Analyse d'un compte rendu anatomo-pathologique en dermato-pathologie

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Analyse d'un compte rendu anatomo-pathologique en dermato-pathologie"

Transcription

1 18/03/14 BOURDILLON Marjane L2 Revêtement cutané Dr. Jean-Phillipe Dales 12 pages Relecteur n 3 Analyse d'un compte rendu anatomo-pathologique en dermato-pathologie Plan A. Introduction B. Définitions C. Les différents profils lésionnels : diagnostic en pathologie inflammatoire cutanée I. Dermatoses eczématiformes (spongiotiques) II. Dermatoses psoriasiformes III. Dermatoses Lichénoïdes IV. Dermatoses (vésiculo)pustuleuses V. Dermatoses bulleuses VI. Vascularites cutanées VII. Lupus érythémateux VIII. Hypodermites et panniculites D. Conclusion A. Introduction Le compte-rendu est un document (papier) qui constitue un échange d'informations entre le clinicien et l'anatomo-pathologiste. Dans ce document, l'anapath fait état de ce qu'il a observé en microscopie optique après coloration des tissus. Le plus souvent, il travaille sur des biopsies cutanées. L'objectif est de parvenir au diagnostic. Il nécessite de transmettre la biopsie avec les données utiles à l'interprétation histologique. Il doit répondre aux questions posées par le clinicien et confirmer ou pas le diagnostic proposé par celui-ci. Il y a donc, dans ce compte-rendu, des informations (cliniques, biologiques) et des hypothèses cliniques. Il décrit des lésions élémentaires. La description des lésions se termine par une synthèse décrivant un cadre lésionnel. La conclusion comprend : Une ou plusieurs propositions diagnostiques Eventuellement un commentaire et la réponse aux questions du clinicien. Il y a 4 grands types de conclusions possibles dans ces comptes-rendus : Aspect observé par l'anapath caractéristique et en accord avec la clinique Aspect observé évocateur mais atypique ou incomplet par rapport au diagnostic proposé par le clinicien Aspect non spécifique Résultat ne s'accordant pas avec la clinique (= discordance anatomo-clinique) 1/12

2 B. Définitions Histologie de la peau normale L'épiderme est fait d'une juxtaposition d'assises cellulaires, depuis la profondeur vers la superficie : l'assise basale : faite de kératinocytes (K) basaux avec noyaux volumineux et un cytoplasme peu abondant. C'est à ce niveau que se fait le renouvellement cellulaire. le corps muqueux : structure pluristratifiée faite de K dont le cytoplasme est de plus en plus abondant de la profondeur vers la superficie. La taille des noyaux diminue. On parle de gradient de maturation. La couche granuleuse : couche pluristratifiée faite K à cytoplasme abondant avec des grains de kératohyaline. Leur noyau est petit. La couche cornée : la couche la plus superficielle qui est faite uniquement de K anucléés! En pathologie, ils sont nucléés. Le derme contient des vaisseaux lymphatiques et sanguins de diamètre plus important vers la profondeur. Il y a des cellules de l'inflammation autour des vaisseaux. On a aussi des terminaisons nerveuses. Les annexes cutanées sont : les glandes sudorales (ou sudoripares) et les follicules pilo-sébacés. Définitions des lésions élémentaires Acanthose : épaississement du corps muqueux et donc de l'épiderme dans son ensemble. Acantholyse : A l'origine des dermatoses bulleuses. Elle se fait dans l'épaisseur de l'épiderme. Il y a perte de cohésion des K entre eux en raison de la rupture des ponts d'union intercellulaires (les desmosomes). Exocytose : migration de cellules inflammatoires dans l'épiderme en provenance du derme Hyperkératose : épaississement de la couche cornée Papillomatose : accentuation du dessin des papilles dermiques et des crêtes interpapillaires / épidermiques. En surface ce n'est pas beaucoup modifié Pustule : spongiose avec regroupement de polynucléaires neutrophiles et/ou éosinophiles sous la couche cornée ou dans la couche cornée Spongiose : oedème intercellulaire entre les K par afflux de liquide interstitiel (exosérose) Vésicule : cavité formée par la confluence de zones spongiotiques avec exocytose de cellules mononucléées (<1cm) Bulle : accumulation liquidienne intra-épidermique ou sous-épidermique (>1cm) Infiltrats cellulaires : regroupement de cellules inflammatoires dans le derme Oedème dermique : pâleur du derme liée à un liquide interstitiel abondant À partir de ces définitions on va voir les différentes lésions qui comportent ces éléments, il est donc nécessaire de les connaître. 2/12

3 C. Les différents profils lésionnels : diagnostic en pathologie inflammatoire cutanée I. Dermatoses eczématiformes (spongiotiques) C'est l'exemple typique de l'eczéma Elle associent une ou plusieurs lésions élémentaires de l'eczéma aigu : Spongiose qui peut donner des vésicules si elle est très abondante Parakératose focale compacte : épaississement de la couche cornée avec une rétention des noyaux à la surface (donc ici les K de la cornée ont gardé leur noyau, ce qui n'est pas le cas normalement) Exocytose de lymphocytes dans les zones de spongiose Sur les photos, on voit un épaississement de l'épiderme et particulièrement de la cornée ainsi qu'une clarté entre les K. Ils s'écartent sans se détacher. Les contours cellulaires sont visibles. C'est dû à l'oedème. Cet oedème peut produire une cavité aboutissant à une vésicule. Sur cette image, on voit un spongiose avec un fort grossissement Ces descriptions histologiques vont pouvoir s'inscrire dans différentes situations cliniques et vont coïncider avec différents diagnostics étiologiques parmi lesquels : Eczéma (atopique, de contact) Toxidermie Dermite séborrhéique Pityriasis rosé de Gibert Mycose superficielle (candidose, dermatophytose) Causées par des champignons Photodermatoses II. Dermatoses psoriasiformes Ces lésions associent une ou plusieurs lésions élémentaires de la plaque typique de psoriasis : Hyperkératose parakératosique lamellaire (feuilletée, sèche) étendue Hyperplasie régulière de l'épiderme consécutive à une acanthose (épaississement du corps muqueux) et à une papillomatose (accentuation du dessin), allongement sélectif et parallèle des crêtes épidermiques en «massue», amincissement des zones supra-papillaires, couche granuleuse amincie Exocytose de polynucléaires neutrophiles sous la couche cornée (qui peuvent être à l'origine d'un microabcès qui sont des amas de polynucléaires neutrophiles, un peu comme une pustule) 3/12

4 La couche cornée est considérablement épaissie Sur cette photo, on voit un acanthose (épaississement du corps muqueux) associé à un parakératose (épaississement de la couche cornée). Les papilles dermiques montent haut dans l'épiderme. Ici c'est une papillomatose : les crêtes épidermiques descendent très bas dans le derme. Il y a aussi une hyperkératose feuilletée et diffuse, des spongioses, une exocytose de PnN sous la cornée et une inflammation das le derme. Listes des dermatoses pouvant être à l'origine de ces lésions : Psoriasis Eczéma lichénifié : eczéma chronique Toxidermie psoriasiforme Pityriasis rosé de Gibert Dermite séborrhéique Mycose superficielle Prurigo : lésions dues au grattage III. Dermatoses Lichénoïdes On les appelle lichénoïdes car elles ressemblent à du lichen. Les dermatoses lichénoïdes ou dermatoses de l'interface dermo-épidermique sont des affections associant une ou plusieurs lésions élémentaires de la papule de lichen plan : Vacuolisation des cellules basales, nécroses kératinocytaires appelées aussi corps cytoïdes Incontinence pigmentaire : le pigment mélanique normalement localisé dans l'épiderme, migre dans le derme à cause de l'inflammation Inflammation Lichénoïde : Infiltrat lymphocytaire en bande sous épidermique pénétrant dans les couches basales de l'épiderme. L'inflammation ne va pas en profondeur. Elle reste collée à la basale. L'adjectif lichénoïde désigne l'ensemble de ces 3 lésions élémentaires. En noir, on voit des regroupements de lymphocytes qui sont en bande superficielle. On a également une vacuolisation kératinocytaire au niveau de la basale épidermique. On ne voit pas très bien la jonction dermo-épidermique à cause de l'inflammation importante. Plus fort grossissement, on peut voir une nécrose kératinocytaire. C'est une image typique des dermatoses lichénoïdes. 4/12

5 Les dermatoses lichénoïdes sont observées dans différentes étiologies : Lichen Toxidermie : inflammation de la peau due à un médicament Lupus érythémateux chronique Erythème polymorphe Dermatomyosite Erythème pigmenté fixe Pityriasis lichénoïdes (parapsoriasis en goutte) Lymphome lichénoïde (mycosis fongoïde) IV. Dermatoses (vésiculo)pustuleuses Les pustules sont retrouvées dans la couche cornée ou sous la couche cornée. On les observe dans différentes étiologies : Viroses à tropisme cutané avec effet cytopathogène (herpès, varicelle, primo-infection CMV, variole, nodule d'orf) Psoriasis pustuleux Toxidermie (PEAG) Impétigo (infection à streptocoque) Folliculite infectieuse (staphylocoques aureus, mycose) Dermatophytose (pied d'athlète, teigne) Acné Eczéma Image 1 : Infection d'un poil à cause d'un champignon = folliculite infectieuse. Débris de poils avec des filaments de champignons. Image 2 : Accumulation de sérosité et de PnN au niveau du corps muqueux et jusque sous la cornée. Illustration classique de la pustule. Image 3 : Lésion vésiculo-pustuleuse de varicelle. (on peut observer des noyaux polylobés) 5/12

6 V. Dermatoses bulleuses Bulle : résulte toujours d'un décollement (clivage) qui se fait soit dans l'épiderme soit à la jonction dermoépidermique. C'est une accumulation liquidienne intra ou sous-épidermique. Le mécanisme de la bulle est variable : On peut avoir une acantholyse (quand le clivage est intra-épidermique), une nécrose épidermique, un clivage intra-épidermique, une spongiose, un clivage de la jonction dermo-épidermique. Lors de son analyse, l'anapath a recours à l'immunofluorescence directe qui lui permet de mettre en évidence des dépôts d'immunoglobulines (IgG, A, M) et des fractions du complément. On décrit deux types de dermatoses bulleuses : Dermatoses bulleuses auto-immunes Intra-épidermique (acantholyse) Sous-épidermique Dermatoses bulleuses non auto-immunes. 1. Dermatoses bulleuses auto-immunes a) Dermatoses bulleuses auto-immunes intra-épidermiques = Pemphigus Elles sont consécutives à un clivage à l'intérieur, dans l'épaisseur de l'épiderme. C'est le groupe des Pemphigus, parmi lesquels, on a : Pemphigus superficiel Pemphigus profond Pemphigus paranéoplasiques Pemphigus à IgA Pemphigus Herpétiforme Pemphigus médicamenteux NE pas retenir ces exemples. La photo ci-contre illustre l'acantholyse : la partie profonde de l'épiderme est disloquée (au niveau de la basale). Il y a une perte de cohésion des K qui entraîne un clivage dans l'épiderme et l'apparition de bulles. C'est une maladie auto-immune qui s'attaque à une protéine impliquée dans la cohésion des K. Quand l'anapath suspecte un pemphigus, il va réaliser une immunofluorescence directe. Elle révèle des dépôts d'ig, des fragments du complément qui prennent un aspect en résille (image du ci-contre). On observe un marquage vert jaune (que vous ne verrez pas du coup ^^) à la jonction des K. Important : le marquage est en résille. 6/12

7 Ce tableau n'est pas à savoir, le prof est passé très vite passé dessus. «Il permet simplement de mieux comprendre le mécanisme». b) Dermatoses bulleuses auto-immunes sous-épidermiques Le clivage se fait sans acantholyse. «Une bulle est sous-épidermique car elle n'est pas intra-épidermique car il n'y a pas d'acantholyse.» Le clivage se situe plus en profondeur à la jonction derme/épiderme. Il peut s'agir de pathologies diverses parmi les plus fréquentes : les pemphigoïdes bulleuses gravidiques (herpès gestationis) cicatricielles Lichen pemphigoïde l'épidermolyse bulleuse acquise la dermatite herpétiforme la dermatose à IgA linéaire Sur l'image ci-contre, on voit une bulle : une cavité avec un toit et un plancher. Le toit est représenté par l'épiderme complet et le plancher par le derme. Dans la cavité on trouve un liquide composé de cellules de l'inflammation. 7/12

8 La même chose en plus fort grossissement. Enfin ici avec un grossissement encore plus fort, on peut voir de quoi est constitué l'infiltrat dermique : PnN (noyau polylobé, seule manière de les distinguer des lymphocytes). En immunofluorescence, on voit un fil vert à la jonction dermoépidermique, là où s'effectue le clivage. Fin marquage à la jonction. Le tableau n'est pas à savoir 2. Dermatoses bulleuses non auto-immunes Toxidermies bulleuses : nécrolyse «épidermique toxique» et syndrome de Stevens-Johnson. Erythème pigmenté fixe bulleux Erythème polymorphe Dermatoses bulleuses héréditaires et congénitales : épidermolyse bulleuse héréditaire et dermatoses acantholytiques, pemphigus familial et maladie de Darier Dermatoses bulleuses d'origine infectieuse : Impétigo bulleux et épidermolyse staphylococcique aiguë Dermatoses bulleuses métaboliques : porphyries cutanées tardives et pseudoporphyries 8/12

9 VI.Vascularites cutanées C'est une atteinte inflammatoire de la paroi d'un petit vaisseau (capillaire, veinule, artériole) avec rupture de la continuité endothéliale et anomalie de la paroi. Elles sont classées en fonction de la taille des vaisseaux atteints. On retrouve la présence de cellules inflammatoires (PnN), de dépôts fibrinoïdes dans la paroi vasculaire et autour des vaisseau. (les contours peuvent être flous et la lumière bouchée = thrombose). On peut parfois observer une extravasation d'hématies dans le secteur interstitiel. Le travail de l'anapath consiste à mettre en évidence une pénétration de la paroi vasculaire par les éléments inflammatoires. Image d'une vascularite Photo : Infiltrat inflammatoire autour du vaisseau fait de lymphocytes : vasculite (ou vascularite, c'est la même chose). La lumière peut être obturée par une thrombose. La paroi est envahie par les cellules inflammatoires. Les vaisseaux sont très abîmés par l'inflammation. Sur l'image, on a une nécrose fibrinoïde de la paroi vasculaire L'immunofluorescence directe aide au diagnostic, on verra alors des dépôts vasculaires fluorescents. Les vascularites cutanées sont distinguées en 4 formes : Vascularite leucocytoclasique (médicament, auto-immunité, infections, paranéoplasique). Leucocytoclasie = altération +++ des PnN avec poussière de noyaux des PnN. Vascularite urticarienne Phlébites Périartérite noueuse 9/12

10 VII. Lupus érythémateux Il en existe 2 formes : le lupus systémique et le lupus cutané. C'est une maladie auto-immune qui peut atteindre différents organes comme le cœur, le SN, les reins ou encore la peau. Le lupus se caractérise par une inflammation dermique péri-vasculaire et péri-annexielle et une altération vacuolaire de la basale épidermique. Lésions engendrées par le lupus érythémateux : Para ou orthokératose (dans la para les K de la cornée ont gardé leur noyau ; dans l'ortho ils ne les ont plus). Bouchons cornés ostiaux Vacuolisation et épaississement de la basale Infiltrat lymphocytaire péri-vasculaire et péri-annexiel du derme superficiel et profond Atrophie pilaire, atrophie épidermique, altération vacuolaire de la basale Sur cette image de biopsie cutanée, on observe un infiltrat lymphocytaire au contact des annexes pilo-sébacées. L'épiderme est souvent épaissit avec épaississement de la couche cornée et de la basale due à des dépôts d'ig. L'épaississement de la basale peut être révélé par une coloration spéciale, la coloration de PAS. L'épaississement apparaîtra sous forme de bande lupique en immunofluorescence (c'est en fait la basale épidermique). VIII. Hypodermites et panniculites C'est une inflammation de la partie la plus profonde de la peau : l'hypoderme (dans lequel on trouve du tissu adipeux, des lobules adipeux, des septas entre les lobules adipeux, vaisseaux, nerfs) On parle de panniculites si l'inflammation touche le lobule adipeux. 10/12

11 Les étiologies sont : Cytostéatonécrose d'origine pancréatique (cancer du pancréas, pancréatite) Cytostéatonécrose du nouveau-né (traumatisme obstétrical) Maladie de Weber-Christian Panniculites par déficit en alpha1-antitrypsine Panniculites des maladies systémiques (lupus) Image de Panniculites : En blanc, ce sont les lobules adipeux avec un septum conjonctif vascularisé qui les sépare. On parle d'hypodermite quand l'inflammation touche les septums (cloisons entre les lobules adipeux). Les étiologies sont : Hypodermites septales : érythème noueux Atteintes vasculaires hypodermiques : Péri-Artérite Noueuse (affecte les acides aminés de taille moyenne principalement au niveau cutané), Thrombophlébites,Vascularite nodulaire (érythème induré de Bazin) Image d'hypodermite : elle affecte le septum et dissocie les lobules adipeux. 11/12

12 D. Conclusion La confrontation anatomo-clinique est essentielle L'examen d'une biopsie cutanée peut conduire à : Un seul diagnostic Plusieurs hypothèses diagnostiques Une conclusion non spécifique, en précisant si possible les diagnostics compatibles ou incompatibles. NdCR : J'espère que les images vous conviendront, le prof n'a pas voulu faire passer son diapo a la fin du cours mais il a dit qu'il l'enverrai par mail à ceux qui le demande donc l'adresse est au début du ronéo et je la remet ici jean-phillipe.dales@ap-hm.fr Ceci dit il n'y a pas beaucoup de couleur dans ces images hormis quand c'est l'immunofluorescence où ce qui est plus clair est en fait vert. Mais à chaque fois ce qui est marqué en gras à coté décrit ce que l'on voit. 12/12

DERMATOSES ECZEMATIFORMES LICHENOIDES ET ERYTHEMATO-SQUAMEUSES

DERMATOSES ECZEMATIFORMES LICHENOIDES ET ERYTHEMATO-SQUAMEUSES DERMATOSES ECZEMATIFORMES LICHENOIDES ET ERYTHEMATO-SQUAMEUSES I ECZEMA ET LESIONS ECZEMATIFORMES II LICHEN PLAN III LICHEN SCLERO-ATROPHIQUE IV MALADIE LUPIQUE V PSORIASIS VI AUTRES Parapsoriasis Kératodermies

Plus en détail

Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané

Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.

Plus en détail

Mécanisme des réactions inflammatoires

Mécanisme des réactions inflammatoires 01/04/2014 THOMASSIN Guillaume L2 Revêtement Cutané Dr. Sophie Deplat-Jégo Relecteur 4 8 pages Revêtement cutané Mécanisme des réactions inflammatoires cutanés Mécanisme des réactions inflammatoires Plan

Plus en détail

Moyens d étude de la peau

Moyens d étude de la peau Moyens d étude de la peau Dr. Yannick Le Corre yalecorre@chu-angers.fr Service de Dermatologie Vénéréologie Pr. L. Martin 2011-2012 CHU Angers UE Revêtement cutané Dermoscopie ou Dermatoscopie Examen de

Plus en détail

UNIVERSITE PARIS VAL-DE-MARNE FACULTE DE MEDECINE DE CRETEIL ANNEE 2009 N THESE POUR LE DIPLOME D ETAT DOCTEUR EN MEDECINE. Discipline : Dermatologie

UNIVERSITE PARIS VAL-DE-MARNE FACULTE DE MEDECINE DE CRETEIL ANNEE 2009 N THESE POUR LE DIPLOME D ETAT DOCTEUR EN MEDECINE. Discipline : Dermatologie UNIVERSITE PARIS VAL-DE-MARNE FACULTE DE MEDECINE DE CRETEIL ANNEE 2009 N THESE POUR LE DIPLOME D ETAT DE DOCTEUR EN MEDECINE Discipline : Dermatologie Présentée et soutenue publiquement le 23 septembre

Plus en détail

Actualités thérapeutiques dans le VHC : les recommandations de l AFEF Vendredi 8 et samedi 9 avril 2011 à Paris

Actualités thérapeutiques dans le VHC : les recommandations de l AFEF Vendredi 8 et samedi 9 avril 2011 à Paris Actualités thérapeutiques dans le VHC : les recommandations de l AFEF Vendredi 8 et samedi 9 avril 2011 à Paris Des journées scientifiques pour accompagner l arrivée des nouvelles molécules qui vont modifier

Plus en détail

Item 288 : Troubles des phanères : Onyxis

Item 288 : Troubles des phanères : Onyxis Item 288 : Troubles des phanères : Onyxis Collège National des Enseignants de Dermatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières OBJECTIFS... 2 I Atteinte matricielle avec modification

Plus en détail

LES ONYCHOPATHIES. Mohamed Denguezli Service de Dermatologie C.H.U SOUSSE

LES ONYCHOPATHIES. Mohamed Denguezli Service de Dermatologie C.H.U SOUSSE LES ONYCHOPATHIES Mohamed Denguezli Service de Dermatologie C.H.U SOUSSE Ä Examen clinique des ongles : DIAGNOSTIC POSITIF Ä analyse par le dermatologue des lésions élémentaires unguéales ; Ä iconographie

Plus en détail

Dermatologie courante du sujet âgé. Printemps Médical de Bourgogne 31 Mars 2012 Dr Claude Plassard Gériatre CHI Châtillon/Montbard

Dermatologie courante du sujet âgé. Printemps Médical de Bourgogne 31 Mars 2012 Dr Claude Plassard Gériatre CHI Châtillon/Montbard Dermatologie courante du sujet âgé Printemps Médical de Bourgogne 31 Mars 2012 Dr Claude Plassard Gériatre CHI Châtillon/Montbard Mécanismes du vieillissement cutané En vieillissant, la peau se ride, s

Plus en détail

Tumeurs cutanées épithéliales et mélaniques

Tumeurs cutanées épithéliales et mélaniques Examen National Classant Module transdisciplinaire 10 : Cancérologie, onco-hématologie Tumeurs cutanées épithéliales et mélaniques Mélanomes NOUVEAU P. SAIAG (Ambroise Paré, Boulogne Billancourt), J.-J.

Plus en détail

Module transdisciplinaire 8 : Immunopathologie. Réactions inflammatoires

Module transdisciplinaire 8 : Immunopathologie. Réactions inflammatoires Enseignement National Classant Module transdisciplinaire 8 : Immunopathologie. Réactions inflammatoires Psoriasis J.-J. GUILHOU (Montpellier), L. DUBERTRET (Paris, St Louis), B. CRICKX (Paris, Bichat),

Plus en détail

Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1

Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Introduction L hyperéosinophilie est définie par la présence de polynucléaires éosinophiles circulants à plus de 0,5 G/l (500/µl) (quel que soit leur

Plus en détail

TECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING

TECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT

Plus en détail

Les eczémas: l approche au cabinet

Les eczémas: l approche au cabinet Les eczémas: l approche au cabinet Dr H. Brandstätter Dr J. Sommer-Bülher Prof. V. Piguet Plan Comment analyser une lésion? Différentes formes d eczémas Traitement Quand référer chez le dermatologue? 1

Plus en détail

Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose

Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)

Plus en détail

Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se

Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se Le psoriasis est une maladie fréquente Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se traduit le plus souvent par des plaques rouges sur la peau, légèrement surélevées

Plus en détail

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique

Plus en détail

Compte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie

Compte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur

Plus en détail

Le psoriasis (123) Professeur Jean-Claude BEANI Octobre 2003

Le psoriasis (123) Professeur Jean-Claude BEANI Octobre 2003 Le psoriasis (123) Professeur Jean-Claude BEANI Octobre 2003 Pré-requis : QCM (bonne réponse) Le psoriasis est : A - une dermatose érythémato-squameuse B - Fréquente C - Pouvant être traité par les bêta-bloquants

Plus en détail

LES DERMATOSES LINÉAIRES

LES DERMATOSES LINÉAIRES L. THIRION (1), A. F. NIKKELS (2, 3), G.E. PIÉRARD (4) RÉSUMÉ : En sémiologie dermatologique, le type de groupement des lésions élémentaires cutanées peut fournir une aide précieuse à l établissement du

Plus en détail

Compte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique

Compte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique Compte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique À partir de la Vème année Médecine Générale et notamment pour les médecins anatomopathologues ANATOMIE PATHOLOGIQUE Hôpital du Bon Secours

Plus en détail

L ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ

L ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ L ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ Plan de la présentation Introduction L enfant Le cathéter court La voie veineuse centrale La voie intra-osseuse Plan de la présentation Le

Plus en détail

Sont considérées comme prestations qui requièrent la qualification de médecin spécialiste en dermato-vénéréologie (E) :

Sont considérées comme prestations qui requièrent la qualification de médecin spécialiste en dermato-vénéréologie (E) : Sont considérées comme prestations qui requièrent la qualification de médecin spécialiste en dermato-vénéréologie (E) : a) b) a) b) DERMATO-VENEREOLOGIE Art. 21 pag. 1 SECTION 9. Dermato-vénéréologie.

Plus en détail

Ministère de l Enseignement Supérieur, de la Recherche Scientifique et de la Technologie Université Virtuelle de Tunis

Ministère de l Enseignement Supérieur, de la Recherche Scientifique et de la Technologie Université Virtuelle de Tunis Ministère de l Enseignement Supérieur, de la Recherche Scientifique et de la Technologie Université Virtuelle de Tunis! " Ce produit pédagogique numérisé est la propriété exclusive de l'uvt. Il est strictement

Plus en détail

SERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE RAPPORT GLOBAL

SERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE RAPPORT GLOBAL SERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE SERVICE DES LABORATOIRES DE BIOLOGIE CLINIQUE COMITE DES EXPERTS RAPPORT GLOBAL

Plus en détail

Epaisseur cutanée. Et selon le sexe : femme < homme

Epaisseur cutanée. Et selon le sexe : femme < homme Plan Épaisseur cutanée Absorption transcutanée Protection contre la pénétration d allergènes Protection contre la pénétration d agents infectieux JPSA Thermorégulation Nettoyage de la peau Hydratation

Plus en détail

Dermatologie buccale

Dermatologie buccale Dermatologie buccale Sophie-Myriam DRIDI - Anne-Laure EJEIL Sophie KOSINSKI, Attachée, hôpital Albert Chenevier/Créteil, Paris. Anne-Laure EJEIL, MCU/PH, hôpital Bretonneau, Paris. François LEPELLETIER,

Plus en détail

Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique

Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique Tuteur : Anne Muhr-Tailleux cardiovasculaires et diabète (Equipe 1) Institut

Plus en détail

Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés

Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique

Plus en détail

DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE

DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible

Plus en détail

Fonction de conduction de la moelle épinière. Dr F. TOUMI

Fonction de conduction de la moelle épinière. Dr F. TOUMI Fonction de conduction de la moelle épinière Dr F. TOUMI I. GENERALITES : Communication Moelle avec les centres supra spinaux Communication Intra segmentaire (ipsilatérale / controlatérale) Communication

Plus en détail

Prescription et surveillance d un traitement dermocorticoïde

Prescription et surveillance d un traitement dermocorticoïde Examen National Classant Module transdisciplinaire 11 : Synthèse clinique et thérapeutique Prescription et surveillance d un traitement dermocorticoïde Item n o 174 : Prescription et surveillance des anti-inflammatoires

Plus en détail

EPU95 Montmorency Médecine Interne Mise à jour du 13 Mai 2007*

EPU95 Montmorency Médecine Interne Mise à jour du 13 Mai 2007* EPU95 Montmorency Médecine Interne Mise à jour du 13 Mai 2007* PSORIASIS Dr M. Sigal Chef de service de Dermatologie (Hôpital d'argenteuil) Séance du 8 juin 2000 1. INTRODUCTION 1.1. La physiopathologie

Plus en détail

DOCTORAT EN MEDECINE. BOCCARA David Jacob Né le 16 Juin 1979 à Paris

DOCTORAT EN MEDECINE. BOCCARA David Jacob Né le 16 Juin 1979 à Paris UNIVERSITE PARIS 7- DENIS DIDEROT FACULTE DE MEDECINE Année 2008 n THESE Pour le DOCTORAT EN MEDECINE (Diplôme d état) Par BOCCARA David Jacob Né le 16 Juin 1979 à Paris Présentée et soutenue publiquement

Plus en détail

17/01/12. Dr Michel RYBOJAD Hôpital Saint-Louis. Paris.

17/01/12. Dr Michel RYBOJAD Hôpital Saint-Louis. Paris. 17/01/12 Dr Michel RYBOJAD Hôpital Saint-Louis. Paris. L'aréole et le mamelon forment la plaque aréolo-mamelonnaire et constituent deux structures hautement spécialisées. L'aréole: situé au dôme du sein

Plus en détail

TUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE

TUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE 1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS

Plus en détail

La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène

La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène 1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients

Plus en détail

LASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.

LASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation. LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus

Plus en détail

A Belarbi, ZC Amir, MG Mokhtech, F Asselah Service d Anatomie et de Cytologie Pathologique CHU Mustapha Alger

A Belarbi, ZC Amir, MG Mokhtech, F Asselah Service d Anatomie et de Cytologie Pathologique CHU Mustapha Alger Apport de la cytoponction ganglionnaire dans le diagnostic des lymphomes A Belarbi, ZC Amir, MG Mokhtech, F Asselah Service d Anatomie et de Cytologie Pathologique CHU Mustapha Alger Introduction Large

Plus en détail

Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express

Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des

Plus en détail

Janvier 2003 PLACE DE L ENDOSCOPIE DANS LES COLITES MICROSCOPIQUES RECOMMANDATIONS DE LA

Janvier 2003 PLACE DE L ENDOSCOPIE DANS LES COLITES MICROSCOPIQUES RECOMMANDATIONS DE LA Janvier 2003 RECOMMANDATIONS DE LA PLACE DE L ENDOSCOPIE DANS LES COLITES MICROSCOPIQUES L. BEAUGERIE (Paris) Avec la collaboration de : G. GAY (Nancy), B. NAPOLEON (Lyon), T. PONCHON (Lyon), J. BOYER

Plus en détail

Ministère de l Enseignement Supérieur, de la Recherche Scientifique et de la Technologie Université Virtuelle de Tunis

Ministère de l Enseignement Supérieur, de la Recherche Scientifique et de la Technologie Université Virtuelle de Tunis Ministère de l Enseignement Supérieur, de la Recherche Scientifique et de la Technologie Université Virtuelle de Tunis! " Ce produit pédagogique numérisé est la propriété exclusive de l'uvt. Il est strictement

Plus en détail

NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Delphi 0,1 % crème Acétonide de triamcinolone

NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Delphi 0,1 % crème Acétonide de triamcinolone NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Delphi 0,1 % crème Acétonide de triamcinolone Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament car elle contient des informations importantes

Plus en détail

CANCERS DE LA PEAU. Les cancers de la peau se divisent en deux catégories principales : les mélanomes malins et les non mélanomes.

CANCERS DE LA PEAU. Les cancers de la peau se divisent en deux catégories principales : les mélanomes malins et les non mélanomes. CANCERS DE LA PEAU Définition Les cancers de la peau se divisent en deux catégories principales : les mélanomes malins et les non mélanomes. Les mélanomes Ces tumeurs se développent dans les mélanocytes,

Plus en détail

Tumeurs cutanées bénignes

Tumeurs cutanées bénignes Chapitre 13: Tumeurs cutanées bénignes page: 368 Tumeurs cutanées bénignes Tumeurs épidermiques page: 369 13.1 Tumeurs épidermiques Verrucosités; Kératoses Verrues séborrhéiques (kératoses séborrhéiques)

Plus en détail

Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek

Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek I) Les cellules procaryotes II) Les cellules eucaryotes o 1) Caractéristiques générales des cellules eucaryotes o 2) Organisation des cellules eucaryotes

Plus en détail

Concours d Internat et de Résidanat

Concours d Internat et de Résidanat Concours d Internat et de Résidanat Ce programme a pour but d aider à la préparation des concours d internat et de résidanat. Il ne constitue en aucun cas un répertoire de «questions d examen» mais une

Plus en détail

ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR

ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Dénomination du médicament ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR LYSOPAÏNE MAUX DE GORGE AMBROXOL CITRON 20 mg SANS SUCRE, pastille édulcorée au sorbitol et au sucralose. Chlorhydrate d ambroxol

Plus en détail

Dermatophytoses ou Dermatophyties

Dermatophytoses ou Dermatophyties Dermatophytoses ou Dermatophyties Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL) 2014 1 Table des matières 1. Définition... 3 2. Agents pathogènes... 3 3. Epidémiologie :

Plus en détail

Ce qu il faut savoir sur la chute des cheveux.

Ce qu il faut savoir sur la chute des cheveux. 01/ 2014 Sandoz Pharmaceuticals SA Suurstoffi 14 Case postale 6343 Rotkreuz Tél. 0800 858 885 Fax 0800 858 888 www.generiques.ch Ce qu il faut savoir sur la chute des cheveux. Architecture du cheveu 4

Plus en détail

Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie

Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux

Plus en détail

DÉVELOPPEMENT D'UN MODÈLE DE CICATRISATION ÉPIDERMIQUE APRÈS UNE DÉSÉPIDERMISATION LASER

DÉVELOPPEMENT D'UN MODÈLE DE CICATRISATION ÉPIDERMIQUE APRÈS UNE DÉSÉPIDERMISATION LASER UNIVERSITÉ TOULOUSE III - PAUL SABATIER TOULOUSE U.F.R MÉDECINE THÈSE POUR OBTENIR LE GRADE DE DOCTEUR DE L'UNIVERSITÉ TOULOUSE III Discipline: Ingénierie Médicale et Biologique Par M. younes FERRAQ TITRE

Plus en détail

La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.

La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium

Plus en détail

NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Version 3.0, 04/2013

NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Version 3.0, 04/2013 NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Version 3.0, 04/2013 1 NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR ALEVE 220 mg, comprimés pelliculés Naproxène sodique Veuillez lire attentivement cette notice avant de

Plus en détail

Mécanismes de l alloréactivité, des rejets de greffe et de la réaction du greffon contre l hôte.

Mécanismes de l alloréactivité, des rejets de greffe et de la réaction du greffon contre l hôte. Mécanismes de l alloréactivité, des rejets de greffe et de la réaction du greffon contre l hôte. Marcelo de Carvalho Bittencourt, Christophe Baron, Gilles Blancho, Myriam Labalette, Hélène Moins Teisserenc

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 2 avril 2014 DERMOVAL, gel flacon de 20 ml (CIP : 34009 326 130 4 5) DERMOVAL 0,05 POUR CENT, crème tube de 10 g (CIP : 34009 320 432 9 3) Laboratoire GLAXOSMITHKLINE

Plus en détail

Leucémies de l enfant et de l adolescent

Leucémies de l enfant et de l adolescent Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE

Plus en détail

B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs

B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue

Plus en détail

La maladie de Verneuil Hidrosadénite suppurée

La maladie de Verneuil Hidrosadénite suppurée Hidrosadénite suppurée La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur Cette fiche est destinée à vous informer

Plus en détail

TRAITEMENT DE L ACNÉ DERMOCORTICOIDES. Enseignement optionnel «Prescription et usage rationnel des médicaments» Dr Antoine FAUCONNEAU 10 Avril 2013

TRAITEMENT DE L ACNÉ DERMOCORTICOIDES. Enseignement optionnel «Prescription et usage rationnel des médicaments» Dr Antoine FAUCONNEAU 10 Avril 2013 TRAITEMENT DE L ACNÉ DERMOCORTICOIDES Enseignement optionnel «Prescription et usage rationnel des médicaments» Dr Antoine FAUCONNEAU 10 Avril 2013 INTRODUCTION Particularités des traitements en Dermatologie

Plus en détail

Objectifs pédagogiques. Diagnostiquer un psoriasis. Argumenter l attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient.

Objectifs pédagogiques. Diagnostiquer un psoriasis. Argumenter l attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. 17 Item 123 Psoriasis Objectifs pédagogiques Diagnostiquer un psoriasis. Argumenter l attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. Points clés Le psoriasis est une dermatose érythémato-squameuse

Plus en détail

Carte de soins et d urgence

Carte de soins et d urgence Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase

Plus en détail

Psoriasis Vieux fléau Nouvelle maladie métabolique

Psoriasis Vieux fléau Nouvelle maladie métabolique Psoriasis Vieux fléau Nouvelle maladie métabolique Printemps médical de Bourgogne 21 mars 2015 Jean Friedel dermatologie-vénéréologie Chalon-sur-Saône Observation n 1 Un homme de 44 ans 23/12/2014 : psoriasis

Plus en détail

G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané

G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome

Plus en détail

La maladie de Horton Artérite temporale Artérite à cellules géantes

La maladie de Horton Artérite temporale Artérite à cellules géantes Artérite temporale Artérite à cellules géantes La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est

Plus en détail

Maladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005

Maladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005 Maladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005 1. Définition Les angiomes sont des tumeurs très fréquentes. La définition de TOURAINE rend parfaitement compte de la complexité

Plus en détail

Avis 17 octobre 2012

Avis 17 octobre 2012 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 17 octobre 2012 BETESIL 2,25 mg, emplâtre médicamenteux Boite de 8 emplâtres médicamenteux en sachets (CIP : 34009 377 977 4 0) Laboratoire GENEVRIER DCI Code ATC (2012)

Plus en détail

Traitements topiques. Utiliser conformément aux instructions figurant sur l emballage. Aident à éliminer les squames. Soulagent les démangeaisons.

Traitements topiques. Utiliser conformément aux instructions figurant sur l emballage. Aident à éliminer les squames. Soulagent les démangeaisons. SANS ORDONNANCE Solutions pour le bain et la douche : Huiles Farine d avoine Sels d Epsom Sels de al Mer Morte Utiliser conformément aux instructions figurant sur l emballage. Aident à éliminer les squames.

Plus en détail

Le vitiligo touche 1 personne sur 50 à 100 de la population mondiale avec 10 à 30 % de formes familiales. Ce n est donc pas une maladie rare.

Le vitiligo touche 1 personne sur 50 à 100 de la population mondiale avec 10 à 30 % de formes familiales. Ce n est donc pas une maladie rare. La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur le vitiligo. Elle

Plus en détail

Conseils aux patients* Lutter activement. *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou

Conseils aux patients* Lutter activement. *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou Conseils aux patients* Lutter activement contre la thrombose *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou 2 Mentions légales Directeur de la publication : Bayer

Plus en détail

PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement

PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?

Plus en détail

NOTICE : INFORMATIONS DU PATIENT. Keforal 500 mg comprimés pelliculés. Céfalexine monohydratée

NOTICE : INFORMATIONS DU PATIENT. Keforal 500 mg comprimés pelliculés. Céfalexine monohydratée NOTICE : INFORMATIONS DU PATIENT Keforal 500 mg comprimés pelliculés Céfalexine monohydratée Veuillez lire attentivement cette notice avant de prendre ce médicament car elle contient des informations importantes

Plus en détail

LES DÉFICITS IMMUNITAIRES COMBINÉS SÉVÈRES

LES DÉFICITS IMMUNITAIRES COMBINÉS SÉVÈRES LES DÉFICITS IMMUNITAIRES COMBINÉS SÉVÈRES Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement

Plus en détail

Psoriasis. EPU Bats CARMI Esther

Psoriasis. EPU Bats CARMI Esther Psoriasis EPU Bats CARMI Esther Idées clefs Co morbidité Biothérapies Intérêt Risque Psoriasis «Exclusion sociale pour impureté» 1805 : individualisation Importance de la microcirculation du derme superficiel

Plus en détail

1 of 5 02/11/2012 14:03

1 of 5 02/11/2012 14:03 1 of 5 02/11/2012 14:03 Le cancer du chat par Sandrine Cayet, docteur-vétérinaire Le cancer chez le chat n est pas une fatalité. Un cancer chez le chat, c est comme chez l homme, ça se diagnostique, ça

Plus en détail

Les grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY

Les grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY Les grands syndromes Endoscopie trachéo-bronchique Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY 1 Endoscopie souple avec pince et brosse (fibroscopie) 2 Endoscopie Arbre bronchique normal Bifurcation trachéobronchique

Plus en détail

Sensibilisation à la Sécurité LASER. Aspet, le 26/06/2013

Sensibilisation à la Sécurité LASER. Aspet, le 26/06/2013 Sensibilisation à la Sécurité LASER Aspet, le 26/06/2013 Modes d émission LASER P c P 0 P moy 0 Emission pulsée Salve ou train de N impulsions Emission continue Q i t i t Longueur d onde λ Emission continue

Plus en détail

Prépration cutanée de l opéré

Prépration cutanée de l opéré Prépration cutanée de l opéré Xème Journée d Hygiène Hospitalière de Bizerte. Bizerte le 3 décembre 2005 Conférence de Consensus de la Société Française d Hygiène Hospitalière 1 Définition: Ensemble de

Plus en détail

CHAPITRE III LE SYSTEME TEGUMENTAIRE

CHAPITRE III LE SYSTEME TEGUMENTAIRE CHAPITRE III LE SYSTEME TEGUMENTAIRE I LA PEAU La peau couvre entièrement le corps. Chez l'adulte moyen, sa superficie varie entre 1,5 et 2 m 2 et elle pèse environ 4 kg (soit 7% de la masse corporelle

Plus en détail

BILAN DES CONNAISSANCES ACTUELLES SUR LA CICATRISATION DES PLAIES CUTANÉES CHEZ LE CHIEN ET LE CHAT

BILAN DES CONNAISSANCES ACTUELLES SUR LA CICATRISATION DES PLAIES CUTANÉES CHEZ LE CHIEN ET LE CHAT ANNEE 2006 THESE : 2006 TOU 3 4020 BILAN DES CONNAISSANCES ACTUELLES SUR LA CICATRISATION DES PLAIES CUTANÉES CHEZ LE CHIEN ET LE CHAT THESE pour obtenir le grade de DOCTEUR VETERINAIRE DIPLOME D ETAT

Plus en détail

la peau et la dermatologie

la peau et la dermatologie Pour tout savoir sur la peau et la dermatologie Guy Leriche, Président Christian Germain, Directeur général édito BIEN PROTÉGER SA PEAU! Directement touchée par toutes les agressions extérieures, la peau

Plus en détail

NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Immukine 100 microgrammes/0,5 ml solution injectable (Interféron gamma-1b recombinant humain)

NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Immukine 100 microgrammes/0,5 ml solution injectable (Interféron gamma-1b recombinant humain) NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR Immukine 100 microgrammes/0,5 ml solution injectable (Interféron gamma-1b recombinant humain) Veuillez lire attentivement l'intégralité de cette notice avant d'utiliser

Plus en détail

Le mélanome. Ce que vous devez savoir

Le mélanome. Ce que vous devez savoir Le mélanome Ce que vous devez savoir Table des matières À propos de ce livret... 2 La peau... 3 Importance de la peau...3 Couches de la peau...3 La croissance des cellules : les cellules normales et les

Plus en détail

Référentiel CPAM Liste des codes les plus fréquents pour la spécialité :

Référentiel CPAM Liste des codes les plus fréquents pour la spécialité : Référentiel CPAM Liste des codes les plus fréquents pour la spécialité : DERMATOLOGIE ET VENEROLOGIE ADC - Acte de chirurgie BAFA005 1 (I, O) BAFA006 1 0 Exérèse non transfixiante de lésions multiples

Plus en détail

LE SYNDROME DE BUDD CHIARI

LE SYNDROME DE BUDD CHIARI CENTRE DE REFERENCE DES MALADIES VASCULAIRES DU FOIE (C.R.M.V.F.) Hôpital Beaujon 100 bd du Général Leclerc 92110 Clichy Service d Hépatologie Pavillon Abrami (consultation) Pavillon Sergent (hospitalisation)

Plus en détail

.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203 .(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3 .( @.*" '!%2"+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!

.( /.*!0) %1 2+ %#(3004) 05' 203 .(.*0+ ) '!2+ %#(30+ 0!%) 4!%2) 3 .( @.* '!%2+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2+ 16 3047! !"#! $ %#&' (!"#$!% & % ' (!%' ) )''! *)+* *! %#"+, ' ( ', -) " *.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203.(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3.( -.* %)!(2"+ %#(30! &' 4!!%.+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!%(%' 0.(89.*

Plus en détail

Laserthérapie de la peau et des muqueuses orificielles (FMS)

Laserthérapie de la peau et des muqueuses orificielles (FMS) Laserthérapie de la peau et des muqueuses orificielles (FMS) Programme de certificat d'aptitude technique du 1 er janvier 2001 2 Texte d'accompagnement concernant le programme de formation pour le certificat

Plus en détail

Laser CO2 fractionné. Dr Jean De Wan - Chirurgie et médecine esthétique. www.drjeandewan.be 1

Laser CO2 fractionné. Dr Jean De Wan - Chirurgie et médecine esthétique. www.drjeandewan.be 1 Laser CO2 fractionné Les lasers à dioxyde de carbone (CO2) sont des appareils à gaz, émis en infrarouge, ayant pour principe de détruire les lésions dermatologiques. Les lasers CO2 sont ulisés depuis plus

Plus en détail

Un avantage décisif pour la résection des polypes et des myomes. Système

Un avantage décisif pour la résection des polypes et des myomes. Système Un avantage décisif pour la résection des polypes et des myomes Système Nouvelle norme en résection hystéroscopique Truclear apporte une précision, une clarté et une efficacité sans précédents pour réséquer

Plus en détail

HTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice

HTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive

Plus en détail

Les cancers de la peau non-mélanome

Les cancers de la peau non-mélanome Les cancers de la peau non-mélanome Carcinome basocellulaire Carcinome spinocellulaire Lésions précancéreuses Une information de la Ligue contre le cancer pour les personnes concernées et leurs proches

Plus en détail

PROPRIÉTÉS D'UN LASER

PROPRIÉTÉS D'UN LASER PROPRIÉTÉS D'UN LASER Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : S'impliquer, être autonome. Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité. Compétence(s) spécifique(s)

Plus en détail

L ESSENTIEL de la COIFFURE

L ESSENTIEL de la COIFFURE Adrien GUERIN L ESSENTIEL de la COIFFURE "Le photocopillage, c'est l'usage abusif et collectif de la photocopie sans autorisation des auteurs et des éditeurs. Largement répandu dans les établissements

Plus en détail

AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus.

AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus. AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne Les dons de cellules & de tissus. Introduction : Une greffe (don) de cellules consiste à administrer à un patient dont un organe vital ne fonctionne plus correctement, une

Plus en détail

Cytokines ; Chimiokines

Cytokines ; Chimiokines Cytokines ; Chimiokines I. Dans le but d étudier la régulation de la circulation des leucocytes dans l'organisme, des souris déficientes pour le récepteur CCR7 de chimiokine ont été générées par recombinaison

Plus en détail

L œdème est une augmentation de la quantité d'eau dans les espaces extra-vasculaires.

L œdème est une augmentation de la quantité d'eau dans les espaces extra-vasculaires. Copyright AFECAP 1 Pathologie vasculaire - Troubles circulatoires (Chapitre 4) Auteurs : P. Hofman + S. Guyetant Mai 2005 Pre-requis Principes de séméiologie et physiologie cardiovasculaires Physiologie

Plus en détail

Hépatites Auto-Immunes. Critères et Scores Diagnostiques

Hépatites Auto-Immunes. Critères et Scores Diagnostiques Hépatites Auto-Immunes Critères et Scores Diagnostiques Olivier CHAZOUILLERES Service d Hépatologie Centre de référence des maladies inflammatoires des voies biliaires Paris Saint Antoine HAI: Modes de

Plus en détail

S o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique

S o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3

Plus en détail

Tuberculose bovine. Situation actuelle

Tuberculose bovine. Situation actuelle Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier

Plus en détail

Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin

Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du

Plus en détail