Les conditions de logement des populations immigrées dans les Landes

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Les conditions de logement des populations immigrées dans les Landes"

Transcription

1 DRE Aquitaine FAS Les conditions de logement des populations immigrées dans les Landes DIAGNOSTIC EXPRESS - Etat des lieux des situations de logement des ménages immigrés - Prise en compte dans les politiques publiques de l Habitat Septembre 2002 Le réseau PACT ARIM en Aquitaine

2 Sommaire I- Les grandes tendances de l immigration dans les Landes L immigration dans les Landes La répartition sur le territoire départemental La représentation des communautés étrangères...8 II- L habitat des populations étrangères Un accès différencié selon le segment du parc Des situations différentes selon les nationalités Le parc privé : une fonction d accueil qui se rétrécit Le parc HLM : une fonction d accueil légèrement amoindrie Les données sociales dans les Landes...24 III-L immigration et les politiques publiques de l Habitat

3 I- Les grandes tendances de l immigration dans les Landes 1- L immigration dans les Landes La population immigrée est de personnes en 1999, en augmentation de 5,3% entre les deux recensements. La population totale du Département a progressé au même rythme et atteint personnes. La part des immigrés dans les Landes est donc stable. La population étrangère est passée de personnes en 1990 à personnes en 1999, soit une diminution de 3,3%. La population étrangère est de personnes, soit 2,5% de la population départementale et 7,7% de la population étrangère de la région Aquitaine. Les français par acquisition sont au nombre de en 1999, soit 2,5% de la population départementale. Ils sont passés de en 1990 à en 1999, soit une augmentation de 33,3% entre les deux derniers recensements. La population étrangère et les français par acquisition sont au nombre de , soit 5% de la population départementale. La population immigrée se décompose ainsi : 50,7% de la population étrangère 49,3 de Français par acquisition Rappel La cible de l étude a été approchée à travers l évolution de la population étrangère sur le critère de «nationalité étrangère», seules données statistiques exploitables. Les populations immigrées ne peuvent être décomptées statistiquement de façon précise. En relèvent une partie importante des étrangers résidant en Aquitaine, mais également les français «par acquisition», les enfants d immigrés nés sur le sol français, autant de catégories et statuts différents qui sont mal identifiés. La variable «nationalité étrangère» ne reflète pas le caractère intrinsèque du fait immigré (hétérogénéité des statuts et des trajectoires d immigration). En Gironde, on estime que la population étrangère représente environ 55% de la population immigrée. La population immigrée en France se réfère à une caractéristique invariable, le lieu de naissance. Est considérée comme immigrée toute personne vivant en France née étrangère à l étranger, qu elle soit encore étrangère ou devenue française par acquisition. Les enfants d immigrés nés en France n en font donc pas partie. Cette population évolue par les entrées et les sorties du territoire, et les décès. Cette définition est purement démographique et n est retenue qu à des fins d étude. Dans cette définition conventionnelle, on reste immigré toute sa vie, tandis que l on peut sortir de la population étrangère en devenant français. La notion de population étrangère repose sur le critère juridique de la nationalité. Elle est composée des individus ayant déclaré une nationalité autre que française. Ce sont les étrangers nés en France et les étrangers nés à l étranger. La composition de la population étrangère présente la caractéristique d être mouvante dans le temps. Sa définition renvoie en effet à une situation qui peut être modifiée par l acquisition de la nationalité française. Les populations étrangère et immigrée ne se confondent pas même si elles ont des individus en commun les personnes nées à l étranger possédant une nationalité étrangère. On peut être étranger sans être immigré et être immigré en étant devenu français. La première catégorie (nationalité) est variable et évolutive alors que la seconde (lieu de naissance) est immuable et permanente. 3

4 2- Répartition sur le territoire départemental L immigration n est pas un fait majoritairement urbain dans les Landes. On constate une forte représentation de la population immigrée : - dans les secteurs où sont concentrés les activités économiques les plus importantes : agglomérations de Dax (16,7% de l ensemble des étrangers en 1990 et 18,2% en 1999) et Mont-de-Marsan (13,9% en 1990 et 17,5% en 1999), la côte landaise (environ 30% dans les 6 cantons littoraux). - - dans les secteurs ruraux tels que les cantons de Sabres (8,4% en 1990) et de Morcenx ( 5,6% en 1990). Il s agit de cantons ruraux (agriculture classique et activité forestière) mais aussi de secteurs où l industrie papetière est également présente. Parmi les étrangers, se maintient la prédominance numérique des étrangers issus du Sud de l Europe mais elle s estompe : de 70% à 60% entre 1990 et 1999, au «profit» des étrangers d origine maghrébine (stabilité entre 1990 et 1999) et des autres étrangers (origines non précisées par l INSEE). La baisse de l effectif étranger concerne l ensemble des agglomérations et les communes du département. Elle est toutefois plus marquée dans l agglomération montoise (877 personnes, soit 16,5%%), à Labouheyre (292 personnes soit 42,4%), que dans l agglomération dacquoise (911 personnes, soit 10,5%). Hors Labouheyre (11,5%), malgré la forte baisse enregistrée entre 1990 et 1999, elle ne représente qu une part limitée des populations communales (4,6% à Dax, 2,9% à Mont de Marsan...). Les deux principales villes, Dax et Mont-de-Marsan concentrent 35,7% de la population étrangère départementale. 64,7% résident donc dans les communes rurales. Les communes ayant des taux de population étrangère important sont Labouheyre, Ychoux, Solférino, Lesperon, Lamothe (entre 10 et 15%), puis Dax, Mont-de-Marsan et Soustons (entre 3 et 7% de la population totale). 4

5 5

6 6

7 7

8 8

9 3- Représentation des communautés étrangères Dans les Landes, les communautés les plus représentées sont : - Les Portugais (46,2%) - Les Espagnols (15,6%) - Les Marocains (12,5%) L immigration ibérique est prépondérante sur le département. Les ressortissants des pays de l Europe représentent 75% de la population étrangère et les ressortissants hors UE, 25%. L effectif de la communauté espagnole est comme sur les départements aquitains en chute depuis 1982 (-22,7%) ; cette baisse est surtout lié à l acquisition de la nationalité française, au retour au pays...) alors que la communauté marocaine connaît une progression de + 40,4% depuis 1982 mais cette dernière représente sur le département 5% de la population marocaine totale présente sur la région. Concernant l évolution des effectifs, la communauté portugaise est en progression depuis 1982 (+11,2%) avec toutefois une baisse entre 1982 et 1990 de 21,5%. Ainsi, se confirme la tendance de 1990 de la relativisation de la prédominance de la composante latine de l immigration départementale ainsi la tendance à la hausse de la présence marocaine. Le premier pôle de concentration est la ville de Dax avec 937 personnes soit 18,2%% de la population étrangère départementale. Le second pôle est Mont-de-Marsan avec 877 personnes, soit 17,5% de la population étrangère. L étude des différents peuplements des communes du département permet de définir la typologie suivante : Les communes à profil de population quasi exclusivement latine, les Portugais et les Espagnols y représentent 80% de la population étrangère. Ce type concernent principalement les communes du littoral dont Mimizan, Soustons, Saint Julien les Born, Capbreton. Les communes à profil de population étrangère à forte majorité latine et fort contingent d origine maghrébine, la part des Ibériques y est prépondérante (plus de 50%) mais les communautés d origine du Maghreb représentent entre 20% et 40%. Il s agit de Dax et Mont-de-Marsan. Les communes à profil de population étrangère à majorité maghrébine, les communautés maghrébines atteignent plus de 40%. Il s agit principalement de Labouheyre et de communes rurales, Ychoux, Solférino, Garein. 9

10 10

11 11

12 II- L habitat des populations étrangères dans les Landes 1- Un accès différencié selon les segments du parc La population étrangère ne se distribue pas de manière homogène selon le statut d occupation. Le parc locatif joue un rôle important dans l accueil des populations étrangères (49,2%) avec une fonction majeure pour le parc privé (33,1%). L accession à la propriété représente 45,9% des modes d accès au logement pour les populations étrangères. Statuts d'occupation dans les Landes en % 90% 80% 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0% Population totale Population étrangère Logés gratuitement Propriétaires Locatif HLM Locatif privé On observe au regard des modes d accès de la population totale départementale : Une forte sur représentation en locatif HLM Une sur représentation en locatif privé Une sous représentation des propriétaires Une part similaire des ménages logés gratuitement Population étrangère 1999 Population totale 1999 Locatif privé 33,1% 25,5% Locatif HLM 16,1% 6,8% Propriétaires 45,9% 62,4% Logés gratuitement 4,1% 5,3% Source : INSEE RP 99 au 1/4 12

13 13

14 14

15 L évolution observée durant la dernière période intercensitaire semble traduire la logique suivante : - une fonction d accueil au sein de parc locatif qui se rétrécit et qui tend à se reporter de plus en plus vers l accession à la propriété dont le développement marque la conduite d un processus d installation pour une part relativement importante de la population étrangère. La part des ménages étrangers propriétaires a augmenté de 37,66% en 1990 à 45,9% en Le rôle du parc locatif face au logement des populations étrangères s est rétréci passant de 53,8% en 1990 à 49,2% en 1999 avec une baisse moindre pour le parc HLM (de 17,5% à 16,1%). Locatif HLM Locatif privé Propriétaires Logés gratuitement Population 17,5% 36,3% 37,6% 8,6% étrangère en 1990 Population étrangère en ,1% 33,1% 45,9% 4,1% Source : INSEE RP 99 au 1/4 2- Des situations différentes selon les nationalités On observe que pour les ménages «occidentaux» les propriétaires constituent le groupe dominant, 60% pour les Espagnols, près de 70% pour les Italiens, 48% pour les Portugais et 60% pour les «Autre Union Européenne». Cependant, pour les Portugais, le parc privé conserve une place importante (environ 35% des ménages y sont logés). En 1999, le parc HLM représente plus de 70% des modes d accès au logement pour les Turcs, près de 50% pour les Marocains et environ 40% Vietnamiens, Laos et Cambodgiens. Le parc HLM joue un rôle d accueil privilégié en direction des couches nouvelles ou récentes de l'immigration : Vietnamiens, Laos et Cambodgiens. Les «Autres Asie» composant eux aussi l immigration récente s installent prioritairement dans le parc locatif privé (60%). La part des propriétaires y représente environ 25%. Il semble que la fonction d accueil du parc HLM soit spécialisée eu égard aux différentes composantes de l immigration. Le parc privé représente 50% des modes d accès pour les Africains et 60% pour les «Autres Asiatiques». L ensemble des composantes Hors UE à l exception des nationalités non identifiées par l INSEE («reste») est majoritairement locataire, de 70% à 80% pour les marocains, Africains, Turcs et «Autres asiatiques», environ 60% pour les Algériens, Tunisiens et Vietnamiens, Laos et Cambodgiens alors que environ 30% des Espagnols, Italiens et «Autres UE» le sont. 15

16 Statuts d'occupation par nationalités dans les Landes en % 90% 80% 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0% Logés gratuitement Propriétaires Locatif HLM Locatif privé Espagnols Italiens Portugais Autres CEE Algériens Marocains Tunisiens Autres Turcs Vietn, Laos, Cambod. Autres Reste 16

17 3- Le parc privé : un fonction d accueil qui se rétrécit La part de la population étrangère dans le parc privé est en baisse passant de 37,6% en 1990 à 33,1% en On note également une spécialisation en augmentation sur les territoires urbains. 11,7% des ménages étrangers logés dans le parc locatif privé dans les Landes sont concentrés dans la ville de Dax et 9,1% dans la ville de Mont-de-Marsan Entre 1990 et 1999, le nombre de ménages étrangers logés dans le parc locatif privé sur ces deux villes a progressé de 40% pour Dax et 28,1% pour Mont-de-Marsan dans un contexte où le parc locatif privé occupe une place moindre dans les modes d accès de la population étrangère. Le détail des nationalités des ménages étrangers nous montre que sur ce segment du parc les Portugais sont très présents. Ils représentent par ailleurs 46,2% de le population étrangère sur le département. Ménages étrangers logés en locatif privé en Espagnols 154 Italiens 830 Portugais Autres CEE Algériens 185 Marocains 21 Tunisiens Autres Turcs Vietn, Laos, Cambo Autres Reste Le parc locatif privé de Dax et Mont-de-Marsan accueille ainsi 20,8% des ménages étrangers présents sur ce segment. On peut penser que les quartiers de Cuyès, du Sablar, de Saubagnac, de Séron et du Gond pour Dax et du Peyrouat et Lamoustey pour Mont-de-Marsan jouent ce rôle. Le parc locatif privé dans les communes rurales accueille donc 79,2% des ménages étrangers. 17

18 18

19 Par ailleurs, en 1990, en terme de confort, moins d un tiers (32,8%) des ménages étrangers étaient logés dans les logements les plus inconfortables de ce parc. Depuis 1982, cette situation semble s améliorer et leur situation s est rapprochée de celle de l ensemble de la population dont 24,3% occupaient des logements de ce parc. 36% des ménages étrangers ne disposent pas de tout le confort dans leur logement (un WC intérieur, une salle de bain et un chauffage central) contre 32% pour l ensemble des ménages. Les ménages étrangers UE sont plus concernés par l inconfort du fait de la présence plus importante dans le parc privé (locatif et accession à la propriété). Les nationalités les plus touchées par l inconfort des logements sont les Italiens, les Marocains, Vietnamiens, Laos et Cambodgiens. Les situations d inconfort total (sans baignoire, ni douche et WC intérieur ou extérieur) concernent de la même façon (4%) les ménages étrangers que l ensemble des ménages landais. Pour la taille et le nombre de pièces des logements, seules quelques nationalités se distinguent des caractéristiques de la population totale de Département. Il s agit des Tunisiens et Turcs dont 50% sont logés dans des logements de plus de 100 m² contre 40% pour la population totale et 30% pour la population étrangère. Mais les Tunisiens sont sur représentés dans les logements de petite taille. 40% des «Autres asiatiques» résident également dans des logements de faible superficie. Ces tendance se retrouvent concernant le nombre de pièces. Deux études ont été réalisées par la DDE des Landes, l une sur l habitat du littoral, l autre sur le logement dans les zones les plus rurales. Elles ne nous ont pas été remises. 19

20 Confort des logements selon la nationalité du chef de ménage dans les Landes - RP 99 au 1/4 100% 90% 80% 70% 60% 50% 40% 30% 20% Baign.,douche,wc int.,av chauf.central Baign.,douche,wc int.,ss chauf.central Baignoire ou douche, wc exterieur Ni baignoire, ni douche, wc int rieur Ni baignoire, ni douche, wc exterieur 10% 0% Total mges Tot mges étrangers Total mges UE dt...espagnols dt...italiens dt..portugais Autres Europe Algériens Marocains Tunisiens Autres Afrique Turcs Vietnamiens... Autres Asie Reste Le phénomène d inconfort se situe toujours «à la marge». Même si les statistiques générales ne font pas apparaître spécifiquement une problématique «inconfort», la thématique mérite d être approchée par une autre entrée que celle de l INSEE : étude taudis menée sur le département des Landes : sur un total de 92 situations traitées depuis 1997, environ 10 ménages étrangers logés, rencontrant des difficultés de logements. 20

21 Nombre de pièces des logements selon la nationalité du chef de ménage dans les Landes - RP 99 au 1/4 100% 90% 80% 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0% 6 pièces ou plus 5 pièces 4 pièces 3 pièces 2 pièces 1 pièce Total mges Tot mges étrangers Total mges UE dt...espagnols dt...italiens dt..portugais Autres Europe Algériens Marocains Tunisiens Autres Afrique Turcs Vietnamiens... Autres Asie Reste Le 4-5 pièces reste la règle, hormis pour la population turque caractérisée par une occupation de très grands logements. 21

22 Superficie des logements selon la nationalité du chef de ménage dans les Landes - RP 99 au 1/4 100% 90% 80% 70% 60% 50% 40% 30% 150m² ou plus m² m² 40-70m² moins de 40m² 20% 10% 0% Total mges Tot mges étrangers Total mges UE dt...espagnols dt...italiens dt..portugais Autres Europe Algériens Marocains Tunisiens Autres Afrique Turcs Vietnamiens... Autres Asie Reste La taille des logements occupés par des ménages de nationalité étrangère ne fait pas apparaître de spécificité hormis pour la population turque qui est logée dans de très grands logements. Cette tendance peut-elle s expliquer par la cohabitation? 22

23 4- Le parc HLM : une fonction d accueil légèrement amoindrie On estime que le parc public héberge 16,1% des ménages étrangers en Cette fraction est en légère baisse depuis 1990 (17,5%). En 1999, les villes de Dax et Mont-de-Marsan accueillent respectivement 30,3% et 18,8% des ménages étrangers logés dans le parc HLM contre 21,6% et 18,3% pour l ensemble des ménages. En 1990, les ménages étrangers logés dans le parc HLM de Dax étaient de 34,6% et de 21% pour Mont-de-Marsan. Ménages étrangers logés en parc HLM Espagnols Italiens Portugais Autres CEE Algériens Marocains Tunisiens Autres Turcs Vietn, Laos, Cambod. Autres Reste La communauté portugaise, numériquement plus nombreuse, est très présente sur le parc HLM. Les Marocains et Espagnols également. Les Villes de Dax et Mont-de-Marsan restent les sites d accueil privilégiés. Ensuite nous trouvons la commune de Labouheyre et de Saint Pierre de Mont. 23

24 24

25 5- Les données Sociales dans les Landes 33,1% des ménages dans les Landes reçoivent une prestation logement de la CAF des Landes, soit ménages. 3% des ménages étrangers sont allocataires sur le département. Les cantons les plus concernés sont : Sabres (9%), Morcenx (5%), Dax (6%), Mont-de-Marsan (5%). Parmi les allocataires étrangers, 66% sont ressortissants de pays de l Union Européenne et 34% sont ressortissants de pays hors UE. Toutefois cet équilibre ne se vérifie pas sur les cantons de Gabarret, Sabres, Mont de Marsan Sud où les ressortissants Hors UE sont majoritairement présents. Les profils familiaux des allocataires étrangers sont relativement différents de ceux de l ensemble des allocataires à l exception des familles monoparentales (16% pour l ensemble des allocataires et 17% pour les ménages allocataires étrangers. La part des famille sans enfant est supérieure (21%) à la tendance départementale (6%). Les cantons les plus concernés sont Dax (38%), Mont-de-Marsan (34%) et Hagetmau 32%). Les couples avec enfants représentent 41%. Cette fraction est inférieure à la tendance départementale (56%). Les personnes isolées représentent 21%. Quelques cantons ruraux sont très concernés : Grenade sur Adour (60%) et Roquefort (43%). Couple sans Couple avec Isolés Monoparental enfants enfants Allocataires 6% 56% 33% 16% Allocataires étrangers 21% 41% 21% 17% La composition familiale des allocataires étrangers est la suivante : - 55% des ménages allocataires étrangers n ont pas d enfant (48% pour l ensemble des allocataires) - 18% des ménages étrangers ont 1 enfant (20% pour l ensemble des allocataires) - 24% des ménages étrangers ont deux enfants (30% pour l ensemble des allocataires) - 4% des ménages étrangers ont 3 ou plus enfants (2% pour l ensemble des allocataires) Les familles nombreuses (trois enfants ou plus) sont particulièrement présentes sur les cantons de Sabres (12%) et Mont-de-Marsan (8%). Concernant les ressources, 178 allocataires perçoivent le RMI. La part moyenne d allocataires étrangers au sein de l ensemble des allocataires est de 12%. Les étrangers percevant le RMI sont très présents sur les cantons de Mont-de-Marsan (22%), Sabres (20%) et Dax (19%). Les deux cantons urbains regroupent à eux deux 59% des allocataires étrangers percevant le RMI. 25

26 La part d allocataires étrangers dont le Revenu par Unité de Consommation est inférieur au seuil de pauvreté est de 36,4% pour l ensemble des cantons des landes. Elle est plus élevée pour les cantons de Gabarret (100%), Roquefort (66,7%), Mont-de-Marsan (62%)Tartas Ouest (66,7%), Dax (60%) et Aire sur Adour (53,8%). Les aides accordées par la CAF concernant le logement se répartissent de la façon suivante : 26,1% des allocataires étrangers sont bénéficiaires de l Allocation Logement Social (ALS). Cette aide concerne le secteur libre (privé et non conventionné) et les personnes sans enfant. 52,1% sont bénéficiaires de l Allocation Pour le Logement (APL). Elle concerne les logements du parc public et privé conventionnés. 21,8% sont concernés par l Allocation Logement Familiale (ALF). Elle concerne le secteur libre et les familles avec enfants (Couple et monoparental). Les cantons de Tartas Est / Ouest et Dax (Sud / Nord) sont très concernés par l ALS, environ 25%. Les cantons d Aire sur Adour et Montfort sont quant à eux très concernés par l ALF. La distribution des aides au sein des différents segments du parc est la suivante : - 46,1% dans le parc privé. On y retrouve les cantons ruraux de Roquefort et Amou mais également Soustons, Tartas, Mimizan - 38,1% dans le parc public On y retrouve notamment les cantons de Dax et Mont de Marsan très concernés par l importance du parc social. - 1,4% pour les autres logements % pour les accédants à la propriété. Le canton le plus concerné est Sore (3%). 26

27 27

28 III- L immigration et les politiques publiques de l Habitat Les populations immigrées ne sont pas identifiées en tant que telles dans les réflexions menées dans le cadre du Contrat de Ville de Mont-de-Marsan (en cours d élaboration). Les Actions contre les Taudis menées par le Cesah 40 révèlent que si la problématique n'est pas identifiée spécifiquement, il existe des situations à traiter. En effet, sur un total de 92 situations traitées depuis 1997, environ 10 ménages étrangers logés rencontrent des difficultés de logements : primo accédant en difficulté, locataires et un nombre important de familles portugaises, espagnoles. Lors de la première phase de l'action, le FAS participait financièrement, nous avions à ce moment là ciblé plus spécifiquement des familles étrangères. Si peu d éléments ont pu être rassemblés dans les Landes, la problématique du logement des populations immigrées existe bien, notamment pour les salariés agricoles étrangers travaillant dans les exploitations de Haute Lande, où sont-ils logés? Par ailleurs, suite à la tempête de décembre 1999, des bûcherons étrangers sont arrivés. Où sont-ils logés, dans quelles conditions? Si des ménages "pressentis" sont connus, la problématique du logement de la population immigrée est parfois évoquée mais n'a jamais fait l'objet d'une analyse poussée. Les grandes filières dans l accès au logement seront plus clairement identifiées à travers les entretiens auprès des familles. 28

QUI SONT LES IMMIGRÉS?

QUI SONT LES IMMIGRÉS? QUI SONT LES IMMIGRÉS? Près de 15 immigrés en Alsace en 1999 Étrangers, immigrés : deux notions différentes Les notions d immigré et d étranger ne sont pas équivalentes. Les définitions qu en donne le

Plus en détail

L ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN 2003 : UNE ANALYSE TERRITORIALISÉE DES PROFILS D OCCUPATION DES PARCS ET DES QUARTIERS

L ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN 2003 : UNE ANALYSE TERRITORIALISÉE DES PROFILS D OCCUPATION DES PARCS ET DES QUARTIERS ATELIER PARISIEN D URBANISME - 17, BD MORLAND 75004 PARIS TÉL : 01 42 71 28 14 FAX : 01 42 76 24 05 http://www.apur.org Observatoire de l'habitat de Paris L ANALYSE DU «PARC SOCIAL DE FAIT» PARISIEN EN

Plus en détail

Description des variables de la base de données. a. Attractivité démographique pour les différents types de population

Description des variables de la base de données. a. Attractivité démographique pour les différents types de population Description des variables de la base de données a. Attractivité démographique pour les différents types de population Sources : Recensements de 1962 à 2006 et Clap 2007 - a01_popmoy62, a01_popmoy68, a01_popmoy75,

Plus en détail

Fiche pratique : demi-part fiscale & APL

Fiche pratique : demi-part fiscale & APL Paris, le mercredi 25 août 2010 Fiche pratique : demi-part fiscale & APL Délégation générale représentation representation@pde.fr 06 64 69 67 73 1 1. Demi part fiscale et impôt sur le revenu La notion

Plus en détail

Les parcs de logements et leur occupation. dans l Aire Urbaine de Lille et sa zone d influence. Situation 2005 et évolution 1999-2005

Les parcs de logements et leur occupation. dans l Aire Urbaine de Lille et sa zone d influence. Situation 2005 et évolution 1999-2005 Les parcs de logements et leur occupation dans l Aire Urbaine de Lille et sa zone d influence Situation 2005 et évolution 1999-2005 Décembre 2008 Le territoire d étude 2 Agence de développement et d urbanisme

Plus en détail

LE PASS-TRAVAUX. Edition 2008. Le prêt PASS-TRAVAUX concerne principalement les propriétaires, seuls 2% des bénéficiaires étaient locataires en 2007.

LE PASS-TRAVAUX. Edition 2008. Le prêt PASS-TRAVAUX concerne principalement les propriétaires, seuls 2% des bénéficiaires étaient locataires en 2007. Edition 2008 LE PASS-TRAVAUX Le prêt PASS-TRAVAUX concerne principalement les propriétaires, seuls 2% des bénéficiaires étaient locataires en 2007. A la demande de l ANPEEC, MV2 Conseil a réalisé, en 2007,

Plus en détail

Intervenant : Séverin Poutrel, BURGEAP

Intervenant : Séverin Poutrel, BURGEAP Capacités d accueil, aménagements commerciaux, mutabilité foncière : des outils concrets pour construire un SCOT intégrant les vulnérabilités énergétiques et climatique Intervenant : Séverin Poutrel, BURGEAP

Plus en détail

Saint-Vallier-de-Thiey Bar-sur-Loup. Grasse. Grasse-sud

Saint-Vallier-de-Thiey Bar-sur-Loup. Grasse. Grasse-sud PROVENCE-ALPES-COTE D'AZUR 17 rue Menpenti 13387 MARSEILLE CEDEX 1 Tél. : 4 91 17 57 57 Fax : 4 91 17 59 59 http://www.insee.fr TERRITOIRE CA POLE AZUR PROVENCE 5 communes, 2 chefs lieux de cantons, unité

Plus en détail

Stratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services

Stratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services 1 Stratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services Pays Cœur de Flandre I Phase II La formulation de la stratégie Région Nord Pas de Calais Avril 2013 Région Communauté Nord Pas de

Plus en détail

P opulation. ATLAS DES POPULATIONS IMMIGRÉES en Ile-de-France / Regards sur l immigration / Population 2. Photo : Philippe Desmazes/AFP

P opulation. ATLAS DES POPULATIONS IMMIGRÉES en Ile-de-France / Regards sur l immigration / Population 2. Photo : Philippe Desmazes/AFP P opulation Photo : Philippe Desmazes/AFP Près de 40 % des immigrés résidant en métropole vivent en Ile-de-France en 1999. Environ 15 % de la population francilienne est immigrée, c est une proportion

Plus en détail

Les bénéficiaires de la CMU en Rhône-Alpes au 31 décembre 2003

Les bénéficiaires de la CMU en Rhône-Alpes au 31 décembre 2003 La Lettre de la DRASS N 2006-03-L Avril 2006 Les bénéficiaires de la CMU en Rhône-Alpes au 31 décembre 2003 Au 31 décembre 2003, 40 000 rhônalpins sont affi liés à l assurance maladie par le dispositif

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE. Sylvia Pinel présente 20 actions pour améliorer la mixité sociale dans le logement. Paris, le 15 avril 2015

DOSSIER DE PRESSE. Sylvia Pinel présente 20 actions pour améliorer la mixité sociale dans le logement. Paris, le 15 avril 2015 DOSSIER DE PRESSE Sylvia Pinel présente 20 actions pour améliorer la mixité sociale dans le logement Paris, le 15 avril 2015 Contact presse Service de presse du ministère du Logement, de l Égalité des

Plus en détail

GUIDE DES AIDES ET DES SERVICES AUX PERSONNES AGEES

GUIDE DES AIDES ET DES SERVICES AUX PERSONNES AGEES GUIDE DES AIDES ET DES SERVICES AUX PERSONNES AGEES PREAMBULE CE GUIDE VISE A DÉCRIRE DE FAÇON GÉNÉRALE TOUTES LES AIDES ET LES SERVICES QUI EXISTENT POUR LES PERSONNES ÂGÉES. IL EST DESTINÉ AUX PERSONNES

Plus en détail

PRÉSENTATION DES QUESTIONS DE LA FEUILLE DE LOGEMENT

PRÉSENTATION DES QUESTIONS DE LA FEUILLE DE LOGEMENT PRÉSENTATION DES QUESTIONS DE LA FEUILLE DE LOGEMENT Chacune des questions de la feuille de logement fait l'objet d'une fiche recto-verso. Ces fiches ont vocation à être mises en ligne sur le site web

Plus en détail

Dossier de presse. Adaptation des logements à la perte d autonomie : Des moyens renforcés pour 2013. 19 Mars 2013

Dossier de presse. Adaptation des logements à la perte d autonomie : Des moyens renforcés pour 2013. 19 Mars 2013 Dossier de presse Adaptation des logements à la perte d autonomie : Des moyens renforcés pour 2013 19 Mars 2013 Contacts presse : Myra Frapier-Saab 06 70 10 82 24 1 Les enjeux Le nombre croissant de personnes

Plus en détail

EVOLUTION SPATIO-TEMPORELLE DE L OCCUPATION DES ESPACES SUR LE TRIANGLE MARNAIS

EVOLUTION SPATIO-TEMPORELLE DE L OCCUPATION DES ESPACES SUR LE TRIANGLE MARNAIS EVOLUTION SPATIO-TEMPORELLE DE L OCCUPATION DES ESPACES SUR LE TRIANGLE MARNAIS MARTIN S. *, DELAHAYE F. ** Bureau d études E3C 2 rue Léon Patoux CS 50001 51664 REIMS CEDEX * Mr Stéphane MARTIN, Directeur

Plus en détail

LES ACTUS DE L ALPI. Conférence de presse. Agence Landaise Pour l Informatique

LES ACTUS DE L ALPI. Conférence de presse. Agence Landaise Pour l Informatique Conférence de presse LES ACTUS DE L ALPI Agence Landaise Pour l Informatique Syndicat Mixte ALPI Maison des Communes 175, place de la Caserne Bosquet 40002 MONT-DE-MARSAN Tél : 05 58 85 81 90 Contact :

Plus en détail

Famille multirésidence : recensement et sources alternatives

Famille multirésidence : recensement et sources alternatives Famille multirésidence : recensement et sources alternatives Groupe de travail sur la rénovation du questionnaire de recensement Pascale BREUIL Chef de l Unité des Etudes Démographiques et sociales 28/09/2011

Plus en détail

Document N 09 Document de travail, n engage pas le Conseil Les allocataires du minimum vieillesse : parcours et conditions de vie

Document N 09 Document de travail, n engage pas le Conseil Les allocataires du minimum vieillesse : parcours et conditions de vie CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 22 janvier 2014 à 14h30 «Niveau des pensions et niveau de vie des retraités» Document N 09 Document de travail, n engage pas le Conseil Les allocataires

Plus en détail

Résumé. 1 Les chiffres du recensement général de la population et de l habitat (RGPH2) de 2009 sont en cours exploitation. Les données seront rendues

Résumé. 1 Les chiffres du recensement général de la population et de l habitat (RGPH2) de 2009 sont en cours exploitation. Les données seront rendues Résumé Cette étude a été lancée par l Organisation Internationale pour les Migrations à la demande du Gouvernement du Tchad par le biais du Ministère des Affaires Etrangères et de l Intégration Africaine.

Plus en détail

Évaluation du 4 e Plan départemental d action pour le logement des personnes défavorisées (2009-2013)

Évaluation du 4 e Plan départemental d action pour le logement des personnes défavorisées (2009-2013) Évaluation du 4 e Plan départemental d action pour le logement des personnes défavorisées (2009-2013) S OMMAIRE SOMMAIRE... 1 1. Le contexte de l évaluation... 5 1.1. Le Plan Départemental d Actions pour

Plus en détail

L observation du parc existant et de ses évolutions récentes informe sur les équilibres sociaux et démographiques.

L observation du parc existant et de ses évolutions récentes informe sur les équilibres sociaux et démographiques. LE PARC DE LOGEMENTS À PARIS Le parc existant La construction neuve Le marché immobilier Juillet 2007 Préfecture de Paris / DULE / Bureau de l habitat Section analyse et prospective habitat 1. INTRODUCTION

Plus en détail

L état de la pauvreté en France

L état de la pauvreté en France Notes de l Observatoire N 1, octobre 2013 L état de la pauvreté en France Combien compte-t-on de pauvres en France? Comment évolue leur nombre? Qui est le plus concerné par la crise? A l heure où une partie

Plus en détail

L ACCÈS AU LOGEMENT À L USAGE DU PUBLIC GUIDE PRATIQUE

L ACCÈS AU LOGEMENT À L USAGE DU PUBLIC GUIDE PRATIQUE À L USAGE DU PUBLIC GUIDE PRATIQUE Pôle sanitaire social Ce livret a été élaboré afin de vous guider dans les démarches liées au logement. Vous pouvez vous y référer lors de l intervention. Vous trouverez

Plus en détail

PREFECTURE DE LA REGION AQUITAINE

PREFECTURE DE LA REGION AQUITAINE PREFECTURE DE LA REGION AQUITAINE DIRECTION REGIONALE DE L ALIMENTATION DE L AGRICULTURE & DE LA FORET Service Régional de la Forêt & du Bois Arrêté du 13 août 2009 conditions de financement par des aides

Plus en détail

Assistance à maîtrise d ouvrage renforcée dans le cadre de la perte d autonomie et du maintien à domicile. www.pact-habitat.org

Assistance à maîtrise d ouvrage renforcée dans le cadre de la perte d autonomie et du maintien à domicile. www.pact-habitat.org Assistance à maîtrise d ouvrage renforcée dans le cadre de la perte d autonomie et du maintien à domicile 1 LES CHAMPS D INTERVENTION DU PACT DE L YONNE L appui à la réhabilitation et à l adaptation du

Plus en détail

Lutter contre les exclusions

Lutter contre les exclusions D 2 COHESION SOCIALE ENTRE LES POPULATIONS, LES TERRITOIRES, LES GENERATIONS Si, globalement, la population vélizienne semble peu exposée au risque d exclusion (taux d emploi élevé, revenu médian moyen,

Plus en détail

Définitions. Définitions sur le logement

Définitions. Définitions sur le logement Définitions sur le logement Logement Un logement est défini par son utilisation : c est un local séparé et indépendant utilisé pour l habitation. Il doit être séparé d autres locaux par des murs ou cloisons

Plus en détail

PIG Programme d Intérêt Général Communauté de Communes Les Hauts du Lyonnais. Réunion Publique du 27/06/2013

PIG Programme d Intérêt Général Communauté de Communes Les Hauts du Lyonnais. Réunion Publique du 27/06/2013 PIG Programme d Intérêt Général Communauté de Communes Les Hauts du Lyonnais Réunion Publique du 27/06/2013 1 Sa durée est de 3 ans de Juin 2013 à Mai 2016. Le périmètre de l opération concerne les 10

Plus en détail

à la Consommation dans le monde à fin 2012

à la Consommation dans le monde à fin 2012 Le Crédit à la Consommation dans le monde à fin 2012 Introduction Pour la 5 ème année consécutive, le Panorama du Crédit Conso de Crédit Agricole Consumer Finance publie son étude annuelle sur l état du

Plus en détail

L IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES

L IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES ANNEXES L ISTE DES ANNEXES ANNEXE I : ANNEXE II : ANNEXE III : ANNEXE IV : ÉVOLUTION DES DEPENSES DES COMMUNES ET DES EPCI DE 2006 A 2013 OUTILS JURIDIQUES DE MUTUALISATION A DISPOSITION DES ACTEURS LOCAUX

Plus en détail

Formation des Partenaires en Fundraising/Récolte de fonds. Termes de référence

Formation des Partenaires en Fundraising/Récolte de fonds. Termes de référence Formation des Partenaires en Fundraising/Récolte de fonds Termes de référence 1 1. Contexte et justification La formation en recherche de financement s inscrit dans le cadre du programme «Promouvoir l

Plus en détail

La complémentaire santé : une généralisation qui

La complémentaire santé : une généralisation qui La complémentaire santé : une généralisation qui n efface pas les inégalités Thibaut De Saint Pol, François Marical To cite this version: Thibaut De Saint Pol, François Marical. La complémentaire santé

Plus en détail

Financer les travaux d adaptation des logements

Financer les travaux d adaptation des logements 1ère Journée de l accessibilité des bâtiments et de leurs abords Maison de l Artisanat Financer les travaux d adaptation des logements 1 1er journée de l accessibilité des bâtiments et de leurs abords

Plus en détail

Bellevue - Chantenay - Sainte-Anne

Bellevue - Chantenay - Sainte-Anne Mendès France Croix Bonneau - Bourderies auriers Mairie de Chantenay Plessis Cellier - Roche Maurice Boucardière - MallèveJean Macé Salorges - Cheviré - zone portuaire E QUARTIER Sainte- Anne, contrasté,

Plus en détail

ADIL 05 Agence Départementale d Information sur le logement -

ADIL 05 Agence Départementale d Information sur le logement - ADIL 05 Agence Départementale d Information sur le logement - Observatoire des Loyers du Parc Privé des Communes de Briançon, Embrun et Gap Cette étude, à destination des professionnels de l immobilier,

Plus en détail

«Lutte contre la précarité énergétique et Adaptation des logements à la perte d autonomie» (2014-2016)

«Lutte contre la précarité énergétique et Adaptation des logements à la perte d autonomie» (2014-2016) Programme d Intérêt Général Communauté de communes du pays de Bourgueil «Lutte contre la précarité énergétique et Adaptation des logements à la perte d autonomie» (2014-2016) PRESENTATION DU DISPOSITIF:

Plus en détail

En Afrique, les opportunités d emploi offertes aux femmes proviennent à 92 % de l économie informelle (estimation). JORGEN SCHYTTE/Still Pictures

En Afrique, les opportunités d emploi offertes aux femmes proviennent à 92 % de l économie informelle (estimation). JORGEN SCHYTTE/Still Pictures En Afrique, les opportunités d emploi offertes aux femmes proviennent à 92 % de l économie informelle (estimation). JORGEN SCHYTTE/Still Pictures 1 Introduction I Cette étude considère l urbanisation comme

Plus en détail

DEMANDE D'AIDE FONDS COMMUN LOGEMENT

DEMANDE D'AIDE FONDS COMMUN LOGEMENT DEMANDE D'AIDE FONDS COMMUN LOGEMENT AIDE A L'AMELIORATION DE L'HABITAT DES PROPRIETAIRES OCCUPANTS Demandeur : Mme, Melle, M. :... Adresse :...... Commune :... Canton :... Téléphone de la personne à contacter

Plus en détail

ANALYSE DONNÉES 2012 DES CENTRES SOCIAUX. senacs SYSTÈME D ÉCHANGES NATIONAL. les centres sociaux. Allier

ANALYSE DONNÉES 2012 DES CENTRES SOCIAUX. senacs SYSTÈME D ÉCHANGES NATIONAL. les centres sociaux. Allier Allier ÉDITO 1 CE QU EST UN CENTRE SOCIAL 2 CARTE DE L ALLIER 3 PROJET 4 DYNAMIQUES LOCALES 10 VITALITÉ DÉMOCRATIQUE ET GOUVERNANCE 11 RESSOURCES HUMAINES 12 FINANCES 14 FICHE DÉPARTEMENTALE 15 Édito C

Plus en détail

L allocataire dans un couple : l homme ou la femme?

L allocataire dans un couple : l homme ou la femme? L allocataire dans un couple : l homme ou la femme? par Alain Jacquot CNAF-Bureau des Prévisions Les CAF versent une trentaine de prestations (prestations familiales stricto sensu, aides au logement, et

Plus en détail

Base de données sociales sur Paris

Base de données sociales sur Paris Base de données sociales sur Paris Fiches d identité sociale des 20 arrondissements - 2012 Apur - David Boureau Étude réalisée en collaboration avec le Centre d Action Sociale de la Ville de Paris (CASVP)

Plus en détail

Groupe de la Banque africaine de développement. ALLOCUTION D OUVERTURE DE M. OMAR KABBAJ Président du Groupe de la Banque africaine de développement

Groupe de la Banque africaine de développement. ALLOCUTION D OUVERTURE DE M. OMAR KABBAJ Président du Groupe de la Banque africaine de développement Groupe de la Banque africaine de développement ALLOCUTION D OUVERTURE DE M. OMAR KABBAJ Président du Groupe de la Banque africaine de développement AU SEMINAIRE DE SENSIBILISATION DES SERVICES DE LA BANQUE

Plus en détail

Les seniors dans l agglomération nantaise et leurs modes d hébergement

Les seniors dans l agglomération nantaise et leurs modes d hébergement Les seniors dans l agglomération nantaise et leurs modes d hébergement Agence d urbanisme de la région nantaise AURAN - 88.07 n Le nombre de seniors dans l Agglomération nantaise progresse et plus particulièrement

Plus en détail

ÉDITORIAL. Chiffres Clés. 29% des emplois. 11% des établissements employeurs de la région

ÉDITORIAL. Chiffres Clés. 29% des emplois. 11% des établissements employeurs de la région ÉDITORIAL Les mutations environnementales, économiques et sociales n ont de cesse et depuis quelques années nous ressentons que cette vitesse d évolution tend à devenir exponentielle Que sera demain? Cette

Plus en détail

1/5 ENFANTS ETAUTRES PERSONNES VIVANT AU FOYER SI ENFANTS ACCUEILLIS EN DROIT DE VISITE ET D HEBERGEMENT, PRECISER :

1/5 ENFANTS ETAUTRES PERSONNES VIVANT AU FOYER SI ENFANTS ACCUEILLIS EN DROIT DE VISITE ET D HEBERGEMENT, PRECISER : 1/5 Service Logement 21, route de la Côte d Amour 44600 SAINT-NAZAIRE - 02.49.14.80.83 - - 02.40.53.03.33 DEMANDE D ACCES A UN LOGEMENT EN SOUS-LOCATION 1 LE(S) DEMANDEUR(S) 1 DEMANDEUR CONJOINT Nom(s)

Plus en détail

CHARTE DÉPARTEMENTALE

CHARTE DÉPARTEMENTALE LE CONSEIL GÉNÉRAL DU BAS-RHIN AU DE VOS VIES CHARTE DÉPARTEMENTALE DE L ACCESSIBILITÉ DU BAS-RHIN 2012-2014 TRAVAILLER ENSEMBLE POUR UNE ACCESSIBILITÉ INTELLIGENTE DANS L HABITAT La Charte Départementale

Plus en détail

E T U D E pré-opérationnelle P I G amélioration de l habitat. Volets 2 et 3 : PROGRAMME d ACTIONS 20 juillet 2012

E T U D E pré-opérationnelle P I G amélioration de l habitat. Volets 2 et 3 : PROGRAMME d ACTIONS 20 juillet 2012 P A Y S H A U T L A N G U E D O C E T V I G N O B L E S E T U D E pré-opérationnelle P I G amélioration de l habitat Volets 2 et 3 : PROGRAMME d ACTIONS 20 juillet 2012 1 SOMMAIRE Partie 1 : rappel des

Plus en détail

Rencontre avec Mme Boutin, Ministre du logement et de la Ville

Rencontre avec Mme Boutin, Ministre du logement et de la Ville Rencontre avec Mme Boutin, Ministre du logement et de la Ville FNC Pact Arim Réunion de Bureau, le 24 Septembre 2007 Sommaire Présentation du Mouvement Quelques chiffres Combattre l habitat insalubre et

Plus en détail

les évolutions récentes

les évolutions récentes DE L ADEUS les évolutions récentes dans le BAS-RHIN : des territoires plus spécialisés et plus interdépendants 92 DéCEMBRE 2012 TRANSVERSAL Illustration : ADEUS, 2012 Depuis le milieu des années 1970,

Plus en détail

Adapter le parc de logements à l âge et au handicap

Adapter le parc de logements à l âge et au handicap Adapter le parc de logements à l âge et au handicap Jeudi 15 novembre 2007 Landivisiau Participants : CAROFF Marie-Françoise Délégué PLH Adjointe à Plounévez-Lochrist GUERNIC Françoise Armorique Habitat

Plus en détail

SYNTHÈSE. En 2012, la province Sud compte 16 700 personnes. Le maintien à domicile : solution privilégiée des personnes âgées

SYNTHÈSE. En 2012, la province Sud compte 16 700 personnes. Le maintien à domicile : solution privilégiée des personnes âgées SYNTHÈSE BP 823-98845 Nouméa Nouvelle-Calédonie (687) 27 54 81 isee@isee.nc www.isee.nc Directeur de la publication Alexandre Gautier Conception et réalisation Département publications Synthèse N 3 Édition

Plus en détail

Thème 2 : Le rôle du «secteur informel» dans l intégration régionale

Thème 2 : Le rôle du «secteur informel» dans l intégration régionale Thème 2 : Le rôle du «secteur informel» dans l intégration régionale 1. Le secteur informel en Afrique : définition et caractéristiques générales Le secteur informel est défini comme l'ensemble des unités

Plus en détail

COMMUNAUTÉ DE L AUXERROIS. Un diagnostic santé. au service d un atelier santé-ville

COMMUNAUTÉ DE L AUXERROIS. Un diagnostic santé. au service d un atelier santé-ville COMMUNAUTÉ DE L AUXERROIS Un diagnostic santé au service d un atelier santé-ville 2007 Étude réalisée sous la maîtrise d'ouvrage de la Communauté de l Auxerrois, cofinancée par l'état, et suivie par le

Plus en détail

L OPERATION PROGRAMMEE D AMELIORATION DE L HABITAT (OPAH) Revitalisation Rurale du Pays du Ternois

L OPERATION PROGRAMMEE D AMELIORATION DE L HABITAT (OPAH) Revitalisation Rurale du Pays du Ternois L OPERATION PROGRAMMEE D AMELIORATION DE L HABITAT (OPAH) Revitalisation Rurale du Pays du Ternois L OPAH RR du Pays du Ternois est un dispositif d aides financières ouvert aux propriétaires privés occupants

Plus en détail

Octobre 2012. HABITAT PACT RHONE-ALPES une coopérative pour développer l offre de logements d insertion

Octobre 2012. HABITAT PACT RHONE-ALPES une coopérative pour développer l offre de logements d insertion Octobre 2012 HABITAT PACT RHONE-ALPES une coopérative pour développer l offre de logements d insertion 1 Notre projet Jean Jacques ARGENSON Président du Conseil de surveillance Dans le contexte de la crise

Plus en détail

CDC Entreprises présente son étude annuelle : Le capital investissement dans les PME en France

CDC Entreprises présente son étude annuelle : Le capital investissement dans les PME en France CDC Entreprises présente son étude annuelle : Le capital investissement dans les PME en France Communiqué de presse Paris, le 20 novembre 2012 CDC Entreprises, filiale de la Caisse des Dépôts, gère dans

Plus en détail

5 Avril 2013. Evolution de la construction neuve dans l espace Rhône Avignon Vaucluse AURAV LES PUBLICATIONS DE L AGENCE

5 Avril 2013. Evolution de la construction neuve dans l espace Rhône Avignon Vaucluse AURAV LES PUBLICATIONS DE L AGENCE LES PUBLICATIONS DE L AGENCE Evolution de la construction neuve dans l espace Rhône-Avignon-Vaucluse La n de l «âge d or» de la maison individuelle? aurav agence d'urbanisme Rhône Avignon Vaucluse 5 Avril

Plus en détail

Comité national d évaluation du rsa Annexes

Comité national d évaluation du rsa Annexes Comité national d évaluation du rsa Annexes Annexe 11 La mise en place du Rsa dans les caisses d allocations familiales (*) Pauline Domingo, Stéphane Donné (Cnaf) Décembre 2011 Les documents d études sont

Plus en détail

Le nombre de cotisants de solidarité agricoles diminue de 2 % entre 2010 et 2011.

Le nombre de cotisants de solidarité agricoles diminue de 2 % entre 2010 et 2011. Synthèses Mars 2012 L Observatoire Economique et Social Les cotisants de solidarité en 2011 Le nombre de cotisants solidaires s élève à 110 106 en 2011, en baisse de 2,3 % par rapport à 2010. Toutefois,

Plus en détail

CONTRAT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION

CONTRAT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION Direction de la ville et de la cohésion urbaine CONTRATT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION Proposition d architecture Novembre 2014 Les contrats de ville de nouvelle génération qui succèderont, à compter

Plus en détail

LES ÉTABLISSEMENTS PUBLICS LOCAUX (E.P.L.) SITUES HORS DU CHAMP DE L INTERCOMMUNALITE

LES ÉTABLISSEMENTS PUBLICS LOCAUX (E.P.L.) SITUES HORS DU CHAMP DE L INTERCOMMUNALITE LES ÉTABLISSEMENTS PUBLICS LOCAUX (E.P.L.) SITUES HORS DU CHAMP DE L INTERCOMMUNALITE Les centres communaux d action sociale 2 (CCAS) Ils ont vocation à fournir des prestations d action sociale en nature

Plus en détail

MESURES D ACCOMPAGNEMENT

MESURES D ACCOMPAGNEMENT LIVRET VI MESURES D ACCOMPAGNEMENT DE LA MISE EN ŒUVRE DU SCOT ET SUIVI DE L ANALYSE DE LA SITUATION 127 Sommaire I DES MESURES D ACCOMPAGNEMENT DE LA MISE EN ŒUVRE DU SCOT page 126 HABITAT EQUIPEMENTS

Plus en détail

Bien vivre votre retraite

Bien vivre votre retraite Retraités SEPTEMBRE 2014 Bien vivre votre retraite les contacts près de chez vous Pour vous aider chez vous Le plan d actions personnalise Une offre de prise en charge globale de vos besoins pour améliorer

Plus en détail

Programme Local. de l Habitat BILAN SYNTHETIQUE

Programme Local. de l Habitat BILAN SYNTHETIQUE Programme Local de l Habitat 8 BILAN SYNTHETIQUE sommaire INTRODUCTION 8 8 9 5 Introduction Rappel des objectifs annuels du PLH I) Améliorer l attractivité résidentielle du territoire et relever le défi

Plus en détail

AMMONITIA Département Investissement Etude locative

AMMONITIA Département Investissement Etude locative AMMONITIA Département Investissement Etude locative PRESENTATION DE L ARRONDISSEMENT Démographie Paris 17 Paris Population en 2011 168 454 2 234 105 Variation population : taux annuel moyen entre 1999

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE. Une nouvelle activité vient de voir le jour. «Le BTP Gériatrique»

DOSSIER DE PRESSE. Une nouvelle activité vient de voir le jour. «Le BTP Gériatrique» DOSSIER DE PRESSE Une nouvelle activité vient de voir le jour «Le BTP Gériatrique» Adapt 06 est une société de travaux tout corps d état, spécialisée dans l adaptation des logements pour les personnes

Plus en détail

Les Français et le chauffage. Résultats de l étude menée

Les Français et le chauffage. Résultats de l étude menée Les Français et le chauffage Résultats de l étude menée par IPSOS pour Via sèva Méthodologie et échantillon METHODOLOGIE : Cette étude a été réalisée en adhoc online, auprès d un échantillon issu de l

Plus en détail

L accueil. des gens du voyage. direction générale de l Urbanisme de l Habitat et de la Construction LOI DU 5 JUILLET 2000

L accueil. des gens du voyage. direction générale de l Urbanisme de l Habitat et de la Construction LOI DU 5 JUILLET 2000 direction générale de l Urbanisme de l Habitat et de la Construction LOI DU 5 JUILLET 2000 L accueil des gens du voyage Ministère de l'équipement, des Transports et du Logement direction générale de l

Plus en détail

DIAGNOSTIC pièce n 1.1

DIAGNOSTIC pièce n 1.1 DIAGNOSTIC pièce n 1.1 Approuvé le 10 mars 2014 SCHÉMA DE COHERENCE TERRITORIALE La première phase de l élaboration du SCOT donne lieu à l établissement d un diagnostic et d un état initial de l environnement,

Plus en détail

Aides pour restaurer les parties communes des immeubles en copropriété. Aides pour restaurer un logement locatif

Aides pour restaurer les parties communes des immeubles en copropriété. Aides pour restaurer un logement locatif DISPOSITIONS PRATIQUES OPAH COPROPRIETE RENNES Dans le cadre de l Opération programmée d amélioration de l habitat engagée par la Ville de Rennes sur le centre depuis mars 2007, pour une durée de cinq

Plus en détail

Le système de protection sociale en santé en RDC

Le système de protection sociale en santé en RDC REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO MINISTERE DE L EMPLOI, DU TRAVAIL ET DE LA PREVOYANCE SOCIALE Le système de protection sociale en santé en RDC 13/09/2013 1 I. Contexte national Plan II. Mesures de protection

Plus en détail

FICHE SIGNALETIQUE. Cœur de Flandre. 1. Profil Territoire. 2 Profil Fiscal

FICHE SIGNALETIQUE. Cœur de Flandre. 1. Profil Territoire. 2 Profil Fiscal FICHE SIGNALETIQUE Pays Cœur de Flandre Consultable sur www.sigale.nordpasdecalais.fr Le pays a été reconnu le 9 mars 2004 et le premier contrat a été signé le 15 décembre 2004. Il comporte 45 communes

Plus en détail

COUP D ŒD ŒIL SUR LA MRC L ASSOMPTIONL. Édition 2008. Par Josée Payette Technicienne en recherche psychosociale

COUP D ŒD ŒIL SUR LA MRC L ASSOMPTIONL. Édition 2008. Par Josée Payette Technicienne en recherche psychosociale COUP D ŒD ŒIL SUR LA MRC L ASSOMPTIONL Par Josée Payette Technicienne en recherche psychosociale avec la collaboration de Marie-Ève Simoneau Agente de planification, de programmation et de recherche Direction

Plus en détail

URBAIN-RURAL : DE QUOI PARLE-T-ON?

URBAIN-RURAL : DE QUOI PARLE-T-ON? URBAIN-RURAL : DE QUOI PARLE-T-ON? B.H. Nicot 1 Juin 2005 «Entre 1990 et 1999, le rural en France métropolitaine a connu une croissance démographique de 4,2 % sur la période, tandis que l urbain ne croissait

Plus en détail

Préparation des contrats de ville. Réunions Chefs de projet Novembre 2014

Préparation des contrats de ville. Réunions Chefs de projet Novembre 2014 Préparation des contrats de ville Réunions Chefs de projet Novembre 2014 Contenu des contrats de ville 3 piliers Cohésion sociale Cadre de vie et renouvellement urbain (y compris hors NPNRU) Développement

Plus en détail

Le diagnostic Partagé,

Le diagnostic Partagé, Le diagnostic Partagé, un outil au service du projet Territorial enfance jeunesse Les Guides Pratiques Introduction Parce que nous sommes dans un monde complexe, Définitions, enjeux, méthodologie Phase

Plus en détail

10h-13h Tour de table / Accompagnement de projet Intervenants: Alaa Homsi (Club international des Jeunes à Paris)

10h-13h Tour de table / Accompagnement de projet Intervenants: Alaa Homsi (Club international des Jeunes à Paris) Samedi : 10h-13h Tour de table / Accompagnement de projet Intervenants: Alaa Homsi (Club international des Jeunes à Paris) La séance a commencé par un tour de table afin de présenter chaque association

Plus en détail

Sociologie des joueurs en ligne

Sociologie des joueurs en ligne Mars 2013 Sociologie des joueurs en ligne Enquête ARJEL 2012 Autorité de régulation des jeux en ligne 2 Propos introductifs à l enquête sur la sociologie des joueurs Au-delà de la publication trimestrielle

Plus en détail

DOCUMENT DE TRAVAIL : ENQUÊTE ANNUELLE SUR LES DANS LES PME DE SEINE-SAINT SAINT DENIS (Données 2012)

DOCUMENT DE TRAVAIL : ENQUÊTE ANNUELLE SUR LES DANS LES PME DE SEINE-SAINT SAINT DENIS (Données 2012) Février 2014 DOCUMENT DE TRAVAIL : ENQUÊTE ANNUELLE SUR LES MOUVEMENTS D EMPLOI D DANS LES PME DE SEINE-SAINT SAINT DENIS (Données 2012) Délégation au DéveloppementD Économique, à l Emploi, à la Formation

Plus en détail

Garder et faire garder son enfant

Garder et faire garder son enfant Garder et faire garder son enfant Nathalie Blanpain* L arrivée d un enfant au sein d un foyer est pour ses parents un événement majeur générateur de changements en termes de rythme de vie et d organisation,

Plus en détail

ARRÊTÉ du. Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de seconde générale et technologique

ARRÊTÉ du. Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de seconde générale et technologique RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l Éducation nationale NOR : MENE1007267A ARRÊTÉ du Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de générale et technologique Le Ministre

Plus en détail

Etude du marché immobilier d habitation Etude complémentaire Plan local d urbanisme de la commune de Figeac (46)

Etude du marché immobilier d habitation Etude complémentaire Plan local d urbanisme de la commune de Figeac (46) Etude du marché immobilier d habitation Etude complémentaire Plan local d urbanisme de la commune de Figeac (46) Janvier 2010 Sommaire Preambule 2 I. Contexte et méthodologie 3 II. Définitions 4 Partie

Plus en détail

Intégrez les enjeux énergie-climat dans vos documents d'urbanisme

Intégrez les enjeux énergie-climat dans vos documents d'urbanisme Intégrez les enjeux énergie-climat dans vos documents d'urbanisme PCET, SRCAE, précarité énergétique, PLH, évaluation environnementale SCOT et PLU, étude pré-opérationnelle OPAH BGP280/122 1 L'énergie

Plus en détail

DRAVEIL élabore son PLU

DRAVEIL élabore son PLU DRAVEIL élabore son PLU Réunion publique de quartier DANTON -LA VILLA DOMAINE DE VILLIERS Plan Local d Urbanisme VILLE DE DRAVEIL 10 JUIN 2010 La ville dans son contexte Situation géographique 19kmausuddeParis

Plus en détail

CANDIDATURE PROGRAMME LOCAL DE FORMATION INTERFILIERES 2011-2013

CANDIDATURE PROGRAMME LOCAL DE FORMATION INTERFILIERES 2011-2013 CANDIDATURE PROGRAMME LOCAL DE FORMATION INTERFILIERES 2011-2013 1) Présentation du territoire du PLFI Les territoires Entre-deux-Mers et Graves et Sauternes se situent au cœur du vignoble Bordelais et

Plus en détail

Résidence «Le Val de Blore» à Nice 19, Boulevard de l Armée des Alpes

Résidence «Le Val de Blore» à Nice 19, Boulevard de l Armée des Alpes Le Coup de pouce pour devenir propriétaire! Résidence «Le Val de Blore» à Nice 19, Boulevard de l Armée des Alpes Devenez PROPRIETAIRE de votre résidence principale à Nice en toute SECURITE www.primohabitat06.fr

Plus en détail

L implantation des banques marocaines en Afrique

L implantation des banques marocaines en Afrique L implantation des banques marocaines en Afrique L intégration de l économie marocaine à l économie mondiale est désormais une évidence qui fait l unanimité, le dynamisme de cette intégration a été rendu

Plus en détail

POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES

POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES POLITIQUE D ÉGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES MAI 2008 POLITIQUE D EGALITÉ ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES 1. LE CONTEXTE L égalité entre les femmes et les hommes est une condition essentielle au développement

Plus en détail

«La réforme des retraites en France» Présentation de Gérard Rivière Rencontres de l AFERP1, 18 février 2014, GIE AGIRC-ARRCO

«La réforme des retraites en France» Présentation de Gérard Rivière Rencontres de l AFERP1, 18 février 2014, GIE AGIRC-ARRCO «La réforme des retraites en France» Présentation de Gérard Rivière Rencontres de l AFERP, 8 février 204, GIE AGIRC-ARRCO Ref : 204-7 Le 8 février 204, Gérard Rivière, Directeur de la Caisse Nationale

Plus en détail

COMMUNIQUÉ DE PRESSE. La microfinance : un outil important de réinsertion sociale en Belgique depuis 10 ans

COMMUNIQUÉ DE PRESSE. La microfinance : un outil important de réinsertion sociale en Belgique depuis 10 ans COMMUNIQUÉ DE PRESSE 14,7% de la population belge sous le seuil de pauvreté 1 La microfinance : un outil important de réinsertion sociale en Belgique depuis 10 ans Forte hausse des demandes de microcrédits

Plus en détail

Atlas régional de l habitat

Atlas régional de l habitat Atlas régional de l habitat en Provence-Alpes-Côte d Azur I Année 2011 Atlas régional de l habitat en Provence-Alpes-Côte d Azur Direction régionale de l Environnement, de l Aménagement et du Logement

Plus en détail

Sommaire. Sommaire. 1. Mon établissement 1.1 Pourquoi rendre mon établissement accessible? 1.2 Formation et sensibilisation du personnel

Sommaire. Sommaire. 1. Mon établissement 1.1 Pourquoi rendre mon établissement accessible? 1.2 Formation et sensibilisation du personnel Sommaire Sommaire 1. Mon établissement 1.1 Pourquoi rendre mon établissement accessible? 1.2 Formation et sensibilisation du personnel 2. La réglementation 2.1 Quelles sont mes obligations en tant qu hôtelier?

Plus en détail

éclairages QUI SONT LES ALLOCATAIRES INDEMNISÉS PAR L ASSURANCE CHÔMAGE? Près de 3 demandeurs d emploi sur 5 sont couverts par l Assurance chômage

éclairages QUI SONT LES ALLOCATAIRES INDEMNISÉS PAR L ASSURANCE CHÔMAGE? Près de 3 demandeurs d emploi sur 5 sont couverts par l Assurance chômage éclairages ÉTUDES ET ANALYSES N 5 AVRIL 213 QUI SONT LES ALLOCATAIRES INDEMNISÉS PAR L ASSURANCE CHÔMAGE? L Unédic a réalisé une étude pour approfondir la compréhension de la population des allocataires

Plus en détail

Coup de projecteur : Transferts d'argent des migrants et produits financiers associés

Coup de projecteur : Transferts d'argent des migrants et produits financiers associés Coup de projecteur : Transferts d'argent des migrants et produits financiers associés BIM n - 19 février 2008 Ce BIM est réalisé en partenariat avec le Portail francophone de la microfinance : www.lamicrofinance.org.

Plus en détail

Loyers et revenus depuis les années 1970

Loyers et revenus depuis les années 1970 J. Friggit CGEDD Juin 2013 1 Loyers et revenus depuis les années 1970 1 Cette note reprend une présentation effectuée devant le Collège Logement du CGEDD le 11 juillet 2012. Résumé Depuis les années 1970,

Plus en détail

I. Les dossiers de prêt à la fin de l année 1995 : un premier bilan encourageant. II. Élargissement du public et fréquentation en hausse dans les ADIL

I. Les dossiers de prêt à la fin de l année 1995 : un premier bilan encourageant. II. Élargissement du public et fréquentation en hausse dans les ADIL LA REFORME DE L AIDE A L ACCESSION Un premier bilan Résumé I. Les dossiers de prêt à la fin de l année 1995 : un premier bilan encourageant II. Élargissement du public et fréquentation en hausse dans les

Plus en détail

LEADER... LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : UN OBJECTIF FORT : LEADER ACCOMPAGNE : LES 4 THÉMATIQUES : POUR VOUS ACCOMPAGNER

LEADER... LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : UN OBJECTIF FORT : LEADER ACCOMPAGNE : LES 4 THÉMATIQUES : POUR VOUS ACCOMPAGNER LE DISPOSITIF DE FINANCEMENT EUROPÉEN LEADER AU SERVICE DE L ATTRACTIVITÉ TERRITORIALE LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : Le programme LEADER est un outil au service de la mise en œuvre du projet de territoire

Plus en détail

Le marché des seniors : nouvelle cible a privilégier par les promoteurs de logements collectifs et les constructeurs de maisons individuelles

Le marché des seniors : nouvelle cible a privilégier par les promoteurs de logements collectifs et les constructeurs de maisons individuelles Le marché des seniors : nouvelle cible a privilégier par les promoteurs de logements collectifs et les constructeurs de maisons individuelles Les nouveaux enjeux d'un marché encore peu cerné D un point

Plus en détail

THEME 5: CONDITIONS DE VIABILITE FINANCIERE DE LA MICROFINANCE AGRICOLE

THEME 5: CONDITIONS DE VIABILITE FINANCIERE DE LA MICROFINANCE AGRICOLE RESEAU DES CAISSES POPULAIRES DU BURKINA ********************************* Fédération des Caisses Populaires du Burkina (F.C.P.B.) Tél.: 50.30.48.41, Fax : 50.30.49.10 ; E-mail : fcpb@fasonet.bf ; Adresse

Plus en détail