COMPTE-RENDU. Jeudi 7 février 2012, au Grand Hôtel Opéra, Paris. Organisée par Agora Fonctions

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1 COMPTE-RENDU Organisée par Agora Fonctions Jeudi 7 février 2012, au Grand Hôtel Opéra, Paris

2 LA DSI DE DEMAIN SOMMAIRE INTRODUCTION Page 03 Présentation de l Agora des DSI et lancement des thématiques FOCUS Page 06 Le BYOD, retour d expérience ANALYSE Page 08 Résultats de l étude d Ernst & Young sur l ADN du DSI TABLE RONDE PROSPECTIVE Page 11 «De la technique à la création de valeur, quelle est la DSI de demain» ZOOM Page 18 L AFAI (Association française de l audit et du conseil informatiques) RÉSULTATS DU QUESTIONNAIRE Page 20 «Quel est le profil du DSI de demain?» Remise des prix Agora des DSI 2013 CONCLUSION Page 23 2

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4 Présentation de l Agora des DSI et lancement des thématiques A événement exceptionnel, lieu prestigieux : le premier Gala des DSI s est tenu dans les salons du Grand Hôtel Opéra à l initiative d Agora Fonctions. Dès les premières minutes, le ton était donné par l envoi d un clip de présentation très entrainant. Sébastien GUENARD, cofondateur d Agora Fonctions lançait les débats en remerciant les nombreuses personnes présente, et en soulignant que dans les paroles de la chanson il y avait beaucoup d Agora Fonctions, notamment cette étincelle que chaque membre du club peut produire au bénéfice de tous. Oui, Agora Fonctions est vraiment un foyer. Le feu y est en permanence allumé. Sébastien GUENARD passait ensuite le témoin aux coprésidents de l Agora des DSI, Robert EUSEBE, DSI d ARTE et Ludovic TASSY, DSI d ALAIN AFFLELOU FRANCHISEUR. LE COMITÉ D ORGANISATION Robert EUSEBE Directeur des Systèmes d Information ARTE FRANCE Ludovic TASSY Directeur des Systèmes d Information ALAIN AFFLELOU FRANCHISEUR David LANIADO Directeur des Systèmes d Information GROUPE BABILOU Christian GARREZ Directeur des Systèmes d Information GROUPE MONITEUR Fabrice BENAUT DSI IFR GROUP GFK Après des mots de bienvenue aux amis DSI et aux partenaires, les coprésidents se sont félicités de cette première soirée de gala des DSI dont le succès laisse augurer une future édition. Ils invitent d ailleurs les participants à noter dans leurs agendas, en février 2014, un événement au moins comparable à celui-ci. 4

5 Ensemble ils ont livré quelques mots à propos de l Agora des DSI : «L Agora des DSI est née en décembre Nous réunissons plus de 100 DSI du midmarket, les entreprises de 500 salariés et plus. Nous nous rencontrons tous les mois. Beaucoup de membres de l Agora des DSI sont présents dans l assemblée ce soir, ce sont les ambassadeurs du club qui pourront expliquer le fonctionnement de l Agora à leurs voisins qui nous découvrent ce soir. Les contenus de nos réunions se veulent particulièrement liés à l actualité des DSI : le management, le savoir-faire, le savoirêtre. Mais l Agora des DSI est aussi un club qui sait aussi vivre, «mettre le feu», qui pétille. Nous travaillons certes, mais nous savons aussi nous amuser. L Agora des DSI ce sont des amis qui se rencontrent régulièrement. Avec 16 autres communautés dédiées aux décideurs métiers, elle compose le réseau d Agora Fonctions riche de membres, issus aussi bien de la sphère publique que privée. Agora Fonctions organise plus de 230 rendez-vous par an qui réunissent près de décideurs. Le DSI rencontre au quotidien nombre d enjeux qui convergent vers lui. Il doit lutter en permanence contre la solitude dans l entrepris et dans son entourage. Et bien l Agora des DSI est la réponse : c est le moyen de s entourer de collègues, de confères confrontés aux mêmes préoccupations et avec lesquels il peut échanger en confiance à travers différents outils : ateliers flash, questions flash : ces petites choses qui font la vie de tous les jours de l Agora des DSI et que nos ambassadeurs vont vous expliquer dans leurs moindres détails. Il y a aussi la capacité de discuter avec nos confrères en dehors de notre communauté. Les DSI ont, bien-sûr, beaucoup à se dire entre eux, mais ils ont aussi beaucoup à partager, à recevoir, à écouter de la part des autres communautés. Et Agora fonctions représente tous les collègues de l entreprise au travers de ses 17 communautés, les financiers, les commerciaux, les RH etc. Cette composante transverse est également une force appréciable. C est une soirée d exception. Nous sommes 16 DSI présents ce soir et deux associations, AFAI et Hub forum. L objet de ce Gala est d élargir notre vision grâce à nos partenaires, aux intervenants et aux organisations qui nous ont fait le plaisir de leur présence ce soir!» Robert Eusèbe et Ludovic TASSY ont ensuite appelé François SOREL pour lancer les débats : «Permettez-moi de me présenter en quelques mots : je suis journaliste radio et travaille également à la télévision sur RMC, BFM business. Je suis spécialisé dans tout ce qui touche les nouvelles technologies pour le grand public. Tout au long de la soirée nous vous avons réservé un menu passionnant. Une table ronde mettra en perspective cette question : «De la technique à la création de valeur, qui est la DSI de demain?». 5

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7 LE BYOD (Bring Your Own Device) RETOUR D EXPÉRIENCE D UN JOURNALISTE François Sorel : «Cela fait une vingtaine d années que je fais de la radio, et comme nous allons parler de BYOD (Bring Your Own Device), je voulais vous faire partager mon expérience. Lorsque j ai débuté mon métier, j utilisai un gros appareil qui me permettait de réaliser des interviews. C était le Nagra. D ailleurs le créateur de cet appareil est mort il y a peu, je lui rends hommage. Mais, je souhaitais des appareils de plus en plus petits. Et aujourd hui, en 2013, pour travailler, pour interviewer en audio ou vidéo, pour caler un rendez-vous, pour répondre à mes s ou modifier des documents, je n ai plus qu un appareil. Vous le connaissez, c est celui-ci : un Smartphone. J ai récemment interviewé le PDG d Orange, Stéphane Richard, et je vous garantis que le son et l image sont de très bonne qualité. En tant que journaliste, le BYOD, c est ce que je vis au quotidien. Je voulais également vous citer quelques chiffres éloquents : un sondage montre que sur salariés IT dans le monde, 29 % sont des travailleurs presque permanents. Avec leurs terminaux, Smartphones ou tablettes ils travaillent depuis de multiples lieux : le week-end à la maison, depuis la salle d attente d un médecin, ou encore à la terrasse d un café. Nous vivons ce changement au quotidien. Cette technologie rend un peu plus flou la frontière entre vie privée et professionnelle. 64% des sondés disent utiliser leur Smartphone au travail, un peu moins que ceux qui affirment s en servir à la maison, 69%, et autant que ceux qui indiquent l utiliser pendant leurs trajets. Les applications de loisirs se mélangent avec celles pour le professionnel. Blackberry, Iphone et Androïd dominent le marché, tandis que Microsoft revient fort avec Windows Phone. L attente de tablettes pour les loisirs et le travail est très forte, Microsoft proposerait des solutions en la matière». 7

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9 Résultats de l étude d Ernst & Young sur l ADN du DSI Les résultats ont été commentés par Hervé de la CHAPELLE, associé chez Ernst & Young. Hervé de la CHAPELLE : «Permettez moi de vous dire ma satisfaction d être présent ici ce soir, de restituer une enquête, où pour une fois nous n allons évoquer ni technique, ni risque, ni sécurité, ni coût informatique, mais nous allons parler de vous, les DSI. Cette étude nous tenait vraiment à cœur. Nous l avons réalisée l année dernière. Auprès de 300 DSI, répartis sur quatre continents et en perspective avec le point de vue d une quarantaine de dirigeants, directeurs généraux, directeurs financiers qui n ont jamais exercé de fonctions dans l informatique. Cela a permis de révéler un certain nombre de décalages entre la perception qu ont les dirigeants du DSI et la perception que le DSI peut avoir de luimême. Nous avons, à partir de ces échanges, dressé une sorte de portrait robot du DSI. L intégralité de l étude vous sera remise à l issue de la soirée. En synthèse, trois points nous ont particulièrement frappés. Le premier est celui de la parité. Seulement 4% de DSI femmes se trouvaient dans le panel que nous avions. En regardant l assemblée ce soir, je crois qu il y a encore un véritable effort à fournir pour atteindre l équilibre! Le deuxième point, bien que cela soit un sujet débattu depuis des années, la représentation du DSI comme membre du Comité de direction, du Comité exécutif, est un point à améliorer. Moins de 20 % des DSI interrogés sont membres actifs du Comité de direction et acteurs de la stratégie de l entreprise. Enfin, le troisième point que nous interprétons comme un signal d évolution de la fonction de DSI est la réponse faite à la question des «compétences clé». La technique ne tient pas la première place pour les DSI. Ce sont le leadership et la communication, à plus de 80%. Dans quel contexte le DSI évolue-t-il? Tout d abord, il souffre d une image peu valorisante et peu valorisée. Il n appartient pas au comité de direction et subit plusieurs stéréotypes. Le DSI est par ailleurs confronté à une situation assez paradoxale : la technologie se complexifie de jour en jour tandis que les directions métiers ont la possibilité de s adresser au marché sans forcément passer par leur DSI. 9

10 Sans être une révélation, un point fort de l étude nous indique que les DSI ne sont pas en position de force dans les réseaux de pouvoir de l entreprise. Il y a, là encore, du chemin à parcourir. Une vision pessimiste conduirait le DSI à ne devenir qu un gestionnaire d infrastructures et de contrats de service auprès du marché qui, lui, apportera la valeur ajoutée. Face à cela, il est temps de réagir. Quatre grandes lignes d action sont ressorties de cette étude : Intégrer le Comité de direction et avancer des propositions stratégiques innovantes grâce à la technologie. Répondre positivement aux métiers. Ne plus parler technologie au travers des coûts, mais plutôt au travers des enjeux et du business. Lutter contre les stéréotypes : celui du technocrate, celui du DSI qui dit toujours non, mais aussi du DSI qui serait peu ambitieux, 60 à 65 % des DIS interrogés considèrent que le poste de DSI est un aboutissement. Il y a ici un vrai décalage avec d autres études du même type menées auprès de directeurs financiers, RH etc. DSI est la seule fonction à ce niveau là de l entreprise pour laquelle autant de répondants indiquent qu ils ne pensent plus évoluer au sein de leur structure. Le réseau d influence a d autres ambitions. Quelles ambitions? Imaginer que le DSI a une vision a 360 degrés de son entreprise, au cœur du réseau d influence. Mais la réalité est tout autre. D après nos sondages, peu de DSI se pense connecté au réseau d influence. Développer certaines compétences : le DSI doit devenir plus communicant, et affermir ses qualités de leadership. Mon propos n est pas de donner une vision négative, mais plutôt d ouvrir des pistes de réflexion et de s interroger sur le DSI de demain. Si ces défis sont relevés, nous trouverons demain un DSI au cœur de l entreprise, un véritable copilote, qui aura une vision globale sur le patrimoine d informations du système d information. Il sera porteur auprès de la direction générale mais aussi des métiers, d une vision stratégique. Ses enjeux évolueront : il lui faudra garder le contrôle face à la dispersion des ressources et des données. Le positionnement du service rendu aux métiers devra comporter des visions à long et court terme. Le DSI sera multi compétent, tant en technique qu en métiers, capable de communiquer en interne et en externe, qui pilotera les grands projets de transformation.». 10

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12 «De la technique à la création de valeur, quelle est la DSI de demain» François SOREL : Pour débuter cette table ronde, j invite les participants à s installer autour de moi. Rapide tour de présentation : Anne-Sophie POGGI, je rappelle que vous êtes avocate spécialisée dans le numérique, vous avez fondé l année dernière votre propre cabinet. Ludovic TASSY, vous êtes DSI chez AFFLELOU depuis franchises en Europe, 150 succursales en France et en Espagne. Vous êtes également coprésident de l Agora des DSI. Vincent DUCREY, vous avez cofondé le HUB INSTITUTE et auteur d un livre qui a connu beaucoup de succès : De l influence aux éditions Eyrolles. Vous conseillez de nombreuses entreprises pour le choix de leurs stratégies digitales. DSI d Arte depuis 2002, Robert ESUEBE, vous avez notamment piloté la mutation de la chaîne vers le web. Je dois dire qu Arte sur le web, c est assez impressionnant par la multitude des programmes associés. Autre invité de marque que nous recevons aujourd hui : il s agit de Pierre-Noël LUIGGI, PDG fondateur d OSCARO. Qui ne connaît pas OSCARO, le leader mondial de vente de pièces automobiles sur internet? Présent bientôt dans six pays en Europe, puis au printemps en Californie, vous avez l ambition de devenir numéro un mondial l année prochaine, n est-ce pas Pierre-Noël? LES INTERVENANTS Animé par : François SOREL Journaliste sur BFM & RMC Intervenants : Pierre-Noël LUIGGI PDG d OSCARO Vincent DUCREY Cofondateur de Hub Insitute, Anne-Sophie POGGI Avocate, spécialiste IT Ludovic TASSY Directeur des Systèmes d Information ALAIN AFFLELOU FRANCHISEUR Robert EUSEBE Directeur des Systèmes d Information ARTE FRANCE 12

13 Pierre-Noël LUIGGI : En fait nous sommes déjà numéro un mondial. Théoriquement le leader de la vente de pièces automobiles sur internet se nomme US AUTO PARTS qui ne réalise que 300 millions de dollars aux Etats-Unis, tandis qu OSCARO présente un chiffre d affaires en 2012 de 200 millions d euros. Je vous laisse faire le compte. Pas en volume, mais par tête d habitant nous sommes dix fois meilleurs que l Américain. François SOREL : Bravo, c est une belle réussite française! (applaudissements dans la salle). Votre entreprise a un fort caractère technologique, qui s est très rapidement investie dans l high-tech. Quels sont les messages que vous voulez faire passer ce soir? L on peut commencer par le fait que, pour vous, le DSI doit être un entrepreneur et non un manager. Pierre-Noël LUIGGI : L étude qui vient de nous être présentée, nous a tout expliqué. Quelle est la position du DSI aujourd hui et demain? Et bien, c est celle de l entrepreneur. Estimant qu il y a très peu de conservateurs dans cette assemblée, je souhaite, comme vous tous je crois, la mort du DSI et la naissance de celui qui sera un intrapreneur pour épauler son dirigeant. Il faut en finir avec le «supposé savoir», qui est un piège infernal. Je veux que le DSI se transforme. François SOREL : Nous y reviendrons tout à l heure. (Plaisanterie à propos du DSI d OSACRO présent dans la salle).robert, parlons un peu de votre vison du futur de la DSI. Quels sont le positionnement et la mission d un DSI à votre avis? «Le nouveau DSI doit se transformer pour devenir un véritable intrapreneur» «Le DSI peut transformer aussi son dirigeant au bénéfice de l entreprise» Robert ESUEBE : Je commencerai à adresser un message d encouragements au DSI d OSACRO (rires). Je voudrais aussi le rassurer car il a un président qui veut le transformer. C est plutôt bon signe. D autres cherchent à changer, éliminer et passer à autre chose. Peut-être, de son côté, ce DSI a des velléités de transformer aussi son dirigeant et de l accompagner dans les changements (applaudissements). Il est possible que cet échange soit le plus fructueux possible et dans le meilleur intérêt de l entreprise. Quant au positionnement de la DSI, il est nécessaire de poursuivre le travail entamé depuis plusieurs années. Les méthodes sont aujourd hui industrialisées, stabilisées. Elles orientent l informatique, le numérique vers les process internes. Mais aujourd hui, il y a de nouveaux champs qui s ouvrent au DSI. Il s agit notamment d introduire massivement du numérique dans le produit et la relation client. 13

14 Ce sont réellement deux axes nouveaux qui peuvent radicalement transformer les entreprises. Si le DSI s empare de ces sujets, il sera au-delà d une simple logistique. Il se repositionnera au cœur d une nouvelle stratégie d entreprise. «Introduire massivement du numérique dans le produit et la relation client transforme radicalement la stratégie de l entreprise» François SOREL : Ludovic, j imagine que la transformation a débuté chez AFFLELOU. Ludovic TASSY : Bien évidemment! Pour rebondir sur les propos du président d OSCARO, je crois que la maturité technologique est suffisante pour que les DSI n aient plus à s occuper du quotidien, mais peuvent élever largement le niveau. Je vous propose le Cloud comme illustration. Les outils de virtualisation sont maîtrisés depuis longtemps, les réseaux sont assez conséquents. Donc, les DSI sont aujourd hui parfaitement capables de s adapter aux besoins de l entreprise en mettant en place un certain nombre d application dans le Cloud, en établissant une facturation sur mesure et surtout en répondant beaucoup plus rapidement aux demandes des métiers. François SOREL : Le Cloud est-il aujourd hui suffisamment fiable pour cela? «Le Cloud est une excellente solution d adaptation» Ludovic TASSY : Il y a plusieurs niveaux de services, de coûts C est de toute façon une des voies sur lesquelles il faut s engager. Le modèle d hier qui consistait à acheter des machines et à les financer sur une certaine durée est aujourd hui à bout de souffle. Désormais, nos dirigeants souhaitent des sites très rapides. Les constructeurs évoluent aussi très vite. Donc le Cloud est une excellente solution d adaptation. François SOREL : Vincent, vous avez conseillé de nombreuses entreprises dans leur stratégie digitale. Pour vous le nouveau rôle du DSI se trouve dans la digitalisation du management. «L association du marketing et de la DSI constituera demain la force de l entreprise dans la durée.» Vincent DUCREY : Effectivement. D ailleurs, les trois premières interventions montrent qu il y a de très forts inputs du management. De l autre côté il y a les inputs des consommateurs digitalisés qui attendent des flux d information extrêmement rapides. Et enfin les inputs technologiques sont aussi très pressants. A ces trois dimensions, j en ajoute une quatrième que sont les nouveaux métiers dans l entreprise : chip marketing officer, chip mobile officer. 14

15 Tous ces nouveaux profils émergent et veulent contribuer à la gestion du digital dans l organisation. On assiste à un nouveau rapport de forces. Cela sous entend la mise en place d une relation durable entre le marketing-communication et la DSI. C est, à mon sens, cette association qui constituera demain la force de l entreprise dans la durée. «L association du marketing et de la DSI constituera demain la force de l entreprise dans la durée.» François SOREL : Anne-Sophie, qu est-ce au juste le patrimoine immatériel de l entreprise? A-t-il une valeur? Anne-Sophie POGGI : Bonne nouvelle pour les DSI : ils sont assis sur un tas d or sans le savoir! Le patrimoine immatériel de l entreprise est divers. Il y a, bien entendu, les sites internet qui peuvent être valorisés comptablement dans l actif de l entreprise dès qu il s agit de sites marchands. S ajoutent les sites mobiles, les noms de domaine, les logos, les chartes graphiques, les marques ou encore les dénominations sociales Mais ce qui a le plus de valeur aujourd hui c est la donnée. La donnée personnelle recherchée auprès des clients, la donnée commerciale, celle de secret des affaires, ou toute autre donnée constituent un véritable patrimoine de l entreprise. Cette valeur, comme l expliquait la précédente intervention, s associe au marketing et à la DSI. A la direction générale et aux DSI de concevoir la stratégie d entreprise. «Les DSI sont assis sur un tas d or sans le savoir!» Les DSI se doivent d être les inputs de cette valorisation. Des sociétés se constituent pour valoriser ces données personnelles, les big datas. Elles récupèrent ces données de flux, les analysent et des brokers les revendent. Sans s en rendre compte, les entreprises se départissent de ce patrimoine qui a une valeur considérable. Le message que je peux donner aux DSI est de prendre le temps d évaluer les biens immatériels de son entreprise et de discuter avec leurs dirigeants sur la meilleure manière de capitaliser cette valeur. François SOREL : La direction est-elle sensible à ce phénomène? Anne-Sophie POGGI : Même si le sujet est de plus en plus évoqué, il me semble qu il y a encore beaucoup de freins dans l organisation et le management. Chacun doit diminuer ses coûts, mais la démarche de chercher au sein même de l entreprise de la valeur n est pas toujours entrée dans les mœurs. François SOREL : Pierre-Noël, êtes-vous d accord avec cette analyse? Pierre-Noël LUIGGI : Je suis parfaitement en phase avec Anne-Sophie. Eleanor Roosevelt disait que les hommes parlaient de trois choses : des autres, des événements et des idées. 15

16 Elle préférait ceux qui parlaient des idées. C est ce dont parle Anne-Sophie. La valeur de l entreprise, c est traiter de l information. C est aux DSI de le dire à la direction générale. Il s agit pour eux de flux et non de stock. OSCARO est un modèle sans stock. «La valeur de l entreprise, c est traiter de l information» Nous devons connaître ce que nous pouvons étiqueter et définir des informations dans l entreprise. Cela constitue une valeur essentielle. Un mot encore sur le rôle du DSI auprès du directeur général. Il est le seul à savoir qu il ne sait rien! Nous, dirigeants, croyons qu il sait quelque chose. Les personnes employées par le DSI sont des mercenaires volatiles et avec le phénomène BYOD même le matériel lui échappe. J ai des éléments de réponse pour aider le DSI à sortir de cette situation. Peut-être les évoquerons-nous tout à l heure. François SOREL : Robert, un mot sur le recentrage des missions stratégiques de la DSI. Robert ESUEBE : Que dire après une présentation aussi détaillée des caractéristiques d un DSI vu par son président? Le DSI aujourd hui met du numérique dans son process interne, dans ses produits, dans sa relation client et il contribue à créer un monde de l internet des objets. Il aura, me semble-t-il, trois préoccupations majeures. Les données seront primordiales. Le DSI doit scrupuleusement veiller à leur confidentialité et «le DSI préserve le leur exploitation. Deuxième angle, la sécurité : le DSI préserve patrimoine le patrimoine informationnel de son entreprise. C est un de ses rôles premiers. Enfin, le DSI assure une veille technologique informationnel de dans un monde en mutation incessante. Il se doit d être son entreprise» porteur des technologies de demain qui seront source de valeur pour l entreprise. cette valeur. François SOREL : Ludovic, vous vouliez aborder le sujet du BYOD. Ludovic TASSY : Heureusement qu avec le Cloud et le BYOD l infrastructure et le matériel nous échappent. Si le DSI veut apporter de la valeur et se tourner plus vers les métiers, être force d accompagnement et de réactivité, il doit cesser de gérer ce qui peut l être beaucoup mieux par d autres acteurs. Quant au BYOD, je crois que le DSI doit arrêter de prescrire tel ou tel service. Nous avons virtualisé les applications, il faut qu elles soient adaptées aux différents matériels. Nous ne pourrons pas, de toute façon, manager tous les devices. Et quand bien même, cela serait extrêmement onéreux. Nous sommes devenus plus adaptables, plus réactifs et beaucoup plus attractifs pour la génération Y. Nous les laissons venir avec leur matériel. Je pense qu en étant plus proche des métiers, nous sommes au plus près des projets et c est un bien pour l entreprise! 16

17 François SOREL : Vincent, votre conclusion Vincent DUCREY : L enjeu aujourd hui pour le DSI est de «coller» au business. La question est la proximité entre les DSI et les décideurs. Il est important de réfléchir au manifeste du DSI de demain. L Agora est la structure idéale pour penser l écriture d un tel manifeste! «Le DSI doit coller au business» François SOREL : Anne-Sophie, le mot de la fin Ces données que l on a évoquées, sont-elles suffisamment protégées? Existe-t-il un risque? Anne-Sophie POGGI : Oui, le risque est là. Ces données ne sont ni identifiées, ni valorisées, ni même bien protégées. Trois publics exigent cette protection : le grand public, les salariés et les fournisseurs. Des moyens sont efficaces, ce sont la charte informatique, les conventions de confidentialité et la mise en place de gestion d outils de traçabilité d intervention sur les données. François SOREL : Merci infiniment à vous tous pour cette table ronde de grande qualité. 17

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19 Message vidéo d Hubert TOURNIER, Vice-président de l AFAI «Bonsoir à tous! L AFAI est une association française qui existe depuis trente ans environ. Forte de 900 membres qui s intéressent à la maîtrise de système d information. Nous regroupons cinq communautés d individus, ceux qui se penchent sur la gouvernance de systèmes d information, typiquement des DSI, d autres sur la gestion des risques, d autres encore sur la sécurité, les RSSI et ceux qui gravitent autour de ces fonctions, auditeurs, consultants internes ouy externes chargés d apporter de bonnes pratiques au sein de l entreprise. HUBERT TOURNIER L AFAI est rattachée à une association mondiale qui se nomme l ISACA (Information Systems Audit and Control Association), qui comporte membres présents dans 180 pays. Tous concourent à identifier puis promouvoir les bonnes pratiques du système d information. Au-delà des échanges entre pairs, les moyens déployés comportent des publications. Nous éditions des référentiels, certains très connus tel le CobiT, d autres comme Risk IT (gestion des risques) et Val IT (création de valeur). Nous organisons des manifestations, de la formation auprès des juniors pour les hisser au niveau de maîtrise qui leur est demandé. Pour les plus confirmés nous proposons des certifications qui confirment leur niveau de bonnes pratiques, et ces certifications leur permettent d envisager de partir travailler dans d autres pays car elles sont valeur de diplômes à l international, notamment dans le monde anglo-saxon. Le monde change en permanence. Les DSI sont en première ligne face à ces évolutions. Les business modèles des entreprises ne cessent de bouger. Traditionnellement positionnés sur des enjeux de maîtrise de la conformité de la gestion des risques, d exigences budgétaires, les DSI sont de plus en plus soumis à des contraintes de temps dans la mise en œuvre de nouvelles solutions. La bonne solution pour exécuter correctement ces missions dans ce contexte complexe reste d échanger entre pairs, partager les bonne pratiques, et lorsqu elles n existent pas, de contribuer à les identifier puis à les formaliser. C est ainsi que l on peut agir non pas dans le feu de l instant mais avec un certain recul qui permet de mieux maîtriser les systèmes d information et de s assurer que le résultat soit de confiance et créateur de valeur». 19

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21 Résultats du questionnaire «Quel est le profil du DSI de demain?» et remise des prix Agora des DSI 2013 Ce quizz a été effectué lors du cocktail de début de soirée sur tablettes tactiles. Des hôtesses sont passées parmi les tables lors du dîner pour permettre à ceux qui n avaient pas encore participé de jouer. Sébastien GUENARD, David LANIADO, DSI de Babilou et Fabrice Benaut, DSI IFR du groupe GFK, rendent les résultats. Le quizz comportait neuf questions, de la data au digital en passant par les métiers et la technologie, toutes ces dimensions du métier et qui déterminent le profil du DSI de demain. Les prix ont été remis à ceux qui s étaient rapprochés des neuf réponses les plus exprimées. Le DSI est membre du Comex Le DSI est proche des métiers Le DSI participe à la création de valeur Le DSI est expert stratégique Le DSI a une influence transverse Le DSI partage avec ses pairs 21

22 Le DSI a une dimension internationale Le DSI évangélise le digital dans l entreprise Le DSI maîtrise les technologies Ce questionnaire a été développé en un temps record par A3IS : l application a été développée en moins de trois jours! Fabien RICO son président se joint à la remise des prix. Les gagnants, ceux qui se sont rapproché le plus de la liste type : Le premier est Stéphane MARIOTTO, DSI de la MAF (Mutuelle des Architectes Français), il reçoit un weekend «Lucien Barrière» Le deuxième, Jacky GALICHER, DSI de l Académie de Versailles, gagne un coffret cadeau Lucien Barrière «Escale et plaisir». Le troisième prix est remporté par le DSI de NextiraOne, Jean-Luc AMAGAT. Fabrice BENAUT conclut la cérémonie en ces termes : «Chacun parmi nous est compétent et respectueux des métiers des uns et des autres. Et avec l appui de sa direction, un bon DSI peut rapidement devenir directeur général. Il y a d ailleurs un exemple dans la salle!» (applaudissements). 22

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24 Merci à nos partenaires 24

25 Ludovic TASSY et Robert EUSEBE remercient le Comité d Organisation, les sponsors principaux, Samsung, Orange et Ernst & Young. Ainsi que l équipe d Agora Fonctions. Comme annoncé la soirée a été vivante, en effet «l Agora pétille bien et met le feu». «Dans un contexte où les DSI voient leurs clients internes et externes très avancés dans l usage, où l arbitrage du «tout digital» est à mettre en perspective avec l acceptation et l équilibre de l humain, où les DSI doivent mesurer et juger rapidement les risques et les opportunités sur des choix technologiques toujours plus innovants, il est indispensable de travailler en mode prospectif et participatif» ont-ils conclus. Nul doute que ce premier Gala a permis de répondre à ces attentes en posant les jalons de ce que sera la DSI de demain! 25

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