RAPPORT NISAND FEVRIER 2012 : UNE SYNTHESE

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1 RAPPORT NISAND FEVRIER 2012 : UNE SYNTHESE ET SI ON PARLAIT DE SEXE A NOS ADOS? Jeannette Bougrab, secrétaire d Etat chargée de la jeunesse et de la vie Associative dans le gouvernement Fillon relève ces chiffres en 2011 dans le rapport demandé au professeur Nisand : en 2010, mineures sont tombées enceintes, 4500 sont allées au bout de leur grossesse. Presque jeunes filles entre 15 et 17 ans ont eu recours à un IVG en 2009, pour la tranche des ans. Il s agit d un marqueur social car bien souvent ce sont les enfants de milieux défavorisés qui sont touchés. Autre constat soulevé, 30% des consommateurs de pornographie seraient âgés de 13 à 14 ans. 80% des garçons de 14 à 18 ans et 45% des filles du même âge ont visionné un film porno dans l année. Un document de préconisation a donc été élaboré pour répondre à ces constats qui mettent en évidence une confrontation des jeunes à des images pornographiques souvent violentes et misogynes, un défaut de protection des jeunes filles notamment de milieux modestes. Il s agit donc «d un sujet féministe et de santé publique». 1. DES CONCEPTS Santé psychique : relève du champ de la prévention et de l équilibre de la vie affective. Elle est à relier à la constitution des liens précoces et à ce qui fonde la psyché : le narcissisme primaire ( se sentir bien dans sa peau) l estime de soi ( savoir qu on a de la valeur ), un bagage affectif ( savoir donner et recevoir des sentiments), une sécurité intérieure ( qui est l assurance d être aimé pour soi-même et que chaque éloignement de ceux que l on aime, n est pas une menace de perte ), un bagage émotionnel (savoir partager sur ce que l on ressent ). Autonomie : le jeune aspire souvent à l autonomie tout en la redoutant. Un juste équilibre relationnel est nécessaire si le parent prend au pied de la lettre la demande de liberté, il peut provoquer un sentiment d abandon contre lequel le jeune lutte par des comportements de mise en danger. Il y a donc besoin de protection et d indépendance. Pornographie (Bonnet Gérard, 2003 ): «la pornographie consiste en la représentation plastique des organes sexuels génitaux en tant que tels ainsi que des principales zones érogènes rendues visibles grâce à des mise en scène de coït où on multiplie les postures.

2 L image est directe et elle est projetée avec la même violence que le sexe lors du coït de telle façon que le spectateur le reçoive de plein fouet.» Prévention primaire : parler de sexe à des ados en tant qu adulte sans pudibonderie c est lutter contre une information délivrée par le matériel pornographique. C est rappeler la place de la vie émotionnelle et affective dans nos relations et ne pas réduire la rencontre à un acte exclusivement génital. Intimité (Lempert, Bernardn 1997 ) des adolescents : vivre sous le regard des parents et laisser se constituer un lien qui doit échapper à leur regard. Leur jeunesse a besoin d eux et leur pudeur a besoin d ombre. Ainsi naît l intime, ce noyau autour duquel l identité personnelle se déploie et se développe. Homophobie : comme la xénophobie, est le résultat d une peur personnelle d être concerné ou menacé. Est homophobe toute personne qui fait de grandes déclarations contre les homosexuels ou qui même passe à l acte en les insultant en malmenant voire en assassinant des personnes homosexuelles ou supposées telles. On peut dire que les personnes homophobes sont souvent des personnes qui luttent contre leur propre homosexualité et s administrent à bas prix la preuve qu ils ne le sont pas. L homophobie n est parfois qu une forme clinique de l homosexualité. Sexualité : il importe de redire que la sexualité demeure le domaine privilégié de la liberté et de l invention, mais à deux conditions toutefois : que chacun soit véritablement consentant et qu une discrétion totale entoure cet exercice de la liberté individuelle. 2. DES CONSTATS près de trois garçons sur quatre et plus d une fille sur deux ont vu de la pornographie avant 14 ans. Les images pornographiques ont pour conséquence un passage du droit au plaisir au devoir de performance, la réduction de la sexualité à un assemblage de corps, un risque de violence sexuelle, d invalidation de l être humain surtout la femme. Erotisation précoce des jeunes filles. Surexposition de l intimité, valorisation de la performance sexuelle, éloge de la jeunesse et brouillage des repères intergénérationnels. Marchandisation de l humain. Contact précoce et répété avec la sexualité des adultes entraine un brouillage et de nouveaux comportements. Perpétuation des stéréotypes sexuels et pensée machiste par la pornographie. Augmentation des viols commis par des mineurs sur des mineurs : 3169 enfants reconnus coupables de viols ou agressions sexuelles en 2008.

3 Education à la sexualité obligatoire en France depuis 1973 mais peu d encadrement, de contrôle, lié au bon vouloir des équipes. 1/3 des IVG concernent des femmes qui avaient une contraception médicalisée. Les pays anglo-saxons qui ont fait le choix d une approche moraliste d abstinence voient un taux de fécondité et d IVG important notamment dans les milieux défavorisés. IST telles que les infections à Chlamydia sont en augmentation et peuvent obérer une fécondité ultérieure. 3. DES PRECONISATIONS préserver les enfants et les adolescents de la pornographie en leur parlant de sexualité sans pudibonderie, rappeler la place de la vie émotionnelle et affective dans nos relations pour éviter de réduire la rencontre à un acte uniquement génital. Responsabiliser, proposer une information qui aide à mieux comprendre, se réaliser, et s affirmer comme garçon ou fille. La sexualité ne peut être enseignée que par la lorgnette de la prévention pas plus qu elle ne doit se limiter à la transmission d un savoir. La démarche d éducation sexuelle informe, fait réfléchir et éventuellement aide à se construire. Il faut davantage mise sur la qualité de la démarche éducative que la somme de renseignements. Se situer dans une vision globale de la personne et de ses interactions avec les autres, éviter de se limiter à une intervention ponctuelle unique. Donner des repères et des limites. former les enseignants à des notions comme identité corporelle, inceste, viol, pornographie. C est le cas en suisse romande ou le taux de fécondité et d ivg est le plus bas d Europe. La sexualité qui est au cœur de l identité de chacun doit être abordée dès le début de l enfance pour amener l élève à refléchir sur la complexité et la richesse de la sexualité humaine, mais aussi prévenir des situations plus difficiles. 1. Petite enfance : informer sur les différences entre filles et garçons, indiquer les règles claires de sécurité. 2. Primaire : construire une pensée réflexive et critique pour permettre à chacun de mieux structurer son identité. Communiquer sur des thèmes tels que l affectivité, l intimité dans un lieu sûr. 3. Adolescence : construire une progressivité dans le respect des niveaux de développement. Permettre une information et une discussion autour de sujets tels que capacité de séduction, image corporelle, relations amoureuses, agir sexuel rappeler que l expérience n est pas la seule clé de l apprentissage, on constate que les jeunes ayant eu une information sur le sujet différent le moment de la première relation sexuelle. Plus le sujet est tabou, plus le risque de passage à l acte est important. Construire un choix éclairé. Apprendre à démythifier cet univers en l explorant dans une démarche éducative.

4 Instaurer une première consultation qui permette d installer la confiance et envisager une contraception. Différer l examen gynécologique. Apprendre aux jeunes la notion de secret médical qui permet de consulter un médecin de famille tenu au secret par rapport aux parents ; 4. ONZE ECUEILS DE L INTERVENTION EN MILIEU SCOLAIRE faire une intervention technique qui se limite à donner des moyens de protection et de prévention. Cela ne diffère rien. Présenter du matériel pédagogique Faire un cours de science de la vie Confondre information et éducation sexuelle, il s agit plutôt de donner une information sur la sexualité sans jugement moral. Utiliser des mots vulgaires pour faire jeune Tolérer le chahut Faire l intervention en l absence d un personnel de l établissement Exprimer un jugement Laisser la paroles aux jeunes et permettre de dévoiler de l intimité Ne pas proposer de lieu de parole Ne pas solliciter le rectorat PROPOSITIONS Confidentialité constante et crédible de la consultation et de la délivrance de contraception aux mineures. Gratuité de l ensemble des moyens contraceptifs et préservatifs jusqu à 18 ans, sous condition de ressources jusqu à 25 ans. Création de réseaux pluridisciplinaires d orthogénie. Préparer le corps médical à la première consultation d une contraception pour l adolescente. Application de la loi de 2001 sur l information à la sexualité en milieu scolaire. Rémunération des professionnels libéraux qui participent à l application de la loi de 2001 Pour les enfants en maternelle et primaire, donner des informations sur la vie affective, émotionnelle et sentimentale et sur le respect de soi-même dans un rapport au corps sexué. Constitutions de ressources humaines pour l information à la sexualité en milieu scolaire. Mesure du taux de grossesse chez les mineures par les ARS pour identifier les lieux les plus sensibles et intensifier la prévention. Réorienter les campagnes médiatiques vers les parents

5 Organiser une résistance à la diffusion libre et marchande de la pornographie auprès des jeunes Créer des lieux d accueil et d écoute gratuite, anonyme sans rendez-vous pour les parents et les enfants pour qu ils puissent trouver de l aide en cas de difficulté. Diffuser plus largement l association contraceptif préservatif Diffuser et prescrire plus largement les contraceptions qui ne dépendent pas de l observance de la jeune femme. Mettre en avant pas l éducation la responsabilité des hommes dans la contraception. Informer les parents des lieux où les enfants peuvent disposer d informations d aide et d écoute adaptée dans le domaine de la sexualité Intégrer une formation à l éducation sexuelle pour tous les adultes qui encadreront des jeunes ( enseignants, BAFA) Uniformiser et clarifier la gestion des centres pouvant venir en aide aux jeunes (intitulé unique ) Créer un outil de communication national donnant l inventaire des centres disponibles pour venir en aide aux jeunes sous la responsabilité de l INPES

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