Nous vous en souhaitons une excellente lecture. Jean-Claude LECHANOINE Président CCIR Basse-Normandie CHIFFRES - CLÉS

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1 Basse Normandie Tableau de bord EMPLOI - FORMATION Édition 2013 sommaire 2 Établissements 3 Emploi 5 Marché du travail 10 Formation initiale 12 Formation continue 14 Le e-commerce en Basse-Normandie Enquête sur l utilisation d internet par les entreprises du commerce en 2013 Grâce au co-financement de La CCI de Région Basse-Normandie a le plaisir de vous présenter l édition 2013 du Tableau de Bord Emploi-Formation du Commerce, fruit d un partenariat de longue date avec le Conseil Régional de Basse-Normandie. Jouant un rôle majeur dans l économie et la structuration des territoires, le commerce est un secteur stratégique pour notre région puisqu il représente plus de 10 % des emplois bas-normands. Après le bouleversement amorcé dans les années 1970 avec l émergence et le développement des grandes surfaces commerciales en périphérie urbaine réorganisant les territoires, le commerce connaît de nouvelles évolutions pour s adapter aux besoins et comportements des consommateurs. En témoignent le retour des centres commerciaux en ville sous de nouveaux concepts (comme les «Rives de l Orne» à Caen), la libéralisation des surfaces commerciales ou encore le développement des nouvelles technologies. Toutes ces évolutions ne sont bien évidemment pas sans conséquence sur la structuration du tissu économique commercial et exigent de la part des entreprises une adaptation certaine, notamment dans l évolution des métiers et la gestion de leurs compétences. Il nous a paru important de faire un focus particulier sur l impact du e-commerce sur l activité et l emploi grâce à l analyse d une enquête réalisée auprès de 450 entreprises commerciales de Basse-Normandie. Nous vous en souhaitons une excellente lecture. Jean-Claude LECHANOINE Président CCIR Basse-Normandie CHIFFRES - CLÉS Fotolia zvideovol établissements créations d établissements emplois 15 % d emplois non-salariés 52 % d emplois féminins 38 ans de moyenne d âge 11 % d actifs de plus de 55 ans 18 % des actifs à temps partiel 11 % d actifs de moins de 25 ans 47 % des actifs titulaires du Bac

2 Établissements 2 Le secteur du commerce bas-normand compte plus de établissements dont plus des trois quarts se concentrent dans les activités de commerce de détail. Il se compose de très petites structures : plus de la moitié des établissements n a pas de salarié et plus de 9 sur 10 comptent moins de 10 salariés. Avec un taux de création de 14,9 %, le commerce de détail crée davantage d activité que le commerce de gros (11,2 %). La dynamique de création est toutefois très hétérogène selon les territoires bas-normands. A l est de la région, à l exception de la zone d emploi de l Aigle, le tissu commercial se renouvelle davantage et plus vite que dans les zones de l ouest. CHERBOURG-O étab. nombre d établissements et taux de création dans le commerce par zone d emploi COUTANCES SAINT-LÔ 744 étab. 854 étab. GRANVILLE 720 étab. AVRANCHES étab. BAYEUX 618 étab. VIRE CAEN étab. 417 étab. L'AIGLE ARGENTAN 364 étab. 410 étab. FLERS 950 étab. HONFLEUR étab. LISIEUX 779 étab. ALENÇON 938 étab. Chiffres - clés établissements commerciaux ( ) établissements dans le commerce de détail (77 %) établissements dans le commerce de gros (23 %) 5,5 établissements sur 10 n ont pas de salarié ( ) 9,4 établissements sur 10 ont moins de 10 salariés ( ) créations d établissements commerciaux (2012) 82 % dans le commerce de détail 18 % dans le commerce de gros Taux de création de 7,4 à 10,1 % de 10,2 à 12,2 % de 12,3 à 15,6 % de 15,7 à 18,0 % NOGENT-LE-ROTROU 246 étab. SIG CCIN/PEAT/JR/ BD TOPO IGN-reproduction interdite Commerce de détail Source : Insee REE Sirene établissements selon l activité (en %) Source : Insee REE Sirene 2012 Source : Insee REE Sirene Commerce de gros établissements selon la taille (en %) taux de création d étalissements (en %) 55,0 0 salarié 38,5 1 à 9 salariés 5,5 10 à 49 salariés 0,5 0,5 50 à 99 salariés + de 100 salariés 14,0 14,9 11,2 Commerce Commerce de gros Commerce de détail Source : Insee - REE Sirene 2012 Source : Insee REE Sirene, champ marchand non agricole, 2012

3 Emploi Parmi les emplois du commerce, 15 % des emplois sont non-salariés. Cette proportion, supérieure à la moyenne des autres secteurs régionaux (13 %), résulte de la forte présence d établissements individuels sans salarié dans le commerce de détail. Selon les activités, le profil de la main d œuvre diffère sensiblement. Le commerce de détail se caractérise par un emploi majoritairement féminin et jeune. 62 % de ses actifs sont des femmes et il compte suffisamment de jeunes actifs pour compenser les futurs départs en retraite des seniors (plus de 120 actifs de moins de 25 ans pour 100 actifs de plus de 55 ans). Enfin, les emplois sont moins qualifiés qu en moyenne régionale et que dans le commerce de gros : près de 6 actifs sur 10 ont un niveau de diplôme inférieur au Bac. A l opposé, le commerce de gros ne compte que 30 % de femmes et semble souffrir d un déficit d attractivité envers les jeunes. Les moins de 25 ans ne pèsent que pour 8 % de l emploi tandis que les seniors (plus de 55 ans) en représentent plus de 12 %. Le niveau de qualification de la main d œuvre est dans la moyenne régionale : 47 % des actifs sont a minima titulaires du Bac. Le secteur du commerce bas-normand comptabilise 368 métiers*. Parmi les plus représentés figurent les caissiers de magasins, les vendeurs, les technico-commerciaux ou encore les employés libre service emplois dans le commerce Chiffres - clés (2013) dans le commerce de détail (70 %) dans le commerce de gros (30 %) 10,2 % de l emploi régional 85 % de salariés, 8 % d indépendants, 7 % d employeurs, une part minime d aides familiaux Une moyenne d âge de 38 ans Une légère majorité de femmes avec 52 % des emplois occupés CHERBOURG-O sal. 82 % des emplois sont à temps complet (2013) 75 % des emplois sont à durée indéterminée (2013) COUTANCES SAINT-LÔ sal sal. GRANVILLE sal. AVRANCHES sal. Source : Insee Recensement de la population 2010 (en vigueur en 2013) emplois salariés par zone d emploi BAYEUX sal. VIRE CAEN sal sal. L'AIGLE ARGENTAN 930 sal sal. FLERS sal. HONFLEUR sal. LISIEUX sal. ALENÇON sal. Part dans l'emploi salarié régional de 9,1 à 10,2 % de 10,3 à 11,5 % de 11,6 à 12,5 % de 12,6 à 14,7 % NOGENT-LE-ROTROU sal. Source : Insee - Clap SIG CCIN/PEAT/JR/ BD TOPO IGN-reproduction interdite 3 * Cf. note méthodologique page 15 > Définitions et indicateurs. Fotolia arekmalang

4 répartition de l emploi par genre (en %) pyramide des âges des emplois du commerce en Basse-Normandie Hommes 65 ans et plus 60 à 64 ans 55 à 59 ans 50 à 54 ans 45 à 49 ans 40 à 44 ans 35 à 39 ans 30 à 34 ans 25 à 29 ans 20 à 24 ans Moins de 20 ans 15 % 10 % 5 % 0 % 5 % 10 % 15 % Commerce Tous secteurs Source : Insee Recensement de la population 2010 (en vigueur en 2013) Commerce Tous secteurs Femmes emplois selon la catégorie socioprofessionnelle (en %) emplois selon le niveau de diplôme* le plus élevé (en %) Ouvriers Employés Professions Intermédiaires Cadres et professions intellectuelles supérieures Artisans, commerçants et chefs d'entreprise Commerce Tous secteurs Agriculteurs exploitants TOTAL COMMERCE Commerce de gros Niveau VI Niveau V Niveau IV Niveau III Niveaux II-I Commerce de détail Source : Insee Recensement de la population 2010 (en vigueur en 2013) * Cf. note méthodologique page 11 Source : Insee Recensement de la population 2010 (en vigueur en 2013) les 10 métiers* du commerce les plus représentés Profession Nb. Emplois Part dans l emploi total du commerce 1 Caissiers de magasin ,8 % 2 Vendeurs en habillement, articles de sport ,6 % 3 Vendeurs non spécialisés ,8 % 4 Technico-commerciaux auprès des entreprises ,1 % 5 Vendeurs en alimentation ,9 % 6 Employés libre service et magasiniers ,9 % 7 Maîtrise d exploitation magasins de vente ,7 % 8 Chefs petite surface de vente (salariés) ,7 % 9 Technico-comm. en biens intermédiaires ,7 % 10 Magasiniers qualifiés ,5 % * Cf. note méthodologique page 15 Source : Insee Recensement de la population 2010 (en vigueur en 2013)

5 Marché du travail LA DEMANDE D EMPLOI Le nombre de demandeurs d emploi de catégories A et B* dans le commerce s élève au 31 décembre 2012 à et progresse de 6,1 % par rapport à l année précédente à la même date. Le taux de demandeurs d emploi* de la catégorie «commerce» est de 15,7 %, largement supérieur au taux régional, tous secteurs confondus (12,2 %). La part des demandeurs d emploi de longue durée* est similaire à l année 2011 : 30,6 % des demandeurs d emploi. A noter toutefois : cette proportion reste inférieure à la moyenne régionale tous domaines professionnels confondus (35,4 %). La part de public en exclusion* atteint 39,4 % (+ 0,3 point par rapport à 2011) dans le commerce, une part de nouveau inférieure à la moyenne régionale (44 %). Comme dans l emploi, les métiers de vendeurs, de caissiers et d employés de libre-service sont les plus importants en termes de volume de demandes d emplois. Les premiers représentent demandes d emplois (soit 52 % des inscrits). Quant aux seconds, ils pèsent pour 23 % des demandes, soit demandeurs d emplois. Comparativement à l année 2011, le nombre de demandeurs d emploi de ces deux catégories de métiers est en légère baisse. * Cf. notes méthodologiques pages 11 et 15> Définitions et indicateurs. Chiffres - clés offres d emploi enregistrées* (OEE) dans le secteur du commerce ( ) 52 % d offres d emploi durables (contrats de 6 mois et plus) demandeurs d emploi enregistrés* (DEE) dans le secteur du commerce ( ) 52,5 % de demandeurs d emploi de longue durée 986 contrats intérimaires (2012) embauches* déclarées (2010) projets de recrutements pour l année 2013 Sources : DIRECCTE de Basse-Normandie ; Pôle Emploi de Basse-Normandie - Enquêtes BMO 2013 niveau de formation* des demandeurs d emploi (DEFM) de catégorie A (en %) Niveau V BIS Niveau V Niveau VI Niveaux II-I Niveau III Niveau IV Source : DIRECCTE de Basse-Normandie Fotolia luxpainter 5

6 6 L emploi du commerce étant plus féminin, les demandeurs d emplois sont majoritairement des femmes. Toutefois, le secteur du commerce compte en proportion davantage de femmes en recherche d emploi qu en emploi (64 % contre 52 %). Les femmes en demande d emploi se positionnent avant tout sur les métiers de caissiers (elles représentent près de 95 % des demandes pour ce métier), de vendeurs en produits alimentaires (83 %) et de vendeurs en habillement, en produits de luxe, sports, loisirs et produits culturels (79 %). Quant aux hommes, ils recherchent davantage des emplois d ingénieurs et cadres technicocommerciaux (pour lesquels ils pèsent pour 88 % des demandes), d attachés commerciaux (73 %) et de représentants auprès des particuliers (76,5 %). Pour la 5 ème année consécutive, la proportion des jeunes demandeurs d emploi de moins de 25 ans a diminué : - 1,3 % par rapport à l année 2011, s élevant à 28,3 % au 31 décembre Ils recherchent principalement des postes de vendeurs en habillement (41 %), vendeurs en produits alimentaires (37 %). A contrario, depuis 2010, la proportion des demandeurs d emploi de plus de 50 ans augmente. Ils représentent 15,8 % des demandeurs d emploi, et s orientent vers des postes de cadres et attachés technico-commerciaux. évolution de la demande d emploi selon le métier* Variation 2011/2012 Vendeurs % Caissiers, Employés de libre service Cadres commerciaux et technico-commerciaux Représentants auprès des entreprises Représentants auprès des particuliers Maîtrise des magasins et intermédiaires du commerce % % % % % TOTAL % 20 salariés et plus répartition des offres d emploi par tranche d effectif des entreprises (en %) 10 à 19 salariés 34 8 non précisé 2 56 Source : DIRECCTE de Basse-Normandie 2012 moins de 10 salariés Source : DIRECCTE de Basse-Normandie 2012 L OFFRE D EMPLOI offres d emploi selon le type (en %) Le nombre d offres d emploi a très nettement diminué sur l année 2012 : - 27 %. Cette diminution concerne tous les métiers, à l exception des cadres et maîtrises de magasin dont le nombre d offres d emploi a légèrement augmenté. Les offres durables*, c est-à-dire en CDI ou en CDD de plus de 6 mois représentent 52 % des offres totales, une proportion équivalente à l année précédente. * Cf. notes méthodologiques pages 11 et 15> Définitions et indicateurs. Temporaires (CDD ou mission intérim 1 à 6 mois) Occasionnelles (CDD ou mission intérim < 1 mois) Durables (CDI ou CDD + 6 mois) Source : DIRECCTE de Basse-Normandie 2012

7 La diminution constante depuis 5 ans du volume d offres d emploi enregistrées constitue un réel obstacle à l adéquation offre et demande d emploi pour le commerce en Basse-Normandie. Le ratio de tension*, permettant de mesurer cette adéquation, enregistre donc une baisse significative depuis En 2012, il est de 0,34, ce qui signifie que les demandes d emploi sont 3 fois plus nombreuses que les offres enregistrées. Ainsi, d une manière globale, le commerce ne se caractérise pas par une tension sur le marché du travail mais plutôt par une disproportion de la demande par rapport à l offre en baisse. Toutefois, des tensions sont réelles sur certains métiers comme ceux de maîtrises de magasins et de technico-commerciaux. Le ratio de tension est en effet supérieur à 1,3. Un bémol toutefois : les offres ici mesurées sont celles enregistrées par Pôle Emploi et ne sont que partielles (environ 40 % des offres totales), la représentativité du ratio de tension mesuré est donc imparfaite. Le taux de demande d emploi* est le deuxième critère à prendre en compte pour définir un métier en tension. Or, les métiers de cadres, d employés de libre-service et de vendeurs en habillement affichent des taux de demandes peu élevés en 2012, ce qui évolution comparée de l offre et de la demande depuis comparaison entre l offre et la demande d emploi selon les métiers* Caissiers, Employés de libre service Vendeurs Offres Représentants auprès des entreprises Offre d emploi enregistrée Demandes + 4,0 % ,4 % Source : DIRECCTE de Basse-Normandie Représentants auprès des particuliers Demande d emploi enregistrée Source : DIRECCTE de Basse-Normandie témoigne de faibles réserves d emploi et donc de plus grandes difficultés à trouver des candidats au recrutement pour ces métiers. Enfin, le dernier critère à considérer est le taux de satisfaction des offres d emploi*. Plus le taux est bas, plus les recrutements sont difficiles. En 2012, les offres pour lesquelles les taux de satisfaction sont les plus faibles sont celles des maîtrises des magasins, des cadres de magasins et des technico-commerciaux, avec un taux de satisfaction respectivement de 47 %, 55 % et 60 %. 427 Ainsi, comme pour les années précédentes, les maîtrises des magasins peuvent être définis comme «métier en tension» au regard des trois critères de tension. 643 Maîtrise des mag. et intermediaires du Com. Cadres commerciaux, et technico-com. * Cf. notes méthodologiques pages 11 et 15> Définitions et indicateurs TOTAL COMMERCE 7 Fotolia auremar

8 L EMPLOI INTÉRIMAIRE Après un fort redressement du recours à l intérim au cours de l année 2010, le nombre de contrats a fortement chuté ces deux dernières années, à la fois pour le commerce de détail et le commerce de gros. Commerce de gros, évolution du nombre de contrats intérimaires sauf automobiles et motocycles Commerce de détail, sauf automobiles et motocycles Variation 2011/ % % TOTAL % Source : DIRECCTE de Basse-Normandie évolutions comparées des missions intérim (en ETP) (Base 100 en 2003) Commerce de gros, sauf automobiles et motocycles TOTAL COMMERCE Commerce de détail, sauf automobiles et motocycles 8 CARACTERISTIQUES DES EMBAUCHES Source : DIRECCTE de Basse-Normandie En 2010, embauches* ont été déclarées dans le secteur du commerce, soit 13 % de plus par rapport à Cela correspond à 14 % du total des embauches déclarées en Basse-Normandie. En tête des recrutements, les vendeurs avec embauches déclarées, soit 52 % de plus qu en Les embauches restent en majorité de courte durée pour 64 % d entre elles, c est-à-dire des contrats de travail d une durée inférieure à 6 mois. La situation est davantage marquée pour les postes de caissiers et d employés de libre-service. Sur les embauches en 2010 (- 15,4 % par rapport à 2009), plus de 80 % correspondent à des contrats à durée moyenne ou courte. Quant aux métiers plus qualifiés d intermédiaires ou de cadres du commerce, les volumes sont bien moins importants et concernent pour la plupart des embauches durables. A noter que les recrutements de représentants auprès des particuliers ont enregistré une nette progression. En revanche, les recrutements de représentants auprès des entreprises ont subi une très forte baisse de 45 %. Logiquement au regard du profil de la main d œuvre du commerce, plus de 60 % des embauches concernent des femmes. Leur part est d ailleurs plus importante qu en 2009 pour les postes de caissiers et de vendeurs. Elles tiennent également une part importante dans les embauches déclarées de maîtrises de magasin et intermédiaires Caissiers, Employés de libre service Vendeurs Durables (> 6mois) du commerce. Pour les autres catégories de métiers, elles restent minoritaires. Les embauches de jeunes de moins de 25 ans concernent majoritairement des postes de caissiers et de vendeurs. Leur proportion est très faible dans les autres métiers. * Cf. notes méthodologiques pages 11 et 15> Définitions et indicateurs. embauches déclarées selon le métier Représentants auprès des entreprises Représentants auprès des particuliers Maîtrise des mag. et intermediaires du Com. Cadres commerciaux, et technico-com Occasionnelles ou temporaires (<6mois) Source : DIRECCTE de Basse-Normandie 2010

9 PROJETS DE RECRUTEMENT ET PREVISIONS D EMPLOI En 2013, les entreprises du commerce en Basse-Normandie ont identifié projets de recrutement, soit 12,3 % des projets de recrutements régionaux (source : enquête annuelle BMO de Pôle Emploi). Si ces besoins de main d œuvre* exprimés ont diminué en moyenne en région, ils ont fortement augmenté pour le seul secteur du commerce : + 40 % par rapport à l année Le commerce de détail rassemble 73 % des projets (2 706) et le commerce de gros les 27 % restants (998). sur les postes de vendeurs et attachés commerciaux, tandis que les métiers de caissiers et d employés de libre-service figurent parmi les métiers pour lesquels les tensions de recrutement sont les plus faibles. * Cf. note méthodologique pages 11 > Définitions et indicateurs. principaux projets de recrutements déclarés Fotolia mangostock Les métiers du commerce sont mentionnés dans nombre de projets de recrutements que ce soit par le volume qu ils représentent que par les difficultés qu ils peuvent engendrer. Les métiers d employés de libre-service et de vendeurs en habillement, luxe, sport, loisirs et culture sont respectivement les 8 ème et 14 ème métiers rassemblant le plus grand nombre de projets de recrutements en 2013 en Basse- Normandie. Les entreprises commerciales identifient des difficultés particulièrement importantes 792 Employés de libre service Caissiers 538 Vendeurs en produits Vendeurs en alimentaires 385 ameublement Représentants auprès des particuliers 123 Attachés commerciaux Télévendeurs Vendeurs en habillement, articles de luxe, sport, loisirs et culture Source : Pôle Emploi de Basse-Normandie - Enquête BMO Note méthodologique Périmètre sectoriel : Le périmètre du secteur du commerce étudié ici comprend les activités de commerce de gros et de commerce de détail les activités de commerce de gros et de commerce de détail (codes APE commençant par 46 et 47 issus de la NAF 2008). Sont exclues les activités du commerce et de la réparation automobile (codes APE commençant par 45). - Commerce de gros (codes APE commençant par 46) : Le commerce de gros consiste à acheter, entreposer et vendre des marchandises généralement à des détaillants, des utilisateurs professionnels (industriels ou commerciaux) ou des collectivités, voire à d autres grossistes ou intermédiaires, et ce quelles que soient les quantités vendues. Les intermédiaires du commerce de gros mettent, quant à eux, en rapport les acheteurs et les vendeurs (ou bien exécutent des opérations commerciales pour le compte d un tiers), sans être eux-mêmes propriétaires des marchandises (il s agit des commissionnaires, courtiers, agents commerciaux, représentants non salariés, etc.). Les centrales d achats, autres intermédiaires du commerce, peuvent, quant à elles, être propriétaires des marchandises, qu elles cèdent alors à leurs adhérents et à leurs affiliés pour une marge de commerce très faible. - Commerce de détail (codes APE commençant par 47) : Le commerce de détail consiste à vendre des marchandises dans l état où elles sont achetées (ou après transformations mineures) généralement à une clientèle de particuliers, quelles que soient les quantités vendues. Outre la vente, cette activité de commerce de détail peut aussi recouvrir la livraison et l installation chez le client (de meubles ou d électroménager par exemple).

10 Formation initiale Fotolia NIVEAU V (CAP, BEP, MC) jeunes sont en formation de niveau V, dont une grande majorité de fille (83 %). Parmi eux, 509 sont en année terminale (diplômés en fin d année). Chiffres - clés jeunes inscrits dans les formations préparant à un métier du commerce (2011/2012) 63 % de filles 34 % en apprentissage jeunes en année terminale (2011/2012) Source : Rectorat de Caen 2011/2012 effectifs en formation de niveau V (CAP, BEP, MC) 10 CAP Employé de vente : produits alimentaires CAP Employé commerce multispécialités CAP Employé de vente : produits équipements courants CAP Fleuriste MC Vendeur spécialisé en alimentation Apprentissage Voie scolaire Source : Rectorat de Caen 2011/2012 NIVEAU IV (Bac Pro, BP) effectifs en formation de niveau IV (Bac Pro, BP) jeunes suivent une formation de niveau IV. Le pourcentage de filles est moins élevé que pour le niveau V, représentant 62 % de l effectif sont en année terminale. 365 BAC PRO Commerce 631 BAC STG Mercatique (Marketing) BAC PRO Accueil - Relation clients usagers BAC PRO Vente 116 BAC PRO Conseil vente - produits alimentaires 76 BP Fleuriste 75 BAC PRO Conseil vente - produits de jardin 52 BAC PRO Technicien conseil de vente en animalerie 25 BAC PRO Conseil vente - animaux de comp. et produits animal. 4 BAC PRO Technicien conseil de vente en animalerie 1064 Apprentissage Voie scolaire Source : Rectorat de Caen 2011/2012

11 NIVEAU III (BTS, DUT, Titres homologués de niveau III) élèves sont inscrits dans une formation de niveau III. La répartition par sexe se trouve plus équilibrée, avec une légère majorité de garçons, représentant 53 % de l effectif. 505 jeunes préparent le diplôme pour la fin de l année scolaire. effectifs en formation de niveau III (BTS, DUT, Titres homologués de niveau III) DUT Technique de commercialisation BTS Management des unités commerciales BTS Négociation et relation clients 80 BTS Ventes productions touristiques 43 BTSA Technico-commercial 35 BTS Technico-commercial 28 TH3C2 Responsable marketing commerc. et gestion 22 TH3 Gestionnaire d'unité commerc. et de distrib. 680 Apprentissage Voie scolaire NIVEAU II et I (Licence Pro, Master, Diplôme des Écoles de Commerce) Enfin, 478 jeunes suivent une formation de niveaux II ou I. Là encore, les filles sont le plus représentées, soit 59 % de l effectif du niveau II et I. 387 jeunes sont en année terminale. effectifs en formation de niveau II et I (Licence Pro, Master, Diplôme des Écoles de Commerce) MASTER 1 Management international des PME PMI Ecole de gestion et de commerce 53 MASTER 2 Management Franco Américain 46 MASTER 2 Management Marketing 28 LICENCE PRO Commerce Gestion de sites touristiques 26 LICENCE PRO Commerce Assistant export trilingue 24 LICENCE PRO Commerce Management filière cheval 21 LICENCE PRO ABF Conseiller gestion de clientèle 16 TH2C2 Responsable commerce extérieur 13 LICENCE PRO Commerce matériel de travaux publics 4 TH2X Responsables achats Source : Rectorat de Caen 2011/ Apprentissage Voie scolaire 11 Note méthodologique Source : Rectorat de Caen 2011/2012 Sources : - statistiques : Insee REE Sirene ; Insee Recensement de la population ; Insee Clap ; Dares ; Pôle Emploi DEFM ; Pôle Emploi Enquête BMO ; Direccte de Basse-Normandie ; Conseil Régional de Basse-Normandie ; Rectorat de Caen ; Forco Note : Les données issues de la source du Recensement de la population de l Insee 2010 font référence à la période de collecte Elles correspondent aux données disponibles les plus récentes et permettent pour qualifier l emploi de manière approfondie et fine, notamment pour appréhender les secteurs au niveau du code APE et pour appréhender la notion d emploi non salarié. - enquête : la CCI de Région Basse-Normandie a réalisé en 2013 une enquête en ligne et par courrier auprès de établissements du commerce. 445 établissements ont répondu, soit un taux de réponse de 12,4 %. Définition et indicateurs : - Les Besoins de mains d œuvre (BMO) : l enquête BMO porte sur l ensemble des établissements du secteur privé, industriel et commercial dont l affiliation à l Assurance chômage est obligatoire, ainsi que les établissements du secteur public à caractère industriel et commercial ayant opté pour l affiliation directe. Son objectif est de mesurer les projets de recrutements à venir des entreprises et de les qualifier. - Un chômeur de longue durée est un actif au chômage depuis plus d un an. - Les demandes d emploi enregistrées retenues correspondent au flux des nouvelles inscriptions qui ont lieu sur cette même période des 12 derniers mois. Ce courant d inscription est à rapprocher de celui des offres - Les demandeurs d emploi en fin de mois (DEFM) sont les personnes inscrites à Pôle Emploi et ayant une demande en cours au dernier jour du mois. - Les demandeurs d emploi de catégorie A+B sont d une part les demandeurs d emploi sans aucune activité, qu ils soient demandeurs d un contrat de travail à temps plein, à temps partiel ou à durée limitée, et d autre part les demandeurs d emploi avec une activité réduite, de moins de 78 heures, soit moins d un mi-temps. - Les embauches correspondent à l agrégation annuelle des embauches effectuées par les établissements de 10 salariés et plus du secteur privé et des offres déposées à Pôle Emploi par les établissements de moins de 10 salariés. - Le niveau de diplôme le plus élevé indiqué correspond au niveau de diplôme le plus important en nombre d emplois. Les niveaux de diplôme sont les suivants : Niveau VI : Pas de scolarité, certificat d études primaires, BEPC, brevet élémentaire, brevet des collèges Niveau V : CAP, brevet de compagnon, BEP / Niveau IV : BAC général, technologique ou professionnel Niveau III : Diplôme universitaire 1er cycle, BTS, DUT, diplôme de professions sociales Niveaux II-I : Diplôme universitaire 2ème ou 3ème cycle, diplôme de grande école). suite page 15

12 Formation continue Fotolia V. Yakobchuk Chiffres - clés 12 FORMATION CONTINUE DES DEMANDEURS D EMPLOI 32 % des demandeurs d emploi à l entrée en formation sont a minima titulaires du Bac en 2012, alors qu ils n étaient que 25 % en A contrario, le nombre de demandeurs d emploi de niveau VI (sans qualification) a diminué de 29 % à 20 % durant ces trois dernières années. 57 % d entre eux ont suivi le dispositif «Chèque Formation» qui a pour finalité d aider les demandeurs d emploi à acquérir une qualification facilitant l insertion professionnelle. Ce programme séduit davantage les femmes qui représentent 63 % des stagiaires. Les 43 % autres demandeurs d emplois en formation sont inscrits dans le cadre du «Programme régional qualifiant» dont l objectif est de permettre à des demandeurs d emploi d accéder à une qualification professionnelle reconnue et/ou de diversifier leurs qualifications professionnelles, par le biais de formations de niveau V à I réalisées en centre de formation avec des périodes en entreprise. Les hommes sont davantage présents dans ce dispositif (46 %), bien que les stagiaires soient majoritairement des femmes (54 %). Il séduit également davantage les jeunes de moins de 26 ans qui représentent 64 % des stagiaires (contre 45 % dans le dispositif «Chèque Formation») demandeurs d emploi ont suivi une formation dans le domaine «commerce/vente» (2012) 60 % de femmes Plus de 50 % de jeunes de moins de 26 ans salariés des entreprises bas-normandes de commerce de détail ont suivi une formation (2012) 20 Source : Conseil Régional de Basse-Normandie ; FORCO 2012 répartition des demandeurs d emploi selon leur diplôme à l entrée en formation (en %) ,5 Niveau VI Niveau V bis Niveau V 33 Niveau IV Niveau III Niveau II Niveau I 23 Source : Conseil Régional de Basse-Normandie 2012 répartition des demandeurs d emploi en formation selon la formation suivie Vendeur(euse) et/ou Vendeur(se) technique Conseiller Service Client à distance Formation aux métiers du commerce TP Conseiller(ère) service client à distance Plate-forme métiers de la vente Vendeur Spécialisé DUT Techniques de commercialisation Responsable de rayon Responsable en commerce international Responsable commercial pour l'agroalimentaire Préparateur(trice) de commande Vendeur en équipement du foyer Technicien forces de vente Cap employé de vente Bac Pro Commerce Attaché commercial Licence Pro Assistant Commercial Export Trilingue ,5 Source : Conseil Régional de Basse-Normandie Programme régional qualifiant Chèque formation

13 FORMATION CONTINUE DES SALARIES DES ENTREPRISES DE COMMERCE DE DETAIL En 2012, salariés d entreprises basnormandes du commerce de détail ont suivi une formation financée par le FORCO, principal Organisme Paritaire Collecteur Agréé (OPCA) de branche pour le secteur du commerce. répartition des stagiaires salariés par tranche d effectif des entreprises (commerce de détail) (en %) Plus de De à De 500 à 999 De 200 à 499 De 100 à 199 De 50 à 99 De 20 à 49 De 10 à 19 Moins de Source : FORCO 2012 répartition des stagiaires salariés suivant le dispositif de plan de formation des entreprises (en %)* 71 Entreprises de plus de 10 salariés 9 20 Entreprises de 10 à 49 salariés répartition des stagiaires salariés suivant le dispositif de professionnalisation (en %)* Période de Professionnalisation 29 Contrat de Professionnalisation Contrat Tuteur 13 Entreprises de 50 salariés et plus Droit Individuel à la Formation Prioritaire * Champ du commerce de détail Source : FORCO 2012 Au cours des dernières années, les salariés des entreprises de plus de salariés pesaient pour près de 90 % de l ensemble des stagiaires. Au contraire, en 2012, leur poids est nettement moins important. Ainsi, les salariés en formation en 2012 sont issus d entreprises de toute taille, mais majoritairement de moyennes et grandes entreprises (plus de 50 salariés). Les entreprises de moins de 50 salariés sont en effet représentées par un quart des stagiaires, les entreprises de 50 à 199 salariés par 16 % d entre eux et les plus de 200 salariés par les 59 % restants. 57 % des salariés ont suivi une formation dans le cadre du dispositif de plan de formation de leur entreprise tandis 43 % se sont inscrits dans un programme de professionnalisation. Dans ce dernier cas, plus d un stagiaire sur deux a bénéficié du droit individuel à la formation prioritaire (DIFP). Les formations métiers sont avant tout plébiscitées puisqu un quart des stagiaires a suivi une formation commerciale. Toutefois, les formations plus générales comme celles tournées vers l hygiène et la sécurité et le management attirent également de nombreux salariés. répartition des stagiaires salariés par thème de formation (en %) (commerce de détail) Hygiène et sécurité Management Logistique Informatique Technique produit Ressources humaines Formations générales Administration Autres Développement personnel Communication Langues Aménagt. du terr., dévpt durable Commerce 23,7 16,9 13,9 13,7 5,2 4,0 3,5 3,3 2,7 1,7 1,1 0,9 0,4 8,9 Source : FORCO 2012

14 ?? Résultats?? Le e-commerce en Basse-Normandie en 2013 Enquête sur l utilisation d internet par les entreprises du commerce Internet faisant désormais partie intégrante de la société économique actuelle, le e-commerce (ou commerce électronique) a connu ces dernières années une progression exponentielle bouleversant le secteur du commerce et ses métiers. Il est devenu le principal canal de la vente à distance, ce qui explique le remplacement du terme de «vente par correspondance» par celui de «vente à distance». Afin d évaluer l impact de cette nouvelle forme de commerce en Basse-Normandie, la CCI de Région Basse-Normandie a réalisé, à la demande du Conseil Régional, une enquête de terrain auprès des entreprises commerciales (cf. note méthodologique page 11 > Sources). Les objectifs sont multiples et permettront de mieux connaître les établissements présents sur le web, et ceux qui ne le sont pas, et de mesurer les effets de la présence internet sur l activité mais également sur la gestion des compétences (métiers, recrutement, formation, besoins ). Les résultats de cette enquête aideront les décideurs économiques et politiques à intégrer les nouvelles problématiques des entreprises du commerce, liées aux évolutions technologiques, dans l amélioration de l adéquation Emploi-Formation en Basse- Normandie. 14 Près de 6 établissements du commerce sur 10 sont présents sur le web La majorité des entreprises du commerce ayant répondu à l enquête a une visibilité internet. L objectif premier de cette présence sur le web, pour plus de deux tiers des interrogés, est de se faire connaître. Les établissements de commerce de gros sont plus nombreux à déclarer être présents sur internet que ceux du commerce de détail. Et plus l établissement est de taille importante, plus il est présent sur internet. Logiquement l activité en ligne des établissements de commerce de gros est davantage destinée à une clientèle professionnelle, tandis que celle du commerce de détail est majoritairement tournée vers une clientèle de particuliers. A l opposé, 42 % des établissements interrogés ne sont pas encore présents via internet. La raison principale évoquée par ces derniers est qu ils n y trouvent pas d intérêt. C est le cas plus particulièrement dans le commerce de proximité (commerce de produits frais, de tabac, de presse, et de produits pharmaceutiques, ). Une mise en place trop coûteuse ou le manque de temps pour s y consacrer peuvent également freiner les entreprises à se lancer dans le commerce électronique. Le manque de compétences informatiques n est mentionné qu en 4 ème position. Plus d un dirigeant sur trois déclare toutefois avoir envisagé une présence internet, mais cela nécessiterait pour lui d être accompagné dans cette démarche. êtes-vous présents sur le web? (en %) quels sont les objectifs principaux de votre présence en ligne? (en %) pourquoi n êtes-vous pas présents sur le web? (en %) Oui Non 42 Les deux Vendre en ligne Vous n en voyez pas l intérêt Manque de compétence informatique 17 Vous faire connaître Mise en place trop coûteuse / Manque de financt. Manque de temps 10 Autres Source : CCIR Basse-Normandie Enquête e-commerce 2013

15 ? d enquête? Tableau de bord Emploi - Formation Disposer de son propre site internet : une solution privilégiée pour vous faire connaître, vous disposez (en %) D'un site internet avec des informations précises sur vos produits et services D'un site internet avec des informations générales sur votre entreprise D'une page sur les réseaux sociaux (Facebook, Twitter, Google +, Viadéo...) 39 Que ce soit pour se faire connaître ou pour vendre en ligne, les établissements du commerce plébiscitent avant tout la création d un site internet propre qui permet de fournir aux clients des informations précises sur les produits et services délivrés et sur l entreprise. En complément, ils peuvent également favoriser une présence sur les réseaux sociaux (Facebook, Twitter, Google+, Viadéo...) et dans les annuaires en ligne. Lorsqu ils vendent en ligne, ils proposent en premier lieu sur leur site un module de paiement sécurisé ou un formulaire permettant d établir des devis et/ ou des réservations. D'une présence dans un annuaire payant (Pages Jaunes, Hellopro...) D'une présence dans un annuaire gratuit (Google Maps, Bing Maps...) D'un site internet proposant un espace client De plusieurs sites internet Autres Source : CCIR Basse-Normandie Enquête e-commerce 2013 pour vendre en ligne, vous disposez (en %) D'un paiement sécurisé sur votre site internet (e-transaction, cic-cm paiement) ,7 15 De fonctionnalités permettant de demander un devis ou d'effectuer une réservation D'une présence sur les places de marchés (Ebay, Amazon, Priceminister...) D'une présence sur un site d'annonces (Leboncoin, Vivastreet...) 24,0 32,4 42,0 Source : CCIR Basse-Normandie Enquête e-commerce 2013 Note méthodologique Définitions et indicateurs (suite de la page 11) : - Les offres d emploi enregistrées présentées par Pôle Emploi correspondent aux flux d offres des 12 derniers mois pour tenir compte de la saisonnalité sur un cycle annuel. Elles se déclinent en offres durables (type A) ou en offres non durables (types B et C). - Les métiers correspondent à la nomenclature des professions et des catégories sociales de niveau 4 (PCS4). - Public en exclusion : 6 catégories de public dites «prioritaires» dans le programme de lutte contre les exclusions : Congés Longue Durée (CLD) + 2 ans, jeunes CLD, bénéficiaires du RSA, bénéficiaires de l A.S.S., Travailleurs handicapés, CLD de plus de 50 ans dans la demande d emploi en fin de période. - Le ratio (ou taux) de tension défini par le rapport entre le flux d offres d emploi et le flux de demandes d emploi sur la même période permet de mesurer les difficultés de recrutement. Par définition un taux de tension supérieur à 1, c est-à-dire un excès d offres par rapport à des demandes, matérialise des difficultés de recrutement. Cependant, ce ratio est le rapport entre deux flux dont l un peut être considéré comme exhaustif (les demandes) et l autre comme partiel (les offres d emploi enregistrées à Pôle Emploi couvrent en moyenne 30 à 40 % des offres du marché du travail, variable selon la période et le type d emploi recherché). C est pourquoi, le choix se porte souvent sur un seuil «critique» de 0,75, c est-à-dire qu un taux de tension supérieur à 0,75, pour un métier, peut traduire des difficultés de recrutement. - Le taux de demande d emploi correspond à la part des demandeurs d emploi dans la population active (actifs occupés + demandeurs d emploi). - Le taux de féminisation de l emploi correspond à la part de l emploi des femmes dans l emploi total. - Le taux de satisfaction des offres est le rapport entre le nombre d offres satisfaites (les offres traitées par Pôle Emploi et ayant trouvé une solution favorable) et le nombre d offres d emploi sorties (les offres traitées par Pôle Emploi, satisfaites ou non), sur une même période.

16 ??? Des impacts positifs sur quels sont les impacts de votre présence internet (en %)? l activité Plus des trois quarts des entreprises présentes en ligne disposent d un point de vente en magasin. Pour ces derniers, la présence en ligne correspond avant tout à un complément de chiffre d affaires. C est pourquoi l activité induite par la présence en 68,9 Elargissement de la zone de chalandise 63,1 Diversification des types de clientèle 40,8 Meilleure connaissance de la clientèle 27,6 Elargissement de la gamme de produit Source : CCIR Basse-Normandie Enquête e-commerce 2013 ligne correspond, selon la majorité des dirigeants, à un complément d activité n excédant pas les 10 % du chiffre d affaires global. Les avis concernant les impacts de la présence sur internet sont toutefois relativement positifs, notamment en termes d élargissement de la zone de chalandise (majoritairement au niveau régional voire national) et de diversification des types de clientèle. Plus de la moitié des établissements envisagent de développer leur activité en ligne et plus spécialement une activité de vente en ligne. Des impacts non négligeables en termes de gestion des compétences Le développement d une activité de e-commerce n est pas sans conséquence pour l entreprise. Elle nécessite de disposer de ressources compétentes en la matière. Cette nouvelle activité peut, dans nombre de cas, conduire à recruter. 16 Toutefois, au regard des résultats, la présence sur le web n a généré de nouveaux emplois que pour 10 % des établissements interrogés. De plus, peu de projets de recrutement sont évoqués, à l exception des commerces de gros plus nombreux à déclarer envisager de recruter prochainement. Les compétences recherchées peuvent être très diverses : logistique, vente, webmaster, commercial, livraison, gestion des stocks Les entreprises semblent privilégier les compétences en lien direct avec l activité commerciale générée : le suivi des commandes, le marketing ou encore la logistique qui en découle. Lorsqu ils ont recruté, les dirigeants déclarent avoir trouvé les compétences recherchées en région. Ils ne se prononcent pas spécifiquement sur les difficultés et tensions de recrutement. Le e-commerce : des emplois jeunes et qualifiés ainsi en majorité des «juniors» avec une expérience professionnelle inférieure à 3 ans. quel âge ont les nouveaux salariés (en %)? Conformément à la structure de l emploi du secteur du commerce, les nouveaux collaborateurs sont majoritairement des femmes dans le commerce de détail et davantage des hommes dans le commerce de gros. Les recrutements se sont majoritairement portés sur des jeunes candidats. Les nouveaux embauchés sont Un peu plus de la moitié des nouveaux salariés ont un diplôme en liaison avec leur poste. Ils sont en majorité diplômés du supérieur. La moitié d entre eux a un niveau Bac +2 et l autre moitié un niveau supérieur. La quasi-totalité des salariés a signé un contrat supérieur à 6 mois (CDI ou CDD de plus de 6 mois) principalement pour un poste à temps plein. 65,2 52,2 17,4 - de 26 ans 26 à 40 ans + de 40 ans Source : CCIR Basse-Normandie Enquête e-commerce 2013 CCI Normandie remercie l ensemble des entreprises interrogées, les partenaires producteurs de données, ses services et les CCI territoriales qui ont contribué à l élaboration de ce document. Ce document a été réalisé dans le cadre de la Charte Qualité Emploi-Formation avec le concours financier de la Région Basse-Normandie. Directeur de la publication : Jean-Claude Lechanoine Dépôt légal : à date de parution Rédaction : Hélène Grandclaudon, Élodie Viinikka et Yuwei Huang Comité de rédaction : Marie-Pierre Dupont, Hélène Grandclaudon et Pierre Granier Cartographie, conception graphique et mise en page : Jérôme Rigaudière En téléchargement rubrique «Info Éco»

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