Système Pall QPoint. Présentation du dernier né des dispositifs de traitement d eau tout germe au point d utilisation.

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Système Pall QPoint. Présentation du dernier né des dispositifs de traitement d eau tout germe au point d utilisation. www.pall."

Transcription

1 Compte-rendu de la session SF2H (Session Innovation) Pall Medical Le 31 mai 2013 traitement d eau Quick Connection, Immediate Protection.

2 Pall Medical a présenté son système Pall QPoint,, le 31 mai dernier à l occasion d une session Innovation organisée dans le cadre du XXIVe congrès national de la Société Française d Hygiène Hospitalière (SF2H). Le Dr Serge Aho, chef de service épidémiologie et hygiène hospitalière du CHU de Dijon, a introduit la présentation de ce nouveau dispositif en rappelant l importance de la validation du choix des filtres par l hygiéniste. Isabelle Vezole, directeur marketing Pall Medical, a présenté les nouvelles exigences et avancées technologiques de la filtration de l eau à l hôpital au et Cécile Philippe, responsable scientifique Pall Medical, les validations essentielles du système. Cette session Innovation, qui a donné lieu à des échanges avec la salle, était placée sous la modération du Pr Yves Levi, responsable du groupe Santé publique-environnement de la faculté de pharmacie de l université Paris Sud, membre de l Académie Nationale de Pharmacie, de l Académie des technologies et correspondant de l Académie Nationale de Médecine. 2

3 Dr Serge Aho, chef du service épidémiologie et hygiène hospitalière - CHU de Dijon: «Il est indispensable d associer l hygiéniste au choix du filtre» Je remercie la société Pall qui m a convié à faire une courte introduction à cette session de Innovation concernant le rôle de l hygiéniste dans le choix des filtres. Le filtre est un dispositif médical Le choix du dispositif médical relève d une approche pluridisciplinaire où il convient d associer les médecins, les pharmaciens, le service biomédical, les services techniques et aussi l administration au vu du contexte économique. Le filtre constitue pour moi un dispositif médical à part entière puisqu il va être installé dans des endroits à risque pour des patients à risque. Choisir un filtre, c est choisir un dispositif médical. On ne choisit pas un filtre par hasard Les aspects techniques de la filtration seront développés par les orateurs suivants, c est pourquoi je m en tiendrai aux aspects médicaux. On ne choisit pas un filtre par hasard, mais bien parce que l on possède des notions d épidémiologie, des notions concernant les germes hydriques, des notions relatives aux modalités de contamination et des notions sur les autres dispositifs à mettre en place. Chacun connait les services à risque tels que la réanimation ou de l hématologie avec greffes, mais, en médecine interne, il peut aussi y avoir des patients qui ont été traités par des corticoïdes pendant des années, des patients à risque susceptibles d infections, qui ne vont pas forcément être hospitalisés dans des services spécifiques. La recherche du meilleur ratio coût/bénéfice Quel que soit le dispositif médical, il faut prendre en compte l efficacité sur le terrain où il importe de bien respecter les règles de bon usage. Je suis personnellement favorable à une optimisation des ressources plutôt qu à une réduction brute des coûts. L hygiéniste ne va pas forcément choisir le filtre le moins cher : il va opter pour le filtre présentant le ratio coût/bénéfice adéquat qu il va évaluer au sens large en se posant, par exemple, la question du coût que pourrait générer une infection à germe hydrique chez un patient fragile. Le rôle de l hygiéniste est de bien poser les indications de filtration, de bien analyser les performances du filtre, les aspects techniques et également la lecture et les interprétations des normes. 3

4 Retours d expérience Nous avons récemment changé de marché et le choix a alors été basé uniquement sur le coût et non pas sur le ratio coût/bénéfice. L économie, ce n est pas le coût, c est l optimisation! Quelque temps après la mise en place du nouveau filtre et hélas, nous avons été confrontés à de nombreux problèmes : des fuites, des fissures et des décollements qui ont eu pour conséquence un risque accru pour le patient, en particulier en hématologie. Nous avons immédiatement dénoncé le marché et sommes revenus au marché initial En conclusion, il est indispensable d associer l hygiéniste au choix du filtre pour toutes les raisons que je viens d énoncer, notamment pour une bonne prise en charge des patients fragiles. Isabelle Vezole, directeur marketing Pall Medical : «Un dispositif médical de dernière génération» Je vais commencer cette présentation de notre système, notre, par un bref retour en arrière : il y a presque trois ans et demi, quand nous lancions notre filtre 31 jours, nous avions conscience d écrire la dernière page de l histoire des boîtiers filtres. Nous savions que pour continuer à persévérer dans notre tradition d innovation, il allait nous falloir complètement repenser le dispositif et envisager une nouvelle génération de produits. Une grande étude auprès des hygiénistes, pharmaciens et services économiques C est dans cette perspective que la R & D et le marketing Pall se sont mobilisés et que nous avons notamment lancé une grande étude auprès des hygiénistes, des pharmaciens et des services économiques des hôpitaux afin de mieux cerner les attentes des uns et des autres en matière de filtration terminale. Nous nous sommes alors rendus compte qu il existait une profonde convergence de vue entre nos réflexions et nos propositions et les besoins formulés, en particulier en terme d allongement de durée d utilisation du produit, étant entendu que cet allongement ne devait pas se faire au détriment d un débit élevé, constant et peu sensible aux variations de la qualité particulière de l eau. Autre impératif largement partagé : les validations devaient continuer à être optimales et, au-delà, étendues aux germes pathogènes qui posent problème au quotidien. 4

5 Un cahier des charges à spectre large L aspect économique a bien évidemment été un facteur clé de notre cahier des charges de manière à ce que notre produit puisse afficher dans le contexte de crise que nous connaissons un coût/bénéfice le plus performant possible. Nos produits étant de plus en plus utilisés dans les services où les lavabos sont souvent petits, nous avons également travaillé dans une perspective de faible encombrement. Outre la traçabilité, élément essentiel de notre nouveau dispositif, sur laquelle je reviendrai plus en détail tout à l heure, un soin tout particulier a été apporté au design de ce système dernière génération qui a été sensiblement relooké et modernisé par rapport aux précédents. Autre point important de convergence entre nos propositions et les attentes de nos interlocuteurs : le produit devait être simple à utiliser sur un mode «plug and play», rapide à mettre en place et avec une maintenance réduite au minimum. Nous avons par ailleurs pris en compte la tendance générale à la réduction des déchets qui se met progressivement en place dans les établissements de santé en veillant à une conception économe en la matière. Le développement du système a enfin été entrepris dans une perspective de logistique simplifiée : réduction des commandes en termes de fréquence et de nombre de références à gérer et réduction des stocks. Un système en 2 parties : 1 station d accueil et 1 filtre Concrètement, ce produit de nouvelle génération est composé de deux parties : une station d accueil fixée au robinet de façon pérenne sur laquelle est clipsée une capsule filtrante dont la durée d utilisation a été validée jusqu à 62 jours. Cette capsule filtrante entièrement réalisée avec des matériaux recyclables bénéficie d un très faible encombrement, ce qui la positionne actuellement comme le filtre le moins haut du marché. Un plissage en corolle Qui dit augmentation de la durée de vie du produit et qualité des débits dit forcément travail sur la membrane. Nous avons opté pour un plissage en corolle, technique développée par Pall depuis plusieurs années. Ce plissage en corolle présente deux avantages majeurs : une uniformité du passage du fluide au niveau des plis et une utilisation de la totalité de la surface de filtration. Une préfiltration originale En ce qui concerne la membrane proprement dite, nous avons tout particulièrement travaillé sur la préfiltration qui, compte tenu de l augmentation 5

6 recherchée de la durée de vie du filtre, doit protéger efficacement les membranes de filtration stérilisantes situées en aval. Le système est doté d un préfiltre tout à fait original qui permet d absorber une quantité très importante de particules et d assurer un bon débit sur une longue durée. Un double dispositif anti contamination rétrograde Autre convergence de vue avec les hygiénistes : plus on allonge la durée de vie d un produit, plus il est nécessaire d en contrôler l environnement et, par conséquent, de maîtriser la contamination rétrograde. Deux types de mesures physiques et chimiques ont été associés sur ce système innovant. Nous avons adjoint au filtre une plaque de protection destinée à protéger la partie aval de la membrane des risques de pénétration d éclaboussures à l intérieur du boîtier. Nous avons par ailleurs enrichi le dispositif d une barrière anti-goutte de protection de la sortie du filtre. Un additif bactériostatique à base d argent Nous avons à nouveau utilisé l additif bactériostatique que les hygiénistes connaissent bien en l incorporant pour la première fois à l intégralité des parties moulées dans l objectif de minimiser le risque de croissance bactérienne en surface et sortie de filtre. Il n est plus cantonné au boîtier mais est désormais intégré au plastic de la cage, du pack de filtration et de la plaque de protection interne ainsi qu à la connexion et au bouton de démontage de la station d accueil de façon à obtenir une protection optimale. Nous avons enfin, pour être conformes avec les protocoles d hygiène des établissements, validé la capsule filtrante vis-à-vis des solutions de décontamination typiquement utilisées dans les hôpitaux. Une double traçabilité manuelle et électronique Nous avons enrichi la traçabilité manuelle traditionnelle reposant sur des étiquettes repositionnables présentes sur l emballage unitaire d un nouveau dispositif de traçabilité électronique : le système QPData. Les données relatives aux filtres sont hébergées sur un site Internet et accessibles via des codesbarres 2D lisibles par des smartphones grâce à une application spécialement développée pour le système. Chaque utilisateur dispose d un mot de passe pour accéder à volonté à ce site et pouvoir ainsi gérer l ensemble des données relatives au changement des filtres. 6

7 Encadré Pall QPoint : les principaux points à retenir 1 durée d utilisation jusqu à 62 jours 1 station d accueil pérenne, de faible encombrement, qui reste sur le point d eau + 1 capsule filtrante interchangeable constituée de matériaux recyclables 1 contrôle physique et chimique de la contamination rétrograde 1 préfiltration de la membrane qui augmente les débits et la durée de vie du produit et permet de lisser la qualité de l eau dans le temps 1 système de traçabilité électronique permettant l accès aux données hébergées sur un site Internet par smartphone Cécile Philippe, responsable scientifique Pall Medical : «Des validations essentielles et une efficacité documentée» Les validations effectuées sur le système nous ont permis de générer des données d efficacité et de sécurité sur une durée de deux mois d utilisation. La validation de l efficacité d un filtre destiné à produire une eau bactériologiquement maîtrisée en milieu hospitalier repose essentiellement sur une validation microbienne via une importante batterie de tests. Valider un filtre terminal consiste également à mesurer et évaluer ses caractéristiques physiques en termes de débit et de température et pression de fonctionnement et à garantir son innocuité en réalisant, en particulier, des tests sur les extractibles de manière à s assurer que ceux-ci ne polluent pas l effluent, en l occurrence l eau des réseaux hospitaliers. La validation microbienne du filtre a consisté à vérifier d abord le grade stérilisant de la membrane 0,2 μm mais aussi à réaliser de multiples tests sur des germes pathogènes opportunistes, susceptibles de contaminer les réseaux d eau hospitaliers. Des tests renforcés pour une durée de vie allongée Notre nouveau dispositif offrant une durée d utilisation jusqu à 62 jours, nous avons du conduire des validations drastiques en usage intermittent sur deux mois le plus proche possible de la «vraie vie» sur des micro-organismes différents. Le risque de contamination rétrograde sur une période de deux mois 7

8 constituant un élément essentiel à prendre en considération, nous avons donc renforcé nos tests sur l additif bactériostatique de notre dispositif que nous avons évalué avec une attention toute particulière. Grade stérilisant : une étape clé de la validation microbienne Le filtre intègre une membrane de grade stérilisant. Rappelons qu une membrane est dite de grade stérilisant dès lors qu elle est capable de retenir totalement un challenge bactérien à hauteur de 10 7 bactéries par cm 2 de surface de filtration, sachant que la bactérie de référence est toujours Brevundimonas diminuta, une bactérie non pathogène de petite taille. Cette étape clé de la validation, qui sera suivie de nombreux autres tests, a été réalisée suivant une méthode standardisée industrielle (1) adaptée et employée depuis plusieurs années maintenant. Une rétention totale des pathogènes en bolus unique Beaucoup plus innovant : nous avons testé le QPoint sur un ensemble de bactéries pathogènes opportunistes en bolus unique avec le même niveau de challenge bactérien que celui définissant le grade stérilisant (+ de UFC/cm 2 de surface de filtration). Résultat : nous obtenons une rétention totale de Legionella pneumophila et Pseudomonas aeruginosa, bien sûr, les deux germes qui demeurent une préoccupation majeure à l hôpital en terme de risque infectieux d origine hydrique, mais aussi d Escherichia coli et, probablement plus original, de Mycobacterium gordonae, qui fait partie de la famille des mycobactéries atypiques environnementales à l origine d infections parfois extrêmement graves chez des patients immunodéprimés. Il nous a également paru très important d intégrer à nos validations Cryptosporidium parvum, protozoaire pathogène d origine hydrique redouté à travers le monde et responsable notamment d une épidémie importante aux États-Unis, à Milwaukee, en Un test sur 2 mois en usage intermittent Le test sur deux mois en usage intermittent a été réalisé en laboratoire sur un appareillage avec un réservoir d eau, une boucle et une pompe qui fonctionne à un débit de 9 litres par minute, 30 minutes par heure, 7 heures par jour et 5 jours sur 7 pendant 2 mois d affilée. Nous avons introduit Brevundimonas diminuta en amont du filtre et prélevé des échantillons en aval à J0, J31 et J64 afin de vérifier que le filtre était bien capable de retenir totalement le challenge bactérien utilisé. Nous avons ainsi pu démontrer la rétention totale de notre 8

9 bactérie de référence, Brevundimonas diminuta, à hauteur de 10 7 de bactérie par cm 2 de surface de filtration sur 2 mois. Nous avons entrepris la même validation sur Legionella pneumophila. Afin d anticiper d éventuelles préoccupations futures, nous avons également conduit une validation sur Aspergillus fumigatus dont l eau pourrait constituer un réservoir pour ce champignon filamenteux bien connu de la plupart des hygiénistes. L évaluation de l additif bactériostatique L évaluation de l additif bactériostatique a été réalisée suivant la norme ISO : 2011 qui mesure l action bactérienne sur les surfaces en plastique et les surfaces non poreuses qui sont celles du système. L idée était de comparer l activité anti bactérienne sur le matériel avec et sans l additif sachant que nous avions deux types de matériaux à tester : le polyester et le polypropylène. Cette action anti bactérienne a été évaluée après 24 heures d incubation en environnement humide avec inoculation à J0, J31 et J62 afin de vérifier l efficacité de l additif bactériostatique après 2 mois d utilisation du filtre. Les résultats de l évaluation de cet additif intégré dans le polyester, obtenus à partir de tests sur Pseudomonas aeruginosa, Staphylococcus epidermidis, Staphylococcus aureus et Escherichia coli, indiquent une inhibition de la croissance bactérienne de + de 99 % après 24 heures et une efficacité maintenue après 62 jours. La validation microbienne prouve l efficacité du filtre sur deux mois et une vraie pertinence clinique des tests réalisés sur des germes pathogènes opportunistes souvent rencontrés à l hôpital. L évaluation des caractéristiques physiques du système Nous avons mesuré en matière de caractéristiques physiques les débits typiques du système en fonction de la pression des réseaux et procédé aux évaluations de la température et de la pression de fonctionnement en conditions extrêmes. Il ressort de ces mesures que QPoint permet d obtenir des débits améliorés avec un débit de référence à 3 bar supérieur à ce que nous obtenions sur nos autres filtres, en l occurrence de 13, 1 litres par minute. Les évaluations conduites sur le terrain avec des qualités particulaires d eaux différentes montrent un débit maintenu de façon constante sur une longue durée d utilisation du filtre, y compris en cas d eau assez colmatante. 9

10 Une tenue à la température très importante En ce qui concerne les températures et pressions de fonctionnement du QPoint, nous avons pu valider une tenue de filtre à plus de 60 C à 5 bar pendant 62 jours et à 75 C à 5 bar pendant 90 minutes cumulées, soit approximativement l équivalent de 3 chocs thermiques! QPoint offre une tenue à la température extrêmement importante qui n était pas validée avec les précédents filtres. QPoint et les extractibles Quelques mots, enfin, sur les extractibles qu il faut également prendre en considération dans la mesure où notre filtre est en contact avec une eau destinée à la consommation humaine. Les extractibles doivent donc impérativement respecter ce qu on appelle le principe d inertie, à savoir que leur quantité ne doit pas être préjudiciable à la santé et interférer sur la composition de l eau. Le QPoint est à ce jour conforme à la réglementation européenne (2) sur les matériaux en contact avec les denrées alimentaires ainsi qu avec le standard anglais sur les plastiques en contact avec l eau destinée à la consommation humaine (2), les dossiers de demande d Attestation de Conformité Sanitaire (ACS) sont par ailleurs déposés. Une efficacité documentée et une innocuité garantie Pour conclure sur l efficacité de ce filtre et les validations qui en témoignent, je dirai que nous proposons un dispositif qui se distingue à la fois par sa technologie et sa durée d utilisation qui a nécessité des validations importantes pour un usage de 62 jours. Les tests d efficacité et de rétention bactérienne sont très documentés avec beaucoup de germes testés en bolus unique et/ou dans la durée. Le système bénéficie aussi d une évaluation documentée de son additif bactériostatique, et procure de nombreuses garanties de sécurité (tenue importante à la température), de qualité (importance et constance du débit) et d innocuité en matière d extractibles. (1) American Standard Test Method (ASTM) F «Determining Bacterial Retention of Membrane Filters Utilised for Liquid filtration» (2) Règlement (CE) n 1935/2004 sur les denrées alimentaires BS 6920/2000 sur l effet sur l eau destinée à la consommation 10

11 Questions réponses Des interrogations bien légitimes Question du Dr Serge Aho à Cécile Philippe Petite question en forme de clin d œil à Philippe Hartemann* qui est, je crois, dans la salle et avec lequel nous menons plusieurs travaux en commun : le QPoint 2, dans sa version future, validera-t-il Fusarium (?) avec lequel nous connaissons pas mal de problèmes? Cécile Philippe Le message est entendu : nous allons réfléchir à la faisabilité de tests sur Fusarium. Question à Isabelle Vezole Notre hôpital de Saint-Denis de La Réunion est situé en zone tropicale dont la particularité est d être soumise à de grandes fluctuations d eau avec alternance de saisons sèches et de saisons humides, ces dernières se caractérisant par des fortes pluies et des eaux extrêmement riches qui colmatent. Pensez-vous que le système de préfiltration intégré à votre nouveau dispositif peut permettre sur certains points d eau de s affranchir d une préfiltration en amont du filtre? Isabelle Vezole Cela peut être le cas, mais nous ne pourrons effectivement le valider qu en réalisant des tests sur place. Nous avons constaté en Espagne sur des eaux extrêmement chargées des durées de vie du produit très largement augmentées. Nous avons fait le même constat dans un établissement du nord de la France où nos premiers tests beta de pré-commercialisation ont enregistré des durées d utilisation multipliées par trois ou quatre. Question à Isabelle Vezole Vous nous avez dit que la partie filtre de votre nouveau dispositif était interchangeable. Qu avez-vous prévu en terme de recyclage et envisagezvous, par ailleurs, l adoption du même système pour les douchettes filtrantes des chambres des patients? 11

12 Isabelle Vezole En ce qui concerne le recyclage, nous avons développé depuis un certain temps un partenariat performant avec un spécialiste du traitement des déchets qui récupère les filtres usagés auprès des établissements de santé, les valorise au plan énergétique et certifie cette valorisation via la remise d un certificat annuel mentionnant la quantité des filtres traités par la filière. En ce qui concerne la pomme de douche, nous allons utiliser exactement le même type de technologie, à savoir un système de filtre en deux parties qui devrait être disponible assez rapidement. * Directeur du laboratoire d hygiène et de recherche en santé publique de la Faculté de médecine de Nancy et Chef du Service d Hygiène au CHU de Nancy 12

Il est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut

Il est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut Les micro-organismes de l eau impliqués dans les infections nosocomiales Depuis 2001 chez Pall, en charge de l information scientifique et réglementaire dans les domaines d applications couverts par la

Plus en détail

Ouverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique

Ouverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique Ouverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique Congrès de la SF2H - 9 Juin 2011 S. Coudrais Biohygiéniste Unité d Hygiène et Epidémiologie - Groupement

Plus en détail

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre

Plus en détail

LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE

LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE 1 LA POLITIQUE QUALITE-GESTION DES RISQUES Depuis 2003, la Direction s engage à poursuivre, la démarche qualité et à développer une gestion

Plus en détail

Les Infections Associées aux Soins

Les Infections Associées aux Soins Les Infections Associées aux Soins Dr Catherine Sartor EOH Conception Assistance Publique Hôpitaux de Marseille Ecole IFSI, Marseille, 12 septembre 2014 Définitions 2007 Infection Nosocomiale (IN) 1999

Plus en détail

5. Matériaux en contact avec l eau

5. Matériaux en contact avec l eau Monitoring de la qualité Microbiologique de l eau potable dans les réseaux de distributions Intérêt de l utilisation d un kit de mesure rapide de la flore totale UTLISATIONS 1. Surveillance de Réseau mixte

Plus en détail

Registres de fermentation lente. Critères d inspection

Registres de fermentation lente. Critères d inspection Chapitre 15 - tâches liées traitement non-thermique Chapitre 15 - tâches liées traitement non-thermique Registres de fermentation lente 1.15.0.3204 Registres de fermentation lente Registres Un échantillon

Plus en détail

Niveau d assurance de stérilité (NAS) Hôpital Neuchâtelois Sylvie Schneider Novembre 2007

Niveau d assurance de stérilité (NAS) Hôpital Neuchâtelois Sylvie Schneider Novembre 2007 Niveau d assurance de stérilité (NAS) Hôpital Neuchâtelois Sylvie Schneider Novembre 2007 Plan Objectif de la stérilisation Rappel théorique Niveau d Assurance Stérilité Conséquence Destruction des micro-organismes

Plus en détail

CATALOGUE DE PRESTATIONS FORMATION ET CONSEILS

CATALOGUE DE PRESTATIONS FORMATION ET CONSEILS (1/30pages) CATALOGUE DE PRESTATIONS FORMATION ET CONSEILS ANNEE : 2015 Date de mise à jour : 09/03/2015 1 - Microbiologie des eaux - Microbiologie des aliments Formation technique de Microbiologie HYGIÈNE

Plus en détail

NOCOSPRAY CARACTÉRISTIQUES TECHNIQUES UN FONCTIONNEMENT TRÈS SIMPLE DE MULTIPLES OPTIONS PERMETTANT DE S ADAPTER À CHAQUE SITUATION

NOCOSPRAY CARACTÉRISTIQUES TECHNIQUES UN FONCTIONNEMENT TRÈS SIMPLE DE MULTIPLES OPTIONS PERMETTANT DE S ADAPTER À CHAQUE SITUATION NOCOSPRAY Notre concept est né de l association Nocospray + Nocolyse (machine/produit) pour une désinfection automatisée sous forme gazeuse. Il permet de traiter de façon automatisée l air et les surfaces

Plus en détail

pur et silencieux dentaire

pur et silencieux dentaire pur et silencieux dentaire de l air pur JUN-AIR a produit son premier compresseur il y a 50 ans et développé la technologie et le design qui ont fait du compresseur JUN-AIR le choix numéro UN des cabinets

Plus en détail

formations professionnelles fin 2014 / début 2015 hygiène alimentaire en restauration collective audit, conseil et formation professionnelle

formations professionnelles fin 2014 / début 2015 hygiène alimentaire en restauration collective audit, conseil et formation professionnelle audit, conseil et formation professionnelle Stage 1 Bonnes pratiques d hygiène en restauration collective 19 et 26 novembre Stage 2 Règles d hygiène lors du service 3 décembre Stage 3 Le nettoyage et la

Plus en détail

SYSTEM O. Un système unique pour des réseaux distincts Eau froide sanitaire Eau chaude sanitaire

SYSTEM O. Un système unique pour des réseaux distincts Eau froide sanitaire Eau chaude sanitaire SYSTEM O Un système unique pour des réseaux distincts Eau froide sanitaire Eau chaude sanitaire CONCEPTION, CHOIX DES MATÉRIAUX ET MAINTENANCE : La sécurité des réseaux passe par une bonne conception,

Plus en détail

Hygiène alimentaire en restauration collective

Hygiène alimentaire en restauration collective Catalogue de formations 2012 Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration collective Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or 1 2 3 4 5 6 7 8 Sommaire Sensibilisation à l hygiène alimentaire

Plus en détail

Qualité Sécurité Environnement

Qualité Sécurité Environnement Qualité Sécurité Environnement FORMATION AUDIT CONSEIL EXPERTISE >> Catalogue 2014 Nos innovations: e-learning, évaluation des compétences personnalisation Formation Hygiène Alimentaire ISO 9001 : 2008...

Plus en détail

Hygiène alimentaire en restauration collective

Hygiène alimentaire en restauration collective 1 2 3 4 5 6 7 Catalogue 2011 Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration collective Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or Sommaire 1 2 3 4 5 6 7 Sensibilisation à l hygiène alimentaire

Plus en détail

CATALOGUE DE FORMATIONS 2014 2015

CATALOGUE DE FORMATIONS 2014 2015 CATALOGUE DE FORMATIONS 2014 2015 Professionnels de l alimentation 06.47.75.88.57 HQSA Consulting contact@hqsafrance.fr Numéro de déclaration de prestataire de formation : SIRET SIRET : 804 : 284 284 420

Plus en détail

Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments

Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments Le respect des bonnes pratiques d hygiène de fabrication, par chaque opérateur, constitue le préalable à toute démarche de maîtrise de la sécurité

Plus en détail

Secteur Protégé d Hématologie

Secteur Protégé d Hématologie INFORMATIONS PATIENTS Secteur Protégé d Hématologie Centre accrédité de greffe de moelle osseuse et de cellules souches d hématopoïétiques Le Secteur d Hématologie est destiné à des patients atteints de

Plus en détail

Conception et maintenance des réseaux d eau à l intérieur des bâtiments

Conception et maintenance des réseaux d eau à l intérieur des bâtiments Conception et maintenance des réseaux d eau à l intérieur des bâtiments Olivier CORREC Mél : olivier.correc@cstb.fr Contexte des réseaux d eau sanitaire Exigences générales : o Sécuriser la consommation

Plus en détail

INGOLD Leading Process Analytics

INGOLD Leading Process Analytics INGOLD Leading Process Analytics Systèmes de Turbidité Sondes InPro 8000 Transmetteurs Trb 8300 Qualité du produit et fiabilité du procédé améliorées Productivité accrue Adaption simple du procédé Usage

Plus en détail

La résistance d'agents infectieux aux médicaments antimicrobiens

La résistance d'agents infectieux aux médicaments antimicrobiens DECLARATION COMMUNE DES ACADEMIES DU G SCIENCE 2013 La résistance d'agents infectieux aux médicaments antimicrobiens Une menace globale pour l'humanité Depuis l introduction dans les années 40 du premier

Plus en détail

Thermorégulateurs Easitemp 95 et 150 eau. La solution compacte & économique

Thermorégulateurs Easitemp 95 et 150 eau. La solution compacte & économique Thermorégulateurs Easitemp 95 et 150 eau La solution compacte & économique Thermorégulateurs Easitemp 95 et 150 Eau Easitemp définit un nouveau standard pour les thermorégulateurs. Un concept innovant,

Plus en détail

Bonnes Pratiques de Fabrication des médicaments à usage humain et vétérinaire

Bonnes Pratiques de Fabrication des médicaments à usage humain et vétérinaire 1 2 3 4 Bonnes Pratiques de Fabrication des médicaments à usage humain et vétérinaire Partie 1 Chapitre 3: Locaux et matériel 5 6 7 8 9 10 11 12 13 PRINCIPE Les locaux et le matériel doivent être situés,

Plus en détail

Installations de production d Eau Chaude Sanitaire Collective. La Garantie de Résultats Solaires (GRS)

Installations de production d Eau Chaude Sanitaire Collective. La Garantie de Résultats Solaires (GRS) Installations de production d Eau Chaude Sanitaire Collective La Garantie de Résultats Solaires (GRS) Document réalisé avec le soutien technique de la Introduction Les installations concernées par la Garantie

Plus en détail

Référentiel Officine

Référentiel Officine Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine

Plus en détail

des réseaux (ECS) Vanne d'équilibrage auto-nettoyante pour réseaux sanitaires w w w. s o g o b a. c o m

des réseaux (ECS) Vanne d'équilibrage auto-nettoyante pour réseaux sanitaires w w w. s o g o b a. c o m Equilibrage & Maintenance des réseaux (ECS) Vanne d'équilibrage auto-nettoyante pour réseaux sanitaires Vanne d'équilibrage auto-nettoyante pour réseaux sanitaires G R K N E T E v o l u t i o n La solution

Plus en détail

BACTÉRIE PARTICULE D ARGENT

BACTÉRIE PARTICULE D ARGENT Tissu High-tech BACTÉRIE FIBRE MEDICAL STYLE FIBRE NORMALE PARTICULE D ARGENT FIBRE MEDICAL STYLE FIBRE NORMALE La partie interne des tissus Medical Style contient des particules d argent à l action biocide

Plus en détail

DE QUALITE GESTION DES RISQUES DEVELOPPEMENT DURABLE

DE QUALITE GESTION DES RISQUES DEVELOPPEMENT DURABLE PROJET DE QUALITE / GESTION DES RISQUES / DEVELOPPEMENT DURABLE

Plus en détail

Le bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose

Le bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose Le bac à graisses Schéma de principe Lorsqu on a une longueur de canalisation importante entre la sortie des eaux de cuisine et la fosse septique toutes eaux, il est fortement conseillé d intercaler un

Plus en détail

Coordination de la Gestion des risques. Bilan - Programme

Coordination de la Gestion des risques. Bilan - Programme Coordination de la Gestion des risques Bilan - Programme La démarche Mise en place en 2007 Regroupe l ensemble des Vigilances Sanitaire. Associe le programme CLIN Associe les risques liés aux vigilances

Plus en détail

Se protéger contre la contamination par les micro-organismes. Gazole, gazole non routier et fioul domestique Cuves de stockage et réservoirs

Se protéger contre la contamination par les micro-organismes. Gazole, gazole non routier et fioul domestique Cuves de stockage et réservoirs 0193 exe TOTAL A5 contamination_mise en page 1 20/09/11 15:41 Page1 Se protéger contre la contamination par les micro-organismes Gazole, gazole non routier et fioul domestique Cuves de stockage et réservoirs

Plus en détail

I. Définitions et exigences

I. Définitions et exigences I. Définitions et exigences Classes d indicateurs chimiques [1] Stérilisation : synthèse des normes ayant trait Exigences générales : Chaque indicateur doit porter un marquage clair mentionnant le type

Plus en détail

O v e r a l l e x p e r t i s e i n t h e m a i n t e n a n c e o f p l a t e s h e a t e x c h a n g e r s

O v e r a l l e x p e r t i s e i n t h e m a i n t e n a n c e o f p l a t e s h e a t e x c h a n g e r s Expertise globale de la maintenance des échangeurs thermiques à plaques O v e r a l l e x p e r t i s e i n t h e m a i n t e n a n c e o f p l a t e s h e a t e x c h a n g e r s LE CENTRE DE MAINTENANCE

Plus en détail

appliquée aux emballages alimentaires

appliquée aux emballages alimentaires La méthode HACCP La méthode HACCP appliquée aux emballages alimentaires 1- La réglementation des matériaux au contact des aliments Quels contaminants issus des emballages dans les aliments? Des contaminants

Plus en détail

Hygiène de l eau potable avec Geberit Toujours en mouvement.

Hygiène de l eau potable avec Geberit Toujours en mouvement. Hygiène de l eau potable avec Geberit Toujours en mouvement. Pour un système d'eau potable fiable SIMPLEMENT BIEN APPROVISIONNÉ Un risque méconnu. Les légionnelles. Lorsqu'il s'agit des dangers de la douche,

Plus en détail

Bio nettoyage au bloc opératoire

Bio nettoyage au bloc opératoire Bio nettoyage au bloc opératoire Béatrice CROZE Infirmière hygiéniste Service d hygiène et d épidémiologie novembre 2012 Le bio nettoyage au bloc L impression omniprésente de travailler dans l urgence

Plus en détail

GETINGE CLEAN MANAGEMENT SYSTEM CENTRALE DE DOSAGE LESSIVIEL GETINGE

GETINGE CLEAN MANAGEMENT SYSTEM CENTRALE DE DOSAGE LESSIVIEL GETINGE GETINGE CLEAN MANAGEMENT SYSTEM CENTRALE DE DOSAGE LESSIVIEL GETINGE 2 Getinge Clean Management System GETINGE CLEAN MANAGEMENT SYSTEM (CMS) UN PROCESSUS OPTIMISÉ, UNE SOLUTION UNIQUE Getinge peut vous

Plus en détail

SLIM-Line. efficaces & durables. Solutions pour étiquettes efficaces & durables. Papier Thermo Top SLIM. Papier non couché SLIM. Papier couché SLIM

SLIM-Line. efficaces & durables. Solutions pour étiquettes efficaces & durables. Papier Thermo Top SLIM. Papier non couché SLIM. Papier couché SLIM SLIM-Line efficaces & durables Solutions pour étiquettes efficaces & durables Papier Thermo Top SLIM Papier non couché SLIM Papier couché SLIM Etiquettes effic Solutions pour étiquettes SLIM-Line le nouveau

Plus en détail

MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME

MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES

Plus en détail

Le confort de l eau chaude sanitaire. Gamme complète certifiée ACS pour le traitement de l eau chaude sanitaire

Le confort de l eau chaude sanitaire. Gamme complète certifiée ACS pour le traitement de l eau chaude sanitaire Le confort de l eau chaude sanitaire Gamme complète certifiée ACS pour le traitement de l eau chaude sanitaire Attestation de Conformité Sanitaire Afi n de réduire les quantités de matières toxiques pouvant

Plus en détail

Hygiène et prévention du risque infectieux en EHPAD. Maîtrise de la bio contamination et place du bio nettoyage. Jeudi 28 mai 2009

Hygiène et prévention du risque infectieux en EHPAD. Maîtrise de la bio contamination et place du bio nettoyage. Jeudi 28 mai 2009 Hygiène et prévention du risque infectieux en EHPAD Maîtrise de la bio contamination et place du bio nettoyage Jeudi 28 mai 2009 Alain LEFEBVRE - Cadre supérieur de santé Hygiéniste 1 Le bio nettoyage

Plus en détail

Décrire l'ensemble des mesures de maîtrise et des mesures de surveillance dans des procédures ou modes opératoires portés à la connaissance de tous.

Décrire l'ensemble des mesures de maîtrise et des mesures de surveillance dans des procédures ou modes opératoires portés à la connaissance de tous. DEMARCHE HACCP EN CUISINE CENTRALE Alimentation GROSJEAN L, Vénissieux Juin 2010 Objectif La démarche HACCP (de l'américain Hazard Analysis Critical Control Point) est une méthode préventive visant à maîtriser

Plus en détail

Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière

Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Les pages qui suivent constituent les Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière. Elles représentent l expression consensuelle de ce que

Plus en détail

Epreuve écrite d admissibilité du Mercredi 15 Janvier 2014 DOSSIER REPONSE

Epreuve écrite d admissibilité du Mercredi 15 Janvier 2014 DOSSIER REPONSE SUJET DE CONCOURS COMMUN AUX CENTRES DE GESTION : CONCOURS D ADJOINT TECHNIQUE DE 1ERE CLASSE SESSION 2014 SPECIALITE «ENVIRONNEMENT, HYGIENE» Epreuve écrite d admissibilité du Mercredi 15 Janvier 2014

Plus en détail

Chaîne de production des médicaments

Chaîne de production des médicaments Chaîne de production des médicaments GPAO : Aspects légaux et pharmaceutiques 2 Principe de base Une préparation n est entreprise que si la pharmacie possède les moyens appropriés pour la réaliser et la

Plus en détail

Grâce aux étiquettes RFID Inotec et à solution UBI Cloud Track&Trace, SITA peut tracer à chaque instant les déchets à risque COMMUNIQUÉ DE PRESSE

Grâce aux étiquettes RFID Inotec et à solution UBI Cloud Track&Trace, SITA peut tracer à chaque instant les déchets à risque COMMUNIQUÉ DE PRESSE la Grâce aux étiquettes RFID Inotec et à solution UBI Cloud Track&Trace, SITA peut tracer à chaque instant les déchets à risque COMMUNIQUÉ DE PRESSE Filiale du Groupe Suez Environnement et Leader en France,

Plus en détail

Démarche de traçabilité globale

Démarche de traçabilité globale Démarche de traçabilité globale Dr Chi-Dung TA* Responsable Qualité, Danone Vitapole chi-dung.ta@danone.com La traçabilité existe depuis un certain nombre d'années dans les entreprises à des niveaux plus

Plus en détail

PROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE

PROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Votre correspondant : Romain CRESSON INRA Transfert Environnement Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Tel: +33 (0)4 68 46 64 32 Fax: +33 (0)4 68 42 51

Plus en détail

LES EAUX USÉES. L évacuation des eaux usées. Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC.

LES EAUX USÉES. L évacuation des eaux usées. Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC. L évacuation des eaux usées Les eaux vannes (EV) : eaux provenant des cuvettes de WC. Les eaux ménagères (EM) : eaux provenant de la cuisine (évier, lave-vaisselle) et de la salle de bains (lavabo, baignoire,

Plus en détail

Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales. Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel

Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales. Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel Plan de présentation Présentation Saint Dizier environnement Les techniques alternatives La maîtrise

Plus en détail

Exploitation maintenance

Exploitation maintenance Exploitation maintenance L exigence du service Air Climat en quelques mots Air Climat est un groupe indépendant, qui privilégie des valeurs essentielles : compétences des hommes, innovation et maîtrise

Plus en détail

Ventilation : Mesure et réglage des débits

Ventilation : Mesure et réglage des débits Ventilation : Mesure et réglage des débits Samuel Caillou Division Climat, Equipements et Performance Energétique CSTC - Pourquoi régler les débits? Pour avoir le bon débit au bon endroit Qualité d air

Plus en détail

GESTION DU RISQUE INFECTIEUX D ORIGINE ALIMENTAIRE DANS LES UNITES DE SOINS

GESTION DU RISQUE INFECTIEUX D ORIGINE ALIMENTAIRE DANS LES UNITES DE SOINS GESTION DU RISQUE INFECTIEUX D ORIGINE ALIMENTAIRE DANS LES UNITES DE SOINS C. DECADE -Dr L. MARTY -D. DEMONTROND Dr C.MANUEL - Dr R.CABRIT - Dr G.MANN Centre Médical de Forcilles 77150 FEROLLES-ATTILLY

Plus en détail

TenderWet active, le pansement irrigo-absorbant unique pour une détersion active!

TenderWet active, le pansement irrigo-absorbant unique pour une détersion active! aide à guérir. TenderWet active, le pansement irrigo-absorbant unique pour une détersion active! Soin de plaies Tenderwet active, le pansement irrigopour la détersion efficace et pratique de toutes La

Plus en détail

Laboratoire Eau de Paris. Analyses et Recherche

Laboratoire Eau de Paris. Analyses et Recherche Laboratoire Eau de Paris Analyses et Recherche L eau, un aliment sous contrôle public Pour Eau de Paris, approvisionner la capitale en eau, c est garantir à ses 3 millions d usagers une ressource de qualité,

Plus en détail

PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement

PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?

Plus en détail

Tours de refroidissement Technologie environnementale

Tours de refroidissement Technologie environnementale Tours de refroidissement Technologie environnementale Nos points forts Technologie et environnement Surfaces d échange adaptées à chaque besoin : applications industrielles ou tertiaires Propreté et résistance

Plus en détail

La réglementation quelques incontournables

La réglementation quelques incontournables Unité d Hygiène et d Épidémiologie 2012 La réglementation quelques incontournables Code du Travail - Article L 231-2 du titre 3 Hygiène, sécurité et conditions de travail Paragraphe 2 : «Les établissements

Plus en détail

Recommandations pour la surveillance de la température de l eau chaude sanitaire

Recommandations pour la surveillance de la température de l eau chaude sanitaire Délégation territoriale du Val-d Oise Recommandations pour la surveillance de la température de l eau chaude sanitaire Maîtriser la température de l eau chaude sanitaire L exploitant d un réseau d eau

Plus en détail

Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau

Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l

Plus en détail

ETUDE DE LA SECONDE VIE DES BATTERIES DES VEHICULES ELECTRIQUES ET HYBRIDES RECHARGEABLES

ETUDE DE LA SECONDE VIE DES BATTERIES DES VEHICULES ELECTRIQUES ET HYBRIDES RECHARGEABLES ETUDE DE LA SECONDE VIE DES BATTERIES DES VEHICULES ELECTRIQUES ET HYBRIDES RECHARGEABLES Juin 2011 Étude réalisée pour le compte de l'ademe par Schwartz and Co et AJI Europe Coordination technique : Patrick

Plus en détail

Traitement de l eau par flux dynamique

Traitement de l eau par flux dynamique GmbH Traitement de l eau par flux dynamique afin de réduire les impuretés microbiologiques afin d empêcher l apparition de nouveaux germes dans les eaux de consommation et de process et Nouveau avec certificat

Plus en détail

CATALOGUE DE FORMATION. Qualité Hygiène et Sécurité Alimentaire. Au service des professionnels des métiers de bouche sur tout le territoire national

CATALOGUE DE FORMATION. Qualité Hygiène et Sécurité Alimentaire. Au service des professionnels des métiers de bouche sur tout le territoire national Qualité Hygiène et Sécurité Alimentaire 2015 Au service des professionnels des métiers de bouche sur tout le territoire national CATALOGUE DE FORMATION Enregistré sous le numéro 53350863735 auprès du Préfet

Plus en détail

3 Guide pour développer un plan national de gestion des déchets de soins médicaux

3 Guide pour développer un plan national de gestion des déchets de soins médicaux 3 Guide pour développer un plan national de gestion des déchets de soins médicaux (111) Cette section présente une liste d actions recommandées qui devraient être mises en place par le gouvernement central

Plus en détail

Catalogue Formation 2015

Catalogue Formation 2015 Catalogue Formation 2015 Because you care about CONSUMERS HEALTH HACCP Expertise, votre partenaire en sécurité des aliments Présentation du catalogue Pourquoi faire de la formation? Formation préventive

Plus en détail

Système de management H.A.C.C.P.

Système de management H.A.C.C.P. NM 08.0.002 Norme Marocaine 2003 Système de management H.A.C.C.P. Exigences Norme Marocaine homologuée par arrêté du Ministre de l'industrie, du Commerce et des Télécommunications N 386-03 du 21 Février

Plus en détail

Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins

Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Allocution d ouverture de Jean DEBEAUPUIS, Directeur Général de l Offre de soins Université d été de la performance en santé - 29 août 2014- Lille Monsieur le président, Monsieur le directeur général,

Plus en détail

Comment concevoir son lit biologique

Comment concevoir son lit biologique santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique

Plus en détail

Réseau National de Laboratoires * * * * * * * * * *

Réseau National de Laboratoires * * * * * * * * * * République du Sénégal Ministère de la Santé et de l Action Sociale Direction Générale de la Santé Direction des Laboratoires Réseau National de Laboratoires * * * * * * * * * * PLAN DE FORMATION DES PERSONNELS

Plus en détail

Conférence technique internationale de la FAO

Conférence technique internationale de la FAO Décembre 2009 ABDC-10/7.2 F Conférence technique internationale de la FAO Biotechnologies agricoles dans les pays en développement: choix et perspectives pour les cultures, les forêts, l élevage, les pêches

Plus en détail

Clean air solutions. Industrie agroalimentaire

Clean air solutions. Industrie agroalimentaire Clean air solutions Industrie agroalimentaire Industrie Agroalimentaire sécurité sanitaire des aliments Des causes microscopiques... L air extérieur véhicule de 200 à 1 500 bactéries au m 3. Une centrale

Plus en détail

Hygiène alimentaire en restauration

Hygiène alimentaire en restauration 2 0 1 5 Catalogue de formations Audit, conseil et formation Hygiène alimentaire en restauration Laboratoire Départemental de la Côte-d'Or (LDCO) Sommaire 1A 1B 23 4 5 6 7A 7B 8 Sensibilisation à l hygiène

Plus en détail

de l air pour nos enfants!

de l air pour nos enfants! B u l l e t i n d e l O Q A I n 1 Crèches et lieux d enseignement : de l air pour nos enfants! Le programme de l OQAI «Lieux de vie fréquentés par les enfants» a débuté en 2006. Une première phase de recueil

Plus en détail

Tiré à part de la rubrique L ENTREPRISE DU MOIS. de la revue L EAU, L INDUSTRIE, LES NUISANCES

Tiré à part de la rubrique L ENTREPRISE DU MOIS. de la revue L EAU, L INDUSTRIE, LES NUISANCES ÉDITIONS JOHANET, 60, RUE DU DESSOUS DES BERGES - 75013 PARIS TÉL. 01 44 84 78 78 - FAX 01 42 40 26 46 - WWW.REVUE-EIN.COM REVUE MENSUELLE - ISSN 0755-5016 Tiré à part de la rubrique L ENTREPRISE DU MOIS

Plus en détail

Condition Monitoring pour une gestion efficace du coût de possession.

Condition Monitoring pour une gestion efficace du coût de possession. Condition Monitoring pour une gestion efficace du coût de possession. HYDAC Allemagne HYDAC Chine HYDAC Danemark Le partenaire compétent pour le Condition Monitoring. Avec plus de 4.000 collaborateurs

Plus en détail

Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir

Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir Extrait Communiqué de presse Saint-Denis, le 12 avril 2012 Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir La dynamique du plan greffe 2000-2003 a généré un essor sans précédent de près de 50 % de

Plus en détail

La version électronique fait foi

La version électronique fait foi Page 1/6 Localisation : Classeur VERT Disponible sur Intranet A revoir : 10/2015 Objet : La présente procédure a pour objet de décrire les responsabilités et les principes pour la réalisation des prélèvements.

Plus en détail

Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS

Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Établissements de santé Droits et accueil des usagers Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Recommandations et indicateurs Préface Faire face aux inégalités de santé qui touchent tout

Plus en détail

Formation obligatoire d adaptation à l emploi

Formation obligatoire d adaptation à l emploi Cycle de formation Praxis Conforme à l arrêté du 16 juillet 2009 Formation obligatoire d adaptation à l emploi Agent de service mortuaire Madame, Monsieur, Depuis l arrêté du 16 juillet 2009 relatif à

Plus en détail

Résumé des modifications intervenues : simplification et clarification des actions descriptives

Résumé des modifications intervenues : simplification et clarification des actions descriptives Référence : PT/RES/006-B Page :Page 1 sur 5 Objet : Maîtriser les dangers microbiologiques, biologiques, chimiques et physiques lors des opérations d épluchage, lavage et désinfection des légumes terreux,

Plus en détail

Hygiène et capacité de charge

Hygiène et capacité de charge Hygiène et capacité de charge Plastique ou bois? Malgré un prix d acquisition plus élevé, les palettes plastiques offrent des avantages décisifs sur les palettes en bois. Il n existe aucune alternative

Plus en détail

arium advance EDI Désionisation électrochimique parfaitement fiable Avantages Description Applications ijust

arium advance EDI Désionisation électrochimique parfaitement fiable Avantages Description Applications ijust arium advance EDI Désionisation électrochimique parfaitement fiable Avantages Eau de type 2 de qualité constamment élevée grâce à la technologie EDI moderne Consommation d eau optimisée auto matique ment

Plus en détail

traçabilité en milieu médical

traçabilité en milieu médical traçabilité en milieu médical SOLUTIONS - EFFICACITÉ - SÉCURITÉ la traçabilité, pourquoi? Améliorer la sécurité du patient et la qualité des soins Améliorer la qualité des soins de santé est un enjeu majeur

Plus en détail

L alimentation. du patient. paration et de service? Emilie GARDES - Xavier VERDEIL - Nicole MARTY CHU de Toulouse

L alimentation. du patient. paration et de service? Emilie GARDES - Xavier VERDEIL - Nicole MARTY CHU de Toulouse L alimentation du patient greffé de moelle osseuse Quelle nourriture? Quel contenant? Quel environnement de préparation paration et de service? Emilie GARDES - Xavier VERDEIL - Nicole MARTY CHU de Toulouse

Plus en détail

Science et technique. La température et la durée de stockage sont des facteurs déterminants. Viande bovine et micro-organisme pathogène

Science et technique. La température et la durée de stockage sont des facteurs déterminants. Viande bovine et micro-organisme pathogène Science et technique Viande bovine et micro-organisme pathogène La température et la durée de stockage sont des facteurs déterminants La contamination des carcasses lors des opérations d abattage et la

Plus en détail

RESOLUTION OIV-VITI 469-2012 GUIDE D APPLICATION DU SYSTÈME HACCP (HAZARD ANALYSIS AND CRITICAL CONTROL POINTS) A LA VITICULTURE DE L OIV

RESOLUTION OIV-VITI 469-2012 GUIDE D APPLICATION DU SYSTÈME HACCP (HAZARD ANALYSIS AND CRITICAL CONTROL POINTS) A LA VITICULTURE DE L OIV RESOLUTION OIV-VITI 469-2012 GUIDE D APPLICATION DU SYSTÈME HACCP (HAZARD ANALYSIS AND CRITICAL CONTROL POINTS) A LA VITICULTURE DE L OIV L ASSEMBLÉE GÉNÉRALE, Suivant la proposition de la Commission I

Plus en détail

OUVERTURE ET MISE EN PLACE

OUVERTURE ET MISE EN PLACE OUVERTURE ET MISE EN PLACE Estelle Marcault 20/01/2012 URC PARIS NORD 1 Ouverture et mise en place Trois types de visites/ réunions peuvent avoir lieu : Visite de sélection Réunion investigateur Visite

Plus en détail

Recommandations des experts de la Société de réanimation de langue française, janvier 2002 Prévention de la transmission croisée en réanimation

Recommandations des experts de la Société de réanimation de langue française, janvier 2002 Prévention de la transmission croisée en réanimation Réanimation 2002 ; 11 : 250-6 2002 Éditions scientifiques et médicales Elsevier SAS. Tous droits réservés S1624069302002414/FLA RECOMMANDATIONS Recommandations des experts de la Société de réanimation

Plus en détail

Soyez. Pour un logement

Soyez. Pour un logement Soyez Pour un logement Sommaire LE CHAUFFAGE 2 LA VENTILATION 2 LES EQUIPEMENTS MENAGES 3 L ECLAIRAGE ET L ELECTRICITE 4 L EAU 4 TRIE DES DECHETS 5 LA CONSOMMATION DURABLE 6 LE TRANSPORT 7 Ce guide va

Plus en détail

BADORIS - Document de synthèse relatif à une barrière technique de sécurité (BTS)

BADORIS - Document de synthèse relatif à une barrière technique de sécurité (BTS) BADORIS - Document de synthèse relatif à une barrière technique de sécurité (BTS) Filtres à Très Haute Efficacité (THE) Version 0 juin 2006 Document élaboré par l IRSN Document de synthèse relatif à une

Plus en détail

Qualité. Sécurité Alimentaire

Qualité. Sécurité Alimentaire Le service Qualité Présentation du Service Démarche Qualité Qualité Réalisation des dossiers d agrément sanitaire pour les cuisines centrales >60 affermés API Réalisation des dossiers d accréditation en

Plus en détail

3. Artefacts permettant la mesure indirecte du débit

3. Artefacts permettant la mesure indirecte du débit P-14V1 MÉTHODE DE MESURE DU DÉBIT D UN EFFLUENT INDUSTRIEL EN CANALISATIONS OUVERTES OU NON EN CHARGE 1. Domaine d application Cette méthode réglemente la mesure du débit d un effluent industriel en canalisations

Plus en détail

Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée

Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux

Plus en détail

CONTRÔLES D HYGIèNE ET DE QUALITÉ D HÔTELLERIE ET DE RESTAURATION

CONTRÔLES D HYGIèNE ET DE QUALITÉ D HÔTELLERIE ET DE RESTAURATION CONTRÔLES D HYGIèNE ET DE QUALITÉ DANS LES établissements D HÔTELLERIE ET DE RESTAURATION 2 Table des matières 4-5 Présentation de SGS 6-7 Renforcez votre réputation 8-9 Programme d évaluation: «Hygiene

Plus en détail

Tuberculose bovine. Situation actuelle

Tuberculose bovine. Situation actuelle Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier

Plus en détail

Etanchéité à l air dans la construction bois. Marc DELORME Inter Forêt-Bois 42

Etanchéité à l air dans la construction bois. Marc DELORME Inter Forêt-Bois 42 Etanchéité à l air dans la construction bois Marc DELORME Inter Forêt-Bois 42 Pourquoi des bâtiments étanches à l air? Ne pas confondre : étanchéité à l air et confinement Une bonne étanchéité à l air

Plus en détail

formation - conseil eurofins formation La référence Hygiène, Qualité et SÉCURITÉ DES aliments Ensemble, développons les compétences de vos équipes!

formation - conseil eurofins formation La référence Hygiène, Qualité et SÉCURITÉ DES aliments Ensemble, développons les compétences de vos équipes! formation - conseil eurofins formation La référence Hygiène, Qualité et SÉCURITÉ DES aliments 2014 Ensemble, développons les compétences de vos équipes! 2014 La formation continue : la compétence au service

Plus en détail

Les rencontres «Acheteurs de la santé» - Auvergne Opportunités d affaires 2014-2015. Bilan

Les rencontres «Acheteurs de la santé» - Auvergne Opportunités d affaires 2014-2015. Bilan Les rencontres «Acheteurs de la santé» - Auvergne Opportunités d affaires 2014-2015 Bilan Contexte : Le marché hospitalier est identifié à la fois comme une source de croissance et d emplois pour les entreprises

Plus en détail

Utilisation de produits sains et sûrs Mise en oeuvre de procédures strictes et rigoureuses

Utilisation de produits sains et sûrs Mise en oeuvre de procédures strictes et rigoureuses INTRODUCTION H.A.C.C.P. ou A.R.M.P.C. L Analyse des risques et maîtrise des points critique La nouvelle réglementation en matière d hygiène (ar. 09 mai 1995 et ar. 29 septembre 1997) oblige les responsables

Plus en détail