quelles douleurs? chez quelles espèces?
|
|
- Josiane Sergerie
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 quelles douleurs? chez quelles espèces? Jacques-Gabriel Servière INRA-AgroParisTech Douleurs animales les identifier, les comprendre, les limiter chez les animaux d élevage Rapport final d expertise 8 décembre 2009, Paris Organisation Mondiale de la Santé animale 1
2 définition de la douleur transposée à l animal La douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle aversive, représentée par la «conscience» («awareness») que l animal a de la rupture ou de la menace de rupture de l intégrité de ses tissus. stimuli nociceptifs expérimentation ou élevage Schéma fonctionnel de la douleur, une sensation plurimodale SENSATION réponses comportement neuroendocrine nerveuse (autonome + somatomoteur) COGNITION douleur = expérience subjective EMOTION motivation milieu physique & social évaluation expérience précoce conditionnements mémoire 2
3 Anatomie schématique des voies nerveuses de la douleur Fig. 4 Chap. 2 Télen-céphale Dien-céphale Cortex limbique Cx insulaire Amygdale Cortex S1, S2 Thalamus ( latéral + médian ) Hypothalamus Mésen-céphale substance grise périacqueducale Pons formation réticulée Bulbe «voie médiane» lente, diffuse composante désagréable, aversive : EMOTION Moelle épinière fibres Aδ fibres C nocicepteurs CONSCIENCE sensorielle «voie latérale» rapide, précise composante discriminative, analytique : SENSATION Réponses motrices 3
4 Douleur : chez quelles espèces? Mammifères - modèles = Méthode primates, rongeurs Comparer voies et centres nerveux de la douleur - Question? vache, chèvre, mouton schéma de base établi chez primates porc (+ homme) et rongeurs lapin homologies de structures pour niveau sensation, cognition, Oiseaux poule, dinde, pintade, oie Reptiles conscience phénoménale? Amphibiens grenouille Poissons (23000 espèces) truite, saumon, carpe Mollusques échappement-protection céphalopodes= signe de nociception pieuvre, calamar ou/et douleur? Comparer les comportements quelles manifestations émotionnelles associées? quels niveaux de conscience sensorielle (phénoménale)? Chapitre 2 Douleurs humaines, Douleurs animales. Conclusions Chapitre Pas de douleur sans composante émotionnelle : douleur = émotion primordiale? (soif, besoin de sommeil ) 2 - Sensibilité nociceptive modulable par composantes affectives, relations sociales 3 - Controverses scientifiques sur : limites de la «conscience» chez les différentes espèces 4 Besoin de recherches pour approfondir les arguments phylogénétiques ESCo Douleur Animale 4
5 Douleur : chez quelles espèces? Mammifères modèles : primates, rongeurs Questions pour Oiseaux Reptiles Amphibiens Poissons (23000 espèces) Mollusques céphalopodes vache, mouton, chèvre porc lapin poule, dinde, canard, oie grenouille truite, saumon, carpe pieuvre, calamar???? Chapitre 2 Douleurs animales. ESCo Douleur Animale Évolution anatomique des structures nerveuses centrales 5
6 a m n i o t e s C o r t e x c o m p l e x i t é d e la v i e Vie aérienne Vie aquatique..... Dopamine ==> renforcement positif Mormydés poisson électrique Cichlidés scalaire, discus Salmonidés Cyprinidés carpe Gallinacés Corvidés Psittacidés 6
7 Homologies de structures d encéphales humain, oiseau, poulpe Humain Poisson Zebra finch Poulpe 7
8 Douleur chez les Oiseaux? - argument de l anatomie comparée des structures - expression de comportements de protection (ex. boiteries + effets analgésiques) de type émotionnel (peur conditionnée = émotion?) mais souvent indissociable réponse au stress mais Pb interprétation expérience : cf ablation du cortex chez la poule? «conscience» sensorielle primaire (phénoménale) : cas de la peur conditionnée + diversité des espèces (poule, canards corvidés ) ESCo Douleur Animale 8
9 Douleur chez les Poissons? - Argument sur mécanismes élémentaires de nociception (nocicepteurs oui mais pas de sensibilisation ) - Argument sur comportements évocateurs d une perception nociceptive (fuite, évitement) supprimés par des analgésiques comportements émotionnels (peur conditionnée) - Argument de capacité d apprentissage et mémorisation mais seulement 2 espèces étudiées (télostéens) sur fortes disparités performances comportementales mais études majoritaires sur le stress et pas sur la nociception ou la douleur ESCo Douleur Animale pistes de réflexion et de travail (1) 9
10 Contrôle Attentionnel asscendant Modulation de la Douleur par l ATTENTION toujours considérer la douleur dans le cadre de l action en cours (action, tâche perceptive, intention d action ) si une douleur survient lors de la poursuite d un but X elle peut momentanément capter l attention bien que sans rapport avec le but poursuivi la Capture de l attention est fonction de l action en cours l Attention à la douleur peut être pilotée par le but X si ce but est lié au contrôle de la douleur : alors l attention se focalise alors sur les informations douloureuses Mémoire de Travail Cibles cognitives capture d attention Ajustement attentionnel Charge attentionnelle Attention centrale Contrôle attentionnel descendant détecteurs de saillance Milieu de vie de l animal 10
11 pistes de réflexion et de travail chez les Mammifères : (2) privilégier les situations sans atteinte corporelle valider et favoriser l utilisation d antalgiques et d anti-inflammatoires promouvoir formations et travail sur réglementation chez les Oiseaux : travail d amont : identification «d émotions», de leurs substrats neurologiques au travers de comportements (fuite, attrait ) + identification de populations neuronales valider et favoriser l utilisation d antalgiques et d anti-inflammatoires pistes de réflexion et de travail (2) chez les Poissons : travail d amont : identification des «émotions» prospective sur faisabilité de pratiques minimisant l impact de modifications brusques du milieu 11
& Que choisir. favoriser le bien-être
Label Rouge & Agriculture Biologique Que choisir pour favoriser le bien-être des animaux? Un guide des tiné au consommateur Protection mondiale des animaux de ferme Ce petit guide a pour objectif d aider
Plus en détailDemande d autorisation de faire du commerce d animaux
Demande d autorisation de faire du commerce d animaux 1 Autorité et auteur de la demande 1.1 Adresse du service cantonal de la protection des animaux (adresse d envoi): 1.2 Nom et adresse de la personne
Plus en détailDemande d autorisation de faire une tournée pour des cirques itinérants détenant des animaux sauvages
Demande d autorisation de faire une tournée pour des cirques itinérants détenant des animaux sauvages Première tournée / premier spectacle Nouvelle tournée / nouveau spectacle Entrée en Suisse de l étranger
Plus en détailRésultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2014
Résultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2014 Monitoring actif dans l avifaune sauvage En 2014, dans le cadre du monitoring actif, 3.036 oiseaux sauvages ont été échantillonnés.
Plus en détailRésultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2013
Résultats du monitoring de la grippe aviaire au cours de l année 2013 Monitoring actif dans l avifaune sauvage En 2013, dans le cadre du monitoring actif, 3.181 oiseaux sauvages ont été échantillonnés.
Plus en détailAssiette mini. 600 SMIC 1 plafond
Social : La protection sociale 1- L affiliation au régime non salarié agricole J exerce une activité agricole < 5 ha J assure la direction de l entreprise (ou 1/8 SMI) J en tire des revenus professionnels
Plus en détailGROUPE CASINO. L INTEGRATION DU DEVELOPPEMENT DURABLE DANS LE CHOIX DES PRODUITS. Claudine QUENTEL et Philippe IMBERT.02.07.
GROUPE CASINO. L INTEGRATION DU DEVELOPPEMENT DURABLE DANS LE CHOIX DES PRODUITS Claudine QUENTEL et Philippe IMBERT.02.07.2007/Uniagro Sommaire ORGANISATION DU GROUPE CASINO LES PRODUITS «TERRE ET SAVEUR»
Plus en détailLe bien-être animal : fiction ou réalité?
Le bien-être animal : fiction ou réalité? Par Daniel-Mercier Gouin Coll. Denis Beaudoin Définition Plan de la présentation Le point sur la réglementation ici et ailleurs Les implications opérationnelles
Plus en détailÉCOLE : cycle 3 (CM2) Sciences de la vie et de la Terre S INFORMER : organiser l information Classer, trier, assembler, grouper, distinguer
NIVEAU DISCIPLINE CAPACITÉ COMPÉTENCE MOTS CLÉS ÉCOLE : cycle 3 (CM2) Sciences de la vie et de la Terre S INFORMER : organiser l information Classer, trier, assembler, grouper, distinguer 1. TITRE : TRIER
Plus en détailDictée : le son [ a ]
Français Dictée : le son [ a ] son 1 1- Les mots et les fiches élèves. 1. un ami 2. une carapace 3. un lapin 4. mardi 5. samedi 6. nager 7. la classe 8. un cartable 9. avec 2- La dictée du jeudi. Samedi,
Plus en détailDomaine National de Saint-Cloud
Fiche Balade Situé à l'ouest de Paris, le domaine national de Saint-Cloud ouvre chaque jour au public ses 460 hectares d'espaces préservés offrant des panoramas exceptionnels sur la capitale. Vous y trouverez
Plus en détailCENTRE DE RECHERCHE EN SCIENCES ANIMALES DE DESCHAMBAULT. Plan HACCP bœuf qualité plus pour les bovins de boucherie
CENTRE DE RECHERCHE EN SCIENCES ANIMALES DE DESCHAMBAULT Plan HACCP bœuf qualité plus pour les bovins de boucherie Voici le Programme de salubrité des aliments à la ferme pour le bœuf- Bœuf Qualité Plus-
Plus en détailViande, lipides & Alimentation
F O C U S Viande, lipides & Alimentation équilibrée Health and Food FOCUS est un dossier de Health and Food, bulletin nutritionnel destiné au corps médical, une publication de Sciences Today - Editeur
Plus en détailAgri-stabilité GUIDE DE DÉCLARATION DES UNITÉS PRODUCTIVES 2012
Ce guide contient toutes les informations nécessaires pour déclarer vos unités productives pour l année de participation 2012. Guide de déclaration des unités productives...p. 3 Liste des unités productives...p.
Plus en détailFiche technique n 1 : le logement construction des boxes.
Bâtiments d élevage : Pourquoi? Aspects climatiques : Fiche technique n 1 : le logement construction des boxes. - le porc est sensible aux brusques changements du climat, - surexposition au soleil : déshydratation
Plus en détailCéphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris
Céphalées de tension Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalée de tension : une maladie hétérogène La plus fréquente des céphalées primaires Diagnostic basé sur l interrogatoire Manque de spécificité
Plus en détailCONSERVATION DU PATRIMOINE VIVANT DU MARAIS POITEVIN ENJEUX ET PERSPECTIVES. CREGENE: 2 rue de l église 79510 COULON 05 49 35 15 40 cregene@gmail.
CONSERVATION DU PATRIMOINE VIVANT DU MARAIS POITEVIN ENJEUX ET PERSPECTIVES CREGENE: 2 rue de l église 79510 COULON 05 49 35 15 40 cregene@gmail.com Espèces locales et territoire, un destin commun? Pâturage
Plus en détailNarrateur : Paillasson le cochon Auteur : Protection mondiale des animaux de ferme (PMAF)
Les animaux et nous Ils vivent autour de toi, te tiennent compagnie ou produisent ce que tu manges mais est-ce que tu les connais? Narrateur : Paillasson le cochon Auteur : Protection mondiale des animaux
Plus en détailRépublique de Côte d Ivoire NOTE D INFORMATION UN INSTRUMENT PROFESSIONNEL AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET DES FILIERES DE PRODUCTION
République de Côte d Ivoire NOTE D INFORMATION UN INSTRUMENT PROFESSIONNEL AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET DES FILIERES DE PRODUCTION Investir pour le futur Anticiper - Innover 01 BP 3726 ABIDJAN
Plus en détailQuand la peur nous prend, qu est-ce qu elle nous prend? Vivre la crainte, l inquiétude, la panique, l affolement ou la terreur; la peur est
Quand la peur nous prend, qu est-ce qu elle nous prend? Vivre la crainte, l inquiétude, la panique, l affolement ou la terreur; la peur est une émotion à la fois si commune et si unique que la langue française
Plus en détailMINISTERE DE L'AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT (articles L361-1à 21 et D361-1 à R361-37 du Code rural)
MINISTERE DE L'AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT (articles L3611à 21 et D3611 à R36137 du Code rural) DEMANDE D INDEMNISATION DES PERTES PROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES PERTES DE RECOLTE
Plus en détailModule Les animaux Animation Le monde de l étang
Module Les animaux Animation Le monde de l étang Animations nature à l école de Pinchat, Veyrier, février à juin 2014, classes de 8P AVANT L ANIMATION 1. Préparation des élèves avant l animation - Lire
Plus en détailCompréhension de lecture
o Coche pour indiquer si les phrases sont es ou o Paul et Virginie sont assis sur des fauteuils très confortables. o Virginie a une robe à pois. o Paul boit un café fumant dans une tasse rouge. o Virginie
Plus en détailEtat des lieux et perspectives
Etat des lieux et perspectives du secteur de l accouvage en France 1. Méthodologie 1.1. Analyse bibliographique Un important travail bibliographique a permis de recenser l ensemble des données statistiques
Plus en détailLes oiseaux migrateurs en recherche
Les oiseaux migrateurs en recherche Formation des utilisateurs d animaux Dernière mise à jour : Avril 2008 Objectifs du module Fournir une introduction aux considérations juridiques, éthiques et de sécurité
Plus en détailPRÉPARATION AU TEST! CULTURE INTERNATIONAL CLUB
Niveau 2 - Mots treize quatorze quinze seize dix-sept dix-huit dix-neuf vingt vingt-et-un vingt-deux vingt-trois vingt-quatre vingt-cinq vingt-six vingt-sept vingt-huit vingt-neuf trente quarante cinquante
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailC EST QUOI LE STRESS?
C EST QUOI LE STRESS? Une réaction d adaptation «Le stress est la réponse non spécifique de l organisme à toute demande d adaptation qui lui est faite». Hans Selye Une réaction d adaptation Par exemple,
Plus en détailManagement Stratégique. Saïd YAMI Maître de Conférences en Sciences de Gestion ERFI/ISEM Université Montpellier 1 Cours de Master 1.
Management Stratégique Saïd YAMI Maître de Conférences en Sciences de Gestion ERFI/ISEM Université Montpellier 1 Cours de Master 1 Plan du Module 3 Chap.3- Les modèles fondés sur la structure des marchés
Plus en détailLa présence de conditions intégrales (CI) et/ou de conditions sectorielles (CS) est mentionnée en regard des rubriques concernées.
Dans une exploitation agricole, peuvent se rencontrer : Chapitre 1 : des activités d élevage Chapitre 2 : des activités agricoles autres que l élevage Chapitre 3 : des activités autres qu agricoles Chaque
Plus en détailLe bien-être animal en action : programme canadien d assurance qualité à la ferme
Colloque sur la production porcine «Comment faire autrement?» Le mardi 7 novembre 2006, Hôtel Universel Best Western, Drummondville Le bien-être animal en action : programme canadien d assurance qualité
Plus en détailTuberculose bovine. Situation actuelle
Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier
Plus en détailUnité 6. Qu est ce que tu prends au petit au petit déjeuner?
L'amitié Unité 6 Qu est ce que tu prends au petit au petit déjeuner? 1) Ecoute la maîtresse et coche 2) Complète avec : un jus d orange de la confiture un chocolat du beurre du thé un gâteau du café des
Plus en détailRaison Sociale / Nom d'exposant. Responsable du stand RCS. Forme Juridique. N Identifiant TVA. Adresse. Ville. Code Postal. Telephone. Portable.
RESERVATION Raison Sociale / Nom d'exposant Responsable du stand Nom du capacitaire (si applicable) Je suis (un)e: Professionnel ( ) Association (justificatif) ( ) Particulier ( ) Autre ( ) RCS Forme Juridique
Plus en détailOrganisation AFS - Association loi 1901 www.expo-animo.fr
Organisation AFS - Association loi 1901 www.expo-animo.fr Sommaire Présentation Anîm'O Page 3 Stand linéaire Page 4 Fiche d'inscription Page 5 Bon de commande et réservation Page 6 Conditions générales
Plus en détailFonction de conduction de la moelle épinière. Dr F. TOUMI
Fonction de conduction de la moelle épinière Dr F. TOUMI I. GENERALITES : Communication Moelle avec les centres supra spinaux Communication Intra segmentaire (ipsilatérale / controlatérale) Communication
Plus en détailQui mange quoi? Filtrer avec des fanons
Filtrer avec des fanons Malgré leur taille gigantesque, les baleines se nourrissent de petites proies : du krill ou des petits poissons qu elles piègent à travers leurs fanons. Ces «peignes» peuvent faire
Plus en détailInterview avec Pascale Garnier, docteur en sociologie et professeur en sciences de l'éducation à l'université Paris 13
Interview avec Pascale Garnier, docteur en sociologie et professeur en sciences de l'éducation à l'université Paris 13 Pascale GARNIER est docteur en sociologie, professeur en sciences de l'éducation à
Plus en détailFEDERATION EUROPEENNE DES FABRICANTS D ALIMENTS COMPOSES EUROPÄISCHER VERBAND DER MISCHFUTTERINDUSTRIE EUROPEAN FEED MANUFACTURERS FEDERATION
FEDERATION EUROPEENNE DES FABRICANTS D ALIMENTS COMPOSES EUROPÄISCHER VERBAND DER MISCHFUTTERINDUSTRIE EUROPEAN FEED MANUFACTURERS FEDERATION Commentaires de la FEFAC sur la proposition de Règlement du
Plus en détailClasser le vivant. Module de formation pour les professeurs des écoles
Classer le vivant Module de formation pour les professeurs des écoles L'objectif de cette formation est de permettre aux stagiaires de construire les connaissances et les méthodes permettant de classer
Plus en détailMaîtrisez les risques environnementaux de votre entreprise
Artisans, Professionnels, PME, TPE, Collectivités vous êtes concernés! Maîtrisez les risques environnementaux de votre entreprise Fédération française des sociétés dʼassurances Dans le cadre de la gestion
Plus en détailVégétaux Exemples d individus
Végétaux Formation Biologie 2011 2012 Végétaux Exemples d individus Végétaux Embranchement Classification Description Reproduction Mode de vie Exemples d individu Végétaux Règne > Etymologie «Végetaux»
Plus en détailL ensilage de maïs en Ardenne? D un point de vue alimentaire. Isabelle Dufrasne Ferme expérimentale Service de Nutrition FMV Université de Liège
L ensilage de maïs en Ardenne? D un point de vue alimentaire Isabelle Dufrasne Ferme expérimentale Service de Nutrition FMV Université de Liège Plan L ensilage de maïs en général Caractéristiques anatomiques
Plus en détailExigences en matière de bien-être animal Renée Bergeron, Ph.D., agr. Symposium sur les perspectives de l industrie laitière 2013
Exigences en matière de bien-être animal Renée Bergeron, Ph.D., agr. Symposium sur les perspectives de l industrie laitière 2013 Introduction Essor important du mouvement pour le bienêtre depuis le début
Plus en détailMon dossier de lecture
L île Cœur-de-Palmier Textes à coder Séquence 1 1 La famille de Jordan 2 Une grande, grande famille! Séquence 2 3 La marionnette de Jordan 4 Une invitation Séquence 3 5 Anne-Sophie 6 Philippe 7 Lanshin
Plus en détailLe système nerveux entérique ou deuxième cerveau - LE VENTRE -
1 Le système nerveux entérique ou deuxième cerveau - LE VENTRE - Par Isabelle Simonetto, Dr en Neurosciences Introduction Le yoga considère depuis toujours le ventre, et plus particulièrement l estomac
Plus en détailPROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES ANNEE 2012
MINISTÈRE DE L'AGRICULTURE, DE L'AGRO-ALIMENTAIRE ET DE LA FORET (articles L361 1 à 21 et D361 1 à R361 37 du Code rural) DEMANDE D INDEMNISATION DES PERTES DE RECOLTE SUR LES POMMES A COUTEAU ET LES POMMES
Plus en détailII.C.1)a) LA RESPONSABILITE
Deux types de responsabilité : 1) Contractuelle (source obligation : contrat) 2) Délictuelle (source obligation : loi) 1 La responsabilité contractuelle = en cas d inexécution fautive d une obligation
Plus en détailChap 1 : LA DEMARCHE MERCATIQUE
I. La démarche mercatique globale A. Définition Chap 1 : LA DEMARCHE MERCATIQUE La mercatique est l ensemble des techniques et actions ayant pour objet de prévoir, constater, stimuler, susciter ou renouveler
Plus en détailLes fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003
Les fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003 Pré-Requis : Anatomie descriptive et fonctionnelle de l extrémité inférieure du radius Résumé : Les fractures
Plus en détailFICHE DE DONNEE SECURITE
Degy Anti-fourmis 28/03/12 page1/6 FICHE DE DONNEE SECURITE 1. IDENTIFICATION DE LA SUBSTANCE/PREPARATION ET DU FOURNISSEUR Désignation commerciale: DEGY ANTI-FOURMIS Utilisation de la préparation : Produit
Plus en détailMieux connaitre votre enfant
Mieux connaitre votre enfant Ce questionnaire me permettra de mieux connaitre votre enfant et ainsi de favoriser son intégration au service de garde. Il m aidera également à m assurer de répondre adéquatement
Plus en détailQU EST-CE QUI VOUS MÈNE: LA TÊTE OU LE COEUR?
QU EST-CE QUI VOUS MÈNE: LA TÊTE OU LE COEUR? Source: DUMONT, Nicole. Femmes d aujourd hui, Vol. 1 No. 8., janvier 1996. On dit de certaines personnes qu elles n ont pas de tête ou qu elles n ont pas de
Plus en détailCENTRALES HYDRAULIQUES
CENTRALES HYDRAULIQUES FONCTIONNEMENT Les différentes centrales hydrauliques Les centrales hydrauliques utilisent la force de l eau en mouvement, autrement dit l énergie hydraulique des courants ou des
Plus en détailFEDERATION DE LA CORREZE POUR LA PECHE ET LA PROTECTION DU MILIEU AQUATIQUE
FEDERATION DE LA CORREZE POUR LA PECHE ET LA PROTECTION DU MILIEU AQUATIQUE Agréée au titre de la protection de la nature (Loi du 10 juillet 1976) 33 bis, place Abbé Tournet 19000 TULLE Téléphone : 05
Plus en détailFonctionnement neural et troubles cognitifs chez le patient bipolaire: preuve ou surinterprétation
DIALOGUE ESPRIT / CERVEAU : CIRCULARITE CRP -OU Santé ANTAGONISME? Fonctionnement neural et troubles cognitifs chez le patient bipolaire: preuve ou surinterprétation Charles Pull Directeur du «Laboratoire
Plus en détailLe cerveau, cet artiste
VILAYANUR RAMACHANDRAN Le cerveau, cet artiste Traduit de l anglais par Anne-Bénédicte Damon, 2005 ISBN : 2-7081-3327-6 LE CERVEAU, CET ARTISTE FIGURE 1.5 (a) Représentation de la surface corporelle sur
Plus en détailLe ski à l'école. Réalisé par les CPC E.P.S. de Moselle. Février 2008
Le ski à l'école Réalisé par les CPC E.P.S. de Moselle 1 «Les Activités Physiques de Pleine Nature, par leur possibilité de réinvestissement, constituent un terrain privilégié pour la mise en œuvre de
Plus en détailADELIE. Alerte-DEtection-Localisation-IncendiE. Documentation du logiciel Interface Homme / Machine du poste opérateur
I122F - 0913 NOTICE I.H.M. OPERATEUR Constructeur français ADELIE Alerte-DEtection-Localisation-IncendiE Documentation du logiciel Interface Homme / Machine du poste opérateur PARATRONIC - Rue des Genêts
Plus en détailRestauration de la continuité écologique Seuils servant à l'hydrométrie. Journées Hydrométrie SCHAPI 3-4 février 2014
Restauration de la continuité écologique Seuils servant à l'hydrométrie Journées Hydrométrie SCHAPI 3-4 février 2014 Stéphanie Poligot-Pitsch Olivier Nauleau DREAL Pays de la Loire DREAL Bretagne Qu est
Plus en détailSorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses
Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier Itinéraire cultural Type de sol et préparation avant semis Le sorgho grain sucrier est relativement peu exigeant par rapport au
Plus en détailNutrition et santé : suivez le guide
Prévention ALIMENTATION PLAISIR ET ÉQUILIBRE ALIMENTAIRE Nutrition et santé : suivez le guide Nous savons tous que l alimentation joue un rôle essentiel pour conserver une bonne santé. En voici quelques
Plus en détailLES CARNETS DE BORD DE L ACDA L ASSURANCE CIRCUIT
LES CARNETS DE BORD DE L ACDA L ASSURANCE CIRCUIT Me TEISSEDRE - Administrateur ACDA La pratique d un sport automobile n est pas sans risque, tant au niveau physique que pécuniaire, et ses conséquences
Plus en détailCOMMENT RESOUDRE LES PROBLEMES DE VIBRATION DE L ESSIEU AVANT SUR LES TOYOTA MODELE HZJ
COMMENT RESOUDRE LES PROBLEMES DE VIBRATION DE L ESSIEU AVANT SUR LES TOYOTA MODELE HZJ 75? (valable également pour le modèle Hi-Lux équipé de lames de ressort à l avant) Christophe Humbert * Octobre 2002
Plus en détailENQUÊTE SUR LE COMMERCE D'ESPÈCES SAUVAGES SUR L'INTERNET
1 ENQUÊTE SUR LE COMMERCE D'ESPÈCES SAUVAGES SUR L'INTERNET Introduction L Internet a révolutionné notre façon d échanger des idées, des informations et des marchandises. Tout naturellement, cette technique
Plus en détailVANNES, VIS SANS FIN, POMPES D ASSÈCHEMENT DES MARAIS
La Directive Cadre sur l Eau (DCE, n 2000/60/CE) fixe comme objectif pour 2015 l atteinte du bon état ou du bon potentiel écologique des eaux de surface. Ces états écologiques sont appréciés par la qualité
Plus en détailINDICATIONS DE CORRECTION
SUJET NATIONAL POUR L'ENSEMBLE DES CENTRES DE GESTION ORGANISATEURS CONCOURS INTERNE ET TROISIÈME VOIE DE TECHNICIEN TERRITORIAL PRINCIPAL DE 2 ème CLASSE SESSION 2014 SPÉCIALITÉ : INGENIERIE, INFORMATIQUE
Plus en détailMAITRISE DE LA CHAINE LOGISTIQUE GLOBALE (SUPPLY CHAIN MANAGEMENT) Dimensionnement et pilotage des flux de produits
MAITRISE DE LA CHAINE LOGISTIQUE GLOBALE (SUPPLY CHAIN MANAGEMENT) Dimensionnement et pilotage des flux de produits Préambule La performance flux, quel que soit le vocable sous lequel on la désigne ( Juste
Plus en détail2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes).
SUJET DE CONCOURS Sujet Exploitation d une documentation scientifique sur le thème de l énergie 2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D,
Plus en détailÉtiquettes approuvées pour les porcs
Étiquettes approuvées pour les porcs Programme d identification et de traçabilité des animaux d élevage VERSION 1 1 er juillet 2014 Les étiquettes approuvées sous le programme national d'identification
Plus en détailAlgorithme des fourmis appliqué à la détection et au suivi de contours dans une image
IN52-IN54 A2008 Algorithme des fourmis appliqué à la détection et au suivi de contours dans une image Etudiants : Nicolas MONNERET Alexandre HAFFNER Sébastien DE MELO Responsable : Franck GECHTER Sommaire
Plus en détailExamen neurologique de l enfant
Examen neurologique de l enfant 2 SYSTÈMES ANATOMIQUEMENT DISTINCTS différents dans la chronologie de leur maturation Système SOUS CORTICOSPINAL Issu du Tronc cérébral Archaïque Maintient de la posture
Plus en détailChapitre 8 Bien-être des animaux
Chapitre 8 Bien-être des animaux Le secteur de l élevage dans les pays industrialisés a beaucoup évolué depuis la Seconde Guerre mondiale. La productivité est montée en flèche grâce à l utilisation de
Plus en détailo Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre
Page 1 Garantie Responsabilité civile - Lésions corporelles de l assurance automobile - Étude des dossiers de demande d indemnisation fermés en Ontario Descriptions des blessures Élaborées à partir des
Plus en détailProgramme de rétention et d excellence (Re-Excel) en soins critiques
Programme de rétention et d excellence (Re-Excel) en soins critiques Présentation de Mylène Arsenault, inf., soins intensifs, CSI(c), CSI(c)Nadine Montreuil, inf., soins intensifs 28 Septembre 2012 Agenda
Plus en détailANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES
L OUTIL IDEAL POUR TOUTES LES DETECTIONS IMMUNOCHIMIQUES pour toutes les techniques immunodosages (EIA/ELISA) dot/ westernblot immunohistochimie immunocytochimie cytométrie en flux quel que soit le système
Plus en détailJeu de l ingénierie écologique. mémo du joueur
Jeu de l ingénierie écologique mémo du joueur Contexte Qu est-ce que l ingénierie écologique? L ingénierie écologique peut être définie par une action par et/ou pour le vivant. Plus précisément, le vivant
Plus en détailNiveau CEl CE2. Le grand dauphin ou dauphin souffleur Tursiops truncatus
Niveau CEl CE2 Le grand dauphin ou dauphin souffleur Tursiops truncatus INTRODUCTION: non un poisson. Le dauphin souffleur ou grand dauphin est un mammifère marin, et Comme tous les mammifères il suivantes
Plus en détailSECHERESSE PRINTEMPS 2014 N 13681*03
SECHERESSE PRINTEMPS 2014 N 13681*03 PROCÉDURE DES CALAMITÉS AGRICOLES DEMANDE D'INDEMNISATION DES PERTES Le régime des calamités agricoles a pour but d indemniser des pertes de récolte et/ou des pertes
Plus en détailProduire avec de l'herbe Du sol à l'animal
GUIDE PRATIQUE DE L'ÉLEVEUR Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal avril 2011 BRETAGNE PAYS DE LA LOIRE SOMMAIRE Paroles d éleveurs 4 Quelle place donner à l herbe Le choix d un système fourrager 8
Plus en détailCARACTERISTIQUES DE L APPROCHE GESTALT EN ORGANISATION
CARACTERISTIQUES DE L APPROCHE GESTALT EN ORGANISATION Société des Coaches Gestaltistes Coordinateur projet: Marius Moutet INTRODUCTION Un coaching d individus ou d équipe inspiré de la posture humaniste
Plus en détailIl était une fois Une forêt mystérieuse!!! Parcourez cette forêt, explorez la Franche-Comté, partez à la rencontre de ses paysages et de ses
Il était une fois Une forêt mystérieuse!!! Parcourez cette forêt, explorez la Franche-Comté, partez à la rencontre de ses paysages et de ses richesses. Du massif Vosgien aux plateaux du Jura, en passant
Plus en détailDoit on et peut on utiliser un placebo dans la prise en charge de la douleur?
Doit on et peut on utiliser un placebo dans la prise en charge de la douleur? Dr Philippe Poulain Unité Territoriale de Soins Palliatifs Polyclinique de l Ormeau Tarbes phpoulain@wanadoo.fr Placebo: de
Plus en détailère année et 2 ème année
Cahier de texte BTS design de mode textile et environnement 1 ère année et 2 ème année Ce document est distribué à chaque étudiant en première année afin de comprendre les enjeux du cours et d en percevoir
Plus en détailSAVOIR SE RECENTRER : UN ATOUT AU QUOTIDIEN
SAVOIR SE RECENTRER : UN ATOUT AU QUOTIDIEN QUE SIGNIFIE "ÊTRE CENTRÉ"? Etre centré signifie être aligné entre Ciel et Terre. C'est-à-dire connecté à l'énergie du Ciel et ancré dans l énergie de la Terre;
Plus en détailActualités sur la sélection des pondeuses Prospections futures. Dr. Matthias Schmutz, Lohmann Tierzucht
Actualités sur la sélection des pondeuses Prospections futures Dr. Matthias Schmutz, Lohmann Tierzucht Alimentation et démographie mondiale Augmentation annuelle de 80 millions Croissance surtout dans
Plus en détailSéquence 6. Mais ces espèces pour autant ne sont pas identiques et parfois d ailleurs ne se ressemblent pas vraiment.
Sommaire Séquence 6 Nous avons vu dans les séances précédentes qu au cours des temps géologiques des espèces différentes se sont succédé, leur apparition et leur disparition étant le résultat de modifications
Plus en détailTransmission des maladies infectieuses. «maladies transmissibles»
Transmission des maladies infectieuses «maladies transmissibles» 1 Généralités I. Un germe (agent pathogène) qui nécessite II. Un hôte (ou cible) : l homme [H] ou l animal [An] III. Entre les 2, il y a
Plus en détailLa couverture des risques agricoles
PACIFICA - ASSURANCES DOMMAGES La couverture des risques agricoles Patrick Degiovanni Directeur Général Adjoint Page 1 Marrakech, Jeudi 28 octobre 2010 Sommaire Le contexte Les risques du métier en Agriculture
Plus en détailCritères de l'addiction et de la dépendance affective chez la victime de manipulateur pervers narcissique
Critères de l'addiction et de la dépendance affective chez la victime de manipulateur pervers narcissique Dépendance de la victime à une illusion, un fantasme Ces critères ont été élaborés par Goodman
Plus en détailLa biodiversité : enjeu scientifique et enjeu éthique
La biodiversité : enjeu scientifique et enjeu éthique Jane Lecomte Pr Université Paris-Sud jane.lecomte@u-psud.fr Unité Ecologie, Systématique, Evolution Bât. 360 et 362, Faculté des Sciences d Orsay UMR
Plus en détailindustrie agroalimentaire
industrie agroalimentaire agro L élaboration des produits agroalimentaires nécessite la mise en place et le contrôle de nombreux procédés et technologies avancées. De la réception des matières premières
Plus en détailappliquée aux emballages alimentaires
La méthode HACCP La méthode HACCP appliquée aux emballages alimentaires 1- La réglementation des matériaux au contact des aliments Quels contaminants issus des emballages dans les aliments? Des contaminants
Plus en détailPermisd environnement. au sein des exploitationsagricoles wallonnes
Permisd environnement au sein des exploitationsagricoles wallonnes ñ Mot du Ministre Protéger et simplifier En juillet 2004, dès mon entrée en fonction, je me suis attaché à une réforme des permis d environnement.
Plus en détailRECUEIL DES ORIENTATIONS DU CONSEIL DES AGREMENTS ET CONTRÔLES de L INSTITUT NATIONAL DE L ORIGINE ET DE LA QUALITE
RECUEIL DES ORIENTATIONS DU CONSEIL DES AGREMENTS ET CONTRÔLES de L INSTITUT NATIONAL DE L ORIGINE ET DE LA QUALITE Date de la dernière mise à jour : 2 juillet 2015. L orientation modifiée par rapport
Plus en détailLa protection du bien- être animal en droit communautaire: Avancées, limites et propositions futures
La protection du bien- être animal en droit communautaire: Avancées, limites et propositions futures Sabine Brels 1. L'Union européenne (UE) accorde une place de plus en plus importante à la protection
Plus en détailComment développer vos missions paie?
Comment développer vos missions paie? La performance des cabinets ne repose pas seulement sur une course à la productivité mais sur une stratégie de croissance fondée sur : Le savoir La qualité du service
Plus en détailLISTE DE PROTECTION DES ESPÉCES
LISTE DE PROTECTION DES ESPÉCES Le caractère natif ou introduit des espèces a été défini à partir des considerations de Pascal et al (Pascal M, Lorvelec O, Vigne JD, Keith P, Clergeau P eds (2003) évolution
Plus en détailCIRCUITS = Règles de Sécurité
CIRCUITS = Règles de Sécurité Chers Amis, Concernant nos journées de roulage sur circuits, comme mentionné sur nos bulletins d inscriptions, les contrats d assurance du Club, RC Organisateur et manifestations
Plus en détailLA FERME DE BENJAMIN. Thème : Les Animaux de la ferme
G U I D E P É D A G O G I Q U E LA FERME DE BENJAMIN Thème : Les Animaux de la ferme GUIDE PÉDAGOGIQUE La Ferme de Benjamin La série d émissions Cette série, diffusée pour les écoles sur les ondes de TFO,
Plus en détail