MR detection of local prostate cancer recurrence after transrectal highintensity focused US treatment: preliminary results. J Radiol 2008;89:571-7
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1 :571-7 Éditions Françaises de Radiologie, Paris, 2008 Édité par Elsevier Masson SAS. Tous droits réservés article original urologie Détection par IRM des récidives locales du cancer de prostate après traitement par ultrasons focalisés de haute intensité (HIFU) transrectaux : étude préliminaire A Ben Cheikh (1, 2), N Girouin (1, 2), P Ryon-Taponnier (1, 2), F Mège-Lechevallier (3), A Gelet (4), JY Chapelon (5), D Lyonnet (1, 2, 4) et O Rouvière (1, 2, 4) Abstract MR detection of local prostate cancer recurrence after transrectal highintensity focused US treatment: preliminary results. :571-7 Purpose. To assess T2W and dynamic: contrast-enhanced (DCE) MR imaging in the detection of local tumor recurrence after transrectal high-intensity focused US (HIFU) treatment. Materials and methods. Fifteen patients treated by HIFU for prostate cancer were referred for MR due to biological evidence of tumor recurrence. Axial, sagittal and coronal T2W images and DCE images (12 3-mm thick axial images, temporal resolution: 15 seconds) were obtained first. Transrectal biopsies were then obtained under US guidance. MR findings were compared to biopsy results for 10 prostate sectors. Results. Biopsies demonstrated tumor recurrence in 13/15 patients (23/ 108 sectors). On T2W images, the treated prostate tissue was diffusely hypointense which interfered with interpretation. Three patients (5 sectors) had suspicious areas of T2W signal abnormality and 15 patients (29 sectors) had suspicious areas on DCE scans. An analysis per sector for T2W and DCE imaging showed sensitivity, specificity, positive predictive and negative predictive values respectively of 0.13, 0.98, 0.6 and 0.81 and 0.70, 0.85, 0.55 and DCE MR was strongly predictive of positive biopsy results (Odds ratio: 12.8 (95% confidence interval: )) whereas T2W imaging was not (Odds ratio: 4.0 (95% confidence interval: )). Conclusion. MR, especially DCE MR, is promising for the detection and localization of local prostate cancer recurrence after transrectal HIFU treatment. Key words: Prostate cancer. HIFU. MR. Dynamic contrast-enchanced MR. Prostate biopsy. Résumé Objectif. Évaluer l IRM T2 et dynamique dans la détection des récidives locales du cancer de prostate après traitement par ultrasons focalisés de haute intensité (HIFU) transrectaux. Matériel et méthodes. Quinze patients traités par HIFU pour cancer de prostate et adressés pour récidive biologique ont été explorés par IRM. Des coupes T2 axiales, sagittales et coronales ont été suivies d une acquisition dynamique (12 coupes axiales de 3 mm ; résolution temporelle : 15 secondes) après injection de gadolinium. Des biopsies transrectales ont ensuite été réalisées sous guidage écho-doppler. Les résultats de l IRM et des biopsies ont été comparés dans 10 secteurs prostatiques. Résultats. Les biopsies ont montré une récidive tumorale chez 13/ 15 patients (23/108 secteurs). En T2, les prostates traitées présentaient un hyposignal diffus gênant leur interprétation. Trois patients (5 secteurs) présentaient des anomalies suspectes en T2 et 15 patients (29 secteurs) en dynamique. Lors de l analyse par secteur, la sensibilité, spécificité, valeur prédictive positive et valeur prédictive négative de l IRM T2 et dynamique étaient respectivement de 0,13, 0,98, 0,6 et 0,81 et de 0,70, 0,85, 0,55 et 0,91. L IRM dynamique était un prédicteur significatif des résultats des biopsies (Odds ratio : 12,8 [intervalle de confiance (IC) à 95 % : 4,4-37,3]), mais pas l IRM T2 (Odds ratio : 4,0 [IC à 95 % : 0,5-30]). Conclusion. L IRM, notamment dynamique, est une méthode prometteuse pour la détection et la localisation des récidives locales après traitement du cancer de prostate par HIFU transrectaux. Mots-clés : Cancer de prostate. HIFU. IRM. IRM dynamique. Biopsie de prostate. Les ultrasons focalisés de haute intensité (HIFU) sont de plus en plus utilisés dans le traitement des tumeurs (1). En focalisant un faisceau d ultrasons (1) Hospices Civils de Lyon, Département d Imagerie Urinaire et Vasculaire, Hôpital Édouard Herriot, 5, place d Arsonval, Lyon Cedex 03. (2) Université de Lyon 1, faculté de médecine Lyon Nord, Lyon. (3) Hospices Civils de Lyon, Département d Anatomie Pathologique, Hôpital Édouard Herriot, 5, place d Arsonval, Lyon Cedex 03. (4) Hospices Civils de Lyon, Département d Urologie, Hôpital Édouard Herriot, Lyon, 5, place d Arsonval, Lyon Cedex 03. (5) Inserm, U556, Lyon. Correspondance : O Rouvière Olivier.rouviere@netcourrier.com de haute intensité, on concentre en effet l énergie de ce faisceau au point focal. Il en résulte une augmentation de la température de 80 à 100 C en quelques secondes, ce qui induit une nécrose de coagulation du point focal. La zone ainsi détruite est généralement assez petite (cylindre de 5-20 mm de hauteur et 1-3 mm de diamètre) (2, 3). Il est donc nécessaire, pour traiter toute tumeur, de juxtaposer les tirs jusqu à ce que tout le volume cible ait été parcouru. L application médicale actuellement la plus avancée est le traitement du cancer de prostate cliniquement localisé chez les patients refusant ou présentant une contre indication à la prostatectomie (4, 5). Dans cette indication, le taux de survie sans récidive à 5 ans est voisin de celui de la radiothérapie (6-8). Classiquement, le taux de PSA chute rapidement après traitement pour atteindre un nadir dans les 6 mois. La plupart des équipes réalisent des ponctions biopsies prostatiques (PBP) systématiques chez tous les patients, 3-6 mois après le traitement, quel que soit le taux de PSA. Si ces prélèvements sont négatifs, le taux de PSA est surveillé régulièrement. En cas de ré-ascension, de nouvelles PBP sont réalisées (6, 7).
2 572 Détection par IRM des récidives locales du cancer de A Ben Cheikh et al. Les cancers résiduels dépistés sur des PBP systématiques ou obtenues devant une récidive biologique peuvent être re-traités par HIFU transrectaux (6, 9). Ceci rend nécessaire la détection précoce des foyers tumoraux résiduels. On peut cependant suspecter que les PBP randomisées n aient qu une assez faible sensibilité, d autant qu après traitement HIFU, la prostate devient petite, hétérogène et ininterprétable en échographie (10). Un premier progrès est venu de l utilisation du Doppler couleur dans le guidage des PBP contrôle. Le Doppler est en effet un prédicteur significatif du résultat des PBP (11). Malheureusement, cette technique reste peu sensible (2/3 des foyers tumoraux vivaces trouvés en biopsie sont en territoire non hypervasculaire). De plus, elle n est pas fiable si le patient a reçu une hormonothérapie néoadjuvante (11). En effet, l hormonothérapie, même si elle est systématiquement arrêtée le jour du traitement HIFU, peut réduire la vascularisation des foyers tumoraux (et donc leur capacité à être détectés en Doppler) pendant des mois après son arrêt. À notre connaissance, l IRM n a jamais été évaluée dans la détection des tumeurs résiduelles ou des récidives après traitement HIFU pour cancer de la prostate. Pourtant, l IRM (et notamment l IRM dynamique après injection de chélates de gadolinium) est une technique sensible pour la détection des cancers dans les prostates non traitées (12-15) ou pour la détection des récidives après radiothérapie (16). Nous rapportons ici l analyse de 15 patients qui présentaient une récidive biologique après traitement HIFU et chez qui une IRM (séquences T2 et dynamiques) a été réalisée avant une nouvelle série de PBP à la recherche d une récidive locale. Le but de cette étude est double : d une part décrire l aspect IRM des prostates après traitement HIFU et d autre part, évaluer si cette technique permet la détection et la localisation des récidives tumorales. Matériel et méthodes Population d étude Notre population d étude est composée de 14 patients âgés de 55 à 80 ans (moyenne : 69 ± 6,2 ans) adressés entre septembre 2005 et mars 2007 pour suspicion biologique de récidive après traitement HIFU transrectal pour cancer de prostate. Tous ont été explorés par IRM avant réalisation de PBP. Un patient a subi deux PBP à un an d intervalle, chacune ayant été précédée d une IRM. Il a été considéré dans le reste de l analyse comme deux patients distincts. Notre base de données est donc composée de corrélations IRM-biopsies chez 15 patients. Tous les patients avaient été traités avec l appareil Ablatherm (Edap, Vaulx-en- Velin, France), le plus souvent après résection endo-uréthrale, suivant la technique habituelle (6) en une (n = 10) ou deux sessions (n = 5). Le délai moyen entre la dernière session de traitement HIFU et l IRM était de 22,5 ± 16,5 mois (extrêmes, 4-72). Le nadir moyen du taux de PSA après la dernière session HIFU était de 2,4 ± 2,8 ng/ml (extrêmes, 0,06-10,78). Il était ensuite remonté à un taux moyen de 4,90 ± 4,79 ng/ml (extrêmes, 1,26-22) avant l IRM. Technique IRM Les examens ont été réalisés sur une IRM 1,5 T (Symphony, Siemens, Erlangen, Germany) en utilisant une antenne de surface en réseau phasé. Le même protocole a été utilisé pour tous les examens. Premièrement, des coupes en pondération T2 Turbo Spin Echo (TSE) [TR ms ; TE 109 ms ; 20 coupes de 4 mm d épaisseur ; FOV 180 mm 180 mm ; matrice ; 3 excitations ; train d écho : 21 ; suréchantillonnage de phase 25 % ; temps d acquisition 3 m 48] ont été obtenues dans les plans axial, sagittal et coronal. Puis une séquence en pondération T1 Fast Low Angle Shot (FLASH) avec saturation de graisse a été acquise dans le plan axial. [TR 5,38 ms ; TE 2,73 ms ; angle bascule : 10 ; matrice ; FOV mm, 1 volume ; 14 coupes de 3 mm d épaisseur, suréchantillonnage de phase 14 % ; 1 excitation, temps d acquisition 15 s] avant injection de produit de contraste. La même séquence a ensuite été répétée 12 fois après injection automatique (Medrad ; Warrendale, USA) d un bolus de 0,1 mmol/kg d acide gadotérique (Dotarem, Guerbet, Roissy, France) à 3 cc/s suivi d un bolus de 20 cc de sérum physiologique à la même vitesse. La première de ces 12 acquisitions était déclenchée manuellement à l arrivée du bolus de produit de contraste dans les artères fémorales communes. La durée totale de l examen était d environ 30 minutes Analyse des images IRM Pour l analyse, la prostate a été divisée en 8 secteurs (apex, partie moyenne, base, vésicules séminales droits et gauches). En l absence de connaissance préalable de l aspect IRM des récidives après traitement HIFU, les critères diagnostiques des récidives ont été définis a priori sur la base de ceux utilisés pour les prostates non traitées (12) et pour les récidives après radiothérapie (16, 17). Sur les séquences T2, il était attendu que la prostate résiduelle soit hétérogène et/ ou en hyposignal diffus. Un tel aspect a donc été considéré comme normal. En revanche, toute plage focalisée nodulaire apparaissant en hyposignal plus intense que le reste de la prostate a été considérée comme suspecte. Une atteinte des vésicules séminales était diagnostiquée devant la présence d un épaississement de leur paroi ou d éléments hypointenses dans leur lumière. En séquence dynamique, toute plage nodulaire présentant un rehaussement précoce et intense par rapport au reste de la prostate était considérée comme maligne. L atteinte des vésicules séminales était diagnostiquée sur un rehaussement précoce des parois ou de la lumière de la glande. PBP écho-guidées Les PBP ont été réalisées en moyenne 7,4 jours (extrêmes, 1-63) après l IRM. Elles ont toutes été effectuées par quatre radiologues seniors (expérience respective : 2, 2, 5 et 15 ans) à l aide d un appareil Voluson 530D en utilisant une sonde endorectale S-IC5-9 (Kretz, AG, Zipf, Autriche) fonctionnant à 7,5 MHz pour l échographie mode B et à 6,5 MHz pour le Doppler couleur. Dans un premier temps, le volume prostatique était calculé à partir d une coupe sagittale et d une coupe transversale en utilisant la formule de l ellipsoïde (hauteur diamètre antéropostérieur diamètre transverse 0,52). Les PBP étaient ensuite réalisées après anesthésie locale péri-prostatique à l aide un pistolet à biopsie automatique18 G (Bard, Murray, Hill, NJ). Dans notre institution le protocole de biopsie après traitement HIFU ne comporte
3 A Ben Cheikh et al. Détection par IRM des récidives locales du cancer de 573 qu un prélèvement randomisé par sextant, auxquels s ajoutent des prélèvements guidés par écho-doppler, s il existe des cibles suspectes (11). Pour les patients de cette étude, l opérateur avait accès aux images IRM à partir de notre serveur d image (PACS) et devait définir préalablement les zones présentant des anomalies suspectes sur les images T2 et/ou dynamiques. Lorsqu il existait une anomalie IRM dans un sextant donné, une ou plusieurs biopsies étaient dirigées vers la partie suspecte du sextant. Une biopsie randomisée était également réalisée dans chaque sextant négatif en IRM. Dans l intérêt du patient, l opérateur pouvait aussi réaliser des prélèvements dirigés sur des anomalies Doppler et/ou des prélèvements dans les vésicules séminales si celles-ci étaient anormales en IRM et/ou en échographie. Dans tous les cas, le compte rendu devait clairement mentionner les biopsies provenant de régions considérées comme normales en IRM et celles provenant de régions considérées comme suspectes. Toutes les biopsies ont été marquées par de l encre de chine à leur extrémité capsulaire, conditionnées dans des poudriers remplis de liquide de Bouin et marqués selon la localisation de la biopsie et la présence ou non d une anomalie IRM. Analyse anatomopathologique Les carottes ont été traitées selon le protocole standard de notre institution. Pour chaque prélèvement, le rapport anatomopathologique contenait la présence ou non de cancer, et en cas de cancer, la longueur d envahissement et le score de Gleason. VN étaient définis comme les patients n ayant aucune anomalie IRM et aucune biopsie positive sur l ensemble de la prostate. Les patients ayant au moins une biopsie positive mais sans anomalie IRM dans le même secteur ont été classés comme FN. Les patients n ayant aucune biopsie positive et au moins un secteur positif en IRM ont été classés comme FP. Enfin, les patients ayant à la fois des secteurs FN et FP sans aucun secteur VP ont été considérés comme inclassables. Résultats PBP écho guidées Le volume prostatique moyen mesuré en échographie était de 10,1 ± 7 cc (extrêmes, 2-28). Au total 144 prélèvements ont été réalisés dans 108 secteurs prostatiques. Treize des 15 PBP ont montré un cancer résiduel. Sur les 108 secteurs biopsiés, 23 (21,2 %) étaient positifs. Le tableau I donne la répartition des secteurs positifs. Le score de Gleason était de 6, 7 et 8 dans 8, 11 et 4 secteurs respectivement. La longueur moyenne d envahissement des biopsies positives était de 4,6 ± 5,1 mm (extrêmes, 0,3-20). Données IRM Dans tous les cas, la prostate résiduelle était de petite taille, avec souvent une large loge de résection et des contours flous. Sur les séquences pondérées en T2, elle apparaissait en hyposignal diffus, parfois hétérogène, avec perte de l anatomie zonale, ce qui la rendait difficilement interprétable. En revanche, les séquences dynamiques étaient plus faciles à interpréter, le parenchyme prostatique résiduel se rehaussant peu après injection, à la différence des récidives locales (fig. 1 à 3). Sur les 15 patients, seuls trois présentaient une anomalie jugée suspecte sur les images T2 (5 secteurs). Sur les images dynamiques, tous les patients présentaient des signes de récidive dans 29 secteurs. Le tableau II donne la répartition des secteurs positifs sur les séquences T2 et dynamique. Corrélation IRM/histologie Le tableau III présente les résultats de l analyse par patients. Les tableaux IV et V présentent les résultats de l analyse par secteurs. Sur les bases de cette analyse par secteurs, et en considérant le résultat des biopsies comme le gold standard, les sensibilité, spécificité, valeur prédictive positive et Tableau I Localisation des secteurs positifs en biopsie. Nombre de secteurs positifs en biopsie Apex 8 Partie moyenne 6 Base 6 Vésicule 3 séminale Total 23 Analyse statistique L analyse statistique a été réalisée par un statisticien professionnel, avec le logiciel SPSS (Chicago, USA). Les résultats sont présentés sous la forme moyenne ± écarttype. Les différences ont été considérées comme significatives lorsque p < 0,05. Pour l analyse par patients, les définitions des vrais positifs (VP), vrais négatifs (VN), faux négatifs (FN) et faux positifs (FP) sont les suivantes. Les patients ayant au moins un secteur avec une biopsie positive et la présence d une image suspecte de cancer en IRM (en T2 et/ou dynamique) dans le même secteur ont été considérés comme VP, quel que soit le résultat des biopsies dans les autres secteurs. Les Tableau II Localisation des secteurs positifs sur l IRM T2 et sur l IRM dynamique. Nombre de secteurs positifs en T2 Nombre de secteurs positifs en dynamique Apex 2 7 Partie moyenne 1 10 Base 2 7 Vésicule séminale 0 5 Total 5 29 Tableau III Corrélation IRM/Biopsies (analyse par patients). VP FP VN FN Inclassables T Séquence dynamique VP : vrai positif ; VN : vrai négatif ; FP : faux positif ; FN : faux négatif.
4 574 Détection par IRM des récidives locales du cancer de Tableau IV Corrélation IRM T2/Biopsies (analyse par secteurs). Résultats Biopsie Positif Négatif Total Résultats IRM T2 Positif Négatif Total A Ben Cheikh et al. valeur prédictive négative étaient respectivement 0,13, 0,98, 0,6 et 0,81 pour l IRM T2 et 0,70, 0,85, 0,55 et 0,91 pour l IRM dynamique. L IRM dynamique était un prédicteur significatif des résultats des biopsies (Odds ratio : 12,8 [intervalle de confiance (IC) à 95 % : 4,4-37,3]), mais pas l IRM T2 (Odds ratio : 4 [IC à 95 % : 0,5-30]). Tableau V Corrélation IRM dynamique/biopsies (analyse par secteurs). Résultats IRM dynamique Résultats Biopsie Positif Négatif Total Positif Négatif Total Discussion Après traitement HIFU la zone détruite apparaît comme une zone totalement dévascularisée et peut donc facilement être mise en évidence par Doppler avec injection de produit de contraste (18) ou IRM pondérée en T1 après injection (non dynamique) de produit de contraste (19). ab c Fig. 1 : Images obtenues chez un patient de 76 ans aux antécédents de traitement HIFU pour cancer de prostate Gleason 6 deux ans auparavant. Le PSA initial était de 8,3 ng/ml. Le nadir du PSA a été de 4,22 ng/ml. Le taux de PSA a ensuite progressivement augmenté jusqu à 6 ng/ml. a Image TSE pondérée en T2 (TR ms ; TE 109 ms ; épaisseur : 4 mm ; FOV 180 mm 180 mm ; matrice ) montrant une prostate hétérogène, en hyposignal diffus avec une anatomie zonale mal visible. Aucune plage suspecte n est clairement identifiable. b-c Images FLASH pondérées en T1 (TR 5,38 ms ; TE 2,73 ms ; angle de bascule 10 ; épaisseur 3 mm ; FOV mm ; matrice ; temps d acquisition 15 s) avec saturation de graisse, avant (b) et après (c) injection de chélate de gadolinium. L image dynamique après injection montre deux zones suspectes, à rehaussement précoce et intense : l une dans la zone transitionelle gauche, en position antérieure (c, flèche), l autre dans la partie moyenne droite de la zone périphérique droite (c, tête de flèche). Les biopsies de la partie moyenne droite de la zone périphérique ont montré un cancer résiduel de 3 mm et de score de Gleason 6.
5 A Ben Cheikh et al. Détection par IRM des récidives locales du cancer de 575 Fig. 2 : a b ab Images obtenues chez un patient de 69 ans aux antécédents traitement HIFU (2 sessions) pour cancer de prostate Gleason 7 deux ans auparavant. Le PSA initial était de 16 ng/ml. Le nadir du PSA a été de 1,87 ng/ml. Le taux de PSA a ensuite progressivement augmenté jusqu à 4,05 ng/ml. Image TSE pondérée en T2 (TR ms ; TE 109 ms ; épaisseur : 4 mm ; FOV 180 mm 180 mm ; matrice ) montrant une plage suspecte, mal limitée, en hyposignal très net, située à l apex gauche (flèche). Image FLASH pondérée en T1 (TR 5,38 ms ; TE 2,73 ms ; angle de bascule 10 ; épaisseur 3 mm ; FOV mm ; matrice 256 x 135 ; temps d acquisition 15 s) avec saturation de graisse, après injection de chélate de gadolinium, montrant un rehaussement précoce et intense de la lésion suspecte visible sur les images pondérées en T2 (flèche). La biopsie de l apex gauche a montré un cancer résiduel de 7 mm et de score de Gleason 7. Fig. 3 : Image FLASH pondérée en T1 (TR 5,38 ms ; TE 2,73 ms ; angle de bascule 10 ; épaisseur 3 mm ; FOV mm ; matrice ; temps d acquisition 15 s) avec saturation de graisse, après injection de chélate de gadolinium obtenue chez un patient de 55 ans aux antécédents traitement HIFU pour cancer de prostate Gleason 8, 17 mois auparavant. Le PSA initial était de 8 ng/ml. Le nadir du PSA a été de 0,06 ng/ml. Le taux de PSA a ensuite progressivement augmenté jusqu à 0,32 ng/ml. Un nodule à rehaussement précoce est visible dans la base droite (flèche). Cette anomalie n était pas clairement visible sur les images pondérées en T2 (non montré). La biopsie de la base droite a montré un cancer résiduel de 3 mm et de score de Gleason 8. Cette zone dévascularisée régresse de façon centripète en 3-5 mois, à mesure que la nécrose de coagulation induite par les HIFU est remplacée par de la fibrose cicatricielle (19). Dans le même temps, la prostate s atrophie considérablement, son volume final étant régulièrement inférieur à 10 g. Son échostructure devient hétérogène et totalement ininterprétable en échographie (11). À notre connaissance, l aspect IRM de la prostate plus de 6 mois après traitement HIFU n a jamais été décrit. Le fait que la prostate résiduelle soit difficile à interpréter en T2 n est pas surprenant. Après radiothérapie externe, cu- riethérapie ou cryothérapie, la prostate a également tendance à présenter un hyposignal T2 diffus et/ou à devenir hétérogène, avec perte de l anatomie zonale, ce qui diminue le contraste naturel avec une éventuelle récidive (16, 17, 20-23). En revanche, nos données suggèrent que l IRM dynamique peut être une technique intéressante pour repérer les récidives locales. Soixante-dix pour-cent des secteurs positifs en biopsie étaient en effet positifs en IRM dynamique, contre seulement 13 % pour l IRM T2. Cette bonne sensibilité devrait pouvoir améliorer la sensibilité des biopsies et permettre une détection plus précoce des récidives. Bien entendu, ces résultats sont à nuancer par le fait que les biopsies ne sont pas un gold standard dans la détection des récidives locales. Dans la littérature, le taux de positivité de biopsies itératives après 10 à 12 prélèvements négatifs est de % (24, 25), ce qui suggère qu un nombre non négligeable de cancers est raté par les biopsies initiales. Il est donc possible que certains sextants négatifs en biopsie aient en fait contenu une récidive. Par ailleurs, plusieurs résultats de cette étude pilote méritent aussi d être précisés par d autres études. Premièrement, nous avons utilisé des critères diagnostiques purement visuels. Ceux-ci sont en effet faciles à utiliser, ne nécessitent aucun post-processing et se sont révélés efficaces dans la détection du
6 576 Détection par IRM des récidives locales du cancer de A Ben Cheikh et al. cancer dans les prostates non traitées (12, 13) et dans la détection des récidives postradiothérapie (16). Cependant, à condition d utiliser une résolution temporelle suffisante, il est aussi possible d extraire des paramètres pharmacocinétiques à partir des données dynamiques (14, 26). L intérêt potentiel de ces paramètres par rapport aux simples critères visuels, et notamment leur capacité à améliorer la VPP de l IRM dynamique, reste à définir. Deuxièmement, il n est pas certain que l IRM dynamique, quels que soient les critères diagnostiques utilisés, permettra de faire la différence entre récidive tumorale et tissu adénomateux résiduel. Les cinétiques de rehaussement du cancer et du tissu adénomateux sont voisines (27) et la capacité de détection du cancer dans l adénome en IRM dynamique reste controversée (12, 28, 29). Or, il n est pas possible de traiter par HIFU les tissus qui se trouvent au-delà du point focal du transducteur. De fait, il est fréquent d observer une bande de tissu adénomateux antérieur non détruite à l issue du traitement (19). Ceci n est pas un réel problème puisque, du fait de l atrophie prostatique induite par le traitement, ce tissu antérieur devient accessible à une seconde session si nécessaire (10). Cependant, les capacités de détection par IRM dynamique d une récidive dans ce tissu adénomateux antérieur seront à évaluer. La spectroscopie 1 H, qui peut détecter les récidives après cryothérapie (21), ou l échographie de contraste, qui a donné des résultats préliminaires intéressants pour guider les biopsies sur des prostates non traitées (30), pourraient aussi être intéressantes pour détecter les récidives locales après traitement HIFU. À notre connaissance, elles n ont pas encore été évaluées dans cette indication. Dans cette étude, nous n avons pas utilisé d antenne endorectale. Celle-ci est en effet coûteuse, source d inconfort pour le patient et peut entraîner des inhomogénéités de champ gênantes en IRM dynamique. De bons résultats ont d ailleurs été récemment publiés avec des antennes en réseau-phasé uniquement (12, 13). Cependant, étant donné l atrophie importante des prostates après HIFU, l antenne endorectale, qui augmente le rapport signal sur bruit, pourrait améliorer la détection des récidives. De même, l utilisation d un appareil 3 T pourrait améliorer la résolution spatiale et temporelle des images dynamiques (31). Ces deux points méritent aussi d être évalués. Enfin, l obtention d une IRM avant les biopsies représente un surcoût non négligeable. Notre étude pilote ne permet pas d apprécier la proportion de patients dont la récidive a été diagnostiquée par IRM et aurait été manquée par de simples biopsies randomisées. Seule une méthodologie stricte, avec deux opérateurs (l un réalisant les biopsies randomisées, l autre ne réalisant que quelques prélèvements sur les cibles indiquées par l IRM) peut répondre à cette question. Une telle étude est en cours dans notre service. En conclusion, cette étude préliminaire suggère que l IRM dynamique peut détecter et localiser les récidives de cancer prostatique après traitement HIFU avec une bonne fiabilité. Ceci offre la perspective d un diagnostic plus précoce de ces récidives et donc d un retraitement HI- FU mieux ciblé. Toutefois, ces bons résultats de l IRM dynamique restent à confirmer sur un plus grand effectif. De même, le rapport coût/efficacité d une stratégie utilisant l IRM dynamique pour localiser un éventuel cancer local résiduel chez les patients présentant une récidive biologique après traitement HIFU méritera d être analysé avec soin. Références 1. Kennedy JE. High-intensity focused ultrasound in the treatment of solid tumours. 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