LES SPONDYLARTHROPATHIES
|
|
- Pauline Guérin
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 LES SPONDYLARTHROPATHIES Les spondylarthropathies constituent un ensemble pathologique regroupant : la spondylarthrite ankylosante les arthrites réactionnelles le rhumatisme psoriasique le rhumatisme des entérocolopathies inflammatoires les spondylarhtopathies juvéniles les spondylarthropathies périphériques inclassées Le dénominateur commun à ces différentes pathologies est le terrain génétique sur lequel elles surviennent, que traduit la fréquence du phénotype HLA B27. Contrairement à ce que l on considérait il y a quelques années, il n y a pas de filiation entre les différentes spondylarthropathies : une spondylarthropathie ne complique pas une arthrite réactionnelle. C est le fait que le terrain génétique commun confère un risque particulier de développer ces différentes maladies qui explique que plusieurs spondylarthropathies peuvent s associer ou se succéder chez un même malade. La théorie des ensembles illustre parfaitement cette notion : SPA Arthrites Réact. Rhum. Psoriasique Rhum. des Entérocolopathies Ensemble des spondylarthropathies - 1 -
2 Actuellement, les spondylarthropathies constituent une entité pathologique parfaitement définie et clairement démembrée, ce qui permet d en poser le diagnostic dans des formes frustes ou de début. Ceci explique que le diagnostic de spondylarthropathie soit posé beaucoup plus fréquemment qu il y a une vingtaine d année, alors même qu il n y a pas, selon toute évidence, d augmentation de l'incidence de ce groupe de maladies. Physiopathologie : Le lien entre le phénotype HLA-B27 et les spondylarthropathies est très étroit. Cependant, le fait de présenter ce phénotype ne constitue ni une condition nécessaire, ni une condition suffisante pour développer une spondylarthropathie. HLA-B27 est présent chez 6 à 8% de la population caucasienne, alors que la prévalence de la spondylarthrite n est que de 1 à 2 pour Cependant, près de 90% des patients atteints de spondylarthrite ankylosante sont porteurs de l allèle HLA-B27. Le risque de développer une spondylarthropathie lorsque l on est porteur du phénotype HLA-B27 a été estimé entre 1,5 et 3,5%. Ce risque augmente si l un des membres de la famille est lui-même atteint, ce qui démontre le rôle d autres facteurs (certains sous-types de B27 conféreraient un risque supérieur). D autres groupes HLA sont associés au risque de développer une spondylarthropathie, notamment les groupes faisant partie, avec B27, du groupe B7 CREG (cross reactive group = réaction sérologique croisée) : B7, B22, B27, B40. B35 et DR7 sont également associés au risque de développer une spondylarthropathie (forme périphérique). Le rôle de la molécule HLA-B27 dans la physiopathologie des spndylarthropathie n est pas connu. La molécule HLA-B27 est une molécule de classe 1 du complexe majeur d histocompatibilité. Le rôle de ces molécules est de présenter des peptides étrangers à des cellules immuno-compétentes : les lymphocytes T CD8 cytotoxiques. L hypothèse du déclenchement du rhumatisme par certaines infections (dont le rôle est bien connu dans les arthrites réactionnelles) est étayée par des expériences très récentes. Des chercheurs sont parvenus à créer des rats transgéniques exprimant B27 (et la ß2 microglobuline) ; ces rats développent une spondylarthropathie. Les mêmes rats transgéniques, élevés en atmosphère stérile, ne développent pas la maladie. Il semble donc que les spondylarthropathies soient la conséquence d une réponse immunitaire inadaptée à certains agents infectieux, lorsque ces infections surviennent sur un terrain génétique particulier (dont le phénotype HLA-B27). Des clones de lymphocytes CD8, restreints à la molécule B27 et reconnaissant des peptides bactériens ont pu être mis en évidence par plusieurs équipes. Cependant, - 2 -
3 la majorité des clones T identifiés dans la synoviale au cours d'arthrites réactionnelles sont de type CD4, donc restreints à une molécule HLA de classe II Un mimétisme moléculaire entre des épitopes bactériens et la molécule B27 pourrait favoriser des phénomènes d'auto-immunité vis à vis de cette molécule. Enfin, la molécule HLA-B27 pourrait favoriser l'éclosion d'une spondylarthropathie indépendamment d'un mécanisme immunologique : on a montré que B27 pouvait servir de ligant à une molécule d adhésion de certains organismes (Yersinia), faciliterait l incorporation de la bactérie dans la cellule hôte et ralentirait son élimination. On a également montré qu en réponse à Yersinia, des clones de lymphocytes CD8+ cytotoxiques apparaissent. Ces lymphocytes tuent les cellules infectées par Yersinia, sauf si ces cellules expriment la molécule HLA-B27. Ainsi, la présence de B27 pourrait contribuer à faciliter l incorporation de certaines bactéries dans les cellules hôtes et ralentir la clairance des cellules infectées. Tous les germes n ont certainement pas les mêmes propriétés arthritogènes. On a ainsi montré que les 3 souches de Shigella flexneri associées aux arthrites réactionnelles possèdent en commun un plasmide que n ont pas les souches non associées aux arthrites réactionnelles. Ce plasmide contient un gène codant pour un peptide ayant des homologies avec la molécule HLA-B27. Les souches de Yersinia impliquées dans des arthrites réactionnelles expriment une molécule d adhésion particulière : YadA. Dans un modèle murin (arthrite induite par Mycoplasma arthritidis), on a montré que les souches à fort pouvoir arthritogène étaient toutes infectées par un même bactériophage. Ce bactériophage, lorsqu on le transmet à une souche non arthritogène, lui confère l'arthritogènicité
4 La Spondylarthrite Ankylosante (SPA) : C est une maladie fréquente (1 à 2 ), affectant principalement l homme (9/10) et débutant le plus souvent chez le sujet jeune (entre 20 et 30 ans). L enthèse constitue la cible privilégiée de ce rhumatisme inflammatoire. La phase de début : La SPA débute le plus souvent par une lombalgie, irradiant volontiers vers les fesses, de rythme inflammatoire, maximale le matin au réveil, réveillant parfois le malade dans la deuxième partie de la nuit, s atténuant dans la matinée. Cette douleur s associe à une raideur lombaire parfois très sévère, suivant le même rythme inflammatoire. Parfois, la SPA débute par des sciatalgies tronquées à bascule. Plus rarement ( 25% des cas), la maladie débute par une arthrite périphérique, siégeant habituellement sur une grosse articulation des membres inférieurs, par des talalgies, ou encore par des douleurs thoraciques antérieures. A ce stade, le diagnostic repose essentiellement sur les données anamnestiques et cliniques : siège et rythme des douleurs et de l enraidissement, notion d antécédents personnels ou familiaux de spondylarthropathie, de psoriasis, d uvéite antérieure Les radiographies sont le plus souvent normales à ce stade. La sensibilité aux antiinflammatoires constitue également un argument diagnostic important. La phase d état : La maladie s étend progressivement à l ensemble du rachis et parfois du thorax antérieur. Dans certains cas, l enraidissement est surtout marqué lors des poussées de la maladie, et rétrocède plus ou moins complètement lors des périodes de rémission. Ailleurs, l évolution se fait vers un enraidissement progressif et définitif de tout ou partie du rachis (diminution de l indice de Schöber, de la distance main-sol, de la distance nuque-mur). L ankylose rachidienne se fait le plus souvent en cyphose, plus ou moins sévère, pouvant aller jusqu à la perte du regard horizontal. L ankylose peut également concerner le thorax antérieur (réduction de l ampliation thoracique) ou les articulations coxo-fémorales. Des arthrites périphériques peuvent s associer à l atteinte axiale. Des atteintes extra-articulaires sont parfois notées : - une uvéite antérieure volontiers récidivante - l insuffisance aortique est classiquement mentionnée dans la littérature, en fait - 4 -
5 exceptionnellement retrouvée - des diarrhées sont fréquemment signalées par les patients, et des études endoscopiques systématiques ont montré que 40% des patients présentent des lésions coliques histologiquement proches des entérocolopathies inflammatoires. Les signes biologiques : Le syndrome inflammatoire est le plus souvent peu marqué, voire totalement absent dans près d 1/4 des cas. Le phénotype HLA B27 est retrouvé dans 80 à 90% des cas. Les autres anomalies biologiques se limitent à une élévation inconstante du taux des IgA sériques. Les signes radiologiques : - Les articulations sacro-iliaques : L atteinte des sacro-iliaques est quasi-constante, le plus souvent bilatérale, plus ou moins symétrique. Elle évolue en 4 stades : déminéralisation des berges articulaires, responsable d un aspect d élargissement de l interligne, érosions, condensation puis fusion des berges articulaires aboutissant à la disparition de l interligne. Le pubis peut être affecté de façon similaire. - Le rachis : Les lésions les plus précoces semblent être les érosions du rebord du corps vertébral, pouvant aboutir à une mise au carré du corps vertébral par effacement de la concavité antérieur naturelle du corps vertébral. L ossification des ligaments vertébraux se traduit par le développement de syndesmophytes, ossifications naissant au niveau de l angle du corps vertébral. Ces syndesmophytes apparaissent le plus souvent initialement au niveau de la charnière dorso-lombaire. A un stade évolué de la maladie, les syndesmophytes peuvent ponter complètement le disque intervertébral, réalisant l aspect de colonne bambou. Le ligament inter épineux peut également s ossifier. Les articulaires postérieures peuvent être le siège d érosions ou d une ankylose. - Les enthésopathies : Les enthèses peuvent être le siège de lésions érosives et d ossifications irrégulières, responsables d un aspect hérissé de l os. Les enthésopathies les plus fréquentes sont celles de l épine ischiatique, des massifs trochantériens et de la face postérieure du - 5 -
6 calcanéum. L évolution : Elle se fait par poussées plus ou moins rapprochées, entrecoupées de rémission. Au début de la maladie, la raideur disparaît en période de rémission. Puis, dans les formes évoluant vers l ankylose (qui n est heureusement pas le lot de la majorité des malades), un enraidissement plus ou moins marqué persiste entre les poussées, témoignant de la présence d ossifications définitives. Des complications redoutables peuvent survenir dans les formes ankylosantes : - fractures du rachis survenant pour des traumatismes mineurs. Ces fractures évoluent le plus souvent vers la pseudarthrose. Elles peuvent être responsables de lésions neurologiques majeures. Le diagnostic de ces fractures peut être très difficile, les douleurs vertébrales étant facilement attribuées à une poussée inflammatoire, et le trait de fracture étant particulièrement difficile à mettre en évidence au sein des ossifications. - fractures de fatigues, conséquence des énormes contraintes mécaniques qui s exercent sur le rachis totalement ankylosé. Ces fractures de fatigues évoluent vers la constitution de foyers de pseudo-spondylodiscite, consécutifs aux remaniements osseux provoqués par la mise en jeu continuelle du seul segment de mobilité que constitue le foyer de fracture. - insuffisance respiratoire secondaire à l ankylose thoracique. - syndrome de la queue de cheval, secondaire à une arachno-épidurite inflammatoire ou à un méningocèle attribué à des troubles de circulation du LCR. Le traitement : - Les AINS : Ils constituent la base du traitement de la SPA. Ils ne sont prescrits que lors des poussées inflammatoires au début de la maladie. Puis, lorsque la fréquence des poussées le justifie, les AINS sont prescrits au long cours, la posologie étant modulée en fonction de l importance des douleurs, et en cherchant toujours la posologie minimale efficace. On conserve alors une seule prise quotidienne le soir afin de couvrir au mieux la nuit. La phénylbutazone est créditée d une efficacité particulière sur la SPA. Compte tenu de la fréquence des effets secondaires observés avec ce produit, il n est utilisé qu en cas d échec des autres thérapeutiques
7 - Les traitements de fond : Ils n ont jamais fait la preuve de leur efficacité sur l atteinte pelvi-rachidienne. Ces traitements sont donc réservés aux atteintes périphériques. La sulfasalazine diminuerait la fréquence des poussées d uvéite. - Le traitement physique : Il a pour but de prévenir l enraidissement du rachis et de la cage thoracique, et la déformation en cyphose du rachis. Il repose sur une gymnastique quotidienne adaptée et sur des postures en extension du tronc. Le travail physique doit tenir compte du stade évolutif, des capacités de chaque malade, et des périodes évolutives de la maladie. - Le traitement chirurgical : Le recours à la chirurgie est exceptionnel : stabilisation d un foyer de fracture, ostéotomie de redressement de rachis ankylosés en cyphose très accentuée, arthroplastie d une grosse articulation détruite
8 Les arthrites réactionnelles : Ce sont des monos ou des oligoarthrites aseptiques faisant suite à un épisode infectieux intestinal ou génital dont elles sont séparées de 3 semaines à un mois. Les germes responsables sont : Yersinia enterocolitica Shigella flexneri Salmonella Campylobacter jejuni porte d entrée digestive Chlamydia trachomatis Ureaplasma urealyticum porte d entrée génitale Le phénotype HLA B27 est retrouvé chez 70% des sujets (en fait variable selon les germes : le lien le plus étroit se faisant avec les arthrites réactionnelles associées à Yersinia). La séquence pathologique est la suivante : Quelques semaines après un épisode diarrhéique fébrile, une uréthrite ou une cervicite apparaissent successivement une conjonctivite, des arthrites, et parfois une kératodermie palmo-plantaire ou une balanite. Le plus souvent, le tableau est incomplet : seuls les phénomènes articulaires font suite à l épisode infectieux. On parle alors d arthrite réactionnelle. La forme la plus classique, mais non la plus fréquente, est caractérisée par la triade oculo-uréthro-synoviale, ou syndrome de Fiessinger-Leroy-Reiter. Le bilan biologique met en évidence un syndrome inflammatoire souvent majeur. Le liquide synovial est inflammatoire, riche en cellules (PNN en majorité), et aseptique. Le germe responsable n est mis en évidence qu une fois sur deux, soit par analyse des selles ou sur les prélèvements génitaux (par culture ou par immunofluorescence), ou plus souvent indirectement par les réactions sérologiques. Dans la majorité des cas, la symptomatologie articulaire cède en quelques semaines sous traitement anti-inflammatoire non stéroïdien. Parfois, l évolution passe à la chronicité, pouvant alors réaliser un tableau de polyarthrite généralement asymétrique, parfois destructrice. L atteinte ténosynoviale et articulaire simultanée d un ou plusieurs doigts, réalisant l aspect de - 8 -
9 doigt en saucisse, est assez caractéristique de ces spondylarthropathies périphériques. Ces formes chroniques justifient l usage de thérapeutiques de fond : anti-paludéens de synthèse, sels d or, sulfasalazine, voire méthotrexate. L évolution est fréquemment émaillée de récidives. Une antibiothérapie adaptée (cycline) serait susceptible de diminuer l incidence de ces récidives. Le Rhumatisme Psoriasique : Le rhumatisme psoriasique définit l ensemble des manifestations articulaires inflammatoires associées au psoriasis. La fréquence des manifestations articulaires chez des patients porteurs d un psoriasis a été chiffrée à 40%, ce qui est considérable si l on tient compte de la prévalence du psoriasis, qui affecte 1 à 2% de la population caucasienne. La liaison au phénotype HLA B27 n est que de 20%. Différents tableaux articulaires peuvent être observés : - oligoarthrite asymétrique - polyarthrite plus ou moins symétrique - association de l une ou l autre de ces formes à une atteinte axiale, pelvirachidienne, très voisine de la spondylarthrite ankylosante. L atteinte de l articulation interphalangienne distale est assez spécifique du rhumatisme psoriasique. L atteinte articulaire peut précéder le psoriasis, rendant le diagnostic très difficile. Les lésions radiologiques associent des images destructrices et des entésopathies ossifiantes volontiers exubérantes. Le traitement est assez voisin de celui de la polyarthrite rhumatoïde. Les traitements de fond habituellement utilisés sont les anti-paludéens de synthèse, la sulfasalazine, les sels d or et le méthotrexate. Ce dernier a l avantage d agir aussi sur l atteinte cutanée
10 Le rhumatisme des entérocolopathies : Des manifestations articulaires sont observées chez 10 à 20% des patients présentant une maladie de Crohn ou une rectocolite hémorragique. Il s agit le plus souvent de mono ou d oligoarthrites peu destructrices affectant préférentiellement les grosses articulations. Une atteinte axiale peut s y associer, le plus souvent sous la forme d une sacro-iliite. Le phénotype HLA B27 est présent chez 70% des patients. A côté du traitement anti-inflammatoire, la sulfasalazine constitue le traitement de choix de cette affection. Les Spondylarthropathies infantiles : Les spondylarthropathies peuvent débuter dès l enfance. Elles affectent le plus souvent le garçon et débute entre 8 et 13 ans. Elles se traduisent le plus souvent par des épisodes transitoires de mono ou d oligoarthrite des grosses articulations. Les Spondylarthropathies Indifférenciées : Elles constituent un groupe hétérogène d arthrites périphériques habituellement asymétriques, plus ou moins associées à une sacro-iliite ou à des enthésopathies, et ne répondent pas à la définition des autres spondylarthropathies (pas de psoriasis, pas d infection génitale ou digestive ) C est dans ce cadre que les critères diagnostiques proposés par Amor et par l European Seronegative Spondylarthropathy Group (ESSG) ont un intérêt tout particulier pour affirmer le diagnostic
11 Critères des Spondylarthropathies du Pr Amor : 6 points permettent le diagnostic A. Signes cliniques ou histoire clinique : 1- douleurs nocturnes lombaires ou dorsales et/ou raideur matinale lombaire ou dorsale (1 point) 2- oligoarthrite asymétrique (2 points) 3- douleur fessière sans précision (1point), douleur fessière à bascule (2 points) 4- doigt ou orteil en saucisse (2 points) 5- talalgie ou tout autre enthésopathie (2 points) 6- iritis (2 points) 7- uréthrite non gonococcique ou cervicite moins d un mois avant le début d une arthrite (1 point) 8- diarrhée moins d un mois avant une arthrite (1 point) 9- présence ou antécédent de psoriasis, ou de balanite, ou d entércolopathie chronique (2 points) B. Signes radiologiques : 10- sacro-iliite (stade >2) (3 points) C. Terrain génétique : 11- présence de l antigène HLA B27 et/ou d antécédents familiaux de pelvispondylite, de syndrome de Reiter, de psoriasis, d entérocolopathies chroniques (2 points) D. Sensibilité au traitement : 12- amélioration en 48 heures des douleurs par AINS et/ou rechute rapide (48 heures) des douleurs à leur arrêt (2 points)
12 Critères des Spondylarthropathies de l ESSG (European Seronegative Spondylarthropathy Group) : 1 critère majeur + 1critère mineur permettent le diagnostic Critères majeurs : douleurs rachidiennes inflammatoires synovites asymétriques ou prédominant aux membres inférieurs Critères mineurs : antécédents familiaux de spondylarthropathies psoriasis maladie inflammatoire intestinale uréthrite diarrhée aiguë douleurs fessières à bascule enthésopathie sacro-iliite radiologique
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailLe diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers
Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers Les spondylarthopathies 0.2% de la population en France Arthrites Réactionnelles rares S. Ankylosante
Plus en détailSpondylarthrite ankylosante
39 Item 282 Spondylarthrite ankylosante Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer une spondylarthrite ankylosante. Argumenter l'attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. COFER
Plus en détailSYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES. Spondylarthrites. Décembre 2008
SYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Spondylarthrites Décembre 2008 OBJECTIFS - Mieux identifier les patients atteints de spondylarthrite afin de raccourcir le délai entre l apparition des symptômes
Plus en détailLes formes cliniques. Maxime Breban
Reconnaître la Spondylarthrite en 2011 Les formes cliniques Maxime Breban maxime.breban@apr.aphp.fr Qu'est-ce que les rhumatismes inflammatoires? Inflammation chronique des articulations Maladies complexes
Plus en détailLes Spondylarthrites
Les Spondylarthrites Le concept de spondylarthrite Ensemble de rhumatisme inflammatoires chroniques qui partagent certaines de leurs manifestations cliniques ainsi qu un terrain génétique commun. Le concept
Plus en détailQue représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil
Que représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil Liens d intérêt Intérêts financiers : aucun Liens durables ou permanents : aucun Interventions
Plus en détailLombalgie inflammatoire. François Couture Rhumatologue Hôpital Maisonneuve Rosemont Avril 2010
Lombalgie inflammatoire François Couture Rhumatologue Hôpital Maisonneuve Rosemont Avril 2010 Pronostic d une lombalgie aigue 1mois: 66 à 75% encore symptomatiques quelques limitations fonctionnelles 82
Plus en détailLombalgies inflammatoires de l homme jeune
Lombalgies inflammatoires de l homme jeune Auteur : Dr Éric TOUSSIROT, Besançon Comité éditorial : Dr Laure GOSSEC, Paris Dr Henri NATAF, Mantes-La-Jolie Relecteurs CFMR : Pr Bernard DUQUESNOY, Lille Pr
Plus en détailFaculté de Médecine de Marseille Université Aix Marseille II. Maître de stage : Dr BLANC Bernard. Récit authentique d une situation
Faculté de Médecine de Marseille Université Aix Marseille II Maître de stage : Dr BLANC Bernard. Récit authentique d une situation complexe en Cabinet : La lombalgie symptomatique Semestre de stage : 4
Plus en détailDr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges. Membre enseignant chercheur EA 4021
Dr Pascale Vergne-Salle Service de Rhumatologie, CHU de Limoges Membre enseignant chercheur EA 4021 Rhumatisme inflammatoire chronique Prévalence des SA ies en Europe = 1 à 2% Age moy : 26 ans, ratio homme/femme:
Plus en détailAnatomie. Le bassin inflammatoire. 3 grands cadres. 4 tableaux. Spondylarthrite ankylosante. Spondylarthrite ankylosante 26/10/13
Anatomie Enthésopathies Docteur Emmanuel Hoppé Service de Rhumatologie CHU Angers 18.10.2013 Symphyse pubienne Coxo-fémorales Bursopathies Sacroiliaques 4 tableaux 3 grands cadres Douleur lombofessière
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailTrucs du métier. L arthrite psoriasique en l absence du psoriasis. clinicien@sta.ca. Avez-vous un truc? Son épidémiologie et son expression
L arthrite psoriasique en l absence du psoriasis Trucs du métier Son épidémiologie et son expression Le psoriasis est une maladie cutanée inflammatoire chronique qui touche de 1 % à 3 % de la population
Plus en détailItem 123. Psoriasis. Insérer les T1. Objectifs pédagogiques
20 Item 123 Psoriasis Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un psoriasis. Argumenter l'attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. COFER Connaître les particularités cliniques,
Plus en détailDiagnostic, prise en charge thérapeutique et suivi des spondylarthrites
Diagnostic, prise en charge thérapeutique et suivi des spondylarthrites RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Diagnostic, prise en charge thérapeutique et suivi des spondylarthrites RECOMMANDATIONS Décembre
Plus en détailLA SPONDYLARTHRITE ANKYLOSANTE
LA SPONDYLARTHRITE ANKYLOSANTE Pr. Abdellah EL MAGHRAOUI Centre de Rhumatologie et Rééducation Fonctionnelle Hôpital Militaire d Instruction Mohammed V Rabat www.rhumato.info SOMMAIRE Définition 3 Epidémiologie
Plus en détailItem 123 : Psoriasis
Item 123 : Psoriasis COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Définition...3 II Épidémiologie du rhumatisme
Plus en détailI Identification du bénéficiaire (nom, prénom, N d affiliation à l O.A.) : II Eléments à attester par un médecin spécialiste en rhumatologie :
ANNEXE A : Formulaire de première demande Formulaire de première demande de remboursement de la spécialité HUMIRA pour une spondylarthrite axiale sévère sans signes radiographiques de spondylarthrite ankylosante
Plus en détailSpondylarthrite juvénile. Dr Sandrine Lacassagne Hôpital Necker 25 Novembre 2010
Spondylarthrite juvénile Dr Sandrine Lacassagne Hôpital Necker 25 Novembre 2010 Formes de spondylarthrite de l adulte (1) Spondylarthrite ankylosante: critères de New York modifiés Sacroiliite radiologique
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab
Plus en détailSpondylarthrite ankylosante (Pelvispondylite rhumatismale) Etiologie, diagnostic, évolution, surveillance, principes de traitement
Spondylarthrite ankylosante (Pelvispondylite rhumatismale) Etiologie, diagnostic, évolution, surveillance, principes de traitement Pathologie de l'appareil locomoteur - rhumatologie DCEM3 Internat n 297
Plus en détailLES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S
LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S INTRODUCTION La lombalgie est un symptôme fréquent avec une prévalence
Plus en détailLa prise en charge de votre spondylarthrite
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre spondylarthrite Vivre avec une spondylarthrite Décembre 2008 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailDouleurs des mains. Douleurs des mains les plus fréquentes: pertinence, causes, traitements. C.Zenklusen septembre 2013
Douleurs des mains Douleurs des mains les plus fréquentes: pertinence, causes, traitements C.Zenklusen septembre 2013 Causes de douleurs aux mains Articulations (origine articulaire) Nerfs (origine nerveuse)
Plus en détailItem 154 : Tumeurs des os primitives et secondaires (Évaluations)
Item 154 : Tumeurs des os primitives et secondaires (Évaluations) Date de création du document 2008-2009 CAS CLINIQUE : CAS CLINIQUE N 1 Scénario : Monsieur A., vingt-cinq ans, étudiant vétérinaire, vient
Plus en détailLA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique
LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailSpondylarthrite grave
Titre du document (En-tête) GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Spondylarthrite grave Décembre 2008 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service communication 2, avenue
Plus en détailLes rhumatismes inflammatoires. Arthrite Rhumatoïde, Arthrite psoriasique, Spondylarthrite ankylosante
Les rhumatismes inflammatoires Arthrite Rhumatoïde, Arthrite psoriasique, Spondylarthrite ankylosante Arthrite Rhumatoïde (RA) Voorstelling van de ziekte Arthrite Rhumatoïde Inflammation chronique des
Plus en détailVignette clinique 1. Femme, 26 ans; caissière. RC : Dorsalgie depuis 18 mois. ATCD : Tabagisme 20 paquets/année; pas de maladies chroniques HMA :
Vignette clinique 1 Femme, 26 ans; caissière RC : Dorsalgie depuis 18 mois. ATCD : Tabagisme 20 paquets/année; pas de maladies chroniques HMA : Depuis 6 mois, douleurs dorsales à caractère inflammatoire
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 10 mai 2006
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 mai 2006 METOJECT 10 mg/ml, solution injectable en seringue pré-remplie 1 seringue pré-remplie en verre de 0,75 ml avec aiguille : 371 754-3 1 seringue pré- remplie
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailPHYSIOTHERAPIE ET RHUMATISMES INFLAMMATOIRES
PHYSIOTHERAPIE ET RHUMATISMES INFLAMMATOIRES Cercle de Qualité Le Merle d Aubigné (CQMdA) Bodmer Eveline, Baumberger Dominique, Bensaddik-Brunner Verena, Canova Danielle, Dosso Elena, Dunand Alain, Finazzi
Plus en détailLes traumatismes et l arthrite inflammatoire
Les traumatismes et l arthrite inflammatoire Document de travail à l intention du Tribunal d appel de la sécurité professionnelle et de l assurance contre les accidents du travail Septembre 2008 préparé
Plus en détailMécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes
Mécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes Sébastien Lacroix-Desmazes INSERM UMRS 1138 Immunopathology and herapeutic Immunointervention CRC - Paris, France Ma connaissance d un patient
Plus en détailIMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques
IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production
Plus en détailDiagnostic différentiel des infections ostéoarticulaires
Diagnostic différentiel des infections ostéoarticulaires Emmanuelle Vignot Hôpital Edouard Herriot, Lyon Unité Inserm UMR1033 Lyon emmanuelle.vignot@chu-lyon.fr Arthrite septique (1) 1/ Monoarthrite :
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailLe syndrome SAPHO Ostéomyélite multifocale chronique récidivante Spondylarthrite hyperostosante pustulo-psoriasique
Ostéomyélite multifocale chronique récidivante Spondylarthrite hyperostosante pustulo-psoriasique La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre
Plus en détailLE RACHIS : UNE ENTITE COMPLEXE IMPORTANTE A PRESERVER
LE RACHIS : UNE ENTITE COMPLEXE IMPORTANTE A PRESERVER I : INTRODUCTION Dans le cadre de la Semaine Européenne de la Construction il est utile de se remémorer ou de prendre simplement conscience que notre
Plus en détailFiche Produit Profils Médicalisés PHMEV
Guide méthodologique développé par l équipe de projets ci-dessous : Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV EQUIPE PROJET Chef de projet : Maryline CHARRA, Pharmacien Conseil Responsable de la mission
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailLe psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se
Le psoriasis est une maladie fréquente Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se traduit le plus souvent par des plaques rouges sur la peau, légèrement surélevées
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailL A L E T T R E. L E T T R E D I N F O R M A T I O N ( 3 n u m é r o s p a r a n ) m a i 2 0 1 1
L A L E T T R E L E T T R E D I N F O R M A T I O N ( 3 n u m é r o s p a r a n ) m a i 2 0 1 1 N 40 Éditorial Cette Lettre se propose de clarifier le problème très général des rhumatismes inflammatoires
Plus en détailUnité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané
Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.
Plus en détailINDUCTION DES LYMPHOCYTES T- RÉGULATEURS PAR IL2 A TRÈS FAIBLE DOSE DANS LES PATHOLOGIES AUTO- IMMUNES ET INFLAMMATOIRES APPROCHE TRANSNOSOGRAPHIQUE
INDUCTION DES LYMPHOCYTES T- RÉGULATEURS PAR IL2 A TRÈS FAIBLE DOSE DANS LES PATHOLOGIES AUTO- IMMUNES ET INFLAMMATOIRES APPROCHE TRANSNOSOGRAPHIQUE Etude clinique N NCT01988506 Inves9gateur coordinateur
Plus en détailLES SPONDYLARTHROPATHIES (SPONDYLARTHRITES) : APPROCHE DIAGNOSTIQUE ET THÉRAPEUTIQUE
JUILLET 2010 08 LES SPONDYLARTHROPATHIES (SPONDYLARTHRITES) : APPROCHE DIAGNOSTIQUE ET THÉRAPEUTIQUE MARK HAZELTINE, MD, FRCPC CENTRE DE RHUMATOLOGIE DE LAVAL JEAN-LUC TREMBLAY, MD, FRCPC CENTRE HOSPITALIER
Plus en détailLa polyarthrite rhumatoïde est-elle une maladie courante parmi la patientèle d'un rhumatologue?
Association Française des Polyarthritiques & des Rhumatismes Inflammatoires Chroniques 9, rue de Nemours - 75011 Paris E-mail : afp@nerim.net - www.polyarthrite.org Tél. : 01 400 30 200 - Fax : 01 400
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailSérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde
1 ETSL Sérodiagnostic de la polyarthrite rhumatoïde TP 1 GABIN-GAUTHIER 13/11/2009 I. LA MALADIE... 2 II. TECHNIQUES QUALITATIVES... 2 1. PRINCIPE... 2 2. MODE OPERATOIRE... 3 2.1. WRST ou Waaler Rose
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détailPsoriasis et travail dans le BTP. Pr E. Delaporte
Psoriasis et travail dans le BTP Pr E. Delaporte 30 Mai 2013 Janvier 2013 : File active de 335 malades traités (293) ou ayant été traités (42) par immunosupp./ modulateurs (MTX CyA biomédicaments) 214
Plus en détailAthénée Royal d Evere
Athénée Royal d Evere Prévention des hernies discales en milieu scolaire et dans la vie de tous les jours Présenté par Didier Vanlancker LEVAGE DE CHARGES POSITION INITIALE Levage de charges Jambes légèrement
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Feuillet d'information complémentaire à l'attention du patient HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée ; il faudrait
Plus en détailIntérêt de l IRM dans le diagnostic précoce des atteintes psoriasiques des doigts et des orteils
Intérêt de l IRM dans le diagnostic précoce des atteintes psoriasiques des doigts et des orteils LAPEGUE Franck (1-2), LOUSTAU Olivier (2), DENIS Aymeric (2), BOUSCATEL Elodie (1), PONSY Sylvie (1), SANS
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Service de Chirurgie orthopédique et Traumatologique Hôpital Beaujon 100, boulevard du général Leclerc 92110 CLICHY Accueil : 01 40 87 52 53 Consultation : 01 40 87 59 22 Feuillet d information complémentaire
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailLa prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde Vivre avec une polyarthrite rhumatoïde Décembre 2008 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailANDRIANJAFISON Francia
ANDRIANJAFISON Francia PLACE DE LA CORTICOTHERAPIE DANS LA PRISE EN CHARGE DES RHUMATISMES INFLAMMATOIRES CHRONIQUES : REALITES ET PERSPECTIVES A ANTANANARIVO Thèse de Doctorat en Médecine 2 UNIVERSITE
Plus en détailRévision des descriptions génériques Comment monter un dossier?
DISPOSITIFS MEDICAUX Révision des descriptions génériques Comment monter un dossier? Guide pour le dossier déposé par les fabricants/distributeurs Adopté en séance de la CEPP* le 13 juillet 2005 *CEPP
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 18 novembre 2009
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 18 novembre 2009 LEDERTREXATE 5 mg, solution injectable B/1 ampoule de 2 ml (Code CIP : 315 012-5) LEDERTREXATE 25 mg, solution injectable B/1 ampoule de 1 ml (Code CIP
Plus en détailQuel que soit le matériel d ostéosynthèse, un certain nombre de principes permettent de bien conduire le geste chirurgical
Information supplémentaire 3 Quel que soit le matériel d ostéosynthèse, un certain nombre de principes permettent de bien conduire le geste chirurgical Installation Sur table normale, en décubitus dorsal
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détail. Arthritepsoriasique
Les traitements biologiques dans les rhumatismes inflammatoires Dr Clio RIBBENS Service de Rhumatologie. Centre HospitalierUniversitairede Liège Nouveautés dans l'arthrite : Thérapeutiques anti-nf a..
Plus en détailo Anxiété o Dépression o Trouble de stress post-traumatique (TSPT) o Autre
Page 1 Garantie Responsabilité civile - Lésions corporelles de l assurance automobile - Étude des dossiers de demande d indemnisation fermés en Ontario Descriptions des blessures Élaborées à partir des
Plus en détailProblèmes locomoteurs
VOLUME 2 Aspects cliniques Chapitre 10 Problèmes locomoteurs Problèmes locomoteurs 343 Problèmes locomoteurs J.P. Praet, T. Mets Les problèmes locomoteurs sont fréquents et le deviennent de plus en plus
Plus en détailLA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD
LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD Service de Pneumologie Hôpital Beauregard - THIONVILLE 1 Bilan initial Objectifs Bilan de base Traitement pharmacologique Autres traitements pharmacologiques Autres
Plus en détailLa migraine : une maladie qui se traite
La migraine : une maladie qui se traite L évolution natuelle de la migraine Maladie fluctuante+++ Modification des symptômes avec l âge ++ : Moins de crises sévères Caractère pulsatile moins fréquent Plus
Plus en détailLombosciatalgie aigue et chronique Quelle prise en charge? Dr Azizi Fatima Rabat
Lombosciatalgie aigue et chronique Quelle prise en charge? Dr Azizi Fatima Rabat rappeler l examen clinique du rachis Reconnaître les signes d alertes(red flags) Distinguer la lombalgie commune d une lombalgie
Plus en détailL arthrose, ses maux si on en parlait!
REF 27912016 INFORMER UPSA BROCH ARTHROSE V2 08-12.indd 2 30/08/12 11:48 Qu est-ce que l arthrose? L arthrose est une maladie courante des articulations dont la fréquence augmente avec l âge. C est une
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailOrientation diagnostique devant une éosinophilie 1
Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Introduction L hyperéosinophilie est définie par la présence de polynucléaires éosinophiles circulants à plus de 0,5 G/l (500/µl) (quel que soit leur
Plus en détailGuide de référence rapide Prise en charge des douleurs cervicales et des troubles concomitants de stade I et II
Guide de référence rapide Prise en charge des douleurs cervicales et des troubles concomitants de stade I et II Symptômes 3 mois après la collision Symptômes > 3 mois après la collision Pour toutes les
Plus en détailLes fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003
Les fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003 Pré-Requis : Anatomie descriptive et fonctionnelle de l extrémité inférieure du radius Résumé : Les fractures
Plus en détailLa maladie de Still de l adulte
La maladie de Still de l adulte Syndrome de Wissler-Fanconi La maladie Le diagnostic Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur Cette fiche est destinée
Plus en détailRÈGLEMENT ANNOTÉ SUR LE BARÈME CORPORELS
RÈGLEMENT ANNOTÉ SUR LE BARÈME DES DOMMAges CORPORELS 2010 RÈGLEMENT ANNOTÉ SUR LE BARÈME DES DOMMAges CORPORELS 2010 Le document a été préparé par la Direction des services médicaux en collaboration avec
Plus en détailwww.dondemoelleosseuse.fr
Agence relevant du ministère de la santé www.dondemoelleosseuse.fr 01 Pourquoi devenir Veilleur de Vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies. Chaque année, des milliers de personnes - enfants
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailFit For Work? Les troubles musculosquelettiques et le marché du travail belge
Fit For Work? Les troubles musculosquelettiques et le marché du travail belge Stephen Bevan Robin McGee Tatiana Quadrello Contenu 1. Résumé 4 2. Introduction 10 2.1 Pourquoi la santé des travailleurs est-elle
Plus en détailDon de moelle osseuse. pour. la vie. Agence relevant du ministère de la santé. Agence relevant du ministère de la santé
Don de moelle osseuse Engagez-VOUS pour la vie 1 Pourquoi devenir veilleur de vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison
Plus en détailLe Psoriasis Qui est touché?
LE PSORIASIS 1 Le Psoriasis Qui est touché? De 2 à 5 % de la population française soit2 à 3 millionsde personnes en France Deux "pics" de survenue : à l'adolescence et vers la soixantaine Parfois sur des
Plus en détailOrdonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie
Ordonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie (Ordonnance sur les prestations de l assurance des soins, OPAS) Modification du 14 juin 2010 Le Département
Plus en détail& BONNES POSTURES TMS TROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES. Le guide. Guide offert par la MNT
A5-MNTrefonte.indd 1 28/07/2011 08:28:01 & BONNES S TMS TROUBLES MUSCULO-SQUELETTIQUES Le guide Guide offert par la MNT A5-MNTrefonte.indd 2 28/07/2011 08:28:02 SOULEVER UN OBJET LOURD OU UNE PERSONNE
Plus en détailCommuniqué. Abbott présente à Santé Canada une demande d homologation d HUMIRA pour le traitement du psoriasis POUR PUBLICATION IMMÉDIATE
POUR PUBLICATION IMMÉDIATE Communiqué Abbott présente à Santé Canada une demande d homologation d HUMIRA pour le traitement du psoriasis Media: Sylvie Légaré (514) 832-7268 Abbott Gabrielle Collu 514)
Plus en détailRééducation Posturale Globale
Rééducation Posturale Globale R.P.G. Créateur de la méthode : Philippe E. SOUCHARD France Petit guide à l attention de nos patients La Rééducation Posturale Globale est apparue en 1980 à la suite de plus
Plus en détailLe don de moelle osseuse
Le don de moelle osseuse Enfant, je rêvais de sauver des vies. Aujourd hui, je le fais. Grande cause nationale 2009 Olivier, 4 ans Olivier, 32 ans Établissement relevant du ministère de la santé Le don
Plus en détailTable des matières. Remerciements...v. Préface... vii. Avant-propos... xi. Mode d utilisation du manuel et du DVD... xv
Remerciements...v Préface... vii Avant-propos... xi Mode d utilisation du manuel et du DVD... xv Nomenclature française traditionnelle et terminologie anatomique officielle...xvii Table des matières...
Plus en détail1 ère Edition, septembre 2010. La Rhumatologie au Quotidien Dr RALANDISON D. Stéphane Page 1
Dr RALANDISON D. Stéphane 1 ère Edition, septembre 2010 La Rhumatologie au Quotidien Dr RALANDISON D. Stéphane Page 1 C l i q u e z s u r l e s l i e n s S o m m a i r e R é s u m é d e s c h a p i t r
Plus en détailClaude Karger Anne Sophie Kesseler
Claude Karger Anne Sophie Kesseler Docteur, j ai mal au dos!! Faites de la natation, ça va passer Mythe ou réalité? Les poissons souffrent-ils du dos? A priori, non. Pourquoi? Ne sont pas soumis à la pesanteur!!
Plus en détailUTILISATION ET PRECAUTION D EMPLOI DES AINS Professeur Philippe BERTIN, Chef de Service de Rhumatologie, CHU Limoges Octobre 2009
UTILISATION ET PRECAUTION D EMPLOI DES AINS Professeur Philippe BERTIN, Chef de Service de Rhumatologie, CHU Limoges Octobre 2009 Objectifs pédagogiques : 1 ) Connaître les mécanismes d action des AINS
Plus en détailArthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes
Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault
Plus en détailPROTEGER SON DOS ex. Cliniques St Luc
CONGRES UCL DE MEDECINE GENERALE 1 juin 2013 PROTEGER SON DOS ex. Cliniques St Luc Philippe Mahaudens, PhD Faculté des sciences de la motricité UCL Service de Médecine Physique et Réadaptation, Saint-Luc
Plus en détailQU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE?
QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE? TABLES DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2014 La FMH encourage la traduction et la redistribution de
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailCeinture Home Dépôt. Orthèse lombaire et abdominale. Mother-to-be (Medicus)
Orthèse lombaire et abdominale Mother-to-be (Medicus) Prévention Soutient courbe lombaire Supporte poids du ventre Ajustable Soulage les maux de dos en position debout (Beaty et al. 1999) Ceinture Home
Plus en détail