Rapport d activités 2014
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- Hugues Pothier
- il y a 7 ans
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1 Rapport d activités 2014 Service d accueil d urgence La Ruche - Maison du Sacré-Cœur Rue Creusiaux GOSSELIES 071 / Dans le cadre d un Projet Pilote, nous sommes agréés pour l accueil d urgence de maximum 4 enfants âgés entre 3 mois et 8 ans (11 ans dans le cas de fratrie) et ce pour une durée de 7 jours. rue du Cimetière / MARCHIENNE-DOCHERIE aj-i0162@cfwb.be
2 1. Présentation du projet Depuis le 1 er juin 2009, nous avons 4 places d accueil disponibles pour répondre à des demandes d accueil d urgence (Projet Pilote Accueil d urgence). «La Ruche» est un service d accueil et d aide éducative (S.A.A.E.), organisé par la Maison du Sacré-Cœur () et agréé par la Communauté française dans le cadre de l Aide à la Jeunesse. Située à Gosselies, «La Ruche» est agréée pour l accueil de 15 enfants âgés entre 0 et 12 ans. Dans le cadre d un «projet pilote - Accueil d urgence», nous sommes agréés pour l accueil et pour l hébergement de 4 garçons et filles âgés entre 3 mois et 8 ans (dans le cas de fratrie, l âge maximal est 11 ans) pour un maximum de 7 jours. Objectifs et limites du projet Pour ces enfants, nous offrons un accueil bienveillant et sécurisant. La période d accueil doit aider à «calmer le jeu», à permettre aux adultes de prendre un peu de recul face à une situation qui a nécessité une mesure d urgence pour protéger l enfant. Par notre travail, nous veillerons à : accueillir l enfant dans un milieu rassurant et neutre, dédramatiser la situation et expliquer à l enfant le sens de la décision qui a été prise (qui a pris la décision? Pourquoi? Pour quelle durée? Quelle procédure pour après?) permettre à l enfant de verbaliser ses sentiments, ses questions, ses attentes maintenir les liens entre l enfant et sa famille durant cette courte période d accueil proposer aux parents un temps d arrêt et un travail de verbalisation et de prise de conscience de la situation de leur enfant et de la mesure d urgence qu ils ont sollicitée ou qui leur a été imposée inviter les parents à réfléchir aux ressources mobilisables pour les aider à dépasser les difficultés actuelles et les souhaits ou propositions qu ils pourraient faire à l autorité mandante au terme de la période d accueil. 2
3 Procédure d admission Les demandes d admission sont gérées directement par l équipe éducative «La Ruche». La réponse est automatiquement positive lorsque les conditions suivantes sont respectées : o une place U réellement disponible o si enfant seul, âgé entre 3 mois et 8 ans, si fratrie entre 0 et 11 ans o demande de Charleroi, Namur ou Nivelles ou, en cas de fratrie, de Mons, Tournai ou Bruxelles. o pas de handicap (moteur ou mental trop important), ni de difficultés de santé majeures Par principe, nous ne faisons pas la démarche d aller chercher l enfant. Nous pouvons toutefois exceptionnellement assurer le trajet au retour d un rendez-vous chez l autorité mandante. Les demandes doivent être faites par téléphone au 071 / Possibilité de suivi dans un milieu familial après l accueil Pour les enfants de l arrondissement de Charleroi qui auront été accueillis en urgence, un accompagnement éducatif (code M) pourra être proposé lors d un retour dans la famille élargie ou en famille et ce pour une durée maximale de 2 mois 1, soit en terme de relais en attendant l intervention d un service plus spécialisé pour ce type de suivi, soit pour donner plus de temps à l autorité mandante pour évaluer les besoins de l enfant et les ressources de son milieu familial avant de proposer un nouveau programme d aide. Dans le cadre de cet accompagnement, nous veillerons, en fonction du mandat, à : rappeler le sens de la mesure du placement de l enfant en urgence et celle d accompagnement éducatif mettre en place les espaces pour maintenir la relation «enfants parents» (si orientation vers la famille élargie) rappeler le rôle de «dépannage» de l accueillant et l exigence de garder une certaine neutralité dans les relations avec les parents aider l enfant à ré-intégrer sa scolarité ou à retrouver une école aider les parents à être attentifs aux besoins de leur enfant et à pouvoir mobiliser les ressources extérieures nécessaires éventuellement, accompagner l enfant et sa famille dans les démarches de réorientation vers un autre service. 1 Ces situations de «code M» seront limitées à 3 situations et ne pourront pas faire l objet d une mesure de ré-hébergement dans le service. 3
4 2. Rapport d activités 2014 Durant l année 2014, nous avons accueillis 91 enfants. Cela représente un taux d occupation de 51 %. Ce taux est en progression par rapport aux années précédentes. Contrairement aux années précédentes, nous pouvons constater des fluctuations moins importantes d un mois à l autre : min 41% et max 94% (années antérieures : min 13% et max 77%). Il faut noter que l accueil immédiat en urgence n est possible que si une ou plusieurs places (pour les fratries) est (sont) disponible(s). Le taux d occupation pour ce type de service ne peut donc être aussi élevé que dans un S.A.A.E. Nombre de jeunes accueillis et répartition suivant l âge, le sexe et la fratrie Garçons Filles % 0 à 2 ans % 3 à 6 ans % 7 à 12 ans % 13 à 15 ans % 16 à 18 ans % % 40 % 67% Seul Avec 2 mandats Avec 3 mandats Avec 4 mandats ou plus N. fratries % d enfants 31 % 42 % 10% 17 % Sur les 91 enfants accueillis durant cette année, l équipe a accueilli une majorité (67 %) d enfants âgés entre 0 et 6 ans. Ce nombre confirme l orientation de notre projet vers les jeunes enfants. Comme l année précédente, une grande majorité des enfants (69 %) ont été accueillis en «fratrie». En prenant en compte la dimension fratrie, nous avons répondu à 54 demandes (situations). Cette pratique (accueil de jeunes enfants et accueil de fratrie) est spécifique à notre équipe (en comparaison avec les 6 autres services d accueil d urgence) et est cohérente avec notre projet de départ : accueil de jeunes enfants et respect de l unité des fratries. 4
5 Origine de la demande (Autorité mandante et arrondissement) S.A.J. S.P.J. T.J. Charleroi % Mons % Tournai % Namur % Dinant % Nivelles % Bruxelles % Liège % % 30 % 20 % Les jeunes accueillis viennent, majoritairement, de l arrondissement de Charleroi (59 %). La majorité des accueils ont été négociés avec les parents chez le Conseiller d Aide à la jeunesse : soit que les parents étaient directement demandeurs, soit qu ils ont reconnu la situation précaire et le besoin pour leur(s) enfant(s) d être accueilli(s) en urgence. Nous observons également une diminution des demandes SAJ (- 14%) et une augmentation des demandes SPJ (+ 17 %) entre 2014 et Nous observons également que 18 enfants (20 %) ont été orientés vers «La Ruche» suite à une décision prise en urgence par le Tribunal de la Jeunesse. Parfois, cette demande a été initiée par le Conseiller d Aide à la jeunesse ou par le Directeur de l Aide à la jeunesse. Habituellement, pour ces situations d urgence, la demande et le suivi ont été effectués par le délégué du SAJ ou du SPJ. Milieu d origine et motifs de la décision de placement Durant cette année 2013, nous avons observé que 50% des mesures de placement d urgence étaient prises sans qu une autre mesure ait été prise antérieurement. Parents % Famille élargie 3 3 % Maison d accueil pour adultes % CAU 7 8 % Autres lits d urgence 2 2 % AMO 24H/ % SPF Urgence 5 6 % Hôpital 4 4 % Internat scolaire 2 2 % Famille d accueil 2 2 % Autres 2 2 % 54 % 17 % 5
6 Par rapport à 2013, nous observons une diminution de nombre d enfants arrivant directement de leur milieu familial (parents ou famille élargie): 54% au lieu de 77 %. Par contre, 19% des enfants venaient d une maison d accueil pour adultes où ils étaient avec un de leurs parents. Sur ces 17 enfants, 7 ont dû être accueillis en urgence suite à l expulsion du parent violent dans le centre d accueil. Si nous prenons également en compte les enfants qui étaient en Maison d accueil avec un (ou ses) parents, nous avons 73 % des enfants pour qui la mesure de placement est un éloignement avec sa famille d origine. Enfin, suite à «l engorgement du secteur» et à la difficulté de trouver des places d accueil, 17 % des jeunes venaient d une autre structure d urgence (contre 8 % en 2013). Au niveau des motivations du placement d urgence, les problèmes de maltraitance, y compris les négligences graves, représentent 49% des situations. L absence de logement est un problème pour 18 % des jeunes accueillis. De plus, pour 15% des enfants, cette mesure a été prise suite à l hospitalisation ou l incarcération du parent accueillant. Quels sont les difficultés observées chez les enfants accueillis et dans leur famille qui peuvent justifier d une mesure d aide spécialisée? Pour rassembler ces observations, nous avons utilisé la grille «Motifs d intervention» utilisée par les S.A.J. et S.P.J. qui classe les problématiques en 7 catégories principales. Au niveau des problématiques rencontrées pour les enfants et leur famille, nous pouvons faire les constats suivants : 46 enfants (50%) sont confrontés à des difficultés des parents à assumer leur rôle parental et ce principalement des problèmes de négligence pour plus deux tiers de ces enfants. 34 enfants (37%) rencontrent des difficultés liées aux problèmes personnels des parents et ce principalement des difficultés psychologiques et des problèmes d assuétudes 34 enfants (37%) ont des parents qui rencontrent des difficultés financières et matérielles 24 enfants (26 %) sont victimes de maltraitance, principalement physique et psychologique. 14 enfants (15%) sont confrontés aux problèmes relationnels entre les adultes au sein de la famille et ce pour plus des deux tiers des problèmes de violence intra-familiale Si nous considérons les situations de négligence grave comme des problèmes de maltraitance, nous devons constater que 54 enfants (59%) des enfants accueillis étaient victimes de maltraitance. 6
7 Difficultés du jeune Problèmes personnels des parents 13. Difficultés à assumer le rôle parental 14. Problèmes relationnels entre adultes au sein de la famille 15. Difficultés financières et matérielles Maltraitance Refus de prise en charge par un autre secteur Notons, également, que cette analyse met en évidence la dimension multidimensionnelle des situations problématiques vécues par les jeunes et leur famille. Modalité d accueil et orientation au terme de la période d accueil Durant le séjour de l enfant, nous proposons aux parents un rendez-vous à la Ruche pour un entretien et une visite à leur(s) enfant(s). Pour 52% des enfants, ce rendez-vous a pu se concrétiser. Pour d autres, souvent pour des raisons de mobilité des parents, les contacts ont été limités à une ou plusieurs communications téléphoniques. Pour un tiers des enfants, nous avons eu un contact avec l Autorité mandante ou son délégué pour échanger à propos du séjour de l enfant et de son orientation. Pour un quart des enfants, un rendez-vous a été organisé avec notre présence chez l Autorité mandante au moment de décider de l orientation de l enfant en fin de séjour. La durée de séjour a été respectée pour 54 % des enfants (contre 60% en 2013) Nous avons acceptés la prolongation de la mesure au delà de 7 jours pour les enfants dont une orientation était possible et prévue dans un temps limité. Pour ces jeunes, nous pouvons noter que la moyenne de la durée de leur séjour est de 8,7 jours (9,06 en 2013). - de 7 jours % 7 jours % + de 7 jours % 7
8 Au terme de la prise en charge, les enfants vont vers : Parent(s) % Parents avec suivi «code M» 4 5 % Famille élargie 8 9 % Maison d accueil pour adultes % C.A.U % Autre lit d accueil d urgence 0 0 % SPF Urgence % Internat scolaire 0 0 % Famille d accueil 0 0 % S.A.A.E 2 2 % Autre hébergement AJ 3 3 % SASPE 4 4 % SRJ - Awiph / PHARE 1 1 % Hôpital 1 1 % Maison d accueil pour adultes % Autres 1 1 % % 40 % Trente enfants sont retournés en famille (Parents ou famille élargie) (34% contre 28% en 2013), dont une fratrie de quatre enfants avec un accompagnement par l équipe dans le cadre d un suivi «code M». Et treize enfants ont été pris en charge par leur mère dans le cadre d une maison maternelle (14 % contre 4 % en 2013). Trente-six enfants ont été orientés vers un nouveau milieu de vie limité dans le temps : CAU ou SPF Urgence (40%). Ce qui représente 11 % de moins qu en Si nous évaluons l orientation du jeune suite à son accueil, nous sommes satisfaits pour 57 % des enfants pour lesquels une solution qui semblait répondre à ses besoins a pu se mettre en place. Par contre, un enfant s est retrouvé sans solution adaptées à ses besoins et trois enfants sont retournés très rapidement vers leur milieu d origine suite à un recours déposé devant le TJ. Les autres enfants ont été orientés vers un nouveau milieu d accueil provisoire en attente d une solution plus adéquate. Cette situation est le résultat du problème d engorgement actuel du secteur de l hébergement de l Aide à la jeunesse. 8
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