COMMUNE DE QUAIX-EN-CHARTREUSE

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1 Agence de l'eau Rhône Méditerranée Corse Conseil Général de l Isère Direction Départementale de l Equipement de l Isère Subdivision de Grenoble Aménagement COMMUNE DE QUAIX-EN-CHARTREUSE SCHEMA DIRECTEUR D ASSAINISSEMENT INVESTIGATIONS COMPLEMENTAITRES : TESTS A LA FUMEE mars 2007 Etude :

2 Titre Objet : SCHEMA DIRECTEUR D ASSAINISSEMENT : INVESTIGATIONS COMPLEMENTAIRES : TESTS A LA FUMEE : SCHEMA DIRECTEUR D ASSAINISSEMENT RECENSEMENT DES INSTALLATIONS D ASSAINISSEMENT COLLECTIF ET NON COLLECTIF, SUR L ENSEMBLE DU TERRITOTIRE COMMUNAL DIAGNOSTIC DU RESEAU COLLECTIF D ASSAINISSEMENT REALISATION D UNE CARTE REGLEMENTAIRE, DITE DE «ZONAGE D ASSAINISSEMENT» Maître d ouvrage Assistant à Maîtrise d ouvrage : Commune de Quaix-en-Chartreuse : DDE de l Isère, Subdiv. Grenoble Aménagement Affaire suivie par : Franck Mavridis Etude référencée : 2A 1797 / Rapport émis en : mars 2007 B&R Ingénierie Rhône Alpes 10 Chemin du Pré Carré INOVALLEE MEYLAN Tél. : Fax : meylan@verdi-ingenierie.fr

3 SOMMAIRE 1. INTRODUCTION LE BUT D UNE TELLE ETUDE LES TESTS A LA FUMEE INTRODUCTION ET PROTOCOLE EXPERIMENTAL LES RESULTATS...6 ANNEXES :...7 Figures Figure 1 : Installation du générateur de fumée B&R Ingénierie Rhône Alpes - 1 -

4 LEXIQUE DES ABREVIATIONS UTILISEES D.B.O. 5 : D.C.O. : D.D.A.F. : D.D.A.S.S. : D.D.E. : D.O. : E.C.M. : E.C.P.P. : E.H. : F.E. : H 2 S : I.B.G.N. : NH + 4 : M.E.S.t : M.F. : M.H. : NO - 3 : NO - 2 : N.T.K. : M.E.S.t : ph : Pt : P.V.C. : Q : R.A.S. : rh : Step : T.N. : Z.N.I.E.F.F. : : : Demande Biologique en Oxygène sur 5 jours Demande Chimique en Oxygène Direction Départementale de l Agriculture et de la Forêt Direction Départementale de l Action Sanitaire et Sociale Direction Départementale de l Equipement Déversoir d'orages Eaux Claires Météoriques Eaux Claires Parasites Permanentes Equivalent Habitant Fil d eau Sulfure d hydrogène Indice Biologique Global Normalisé Ammoniaque Matières En Suspension Totales Matières Fécales Matières Hygiéniques Nitrates Nitrites Azote Total Kjeldhal Matières En Suspension totales Potentiel Hydrogène Phosphore total PolyChlorure de Vinyle Débit Rien à Signaler Potentiel rédox Station d épuration Terrain Naturel Zone Naturelle d Intérêt Ecologique, Floristique et Faunistique Résultat conforme Résultat non conforme B&R Ingénierie Rhône Alpes - 2 -

5 PREAMBULE La problématique de l eau, qu elle soit abordée selon un aspect quantitatif (demande en eau croissante, disponibilité des ressources en eau ) et/ou qualitatif (qualité des eaux de surface et des eaux souterraines, traitement des eaux usées, potabilisation de l eau ), représente, de nos jours, un enjeu majeur. Les ressources en eau douce ne sont pas inépuisables et il est donc indispensable de correctement les gérer. La diminution des rejets polluants est l affaire de tous : industriels, agriculteurs, usagers domestiques ; nous sommes en effet tous concernés, car tous «pollueurs». La pollution domestique provient des utilisations de l eau par les habitants. On distingue les eaux vannes (eaux de toilettes) et les eaux ménagères (eaux de lavage). L ensemble représente environ 120 à 150 litres par jour et par habitant. La pollution domestique est essentiellement organique (D.B.O. 5 et D.C.O.), sous forme d azote et de phosphore (graisses, déchets organiques ), mais elle peut aussi être chimique (poudre à laver, détergents ). En complément de cette pollution domestique, il convient de considérer la pollution produite par les industries, artisanats et entreprises diverses. Cette pollution est généralement très dommageable pour le milieu naturel, car elle équivaut à la pollution domestique de plusieurs habitants. Ainsi, intervient à ce niveau la notion d Equivalents habitants, qui permet de quantifier la pollution des rejets spéciaux. L apparition d une pollution dans un milieu aquatique engendre son déséquilibre et peut modifier la nature de sa faune et sa flore. L eutrophisation (prolifération de végétaux entraînant la saturation du milieu) apparaît lorsque l azote et le phosphore sont en excès ; ce phénomène appauvrit l écosystème aquatique et dégrade les ressources en eau disponibles B&R Ingénierie Rhône Alpes - 3 -

6 1. INTRODUCTION 1.1 LE BUT D UNE TELLE ETUDE Dans le cadre du schéma directeur d'assainissement de la commune de Quaix-en- Chartreuse, une étude diagnostique du réseau d'assainissement a été réalisée. Elle a notamment révélée des infiltrations d'e.c.p.m. (Eaux Claires Parasites Météoriques) sur le réseau séparatif d'eaux usées du bourg. Ces apports d'eaux claires nuisent au fonctionnement et à l'efficacité de la station d'épuration. Les apports peuvent provenir : - soit de problèmes d'étanchéité sur les regards ou branchements, - soit de connexions directes de toitures et de gouttières sur le collecteur des eaux usées. Les volumes mis en jeux ont été estimés comme correspondant à l'équivalent d'environ 3 toitures (sur la base d'une surface moyenne de 100m²). La commune a donc souhaité la réalisation de tests à la fumée afin de localiser précisément les dysfonctionnements. Des investigations ont ainsi été réalisées dans la journée du 27 février 2007, sur les secteur de la Frette, le Bourg et la Jars. L'objet du présent rapport est de présenter la méthodologie employée et les résultats des tests B&R Ingénierie Rhône Alpes - 4 -

7 2. LES TESTS A LA FUMEE 2.1 INTRODUCTION ET PROTOCOLE EXPERIMENTAL Prévus uniquement pour les tronçons séparatifs d eaux usées (et non unitaires), les tests à la fumée permettent de localiser les apports d eaux claires, par le biais de gouttières et/ou d avaloirs et de grilles au sol. Dans les secteurs étudiés la gestion des eaux pluviales est généralement gérée à la parcelle, mais certains tronçons bénéficient de collecteurs. Le principe consiste à injecter dans un regard de visite de la fumée sous pression (moteur thermique de tondeuse, associé à un ventilateur puissant). La fumée, quant à elle est en réalité de la parafine qui, une fois chauffée, se transforme en fumée blanche, inodore et inoffensive pour l être humain. La photo ci-après présente une installation type sur un regard de visite : Figure 1 : Installation du générateur de fumée Tous les appareils sanitaires étant théoriquement dotés d un siphon, situé au niveau de l évacuation des eaux vannes ou ménagères, la fumée ne peut normalement pas être observée à l intérieur des habitations. Ainsi, les seules résurgences possibles de la fumée sont observables au niveau des descentes de gouttières, des avaloirs ou des grilles au sol (en domaine public ou privé). On peut dès lors conclure que les lieux de résurgence de la fumée concernent des surfaces actives, raccordées à tort au réseau d assainissement séparatif B&R Ingénierie Rhône Alpes - 5 -

8 2.2 LES RESULTATS Ces tests à la fumée ont été effectués le 27 février Le matériel utilisé était un générateur de fumée de type THERMO SMOKE, commercialisé par la société AGRIPPA, basée à Chassieu, dans le Rhône. Le linéaire inspecté fut environ égal à 2000 mètres linéaires. Les secteurs concernés étaient les suivants : Hameau de la Frette, Village de Quaix, Hameau de la Jars Environ une dizaine de points d injection de fumée ont été nécessaires pour recouvrir tout le linéaire testé : Les résultats exhaustifs sont donnés sous forme cartographique, en annexe 1. Les conclusions sont les suivantes : Sur le Bourg et la Jars - Un certain nombre de gouttières sont raccordées sur le réseau d assainissement (Cf. Annexes). C'est à ce niveau qu'arrivent les plus gros apports. - Un regard situé sur la route, au niveau de la Mairie, n'est pas étanche et collecte une partie des eaux qui ruissellent sur la voirie (anomalie directement observable). - Plusieurs boîtes de branchement ne s'avèrent pas étanches. Il peut donc y avoir des infiltrations à ce niveau. L'infiltration directe des eaux météoriques est possible, mais c'est en particulier les ruissellements qui peuvent rentrer au niveau de ces boîtes qui sont la plupart du temps totalement descellés. L'ensemble des apports qui ont été localisés sont cohérents avec les débits mesurés pendant l'étude diagnostique. Sur la Frette - Une gouttière et un branchement non étanche sont signalés. Les apports d'e.c.p.m. sur la Frette sont donc moindres que ce que l'on pouvait craindre. L'ensemble de ces résultats sont présentés sous forme photographique et cartographique dans les annexes ci-après B&R Ingénierie Rhône Alpes - 6 -

9 ANNEXES : ANNEXE 1 : PRESENTATION PHOTOGRAPHIQUE DES ANOMALIES PRINCPALES...8 ANNEXE 2 : PLANS DE LOCALISATION DES ANOMALIES B&R Ingénierie Rhône Alpes - 7 -

10 ANNEXE 1 : PRESENTATION PHOTOGRAPHIQUE DES ANOMALIES PRINCPALES B&R Ingénierie Rhône Alpes - 8 -

11 Secteur : Village Habitation : n 1 (Cf. localisation cartes en Annexe 2) B&R Ingénierie Rhône Alpes - 9 -

12 Secteur : Village Habitation : n 2 (Cf. localisation cartes en Annexe 2) B&R Ingénierie Rhône Alpes

13 Secteur : La Jars Habitation : n 3 (Cf. localisation cartes en Annexe 2) B&R Ingénierie Rhône Alpes

14 Secteur : La Jars Habitation : n 4 (Cf. localisation cartes en Annexe 2) Vue gouttière Boîte de branchement non étanche B&R Ingénierie Rhône Alpes

15 Secteur : La Frette Habitation : n 5 (Cf. localisation cartes en Annexe 2) B&R Ingénierie Rhône Alpes

16 ANNEXE 2 : PLANS DE LOCALISATION DES ANOMALIES B&R Ingénierie Rhône Alpes

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