition des communes
TAXES & PARTICIPATIONS : quelques outils à la disposition des communes La loi n 2000-1028 du 13 décembre 2000 relative à la solidarité et au renouvellement urbain, dite «loi SRU», avait instauré une participation
Plus en détailDate de la convocation : 22 juillet 2014
L an deux mille quatorze, le 29 juillet, à 19h30, Le Conseil Communautaire de la Communauté de Communes du Beaufortain s est réuni en session ordinaire à Beaufort au siège de la Communauté de Communes,
Plus en détailCONTRAT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION
Direction de la ville et de la cohésion urbaine CONTRATT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION Proposition d architecture Novembre 2014 Les contrats de ville de nouvelle génération qui succèderont, à compter
Plus en détailCOMPTE RENDU Conseil Municipal Du 11 Octobre 2010 à 18 heures
COMPTE RENDU Conseil Municipal Du Octobre 200 à 8 heures Présents : DURAND, SALTET, PATRINOS, GRELLIER, THION, CRISTIANI, ABRIC, BLANC, MARTIN, ISZEZUK Absents excuses : CABRILLAC (procuration à SALTET),
Plus en détailROYAUME DU MAROC AGENCE DU BASSIN HYDRAULIQUE DU LOUKKOS
ROYAUME DU MAROC AGENCE DU BASSIN HYDRAULIQUE DU LOUKKOS Plan de Communication Opérationnel de l Agence du Bassin Hydraulique du Loukkos 1 PLAN 1. Analyse de l environnement 2. l environnement externe
Plus en détailCode du Patrimoine. Loi du 15 juillet 2008. Décembre 2009. Archives courantes
FICHE ARCHIVES N 2 LE CLASSEMENT DES ARCHIVES COURANTES Archives courantes Conseils en matière de classement (principalement pour les communes) 1. Choisir le bon conditionnement 2. Quelques conseils de
Plus en détailARLON BEMBEREKE (BENIN) Partenariat 2009-2012 Présentation synthétique
ARLON BEMBEREKE (BENIN) Partenariat 2009-2012 Présentation synthétique Partenariat ARLON BEMBEREKE RECAP 02 2013 avec photos 1. La politique de coopération de la commune d ARLON et le partenariat ARLON-BEMBEREKE
Plus en détailMme Élise MOURA souhaite que soient remis dans la délibération les tarifs du marché comportant l abonnement annuel.
COMPTE-RENDU DU CONSEIL MUNICIPAL L an deux mil douze, le treize novembre, le Conseil Municipal de la Commune du Porge, dûment convoqué s est réuni en séance ordinaire, à la Mairie, sous la présidence
Plus en détailPRESENTATION ETABLISSEMENT PUBLIC FONCIER LOCAL DE LA MARTINIQUE
PRESENTATION ETABLISSEMENT PUBLIC FONCIER LOCAL DE LA MARTINIQUE Statuts - Organisation Etablissement Public Industriel et Commercial (EPIC) (pas de compétence d aménagement mais peut mettre en place des
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
1 er juin 2011 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 8 sur 152 Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE L ÉCOLOGIE, DU DÉVELOPPEMENT DURABLE, DES TRANSPORTS ET DU LOGEMENT
Plus en détailLe permis d environnement
Le permis d environnement en Région wallonne guide pratique pour les délégués syndicaux Camille DERMONNE, Institut Eco-Conseil Le permis d environnement en Région wallonne Conscients des difficultés de
Plus en détailLa simulation visuelle des projets à Gerpinnes
Les fiches d aménagement rural La simulation visuelle des projets à Gerpinnes Quand développement rural rime avec aménagement du territoire, urbanisme, architecture et patrimoine! 6 Gerpinnes L hôtel communal
Plus en détailIntroduction Frédéric PETITBON Un contexte difficile Nicolas PERNOT
Introduction Frédéric PETITBON Directeur général délégué, IDRH Les collectivités doivent à la fois respecter des engagements vis-à-vis des citoyens, poursuivre des démarches managériales et tenir compte
Plus en détailMercredi 10 juin 2015 20h30-22h30
CONSEIL DE QUARTIER DU GUICHET Mercredi 10 juin 2015 20h30-22h30 ORDRE DU JOUR 1- Présentation du budget de la ville 2015 : serré et responsable. 2- Révision du Plan Local d Urbanisme : objectifs, cadre
Plus en détailPréparation des contrats de ville. Réunions Chefs de projet Novembre 2014
Préparation des contrats de ville Réunions Chefs de projet Novembre 2014 Contenu des contrats de ville 3 piliers Cohésion sociale Cadre de vie et renouvellement urbain (y compris hors NPNRU) Développement
Plus en détailRECUEIL DE LEGISLATION. S o m m a i r e INTERMEDIAIRES D ASSURANCES ET DE REASSURANCES
MEMORIAL Journal Officiel du Grand-Duché de Luxembourg 3013 MEMORIAL Amtsblatt des Großherzogtums Luxemburg RECUEIL DE LEGISLATION A N 188 2 décembre 2005 S o m m a i r e INTERMEDIAIRES D ASSURANCES ET
Plus en détailSommaire INTRODUCTION... 2. 1/ Le contexte général de la commune...3. 2/ L état des réseaux...3. 3/ Le diagnostic des ouvrages d épuration...
1 Sommaire INTRODUCTION... 2 1/ Le contexte général de la commune...3 2/ L état des réseaux...3 3/ Le diagnostic des ouvrages d épuration...3 4/ Les solutions retenues par la commune...5 CONCLUSION Carte
Plus en détailDEPARTEMENT DU BAS-RHIN ARRONDISSEMENT DE SAVERNE COMMUNE DE HURTIGHEIM
DEPARTEMENT DU BAS-RHIN ARRONDISSEMENT DE SAVERNE COMMUNE DE HURTIGHEIM PROCES VERBAL DE LA REUNION DU CONSEIL MUNICIPAL Date de la convocation : 24 mars 2015 SEANCE DU : 30 MARS 2015 Membres présents
Plus en détailREUNION DU CONSEIL MUNICIPAL SEANCE ORDINAIRE DU 19 OCTOBRE 2012. *************
REUNION DU CONSEIL MUNICIPAL SEANCE ORDINAIRE DU 19 OCTOBRE 2012. ************* ETAIENT PRESENTS : Messieurs VIAULT G., Maire ; OLLAR Ph., ROUSSEAU Ch., DUFOUR T., Adjoints ; BOURBONNAIS O., Mmes NOBLET
Plus en détailCONSEIL MUNICIPAL DU 10 DECEMBRE 2012
CONSEIL MUNICIPAL DU 10 DECEMBRE 2012 Le CONSEIL MUNICIPAL, appelé à siéger régulièrement par l envoi d une convocation mentionnant l ordre du jour, accompagnée des rapports subséquents et adressée au
Plus en détailCahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré
Cahier des charges pour le tutorat d un professeur du second degré Référence : Circulaire n 2010-037 du 25 février 2010 relative au dispositif d'accueil, d'accompagnement et de formation des enseignants
Plus en détailCOMPTE-RENDU DE LA SEANCE DU CONSEIL MUNICIPAL DU 26 JANVIER 2011
MAIRIE DE MOISSELLES 5, rue du Moutier 95570 MOISSELLES Tél : 01 39 91 05 72 Fax : 01 39 35 15 09 mairie.moisselles@orange.fr COMPTE-RENDU DE LA SEANCE DU CONSEIL MUNICIPAL DU 26 JANVIER 2011 Présents
Plus en détailCECOP. Centre d études et de connaissances sur l opinion publique. Les Français, leur épargne et leur retraite
CECOP Centre d études et de connaissances sur l opinion publique Les Français, leur épargne et leur retraite FD/EP N 113015 Contacts Ifop : Frédéric Dabi / Esteban Pratviel Département Opinion et Stratégies
Plus en détailCOMMUNE DE CALVISSON
3. CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES (C.C.T.P) ET ANNEXES COMMUNE DE CALVISSON SCHEMA DIRECTEUR ET ZONAGE D ASSAINISSEMENT INFRAMED INGENIEURS CONSEILS L orée des mas Bâtiment les Lauriers Avenue
Plus en détailRèglement organique d un fonds provincial d études
Interventions sociales Règlement organique d un fonds provincial d études BENEFICIAIRES Article 1 er Le fonds est destiné à octroyer les prêts à des jeunes gens bénéficiant ou non d une bourse d études
Plus en détailIngénierie et action foncière. Janvier 2014
ANJOU PORTAGE FONCIER Ingénierie et action foncière dans la Politique Départementale de l Habitat Janvier 2014 Les outils d action foncière et td d urbanisme durable du PDH Une phase d étude préalable
Plus en détailMissions du stage. Informations maître de stage. Les conditions du stage
1 Missions du stage Objectifs : Mise en œuvre opérationnelle de la cartothèque interservices, au sein de la Direction de l Urbanisme et de l Habitat de la Communauté d Agglomération de Montpellier Centre.
Plus en détailLEVET COMMUNE DE LEVET
LEVET COMMUNE DE LEVET Conseil Municipal du 4 juin 2015 Le Compte Administratif présenté aujourd hui découle de la gestion de l exercice 2014 : il constitue notre socle de gestion pour l avenir. Compte
Plus en détailBÂTIMENTS / TRAVAUX PUBLICS TRANSPORT, SERVICES ET COMMERCE INTERNATIONAL
BÂTIMENTS / TRAVAUX PUBLICS TRANSPORT, SERVICES ET COMMERCE INTERNATIONAL A. PRÉSENTATION : BEST ENTREPRISE SARL est une société de droit sénégalais qui intervient dans les Bâtiments/Travaux Publics, le
Plus en détailDépenses garanties en Assurance prospection
NOTICE EXPLICATIVE Dépenses garanties en Assurance prospection Les dépenses garanties en Assurance prospection sont des frais spécifiques et doivent correspondre à des dépenses nouvelles (par opposition
Plus en détailCahier des Clauses techniquesparticulières
ARCHES PUBLICS MAIRIE DE BASTIA Avenue Pierre Guidicelli 20410 BASTIA CEDEX MARCHE D ETUDES A MAITRISE D OUVRAGE EN VUE DE L ORIENTATION ET DU DEVELOPPEMENT DU SYTEME D INFORMATION GEOGRAPHIQUE SERVICE
Plus en détailL image satellite : simple effet de mode ou. apport réel?
Comment suivre les évolutions urbaines? L image satellite : simple effet de mode ou apport réel? Pierre ALBERT Scot Pierre ALBERT L image satellite : simple effet de mode ou apport réel? 29/10/04 1 Plan
Plus en détailautonome loi 1901 A. CREATION DE L ASSOCIATION Une Coopérative scolaire peut se constituer en Association autonome.
INFORMATIONS LEGALES ET REGLEMENTAIRES EN MATIERE DE FONCTIONNEMENT D'UNE COOPERATIVE SCOLAIRE SELON LA FORME JURIDIQUE (Circ. n 2008-095 du 23/07/2008) Association : ce que dit la loi 1901 La Constitution
Plus en détailCONSEIL MUNICIPAL Séance Publique du 28 avril 2015 Compte-rendu
CONSEIL MUNICIPAL Séance Publique du 28 avril 2015 Compte-rendu Le Conseil Municipal de la Commune de Poisy, dûment convoqué, s est réuni en séance publique le 28 avril 2015, à 20 heures, sous la présidence
Plus en détailFormulaire de déclaration du risque Assurance DRONE Responsabilité Civile Assurance Corps
Assurances DECOTTIGNIES 22 rue du Général Leclerc 02600 VILLERS COTTERETS Tél : 03 23 55 10 22 Fax : 03 51 08 11 45 Email : assurances.decottignies@gmail.com Site web : http://www.assurance-decottignies.fr/
Plus en détailCédric Gendre Inra, ESR Toulouse
ODR, Bases de données administratives à différentes échelles spatiales Cédric Gendre Inra, ESR Toulouse 2èmes journées de recherches en sciences sociales INRA SFER CIRAD 11 & 12 décembre 2008 LILLE, France
Plus en détailP0 AUTO-ENTREPRENEUR DECLARATION DE DEBUT D'ACTIVITE RESERVE AU CFE U
P0 AUTO-ENTREPRENEUR DECLARATION DE DEBUT D'ACTIVITE RESERVE AU CFE U PERSONNE PHYSIQUE Début d'activité profession libérale Exemplaire destiné au Déclarant Déclaration n U6701I991150 reçue le transmise
Plus en détailResponsabilité Civile Professionnelle et Décennale Architectes et Bureaux d Etudes QUESTIONNAIRE. 4. Forme sociale : Code APE : N SIRET :
Responsabilité Civile Professionnelle et Décennale Architectes et Bureaux d Etudes QUESTIONNAIRE 1. Assuré : Nom ou Raison sociale : 2. Adresse (siège social) : Téléphone : Fax : E-mail : 3. Date du début
Plus en détailEXTRAIT DU REGISTRE DES DELIBERATIONS DU CONSEIL SEANCE DU 14 DECEMBRE 2012. Au 5 Cité de la Traverse - la salle de la Traverse - Poitiers
En vertu des articles L.2131-1, L.5211-2 et L.5211-3 du CGCT, le Président de la Communauté d Agglomération Grand Poitiers atteste que le présent acte a été affiché, transmis en Préfecture le. et/ou notifié
Plus en détailAVIS D APPEL PUBLIC A LA CONCURRENCE VILLE DE FAGNIERES
AVIS D APPEL PUBLIC A LA CONCURRENCE VILLE DE FAGNIERES 1) OBJET DUREE ET DISPOSITIONS GENERALES a. OBJET DU MARCHE Marché pour la souscription d'un contrat d'assistance à la maîtrise d'ouvrage concernant
Plus en détailGESTION DE PROJET. www.ziggourat.com - Tél : 01 44 61 96 00 N enregistrement formation : 11752861675
GESTION DE PROJET www.ziggourat.com - Tél : 01 44 61 96 00 N enregistrement formation : 11752861675 Introduction à la Gestion de Projet... 3 Management de Projet... 4 Gestion de Projet informatique...
Plus en détailSchéma général d assainissement du Grand Lyon
Schéma général d assainissement du Grand Lyon 2015-2027 ORIENTATIONS ET ENJEUX Introduction générale Le Code général des collectivités territoriales oblige les collectivités de plus de 2 000 habitants
Plus en détailAVIS. Objet : Demande de permis unique relative à l aménagement d un complexe sportif sur le domaine du Bois-Saint-Jean au Sart Tilman à LIEGE
AVIS Réf. : CWEDD/05/AV.392 Liège, le 11 avril 2005 Objet : Demande de permis unique relative à l aménagement d un complexe sportif sur le domaine du Bois-Saint-Jean au Sart Tilman à LIEGE Avis du CWEDD
Plus en détailDes îlots de verdure. sur les TOITURES
Des îlots de verdure sur les TOITURES L augmentation des surfaces imperméables, comme les routes, les parkings, les bâtiments et la raréfaction des espaces verts en ville est un constat indéniable. Les
Plus en détailCharte d exploitation et de demande d accès aux Géoservices. Plateforme Territoriale GUYANE SIG
Charte d exploitation et de demande d accès aux Géoservices Plateforme Territoriale GUYANE SIG 25/02/2014 SOMMAIRE 1. LEXIQUE... 3 2. DEFINITION... 3 3. DOMAINE D APPLICATION... 3 A. Objet... 3 B. Bénéficiaires...
Plus en détailCharte de Qualité. Les Plus Beaux Villages de Wallonie. Association sans but lucratif
Charte de Qualité Les Plus Beaux Villages de Wallonie Association sans but lucratif L appellation «Les Plus Beaux Villages de Wallonie» est une marque déposée que seules les communes ou Association locales
Plus en détailDemande d examen au cas par cas préalable à la réalisation d une étude d impact
Demande d examen au cas par cas préalable à la réalisation d une étude d impact Article R. 122-3 du code de l environnement N 14734*02 Ministère chargé de l'environnement Ce formulaire n est pas applicable
Plus en détailINNOVATION ET HABITAT PARTICIPATIF :
INNOVATION ET HABITAT PARTICIPATIF : Complément au chapitre VII «Valorisation du Patrimoine Régional et Projets Innovants» du cadre d intervention régional sur l habitat et le logement, adopté par délibération
Plus en détailPLAN LOCAL D'URBANISME COMMUNE DE RONCHEROLLES SUR LE VIVIER
PLAN LOCAL D'URBANISME COMMUNE DE RONCHEROLLES SUR LE VIVIER Orientations d'aménagement et de Programmation Rapport Agence Urbanités- agence DSM 1 Préambule Dans le cadre de la révision générale du PLU
Plus en détail1. BESOINS DE LA SOCIETE SO.BA.MA.T
1. BESOINS DE LA SOCIETE SO.BA.MA.T 2. RECHERCHE DE SITES 2.1 Les objectifs 2.2 Les contraintes environnementales liés à l aménagement du territoire liées au transport liés aux documents d urbanisme 3.
Plus en détailPrésentation du Programme
Ministère de l Hydraulique et de l Assainissement République du Sénégal ATELIER DE LANCEMENT SECTORIEL EAU-ASSAINISSEMENT Jeudi 25 septembre 2014, King Fahd Palace Hôtel - Dakar Présentation du Programme
Plus en détailBudget participatif des lycées. Règlement d intervention
3 CR 72-12 Budget participatif des lycées Règlement d intervention Préambule : La mise en œuvre du budget participatif des lycées manifeste la volonté de la région de poursuivre la démarche de dialogue
Plus en détailGRILLE DE PRESENTATION D ACTIONS 1 COMITE OPERATIONNEL N 34
GRILLE DE PRESENTATION D ACTIONS 1 COMITE OPERATIONNEL N 34 Organisme / entreprise : CFEEDD I/ RAPPEL DE LA MISSION Comité opérationnel n 34 «Sensibilisation, information et formation du public aux questions
Plus en détailMARDI 3 JUILLET 2007 à 15 H 00. À la Salle Polyvalente de Ravières
Tonnerre, le 25 juin 2007 N/Réf. : MD/RLC/CR/DB/07-0274 Objet : Réunion du Comité Syndical Madame, Monsieur, J ai l honneur de vous demander de bien vouloir assister à la réunion du Comité Syndical qui
Plus en détailUE5 Mise en situation professionnelle M1 et M2. Note de cadrage Master MEEF enseignement Mention second degré
UE5 Mise en situation professionnelle M1 et M2 Note de cadrage Master MEEF enseignement Mention second degré ESPE Lille Nord de France Année 2014-2015 Cette note de cadrage a pour but d aider les collègues
Plus en détailTEXTE ADOPTE no 511 Petite loi ASSEMBLEE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 ONZIEME LEGISLATURE SESSION ORDINAIRE DE 1999-2000 23 mai 2000 PROJET DE LOI ADOPTE PAR L ASSEMBLEE NATIONALE EN NOUVELLE
Plus en détailVILLE DE CRUSEILLES (Haute-Savoie)
VILLE DE CRUSEILLES (Haute-Savoie) CONSEIL MUNICIPAL DU 03 SEPTEMBRE 2015 NOTE DE SYNTHESE PERSONNEL 1- Personnel du service Animation : Augmentation du temps de travail 2- Suppression et création d un
Plus en détailCe document sera validé par le prochain conseil, il est donc susceptible de modification ou rectification
Ce document sera validé par le prochain conseil, il est donc susceptible de modification ou rectification COMPTE-RENDU DE LA REUNION DU CONSEIL MUNICIPAL Du 26 septembre 2014 à 20h30 L'AN DEUX MIL QUATORZE,
Plus en détailClôture des comptes de la coopérative scolaire OCCE Liste des opérations à effectuer
Clôture des comptes de la coopérative scolaire OCCE Liste des opérations à effectuer I - Comptes établis avec le cahier de comptabilité 1. Calculer la situation générale (colonne 14). 2. Totaliser les
Plus en détailMAIRIE DE BRENNILIS LE BOURG 29690 BRENNILIS EXTRAIT DU REGISTRE DES DÉLIBÉRATIONS DU CONSEIL MUNICIPAL DE BRENNILIS.
MAIRIE DE BRENNILIS LE BOURG 29690 BRENNILIS EXTRAIT DU REGISTRE DES DÉLIBÉRATIONS DU CONSEIL MUNICIPAL DE BRENNILIS. L'an deux mille douze, le 7 janvier à 10h30. Le Conseil Municipal de BRENNILIS, dûment
Plus en détailPréparer le fond de plan
Préparer le fond de plan Objectif et résultat attendu L opération d adressage doit être précédée d un travail préparatoire qui consiste à récupérer un maximum d informations urbaines et géographiques sur
Plus en détailLOCALITÉ DE CLEMENCY ZONES CENTRALES -TYPE 12
PROJET D AMÉNAGEMENT PARTICULIER DE LA COMMUNE DE KÄERJENG PROJET D AMÉNAGEMENT PARTICULIER - QUARTIER EXISTANT DE LA COMMUNE DE KÄERJENG LOCALITÉ DE CLEMENCY ZONES CENTRALES -TYPE 12 VERSION POUR AVIS
Plus en détailREFERENCES 2015. Un toit d immeuble est un foncier qui s ignore.
REFERENCES 2015 Un toit d immeuble est un foncier qui s ignore. www.rehausseparisenne.com 01 42 06 05 21 27 rue David d Angers 75019 PARIS Maitrise d Œuvre PRINVAULT architectes 10 logements + 2 commerces
Plus en détailContrat d'engagement pour chef de chœur
Union Suisse des chorales Contrat d'engagement pour chef de chœur Entre (Chœur) Et (chef de chœur) 1. Madame / Monsieur assure la direction musicale de /du choeur 2. L année chorale commence en règle générale
Plus en détailLe Plan Départemental de l Eau
de l Eau CG1/PIADDT/DAE/MD-LS-9/05/009 de l Eau Son organisation schématique va s appuyer sur : 1. Les infrastructures existantes d intérêt départemental,. Les schémas directeurs territoriaux, 3. Des maillages
Plus en détailLOI ALUR Copropriétés dégradées prévention et traitement
LOI ALUR Copropriétés prévention et traitement Ministère Copropriétés les principales dispositions de la loi Alur Prévention de l endettement et de la dégradation Traitement curatif Prévention de l endettement
Plus en détailSéance du Conseil Municipal du 27/06/2013
Direction Générale Développement / Direction du Développement urbain Question n 182 Direction de l'urbanisme REF : DU2013027 Signataire : SM/NL Séance du Conseil Municipal du 27/06/2013 RAPPORTEUR : Jean-Yves
Plus en détail