L habiter temporaire des mobilités d affaires dans un espace urbain: l exemple de Lyon, une métropole régionale en construction

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "L habiter temporaire des mobilités d affaires dans un espace urbain: l exemple de Lyon, une métropole régionale en construction"

Transcription

1 UNIVERSITE PARIS 1 PANTHEON SORBONNE INSTITUT DE RECHERCHE ET D ETUDES SUPERIEURES DU TOURISME (IREST) L habiter temporaire des mobilités d affaires dans un espace urbain: l exemple de Lyon, une métropole régionale en construction Mémoire de recherches présenté pour l obtention du Diplôme de Paris 1-Panthéon-Sorbonne Master professionnel Mention Tourisme (2 ème année) Spécialité Développement et Aménagement Touristique des Territoires (VAE) Par Cathy DEDE Sous la direction de Mme GRAVARI-BARBAS JURY Membres du Jury :......

2 Mémoire de M2 DATT Page 2

3 Remerciements Je tiens à remercier sincèrement toutes les personnes qui m ont entourée et qui ont participé, de près ou de loin, à la réalisation de ce mémoire : Maria GRAVARI BARBAS, pour sa direction, sa compréhension et ses orientations qui ont permis de construire de façon significative ma réflexion. Nathalie FABRY pour les différentes pistes qui ont pu faciliter l élaboration de mon sujet. Josette VIGNAT et Dominique GRANDJONC pour leur disponibilité et la pertinence des commentaires et conseils avisés. Valérie DUCAUD et Candice ARLEN pour avoir accepté un entretien. Les guides touristiques et les différents professionnels du Grand Lyon qui m ont donné des informations précieuses parfois confidentielles sur le thème de mon mémoire. Enfin, mes proches pour m avoir apporté un soutien très précieux sur le plan technique et moral jusqu à l achèvement de ce mémoire. Mémoire de M2 DATT Page 3

4 Mémoire de M2 DATT Page 4

5 SOMMAIRE Introduction ère partie : Le concept du tourisme urbain des mobilités d affaires dans un contexte d hypermobilité contemporaine Les mobilités d affaires et l hypermobilité contemporaine : quelle place pour le tourisme? «Du tourisme d affaire» au principe du tourisme urbain des mobilités d affaires Le marché des mobilités d affaires en France : un habiter touristique spécifique? ème partie : le tourisme des mobilités d affaires à Lyon comme substrat d une métropole en devenir Les fondements du positionnement stratégique de la ville de Lyon : les mobilités d affaires, un outil catalyseur du développement touristique Les mobilités d affaires : l imbrication des dispositifs liés aux mobilités d affaires aux dispositifs des mobilités touristiques Les mobilités d affaires et la production de nouveaux lieux touristiques ème partie : L habiter temporaire des mobilités d affaires : hybride touristique polytopique de la métropole fondu dans un hyperchoix global Un habiter touristique hybride urbain Le processus du choix d une destination : Lyon au cœur d un hyperchoix global Le tourisme urbain des mobilités d affaires et des mobilités touristiques dans le processus du choix de la destination : une complémentarité temporelle inséparable?...70 Conclusion Bibliographie Glossaire Annexes Table des illustrations Table des entretiens Table des matières «L université n entend donner aucune approbation aux opinions émises dans les mémoires et les thèses. Ces opinions doivent être considérées comme propres à leurs auteurs» Mémoire de M2 DATT Page 5

6 Introduction «Faut-il créer l outil pour susciter la demande? Faut-il adapter l outil à la demande?» (Antoine PERRAGIN, Directeur Général de la Cité-Centre des Congrès de Lyon) Des migrations internationales aux mobilités professionnelles en passant par les mobilités touristiques, jamais les mobilités n ont été aussi importantes et diverses 1 (Rémy Knafou). En 1997, le festival International de la Géographie de Saint-Dié-des-Vosges s empare du thème de la planète nomade qui semble caractériser la relation à l espace et au temps des hommes de notre siècle. L existence d une nouvelle ère du mouvement interroge l espace et les sociétés qui reposent sur des infrastructures structurantes du territoire avec pour conséquence des nouveaux rapports au monde des individus dans un contexte hypermobile. 2 (Edith Fagnoni) Le monde est donc aujourd hui mobile, interconnecté favorisant les transports de personnes qui se déplacent soit par nécessité ou bien par plaisir. Ces mobilités plurielles vont entrainer des relations avec l espace obéissant à des logiques convergentes, de par l utilisation d infrastructures de transports ou d hébergement vers des destinations identiques mais qui peuvent être fondamentalement différentes en fonction de la finalité du déplacement 3 (Rémy Knafou). Ce rapport à l espace va induire la question sur la façon d appréhender un territoire et donc de pratiquer les lieux, d habiter temporairement un territoire 4 (Mathis Stock). Mais la ville est une destination complexe, difficile à cerner et à appréhender car elle est multiforme (mobilités touristiques, mobilités d affaires, excursionnistes) avec des durées de séjour qui peuvent varier sensiblement. (Cahier espaces n 78) et avec pour conséquence des façons plurielles d habiter temporairement les lieux. De surcroit, l essor du tourisme urbain s'est inscrit dans le mouvement de globalisation et d'accroissement de la compétition interurbaine qui a mené les pouvoirs publics à développer de nouveaux outils de gouvernance comme le plan stratégique. Ce nouveau modèle de gestion urbaine s'est largement ouvert à une approche managériale de la ville qui la considère comme un produit à positionner sur un marché concurrentiel. C'est ainsi que les pouvoirs publics se 1 KNAFOU Rémy (dir.) (1998)- La planète «nomade». Les mobilités géographiques d aujourd hui 254 pages 2 FAGNONI Edith (2010) - Les mobilités - Chapitre 10 - Les mobilités de tourisme et de loisirs au cœur de l hypermobilité contemporaine - Editions Sedes - 19 pages 3 KNAFOU Rémy (dir) (2007)- Mondes urbains du tourisme Introduction - L urbain et le tourisme : une construction laborieuse -14 pages 4 STOCK Mathis (2004)- L habiter comme pratique des lieux Mémoire de M2 DATT Page 6

7 positionnent de plus en plus fréquemment dans une optique de différenciation afin de mettre en exergue la spécificité de la ville. Or, la question identitaire est une question politique, qui renvoie à une série de données anthropologiques et historiques liant une communauté humaine à un territoire, et en l'espèce, à un territoire urbanisé. Dès lors, de ce lien inédit entre optique managériale et question identitaire, semblent surgir de nouveaux enjeux (Vincent Calay -2007) Située au confluent du Rhône et de la Saône, Lyon est la deuxième agglomération française présentée comme une ville d affaires et industrieuse dominée par la fréquentation des segments affaires. A l heure de la métropolisation, cette «métropole régionale» souhaite se positionner sur la scène internationale. Elle intègre depuis 2006 dans sa stratégie de développement territorial le tourisme avec comme axe prioritaire «le tourisme d affaire». Pour autant en 2010, elle affiche un record de fréquentation touristique. Or si les mobilités d affaires se déplacent c est avant tout pour des raisons professionnelles. Pouvons-nous dès lors parler de tourisme? Le tourisme selon l équipe MIT correspond à un déplacement de plus de 24 heures en dehors de chez soi à des fins récréatives. En quoi l habiter temporaire des mobilités d'affaires favorise-t-il le développement du tourisme d'agrément catalyseur de la métropolisation d un espace urbain? Des pratiques touristiques convergentes (hébergement, restauration) aux dispositifs spécifiques (diversification de l'offre, aménagements et stratégie mise en place par les institutionnels), l appropriation du territoire des mobilités d affaires semble amorcer l émergence de nouvelles polarités touristiques. L interrogation principale est de savoir si les mobilités d affaires s approprient le territoire à l instar des touristes pouvant permettre la réalisation de nouveaux espaces urbains à vocation touristique catalyseurs de la métropolisation. Dès lors, plusieurs questions peuvent être posées : - Existe-t-il un tourisme urbain des mobilités d affaires? - Si oui, quelles sont ses spécificités? - Enfin dans quelle mesure ce tourisme urbain spécifique peut-il générer des nouvelles polarités touristiques et participer à la construction métropolitaine? Mémoire de M2 DATT Page 7

8 Les hypothèses : - Les mobilités d affaires peuvent être perçues comme un hybride touristique présentant certaines connivences avec les pratiques des touristes et les pratiques de loisirs des résidents permanents. Les mobilités d affaires sont plurielles et peuvent s approprier le territoire suivant des temporalités spécifiques marquant une rupture relative de la quotidienneté qui est le fondement des pratiques touristiques. - L exemple de Lyon démontre que les mobilités d affaires servent de substrat à la construction de la métropole régionale lyonnaise et plus spécifiquement à la dépolarisation des activités de loisirs. Les grands aménagements et les projets de territoire qui façonnent le Grand Lyon sont étroitement liés aux déplacements des mobilités d affaires. Des infrastructures «domestiques» (hôtels, restaurants) aux infrastructures de loisirs, l habiter temporaire des mobilités d affaires facilite un maillage du territoire touristique multipolaire. - L habiter temporaire des mobilités d affaires amorce le développement du tourisme d agrément. A travers les dispositifs et les aménagements mis en place pour les mobilités d'affaires, les touristes s'approprient progressivement de nouveaux "territoires" ainsi que de nouveaux produits touristiques dédiés initialement à une clientèle affaire. - Si les mobilités d'affaires favorisent la diversification et la montée en gamme de l'offre touristique et de fait la lisibilité d une destination, elles contribuent paradoxalement à lisser une offre de plus en plus globale sur le plan international et à uniformiser l offre touristique d un territoire, fragilisant les stratégies de positionnement des métropoles régionales sur la scène internationale. En effet, la mise en concurrence des territoires repose sur des attentes et des normes communes qui amoindrit le caractère distinctif d une destination: L implantation de grandes chaines hôtelières Développement des pôles de loisirs polyfonctionnels Des grandes enseignes commerciales, notamment de la restauration Des projets de construction pensés par des architectes renommés pour faciliter la lisibilité de la destination. Mémoire de M2 DATT Page 8

9 La principale hypothèse est de démontrer que l activité rémunératrice des mobilités d affaires peut s inscrire dans un cercle vicieux générant une banalisation de l offre touristique pouvant freiner les perspectives de rayonnement international dans un hyperchoix global. Méthodologie : Afin d infirmer ou confirmer les hypothèses, nous partons du concept de la mobilité à savoir déterminer le mobile du déplacement d un lieu vers un autre. Partons nous vers tel lieu parce que nous souhaitons le découvrir ou rencontrer des amis ou bien parce que nous y avons des obligations personnelles ou professionnelles? Cette détermination va impliquer un choix subi ou voulu impliquant une façon spécifique d habiter le territoire (Mathis Stock 2004, 2007). Ainsi l habiter touristique fait partie d un ensemble de logiques d appropriation du territoire qui va suivre un continuum de pratiques (Vincent Coeffe, 2009) caractérisé par un temps disponible plus ou moins important du fait de l intentionnalité du déplacement. Ce déplacement est aujourd hui contextualisé par un monde de plus en plus mobile et performant avec des nouvelles technologies. Ces nouvelles technologies vont permettre aux individus, qui se déplacent, à affronter des lieux étrangers et les rendre de plus en plus familiers notamment dans un espace citadin qui concentre les nouveaux moyens de télécommunications. Les mobilités d affaires se déplacent pour des raisons professionnelles et vont suivre un continuum qui parfois converge avec le continuum des touristes ce qui complexifie l identification de leurs pratiques de territoires. Ces pratiques vont être intégrées dans un ensemble de pratiques touristiques exercées dans un espace urbain (Partie 1). L exemple de Lyon souligne les tendances actuelles des grandes villes régionales qui souhaitent se positionner sur les rangs des grandes métropoles internationales. Lyon affiche une image de ville industrieuse dominée par la fréquentation des segments d affaires. L étude sur les dispositifs et les aménagements mis en place pour accueillir les mobilités d affaires met en avant l émergence d une urbanité spécifique amorçant de nouvelles polarités touristiques. A partir d une analyse faite sur les différents projets urbains de la ville et des dispositifs dédiés aux mobilités d affaires, il existe une imbrication sous-jacente des nouvelles polarités urbaines de loisirs crées autour des sites de rencontres professionnelles (Partie 2). A partir d enquêtes réalisées auprès de l offre et la demande, émergent des modes d habiter touristiques polytopiques des mobilités d affaires laissant supposer l existence d une Mémoire de M2 DATT Page 9

10 typologie de tourisme hybride. Cet habiter touristique hybride et polytopique génère une offre touristique générique qui se fond dans un hyperchoix global (Partie 3). Mémoire de M2 DATT Page 10

11 1ère partie : Le concept du tourisme urbain des mobilités d affaires dans un contexte d hypermobilité contemporaine Parce que les pratiques de lieux ne se différencient pas facilement 5 (Rémy Knafou), et parce que les mobilités d affaires et les mobilités touristiques peuvent converger vers une même destination, la perception réelle de la façon d habiter touristiquement et temporairement un espace devient très complexe. La confusion est certes un des mots clés pour comprendre le tourisme, mais la définition proposée par l équipe MIT «un système d acteurs, de pratiques et de lieux qui a pour finalité de permettre aux individus de se déplacer pour leur récréation hors de leurs lieux de vie habituels afin d aller habiter temporairement d autres lieux» 6 (Mathis Stock et Rémy Knafou, 2002) permet d établir une distinction significative entre les pratiques des touristes et les pratiques adoptées par les mobilités d affaires qui reposent essentiellement sur l intentionnalité du déplacement ; en d autres termes, la raison du choix de la destination va impacter la façon d appréhender le territoire. Les mobilités d affaires s opèrent dans un monde globalisé marquant une rupture avec quotidienneté rythmée notamment par le travail et ses territoires (1). Cette rupture spatiale et temporelle se chevauche avec celles des touristes. Elle implique un processus d autonomisation le long d un continuum entre autoproduction et co-production plus ou moins évident 7 qui complexifie l identification de l activité sur le plan touristique (2). En France, si l appropriation du territoire des mobilités d affaires est identifiée à partir d un système d acteurs qui disposent d une connaissance à demi mesure de ce continuum, des pratiques de territoires spécifiques aux mobilités d affaires semblent pourtant se dégager (3). 5 Ibidem 6 Equipe MIT (2008) Tourisme 1- Lieux Communs. Editions Belin, 320 pages 7 COEFFE Vincent (3 avril 2009) Le temps à l épreuve des touristes - Compte rendu de la 2 ème journée de Recherche sur le Tourisme - Groupe Sup de Co La Rochelle) Mémoire de M2 DATT Page 11

12 1.1 Les mobilités d affaires et l hypermobilité contemporaine : quelle place pour le tourisme? De plus en plus, la société se meut pour des raisons diverses. Le déplacement professionnel peut être à durée variable dans des espaces plus ou moins lointains qui va susciter une altérité plus ou moins importante et offrir la possibilité de découvrir un territoire méconnu comme lors d un déplacement d agrément. Mais la société évolue dans un monde interconnecté par des infrastructures toujours plus performantes modifiant le rapport au monde des individus. Qu est-ce qui conditionne aujourd hui les déplacements professionnels? Quelles sont les possibilités de pratiques de lieux et plus spécifiquement quelle place peuvent donner les mobilités d affaires au tourisme? Les mobilités et l altérité : le fondement des pratiques touristiques La société contemporaine se caractérise aujourd hui par un monde mobile. Nous déménageons pour le travail, nous partons en vacances à des échelles de territoires variées aussi bien au niveau national qu au niveau international etc. Il existe une pluralité de déplacements de court ou de long terme, définitifs, exceptionnels ou quotidiens, à des distances plus ou moins importantes que l on peut qualifier de mobilités. 8 (E.Bonerandi). Le concept des mobilités, dans le dictionnaire, est ce qui peut se mouvoir, la facilité à être mû ou encore la facilité à changer. Pour Mathis Stock et Philippe Duhamel, il existe deux grandes classes de mobilité : «la circulation» et la «migration» avec deux rapports distincts à l altérité : «transport» pour une circulation sans altérité et «déplacement» comme une mobilité avec altérité 9. Si nous reprenons les termes d Olier Lazzarotti, «se déplacer, c est, dans toutes les situations donc, «mettre en cause» ses propres repères, culturels, bien sur, comme la langue, mais aussi géographiques, en particulier ce que l on sait des lieux» BONERANDI Emmanuelle De la mobilité en géographie»- 9 STOCK Mathis, DUHAMEL (2005) - A Practice-based Approach of Geographical Mobility, Belgeo-Revue belge de géographie, n 1-2, pp LAZZAROTTI Olivier (2001) A propos de tourisme et patrimoine : les raisons de l «Habiter».Diplôme d HDR, Université Paris 7- Denis Diderot Mémoire de M2 DATT Page 12

13 L équipe MIT souligne que l altérité occupe une place centrale dans les pratiques touristiques parce que le lieu touristique a une raison d être du fait qu il est autre et parce qu il diffère du lieu de vie quotidienne 11. Ce différentiel induit par la rupture entre le quotidien et le hors quotidien génère une envie intrinsèque plus ou moins exacerbée de découvrir les lieux. Ainsi, si nous reprenons le cas des mobilités d affaires, elles correspondent à un déplacement professionnel qui va entraîner une altérité plus ou moins importante générant une rupture avec la quotidienneté et de fait susceptible de susciter à priori une envie de découvrir l altérité des lieux et de fait pratiquer touristiquement un territoire. Mais l ère du mouvement que caractérise le monde actuel modifie la relation de l espace aux sociétés et donc la façon d habiter, de vivre et de penser un territoire Les mobilités d affaires au cœur de l hypermobilité contemporaine et du tourisme urbain : un quotidien «hybridé» La dilatation de l espace temps facilité par une technicisation de plus en plus performante a considérablement impacté les façons d habiter temporairement les villes engendrant la multiplication et la diversification des mobilités (E.Fagnoni). Les gains de vitesse accroissent l espace accessible avec le même budget temps transport 12 modifiant l urbanité des villes et nous propulsent dans la «dromosphère» (Virilio, 2009) 13, l univers de la vitesse. De surcroit, les espaces sont de plus en plus transparents avec la puissance imaginaire de la télécommunication qui joue un effet significatif dans le processus de décision et l activation du déplacement in situ. Si nous reprenons l hypothèse du modèle de l habiter poly-topique 14 de Mathis Stock, (cf Figure 1), la valeur discriminante pour déterminer la familiarité avec les lieux n est plus la distance mais la fréquence. Ainsi les lieux proches ne sont plus nécessairement ceux qui sont les mieux connus et les plus familiers. L altérité d un lieu ne dépend donc pas de la distance parcourue. 11 Equipe MIT (2008) Tourisme 1- Lieux Communs. Editions Belin, 320 pages. 12 ASCHER François (2010) Métapolis ou l avenir des villes Edition Odile Jacob -346 pages - Loi de Zahavi 13 VIRILIO Paul (2009) Penser la vitesse, DVD, Edition.Arte 14 STOCK Mathis (2006) «L hypothèse de l habiter poly-topique : pratiquer les lieux géographiques dans les sociétés à individus mobiles», EspacesTemps.net, Textuel. Mémoire de M2 DATT Page 13

14 Figure I-1 : Les modèles des modes d habiter mono-topique et d habiter multi-topique. Mathis Stock, "L hypothèse de l habiter polytopique : pratiquer les lieux géographiques dans les sociétés à individus mobiles.", EspacesTemps.net, Textuel, Dès lors, l accélération temporelle et la réduction des distances facilitent les déplacements notamment les déplacements de courts séjours touristiques qui mêlent le «quotidien» et le «hors quotidien» des individus. Le tourisme est alors infusé dans la vie urbaine 15 (M.Lussault). Cette articulation entre les différentes mobilités va être fortement conditionnée par le changement du rapport au temps institué par la modernité et la révolution. Si le fait sociétal de l accroissement du temps libre a entraîné une nouvelle organisation de vie, une rupture dans le temps de travail et de nouveaux rythmes touristiques, il a contribué à l infusion progressive du loisir au tourisme 16. Dès lors «le quotidien s hybride du hors quotidien et réciproquement» avec un tourisme qui participe davantage à la mise en place d un habitat dispersé et d un habiter de traverse (M.Lussault) 17. Pour rappel, le loisir se distingue du tourisme du simple fait qu il ne s agit pas des mêmes clientèles. Le tourisme suppose un déplacement de plus de 24 heures qui implique d aller habiter ailleurs que chez soi (équipe MIT) tandis que les loisirs se développent dans l espace local et le temps du quotidien. Ainsi les mobilités d affaires sont au cœur d un nœud de personnes mobiles comprenant les résidents temporaires (primo visiteurs), les résidents occasionnels et les résidents permanents immergés dans une altérité relative des lieux. Cette mixité de personnes mobiles va engendrer des infrastructures qui vont organiser le territoire et générer une dynamique territoriale. 15 LUSSAULT Michel in KNAFOU Rémy (dir) (2007) - Mondes urbains du tourisme, éditions Belin,coll Mappemonde, Paris, P333 à FAGNONI Edith (2010) - Les mobilités - Chapitre 10 - Les mobilités de tourisme et de loisirs au cœur de l hypermobilité contemporaine - Editions Sedes - 19 pages 17 LUSSAULT Michel (2007) Le tourisme, un genre commun Mondes urbains du tourisme- Editions Belin- P333 à P349 Mémoire de M2 DATT Page 14

15 Les mobilités d affaires se déplacent au sein de sociétés hypermobiles avec des dispositifs de télécommunication ultra performants qui vont impacter de façon significative l imaginaire touristique et la gestion du temps. En d autres termes, puisque la logique spatiale n est plus une condition d altérité, la logique temporelle et la perception de la destination va déterminer la pratique du lieu Le continuum de pratique durant le temps «libéré du travail» : les distinctions entre le processus d autonomisation des mobilités d affaires et celui des touristes. S interroger sur le temps libre des mobilités d affaires c est établir un premier rapprochement avec la façon que le touriste a de s approprier le territoire puisqu il dispose d une enveloppe de temps libre qu il organise en fonction de ses préférences. Or l association générale de la réduction du temps de travail que l on pourrait faire à la progression du temps libre n est pas évidente. Il peut exister une distinction entre le temps libre et le temps libéré par le travail. Le temps libéré par le travail favorise le travail domestique qui comprend notamment le repas 18. Cette distinction établie par Françoise Pottier et Christophe Terrier pointe du doigt le conditionnement psychologique que peut avoir une personne en déplacement professionnel pouvant diverger de celle d un touriste qui choisit le lieu où il se rend, les pratiques qu il exerce et les temporalités dans lesquelles il se déplace 19. L expérience touristique sert de laboratoire pour essayer de nouveaux styles de vie introduisant une discontinuité (Orvar Lofgren) 20 et semble permettre de transcender l expérience quotidienne. Ainsi le tourisme place l individu en position de s affranchir des contraintes quotidiennes en allant habiter temporairement d autres lieux (Mathis Stock) 21. Cette perception de pouvoir expérimenter la nouveauté en toute liberté 22 peut ajouter une différence primordiale dans la façon de s approprier le territoire. Selon Vincent Coeffe, le tourisme est une pratique sociale pouvant être comprise comme une rupture de la 18 POTIER Françoise et TERRIER Christophe (2007) Atlas des mobilités touristiques en France métropolitaine, Editions autrement, collection atlas monde. 19 Equipe MIT (2008) Tourisme 1- Lieux Communs. Editions Belin, 320 pages 20 LOFGREN Orvar (1999) On Holiday. A history of Vacationing, Berkeley, University of California Press. 21 STOCK Mathis (2005) - Les sociétés à individus mobiles : un habiter poly-topique? L exemple des pratiques touristiques» 22 Ibidem Mémoire de M2 DATT Page 15

16 quotidienneté rythmée notamment par le travail et ses territoires 23. La rupture temporelle s accompagne d une rupture spatiale suivi d un processus d autonomisation. Ce processus va déterminer une appropriation du territoire, une façon d habiter les lieux que les touristes vont choisir en faisant plus ou moins appel à des intermédiaires pour organiser une même enveloppe de temps. Les modèles purs caractérisés par une totale autonomie d un côté et de l autre une «hétéronomie» radicale est plutôt rare. Les touristes développent davantage des «stratégies hybrides» qui placent le curseur de la pratique le long d un continuum entre autoproduction et coproduction. Ainsi plus l altérité de la destination est perçue comme forte et plus le touriste aura tendance à faire appel à des intermédiaires détenant l information dont il est plus ou moins dépourvu. 24 L équipe MIT a pu mettre en lumière cinq formes de pratique qui structuraient les façons d habiter le territoire par les touristes: - La découverte : la confrontation de la modernité avec le patrimoine - Les sociabilités : l appartenance des classes, les nouveaux espaces confidentiels pour la haute société et le rapprochement des résidents et non résidents pour les touristes «populaires» - Le jeu - Le repos (une enquête récente menée par Ipsos de 2006 auprès de 3500 européens a montré que 61 % des personnes interrogées recherchent le repos et la tranquillité d esprit en vacances : sieste, lecture, soin du corps etc.) - Le shopping (plus que l achat du souvenir, le shopping est devenu un motif structurant du déplacement touristique - à l instar de la fête, le shopping devient un moyen de conquérir les marges du temps urbain et facilite le positionnement attractif d une métropole). Les mobilités d affaires, si l on suit le cheminement de V. Coeffe, ont en premier lieu une rupture spatiale accompagnée d une rupture temporelle partielle puisque la 23 COEFFE Vincent (2009) - Le temps à l épreuve des touristes - (2ème journée de Recherche sur le Tourisme-Groupe Sup de Co La Rochelle). 24 Ibidem Mémoire de M2 DATT Page 16

17 discontinuité du travail s effectue sur le lieu du déplacement. La rupture de la quotidienneté est partielle car la finalité première du déplacement est professionnelle. Dès lors, les temporalités ne répondent pas à priori aux mêmes logiques. D autre part, certaines mobilités d affaires, font appel à des intermédiaires, organisateurs du voyage plus en fonction de la finalité du déplacement que de l altérité de la destination. Ainsi, les mobilités d affaires n obéissent pas à priori aux mêmes processus d autonomisation et aux mêmes logiques d autoproduction et coproduction. De surcroit ces intermédiaires interviennent à priori à la demande d une entité morale qui paie pour le compte des mobilités d affaires, l organisation du voyage. Ainsi, le choix de la coproduction paraît très éloigné d un choix personnel et rend le processus d autonomisation relativement complexe. Les formes de pratiques exposées par l équipe MIT soulignent l hypothèse de l habiter polytopique de Mathis Stock. Conclusion : La discontinuité entre travail et non-travail est au fondement du tourisme qui constitue une des manières de faire usage du temps libre 25. Le déplacement des mobilités d affaires induit une altérité des lieux relative avec une rupture de la quotidienneté relative puisque la motivation première du déplacement est professionnelle réduisant ainsi la discontinuité entre travail et non-travail.. Dès lors, les mobilités d affaires n obéissent pas aux mêmes temporalités puisqu elles ont une contrainte de travail. Le temps libéré du travail va déterminer un habiter touristique du territoire mais dans le cas des mobilités d affaires qui peuvent être plurielles, le temps «travaillé» peut également être employé pour pratiquer touristiquement les lieux si l on se réfère aux 5 formes de pratiques touristiques de l équipe MIT. Les mobilités d affaires semblent développer des pratiques de lieux en corrélation avec celles des mobilités touristiques qui se fondent elles mêmes avec les pratiques de lieux des résidents permanents. Bien que les logiques temporelles et intentionnelles du déplacement soient 25 COEFFE Vincent (3 avril 2009) Le temps à l épreuve des touristes - Compte rendu de la 2 ème journée de Recherche sur le Tourisme - Groupe Sup de Co La Rochelle) Mémoire de M2 DATT Page 17

18 différentes, elles semblent pourtant suivre des logiques spatiales convergentes pouvant se superposer. Ces différentes corrélations de pratiques ont pendant longtemps susciter une confusion (bien que toujours existante) sur le tourisme des mobilités d affaires encore nommé dans le langage courant le «tourisme d affaires.» 1.2 «Du tourisme d affaire» au principe du tourisme urbain des mobilités d affaires Définir le fait touristique est complexe puisqu il est de plus en plus impossible de l isoler des autres activités. Dès l origine, le transport touristique conduisit vers un détournement du but du tourisme; l exploitation commerciale s en empara aussitôt ( ) qu il est de plus en plus difficile de faire la part des choses. Nous constatons donc que le voyage d affaires est de façon croissante inséparable de l ambiance touristique 26». Cette confusion donne lieu à des définitions multiples de cette activité majeure mal identifiée. 27 (1.2.1) Mais il existe des études intéressantes qui appréhendent les mobilités d affaires à l instar du continuum de Vincent Coeffe (1.2.2) permettant d identifier leurs pratiques de territoire comme une pratique touristique urbaine polytopique (1.2.3) Les raisons d une définition plurielle et «contestée» Dans le langage courant nous utilisons le terme générique tourisme d affaire, le «mal nommé» 28 (R.Knafou), mais cette activité majeure reste mal identifiée (Rapport du conseil Economique et social de 2007, B. Plaisait) voire «contestée» du fait qu elle ne met pas en avant l objet du déplacement comme critère de distinction. Pendant longtemps les institutions touristiques ont pensé qu elles avaient intérêt à entretenir 26 WACKERMANN Gabriel (1993), Tourisme & transport. Collection mobilité spatiale, SEDES, p35, Paris, 279 pages 27 PLASAIT, Bernard (2007), Avis et rapports du Conseil Economique et Social : Le Tourisme d affaires : un atout majeur pour l économie, 144 pages KNAFOU Rémy (dir) (2007)- Mondes urbains du tourisme Introduction - L urbain et le tourisme : une construction laborieuse -14 pages Mémoire de M2 DATT Page 18

19 une «confusion» sur le tourisme d affaire 29 (R. Knafou) pour montrer leur importance et produire des statistiques. Aussi l intérêt d une différenciation n était pas indispensable. Mais très rapidement la nécessité d adopter des décisions adaptées pour ce segment de clientèle spécifique, a encouragé certains acteurs à faire la distinction. En effet, car si la dimension ludique tient une place importante dans certains des déplacements professionnels, elle est cependant dans certains cas, inexistante. En effet, la clientèle d agrément et la clientèle affaire obéissent à des logiques très différentes. La finalité de la première vise des activités récréatives tandis que la finalité de la seconde est avant tout professionnelle. La dimension récréative et ludique du voyage d affaires (au sens large du terme) est un plus un agrément qu une finalité. Ainsi, l activité des mobilités d affaires se confond avec celles des mobilités touristiques car elles ont toutes deux la particularité d habiter temporairement une ville. Elles utilisent les mêmes infrastructures de transports et utilisent les mêmes infrastructures d accueil dits de «tourisme» mais l objectif premier du déplacement des mobilités d affaires est professionnel tandis que celui des mobilités touristiques reste avant tout récréatif. Elles n obéissent pas aux mêmes temporalités puisque l une devra «penser récréativité» à partir d un temps libéré du travail et l autre sera immergée dans l intentionnalité récréative dès l origine du déplacement. En France, le tourisme d affaire est défini comme étant «des déplacements individuels ou organisés, effectués pour des motifs professionnels et dont la durée est d au moins 24 heures» ( ) et qui concernent 5 domaines d activités : Les foires et les salons : Les foires sont des manifestations grand public regroupant régulièrement tout type d entreprises afin de présenter des produits ou des services en vue de les vendre ou de les faire connaître. Les foires sont souvent régionales et annuelles. La Foire de Lyon en est un exemple. 30 Les salons (ou expositions), peuvent être grands publics, professionnels ou mixtes. Ils regroupent toutes les entreprises d un secteur particulier, au niveau national ou international. A titre d exemple, le Salon de l automobile ou de l agriculture... Ils font l objet d une 29 Ibidem 30 PLASAIT, Bernard (2007), Avis et rapports du Conseil Economique et Social : Le Tourisme d affaires : un atout majeur pour l économie, 144 pages- Mémoire de M2 DATT Page 19

20 réglementation. 31 Les congrès et les conventions d entreprises Les congrès associatifs sont organisés par des associations, des Sociétés savantes, des organismes internationaux, les pouvoirs publics, des universités ou des centres de recherche. Ils permettent la diffusion et l échange de connaissances, la confrontation d expériences sur un thème donné de nature scientifique, technique, culturelle entre spécialistes de la même filière. Une participation financière est généralement demandée aux congressistes. La fréquence des congrès est souvent régulière. 32 Les conventions sont organisées à l initiative d une société privée. Elles réunissent essentiellement des personnes liées à l entreprise organisatrice (force de vente, réseau de distributeurs...) et ne nécessitent pas de contribution financière des participants. L événement a un caractère obligatoire dont l objectif est de diffuser un message unilatéral d information, éventuellement médiatisé. Sa fréquence est généralement régulière. On utilise également l expression Conférence d entreprise. 33 Les incentives et les voyages de motivations D origine nord-américaine, l incentive est un voyage de stimulation ou de motivation organisé par une entreprise en vue de récompenser son personnel en groupes restreints pour les motiver et les fédérer. Ce voyage patronné allie information et tourisme d agrément. Il exige une préparation très soignée, une exécution parfaite et une exploitation des résultats très attentive. 34 Certaines entreprises organisent une fête pour célébrer un événement (Un anniversaire, un lancement de produit, une assemblée générale ou un conseil d administration...). Elles y trouvent un vecteur d image et un support de communication qui s intègre dans une stratégie globale de communication. 35 Cette forme d événementiel, s inscrit dans la convergence entre tourisme, loisir et culture. 31 Ibidem 32 Ibidem 33 Ibidem 34 Ibidem 35 Ibidem Mémoire de M2 DATT Page 20

À destination des acteurs & des professionnels du Tourisme d Affaires

À destination des acteurs & des professionnels du Tourisme d Affaires ME MEN TO À destination des acteurs & des professionnels du Tourisme d Affaires ÉDITO Luc Doublet, Président Christine Batteux, Vice-Présidente du Conseil Régional, Chargée du Tourisme Avec 5,8 milliards

Plus en détail

Définition du tourisme d affaires

Définition du tourisme d affaires Décembre 2007 Définition du tourisme d affaires Activité économique générée par les congrès, séminaires, conventions, salons. Ces événements ne relèvent pas du tourisme mais contribuent puissamment à l

Plus en détail

Position de l ASTEE sur l innovation en matière de services d eau et de déchets

Position de l ASTEE sur l innovation en matière de services d eau et de déchets Position de l ASTEE sur l innovation en matière de services d eau et de déchets Les services publics locaux de l environnement : des services discrets mais moteurs de développement Depuis leur mise en

Plus en détail

Communiqué de Presse - 10 septembre 2009

Communiqué de Presse - 10 septembre 2009 Communiqué de Presse - 10 septembre 2009 L inauguration prochaine du nouveau Palais des Congrès (Square) repose la question de la diminution indispensable de la TVA dans l Horeca, particulièrement pour

Plus en détail

Le nouveau marketing urbain à l heure du numérique

Le nouveau marketing urbain à l heure du numérique Le nouveau marketing urbain à l heure du numérique Liège, 10 / 10 / 2014 Joël Gayet Chercheur associé à Sciences Po Aix Directeur de la Chaire «Attractivité & Nouveau Marketing Territorial» Attractivité

Plus en détail

Conférence de Presse jeudi 19 mars 2015 Salon Mondial du Tourisme

Conférence de Presse jeudi 19 mars 2015 Salon Mondial du Tourisme Conférence de Presse jeudi 19 mars 2015 Salon Mondial du Tourisme Sommaire Edito Présentation du Welcome City Lab Le Welcome City Lab: les chiffres Paris&CO La nouvelle promotion de startups L état rentre

Plus en détail

Typologie des séjours en Bourgogne en 2007 Suivi de la Demande Touristique 2007

Typologie des séjours en Bourgogne en 2007 Suivi de la Demande Touristique 2007 Typologie des séjours en Bourgogne en 2007 Suivi de la Demande Touristique 2007 1 Sommaire 1. Objectif et méthode p. 3 2. Données de cadrage : les séjours en Bourgogne en 2007, Suivi de la Demande Touristique

Plus en détail

JURA & TROIS-LACS CONCEPT TOURISTIQUE GLOBAL MASTERPLAN - CONDENSÉ DOCUMENT POUR CONSULTATION DÉCEMBRE 2013

JURA & TROIS-LACS CONCEPT TOURISTIQUE GLOBAL MASTERPLAN - CONDENSÉ DOCUMENT POUR CONSULTATION DÉCEMBRE 2013 JURA & TROIS-LACS CONCEPT TOURISTIQUE GLOBAL MASTERPLAN - CONDENSÉ DOCUMENT POUR CONSULTATION DÉCEMBRE 2013 1 1. INTRODUCTION Pourquoi un Masterplan et pour quoi faire? Créée en 2011, la destination Jura

Plus en détail

M-Tourisme et réseaux sociaux : les pratiques des clientèles européennes

M-Tourisme et réseaux sociaux : les pratiques des clientèles européennes M-Tourisme et réseaux sociaux : les pratiques des clientèles européennes SOMMAIRE LES CONSTATS... 3 LA METHODOLOGIE... 3 CE QU IL FAUT RETENIR... 4 Google? Oui, mais pas que...4 Connectés, même en vacances!...4

Plus en détail

BREST LILLE LYON NICE ROUEN

BREST LILLE LYON NICE ROUEN BORDE BREST AUX IS D PAR GRAN BLE GRENO LILLE LYON EILLE MARS ER PELLI T N O M ES NANT NICE ES RENN ROUEN BOURG STRAS USE TOULO COMMUNIQUÉ DE PRESSE SIMI 2014 L immobilier de bureaux et l attractivité

Plus en détail

Conséquences des changements de mode de vie sur la production et la distribution des biens de consommation : résultats d une étude du CRÉDOC

Conséquences des changements de mode de vie sur la production et la distribution des biens de consommation : résultats d une étude du CRÉDOC Conséquences des changements de mode de vie sur la production et la distribution des biens de consommation : résultats d une étude du CRÉDOC L industrie française des biens de consommation prend-elle bien

Plus en détail

Les dirigeants face à l innovation

Les dirigeants face à l innovation Les dirigeants face à l innovation Vague 2 FACD N 111164 Contact Ifop : Flore-Aline Colmet Daâge Directrice d Etudes Département Opinion et Stratégies d'entreprise flore-aline.colmet-daage@ifop.com Mai

Plus en détail

Les objectifs de Rennes Métropole

Les objectifs de Rennes Métropole 12 Décembre 2012 Les objectifs de Rennes Métropole Se doter d une fonction métropolitaine nouvelle pour : Renforcer son attractivité internationale - favoriser le développement économique culturel et social

Plus en détail

L étudiant devra être capable d élaborer des stratégies de développement dans l entreprise, en situation réelle.

L étudiant devra être capable d élaborer des stratégies de développement dans l entreprise, en situation réelle. MASTER Européen de Management et de Stratégies touristiques Présentation : Ce master européen s adresse prioritairement à des étudiants ayant validé un diplôme de niveau II (Bac+3) dans les domaines de

Plus en détail

La traduction des sites internet touristiques en langues étrangères comme outil de valorisation et de promotion des territoires aquitains

La traduction des sites internet touristiques en langues étrangères comme outil de valorisation et de promotion des territoires aquitains La traduction des sites internet touristiques en langues étrangères comme outil de valorisation et de promotion des territoires aquitains Alexandre Bertin NOTE STRATEGIQUE Note stratégique réalisée par

Plus en détail

Plan marketing 2010-2014. Doubs tourisme (Cdt)

Plan marketing 2010-2014. Doubs tourisme (Cdt) Plan marketing 2010-2014 Doubs tourisme (Cdt) Pourquoi un plan marketing? Le schéma départemental de développement touristique Ce schéma (SDDT) définit cinq grands axes pour le développement touristique

Plus en détail

Comité stratégique de la démarche Alsace 2030 : des ambitions fortes, une vision partagée

Comité stratégique de la démarche Alsace 2030 : des ambitions fortes, une vision partagée Strasbourg, le 14 novembre 2014. Comité stratégique de la démarche Alsace 2030 : des ambitions fortes, une vision partagée Philippe Richert, Président du Conseil Régional d Alsace, Ancien Ministre, a ouvert

Plus en détail

La filière française compte 195 casinos autorisés sur le territoire national pour l exercice 2010/2011 (Source : les casinos.org). Il en existait 155

La filière française compte 195 casinos autorisés sur le territoire national pour l exercice 2010/2011 (Source : les casinos.org). Il en existait 155 "Rechute de l activité de la filière casinos" Analyse et traitement par Coach Omnium Extrait de notre grande étude prospective sur les casinos français, réalisée pour le FAFIH et ses partenaires. L OFFRE

Plus en détail

achat shopping fidèlisation animation magnétic communication magnétic communication magnéti CENTRES COMMERCIAUX VILLAGES trafic DE MARQUES

achat shopping fidèlisation animation magnétic communication magnétic communication magnéti CENTRES COMMERCIAUX VILLAGES trafic DE MARQUES achat animation fidèlisation shopping CENTRES COMMERCIAUX & DE MARQUES VILLAGES trafic Partenaire des Centres Commerciaux La promesse d un centre de vie Aujourd hui, les centres commerciaux évoluent dans

Plus en détail

Etude sur les Maisons des Services Publics en Europe (hors la France)

Etude sur les Maisons des Services Publics en Europe (hors la France) Etude sur les Maisons des Services Publics en Europe (hors la France) Résumé du rapport réalisé par EUROPA pour la DATAR DATAR EUROPA Etude sur les maisons des services publics en Europe Résumé du rapport

Plus en détail

Compte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris

Compte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris Compte rendu de la journée technique du mardi 23 septembre organisée par ODIT France à la Maison du Tourisme 75014 Paris Thème : Commercialiser la campagne : les questions de base posées aux territoires

Plus en détail

Communiqué : Meetinangers.com, le nouveau site internet du BDCE 3. Le Bureau des Congrès et Evènements d Angers, pour qui, pourquoi?

Communiqué : Meetinangers.com, le nouveau site internet du BDCE 3. Le Bureau des Congrès et Evènements d Angers, pour qui, pourquoi? 1 2 Sommaire Communiqué : Meetinangers.com, le nouveau site internet du BDCE 3 Le Bureau des Congrès et Evènements d Angers, pour qui, pourquoi? 4 Boîte à outils 5 Bilan de la première année d activité

Plus en détail

La gestion des performances en Europe. Panel d expériences européennes et possibles synergies

La gestion des performances en Europe. Panel d expériences européennes et possibles synergies La gestion des performances en Europe. Panel d expériences européennes et possibles synergies Atelier n 15 Organisateurs : Conseil de l Europe (Centre d expertise sur la réforme de l administration locale

Plus en détail

LES ÉVÉNEMENTS INTERNATIONAUX MONTRÉALAIS Programme de soutien de Tourisme Montréal

LES ÉVÉNEMENTS INTERNATIONAUX MONTRÉALAIS Programme de soutien de Tourisme Montréal Orlando G. Cerocchi LES ÉVÉNEMENTS INTERNATIONAUX MONTRÉALAIS Programme de soutien de Tourisme Montréal :: INTRODUCTION :: OBJECTIF DU PROGRAMME :: FESTIVALS ET ÉVÉNEMENTS TOURISTIQUES ADMISSIBLES :: CHAMPS

Plus en détail

MASTER 1 MANAGEMENT PUBLIC ENVIRONNEMENTAL CONTENU DES ENSEIGNEMENTS

MASTER 1 MANAGEMENT PUBLIC ENVIRONNEMENTAL CONTENU DES ENSEIGNEMENTS MASTER 1 MANAGEMENT PUBLIC ENVIRONNEMENTAL CONTENU DES ENSEIGNEMENTS Le Master 1 : Management Public Environnemental forme aux spécialités de Master 2 suivantes : - Management de la qualité o Parcours

Plus en détail

MARION TILLOUS. SOUTENANCE 09.07.09. Madame, messieurs,

MARION TILLOUS. SOUTENANCE 09.07.09. Madame, messieurs, MARION TILLOUS. SOUTENANCE 09.07.09. Madame, messieurs, Je vous remercie de votre présence aujourd hui et de l attention que vous avez bien voulu porter à mon travail. Je remercie particulièrement Francis

Plus en détail

RÉSIDENCE AFFAIRES QUARTZ. RÉSIDENCE le. www.terresens.com

RÉSIDENCE AFFAIRES QUARTZ. RÉSIDENCE le. www.terresens.com RÉSIDENCE AFFAIRES RÉSIDENCE le QUARTZ French Riviera www.terresens.com 2 la situation Paris : A6 Lyon - Marseille, A8 Cannes puis sortie 42 Cannes-centre / Le Cannet Lyon : A7 Marseille, A8 Cannes puis

Plus en détail

www.u-bordeaux3.fr Master professionnel Urbanisme : stratégie, projets, maîtrise d ouvrage (USPMO)

www.u-bordeaux3.fr Master professionnel Urbanisme : stratégie, projets, maîtrise d ouvrage (USPMO) www.u-bordeaux3.fr Master professionnel Urbanisme : stratégie, projets, maîtrise d ouvrage (USPMO) Former des urbanistes Le master Urbanisme : stratégie, projets, maîtrise d ouvrage (USPMO) s appuie sur

Plus en détail

Management Interculturel

Management Interculturel Management Interculturel La mondialisation et l ouverture des marchés ont permis l interconnexion des mondes. Ces phénomènes ont en même temps accéléré la mutation des modes de pensée et de consommation.

Plus en détail

APRÈS LONDRES, GRENOBLE EXPÉRIMENTE LE PAIEMENT PAR CARTE BANCAIRE SANS CONTACT SUR UNE LIGNE DE BUS

APRÈS LONDRES, GRENOBLE EXPÉRIMENTE LE PAIEMENT PAR CARTE BANCAIRE SANS CONTACT SUR UNE LIGNE DE BUS APRÈS LONDRES, GRENOBLE EXPÉRIMENTE LE PAIEMENT PAR CARTE BANCAIRE SANS CONTACT SUR UNE LIGNE DE BUS Le paiement sans contact dans la Métropole grenobloise est lancé lundi 21 septembre sur la ligne Chrono

Plus en détail

PROPOSITION D ETUDE ETUDE DU MARCHE BELGE DES SEMINAIRES ET CONFERENCES

PROPOSITION D ETUDE ETUDE DU MARCHE BELGE DES SEMINAIRES ET CONFERENCES PROPOSITION D ETUDE ETUDE DU MARCHE BELGE DES SEMINAIRES ET CONFERENCES MAI 2007 TABLE DE MATIERES 1. FICHE TECHNIQUE 3 1.1. Objet 3 1.2. Méthode 3 1.3. Questions et analyses exclusives 3 1.4. Rapport

Plus en détail

Septembre 2010 - N 87 L édition 2010 du Game Fair en Loir-et-Cher Profil des visiteurs et impact économique. Enquête réalisée du 18 au 20 juin 2010

Septembre 2010 - N 87 L édition 2010 du Game Fair en Loir-et-Cher Profil des visiteurs et impact économique. Enquête réalisée du 18 au 20 juin 2010 Septembre 10 - N 87 L édition 10 du Game Fair en Loir-et-Cher Profil des visiteurs et impact économique Enquête réalisée du 18 au juin 10 Depuis 1987, le Game Fair a élu domicile dans le cadre prestigieux

Plus en détail

Vision stratégique du développement culturel, économique, environnemental et social du territoire

Vision stratégique du développement culturel, économique, environnemental et social du territoire Vision stratégique du développement culturel, économique, environnemental et social du territoire PROJET D ÉNONCÉ DE VISION STRATÉGIQUE OCTOBRE 2014 TABLE DES MATIÈRES POURQUOI UN ÉNONCÉ DE VISION STRATÉGIQUE?...

Plus en détail

De l observatoire à l action

De l observatoire à l action De l observatoire à l action 13 MARS 2014 BEST WESTERN Soleil & Jardin Sanary sur Mer BEST WESTERN Soleil & Jardin Sanary sur Mer 40 chambres,180m2 de salles de conférence, Spa, 2 piscines, restauration

Plus en détail

S e r v i r l e s clients actuels de maniè r e e f f ic a ce grâce a u «Co n s u m er Insight»

S e r v i r l e s clients actuels de maniè r e e f f ic a ce grâce a u «Co n s u m er Insight» Siège mondial : 5 Speen Street Framingham, MA 01701 États-Unis P.508.935.4400 F.508.988.7881 www.idc-ri.com S e r v i r l e s clients actuels de maniè r e e f f ic a ce grâce a u «Co n s u m er Insight»

Plus en détail

Deux outils élaborés en concertation avec les professionnels du tourisme régional

Deux outils élaborés en concertation avec les professionnels du tourisme régional Avec, chaque année, 15 millions de touristes accueillis et près de 100 millions de nuitées enregistrées, le Languedoc-Roussillon est la 4 ème région touristique française en terme de fréquentation et d'emplois

Plus en détail

ilottery 2.0 DÉVELOPPER LE JEU En collaboration avec

ilottery 2.0 DÉVELOPPER LE JEU En collaboration avec ilottery 2.0 DÉVELOPPER LE JEU L I V R E B L A N C En collaboration avec RÉSUMÉ 2 Ce livre blanc repose sur une étude commandée par Karma Gaming et réalisée par Gaming Insights Group. Les données viennent

Plus en détail

Journée CRDTA du 26 juin LA COMMERCIALISATION

Journée CRDTA du 26 juin LA COMMERCIALISATION - Journée CRDTA du 26 juin LA COMMERCIALISATION OFFICE DE TOURISME INTERCOMMUNAUTAIRE «DES PAYS DE SAINT-FLOUR» 26 juin 2014 1 - Est Cantal - OTI «DES PAYS DE SAINT-FLOUR» - Importance de l AXE 75 - Des

Plus en détail

L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS. Juin 2014

L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS. Juin 2014 L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS Juin 2014 Contacts BVA : Céline BRACQ Directrice BVA Opinion Lilas BRISAC Chargée d études 01 71 16 88 00

Plus en détail

le leader mondial du voyage de groupe

le leader mondial du voyage de groupe le leader mondial du voyage de groupe 2 Qui sommes-nous? www.kuonigrouptravel.com le leader mondial du voyage de groupe Kuoni Group Travel Experts est né de la fusion de deux départements exceptionnellement

Plus en détail

L emploi lié au tourisme dans le Territoire de Belfort

L emploi lié au tourisme dans le Territoire de Belfort Chiffres clés 1 207 emplois en moyenne sur l année 2011 dans le Territoire de Belfort*. Soit 850 emplois en équivalent temps plein (dont plus de 700 en zone urbaine). 2,4 % de l emploi total du département.

Plus en détail

COMMUNICATION PREPAREE PAR M. BRUNO ROBINE AU NOM DE LA COMMISSION DE L EMPLOI ET DU DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE

COMMUNICATION PREPAREE PAR M. BRUNO ROBINE AU NOM DE LA COMMISSION DE L EMPLOI ET DU DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE COMMUNICATION PREPAREE PAR M. BRUNO ROBINE AU NOM DE LA COMMISSION DE L EMPLOI ET DU DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE 4 MAI 2004 LA SITUATION DE L EMPLOI ET DE LA CONJONCTURE ECONOMIQUE EN REGION D ILE-DE-FRANCE

Plus en détail

Q&A Novembre 2012. A. Le marché de la location meublée. B. Le marché de la location touristique. C. La location meublée, un marché lucratif?

Q&A Novembre 2012. A. Le marché de la location meublée. B. Le marché de la location touristique. C. La location meublée, un marché lucratif? Q&A Novembre 2012 A. Le marché de la location meublée. B. Le marché de la location touristique. C. La location meublée, un marché lucratif? D. La location meublée est elle légale? A. Le marché de la location

Plus en détail

CYCLE DIRIGEANT FEDESAP/HEC

CYCLE DIRIGEANT FEDESAP/HEC CYCLE DIRIGEANT FEDESAP/HEC «POUR UNE ENTREPRISE DES SERVICES A LA PERSONNE PROFESSIONNELLE ET PERENNE» FEDESAP : TOUR CIT, 3 rue de l Arrivée 75749 PARIS CEDEX 15 Tél : 01 45 38 44 11 contact@fedesap.org

Plus en détail

LE DON : UN MODELE DE MANAGEMENT AU SERVICE DE LA COOPERATION

LE DON : UN MODELE DE MANAGEMENT AU SERVICE DE LA COOPERATION LE DON : UN MODELE DE MANAGEMENT AU SERVICE DE LA COOPERATION Face à une rationalisation croissante du secteur social et médico-social, accentuée par les effets de crise, comment un directeur de structure

Plus en détail

Quel contrôle de gestion pour les ONG 1?

Quel contrôle de gestion pour les ONG 1? Quel contrôle de gestion pour les ONG 1? (Rémi Bachelet et Nathalie Claret) Dans le cadre de l atelier portant sur les nouveaux champs du contrôle de gestion, une réflexion sur la place de ce dernier dans

Plus en détail

MASTER 1 MANAGEMENT DES ADMINISTRATIONS PUBLIQUES ET DES TERRITOIRES

MASTER 1 MANAGEMENT DES ADMINISTRATIONS PUBLIQUES ET DES TERRITOIRES MASTER 1 MANAGEMENT DES ADMINISTRATIONS PUBLIQUES ET DES TERRITOIRES Libellé de l UE (Unité d enseignement) et de l EC (Elément constitutif) SEMESTRE 1 S1 : UE OBLIGATOIRES Management public et stratégie

Plus en détail

Exemple de problématiques

Exemple de problématiques Les prescriptions d achat émises par les internautes sur les sites d opinions de consommateurs jouissent-elles d une crédibilité suffisante pour déstabiliser les journaux consuméristes? H1 : Les sites

Plus en détail

LE MARCHE DES AGENCES DE COMMUNICATION ÉVÉNEMENTIELLE EN FRANCE

LE MARCHE DES AGENCES DE COMMUNICATION ÉVÉNEMENTIELLE EN FRANCE LE MARCHE DES AGENCES DE COMMUNICATION ÉVÉNEMENTIELLE EN FRANCE Etude ANAé-Bedouk 2012 8 février 2012 Gérard Denis, Nicolas Dudkowski SOMMAIRE Périmètre de l étude 2010 : analyse des bilans" 2011 : le

Plus en détail

QuickTime et un décompresseur sont requis pour visionner cette image. ETUDE DE CLIENTELE TOURISTIQUE DU LIMOUSIN. 7 avril 2009

QuickTime et un décompresseur sont requis pour visionner cette image. ETUDE DE CLIENTELE TOURISTIQUE DU LIMOUSIN. 7 avril 2009 ETUDE DE CLIENTELE TOURISTIQUE DU LIMOUSIN 7 avril 2009 Objectifs de l enquête Définir les caractéristiques des clientèles touristiques du Limousin : motivations, profils et comportements Mesurer leur

Plus en détail

QUIMBAYA TOURS, UNE AGENCE RECEPTIVE A DIMENSION INTERNATIONALE EN QUETE D UNE CLIENTELE NOUVELLE

QUIMBAYA TOURS, UNE AGENCE RECEPTIVE A DIMENSION INTERNATIONALE EN QUETE D UNE CLIENTELE NOUVELLE QUIMBAYA TOURS, UNE AGENCE RECEPTIVE A DIMENSION INTERNATIONALE EN QUETE D UNE CLIENTELE NOUVELLE Catarina Pascoal Equipe M Himali Patabendi 2013-2014 Sandrine Tan TABLE DES MATIERES I - Quimbaya Tours

Plus en détail

DORDOGNE-PERIGORD. Le label d excellence

DORDOGNE-PERIGORD. Le label d excellence DORDOGNE-PERIGORD Le label d excellence Les Gîtes de France, c est la force d un réseau bien établi et bien structure, qui oeuvre depuis 55 ans au service des propriétaires et des clients : Premier réseau

Plus en détail

Atelier : Numérique et Œnotourisme en Aquitaine. Document de cadrage pour la réunion du 7 mars 2012

Atelier : Numérique et Œnotourisme en Aquitaine. Document de cadrage pour la réunion du 7 mars 2012 Atelier : Numérique et Œnotourisme en Aquitaine Document de cadrage pour la réunion du 7 mars 2012 Ce document de travail rassemble quelques chiffres-clés et éléments de cadrage pour les participants aux

Plus en détail

PRDFP. 2011-2015 Le Contrat de Plan Régional de Développement des Formations Professionnelles. cohérence. Concertation. Innovation.

PRDFP. 2011-2015 Le Contrat de Plan Régional de Développement des Formations Professionnelles. cohérence. Concertation. Innovation. cohérence ÉGALITÉ DES CHANCES/DYNAMIQUE ÉCONOMIQUE Concertation Innovation Innovation www.regionreunion.com Concertation cohérence 2011-2015 Le Contrat de Plan Régional de Développement des Formations

Plus en détail

Offices de tourisme et bonnes pratiques Internet. Evaluation comparative de sites Internet

Offices de tourisme et bonnes pratiques Internet. Evaluation comparative de sites Internet Offices de tourisme et bonnes pratiques Internet Evaluation comparative de sites Internet Quoi? Ce document est un résumé des résultats de l étude menée sur une quinzaine de sites Internet dans le domaine

Plus en détail

Agence du patrimoine immatériel de l État

Agence du patrimoine immatériel de l État Agence du patrimoine immatériel de l État Les richesses de l immatériel sont les clés de la croissance future Rapport de la commission de l économie de l immatériel 2006 Le mot du directeur général L APIE

Plus en détail

BILAN DES ACTIONS OPERATIONNELLES MARKETING 2ème TRIMESTRE 2011

BILAN DES ACTIONS OPERATIONNELLES MARKETING 2ème TRIMESTRE 2011 BILAN DES ACTIONS OPERATIONNELLES MARKETING 2ème TRIMESTRE 2011 En Tourisme de Loisirs comme en Affaires, de nombreux démarchages ont eu lieu, au cours du 2 ème trimestre, en France ainsi que sur les marchés

Plus en détail

ASSEMBLEE GENERALE 2013 BISCARROSSE NUMERIQUE

ASSEMBLEE GENERALE 2013 BISCARROSSE NUMERIQUE ASSEMBLEE GENERALE 2013 BISCARROSSE NUMERIQUE LES OUTILS NUMERIQUES LES SMARTPHONES 33,4% d équipement en France en 2011 46,6% en 2012, la progression est rapide Source : Médiamétrie LES CHIFFRES DU SMARTPHONE

Plus en détail

Chap 3 : La connaissance du client. I. Les fondements de la connaissance du client. Les principales évolutions sont résumées dans le tableau suivant :

Chap 3 : La connaissance du client. I. Les fondements de la connaissance du client. Les principales évolutions sont résumées dans le tableau suivant : Chap 3 : La connaissance du client I. Les fondements de la connaissance du client A. D une société de consommation à une société de consommateurs Depuis les années 1980, les mutations sociales ont eu d

Plus en détail

CDC Entreprises présente son étude annuelle : Le capital investissement dans les PME en France

CDC Entreprises présente son étude annuelle : Le capital investissement dans les PME en France CDC Entreprises présente son étude annuelle : Le capital investissement dans les PME en France Communiqué de presse Paris, le 20 novembre 2012 CDC Entreprises, filiale de la Caisse des Dépôts, gère dans

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES DE L APPEL A PROJETS REGIONAL «INNOVATION» SESSION PLENIERE DES 19 ET 20 JUIN 2014

CAHIER DES CHARGES DE L APPEL A PROJETS REGIONAL «INNOVATION» SESSION PLENIERE DES 19 ET 20 JUIN 2014 CAHIER DES CHARGES DE L APPEL A PROJETS REGIONAL «INNOVATION» I.Contexte : Convaincue de l intérêt stratégique de l innovation pour le renforcement de la compétitivité des entreprises, la a lancé un appel

Plus en détail

Les compétences des permanents face à la nouvelle activité que constitue le recrutement en CDI et en CDD

Les compétences des permanents face à la nouvelle activité que constitue le recrutement en CDI et en CDD Les dossiers de l Obser vatoire du Travail Temporaire Juillet 2009 Les compétences des permanents face à la nouvelle activité que constitue le recrutement en CDI et en CDD Sommaire 1 Introduction 3 1.1

Plus en détail

Jean-Pierre SOUTRIC Vice-Président Corporate and Travel Industry Sales, Europe Four Seasons Hotels and Resorts

Jean-Pierre SOUTRIC Vice-Président Corporate and Travel Industry Sales, Europe Four Seasons Hotels and Resorts L E S C O N F E R E N C E S D E L I R E S T CYCLE 2014-2015 L Institut de Recherche et d Etudes Supérieures du Tourisme (IREST) Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne a le plaisir de vous inviter à la conférence

Plus en détail

LES ENSEIGNEMENTS DE L OBSERVATOIRE DE L ENDETTEMENT DES MENAGES. LES CREDITS DE TRESORERIE AUX PARTICULIERS EN FRANCE

LES ENSEIGNEMENTS DE L OBSERVATOIRE DE L ENDETTEMENT DES MENAGES. LES CREDITS DE TRESORERIE AUX PARTICULIERS EN FRANCE LES ENSEIGNEMENTS DE L OBSERVATOIRE DE L ENDETTEMENT DES MENAGES. LES CREDITS DE TRESORERIE AUX PARTICULIERS EN FRANCE Michel MOUILLART Directeur Scientifique de l Observatoire de l Endettement des Ménages

Plus en détail

«Les rendez-vous du Tourisme» Proposé par la CCI de Meurthe-et-Moselle Véronique CHARPENET-BOUCHARD Conseil en Marketing & Communication Tous droits réservés OBJECTIFS Cette rencontre a pour objectifs

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE 2013

DOSSIER DE PRESSE 2013 APPLICATOUR PRESENTE VIA SYSTEM, LA TECHNOLOGIE AU SERVICE DES PRODUCTEURS DE VOYAGES DOSSIER DE PRESSE 2013 Contact Presse : Tika Media Caroline Melin 80 rue Belgrand 75020 Paris 06 61 14 63 64 01 40

Plus en détail

ANIMATION,TOURISME ET SPORT. Tous bacs Sauf pour STAPS: accès après un bac S, ES et STL principalement

ANIMATION,TOURISME ET SPORT. Tous bacs Sauf pour STAPS: accès après un bac S, ES et STL principalement ANIMATION,TOURISME ET SPORT Tous bacs Sauf pour STAPS: accès après un bac S, ES et STL principalement Formations courtes (bac+2) Points communs BTS et DUT Finalités Rythme de travail Formation en entreprise

Plus en détail

repères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis

repères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis repères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis Version 2 : 20 juillet 2012 L expérimentation conduite par l Agence nationale de lutte contre l illettrisme

Plus en détail

L immobilier d entreprise artisanale

L immobilier d entreprise artisanale e s c a L immobilier d entreprise artisanale n l B e E n j e u x L i v r S t r a t é g i P r o p o s i t i o n s Ile-de-France Rhône-Alpes Le Livre Blanc de l immobilier d entreprise artisanale Pourquoi?

Plus en détail

Accor : une nouvelle dynamique

Accor : une nouvelle dynamique Communiqué de presse Paris, le 19 mai 2010 Accor : une nouvelle dynamique Accor devient un «pure player» hôtelier concentré sur : Son portefeuille de marques et ses clients Son métier d opérateur et de

Plus en détail

Introduction : histoire et concept de l économie sociale Lucile Manoury

Introduction : histoire et concept de l économie sociale Lucile Manoury Introduction : histoire et concept de l économie sociale Lucile Manoury Lucile Manoury Chargée d études, Collège coopératif, Aix-en-Provence Bonjour à tous. Je vais vous faire une présentation un peu théorique

Plus en détail

Journée d information du 5 novembre 2012. Mobilité Multimodale Intelligente Urbanisme, tourisme, logistique urbaine. économiques

Journée d information du 5 novembre 2012. Mobilité Multimodale Intelligente Urbanisme, tourisme, logistique urbaine. économiques Journée d information du 5 novembre 2012 Mobilité Multimodale Intelligente Urbanisme, tourisme, logistique urbaine économiques Gabrielle LABESCAT Principales tendances du tourisme urbain impactant la mobilité

Plus en détail

1-3 e Forum Var Eco Biz 5 décembre 2013. 2013 - In Extenso THR

1-3 e Forum Var Eco Biz 5 décembre 2013. 2013 - In Extenso THR 1-3 e Forum Var Eco Biz 5 décembre 2013 Communication & Commercialisation : un univers de plus en plus complexe Influençable Podcasts / Vodcasts Magasins Vitrines Points de vente Sites tiers Conseils d

Plus en détail

Qu est-ce que Pays Basque Incoming?

Qu est-ce que Pays Basque Incoming? Qu est-ce que Pays Basque Incoming? Une association créée en 2008 regroupant 6 agences réceptives : Biarritz For Events Le Tourisme Basque Outdoor Travel Passion Côte Basque Sud Emotion Terres Basques

Plus en détail

L accueil comme priorité. Fréquentation des principaux sites touristiques en millions de visiteurs

L accueil comme priorité. Fréquentation des principaux sites touristiques en millions de visiteurs 27 millions de visiteurs, dont 7 millions d étrangers et 0 millions de Français 44 millions de visiteurs au total pour Paris et sa région Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre Principales nationalités

Plus en détail

Modification de la Réforme du classement des Offices de Tourisme

Modification de la Réforme du classement des Offices de Tourisme Réunion des Présidents d Offices de Tourisme Bourges - Lundi 4 juillet 2011 Nouveaux critères de classement I - Introduction - modalités d application Extrait du Flash Infotourisme N 53-28 juin 2011 FNOTSI

Plus en détail

Des TIC de plus en plus diversifiées dans les entreprises

Des TIC de plus en plus diversifiées dans les entreprises Des TIC de plus en plus diversifiées dans les entreprises Sonia Besnard, Pascale Chevalier, Patrice Victor, Insee Pays de la Loire Danièle Guillemot, Yusuf Kocoglu, Centre d études de l emploi En France,

Plus en détail

ENQUÊTE DE SATISFACTION SUR LE RÉSEAU UNIVERSITAIRE ET PROFESSIONNEL DE L'UCP

ENQUÊTE DE SATISFACTION SUR LE RÉSEAU UNIVERSITAIRE ET PROFESSIONNEL DE L'UCP OBSERVATOIRE DE LA VIE ÉTUDIANTE ENQUÊTE DE SATISFACTION SUR LE RÉSEAU UNIVERSITAIRE ET PROFESSIONNEL DE L'UCP Étudiants et entreprises ANNÉE 2008 PLAN GÉNÉRAL INTRODUCTION p. 2 I. Étudiants p. 3 A. Statistiques

Plus en détail

Introduction à l infonuagique

Introduction à l infonuagique Introduction à l infonuagique Lorsque vous stockez vos photos en ligne au lieu d utiliser votre ordinateur domestique, ou que vous utilisez le courriel Web ou un site de réseautage social, vous utilisez

Plus en détail

www.u-bordeaux3.fr Master recherche Histoire des mondes moderne et contemporain

www.u-bordeaux3.fr Master recherche Histoire des mondes moderne et contemporain www.u-bordeaux3.fr Master recherche Histoire des mondes moderne et contemporain Objectif de la formation Ce master propose une formation de haut niveau en histoire moderne et contemporaine. Il a pour objectif

Plus en détail

Des solutions pour les seniors à revenus insuffisants

Des solutions pour les seniors à revenus insuffisants Des solutions pour les seniors à revenus insuffisants IStock - FredFroese Source de croissance de d opportunités, le vieillissement de la population française constitue cependant un défi pour notre pays.

Plus en détail

Résultats de l enquête Sport & Entreprise. mars 2009

Résultats de l enquête Sport & Entreprise. mars 2009 Résultats de l enquête Sport & Entreprise mars 2009 I. LE CONTEXTE DE L ENQUETE : LES RELATIONS SPORT / ENTREPRISE Une brève histoire des liens sport / entreprise La domination du modèle industriel paternaliste

Plus en détail

Le diagnostic Partagé,

Le diagnostic Partagé, Le diagnostic Partagé, un outil au service du projet Territorial enfance jeunesse Les Guides Pratiques Introduction Parce que nous sommes dans un monde complexe, Définitions, enjeux, méthodologie Phase

Plus en détail

FORMULAIRE DE DEMANDE DE CLASSEMENT D UN OFFICE DE TOURISME DE CATEGORIE I 1/7

FORMULAIRE DE DEMANDE DE CLASSEMENT D UN OFFICE DE TOURISME DE CATEGORIE I 1/7 FORMULAIRE DE DEMANDE DE CLASSEMENT D UN OFFICE DE TOURISME DE CATEGORIE I 1/7 DEMANDE DE CLASSEMENT D UN OFFICE DE TOURISME DE CATEGORIE I (Code du tourisme : art. L.133-1 et suivants, D. 133-20 et suivants)

Plus en détail

PRÉSENTATION D EXTENDAM

PRÉSENTATION D EXTENDAM MANDAT DE GESTION ISF 2015 PRÉSENTATION D EXTENDAM Un métier : l investissement pour compte de tiers Extendam est une société de gestion indépendante qui réalise des investissements pour le compte de clients,

Plus en détail

LFP Opportunité Immo RISQUES ASSOCIES

LFP Opportunité Immo RISQUES ASSOCIES LFP Opportunité Immo RISQUES ASSOCIES Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine. La durée de placement

Plus en détail

LA E-REPUTATION LES SITES D AVIS CLIENTS. Mardi 25 mars 2014

LA E-REPUTATION LES SITES D AVIS CLIENTS. Mardi 25 mars 2014 LA E-REPUTATION LES SITES D AVIS CLIENTS Mardi 25 mars 2014 OFFICE DE TOURISME Maison du Patrimoine 2 rue de la Chapelle 66820 VERNET-LES-BAINS Tel : 04 68 05 55 35 www.vernet-les-bains.fr Contact e-tourisme

Plus en détail

GALLILEO. Business Consulting. Etude stratégique marketing sur les produits feuillus. Assemblée Générale du 19 décembre 2013 DECEMBRE 2013

GALLILEO. Business Consulting. Etude stratégique marketing sur les produits feuillus. Assemblée Générale du 19 décembre 2013 DECEMBRE 2013 GALLILEO Business Consulting DECEMBRE 2013 Etude stratégique marketing sur les produits feuillus Assemblée Générale du 19 décembre 2013 Avec le soutien de : GALLILEO BUSINESS CONSULTING 29 rue Jean-Jacques

Plus en détail

FORUM KREYOL FASHION DAYS 2015

FORUM KREYOL FASHION DAYS 2015 FORUM KREYOL FASHION DAYS 2015 PROGRAMME MARDI 2 JUIN INAUGURATION OFFICIELLE Pavillon de la Ville de Pointe-à-Pitre Vernissage de l exposition internationale de photographies KFD 2015 MERCREDI 3 JUIN

Plus en détail

Guide Pratique Gérez efficacement vos contacts

Guide Pratique Gérez efficacement vos contacts Guide Pratique Gérez efficacement vos contacts SOMMAIRE Avant Propos 3 Faites un bilan de votre situation actuelle 4 Quelle est la différence entre un logiciel de gestion de contacts et mon organisation

Plus en détail

Séminaire éducation Focus Rythmes scolaires Compte-rendu 11 mars 2014

Séminaire éducation Focus Rythmes scolaires Compte-rendu 11 mars 2014 Séminaire éducation Focus Rythmes scolaires Compte-rendu 11 mars 2014 OUVERTURE DU SEMINAIRE : Bernard Amsalem, Vice-président du CNOSF Etat de l avancée des travaux depuis le dernier séminaire Rappel

Plus en détail

Dossier de presse Holimeet

Dossier de presse Holimeet Dossier de presse Holimeet Mardi 9 juin 2015 holimeet@gmail.com holimeet.fr Table des matières Communiqué Présentation de Holimeet 3 4-5 Le concept Holimeet, dans la mouvance du tribalisme planétaire La

Plus en détail

Exclusive Restaurant se lance en franchise

Exclusive Restaurant se lance en franchise Dossier de Presse / Décembre 2012 Exclusive Restaurant se lance en franchise Parce qu un bon moment peut faire toute la différence. Ex c l usi ve R esta u ran ts - SAS au capital de 44 560 - RCS Par i

Plus en détail

Choisir Saint-Nazaire pour un événement professionnel, c est

Choisir Saint-Nazaire pour un événement professionnel, c est Choisir Saint-Nazaire pour un événement professionnel, c est Etre au contact d un territoire dynamique et innovant Découvrir l attractivité d une ville à la mer Vivre une soirée dans un cadre unique en

Plus en détail

FIP PATRIMOINE & HÔTEL N 5. Investir dans des PME du SECTEUR HÔTELIER

FIP PATRIMOINE & HÔTEL N 5. Investir dans des PME du SECTEUR HÔTELIER FIP PATRIMOINE & HÔTEL N 5 Investir dans des PME du SECTEUR HÔTELIER Jean-Marc Palhon Président d Extendam Pourquoi investir dans des PME du secteur hôtelier?

Plus en détail

De ces définitions qui précèdent, Quels liens pouvons nous relever entre ces deux notions? La force de vente et la communication

De ces définitions qui précèdent, Quels liens pouvons nous relever entre ces deux notions? La force de vente et la communication De nos jours, la force de vente et la communication apparaissent comme des fers de lance de toute entreprise. En effet leur prise en compte engendre des chiffres d affaires notoires. La force de vente

Plus en détail

Une étude sur : «La Supply Chain comme facteur clé de compétitivité» Jeudi 27 juin 2013 Au Grand Hôtel Opéra, Paris

Une étude sur : «La Supply Chain comme facteur clé de compétitivité» Jeudi 27 juin 2013 Au Grand Hôtel Opéra, Paris Jeudi 27 juin 2013 Au Grand Hôtel Opéra, Paris Une étude sur : «La Supply Chain comme facteur clé de compétitivité» A l'initiative de Réalisée par Pour le compte de Une étude basée sur un nombre significatif

Plus en détail

M2S. Formation Management. formation. Animer son équipe Le management de proximité. Manager ses équipes à distance Nouveau manager

M2S. Formation Management. formation. Animer son équipe Le management de proximité. Manager ses équipes à distance Nouveau manager Formation Management M2S formation Animer son équipe Le management de proximité Manager ses équipes à distance Nouveau manager Coacher ses équipes pour mieux manager Déléguer et Organiser le temps de travail

Plus en détail

PRATIQUES ET USAGES DU NUMÉRIQUE DANS LES PME ET TPE

PRATIQUES ET USAGES DU NUMÉRIQUE DANS LES PME ET TPE PRATIQUES ET USAGES DU NUMÉRIQUE DANS LES PME ET TPE ETUDE RHÔNE Septembre 2015 CCI LYON - DIRECTION DÉVELOPPEMENT INDUSTRIEL ET TERRITORIAL Page 1 I CCI DDIT Page 2 I CCI DDIT ommaire Avant-propos page

Plus en détail