Concevoir un éco quartier L outil de montage stratégique de financement INTERVENTION DU 4 JUILLET 2013
|
|
- Jérôme Larochelle
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Concevoir un éco quartier L outil de montage stratégique de financement INTERVENTION DU 4 JUILLET 2013
2 Les Ecoquartiers un changement de modèle? Le modèle classique : L aménagement une activité économique reposant sur : - Un périmètre et une durée précise - Un programme de travaux d équipement de terrain accès et viabilisation voire équipements publics - Un programme de droit à construire - Traduit à travers un bilan d aménagement Qui n est pas forcément représentatif et adapté aux EcoQuartiers
3 Les Ecoquartiers un changement de modèle? La non représentativité du modèle classique pour les EcoQuartiers - Ne rend pas compte de l approche systémique - Est limitée spatialement et temporellement à une opération au sens jurisprudence - Relève d une activité économique - Est structurellement adossée à un projet d urbanisme
4 Les Ecoquartiers un changement de modèle? Le modèle classique : Le modèle EcoQuartier Une opération d aménagement Un bilan d aménagement Une opération d aménagement durable Un plan d investissement durable
5 Les Ecoquartiers un changement de modèle? L inadaptation du bilan financier classique : - Le bilan financier classique repose sur une activité économique de production de foncier constructible où en théorie la vente de droit à construire finance les acquisitions foncières et les coûts d aménagement. -De part sa nature, le bilan financier rend compte de l opération d aménagement mais pas des actions d aménagement (interventions immatérielles, petit investissement) qui ne sont pas ou peu lisibles. - Le bilan d aménagement se limite aux investissements dans la durée de réalisation de l opération. Il ne prend pas en compte l exploitation du quartier et les recettes fiscales liées. - Lorsque l opération d aménagement est structurellement déficitaire, porte un projet urbain ambitieux et donc couteux ou qu elle supporte des coûts liées à des politiques publiques, une participation publique peut financer le déficit. -Mais le bilan d aménagement ne permet pas de faire véritablement apparaitre l origine des déficits qui relèvent de différentes logiques : -Déficit structurelle de l opération : valeur de marché immobilier ne permettant pas de financer les coûts d aménagement et foncier. -Déficit lié à des politiques sectorielles : logement, transport -Déficit lié à l ampleur/ambition du projet urbain et de ses travaux d espaces publics
6 Les Ecoquartiers un changement de modèle Vers un plan d investissement durable Les objectifs de la nouvelle approche financière des EcoQuartiers - Un souci de clarification des coûts et des déficits aux regards des enjeux environnementaux et sociaux : Identifier/mobiliser les politiques sectorielles - Un souci de tableau de bord financier permettant de gérer l opération dans sa phase chantier et sa phase exploitation - Un outil analytique d arbitrage
7 Les différents modèles économiques des opérations urbaines Les opérations diffuses Les opérations d aménagement équilibrées Les opérations d aménagement classiques déséquilibrées Les Eco Quartiers Financement des équipements publics par la TA. Financements faibles au regard des besoins - Les opérations diffuses ne financent pas leurs besoins. Financements non affectés. Bilan limité à l investissement privé. Investissement public «caché». La vente des charges foncières financent les acquisitions foncières, les travaux d aménagement et certains travaux d équipements de superstructure. L équilibre est trouvé par la densité et le niveau du programme d équipements publics que l opération doit financer le reste à financer se fait dans le cadre du budget de la collectivité. Il y a peu de contraintes de politiques publiques Bilan limité à l investissement. Déséquilibres liés aux couts du recyclage foncier et à la faiblesse des charges foncières au regard des coûts d aménagement et d équipement. Bilan limité à l investissement avec financement public affiché. Déséquilibres en partie liés aux coûts du recyclage foncier, à la faiblesse des charges foncières. Avec par ailleurs l impact des coûts et des gains des mesures EcoQuartiers. Logique temporelle qui dépasse le temps de l opération pour prendre en compte l exploitation. Bilan limité à l investissement avec financement public affiché. 7
8 Les caractéristiques financières des EcoQuartiers Les Eco Quartiers sont des opérations d aménagement qui ont des ambitions en termes de développement durable. Ces ambitions se traduisent par la mise en œuvre d une série de mesures répondant à la fois aux objectifs de la grille EcoQuartier et aux politiques locales. Vente des droits à construire Ces mesures ont des coûts et peuvent générer des gains financiers en investissement et aussi en exploitation. L économie des EcoQuartier repose donc sur deux logiques qui interagissent : - Une logique économique classique de financement d acquisition foncière, de travaux d aménagement et d équipement par la vente de charges foncières le résultat rend compte de la rentabilité économique de l activité «aménagement». Travaux d aménagem ent Couts/Gains des mesures EQ Investissement et exploitation Travaux équipements publics - Une logique d investissement public qui génère des coûts et éventuellement des gains. Acquisitions foncières Libération foncière 8
9 Méthode d analyse de l économie des EcoQuartiers 1 Traduire les mesures EQ en terme d impacts économique s 2 Différencier les coûts/gains : - Qui ne génère pas d activité économique : «Investissement sans retour». - Qui génère une activité économique : «investissement d exploitation». 3 Déterminer une ou plusieurs méthodes d évaluation des coûts, des coûts relatifs et des gains de ces mesures. 4 Relier les mesures aux politiques locales. 5 Construire le plan d investissement durable du projet. 9
10 Les Ecoquartiers un changement de modèle Vers un plan d investissement durable Les principes de la nouvelle approche financière des EcoQuartiers - Considérer le bilan financier comme un plan d investissement permettant pour chaque action du projet, d identifier : - Son coût - La politique dans laquelle il s insère - Les modalités de financement notamment - celles de la politique sectorielle - celles des diminutions de coût d investissement - celles des gains d exploitation - Son plan de financement
11 Les Ecoquartiers un changement de modèle Vers un plan d investissement durable Application de la démarche à une opération concrète
12 Arborescence des principales mesures Eco Quartier Dimensions Cadre de vie et usages Ambitions Promouvoir le vivre-ensemble Promouvoir des modes de vie solidaires et responsables Offrir un cadre de vie agréable et sain Valoriser le patrimoine local, l identité et l histoire du quartier Sousambitions Promouvoir la mixité sociale Créer des lieux de Promenade et de détente Actions concrètes Diversification de l offre de logement, dont le logement social Priorité à la création d infrastructures de transport en commun et de modes de de déplacements doux (pistes cyclables) Etablissement d une densité à la fois amitieuse et cohérente avec le tissu existant Intensité, compacité et densité : dessiner un quartier adapté au contexte Assurer la mixité fonctionnelle Promouvoir une densité cohérente et acceptable Diversifier les fonctions urbaines à différentes échelles pour assurer une animation de quartier Promotion de la diversité des fonctions urbaines (habitat, activités, commerces) Conception de l espace viaire priorisant les modes doux Développement territorial Organiser au mieux les déplacements et diminuer la dépendance à l automobile Promouvoir des modes de déplacements alternatifs et durables Inscrire le projet dans la dynamique de développement local Organiser la mixité des flux de transports et de déplacements Valoriser les relations avec le milieu agricole et forestier Préservation des ressources et adaptation au changement climatique Réduire les émissions de Gaz à Effets de Serre, s adapter au changement climatique Optimiser les besoins en énergie et diversifier les sources Assurer une gestion qualitative et économe des ressources en eau Utiliser de manière raisonnée les ressources non renouvelables et limiter la production de déchets Gérer localement les eaux pluviales et les eaux de ruissellement Installation de noues et de bassins de rétention paysagère Développement des espaces de nature de proximité aux nouveaux habitants, création d une coulée verte Préserver la biodiversité, restaurer et valoriser la nature en ville Développer les espaces de nature sur le site du projet, en quantité et en qualité, en instaurant une trame verte
13 Diversification de l offre de logement La mesure dans le projet EQ Le programme de construction de l EcoQuartier prévoit la réalisation de 1060 logements sociaux, 30% de logements sociaux. Soit 10 % de plus que l obligation de la loi SRU. La valeur des charges foncières des logements sociaux est de 300 HT/m² contre 500 HT/m² pour des logements en accessions. Méthodes d évaluation financière Différence de valorisation des charges foncières dans le bilan pour les 10% de logements en plus. Application de la méthode d évaluation financière Coût à hauteur de : 10% de m² SHON x 200 m² = 4.6 M. HT Politique de l habitat : Objectif du PLH de la commune : «Maintenir ou développer la présence d une proportion conséquente de logements sociaux dans la construction neuve».
14 Promotion de la diversité des fonctions urbaines La mesure dans le projet EQ Le programme de construction de l EcoQuartier prévoit la réalisation d une Zone d Activité artisanale et de commerces de m² de terrain pour une charge foncière de 300 HT/ m² SHON moyen. Le nombre d emplois potentiel du site est de emplois Méthodes d évaluation financière Différentiel de densité activité/logement et de valorisation des charges foncières. Application de la méthode d évaluation financière COS activité 0.8 et COS logement 1.3 : Activité = 300 /m² SHON x 0.8 = 240 /m² et en logement, cela serait : 433 /m² SHON x 1.3 = 562 /m², soit différentiel de 322 /m², soit 14.9 M. HT Politique de développement économique : Objectif du SCOT : Opportunités de développement du contexte commune au sein du bassin de vie + création d emplois + recettes fiscales économique du fait de l intégration de la
15 Priorité à la création d infrastructures de transport en commun et de modes de de déplacements doux (pistes cyclables). La mesure dans le projet EQ Le programme de l EcoQuartier prévoit la réalisation de m² de voies, dont une partie ont été redimensionnées pour faire des infrastructures d intérêt communal. dont m² de voies de bus en site propre et m² de pistes cyclables. Le coût moyen d aménagement de la voirie s élève à 277 HT/m². Méthodes d évaluation financière Analyse du coût d aménagement de la voirie dans le projet. Identification de la part des infrastructures de TC en site propre et de déplacement dans le programme de travaux. Application de la méthode d évaluation financière - TC en site propre = ml, soit 6.4 M. HT - Pistes cyclables = m², soit 5.2 M. HT Coût intégré dans le total du coût d aménagement de la voirie de 19 M. Politique de transport: Action mise en avant par le PDU : «Mettre en œuvre un nouveau partage multimodal de la voirie pour faciliter l usage des modes alternatifs à la voiture».
16 Installation de noues et de bassins de rétention paysagères La mesure dans le projet EQ Le programme de l EcoQuartier prévoit la création de noues naturelles pour assurer la gestion des eaux pluviales. Méthodes d évaluation financière Comparaison des coûts d investissement et de gestion des eaux pluviales entre les réseaux enterrés et les noues : - Coût d investissements des noues 2.5 fois inférieur aux réseaux enterrés. - Coût d entretien au mètre linéaire d un réseau enterré : 110 /ml, noue : 45 /ml Application de la méthode d évaluation financière Gain d investissement de 9.15 M. intégré dans les 43.4 M. et gain de fonctionnement de /an, en comparaison avec la réalisation d une gestion des eaux de pluie par un réseau enterré. Politique environnementale: La charte environnementale met en avant la nécessité de recourir à un nouveau mode de gestion des eaux pluviales, et notamment par l aménagement de noues et de bassins de rétention d eau.
17 Développement des espaces de nature de proximité aux nouveaux habitants La mesure dans le projet EQ Le programme de l EcoQuartier prévoit la réalisation d une coulée verte à l Est du site, de m², intégré dans m² d espaces verts. Méthodes d évaluation financière Différentiel de densité d espace vert entre le projet et la ville Application de la méthode d évaluation financière Part de la superficie des espaces verts : de la commune : 15%/ de l opération : 19 %, soit un différentiel de densité de 20 %, soit 1.8 ha qui aurait pu générer 7.2 M. HT de recettes de charges foncières logement. 1) Recette Charges Foncières : m² x 0.8 = m² SHON m² SHON x 1.3 = m² SHON x 433 /m² SHON = 8.1 M. HT 900 K = 7.2 K 2) Coût VRD = 277 /m² x = 997 K = 6 M. HT ( avec part de VRD= 20%) Politique environnementale: La charte environnementale met en valeur l importance de l intégration d une coulée verte au sein du projet et le développement des espaces de nature au sein du quartier.
18 Réalisation d un parking silo mutualisés La mesure dans le projet EQ Création d un parking silo mutualisé entre des places destinées aux bureaux et aux logements. Soit : besoin de 170 places de jour pour les activités et 132 places la nuit pour les logements, donc besoin total de 302 places pour logements et bureaux. Or, mutualisation des places de stationnement permet la réalisation d un parking à environ 196 places. Hypothèse d investissement : /place, soit 3.3 M Méthodes d évaluation financière Modalité financement : - Bilan promoteurs logements : /lgt, soit 427 K - Emprunt sur 30 ans (taux, 4.25 %), remboursé par les loyers. Application de la méthode d évaluation financière Simulation du bilan d exploitation d aménagement public : investissement financé en totalité par mutualisation des places. Politique de transport: Un des objectifs mis en avant par le PDU est de «permettre la mutualisation du stationnement, dans un soucis d économie de construction de parcs de stationnement supplémentaires», en particulier pour les nouveaux quartiers et les EcoQuartiers.
19 Hypothèse de gain d investissement par la réalisation de lieux de stationnement mutualisés Bilan d exploitation N N+ 1 N +2 Dépenses d exploitation Recettes d exploitation Charges financières Evolution du bilan d exploitation menant à une rentabilisation à moyen terme du parking silo (solde positif à partir de N+15 environ).
20 Le plan d investissement durable BILAN FINANCIER CLASSIQUE PLAN D INVESTISSEMENT DURABLE ET BILANS FINANCIERS Bilan d opération d aménagement Dépenses Politique concernée Habitat Urbanisme Transport Développement éco Environnement Enfance Etudes Acquisitions foncières Démol/Dépol VRD Equipements de superstructure Frais, aléas, marge. Mesure Dépenses Etudes Acquisitions foncières Démol/Dépol VRD Equipements de superstructure Frais, aléas, marge Recettes Cout/Gain Charges foncières Participations publiques Plan de financement Recettes Charges foncières Participations publiques
21 Les principes de la nouvelle approche financière des EcoQuartiers - Considérer le bilan financier comme un plan d investissement permettant pour chaque action du projet, d identifier : - Son coût - La politique dans laquelle elle s insère - Les modalités de financement notamment : - celles de la politique sectorielle - celles des diminutions de coût d investissement - celles des gains d exploitation - Son plan de financement : - Investissement d exploitation ou non - Financement public ou privé
22 L intérêt d une approche analytique - Un outil de clarification des coûts et des gains relatifs aux regards des enjeux environnementaux. - Un outil d identification des enjeux financiers de l EcoQuartier et des politiques sectorielles. - Un outil de compréhension des «déficits» d opérations. - Un outil d arbitrage financier de nature différente : le plan d investissement durable permet d identifier les différents leviers économiques du projet.
de formation des prix
Le mécanisme m de formation des prix 1 URBANiS 24 janvier 2011 DEUX MARCHES FONCIERS URBAINS Zone AU «stricte» le droit des sols n est pas défini, il est négocié Zone AU indicée et zone U le droit des
Plus en détailConsultation d acquéreurs en vue de la réalisation du programme de la Z.A.C. des Bergères ILOT DE LA ROTONDE - LOT N 19
Consultation d acquéreurs en vue de la réalisation du programme de la Z.A.C. des Bergères ILOT DE LA ROTONDE - LOT N 19 Eco-quartier des Bergères - Cahier des Charges de la consultation d acquéreurs ILOT
Plus en détailINNOVATION ET HABITAT PARTICIPATIF :
INNOVATION ET HABITAT PARTICIPATIF : Complément au chapitre VII «Valorisation du Patrimoine Régional et Projets Innovants» du cadre d intervention régional sur l habitat et le logement, adopté par délibération
Plus en détailPlan Climat énergie Territorial. notre défi pour l avenir du territoire!
Plan Climat énergie Territorial notre défi pour l avenir du territoire! La Communauté Urbaine en 2050... Celle de nos enfants, petits-enfants,... Quels objectifs pour ce Plan Climat? Vous rêvez pour eux
Plus en détailLa mutualisation du stationnement
La mutualisation du stationnement JOURNÉES EUROPÉENNES DES ÉCO-QUARTIERS Eric Gantelet 17 novembre 2010 La mutualisation du stationnement N 1 Plan de la présentation 1. Le rôle du stationnement 2.Qu est
Plus en détailIntervenant : Séverin Poutrel, BURGEAP
Capacités d accueil, aménagements commerciaux, mutabilité foncière : des outils concrets pour construire un SCOT intégrant les vulnérabilités énergétiques et climatique Intervenant : Séverin Poutrel, BURGEAP
Plus en détailCompte-rendu de la réunion de Duclair
Mai / Juin 2013 Cafés du SCoT Discussions autour du Document d Orientation et d Objectifs (DOO) Compte-rendu de la réunion de Duclair La Communauté de l Agglomération Rouen-Elbeuf-Austreberthe (CREA) poursuit
Plus en détailComment développer Ecoville : le cahier des charges
Comment développer Ecoville : le cahier des charges Les élus d Ecoville ont besoin de vous pour décider du futur de la commune. Ce document vous explique les objectifs principaux et les phases de développement
Plus en détailDELIBERATION N 12-1478 29 OCTOBRE 2012
DELIBERATION N 12-1478 29 OCTOBRE 2012 FONCIER Interventions foncières stratégiques Dispositif régional en sortie de portage de l'etablissement Public Foncier Provence-Alpes-Côte d'azur (EPF PACA) Affectation
Plus en détailPLAN LOCAL D'URBANISME COMMUNE DE RONCHEROLLES SUR LE VIVIER
PLAN LOCAL D'URBANISME COMMUNE DE RONCHEROLLES SUR LE VIVIER Orientations d'aménagement et de Programmation Rapport Agence Urbanités- agence DSM 1 Préambule Dans le cadre de la révision générale du PLU
Plus en détailVision de la planification «TOD Bois-Franc» Direction de l aménagement urbain et des services aux entreprises
Vision de la planification «TOD Bois-Franc» Direction de l aménagement urbain et des services aux entreprises S O M M A I R E La gare de train Bois-Franc deviendra la troisième station intermodale (métro/gare)
Plus en détailParc naturel urbain du champ de courses Réunion publique de présentation du programme. Lundi 8 décembre 2014 Stade Robert-Diochon
Parc naturel urbain du champ de courses Réunion publique de présentation du programme Lundi 8 décembre 2014 Stade Robert-Diochon Sommaire 1. Retour sur le processus de création du programme 2. Présentation
Plus en détailMESURES D ACCOMPAGNEMENT
LIVRET VI MESURES D ACCOMPAGNEMENT DE LA MISE EN ŒUVRE DU SCOT ET SUIVI DE L ANALYSE DE LA SITUATION 127 Sommaire I DES MESURES D ACCOMPAGNEMENT DE LA MISE EN ŒUVRE DU SCOT page 126 HABITAT EQUIPEMENTS
Plus en détailL approche Casino en matière de développement durable?
L approche Casino en matière de développement durable? 1 Les principaux enjeux pour Casino Optimiser la conception et la gestion des magasins (énergie, paysage, ) Environnement Maîtriser les impacts du
Plus en détailuniqué Commu continuité entre la urbaine quartier. La de Elle distingue Aménagement La élaborée avec HQE Aménagement opérations Riche 37).
Commu uniqué de presse e La Riche, 16 octobre 2013 «ZAC du Plessis-Botanique» : une opératio on de couture urbaine pour assurer la continuité du développement entre la Ville de La Riche la Ville de Tours
Plus en détailOpération d Intérêt National Éco-Vallée EcoCité plaine du Var. www.ecovallee-plaineduvar.fr
Opération d Intérêt National Éco-Vallée EcoCité plaine du Var www.ecovallee-plaineduvar.fr 1 2 3 3 Eco-Vallée Un nouveau positionnement économique Faire d Eco-Vallée l accélérateur de la mutation économique
Plus en détailAtelier 3 Vers le programme. Notions et définitions Présentation des terrains
Atelier 3 Vers le programme Notions et définitions Présentation des terrains Atelier 3 - Ordre du jour Programmation (19h) Notions et définitions (19h15) Echanges avec la salle (19h45) Présentation des
Plus en détailLutte contre l étalement urbain
Lutte contre l étalement urbain L étalement urbain et la consommation d espace résultent de plusieurs causes cumulatives. Ces phénomènes s expliquent notamment par l insuffisance et l inadaptation de l
Plus en détailIngénierie et action foncière. Janvier 2014
ANJOU PORTAGE FONCIER Ingénierie et action foncière dans la Politique Départementale de l Habitat Janvier 2014 Les outils d action foncière et td d urbanisme durable du PDH Une phase d étude préalable
Plus en détailLes normes de stationnement dans les plan locaux d urbanisme. Méthodes et bonnes pratiques
Les normes de stationnement dans les plan locaux d urbanisme Méthodes et bonnes pratiques Septembre 2001 Les normes de stationnement dans les plans locaux d urbanisme Méthodes et bonnes pratiques Septembre
Plus en détailVersion définitive approuvée après enquête publique
Secteurs 3 et 4 de Marne-la-Vallée et communes environnantes Phase 3 Version définitive approuvée après enquête publique ROLAND RIBI & ASSOCIES Ingénieurs-conseils et urbanistes s.à.r.l. 15, avenue de
Plus en détailAccélérer les projets de géoservices des PME. Réunion d information Paris, le 17 juillet 2014
ign.fr En partenariat avec Accélérer les projets de géoservices des PME 1 ère ÉDITION JUILLET 2014 Réunion d information Paris, le 17 juillet 2014 Nicolas Lambert (IGN) Eric Dubois (Cap Digital) LE PROGRAMME
Plus en détailLe nouveau programme national de renouvellement urbain. CRDSU septembre 2014
Le nouveau programme national de renouvellement urbain CRDSU septembre 2014 Un nouveau programme de renouvellement urbain! Un projet à l échelle de l agglomération, un projet intégré : le contrat de ville!
Plus en détailOpération d intérêt national Bordeaux Euratlantique. Point d étape
Opération d intérêt national Bordeaux Euratlantique Point d étape Une feuille de route initiale Un enjeu économique : - créer un centre d affaires européen (tertiaire supérieur) - faire un effet levier
Plus en détailÉTUDE PRÉPARATOIRE - SECTION IV SCHÉMAS DIRECTEURS. EP4-SD-LI-02a «AN DER UECHT» PROJET D AMÉNAGEMENT GÉNÉRAL DE LA COMMUNE DE KÄERJENG
AMÉNAGEMENT GÉNÉRAL DE LA COMMUNE DE KÄERJENG SECTION IV - ÉTUDE PRÉPARATOIRE PROJET D AMÉNAGEMENT GÉNÉRAL DE LA COMMUNE DE KÄERJENG ÉTUDE PRÉPARATOIRE - SECTION IV SCHÉMAS DIRECTEURS EP4-SD-LI-02a «AN
Plus en détailL Envol La destination shopping et détente de Montélimar
L Envol La destination shopping et détente de Montélimar Dossier de presse 15 octobre 2013 www.groupe-sodec.com Contact presse : Jeanne BAZARD jeanne.bazard@groupe-sodec.com 01 58 05 15 59-06 82 43 45
Plus en détailD Ismaël RAMI à Henri- Francis DUFOUR Marie-Christine BINOUX-REMY Christine LEBOCQ-CESTAN Khalil HENNI Amélie PASCAL
D Ismaël RAMI à Henri- Francis DUFOUR Marie-Christine BINOUX-REMY Christine LEBOCQ-CESTAN Khalil HENNI Amélie PASCAL Montbéliard, le 4 Mars 2011 Objet : Compte-rendu de la réunion en mairie de Vieux Charmont
Plus en détailFAVORISER LES DEPLACEMENTS ET LES TRANSPORTS LES MOINS POLLUANTS EXEMPLES, PROJETS, PROSPECTIVES
L EXEMPLE DE LA VILLE DE FRIBOURG ET DU QUARTIER VAUBAN EN ALLEMAGNE Responsables de 40 % des émissions de CO 2,, les transports routiers ont un impact non négligeable sur le réchauffement planétaire,
Plus en détailPARTICIPATION POUR VOIE ET RESEAUX
Fiche n 15 Loi URBANISME ET HABITAT PARTICIPATION POUR VOIE ET RESEAUX Situation avant la loi urbanisme et habitat : Depuis la loi S.R.U., le conseil municipal pouvait instituer une participation pour
Plus en détailTest électoral 2014 de la RTBF
ÉLECTIONS 2014 Test électoral 2014 de la RTBF L AVIS DES PRINCIPAUX PARTIS FRANCOPHONES EN MATIÈRE DE MOBILITÉ NIVEAU FÉDÉRAL Les voitures de société doivent être taxées plus fortement Il s agit avant
Plus en détailDébat d orientations budgétaires 2014. Conseil municipal du 4 novembre 2013
Débat d orientations budgétaires 2014 Conseil municipal du 4 novembre 2013 1 1. Un contexte économique toujours aussi tendu 2 Les éléments de contexte 2014 : année électorale Des inconnues avec les réformes
Plus en détailBÂTIMENTS / TRAVAUX PUBLICS TRANSPORT, SERVICES ET COMMERCE INTERNATIONAL
BÂTIMENTS / TRAVAUX PUBLICS TRANSPORT, SERVICES ET COMMERCE INTERNATIONAL A. PRÉSENTATION : BEST ENTREPRISE SARL est une société de droit sénégalais qui intervient dans les Bâtiments/Travaux Publics, le
Plus en détailDéveloppement du télétravail, Quel rôle pour les acteurs publics? Sylvie Mathon, CETE Nord Picardie
3ième journée d'étude nationale Nouveaux Services à la Mobilité Tours, 04 octobre 2012. Développement du télétravail, Quel rôle pour les acteurs publics? Sylvie Mathon, CETE Nord Picardie Un travail prospectif
Plus en détailLes EPFL sont des établissements publics dont la mission est d assister les collectivités
Fiche B2 juin 2013 CETE Nord Picardie Connaître les acteurs du foncier Les établissements publics fonciers locaux (EPFL) Laurent Mignaux/METL-MEDDE Les EPFL sont des établissements publics dont la mission
Plus en détailVers le renouveau du logement social Un besoin impératif A.DE HERDE
Vers le renouveau du logement social Un besoin impératif A.DE HERDE 1 Le nombre de logements dont la SWL et ses sociétés agréées sont propriétaires s élève à 101.242 ; le montant annuel des investissements
Plus en détailSOMMAIRE... 2 AXE 1 TOURNEFEUILLE, VILLE DE NATURE 4
Agenda 21 de Tournefeuille Actions détaillées OCTOBRE 2010 1 SOMMAIRE SOMMAIRE... 2 AXE 1 TOURNEFEUILLE, VILLE DE NATURE 4 Action 1.1 PROTEGER LA VILLE DES CRUES DU TOUCH... 5 Action 1.2 RENFORCER LES
Plus en détailÉTABLISSEMENT PUBLIC FONCIER DE LA VENDÉE. L expertise foncière au service. de vos projets
ÉTABLISSEMENT PUBLIC FONCIER DE LA VENDÉE L expertise foncière au service de vos projets Mot du Président Alain LEBOEUF Président de l EPF de la Vendée Les données démographiques nous le rappellent chaque
Plus en détailL autopromotion à Strasbourg. La démarche «10 terrains pour 10 immeubles durables»
L autopromotion à Strasbourg La démarche «10 terrains pour 10 immeubles durables» Ville et Communauté urbaine 1 parc de l Étoile 67076 Strasbourg Cedex - France Contact : forum-ecoquartiers@strasbourg.eu
Plus en détailPLAN LOCAL D URBANISME
PLAN LOCAL D URBANISME BROU-SUR-CHANTEREINE 2. PROJET D AMENAGEMENT ET DE DEVELOPPEMENT DURABLES Plan Local d'urbanisme prescrit le : 5 février 2010 Plan Local d'urbanisme arrêté le : 11 juillet 2013 Plan
Plus en détailMobilité urbaine Déplacements
4 Mobilité urbaine Déplacements ctualisation de la politique du stationnement Schéma multimodal de voirie Rééquilibrage et piétonnisation de l'espace public 083 4 Mobilité urbaine / Déplacements ctualisation
Plus en détailLa mutualisation du stationnement
» La mutualisation du stationnement Est-ce souhaitable? Est-ce possible? Comment faire? 26 novembre 2014 PREDIM - Mobilité multimodale intelligente -Mutualiser pour progresser mieux - Est-ce N 1 Est-ce
Plus en détailCOMPTES-RENDUS DES ATELIERS THÉMATIQUES AGENDA 21 COMMUNAUTÉ DE COMMUNES PAYS AUBENAS VALS JUIN 2010 - PHASE DE DIAGNOSTIC
COMPTES-RENDUS DES ATELIERS THÉMATIQUES JUIN 2010 - PHASE DE DIAGNOSTIC AGENDA 21 COMMUNAUTÉ DE COMMUNES PAYS AUBENAS VALS ATELIER N 1 «STRATÉGIE TERRITORIALE ET AMÉNAGEMENT» Animateur des ateliers thématiques
Plus en détailTAXES & PARTICIPATIONS : quelques outils à la disposition des communes
TAXES & PARTICIPATIONS : quelques outils à la disposition des communes La loi n 2000-1028 du 13 décembre 2000 relative à la solidarité et au renouvellement urbain, dite «loi SRU», avait instauré une participation
Plus en détailAPPEL A PROJETS FEDER QUARTIER DEMONSTRATEUR BAS CARBONE. Programme Opérationnel FEDER 2014 2020
APPEL A PROJETS FEDER QUARTIER DEMONSTRATEUR BAS CARBONE Programme Opérationnel FEDER 2014 2020 Axe 3 «conduire la transition énergétique en Région Nord Pas de Calais» Investissement Prioritaire 4e «en
Plus en détailSCHÉMA DIRECTEUR DES IMPLANTATIONS PORTUAIRES ET ACTIVITÉS DE LOISIRS DU CANAL DE L OURCQ
SCHÉMA DIRECTEUR DES IMPLANTATIONS PORTUAIRES ET ACTIVITÉS DE LOISIRS DU CANAL DE L OURCQ 1 OBJET DU SCHÉMA DIRECTEUR Une démarche partenariale du Département de la Seine-Saint-Denis, avec les collectivités
Plus en détailJ.9. Annexe DOSSIER D ENQUÊTE PRÉALABLE À LA DÉCLARATION D UTILITÉ PUBLIQUE
LIGNE 16 : NOISY CHAMPS < > SAINT-DENIS PLEYEL (LIGNE ROUGE) LIGNE 17 : LE BOURGET RER < > SAINT-DENIS PLEYEL (LIGNE ROUGE) LIGNE 14 : MAIRIE DE SAINT-OUEN < > SAINT-DENIS PLEYEL (LIGNE BLEUE) DOSSIER
Plus en détailHabitat participatif Appel à Projets n 1 Cahier des charges septembre 2013
Habitat participatif Appel à Projets n 1 Cahier des charges septembre 2013 Sommaire 1. Le contexte p 2 2. Les objectifs de ce premier appel à projets p 4 3. Les terrains concernés p 5 4. Le cahier des
Plus en détail47 équipements. Un projet urbain singulier et pluriel! Est Ensemble, une ambition métropolitaine. 1,8 million de m² constructibles à horizon 15 ans
9 villes Est Ensemble, une ambition métropolitaine La Communauté d agglomération Est Ensemble a été créée le 1 er janvier 2010. Située aux portes de Paris, elle regroupe 9 villes de Seine-Saint-Denis Bagnolet,
Plus en détailL essentiel de la réforme des autorisations d urbanisme
L essentiel de la réforme des autorisations d urbanisme Entrée en vigueur le 1 er octobre 2007 Toute demande d autorisation déposée le 1 er octobre sera soumise au nouveau dispositif. Tout dépôt de déclaration
Plus en détailAssociations Dossiers pratiques
Associations Dossiers pratiques L insertion par l économique Un secteur fragilisé (Dossier réalisé par Sébastien Desitter, Expert-comptable, Commissaire aux comptes, In Extenso Rhône-Alpes) Né dans les
Plus en détailCharte Ecoquartier Ivry-sur-Seine
Suivi et évaluation Niveaux de performance Charte Ecoquartier Ivry-sur-Seine Partie 2 Suivi et évaluation Version 1 Mai 2012 THEME 1 ASSURER LA COHERENCE TERRITORIALE Objectif 1 : Décliner le projet de
Plus en détailELECTRIFICATION SOLAIRE DE L ECLAIRAGE PUBLIC. Quartier des Chiffonniers. (Le Caire, Egypte) ONG : LOCUS. jjjjjj
jjjjjj ELECTRIFICATION SOLAIRE DE L ECLAIRAGE PUBLIC Quartier des Chiffonniers (Le Caire, Egypte) ONG : LOCUS 1 Présentation de l ONG L association LOCUS Jana Revedin, architecte PhD, professeur d université,
Plus en détailLa valorisation des terres excavées
La valorisation des terres excavées Matinée "Matières premières et matériaux du BTP " Céline Blanc c.blanc@brgm.fr BRGM / Direction Eau, Environnement et Ecotechnologies Lundi 2 décembre, 2013 Contexte
Plus en détailBrou-sur-Chantereine Elaboration du PLU Compte-rendu de la réunion publique de présentation du diagnostic 20 janvier 2011 1
1. Avant-propos de Monsieur Bréhaux (adjoint au maire en charge de l urbanisme) : L importance du P.L.U. en tant qu outil législatif permettant une maîtrise de l urbanisme de la commune est rappelée aux
Plus en détailMercredi 10 juin 2015 20h30-22h30
CONSEIL DE QUARTIER DU GUICHET Mercredi 10 juin 2015 20h30-22h30 ORDRE DU JOUR 1- Présentation du budget de la ville 2015 : serré et responsable. 2- Révision du Plan Local d Urbanisme : objectifs, cadre
Plus en détail2. Projet d Aménagement et de Développement Durables
Département de Seine-et-Marne Commune de Lésigny Révision du Plan Local d Urbanisme de 2004 et des Plans d Occupations des Sols partiels de 1987 et de 2001 2. Projet d Aménagement et de Développement Durables
Plus en détailEnergie et morphologie : vers la perdurabilité de la forme urbaine? Généralités et transports. Luc Adolphe
Energie et morphologie : vers la perdurabilité de la forme urbaine? Généralités et transports Luc Adolphe RÉDUCTION DES BESOINS ÉNERGÉTIQUES DANS LES TRANSPORTS. Contexte : Densité, Mobilité Réduire
Plus en détailStratégie et développement du groupe Sogaris en logistique urbaine pour l agglomération parisienne
Stratégie et développement du groupe Sogaris en logistique urbaine pour l agglomération parisienne Logistique urbaine : Sogaris imagine des solutions adaptées à la ville de demain Le 16 avril 2014 Contacts
Plus en détail[Texte] GLOSSAIRE DU CDT. [Texte]
GLOSSAIRE DU CDT AGENCE NATIONALE POUR LA RENOVATION URBAINE (ANRU) L agence nationale pour la rénovation urbaine est un établissement public industriel et commercial, créé par l article 10 de la loi d
Plus en détailCréation et gestion des Lotissements
Cycle de formations sur l urbanisme 3 et 4 mars 2015 Création et gestion des Lotissements Le lotissement Préambule : Le régime de création des lotissements avait été profondément remanié par l ordonnance
Plus en détailLambotte J.-M. Géographe-Urbaniste. Chercheur au Lepur ULg. Semaine Universitaire Luxembourgeoise de l'environnement - Libramont - 15-11-2011
Aménagement rural et développement durable Dépendance à la voiture en milieu rural : le cas de la Province du Luxembourg Constats, enjeux et pistes de solutions à moyen-long terme via l aménagement du
Plus en détailLEADER... LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : UN OBJECTIF FORT : LEADER ACCOMPAGNE : LES 4 THÉMATIQUES : POUR VOUS ACCOMPAGNER
LE DISPOSITIF DE FINANCEMENT EUROPÉEN LEADER AU SERVICE DE L ATTRACTIVITÉ TERRITORIALE LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : Le programme LEADER est un outil au service de la mise en œuvre du projet de territoire
Plus en détailDOL DE BRETAGNE ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2011
DOL DE BRETAGNE ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2011 Février 2011 1 LES ORIENTATIONS BUDGETAIRES 2011 1. L EVOLUTION DU BUDGET DE FONCTIONNEMENT 2. L ENDETTEMENT 3. LES PERSPECTIVES POUR LES ANNEES A VENIR 4.
Plus en détailLa mutualisation du stationnement
La mutualisation du stationnement Eric GANTELET, Président SARECO SARECO est un bureau d études spécialisé sur les questions de stationnement qui conseille les collectivités territoriales depuis la définition
Plus en détailOPTIMISEZ VOTRE INVESTISSEMENT IMMOBILIER
PASCAL DÉNOS Diplômé d expertise-comptable DESS en Banques et Finances Commissaire aux Comptes et Professeur de droit fiscal OPTIMISEZ VOTRE INVESTISSEMENT IMMOBILIER www.editions-organisation.com/livres/denos
Plus en détailAvis de la commission de délégation de service public Communauté urbaine du Grand Nancy. 28 juillet 2011
Avis de la commission de délégation de service public Communauté urbaine du Grand Nancy 28 juillet 2011 1 1.Rappel de la procédure 24 février 2011: délibération du Conseil communautaire sur le principe
Plus en détailPOUR UN CHOC FONCIER DURABLE EN ILE-DE-FRANCE UN GRAND ETABLISSEMENT PUBLIC FONCIER D ECHELLE REGIONALE
Gilles BOUVELOT 31 mars 2014 Directeur Général de l EPF Ile-de-France POUR UN CHOC FONCIER DURABLE EN ILE-DE-FRANCE UN GRAND ETABLISSEMENT PUBLIC FONCIER D ECHELLE REGIONALE RAPPORT DE PREFIGURATION 2
Plus en détailDRAVEIL élabore son PLU
DRAVEIL élabore son PLU Réunion publique de quartier DANTON -LA VILLA DOMAINE DE VILLIERS Plan Local d Urbanisme VILLE DE DRAVEIL 10 JUIN 2010 La ville dans son contexte Situation géographique 19kmausuddeParis
Plus en détailAssurance et développement durable, les principaux chiffres 2012/2013
Assurance et développement durable, les principaux chiffres 2012/2013 Depuis 2009, les sociétés d assurance de la FFSA et du GEMA ont engagé une démarche volontaire de réflexion et d actions en matière
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. Sylvia Pinel présente 20 actions pour améliorer la mixité sociale dans le logement. Paris, le 15 avril 2015
DOSSIER DE PRESSE Sylvia Pinel présente 20 actions pour améliorer la mixité sociale dans le logement Paris, le 15 avril 2015 Contact presse Service de presse du ministère du Logement, de l Égalité des
Plus en détailVision stratégique du développement culturel, économique, environnemental et social du territoire
Vision stratégique du développement culturel, économique, environnemental et social du territoire PROJET D ÉNONCÉ DE VISION STRATÉGIQUE OCTOBRE 2014 TABLE DES MATIÈRES POURQUOI UN ÉNONCÉ DE VISION STRATÉGIQUE?...
Plus en détailMobilité durable, développement rural et cohésion territoriale
Mobilité durable, développement rural et cohésion territoriale «Des territoires ruraux, pôles de développement, contributifs à la Stratégie 2020 Rurality-Environment-Development International association
Plus en détailBayonne. Visite des chantiers de la rive droite
Bayonne Visite des chantiers de la rive droite samedi 11 février 2012 5 1 2 3 6 4 1. Saint-Bernard - Chemin de Laharie - Nouveaux programmes immobiliers - Immeuble portuaire/bureaux/artisanat 2. CANOPIA
Plus en détailGrand LYON, Rôle d une collectivité dans le développement d une Smart CITY Energie. 29 novembre 2013
Grand LYON, Rôle d une collectivité dans le développement d une Smart CITY Energie 29 novembre 2013 Pour le Grand LYON, une ville Intelligente c est. Une ville dans laquelle les nouvelles technologies
Plus en détailESPACE PUBLIC ET STATIONNEMENT
ESPACE PUBLIC ET STATIONNEMENT Les villes sont nées du désir des hommes de se regrouper pour se défendre, mais aussi de se rencontrer pour échanger des biens, des informations et des savoirs. Ces échanges
Plus en détailPOUR TOU VOS DÉPLACEMENTS. Dossier de presse. Tram + Bus + Vélhop + Autopartage Citiz + P+R + Véloparc. 19 février 2014 POUR TOUS
POUR TOUS VOS DÉPLACEMENTS Tram + Bus + Vélhop + Autopartage Citiz + P+R + Véloparc 19 février 2014 Dossier de presse POUR TOU S VOS DÉPLA CEMENTS Sommaire Une volonté politique Page 4 La réponse de Strasbourg
Plus en détailVille de Schiltigheim. Audit financier version définitive
Ville de Schiltigheim Audit financier version définitive 10 octobre 2014 Préliminaire Le présent document vise à présenter les conclusions de l audit financier réalisé entre les mois de juillet 2014 et
Plus en détailSommaire II- III- IV-
1 Sommaire I- I-1. Lois encadrant les documents d urbanisme p. 4 I-2. Hiérarchie des normes p. 5 II- II-1. Les questions à aborder p. 8 II-2. Identifier le type de document adapté à la commune p. 9 1.
Plus en détailGérard COLLOMB et ses équipes sont à l écoute de vos sollicitations et de vos demandes, car la Ville de demain se construit évidemment avec vous.
Madame, Monsieur, Dans un courrier électronique en date du 10 février 2014, vous nous avez interrogés en matière de transition énergétique et de lutte contre le changement climatique. Nous vous prions
Plus en détailL EPF NORMANDIE. re Industriel et Commercial. Cet EPF d Etat d
L EPF NORMANDIE L Etablissement public foncier de Normandie est Etablissement Public à Caractère re Industriel et Commercial. Cet EPF d Etat d a été crée e en 1968. Il exerce ses missions dans le cadre
Plus en détailProjet d habitat urbain groupé, écologique et auto-promu, dans le Grand Nancy
Projet d habitat urbain groupé, écologique et auto-promu, dans le Grand Nancy Contact : Bernard Tauvel au 5 rue Fabert 54000 Nancy Tél : 06 76 39 39 50 et 03 83 27 67 73 Email : bernard.tauvel@laposte.net
Plus en détailNOTE D INFORMATION : LOI POUR L ACCES AU LOGEMENT ET UN URBANISME RENOVE (ALUR)
NOTE D INFORMATION : LOI POUR L ACCES AU LOGEMENT ET UN URBANISME RENOVE (ALUR) - Document de synthèse L UNION DES MAIRES DE L OISE MAI 2014 Page 1 sur 20 Sommaire Avant propos... 3 I. Le renforcement
Plus en détailProjet d aménagement et de développement durable d Orvault. Nantes Métropole Révision du plan local d urbanisme d Orvault
Projet d aménagement et de développement durable d Orvault Nantes Métropole Révision du plan local d urbanisme d Orvault Approbation du 26 octobre 2007 2 Sommaire Introduction Le Projet d Aménagement et
Plus en détailECOQUARTIER ETOILE ANNEMASSE-GENEVE. Bilan de la concertation
ECOQUARTIER ETOILE ANNEMASSE-GENEVE Bilan de la concertation SOMMAIRE 1 Synthèse du processus de concertation mis en place...4 1.1 Le contexte et les enjeux du projet d écoquartier Etoile Annemasse-Genève...5
Plus en détailPLAN LOCAL D URBANISME 4. REGLEMENT
PLAN LOCAL D URBANISME 4. REGLEMENT SOMMAIRE DISPOSITIONS GENERALES... 3 DISPOSITIONS APPLICABLES AUX ZONES URBAINES... 8 ZONE UA... 9 ZONE UC... 18 ZONE UD... 28 ZONE UE... 38 ZONE UF... 45 ZONE UL...
Plus en détailOutil n 3 Tableau récapitulatif des informations réglementaires et autres informations utiles
Outil n 3 Tableau récapitulatif des informations réglementaires et autres informations utiles Check-list à l'attention des chargés d'étude réalisant le Porter à Connaissance Cocher les lignes si le territoire
Plus en détailECO-QUARTIER «CAP AZUR» CHAUFFER, FOURNIR EN EAU CHAUDE ET RAFRAÎCHIR AVEC DE L ENERGIE RECUPERÉE. récupération d énergie. 100% des besoins en
ECO-QUARTIER «CAP AZUR» CHAUFFER, FOURNIR EN EAU CHAUDE ET RAFRAÎCHIR AVEC DE L ENERGIE RECUPERÉE RESEAU DE CHALEUR DE L ECO- QUARTIER «CAP AZUR» A ROQUEBRUNE-CAP-MARTIN : Un réseau de chaleur innovant,
Plus en détailÎle-de-France 2030 ÉVALUATION ENVIRONNEMENTALE
4 Île-de-France 2030 ÉVALUATION ENVIRONNEMENTALE SCHÉMA DIRECTEUR DE LA RÉGION ÎLE-DE-FRANCE ADOPTÉ PAR LA DÉLIBÉRATION DU CONSEIL RÉGIONAL N CR97-13 DU 18 OCTOBRE 2013 ET APPROUVÉ PAR LE DÉCRET N 2013-1241
Plus en détailPrésentation et proposition d engagement. Conseil Municipal de Courtry 13/06/2013
COMMUNAUTE D AGGLOMERATION MARNE ET CHANTEREINE AGENDA 21 - DEVELOPPEMENT DURABLE PLAN CLIMAT ENERGIE TERRITORIAL Présentation et proposition d engagement Conseil Municipal de Courtry 13/06/2013 DE QUOI
Plus en détailPROJET DE PÔLE COMMERCIAL SAINT-LOUIS A BREST
PROJET DE PÔLE COMMERCIAL SAINT-LOUIS A BREST ENQUÊTE PUBLIQUE DE DÉCLASSEMENT DE LA PORTION DE LA RUE DES HALLES SAINT-LOUIS SITUÉE AU DROIT DE LA RUE DUQUESNE NOTICE EXPLICATIVE 1 LE DECLIN DES HALLES
Plus en détailSERVICE PUBLIC DE TRANSPORTS COLLECTIFS Synthèse du rapport annuel du Délégataire 2012
SERVICE PUBLIC DE TRANSPORTS COLLECTIFS Synthèse du rapport annuel du Délégataire 2012 L EXERCICE 2012 EN QUELQUES POINTS CLEFS : - 2012 : troisième année d exploitation du contrat de DSP 2010-2016. Rappel
Plus en détailStratégie et développement du groupe SOGARIS en logistique urbaine pour l agglomération parisienne
Stratégie et développement du groupe SOGARIS en logistique urbaine pour l agglomération parisienne Christophe RIPERT, Directeur immobilier, SOGARIS Cette présentation porte sur des exemples concrets d
Plus en détailPROJET D AMENAGEMENT ET DE DEVELOPPEMENT DURABLE
Schéma de COhérence Territoriale du Piémont des Vosges PROJET D AMENAGEMENT ET DE DEVELOPPEMENT DURABLE Débattu en Comité Syndical le 26 juin 2003 et le 25 novembre 2004 Document arrêté le 22 juin 2006
Plus en détailMASTER 2 URBANISME ET AMENAGEMENT SPÉCIALITÉ PAYSAGE ET AMENAGEMENT Année universitaire 2012-2013
MASTER 2 URBANISME ET AMENAGEMENT SPÉCIALITÉ PAYSAGE ET AMENAGEMENT Année universitaire 2012-2013 Le Master 2 Paysage et Aménagement est une spécialité du Master Urbanisme et Aménagement. Celui-ci est
Plus en détailHABITER LA FRICHE FRICHE LA BELLE DE MAI PROJET D HABITAT SOCIÉTAL PARTICIPATIF A LA FRICHE. Novembre 2014
HABITER LA FRICHE FRICHE LA BELLE DE MAI PROJET D HABITAT SOCIÉTAL PARTICIPATIF A LA FRICHE Novembre 2014 «Aujourd hui, la reconversion des friches en lieux de culture n est plus une approche expérimentale.
Plus en détailUne nouvelle résidence à Strasbourg
Une nouvelle résidence à Strasbourg RSS «Les Allées des Brasseurs» Strasbourg (67) 1 Eco-quartier de la Brasserie Sur près de 3,7 Hectares 400 logements, commerces et services Développement durable et
Plus en détailMardi 19 mai 2015 20h30-22h30
CONSEIL DE QUARTIER DU CENTRE Mardi 19 mai 2015 20h30-22h30 ORDRE DU JOUR 1- Présentation du budget de la ville 2015 : serré et responsable. 2- Révision du Plan Local d Urbanisme : objectifs, cadre réglementaire
Plus en détailGUIDE DE L'ÉCO-PRESTATAIRE
GUIDE DE L'ÉCO-PRESTATAIRE Politique Environnementale du Groupe UNILOGI 70.000 personnes logées au sein de notre patrimoine dans 210 communes sur 7 départements et 3 régions, xxx entreprises fournisseurs
Plus en détailRENCONTRE PERFORMANCE ENERGETIQUE
RENCONTRE PERFORMANCE ENERGETIQUE Agir sur les comportements Nantes - le 1 L agenda CHU 21 Comment s est il construit? A partir d actions engagées avant 2008: PDE, intervention au conseil d administration
Plus en détail