Conférence sur les ressources stratégiques au Sahel
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- Diane Ledoux
- il y a 7 ans
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1 Colonel Oumar DIALLO dit Birus Bamako Mali Conférence sur les ressources stratégiques au Sahel Très chers amis, C est pour moi aujourd hui un réel plaisir et une grande fierté de prendre la parole devant cette auguste assemblée pour parler des ressources stratégiques au Sahel. Le sujet est très vaste, c est pourquoi je vous serai très reconnaissant de faire preuve de beaucoup d indulgence pour les insuffisances de mon exposé qui, j espère vous apportera un certain éclairage. Avant tout, je tiens à remercier la fondation pour cette invitation et à travers elle, je souhaiterai rendre ici un hommage sincère au professeur Issa N Diaye que je considère comme mon parrain. Je lui suis reconnaissant de sa grande amitié pour ma modeste personne et j espère être à la hauteur de la tâche. Dans votre mail du 1 er février 2013, vous fixiez le thème en ces termes: «Dans le premier panel, nous souhaitons avoir des informations précises sur les ressources stratégiques dans la région, la «guerre» de positionnement entre les opérateurs économiques et les Etas pour les contrôler, et les projets d infrastructures de transport des hydrocarbures dans la zone. Les intervenants pourront montrer en quoi les ressources peuvent être facteurs de développement ou de conflit et d instabilité politique, notamment dans des régions où les populations ont des cultures et des modes de vie différents, et où les relations entre les groupes culturels et en leur sein peuvent être marquées par la discrimination et de fortes inégalités. Dans le second, l objectif est de voir comment mettre en œuvre une gestion concertée des ressources pour prévenir les conflits et organiser le développement sans quoi il ne peut y avoir de paix et de stabilité». Les informations précises sur les ressources stratégiques dans la région du sahel porteront sur : - Le listing de certaines d entre elles de façon non exhaustive naturellement que je vous propose dans des images scannées ci dessous :
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10 - Des extraits de la déclaration de politique minière du gouvernement de la République du Mali qui date d octobre 1998
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30 - De la recherche minière et celle pétrolière :
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35 L or jaune : une filière relancée : Potentialité Avec 52,778 tonnes d or extraites en 2008, le Mali est le 3è producteur africain, après l Afrique du Sud et le Ghana, et le 11è producteur mondial. L or est de loin le premier produit d exportation du Mali (voir graphique chap,i,3) p.22 : structure des exportations en 2006 et Avec une valeur de 546 milliards de francs CFA en 2007, la production d or a rapporté dans les caisses de l Etat, 120 milliards de francs CFA. On estime actuellement la quantité d or à extraire à au moins 800 tonnes. Sept gisements situés au Sud et Sud- Ouest du Mali, dont la plupart est exploitée par les plus grandes sociétés mondiales (Anglogold Ashanti et Rangold Ressources, Iamgold, Avnel Gold, Newsun Ressources) assurent l essentiel de la production industrielle :. Sadiola (156 tonnes d or). Morila (88 tonnes) dont l exploitation doit s achever vers Yatéla 28,35 tonnes). Loulo (45 tonnes à ciel ouvert). Kalana 12,5 tonnes). Tabakoto (58 tonnes à ciel ouvert). Syama (120 tonnes d or), dont la production a été relancée en Perspectives Alors qu on se résignait à voir la production chuter à 35 tonnes à l horizon 2012, des signaux rassurants pour l avenir de la filière sont apparus. Non seulement de nouveaux gisements comme celui de Kodiénan, exploité par la société malienne Wassoulor, sont mis en exploitation, mais la prospection s étend au Nord du pays, depuis la découverte d un gisement en Algérie (Tamanrasset), à la frontière malienne. En tout, plus de 120 sociétés sont en permis d exploitation. Diamant Autres matières précieuses et semi-précieuses Sa présence est attestée dans les zones de Kéniéba (Kayes) et dans les régions du Gourma, de Klalana, de Yanfolila et de l Adrar des Iforas.
36 Platine Des indices de ce métal très recherché ont été relevés à Touban (Sikasso) et dans l Adrar des Iforas. Pierres semi-précieuses On trouve des gisements de grenat à l Ouest du Mali, dans la région de Kayes, notamment vers Sibindi-Sangafé, et de la fluorine toujours dans la région de Kayes ainsi que dans celle de Kidal. Le pétrole Des études ayant confirmé la présence d importantes réserves de pétrole au Mali, l exploration bat son plein dans cinq bassins sédimentaires. - Le bassin de Taoudenit, qui est le plus vaste bassin sédimentaire onshore d Afrique Occidentale avec une superficie estimée à environ km2. Il totalise 11 blocs (1, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 16, 20 et 22). - Le graben de Gao, qui apparaît en fait comme un demi graben, s appuie au Nord-Est sur la périphérie Sud et Ouest de l Adrar des Iforas et vient buter contre le Gourma par la faille du Niger. Il totalise 4 blocs (10, 11, 21 et 28) - Le fossé de Nara/Macina, qui est contigu au Nord au vaste bassin sédimentaire de Taoudéni.Il totalise 9 blocs (12, 13, 17, 18, 19, 23, 24, 25 et 29) - Les bassins de Tamesna et des lullemeden (2 blocs chacun, soit, respectivement, les blocs n 14 et 26, 15 et 17), qui constituent des sous bassins de celui de l Azaouak.Ce dernier repose sur le craton est-africain, à l Est de la ligne de suture panafricaine. Il est limité au Nord par le Hoggar, à l Est par l Aïr, à l Ouest par l Adrar des Iforas et au Sud par le bouclier nigérien. Les cinq bassins sont divisés en 28 blocs pétroliers (29 initialement, avant la fusion de blocs 2 et 4), dont 15 ont été attribués à des sociétés partenaires ( ENI-Sipex,Sipex, Afex-Glencore, Oranto-Glencore, MPSA, MOID-Heritage, Mohan, Selier, Petroma, Martagon-Falcon, Markmore et Tink) et 13 sont disponibles. Les blocs libres se répartissent comme suit : Bassin de Taoudéni : blocs1, 3, 9 et 22 Graben de Gao : blocs 21 et 28 Fossé de Nara/Macina : blocs 19, 23 et 29 Bassin de Tamesna : blocs 14 et 26
37 Bassin des lullemeden : blocs 15 et 27 Fer Les métaux ferreux Les réserves maliennes sont estimées à 2 milliards de tonnes, essentiellment dans la région de Kayes, notamment à Balé (1 milliard de tonnes), à Diamou (150 millions de tonnes) et à Djidjan-Kéniéba (10 millions de tonnes). Mais des indices ont également été décelés à Naréna et Moribougou (Sud de Bamako), ainsi que dans l Adrar des Iforas. Première initiative d envergure dans le secteur, la société Sahara Mining, filiale de la compagnie indienne Sandeep Garg, ambitionne d extraire de la chaîne montagneuse de Tienfala, à une vingtaine de kilomètres de la capitale, environ tones de minerais. L investissement global est de 40 millions de dollars, pour des gisements de fer occupant une superficie de km2. Les réserves mesurées sont estimées à environ 92,13 millions de tonnes, avec une quantité de minerais se situant entre 63 et 67 % de récupération de fer favorable pour l industrie de fabrication d acier et autres éléments dérivés. Soit un taux parmi les plus favorables au monde. La durée de vie estimée de l exploitation est de 40 ans. Manganèse Les réserves sont estimées à au moins 150 millions de tonnes, ce qui correspond au gisement de Tassiga, près d Ansongo (région de Gao). De nouveaux indices, trouvés à Agoula, Tondibi, et Ofalikin, laissent penser que la région pourrait être encore plus prometteuse. Chrome Seuls des indices ont été pour l instant relevés dans l Adrar des Iforas (Timétrine). Nicke De miltples indices sont apparus dans la région de Sikasso (Touban) et dans celle de l Adrar des Iforas (Tin Teborack et Tin Bidine). Bauxite Les métaux non ferreux Estimées à 1,2 milliards de tonnes, les réserves sont immenses. Les trois principaux gisements sont les suivants : - Bamako-Ouest (Koulala, Famansa, Sarala), évalué à 540 millions de tonnes - Baléa, au Sud de Bamako (Koubaya, Sitouma, Gangaa) évalué à 380 millions de tonnes - Faléa, dans la région de Kayes, au Sud de Kéniéba, évalué à 168 millions de tonnes
38 Cuivre Les indices de ce métal sont multiples à Kayes, Gao et Kidal. Plomb, Zinc Les réserves sont estimés à 1,7 millions de tonnes. Un gisement non évalué existe dans la région de Kidal, et des indices ont été décelés à Fafa (Gao), Dogo et Feretou (Nord-Est de Bougouni). Lithium Lié à des intrusions granitiques, le gisement de Bougouni contient 4,3 milliards de tonnes de spodumèbe. Autres De nombreux indices d étain, de tungstène, de tantale, et de niobium, tous liés à des infiltrations granitiques, existent dans la région de Kéniéba (Kayes) et dans l Adrar des Iforas. Uranium Matières énergétiques solides Comme le Niger voisin, le Mali pourrait regorger d uranium. En février 2008, la firme australienne Oklo Uranium Ltd a annoncé la découverte de sérieux indices à Samit (région de Kidal, 200 tonnes d U308 estimées), ainsi qu à Loulo (Kayes). Lignite La présence de ce charbon a été repérée vers Bourem (région de Gao) Calcaire Matières solides non métalliques Le calcaire est utilisé pour la fabrication de carreaux et de ciment. Les réserves sont considérables puisqu elles pourraient aller jusqu à 122 millions de tonnes, essentiellement dans les régions de Gao(Bah et Héri), Mopti (Dimamou et Tchiroual) et Kayes ( Gangontérie, Madina, Dinguiralogo). Marbre Les réserves atteignent 60 millions de tonnes, dont une grande partie dans la région de Koulikoro (Sélenkegny).
39 Phosphate Les réserves sont estimées à au moins 20 millions de tonnes, essentiellement dans le gisement de phosphate naturel de Tilemsi (PNT, situé dans le Nord désertique), dont l exploitation vient d être relancée. Il existe dans la même région deux autres gisements non évalués. Gypse Les réserves de gypse avoisinent les tonnes et sont localisées dans les régions de Kidal et Tombouctou. Autres De nombreuses matières non métalliques sont disponibles dans le sous-sol malien, comme le sel gemme (53 millions de tonnes à Taoudéni), la brytine (Kita,Kayes et Yélimané), la diatomite (Tombouctou), le Kaolin et l argile ( Bamako,Sikasso) - De l Initiative pour la Transparence dans les Industrie Extratives (ITIE) : On se rappelle que l ITIE a été lancée en 2002 pour améliorer la transparence dans la gestion des ressources naturelles telles que : le pétrole, le gaz et les minerais (or, bauxite, uranium etc). Depuis lors, de nombreux pays ont adhéré à l initiative, et plusieurs d entre eux ont élaboré et publié des rapports ITIE. Le Mali en tant que 3 ème producteur d or en Afrique, a adhéré en 2007 à cette initiative. Par cette adhésion, le Gouvernement du Mali s engage à assurer la transparence des paiements et des revenus générés par les industries extractives, rendre cette information accessible à l opinion publique nationale et internationale et créer les conditions pour que la manne minière soit un moteur de la croissance économique et un facteur de développement durable. Le processus de mise en œuvre de l ITIE porte sur les phases suivantes : la période d adhésion et de mise en place d un cadre institutionnel, la période d élaboration et de validation de rapports d audit des flux financiers sur un ou plusieurs exercices budgétaires annuels, la période de validation de l audit par un validateur externe de mise en œuvre du processus de l ITIE et la dissémination des informations auprès des acteurs. Le Mali se trouve à l étape de validation. Le Secrétariat Permanent de l ITIE au Mali dispose d un cadre institutionnel réel a mené les activités suivantes : la vérification des flux financiers et des revenus en provenance de l industrie extractives et ceux déclarés par l Etat, la réconciliation des informations et la tenue de l atelier de validation du 1 er rapport d audit de l exercice 2006 le 09 décembre 2009.
40 A ces activités s ajoutent la réalisation des sessions de formations, d information et de sensibilisation des sociétés minières, des cadres de l administration, des composantes de la société civile et des communicateurs, journalistes ou hommes de médias début mars Ces sessions qui ont commencé à Bamako se poursuivront dans toutes les régions du Mali à l intention des mêmes cibles. Par la tenue de la réunion du Comité de Supervision sous la Présidence du Premier Ministre, en présence des Ministres impliqués et des membres du comité de pilotage, le processus de mise en œuvre de l ITIE se renforce. Elle confirme en tout cas, si besoin en était, la pleine adhésion du Gouvernement du Mali au processus de l ITIE. Elle fut l occasion pour le Secrétaire Permanent de L ITIE de faire l état de mise œuvre de l ITIE et d expliquer les difficultés qui le handicapent. Le Premier Ministre a expliqué l importance de l ITIE pour le Mali, et a remercié les partenaires notamment la GTZ pour son accompagnement et la Banque mondiale. Le Chef du Gouvernement a insisté sur la poursuite de la mise en œuvre de l ITIE et invité à plus d engagement au niveau de tous les acteurs. Il faut reconnaitre qu au Mali, il n ya pas de guerre de positionnement entre les opérateurs économiques et les Etats. Bien au contraire, tout est fait pour attirer le maximum d investisseurs dans un environnement où il ya suffisamment de places pour tout le monde. Conclusion : Je m excuse d avoir abusé de votre patience par un exposé aussi long donc forcément ennuyeux. Je reste à votre disposition pour toute question et/ou contribution de votre part ; Je vous remercie. Paris le 26 février 2013
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