LISTE DES TABLEAUX. Liste des stations météorologiques de référence présentes dans la zone d étude...2-2

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "LISTE DES TABLEAUX. Liste des stations météorologiques de référence présentes dans la zone d étude...2-2"

Transcription

1 LISTE DES TABLEAUX Tableau 2.1 Tableau 2.2 Tableau 2.3 Tableau 2.4 Tableau 2.5 Tableau 2.6 Tableau 2.7 Tableau 2.8 Tableau 2.9 Tableau 2.10 Tableau 2.11 Tableau 2.12 Tableau 2.13 Liste des stations météorologiques de référence présentes dans la zone d étude Comparaison des températures minimales ( o C) entre Koné et la station du massif de Koniambo (septembre 1999 à novembre 2000) Comparaison des températures maximales ( o C) entre Koné et la station du massif de Koniambo (septembre 1999 à novembre 2000) Comparaison des températures moyennes ( o C) entre Koné et le massif du Koniambo (septembre 1999 à novembre 2000) Comparaison des précipitations mensuelles (mm) entre Koné et la station du massif du Koniambo (septembre 1999 à novembre 2000) Statistiques des précipitations annuelles sur toute la période de mesure Précipitations journalières maximales pour différentes durées de retour (distribution de Gumbell) Nombres de jours de pluie sur la côte nord-ouest Comparaison de la force du vent moyen (km/h) entre Koné et la station du massif du Koniambo (septembre 1999 à novembre 2000) Rayonnmeent global (J/cm²) aux stations de Koné et du massif du Koniambo Comparaison de l humidité relative minimale (%) entre les stations de Koné et du massif du Koniambo Comparaison de l humidité relative maximale (%) entre les stations de Koné et du massif du Koniambo Comparaison de l humidité relative moyenne (%) entre les stations de Koné et du massif du Koniambo Tableau 2.14 Records de vitesse maximale instantanée du vent Juin ii - Étude environnementale Rapport final 20199

2 LISTE DES FIGURES Figure 2.1 Totaux mensuels de précipitations à Koné (période ) Figure 2.2 Figure 2.3 Figure 2.4 Figure 2.5 Isohyètes de précipitations moyennes annuelles pour la période de 1966 à 1995 (selon Météo France, 2000) Courbes Intensité Durée Fréquence des précipitations à la station de Koumac ( ) Courbes Intensité Durée Fréquence des précipitations à la station de Poindimié ( Distribution mensuelle des précipitations et de l évapotranspiration potentielle (ETP) à la station de Koumac Figure 2.6 Répartition mensuelle du nombre moyen de phénomènes tropicaux LISTE DES CARTES Carte 2.1 Localisation des stations météorologiques, des pluviomètres et stations limnimétriques dans la zone d étude (en pochette) - iii - Juin Étude environnementale Rapport final

3 2. CLIMAT Les informations présentées dans cette section proviennent principalement du rapport de Météo France (2000). Les éléments du climat, dont l influence peut être déterminante sur la conception des ouvrages et/ou les impacts environnementaux potentiels du présent projet, sont décrits ci-après. 2.1 DESCRIPTION GÉNÉRALE La Nouvelle-Calédonie est soumise à l influence de plusieurs facteurs d origine climatique et géographique qui en font un archipel au climat très contrasté, irrégulier et qualifié de tropical océanique. Parmi les facteurs d origine géographique qui ont une influence importante sur le climat, mentionnons la présence du massif montagneux (Chaîne centrale) qui sépare le territoire de façon longitudinale et qui conditionne le régime pluviométrique de l île. Notons également la présence de l océan qui entoure complètement le territoire et qui tamponne les écarts thermiques. Les caractéristiques climatiques de la Nouvelle-Calédonie sont également conditionnées par l activité cyclonique qui constitue le risque important et régulier auquel l archipel est soumis au cours de la saison chaude. D autres facteurs contribuent également de façon non négligeable au climat, soit : le phénomène ENSO (El Niño Southern Oscillation) qui affecte l activité cyclonique et le régime des précipitations; les alizés qui soufflent régulièrement d est-sud-est avec un flux modéré à fort, qui limitent les températures maximales et qui sont responsables, de paire avec le relief de la répartition inégale des précipitations; les saisons qui sont caractérisées par des étés chauds et humides, occasionnés par la proximité de la ZCIT (Zone de Convergence Intertropicale) et des hivers frais et secs, causés par le passage de fronts froids d origine polaire. Bien que les conditions climatiques moyennes soient confortables, tous ces facteurs contribuent à l irrégularité du climat, qui se manifeste plus particulièrement par la très grande variabilité spatiale et temporelle de la pluie et du vent. Les conditions météorologiques extrêmes peuvent représenter un danger pour les humains et les infrastructures en place Juin Étude environnementale Rapport final

4 2.2 RÉSEAU DE STATIONS MÉTÉOROLOGIQUES Le réseau climatologique de la Nouvelle-Calédonie compte 47 postes automatisés, qui ont été mis en place progressivement depuis 1950, mais surtout depuis la fin des années 80 (Météo France, 2000). La carte 2.1 (en pochette) présente les limites des zones d étude spécifique et élargie, ainsi que la localisation des stations météorologiques et des pluviomètres dans la région du massif de Koniambo. Les stations situées dans la zone d étude sont énumérées au tableau 2.1. Tableau 2.1 Liste des stations météorologiques de référence présentes dans la zone d étude Nom Longitude Latitude Précipitations disponibles Altitude (m) Voh ,2 E 20 56,9 S Depuis Koniambo ,5 E 20 59,9 S Depuis déc Koné ,4 E 21 03,3 S Depuis Tango ,9 E 20 59,4 S Tango ,6 E 20 59,0 S Depuis Pouembout ,1 E 21 07,2 S Depuis Koumac ,1 E 20 33,6 S Depuis Poingué-Témala ,6 E 20 51,8 S Depuis Kopéto ,6 E 21 10,2 S Depuis Les stations automatiques de Koné, Pouembout et le poste bénévole de Voh sont situés près de la côte, à moins de 30 m d altitude. Il n existe pas de station météorologique disposant de longues séries chronologiques de données qui soit située en altitude dans la zone d étude. La station de Koniambo, installée dans le cadre de ce projet a commencé à enregistrer des données en TEMPÉRATURES ATMOSPHÉRIQUES De façon générale, la température moyenne est affectée par les cycles ENSO. Ce cycle est initié par le contraste de température de l eau du Pacifique, près de l équateur. Le déplacement d importantes masses d eau durant ce cycle se produit en synergie avec les modifications de la circulation de l air au-dessus de l océan (création de cellules de Walker plus ou moins importantes), ce qui influence la température moyenne de l air. Elle sera supérieure en période la Niña et inférieure en épisode El Niño. Juin Étude environnementale Rapport final 20199

5 À faible altitude, les températures moyennes annuelles sont comprises entre 22 C et 24 C, avec une amplitude thermique annuelle de l ordre de 6 C à 7 C. La température moyenne subit une décroissance avec l altitude (- 0,65 C par 100 m selon Météo France, 2000) de sorte qu'au sommet du Koniambo, la température moyenne sera plus faible d'environ 5 C (tableaux 2.2 à 2.4). Cependant, les influences locales font en sorte que cette variation n est pas toujours respectée. Les configurations géographiques influencent les amplitudes thermiques journalières et annuelles. Tableau 2.2 Comparaison des températures minimales ( o C) entre Koné et la station du massif de Koniambo (septembre 1999 à novembre 2000) Mois Koné Koniambo Écart ( ) Septembre 17,3 13,6-3,7 Octobre 17,4 14,4-3,0 Novembre 17,7 14,6-3,1 Décembre 20,2 16,0-4,2 Janvier 20,9 17,7-3,2 Février 22,4 18,4-4,0 Mars 21,6 18,0-3,6 Avril 19,8 16,4-3,4 Mai 19,6 16,3-3,3 Juin 15,3 12,6-2,7 Juillet 12,0 11,5-0,5 Août 13,6 11,7-1,9 Septembre 13,8 12,6-1,2 Octobre 18,0 14,2-3,8 Novembre 19,2 15,2-4,0 Décembre 19,7 16,0-3,7 Moyenne 18,0 15,0-3,1 Tableau 2.3 Comparaison des températures maximales ( o C) entre Koné et la station du massif de Koniambo (septembre 1999 à novembre 2000) Mois Koné Koniambo Écart ( ) Septembre 27,0 19,4-7,6 Octobre 29,3 22,3-7,0 Novembre 29,5 22,0-7,5 Décembre 29,4 22,0-7,4 Janvier 31,0 24,6-6,4 Février 31,0 24,2-6,8 Mars 31,2 23,8-7,4 Avril 29,5 22,0-7,5 Mai 29,1 21,5-7,6 Juin 25,3 17,8-7,5 Juillet 25,1 17,4-7,7 Août 25,7 18,1-7,6 Septembre 27,7 20,3-7,4 Octobre 29,3 21,5-7,8 Novembre 29,0 21,4-7,6 Décembre 30,8 23,5-7,3 Moyenne 28,7 21,4-7, Juin Étude environnementale Rapport final

6 Tableau 2.4 Comparaison des températures moyennes ( o C) entre Koné et le massif du Koniambo (septembre 1999 à novembre 2000) Mois Koné Koniambo Écart ( ) Septembre 22,1 16,5-5,6 Octobre 23,3 18,3-5,0 Novembre 23,6 18,3-5,3 Décembre 24,8 19,0-5,8 Janvier 26,0 21,2-4,8 Février 26,7 21,3-5,4 Mars 26,4 20,9-5,5 Avril 24,6 19,2-5,4 Mai 24,4 18,9-5,5 Juin 20,3 15,2-5,1 Juillet 18,6 14,5-4,1 Août 19,7 14,9-4,8 Septembre 20,7 16,5-4,2 Octobre 23,7 17,9-5,8 Novembre 24,1 18,3-5,8 Décembre 25,2 19,7-5,5 Moyenne 23,4 18,2-5,2 Les fluctuations de températures sont atténuées par la masse d eau importante de l océan et par la brise de mer qui s établit pendant le jour, de sorte que le record de température maximale n est que de 38,8 C (à Poya, en mars 1968). Cependant, les valeurs minimales enregistrées sont relativement froides pour ces latitudes (record de température minimale de 2,3 C à Bourail en juillet 1965). Le cycle journalier des températures est plus marqué que le cycle annuel. En effet, l alternance du jour et de la nuit induit des variations de température importantes selon la saison et la nébulosité. Le minimum est observé en fin de nuit et le maximum en début d après-midi en général. Les amplitudes thermiques varient en fonction de l éloignement de la mer et de la configuration du relief. L amplitude journalière est fortement influencée par l altitude. Par exemple, elle est de 11 C à Koné et plus faible à l Aoupinié (7 C), situé à 945 m d altitude. De décembre à mars, la moyenne des températures maximales est supérieure à 31 C à Koné, alors qu en altitude, elle avoisine les 25 C. En saison fraîche (avril à novembre), les températures moyennes maximales seront de l ordre de 18 C en altitude et proches de 25 C en plaine. Les températures maximales sont plus particulièrement observées aux Juin Étude environnementale Rapport final 20199

7 stations de la plaine où le réchauffement n est pas retardé par la brise de mer qui affecte la côte. On observe à Koné et Pouembout plus de 100 jours/année où les températures sont supérieures à 30 C, alors qu à Koumac, on en compte moins de 50. Les stations en altitude en enregistrent très peu, voire aucun. Bien que les températures moyennes soient plus faibles en altitude qu en plaine, les records de température minimale ne sont pas enregistrés sur les sommets mais dans les vallées. Au petit jour, on peut observer des températures au sommet du Koniambo de l ordre de 12 C alors qu à Koné, la température sera de l ordre de 10 C à la même heure. Cependant, le réchauffement se fait plus lentement en altitude. Il est très possible en certains endroits de la Chaîne centrale (dans les fonds de vallée particulièrement), d observer des indications d une température inférieure à 0 C, bien que ces observations soient anecdotiques. Les postes proches du littoral sont tempérés par la mer et les températures ne chutent pas en deçà de 10 C. 2.4 PRÉCIPITATIONS La principale caractéristique des précipitations en Nouvelle-Calédonie est leur variabilité spatiale, saisonnière et annuelle. Le relief et l orientation des vents dominants ont une très grande influence sur leur répartition spatiale. Ainsi, la côte est (au vent) reçoit plus de précipitations que la côte ouest (sous le vent). Les précipitations annuelles moyennes varient entre 800 et 1200 mm sur la côte ouest, et entre 1750 et 4000 mm sur la côte est. Au cours des trente dernières années, à l aéroport de Koné, la moyenne annuelle des précipitations est de 1062 mm (écart-type de 322 mm). La variabilité interannuelle est en grande partie causée par les cycles ENSO qui provoquent des précipitations abondantes pendant les épisodes La Niña et des sécheresses sévères durant les épisodes El Niño. Les précipitations varient également en fonction de l altitude, les sommets étant plus arrosés que les plaines. En , la station située sur le massif du Koniambo a enregistré tout près du double des précipitations enregistrées à Koné (tableau 2.5). Le gradient horizontal des précipitations peut atteindre 150 mm/km (Moniod et Mlatac, 1967) Juin Étude environnementale Rapport final

8 Tableau 2.5 Comparaison des précipitations mensuelles (mm) entre Koné et la station du massif du Koniambo (septembre 1999 à novembre 2000) Mois Normale Koné Koniambo Écart (%) Septembre 37,4 65,4 90,2 +38 Octobre 41,2 44,8 67,2 +50 Novembre 79,7 60,6 107,2 +77 Décembre 92,4 189,4 200,0 +6 Janvier 186,3 157,4 275,2 +75 Février 163,2 155,4 386, Mars 166,5 40,8 140, Avril 79,4 68,8 192, Mai 56,2 87,0 125,6 +44 Juin 89,4 122,0 209,0 +71 Juillet 57,0 27,1 60, Août 41,5 70,2 111,2 +58 Septembre 37,4 4,0 27, Octobre 41,2 96,4 182,6 +89 Novembre 79,7 57,0 115, Décembre 92,4 25,6 75, Total 1340,9 1271,9 2365, Répartition saisonnière Le cycle annuel présente deux saisons. La saison des pluies (décembre à mars) au cours de laquelle l influence de l activité cyclonique et des masses d air chaud et humide, se concrétise par des précipitations abondantes (entre 450 mm et 650 mm ou plus de 55 % des précipitations en 4 mois). Pendant la saison sèche (de septembre à novembre), l archipel est sous l influence de masses d air anticycloniques stables et les précipitations sont plus rares. Il tombe entre 110 mm et 180 mm, soit moins de 15 % des précipitations annuelles durant cette période. Les mois d avril à août reçoivent des précipitations mensuelles intermédiaires (300 mm à 450 mm en 5 mois). La figure 2.1 illustre que les précipitations mensuelles à Koné sont typiques de la partie nord-ouest de la Grande Terre. Juin Étude environnementale Rapport final 20199

9 précipitations (en mm) Moyenne Centile 80 Centile janvier février mars avril mai juin mois juillet août septembre octobre novembre décembre Figure 2.1 Totaux mensuels de précipitations à Koné (période ) À Koné, pendant la période pluvieuse, on observe des précipitations mensuelles dépassant 150 mm (figure 2.1). En saison sèche, d août à octobre, le secteur reçoit 50 mm par mois, ce qui explique que l archipel connaît des sécheresses récurrentes à chaque année. Les conséquences de ces sécheresses sont plus importantes lorsque la saison des pluies n a pas apporté assez d eau pour créer des réserves suffisantes Variabilité interannuelle et orogéographique Les précipitations annuelles sont très irrégulières (tableau 2.6). Sur la côte ouest, on note de très faibles minima qui sont de l ordre de 500 mm. Durant les mois d août à octobre (saison sèche), les précipitations mensuelles y sont de l ordre de 50 mm ou moins par mois. Même en altitude, les précipitations sur la côte ouest sont inférieures à celles de la côte est (figure 2.2). La station de Koumac semble être assez représentative du régime des pluies des bassins versants des rivières Voh et Pouembout (tableau 2.6). La station de Koné est caractérisée par un régime plus pluvieux Juin Étude environnementale Rapport final

10 Tableau 2.6 Statistiques des précipitations annuelles sur toute la période de mesure Station Nombre d années Minimum Centile 10 Centile 20 Moyenne Médiane Centile 80 Centile 90 Maximum (mm) an (mm) (mm) (mm) (mm) (mm) (mm) (mm) an Koumac Voh Koné Pouembout Source : adapté de Météo France (2000) Les précipitations moyennes annuelles sur la côte ouest sont de l ordre de 1000 mm alors que le minimum annuel est inférieur à 400 mm. Toutefois, il n est pas rare d enregistrer plus de 100 mm par jour Intensité de précipitations Les durées de retour des précipitations maximales journalières pour les stations situées à l intérieur de la zone d étude sont comparables à celle de Koumac. De façon générale, une précipitation de l ordre de 100 mm/jour a une période de récurrence inférieure à 2 ans à cette station (tableau 2.7). Tableau 2.7 Précipitations journalières maximales pour différentes durées de retour (distribution de Gumbell) STATION KOUMAC KONÉ POUEMBOUT POINDIMIÉ Récurrence Précipitation (mm) Précipitation (mm) Précipitation (mm) Précipitation (mm) 2 ans 111,3 112,3 103,4 189,9 3 ans 148,7 138,6 133,3 229,7 4 ans 172,7 155,4 152,5 255,2 5 ans 190,4 167,8 166,7 274,0 10 ans 242,8 204,6 208,6 329,7 20 ans 293,1 239,8 248,8 383,1 30 ans 322,0 260,1 271,9 413,8 40 ans 342,4 274,4 288,2 435,5 50 ans 358,1 285,5 300,8 452,2 75 ans 386,7 305,5 323,6 482,5 100 ans 406,9 319,7 339,8 504,0 150 ans 435,3 339,6 362,5 534,2 200 ans 455,4 353,7 378,6 555,6 Période Nombre d'années R 2 0,92 0,99 0,98 0,98 Juin Étude environnementale Rapport final 20199

11 Figure 2.2 Isohyètes de précipitations moyennes annuelles pour la période de 1966 à 1995 (selon Météo France, 2000)

12 Les courbes d Intensité Durée Fréquence des précipitations maximales de 6 minutes à 4 jours pour Koumac apparaissent à la figure 2.3. Les courbes IDF de Poindimié apparaissent à la figure 2.4. À Poindimié, les intensités des périodes jusqu à 120 minutes sont alignées en formant un plateau. Le rapport des intensités, calculé pour les périodes de retour de 2 ans et 100 ans, reste dans une fourchette de 1 à 2. Selon Météo France (2000), on peut admettre que les durées de retour des fortes intensités de pluie de Koumac sont très proches des zones basses de la région du projet alors qu on prendra plutôt Poindimié pour le Koniambo Nombres de jours de pluie On observe en moyenne 70 à 80 jours de pluie par an dans la zone d étude. Le tableau 2.8 présente les nombres de jours de pluie observés sur la côte nord-ouest. D importantes variations du nombre de jours de pluie sont observées avec des minima de 40 à 46 jours par an et des maxima de 104 à 113 jours. Il est à noter qu'à Koné, au pied du Koniambo, on observe en moyenne plus de 4 jours de pluie de plus de 50 mm. Tableau 2.8 Nombres de jours de pluie sur la côte nord-ouest Station KOUMAC KONÉ POUEMBOUT Période Nombre d'années Précipitations Nombre de jours Nombre de jours Nombre de jours Mois Journalières Min. Moyen Max. Min Moyen Max. Min. Moyen Max. > = 1,0 mm Janv. 2 9, , ,9 24 > = 1,0 mm Fév. 5 10, , ,8 15 > = 1,0 mm Mars 3 9, , ,8 17 > = 1,0 mm Avril 1 5, , ,1 13 > = 1,0 mm Mai 0 5, , ,7 12 > = 1,0 mm Juin 1 5, , ,4 13 > = 1,0 mm Juil. 0 4, , ,4 9 > = 1,0 mm Août 0 3, , ,1 11 > = 1,0 mm Sept. 0 2, , ,3 10 > = 1,0 mm Oct. 0 2, , ,7 7 > = 1,0 mm Nov. 0 4, , ,2 15 > = 1,0 mm Déc. 1 6, , ,5 16 Nombre moyen de jours dans l année Précipitation journalière Min. Moyen Max. Min Moyen Max. Min. Moyen Max. > 1,0 mm 40 70, , ,2 113 > 5,0 mm 17 39, , ,1 62 > 10,0 mm 8 25, , ,2 48 > 25,0 mm 3 11, , ,8 24 > 50,0 mm 0 3, , , Juin Étude environnementale Rapport final

13 Figure 2.3 Courbes Intensité Durée Fréquence des précipitations à la station de Koumac ( ) Figure 2.4 Courbes Intensité Durée Fréquence des précipitations à la station de Poindimié (

14 2.5 LE VENT Bien que le régime général des alizés provienne de l est-sud-est, le relief influence grandement le régime des vents à l échelle locale. À Koné, les vents sont orientés est-nordest (51 % du temps) ou sud-ouest (15 % du temps). En contraste, les vents prédominants à Koumac sont orientés nord-nord-ouest (35 % du temps). L évolution diurne du régime des vents est souvent marquée par l établissement d un régime de brise dont la vitesse augmente en matinée et la direction effectue une rotation. À Koné, le vent moyen horaire est de 2,1 m/s à 5 heures, alors qu il est de 4,7 m/s à 13 heures pour un vent moyen de 3 m/s (10,8 km/h); au cours de la même période, la direction du vent vectoriel passe de 60 (est-nord-est) à 170 (sud). Au cours de la période comprise entre septembre 1999 et novembre 2000, la force du vent moyen sur le massif du Koniambo était de 50 à 185 % plus élevée qu à la station de Koné (tableau 2.9). Tableau 2.9 Comparaison de la force du vent moyen (km/h) entre Koné et la station du massif du Koniambo (septembre 1999 à novembre 2000) Mois Koné Koniambo Écart (%) Septembre 11,9 Octobre 10,8 18,4 +70 Novembre 6,8 Décembre 9,0 Janvier 7,6 15, Février 7,9 20, Mars 6,8 19, Avril 9,0 23, Mai 8,6 19, Juin 6,8 Juillet 5,4 Août 6,8 18, Septembre 12,2 19,4 +59 Octobre 13,7 20,9 +53 Novembre 13,3 19,8 +49 Décembre 13,0 17, ENSOLEILLEMENT ET DURÉE DU JOUR La durée d insolation moyenne varie entre heures à Nouméa et heures à Koumac. Les conditions à Koné sont similaires à celles mesurées à Koumac. La période comprise entre octobre et décembre est celle qui est la plus ensoleillée. Le pourcentage journalier d ensoleillement varie entre 63 % et 67 % durant cette période, alors qu il tombe Juin Étude environnementale Rapport final

15 à environ 50 % entre mars et juin. L insolation au Koniambo est plus faible qu à Koumac selon Météo France, mais il faudrait mieux connaître les conditions de nébulosité au Koniambo pour pouvoir estimer dans quelle mesure l insolation y est plus faible. Le maximum d ensoleillement est observé en décembre à Nouméa, ce qui correspond approximativement au solstice d été et en novembre à Koumac. Ce déphasage par rapport au solstice d été s explique par un couvert nuageux plus important en décembre qu en novembre à cet endroit. L ensoleillement à Koné devrait logiquement se rapprocher de celui de Koumac, selon Météo France (2000). Nouméa reçoit en moyenne 478 cal/cm 2 /jour (2000 J/cm 2 /jour) [maximum de 630 cal/cm 2 /jour (2636 J/cm 2 /jour)], ce qui est comparable aux valeurs mesurées ailleurs en Océanie. Les valeurs de rayonnement global pour Koné et le massif du Koniambo sont présentées au tableau Tableau 2.10 Rayonnmeent global (J/cm²) aux stations de Koné et du massif du Koniambo Mois Koné Koniambo Écart (%) Septembre 1783,4 1421,0-20 Octobre 2258,1 1939,1-14 Novembre 2359,8 1842,2-22 Décembre 2015,7 1523,7-24 Janvier 2287,4 1669,1-27 Février 1838,1 1437,0-22 Mars 1636,3 1429,3-13 Avril 1532,6 1252,5-18 Mai 1302,1 1106,5-15 Juin 1049,6 1044,6-0 Juillet 1329,5 1244,1-6 Août 1437,7 1347,3-6 Septembre 2036,6 1839,5-10 Octobre 2037,5 1690,5-17 Novembre 2284,8 1623,2-29 Décembre 1951,2 Moyenne 1812,6 1522,5 2.7 ÉVAPORATION, HUMIDITÉ, COUVERT NUAGEUX ET VISIBILITÉ L'évaporation annuelle, mesurée à l'aide d'un évaporimètre Piche varie entre 1160 mm à Koumac et 1375 mm à Tontouta (ORSTOM, 1981). L évapotranspiration potentielle (ETP) dépend des conditions météorologiques (température, humidité, vent, etc.) et décrit donc un cycle annuel. Les moyennes journalières d évapotranspiration sont comprises entre Juin Étude environnementale Rapport final 20199

16 5 mm et 6 mm en été, et entre 2,5 mm et 3,5 mm en saison fraîche (figure 2.5). Mensuellement, ces valeurs représentent de 150 mm à 180 mm par mois en été et de 75 mm à 105 mm en hiver. L ETP est maximale en décembre/janvier et minimale en juin. Le bilan hydrique net sur la côte est demeure généralement positif. Ce n est pas le cas à Koumac et Nouméa, sur la côte ouest, où l ETP présente des valeurs souvent supérieures à la quantité mensuelle de précipitations, ce qui occasionne un stress hydrique qui ne pourra être compensé que par l irrigation, lorsque le milieu est utilisé pour des fins agricoles. Sous l'action combinée du soleil et du vent, des valeurs supérieures à 7,0 mm par jour ont été mesurées à Koumac. La figure 2.5 illustre l évolution mensuelle des précipitations et de l ÉTP à Koumac. Un déficit moyen de 3 mm/jour à 5 mm/jour est possible pour les mois de septembre, octobre et novembre (figure 2.5). 8 7 ETP moy.( ) Préc. M oy. ( ) 6 Moyennes journalières (mm janv fév m ars avr m ai juin juil aout sept oct nov dec Figure 2.5 Distribution mensuelle des précipitations et de l évapotranspiration potentielle (ETP) à la station de Koumac À Koumac, le cycle journalier de l humidité relative varie typiquement entre 87 % (tôt le matin) et 67 % (en avant-midi). L amplitude du cycle annuel est nettement moins importante (de 7 % à 9 %), avec les minima atteints en septembre et octobre. Même si le maximum moyen mensuel d humidité est généralement atteint en février ou en mars, on observe un Juin Étude environnementale Rapport final

17 pic en juin qui correspond au mois durant lequel l ensoleillement est le plus faible. Les tableaux 2.11 à 2.13 présentent les valeurs d humidité relative minimale, maximale et moyenne aux stations de Koné et du massif du Koniambo. On y observe que l humidité relative est de 10 à 20 % plus élevée sur le massif qu à Koné. Tableau 2.11 Comparaison de l humidité relative minimale (%) entre les stations de Koné et du massif du Koniambo Mois Koné Koniambo Écart Septembre 57,8 74,7 +29 Octobre 50,0 64,9 +30 Novembre 50,1 68,3 +36 Décembre 59,0 78,2 +33 Janvier 58,4 70,9 +21 Février 63,9 75,9 +19 Mars 59,8 74,8 +25 Avril 58,7 73,9 +26 Mai 61,7 77,5 +26 Juin 58,6 74,9 +28 Juillet 51,5 69,2 +34 Août 52,1 70,0 +34 Septembre 48,3 61,4 +27 Octobre 51,3 68,9 +34 Novembre 56,8 75,8 +33 Décembre 52,7 68,7 +30 Tableau 2.12 Comparaison de l humidité relative maximale (%) entre les stations de Koné et du massif du Koniambo Mois Koné Koniambo Écart Septembre 95,4 98,1 +3 Octobre 95,1 98,3 +3 Novembre 96,6 99,4 +3 Décembre 95,6 98,7 +3 Janvier 97,8 98,3 +1 Février 97,4 97,7 +0 Mars 97,9 97,6-0 Avril 97,4 97,9 +1 Mai 97,9 97,1-1 Juin 97,6 96,7-1 Juillet 98,9 97,7-1 Août 98,4 98,3-0 Septembre 97,4 98,3 +1 Octobre 94,1 98,8 +5 Novembre 94,1 98,8 +5 Décembre 93,8 98,9 +5 Juin Étude environnementale Rapport final 20199

18 Tableau 2.13 Comparaison de l humidité relative moyenne (%) entre les stations de Koné et du massif du Koniambo Mois Koné Koniambo Écart Septembre 78,8 90,5 +15 Octobre 74,2 86,0 +16 Novembre 74,4 88,3 +19 Décembre 78,8 92,0 +17 Janvier 80,9 90,1 +11 Février 83,9 92,2 +10 Mars 83,7 90,9 +9 Avril 81,3 91,3 +12 Mai 83,6 91,6 +10 Juin 81,9 89,1 +9 Juillet 80,3 87,8 +9 Août 80,1 88,6 +11 Septembre 75,6 85,8 +13 Octobre 75,5 90,0 +19 Novembre 77,0 92,1 +20 Décembre 74,6 89,9 +21 À Koumac, le cycle journalier de nébulosité moyenne atteint un maximum en fin d aprèsmidi, avec près de 5 octas en moyenne annuelle à 17 h (1 octa = 1/8 e de la voûte céleste couvert par les nuages). Évidemment, le cycle annuel est fortement modulé par la saison des pluies. Les maxima sont atteints durant les mois de janvier à mars (moyenne journalière > 5,5 octas à Koumac). Les minima se produisent en septembre et octobre (moyenne journalière d environ 4 octas à Koumac). La visibilité sur la cote ouest demeure généralement au-dessus de 10 km (90 % du temps à Koumac et 80 % du temps à Nouméa). Les jours où le seuil de visibilité est inférieur à 5 km sont peu nombreux. Ils représentent moins de 1 % des observations à Koumac et à Nouméa. 2.8 ÉVÈNEMENTS EXTRÊMES Cyclones La Nouvelle-Calédonie est située dans la zone d activité cyclonique maximale du bassin Pacifique Sud-Ouest. La saison cyclonique s étend de décembre à avril (pour 90 % des épisodes cycloniques) avec un pic au mois de février (figure 2.6); les deux tiers des phénomènes étant répertoriés pendant le premier trimestre Juin Étude environnementale Rapport final

19 nombre moyen de phénomènes tropicaux 3,0 2,5 2,0 1,5 1,0 0,5 0,0 oct nov déc jan fév mar avr mai jun jul aoû sep mois Domaine Nouvelle-Calédonie Domaine Pacifique Sud-Ouest Figure 2.6 Répartition mensuelle du nombre moyen de phénomènes tropicaux Les cyclones sont accompagnés de vents d une extrême violence et de précipitations diluviennes qui constituent les principales sources des dégâts causés par les forces naturelles. Le vent généré par l activité cyclonique contribue également à la formation de la houle et de la marée de tempête. La houle générée par les cyclones présente une longue période et peut donc être observée très loin du centre de la dépression. L action de la houle, combinée à celle de la marée de tempête, peut causer des dégâts très importants jusqu à l intérieur des terres mais les côtes calédoniennes sont, en général, protégées par la barrière de récifs coralliens. Par ailleurs, les crues de tempête sont d autant plus dévastatrices dans les estuaires que la marée de tempête est importante. Elles forment ainsi un véritable barrage pour les eaux des rivières qui ne peuvent se déverser dans la mer et viennent alors inonder les terres avoisinantes. Leur hauteur est dépendante de la topographie côtière, de l angle suivant lequel le cyclone touche terre, de Juin Étude environnementale Rapport final 20199

20 sa vitesse de déplacement et de la force du vent. Selon le modèle de Météo France, une surcote de 2,2 m dans la baie de Koné serait formée en présence d un cyclone passant au nord de Koné et générant des vents moyens de 75 nœuds (sur 10 minutes) avec une pression au centre de 960 hpa. À titre de comparaison, la pression minimale record pour la Nouvelle-Calédonie est 957,4 hpa, enregistrée durant le cyclone Beti (27 mars 1996). Les statistiques de Météo France (2000) révèlent qu en Nouvelle-Calédonie, l activité cyclonique présente une moyenne (pour la période ) de 5,2 phénomènes cycloniques (dont 2,4 cyclones) par saison. Quatre-vingt-trois pour cent (83 %) des saisons cycloniques présentent de 4 à 7 événements. La probabilité de n observer aucun phénomène en 5 ans est de moins de 1 % alors que celle d avoir au moins un phénomène cyclonique au cours d une année donnée est de 62 %. Au cours des 50 dernières années, en Province Nord, le nombre de passages de phénomènes cycloniques en 50 ans est de 46, ce qui représente une moyenne d environ un événement par an. La probabilité d observer le passage d au moins 6 phénomènes tropicaux à moins de 150 km de Koné en 10 années consécutives est de 92 %. Le risque lié aux cyclones est donc bien réel et les dégâts peuvent être importants. L influence des phases ENSO («El Niño Southern Oscillation») est très importante sur la fréquence et la répartition géographique de l activité cyclonique; le risque cyclonique étant davantage important pendant les épisodes La Niña et moindre pendant les épisodes El Niño. Par ailleurs, le nombre moyen de cyclones tropicaux décroît rapidement (pratiquement du double) au sud de 21 o S Précipitations extrêmes Bien que la moyenne annuelle de jours de pluie soit de l ordre de 75, à Koné, Météo France a observé 83 jours de précipitation de novembre 1998 à avril 1999, ce qui constitue un record pour la période Des analyses de fréquence ont été faites pour la station de Koumac. Les durées de retour ont été calculées à l aide des méthodes de Gumbell et Log-normale. À Koumac, les hauteurs de précipitation pour une durée de retour centenaire sont, selon les méthodes d estimation et distributions statistiques utilisées, de 458 à 519 mm pour les précipitations annuelles minimales et de 2195 à 2419 mm pour les valeurs maximales (tableau 2.7) Juin Étude environnementale Rapport final

21 Les intensités de précipitation pour une durée de retour centenaire sont, à Koumac, de 19 mm en 6 minutes, de 90 m en une heure, de 390 mm en 12 heures et de 407 mm en 24 heures Vents extrêmes Des vents extrêmes sont générés durant la saison chaude par le passage de dépressions ou de cyclones tropicaux, alors qu en saison fraîche, le passage de fronts froids génèrent des vents d ouest violents (supérieurs à 80 km/h), surtout sur la côte ouest et au sud de l archipel. Ces vents sont minoritaires par rapport aux autres directions et se manifestent parfois de façon violente (rafales pouvant excéder les 100 km/h). De courte durée, leur occurrence diminue en remontant vers le nord. Le nombre d épisodes de rafales d ouest ayant entraîné des vitesses instantanées supérieures à 14 m/s (50,4 km/h) varie en moyenne de 5,3 par an à Nouméa à 0,6 à Koumac. Bien que prévisible, la soudaineté de ces rafales est un danger pour la navigation et leur direction constitue un facteur de risque pour les installations portuaires exposées à l ouest. La vitesse maximale instantanée mesurée en Nouvelle-Calédonie (en période cyclonique) est de 230 km/h en montagne (780 m d altitude), alors qu au niveau de la mer, elle est de 198 km/h à Poindimié et de 184 km/h à Koumac (tableau 2.14). À Koumac, des vitesses de 220 et 230 km/h ont des durées de retour respectives de 100 et 200 ans. Au sommet du Koniambo, il est plus prudent d envisager la possibilité de vents aussi violents qu à la montagne des Sources, où ils atteignent 230 km/h (tableau 2.14). Tableau 2.14 Records de vitesse maximale instantanée du vent Stations Altitude Vitesse Vitesse Période Date (en m) (en m/s) (en km/h) Côté Ouest Koumac Koné Nouméa Côté Est et stations en altitude Poindimié Montagne des Sources Juin Étude environnementale Rapport final 20199

22 RÉFÉRENCES MÉTÉO FRANCE, Étude environnementale de base. Étude climatique pour le projet Koniambo. Direction Interrégionale de Nouvelle-Calédonie et de Wallis et Futuna. Rédigé par Luc Maîtrepierre. 134 p. + annexes. MONIOD, F. et N. MLATAC, Régimes hydrologiques de la Nouvelle-Calédonie, Tome 1. Rapport de l ORSTOM, 40 p. ORSTOM, 1981 (réimpression 1983). Atlas de Nouvelle-Calédonie. ORSTOM (L'Institut français de recherche scientifique pour le développement en coopération) Juin Étude environnementale Rapport final

1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années.

1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années. 1. L'été le plus chaud que la France ait connu ces cinquante dernières années. La figure ci-dessous présente la moyenne sur la France des températures minimales et maximales de l'été (période du 1 er juin

Plus en détail

PROJET ACCLIMATE ETUDE SIM-CLIM THEME 3 Etude bilan des possibilités d une simulation climatique régionale

PROJET ACCLIMATE ETUDE SIM-CLIM THEME 3 Etude bilan des possibilités d une simulation climatique régionale Commission de l Océan Indien Projet ACCLIMATE 1 PROJET ACCLIMATE ETUDE SIM-CLIM THEME 3 Etude bilan des possibilités d une simulation climatique régionale Résumé Commission de l Océan Indien Projet ACCLIMATE

Plus en détail

Science et technologie : Le truc de Newton

Science et technologie : Le truc de Newton Science et technologie : Le truc de Newton Une caractéristique fondamentale de la science c est le lien étroit qui l unit à la technologie. La science cherche les règles du monde matériel et la technologie

Plus en détail

METEOROLOGIE CAEA 1990

METEOROLOGIE CAEA 1990 METEOROLOGIE CAEA 1990 1) Les météorologistes mesurent et prévoient le vent en attitude à des niveaux exprimés en pressions atmosphériques. Entre le niveau de la mer et 6000 m d'altitude, quels sont les

Plus en détail

Évolution du climat et désertification

Évolution du climat et désertification Évolution du climat et désertification FACTEURS HUMAINS ET NATURELS DE L ÉVOLUTION DU CLIMAT Les activités humaines essentiellement l exploitation de combustibles fossiles et la modification de la couverture

Plus en détail

Colloque des arbitres et des commissaires aux résultats Moulin mer

Colloque des arbitres et des commissaires aux résultats Moulin mer Colloque des arbitres et des commissaires aux résultats Moulin mer Bernard Simon- janvier 2015 Météorologie Web : Attention aux modèles utilisés dans les prévisions: (maillage / relief pris en compte/

Plus en détail

Réunion publique/téléconférence

Réunion publique/téléconférence Réunion publique/téléconférence Dorval Cornwall Kingston Watertown Oswego Burlington Rochester Kingston/Oswego Téléconférence: 1-877-413-4814 486 9841 (français) 447 9980 (anglais) Appeler entre 18h45-18h55

Plus en détail

FAITS SAILLANTS : 1. CONDITIONS CLIMATIQUES ET ENVIRONNEMENTALES EN AFRIQUE

FAITS SAILLANTS : 1. CONDITIONS CLIMATIQUES ET ENVIRONNEMENTALES EN AFRIQUE African Centre of Meteorological Application for Development Centre Africain pour les Applications de la Météorologie au Développement N 5, Mai 2015 FAITS SAILLANTS : Les zones favorables à une vigilance

Plus en détail

Généralités. Front froid

Généralités. Front froid Apprendre : Les masses d'air, les fronts Tester : Les dictons Pratiquer : Prévoir le temps Prévoir : Les dictons mois par mois Généralités Deux masses d'air de température différente qui se rencontrent,

Plus en détail

DISPERSION ATMOSPHERIQUE DES REJETS DU SITE SVPR à SAINTE-MARGUERITE (88)

DISPERSION ATMOSPHERIQUE DES REJETS DU SITE SVPR à SAINTE-MARGUERITE (88) DISPERSION ATMOSPHERIQUE DES REJETS DU SITE SVPR à SAINTE-MARGUERITE (88) Ce document a été réalisé en collaboration avec APAVE Alsacienne SAS 3 rue de l Euron BP 21055 Maxeville 54522 LAXOU Cedex Références

Plus en détail

Revue des Marchés. Charles Gagné 2015-04-16

Revue des Marchés. Charles Gagné 2015-04-16 9. Revue des Marchés Charles Gagné 2015-04-16 Les faits saillants 1. Inventaires de porcs aux É.-U. ( Hogs & Pigs) Croissance de 2 % du troupeau reproducteur 2. Baisse des exportations américaines Valeur

Plus en détail

Tout commence avec une histoire de masses d'air. Lorsque 2 masses d'air se rencontrent, des fronts se forment.

Tout commence avec une histoire de masses d'air. Lorsque 2 masses d'air se rencontrent, des fronts se forment. Tout commence avec une histoire de masses d'air. 2. Lorsque 2 masses d'air se rencontrent, des fronts se forment. Des nuages se forment dans le ciel, dont certains provoquent...... des hydrométéores, 4....

Plus en détail

Assurances de biens et de responsabilité

Assurances de biens et de responsabilité Enquête Juin 2011 Assurances de biens et de responsabilité Inondations du Var des 15 et 16 juin 2010 Bilan chiffré au 31 mai 2011 1 LES INONDATIONS DU VAR DES 15 ET 16 JUIN 2010 SYNTHESE Les conséquences

Plus en détail

M. F. PITA Departamento de Geografía Física. Universidad de Sevilla. C/ María de Padilla s.n. 41.002-SEVILLA (Espagne). mfpita@cica.

M. F. PITA Departamento de Geografía Física. Universidad de Sevilla. C/ María de Padilla s.n. 41.002-SEVILLA (Espagne). mfpita@cica. Un nouvel indice de sécheresse pour les domaines méditerranéens. Application au bassin du Guadalquivir (sudo-uest de l Espagne). En: Un nouvel indice de sécheresse pour les domaines méditerranéens. Application

Plus en détail

METEOROLOGIE. Aéroclub Besançon La Vèze. Cours MTO - Ivan TORREADRADO 1. F-SO au FL65 over LFQM

METEOROLOGIE. Aéroclub Besançon La Vèze. Cours MTO - Ivan TORREADRADO 1. F-SO au FL65 over LFQM METEOROLOGIE Aéroclub Besançon La Vèze F-SO au FL65 over LFQM Cours MTO - Ivan TORREADRADO 1 L air L atmosphère terrestre L humidité La stabilité, l instabilité La convection/l advection Les masses d air

Plus en détail

L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques

L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques L inégale répartition de l énergie solaire est à l origine des courants atmosphériques I/ Objectif : Dans la partie 2 du programme de seconde «enjeux planétaires contemporains : énergie et sol», sous partie

Plus en détail

B- Météorologie. En présence de cumulus alignés en bande parallèles vous prévoyez un vent: R : de même direction que les alignements

B- Météorologie. En présence de cumulus alignés en bande parallèles vous prévoyez un vent: R : de même direction que les alignements B- Météorologie Nuages Brouillard Les brouillards côtiers sont du type: R : brouillard d'advection Il y a brouillard dès que la visibilité est inférieure à: R : 1 km Les facteurs favorisant l'apparition

Plus en détail

Rôle des nuages dans l'anomalie de température de l'hiver 2007 en Europe

Rôle des nuages dans l'anomalie de température de l'hiver 2007 en Europe Rôle des nuages dans l'anomalie de température de l'hiver 2007 en Europe Meriem Chakroun Marjolaine Chiriaco (1) Sophie Bastin (1) Hélène Chepfer (2) Grégory Césana (2) Pascal Yiou (3) (1): LATMOS (2):

Plus en détail

Météo Marine. Benjamin Aymard. Cours CNIF 18 Février 2014 Université Pierre et Marie Curie. ./IMAGES/logo-n

Météo Marine. Benjamin Aymard. Cours CNIF 18 Février 2014 Université Pierre et Marie Curie. ./IMAGES/logo-n Météo Marine Benjamin Aymard Cours CNIF 18 Février 2014 Université Pierre et Marie Curie 1/41 18 Février 2014, UPMC aymard@ann.jussieu.fr Météo Marine Cours Météo pratique Pourquoi les prévisions météo

Plus en détail

Latitude 49.37 N Longitude 06.13 E Altitude 376 m RÉSUMÉ MENSUEL DU TEMPS DE JANVIER 2014

Latitude 49.37 N Longitude 06.13 E Altitude 376 m RÉSUMÉ MENSUEL DU TEMPS DE JANVIER 2014 RÉSUMÉ MENSUEL DU TEMPS DE JANVIER 2014 Valeurs moyennes: Valeur Jour Valeur (en C) (en C) (en C) gazon (en C) 11,4 7 13,9 1975 3,6 0,8 4,9 2007-6,3 1963-3,0 29-17,8 1979-2,8 12-24,6 1985 37,1 50,3 95,5

Plus en détail

Mesurage de la qualité acoustique de revêtements. acoustique de revêtements

Mesurage de la qualité acoustique de revêtements. acoustique de revêtements Monitoring de la performance acoustique d un d revêtement phonoabsorbant en milieu urbain François Aballéa, Pierre-Jean René a Olivier Schalbetter, Lucien Pignat b Daniel Vaucher de la Croix, Fabien Lassablière

Plus en détail

Modèle de budget mensuel

Modèle de budget mensuel Modèle de budget mensuel Ce modèle de budget a été créé pour vous aider à vous fixer un budget adapté à votre situation. Que vous épargniez en vue de votre mariage ou de l arrivée d un enfant, établir

Plus en détail

Grille de planification Expédition météo. Spécialiste de la cartographie Graffiti de ce que l équipe sait de la météorologie (10 minutes).

Grille de planification Expédition météo. Spécialiste de la cartographie Graffiti de ce que l équipe sait de la météorologie (10 minutes). Grille de planification Expédition météo Spécialiste de l atmosphère Spécialiste des vents Spécialiste des nuages Spécialiste de la cartographie Graffiti de ce que l équipe sait de la météorologie (10

Plus en détail

Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique

Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Rémy BOUET- DRA/PHDS/EDIS remy.bouet@ineris.fr //--12-05-2009 1 La modélisation : Les principes Modélisation en trois étapes : Caractériser

Plus en détail

Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau

Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l

Plus en détail

ACTIVITÉ. Configuration de la pression en surface. Matériel. Pointage et analyse de la pression aux stations sur cartes météorologiques.

ACTIVITÉ. Configuration de la pression en surface. Matériel. Pointage et analyse de la pression aux stations sur cartes météorologiques. ACTIVITÉ Configuration de la pression en surface Lorsque vous aurez complété cette activité, vous devriez être en mesure de : Dessiner des lignes d'égale pression (isobares) pour présenter la configuration

Plus en détail

BILAN HYDRIQUE ET BESOIN D IRRIGATION DE LA CEREALICULTURE EN REGION SEMI-ARIDE.

BILAN HYDRIQUE ET BESOIN D IRRIGATION DE LA CEREALICULTURE EN REGION SEMI-ARIDE. Résumé Des travaux de recherches combinant les précipitations annuelles et les températures, classent la zone d étude dans le climat méditerranéen de l étage semi-aride (Seltzer, 1949; Emberger, 1955).

Plus en détail

L éclairage naturel première partie : Principes de base

L éclairage naturel première partie : Principes de base Suzel BALEZ L5C 2007-08 L éclairage naturel première partie : Principes de base Hertzog et Partner Bât. De bureaux à Wiesbaden Plan Notions préliminaires La vision Grandeurs photométriques Le flux lumineux

Plus en détail

48,5 Bcf RAPPORT T1 2015 SUR L'ÉNERGIE DE L ONTARIO JAN MAR 2015 PÉTROLE ET GAZ NATUREL. Infrastructure de transport du gaz naturel

48,5 Bcf RAPPORT T1 2015 SUR L'ÉNERGIE DE L ONTARIO JAN MAR 2015 PÉTROLE ET GAZ NATUREL. Infrastructure de transport du gaz naturel RAPPORT T1 SUR L'ÉNERGIE DE L ONTARIO JAN MAR PÉTROLE ET GAZ NATUREL Prix au détail moyens de l essence ordinaire et du diesel à l'échelle provinciale ($/L) Prix du gaz naturel en vigueur pour le commerce

Plus en détail

Real-time Monitoring and forecast of IntraSeasonal Variability over Africa (MISVA)

Real-time Monitoring and forecast of IntraSeasonal Variability over Africa (MISVA) Real-time Monitoring and forecast of IntraSeasonal Variability over Africa (MISVA) R. Roehrig 1,*, F. Couvreux 1, E. Poan 1, P. Peyrillé 1, J.-P. Lafore 1, O. Ndiaye 2, A. Diongue-Niang 2, F. Favot 1,

Plus en détail

Rapport de suivi du système de télésurveillance de la carrière souterraine Nord Ouest de Saint- Sulpice-de-Cognac (I 6)

Rapport de suivi du système de télésurveillance de la carrière souterraine Nord Ouest de Saint- Sulpice-de-Cognac (I 6) Rapport de suivi du système de télésurveillance de la carrière souterraine Nord Ouest de Saint- Sulpice-de-Cognac (I 6) ler semestre 2002 Renault O. Juiilei ZOO2 Ri-51786 Rapport de suivi du système de

Plus en détail

ANALYSE DE LA DISTRIBUTION SPATIALE DU RÉSEAU DE SURVEILLANCE DE LA DÉFENSE CIVILE DE LA RÉGION DE MOLISE

ANALYSE DE LA DISTRIBUTION SPATIALE DU RÉSEAU DE SURVEILLANCE DE LA DÉFENSE CIVILE DE LA RÉGION DE MOLISE ANALYSE DE LA DISTRIBUTION SPATIALE DU RÉSEAU DE SURVEILLANCE DE LA DÉFENSE CIVILE DE LA RÉGION DE MOLISE CARDILLO A. (1), SCARLATELLI S. (1) (1) Agenzia Regionale di Protezione Civile Campobasso, Italia

Plus en détail

Savoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée

Savoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée Savoir lire une carte, se situer et s orienter en randonnée Le b.a.-ba du randonneur Fiche 2 Lire une carte topographique Mais c est où le nord? Quel Nord Le magnétisme terrestre attire systématiquement

Plus en détail

Modèle de budget mensuel

Modèle de budget mensuel Modèle de budget mensuel Ce modèle de budget a été créé pour vous aider à vous fixer un budget adapté à votre situation. Que vous épargniez en vue de votre mariage ou de l arrivée d un enfant, établir

Plus en détail

La diversité des climats

La diversité des climats Les interactions entre l océan et l atmosphère Chaque jour, la météorologie occupe une place importante (voire le devant de la scène), lorsque surviennent tempêtes, vagues de chaleur ou de froid, ou inondations.

Plus en détail

Installations classées pour la protection de l'environnement Campagne de mesure de bruit SOMMAIRE I. OBJET DE L ETUDE... 3

Installations classées pour la protection de l'environnement Campagne de mesure de bruit SOMMAIRE I. OBJET DE L ETUDE... 3 SOMMAIRE I. OBJET DE L ETUDE... 3 II. MODE OPERATOIRE... 3 A. MATERIEL UTILISE... 3 1) Sonomètre... 3 2) Calibreur... 3 B. METHODE DE MESURE... 4 C. POSITIONNEMENT DU MATERIEL... 4 III. CAMPAGNE DE MESURE...

Plus en détail

4. Résultats et discussion

4. Résultats et discussion 17 4. Résultats et discussion La signification statistique des gains et des pertes bruts annualisés pondérés de superficie forestière et du changement net de superficie forestière a été testée pour les

Plus en détail

Projet Institutional Support to African Climate Initiative (ISACIP) ATELIER DE RENFORCEMENT DE CAPACITÉS Niamey, 17 au 25 mars 2014

Projet Institutional Support to African Climate Initiative (ISACIP) ATELIER DE RENFORCEMENT DE CAPACITÉS Niamey, 17 au 25 mars 2014 Projet Institutional Support to African Climate Initiative (ISACIP) ATELIER DE RENFORCEMENT DE CAPACITÉS Niamey, 17 au 25 mars 2014 Par Amadou Idrissa Bokoye, Ph. D. Contact: abokoye@gmail.com Environnement

Plus en détail

Etudes des nuages et de la convection autour des dépressions intenses des moyennes latitudes

Etudes des nuages et de la convection autour des dépressions intenses des moyennes latitudes Etudes des nuages et de la convection autour des dépressions intenses des moyennes latitudes Jérôme DREANO 28 Février 2014 1 Introduction Dans le modèle LMDZ, les paramétrisations physiques des nuages

Plus en détail

«Une heure pour savoir»

«Une heure pour savoir» PLAN CYCLONE. ORGANISATION DÉPARTEMENTALE ET ZONALE DE LA GESTION DE CRISE «Une heure pour savoir» LE 8 JUILLET 2011 E.FONTANILLE/ J. VINCENT Les CYCLONES aux ANTILLES Depuis 1986 le Cyclone (en Grec Dieu

Plus en détail

" Gestion des données issues du réseau de mesures limnimétriques des cours d eau non navigables "

 Gestion des données issues du réseau de mesures limnimétriques des cours d eau non navigables " Gestion des données issues du réseau de mesures par ir Sébastien Gailliez Plan de l exposé 1. Introduction 2. Réseau de mesures 3. Base de données AQUALIM 4. Gestion du réseau de mesures 5. Logiciels

Plus en détail

ETUDE D IMPACT ACOUSTIQUE

ETUDE D IMPACT ACOUSTIQUE ETUDE D IMPACT ACOUSTIQUE PROJET D AMÉNAGEMENT D UN CENTRE DE STOCKAGE DE SEDIMENTS Commune de Bessines-sur-Gartempe Maître d Ouvrage AREVA Etablissement de Bessines 1, Avenue du Brugeaud 87250 Bessines

Plus en détail

Le projet DRIAS : premières études et documents

Le projet DRIAS : premières études et documents Le projet DRIAS : premières études et documents Julien Lémond CNRM / GAME, Météo-France, CNRS Direction de la Climatologie Réunion Comité Utilisateurs, le 29 juin 2010 Plan de la présentation 1 ) Les services

Plus en détail

UNE OFFRE MODERNE DE BANQUE À DOMICILE

UNE OFFRE MODERNE DE BANQUE À DOMICILE Le réseau Société Générale UNE OFFRE MODERNE DE BANQUE À DOMICILE Alain Brunet Journée Société Générale - 20 juin 2000 1 Sommaire Une utilisation massive et un impact important sur notre exploitation Une

Plus en détail

Cours Météo, Club Alpin Suisse, Section de Neuchâtel

Cours Météo, Club Alpin Suisse, Section de Neuchâtel Cours Météo, Club Alpin Suisse, Section de Neuchâtel Liens utiles pour les prévisions météorologiques http://meteo.chamonix.org/ 0900 55 21 65 (Haute Savoie) 0900 55 21 68 (Alpes romandes) Par SMS au numéro

Plus en détail

Du Thermostat à l ordinateur climatique. Vincent Aubret Hortimax

Du Thermostat à l ordinateur climatique. Vincent Aubret Hortimax Du Thermostat à l ordinateur climatique Vincent Aubret Hortimax 1 Introduction 2 Régulateurs de type thermostat Applications : Idéal pour la régulation simplifiée de type Tunnels, Hall Alarme haute et

Plus en détail

Le centre sera fermé du 20 au 31 juillet 2015

Le centre sera fermé du 20 au 31 juillet 2015 Calendrier officiel des 2015-2016 Date des 2 premières Cours de jour : Mercredi 26 août 2015 Mardi 8 septembre 2015 du 1 e juin au 8 juillet ET du 3 au 5 août 2015 Cours de soir : Inscriptions les lundis

Plus en détail

La gestion du risque chez AXA

La gestion du risque chez AXA Séminaire International de la Presse Suduiraut 21 & 22 juin 2006 La gestion du risque chez AXA François Robinet Chief Risk officer Groupe AXA Sommaire I. La Gestion du Risque : Définition D II. III. La

Plus en détail

Royaume du Maroc Secrétariat d État auprès du Ministère de l Énergie, des Mines, de l Eau et de l Environnement, Chargé de l Eau et de l Environnement Direction de la Météorologie Nationale Variabilité

Plus en détail

1. Titre du contrat. (si les travaux de montage se font en plusieurs tranches, indiquer quelle est la tranche ou les tranches à assurer)

1. Titre du contrat. (si les travaux de montage se font en plusieurs tranches, indiquer quelle est la tranche ou les tranches à assurer) FORMULAIRE DE DECLARATION DU RISQUE ASSURANCE TOUS RISQUES MONTAGE - ESSAI 1. Titre du contrat (si les travaux de montage se font en plusieurs tranches, indiquer quelle est la tranche ou les tranches à

Plus en détail

Ray-grass anglais auto-regarnissant

Ray-grass anglais auto-regarnissant Robuste COMME L ACIER Ray-grass anglais auto-regarnissant Une technologie révolutionnaire : auto-regarnissage et tolérance au jeu la plus élevée, même avec une tonte courte! RPR technology inside! RPR

Plus en détail

Compte rendu des utilisations du calculateur TITAN au LACy

Compte rendu des utilisations du calculateur TITAN au LACy Le Laboratoire de l Atmosphère et des Cyclones (LACy) UMR (8105) Université de la Réunion CNRS Météo France 15 avenue René Cassin, 97715 Saint Denis messag.,cedex 9 Compte rendu des utilisations du calculateur

Plus en détail

MODE D EMPLOI. Station météo avec senseur extérieur sans fil WS-1100

MODE D EMPLOI. Station météo avec senseur extérieur sans fil WS-1100 MODE D EMPLOI Station météo avec senseur extérieur sans fil WS-1100 FR SOMMAIRE 1 2 11 3 4 5 10 9 6 8 1. affi chage de l horloge DCF 2. les précisions météorologiques avec des symboles 3. pression de l

Plus en détail

ALERTE ET GESTION DES CRUES ÉCLAIRS SUR LES PETITS BASSINS VERSANTS URBAINS

ALERTE ET GESTION DES CRUES ÉCLAIRS SUR LES PETITS BASSINS VERSANTS URBAINS ALERTE ET GESTION DES CRUES ÉCLAIRS SUR LES PETITS BASSINS VERSANTS URBAINS Utilisation du radar HYDRIX et de la plateforme RAINPOL sur la commune d ANTIBES JUAN-LES-PINS European Local Authorities Rencontres

Plus en détail

Station météo autonome avec transmission par GSM DATA

Station météo autonome avec transmission par GSM DATA Station météo autonome avec transmission par GSM DATA CIMA TECHNOLOGIE 142 Allée du Berfayet 69250 Montanay France Page 1 sur 9 Cette station météorologique est spécialement étudiée pour être installée

Plus en détail

TECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR. confort = équilibre entre l'homme et l'ambiance

TECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR. confort = équilibre entre l'homme et l'ambiance TECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR Tâche T4.2 : Mise en service des installations Compétence C1.2 : Classer, interpréter, analyser Thème : S5 : Technologie des installations frigorifiques

Plus en détail

Programme canadien pour l épargne-études Rapport statistique annuel

Programme canadien pour l épargne-études Rapport statistique annuel Programme canadien pour l épargne-études Rapport statistique annuel Décembre 2008 TABLE DES MATIÈRES MESSAGE AUX INTERVENANTS... 3 PROGRAMME CANADIEN POUR L ÉPARGNE-ÉTUDES (PCEE)... 4 MÉTHODOLOGIE DU RAPPORT...

Plus en détail

La Mesure du Temps. et Temps Solaire Moyen H m.

La Mesure du Temps. et Temps Solaire Moyen H m. La Mesure du Temps Unité de temps du Système International. C est la seconde, de symbole s. Sa définition actuelle a été établie en 1967 par la 13 ème Conférence des Poids et Mesures : la seconde est la

Plus en détail

CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE

CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE 1 CHAPITRE 6 : LE RENFORCEMENT DU MODELE PAR SON EFFICACITE PREDICTIVE Quels sont les arguments qui permettent de renforcer le modèle? 2 3 I. UNE CONFIRMATION DE L EXPANSION DU PLANCHER OCÉANIQUE A.LES

Plus en détail

Optimisation de l équilibre offre-demande, rôle des interconnexions et impact de l arrêt du nucléaire allemand pour EDF

Optimisation de l équilibre offre-demande, rôle des interconnexions et impact de l arrêt du nucléaire allemand pour EDF Optimisation de l équilibre offre-demande, rôle des interconnexions et impact de l arrêt du nucléaire allemand pour EDF 07 juin 2011 Philippe TORRION Directeur Optimisation Amont/Aval et Trading Sommaire

Plus en détail

Station Météo Sans Fil avec Température / Hygrométrie, Alerte Gel et Horloge Radio Pilotée Modèle : BAR388HG

Station Météo Sans Fil avec Température / Hygrométrie, Alerte Gel et Horloge Radio Pilotée Modèle : BAR388HG Station Météo Sans Fil avec Température / Hygrométrie, Alerte Gel et Horloge Radio Pilotée Modèle : BAR388HG MANUEL DE L UTILISATEUR TABLE DES MATIERES Table des Matières... 1 Introduction... 2 Vue d Ensemble

Plus en détail

VITICULTURE 2012 V 12 / PACA 02 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE

VITICULTURE 2012 V 12 / PACA 02 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE VITICULTURE 212 V 12 / PACA 2 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE Silvère DEVEZE Chambre d Agriculture de Vaucluse 1- Identification de l action a. Responsables techniques et partenaires :

Plus en détail

Cours IV Mise en orbite

Cours IV Mise en orbite Introduction au vol spatial Cours IV Mise en orbite If you don t know where you re going, you ll probably end up somewhere else. Yogi Berra, NY Yankees catcher v1.2.8 by-sa Olivier Cleynen Introduction

Plus en détail

Efficacité énergétique des logements à haute performance énergétique, HPE : Application au site de Béchar

Efficacité énergétique des logements à haute performance énergétique, HPE : Application au site de Béchar Revue des Energies Renouvelables Vol. 15 N 2 (2012) 357-364 Efficacité énergétique des logements à haute performance énergétique, HPE : Application au site de Béchar S. Sami-Mécheri 1*, D. Semmar 2 et

Plus en détail

Très légère hausse de la confiance des chefs d entreprise en février

Très légère hausse de la confiance des chefs d entreprise en février 25-2-24 29-5-26 Liens: NBB.Stat Information générale Enquête mensuelle de conjoncture auprès des entreprises - février 25 Très légère hausse de la confiance des chefs d entreprise en février Le baromètre

Plus en détail

Dossier de presse 28 janvier 2013

Dossier de presse 28 janvier 2013 Dossier de presse 28 janvier 2013 1. Pourquoi un Centre pour Entreprises en difficulté en Wallonie? Certes, le nombre de faillites augmente. Mais, c est surtout, le fait de voir qu un conseil rapide et

Plus en détail

LES ASSURANCES DE BIENS ET DE RESPONSABILITÉ. Données clés 2010

LES ASSURANCES DE BIENS ET DE RESPONSABILITÉ. Données clés 2010 LES ASSURANCES DE BIENS ET DE RESPONSABILITÉ Données clés 2010 Sommaire Sauf indications contraires, toutes les données ont pour origine les enquêtes de la Direction des études et des statistiques FFSA-GEMA.

Plus en détail

DURÉE DU JOUR EN FONCTION DE LA DATE ET DE LA LATITUDE

DURÉE DU JOUR EN FONCTION DE LA DATE ET DE LA LATITUDE DURÉE DU JUR E FCTI DE LA DATE ET DE LA LATITUDE ous allons nous intéresser à la durée du jour, prise ici dans le sens de période d éclairement par le Soleil dans une journée de 4 h, en un lieu donné de

Plus en détail

Cet article s attache tout d abord

Cet article s attache tout d abord Méthodes internationales pour comparer l éducation et l équité Comparaison entre pays des coûts de l éducation : des sources de financement aux dépenses Luc Brière Marguerite Rudolf Bureau du compte de

Plus en détail

Chapitre 3. Les distributions à deux variables

Chapitre 3. Les distributions à deux variables Chapitre 3. Les distributions à deux variables Jean-François Coeurjolly http://www-ljk.imag.fr/membres/jean-francois.coeurjolly/ Laboratoire Jean Kuntzmann (LJK), Grenoble University 1 Distributions conditionnelles

Plus en détail

Étude comparative sur les salaires et les échelles salariales des professeurs d université. Version finale. Présentée au

Étude comparative sur les salaires et les échelles salariales des professeurs d université. Version finale. Présentée au Étude comparative sur les salaires et les échelles salariales des professeurs d université Version finale Présentée au Syndicat général des professeurs et professeures de l Université de Montréal (SGPUM)

Plus en détail

Mesures de l état du réseau Domaine Voie Tendances, perspectives et innovations

Mesures de l état du réseau Domaine Voie Tendances, perspectives et innovations Mesures de l état du réseau Domaine Voie Tendances, perspectives et innovations Symposium Infra - Direction de la maintenance du réseau : Régis Ambert, Division Ingénierie de la Maintenance de la Voie

Plus en détail

PISO Plan Intempéries Sud Ouest

PISO Plan Intempéries Sud Ouest PREFECTURE DE LA ZONE DE DEFENSE ET DE SECURITE SUD OUEST PISO Plan Intempéries Sud Ouest Bilan zonal de l'hiver 2014 2015 Juin 2015 Le présent document établit le bilan zonal de mise en œuvre du Plan

Plus en détail

L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015

L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015 L équilibre offre-demande d électricité en France pour l été 2015 Synthèse Juin 2015 Sommaire Analyse globale 4 1. Prévision de consommation 5 2. Disponibilité du parc de production 7 3. Étude du risque

Plus en détail

EPISODE PLUVIO-ORAGEUX DU 15 JUIN 2010 SUR LE VAR

EPISODE PLUVIO-ORAGEUX DU 15 JUIN 2010 SUR LE VAR KERAUNOS - Observatoire Français des Tornades et des Orages Violents www.keraunos.org EPISODE PLUVIO-ORAGEUX DU 15 JUIN 2010 SUR LE VAR Retour d expérience sur la prévision météorologique et hydrologique

Plus en détail

ÉVOLUTION DE L'ACCIDENTALITÉ ROUTIÈRE DANS LE DÉPARTEMENT DE LA HAUTE-VIENNE Valeurs cumulées sur les 12 derniers mois avec courbe de tendance

ÉVOLUTION DE L'ACCIDENTALITÉ ROUTIÈRE DANS LE DÉPARTEMENT DE LA HAUTE-VIENNE Valeurs cumulées sur les 12 derniers mois avec courbe de tendance ÉVOLUTION DE L'ACCIDENTALITÉ ROUTIÈRE DANS LE DÉPARTEMENT DE LA HAUTE-VIENNE Valeurs cumulées sur les 12 derniers mois avec courbe de tendance Définition Un accident corporel (mortel ou non mortel) de

Plus en détail

Station météo sans fil avec température, Alerte Gel et horloge radio pilotée Modèle: BAR386

Station météo sans fil avec température, Alerte Gel et horloge radio pilotée Modèle: BAR386 Station météo sans fil avec température, Alerte Gel et horloge radio pilotée Modèle: BAR386 MANUEL DE L UTILISATEUR TABLE DES MATIÈRES Introduction... 2 Vue d Ensemble de l Horloge... 2 Face Avant... 2

Plus en détail

Influence du changement. agronomiques de la vigne

Influence du changement. agronomiques de la vigne Influence du changement climatique sur les résultatsr agronomiques de la vigne à l'aide du modèle STICS Iñaki García a de Cortázar Atauri Unité CSE - Avignon Réunion Protection du Vignoble Changement Climatique

Plus en détail

Bilan décennal des catastrophes naturelles en France

Bilan décennal des catastrophes naturelles en France Bilan décennal des catastrophes naturelles en France SOMMAIRE BILAN DÉCENNAL EN TERMES DE NOMBRE ET DE TYPE DE CATASTROPHES NATURELLES BILAN EN TERME DE VICTIMES.. 2 5 BILAN DÉCENNAL EN TERMES ÉCONOMIQUES

Plus en détail

La gestion opérationnelle de la météosensibilité. La prévision météorologique et hydrologique au cœur de l Économie et de la Société

La gestion opérationnelle de la météosensibilité. La prévision météorologique et hydrologique au cœur de l Économie et de la Société La gestion opérationnelle de la météosensibilité La prévision météorologique et hydrologique au cœur de l Économie et de la Société La société METNEXT METNEXT en bref Notre métier : L assistance aux entreprises

Plus en détail

Indicateur : population présente tout au long de l année dans les départements littoraux métropolitains

Indicateur : population présente tout au long de l année dans les départements littoraux métropolitains Indicateur : population présente tout au long de l année dans les départements littoraux métropolitains Contexte Les communes littorales métropolitaines hébergent plus de 6 millions d habitants et ont

Plus en détail

Rapport. sur l incident survenu le 18 mars 2007 en croisière entre Lyon et Montpellier à l ATR 42-300 immatriculé F-GVZY exploité par Airlinair

Rapport. sur l incident survenu le 18 mars 2007 en croisière entre Lyon et Montpellier à l ATR 42-300 immatriculé F-GVZY exploité par Airlinair N ISBN : 978-2-11-098012-0 Rapport sur l incident survenu le 18 mars 2007 en croisière entre Lyon et Montpellier à l ATR 42-300 immatriculé F-GVZY exploité par Airlinair Bureau d Enquêtes et d Analyses

Plus en détail

Cartes de l étendue des eaux libres liés aux inondations Guide des produits

Cartes de l étendue des eaux libres liés aux inondations Guide des produits Cartes de l étendue des eaux libres liés aux inondations Guide des produits Contexte Les crues ont parfois des effets dévastateurs sur la vie humaine, les infrastructures, l économie, les espèces sauvages

Plus en détail

Eric Chaumillon UMR CNRS 7266 Littoral Environnement et Sociétés LIENSs Université de la Rochelle

Eric Chaumillon UMR CNRS 7266 Littoral Environnement et Sociétés LIENSs Université de la Rochelle Eric Chaumillon UMR CNRS 7266 Littoral Environnement et Sociétés LIENSs Université de la Rochelle 7ème Journée de restitution des résultats de l Observatoire du Patrimoine Naturel Marais poitevin jeudi

Plus en détail

Régionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique

Régionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique Régionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique Sylvie Gauthier, Chercheuse scientifique, successions forestières RNCan-SCF-CFL

Plus en détail

INFORMATION UTILE POUR LE VOYAGE

INFORMATION UTILE POUR LE VOYAGE INFORMATION UTILE POUR LE VOYAGE Nom officiel: République de l Équateur. C est un pays situé dans le nord-ouest de l Amérique du Sud, sur la ligne équatorienne. Bordé au nord-est par la Colombie, au sud

Plus en détail

Slim Multi-days Weather Station Model: WMH800

Slim Multi-days Weather Station Model: WMH800 Slim Multi-days Weather Station Model: WMH800 User Manual 2010 Oregon Scientific. All rights reserved. 300102613-00001-10 Station météo à 4 jours format CD Modèle : WMH800 MANUEL DE L UTILISATEUR TABLE

Plus en détail

Atlas géographique de l Internet fixe et mobile en Nouvelle-Calédonie Juin 2014. Réalisé par Malcolm XENIE

Atlas géographique de l Internet fixe et mobile en Nouvelle-Calédonie Juin 2014. Réalisé par Malcolm XENIE Atlas géographique de l Internet fixe et mobile en Nouvelle-Calédonie Juin 2014 Réalisé par Malcolm XENIE Internet en Nouvelle-Calédonie Les secteurs d activités numériques englobent les télécommunications

Plus en détail

Les prélèvements d eau en France en 2009 et leurs évolutions depuis dix ans

Les prélèvements d eau en France en 2009 et leurs évolutions depuis dix ans COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 29 Février 212 Les prélèvements d eau en France en 29 et leurs évolutions depuis dix ans OBSERVATION ET STATISTIQUES ENVIRONNEMENT En 29, 33,4 milliards

Plus en détail

Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne

Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne Incitants relatifs à l installation de pompes à chaleur en Région wallonne G. FALLON Energie Facteur 4 asbl - Chemin de Vieusart 175-1300 Wavre Tél: 010/23 70 00 - Site web: www.ef4.be email: ef4@ef4.be

Plus en détail

ÉTUDE SUR L EFFICACITÉ DES PNEUS D HIVER EN ÉTÉ RÉALISÉE PAR CAA-QUÉBEC

ÉTUDE SUR L EFFICACITÉ DES PNEUS D HIVER EN ÉTÉ RÉALISÉE PAR CAA-QUÉBEC ÉTUDE SUR L EFFICACITÉ DES PNEUS D HIVER EN ÉTÉ RÉALISÉE PAR CAA-QUÉBEC SEPTEMBRE 2008 1. Introduction L étude avait pour but de comparer avec le plus de précision possible l efficacité des pneus d hiver

Plus en détail

BULLETIN STATISTIQUE MENSUEL

BULLETIN STATISTIQUE MENSUEL PEU DE DÉPARTS DU CANTON PARMI LES RÉSIDANTS EN 2014 En 2014, la population résidante du canton de Genève augmente de 8 334 personnes. Il s agit de la croissance la plus forte depuis les années soixante.

Plus en détail

Piloter un avion : les questions les plus fréquemment posée En fin de document, les spécificités propres aux Ailes Soissonnaises

Piloter un avion : les questions les plus fréquemment posée En fin de document, les spécificités propres aux Ailes Soissonnaises Piloter un avion : les questions les plus fréquemment posée En fin de document, les spécificités propres aux Ailes Soissonnaises 1) C est quoi un brevet de pilote avion? Quelles sont les étapes? Pour pouvoir

Plus en détail

BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE

BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE 1 La crise actuelle est caractéris risée e par le grand nombre de marchés affectés s et par la diversité des canaux de contagion Les principaux canaux de contagion pour l ECE: Canal informationnel (sentiment

Plus en détail

MESURES DE BRUIT A l ÉTAT INITIAL

MESURES DE BRUIT A l ÉTAT INITIAL DOSSIER DE DEMANDE D AUTORISATION D EXPLOITER UNE UNITE DE METHANISATION DE MATIERES ORGANIQUES Siège social : FRANCE BIOGAZ VALORISATION 12 rue Finkmatt 67000 STRASBOURG Tél. : 03 88 23 47 72 Fax : 03

Plus en détail

Energie solaire www.euroclima.fr

Energie solaire www.euroclima.fr Chaudières françaises fabriquées en Alsace depuis 1973 Energie solaire www.euroclima.fr E U R O C L i M A Un système complet La clé de l efficience solaire réside dans l association et l optimisation des

Plus en détail

LA SURVEILLANCE DES PHÉNOMÈNES MÉTÉOROLOGIQUES POUR PRODUIRE DE L ÉLECTRICITÉ EN TOUTE SÉCURITÉ

LA SURVEILLANCE DES PHÉNOMÈNES MÉTÉOROLOGIQUES POUR PRODUIRE DE L ÉLECTRICITÉ EN TOUTE SÉCURITÉ avril 2013 NOTE D INFORMATION LA SURVEILLANCE DES PHÉNOMÈNES MÉTÉOROLOGIQUES POUR PRODUIRE DE L ÉLECTRICITÉ EN TOUTE SÉCURITÉ En tant qu exploitant des centrales de production d électricité, EDF met en

Plus en détail

DONNÉES DÉTAILLÉES DE L ACCIDENTALITÉ

DONNÉES DÉTAILLÉES DE L ACCIDENTALITÉ PARTIE 6 # DONNÉES DÉTAILLÉES DE L ACCIDENTALITÉ DONNÉES DÉTAILLÉES DE L ACCIDENTALITÉ / LES ACCIDENTS ET LES USAGERS Les accidents et les usagers Selon les modes de déplacement 161 DONNÉES GÉNÉRALES D

Plus en détail

AFFAIBLISSEMENT DÛ AUX NUAGES ET AU BROUILLARD

AFFAIBLISSEMENT DÛ AUX NUAGES ET AU BROUILLARD Rec. UIT-R P.84- RECOMMANDATION UIT-R P.84- AFFAIBLISSEMENT DÛ AUX NUAGES ET AU BROUILLARD (Question UIT-R /3) Rec. UIT-R P.84- (99-994-997) L'Assemblée des radiocommunications de l'uit, considérant a)

Plus en détail

août La météo Congrès provincial de l AEFNB Journée de perfectionnement professionnel

août La météo Congrès provincial de l AEFNB Journée de perfectionnement professionnel août La météo Congrès provincial de l AEFNB Journée de perfectionnement professionnel Bienvenue Tribond - La danse de la pluie L oeil dans la météo A yous que la météo fit dans mon programme Météo everywhere

Plus en détail