Méthodes expérimentales en immunologie

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Méthodes expérimentales en immunologie"

Transcription

1 Méthodes expérimentales en immunologie 1 Techniques de phénotypage 2 Analyse fonctionnelle in vitro 3 Modèles de souris Marie Alix Poul Institut de recherche en cancérologie, Montpellier marie alix.poul pearson@univ montp2.fr FMBS215

2 Informations données par la cytométrie en flux sur une cellule taille relative (Forward Scatter FSC) granularité relative ou complexité interne (Side Scatter SSC) intensité relative de fluorescence (FL1, FL2, FL3 et FL4 voire FL5, FL6,.et plus encore): marquage anticorps (ou sonde biochimique)

3 Exemple d analyse: sang humain hémolysé: Diagramme en 2 dimensions ou dotblot: 1 cellule = 1 point Side Scatter (gran nularit té) Neutrophiles Monocytes Lymphocytes Right Angle Light Detector --> fonction de la complexité cellulaire Forward Light Scatter (taille) Lumière Incidente Forward Light Detector --> fonction de la taille de la cellule

4 Analyse cytométrie en flux DotBlot (graphe en 2 dimensions) Histogramme (1 seul marquage représenté, MFI: intensité moyenne de fluorescence) Multimarquages Marquage intracellulaire (perméabilisation/fixation des cellules) Technique des «tétramères»

5 Détection de T spécifiques: Principe des tétramères MHC peptide Production de molécule MHC classe I ou 2 biotinylée chez E. coli Dénaturation Renaturation en présence de peptide Tétramérisation par ajout de streptavidine (couplée à un fluorochrome) => forte affinité «fonctionnelle» Ex: Mise en éid évidence d une réponse T CD8 spécifique du cytomégalovirus chez un patient HLA A2 Préparation des PBMC (peripheral blood mononuclear cells) par gradient de Ficoll Co marquageanticorps anti CD8/tétramère de molécule HLA A2 peptide CMV)

6 tétramère de CD1d / α Galactosyl Ceramide Détection/purification des inkt tétramère de CD1d / α GalCer inkt souris autres T conventionnels

7 stratégies de tri Cytomètre associé à un système de tri Long mais indispensable pour des séparations sur de multiples li l paramètres, possibilité de tri sur un marqueur biochimique. Possibilité d analyse couplée au tri de cellules/s. Séparation par phase solide (fond en plastique des boîtes de Pétri ou de culture cellulaire, billes de taille et de nature diverse ) Les cellules sont retenues soit par adhérence spontanée, soit par affinité par l intermédiaire d anticorps monoclonaux ou de lectines. «sélection positive» : population d intérêt retenue par la phase solide «sélection négative» : population non retenue ( séparation plus «neutre» fonctionnellement) Plus simple, moins couteux, pureté inférieure au tri par cytométrie, pas toujours applicable

8 Technique MACS («Magnetic activated cell sorting») Billes d oxyde de fer et de polysaccharide, diamètre de 50 nm couplées à des anticorps Colonne de séparation magnétique placée dans un aimant de très forte puissance. Le tri est simple, rapide, pureté 50> > 95%, rendement > 90%, tri rapide de 10 9 cellules (1 étape; 10 min.). Présence des billes compatible avec un tri ultérieur en cytométrie de flux. Ex: Tri négatif: élimination des cellules T dans le cadre des allogreffes de moelle (sur colonne couplée à un anticorps monoclonal pan T.

9 Combinaison tri magnétique/cytométrie pour les populations rares Trier à partir de10 9 cellules totales, une sous population qui représente 0,5 % de la suspension cellulaire l (soit 5,10 6 cellules l à obtenir) : Enrichissement; moins de 10 minutes de tri avec l Automacs pour avoir 10 7 cellules, pures à 50 %, puis 30 minutes pour amener cette pureté à 98 % par cytométrie en flux sur un trieur à haute vitesse ( cellules). => Obtention en 40 min. de 5,10 6 cellules de la population cible pure à 98 % à partir d une population où elle est peu représentée (0,5 %). Un cytomètre très rapide ( cellules/seconde) demanderait tout de même environ... h de travail...

10 Stratégies de tri des Tregs pour amplification ex vivo Tri magnétique des CD4 puis Tri par cytométrie 7 CD12 CD4 +, CD127, CD25 high CD127 CD4 CD4+, CD45RA +, CD25 high

11 Histochimie: Tissue micro array TAM Tissue micro array TMA: immunohistochimie à haut débit; fragments (carottage) de tissus d environ 0,6 mm de diamètre obtenus de tissus inclus en paraffine, disposition dans un bloc de paraffine en espacement réguliers Coupes/microtome, montage sur lame pour analyse

12 Détection de T mémoires CD45R0 dans des biopsies Biopsies de patients diagnostiqués avec un cancer colorectal de stade I et II (HEGP)

13 Analyse des répertoires BcR ou TcR Extraction ARN Amplification PCR - amorce V spécifique/amorce C spécifique - précurseurs nucléotidiques fluorescents Electrophorèse capillaire Profil gaussien; répertoire poyclonal Amplification d un p clone

14 Répertoire anti Flu1... we expand CD4+ T cells from the influenza specific memory pool of two HLA DR1+ donors (known responders to peptide HA ). Ten day cultures of 10 6 peripheral blood mononuclear cells (PBMCs) with the peptides Flu1 gave CD4+ HLA DR1/HA tetramer positive cells. We investigated TCR usage by the amplified populations p (FLu1) to establish the repertoire deployed against Flu1 peptide... pp Numbers indicate the % of T cellswith ihtrbv usage

15 Fluorescent CllB CellBar coding Code barre fluorescent Multi marquage et analyse dans un seul tube de plusieurs populations: Comparaison normalisée des intensités de signaux Simplicité, ité rapidité Nature Methods 3, (2006)

16 Fluorescent CllB Cell Bar coding Analyse dans un même tube de plusieurs populations (marquées avec un code barre d intensité variable selon le traitement) Comparaison des intensités ité de signaux de signaux de phospho STAT1 h et phospho STAT6 h Nature Methods 3, (2006)

17 Production de cytokines Dosage de cytokines dans un surnageant de culture: ELISA Cytometric Beads Array (dosage de plusieurs cytokines possible: analyse multiple) Mesure du nombre de cellules produisant un type de cytokines ELISPOT Marquage intracellulaire de cytokines/facs (possibilité de détecter plusieurs cytokines à la fois)

18 Cytometric Beads Array Immunoassay Lecture possible de 100 analytes à la fois

19 Technique ELISPOT:«Enzyme linked immunospot» 1983, à l origine, utilisée pour l activation des cellules B (mesure de la sécrétion des Ig), en 1996, adaptée pour l analyse de l activation des lymphocytes T. Détecter et dénombrer les cellules T activés chez un patient, en détectant la sécrétion de cytokines (l INFγ notamment).

20 Caractérisation fonctionnelle d épitopes T: ELISPOT Recherche d une réponse T anti-ep-cam: nombre fixe de PBL d'un patient HLA*0201 atteint d un colocarcinome incubés avec des + peptides issus d Ep-CAM Ep-184 (ILYENNVIT) 4 Ep-184b (ILYENNVITI) 80 Milieu 0 PHA

21 Proliferation/division i i cellulaire/mort l cellulaire l (apoptose) Cytometrie de flux: iodure de propidium (cellules mortes, répartition dans les phases du cycle), 7 AAD BrdU, EdU: cellules en phase S CFSE; carboxyfluorescein diacetate succinimidyl ester: colorant fluorescent permettant de suivre la division des cellules (diminution des intensités de fluorescence selon les divisions), in vitro et in vivo (injection puis prélèvement). Annexin V: affinité pour la phosphatidyl serine, externalisée pendant l apoptose Microscopie: DAPI, Hoechsht Thymidine tritiée ou BrdU: quantification de l incorporation dans l ADN au cours de laphase S

22 Fonctions effectrices Cytotoxicité (NK, CTL, NKT): mesure de la radioactivité ité présente dans le surnageant de cellules cibles préalablement chargées en 51 Cr Méthodes cytométriques équivalentes Réponse anticorps: ELISA

23

24 Modèles de souris humanisées

25 Souris immunodéficientes pour la reconstitution d un SI humain Souris nude; sans thymus: pas de LT thymodépendants Souris SCID (severe combined immunodeficiency, prkdc / ): pas de B et de T matures, mais des NK Souris NOD: diabète, anomalie IFN, anomalie activité NK Souris NOD SCID: absence de B, T et anomalie activité de NK. Souris beige (bg): anomalie des macrophages et neutrophiles, anomalie NK et CTL Souris RAG / : (recombinaisons activating genes) absence de T et B matures Souris NSG: NOD/SCID IL2R / (2004) IL2R / absence e de B, T et NK. Souris BRG: BALB/C, RAGR2 /,IL2R / (2005): absence de B, T et NK.

26 Protocole pour l étude de pathologies infectieuses chez la souris humanisée

27 Différences SI homme/souris Mestas J. et al. 2005

28 Différences SI homme/souris Mestas J. et al. 2005

29 Différences SI homme/souris La souris est un modèle pour étudier les réponses immunitaires et l immunopathologie immunopathologie, de tester des médicaments mais pas forcément transposable à l homme Les souris à lignée hématopoïétique humaine permettent d étudier le SI humain et ses interactions avec des virus infectant les cellules immunitaires à tropime strictement humain vis à vis de tumeurs humaines

30 Démarche expérimentale et analyse d article Marie Alix Poul Institut de recherche en cancérologie, Montpellier marie alix.poul pearson@univ montp2.fr FMBS215

31 Démarche expérimentale canonique Question dans un contexte: Est ce que l interaction de la protéine A avec B est impliquée dans le processus P? Synthèse des conclusions Questions ciblées: Est ce que A interagit avec B? Est ce que A est impliquée dans le processus P? Est ce que B est impliquée dans le processus P? Est ce que le processus P est affecté si on abolit l interaction entre A et B? Pour chaque question ciblée: Choix d une stratégie expérimentale permettant de répondre: Ex: Est ce que A interagit avec B? Interaction de 2 protéines recombinantes in vitro? Interaction in vivo (co immunoprécipitation, double hybride...)? Est ce que des mutations dans le gène A peuvent compenser des mutations dans le gène B? Conclusions pour chaque question ciblée Pour chaque expérience: 1) réalisation, 2) description 3) interprétation

32 Le choix de l article Site PubMEd: nlm nih Titre Auteurs et nom du(des) laboratoire(s) Mots clés (keywords) Résumé (abstract) Introduction Résultats Tableaux (tables) et figures Discussion Matériel et Méthodes Autres items variables Données supplémentaires disponibles enligne (supplementary information ousupplemental data)

33 Le facteur d impact dun d un article Il rend compte de l impact dans la communauté scientifique d un revue (et (t attention, en aucun cas d un article). Calcul : Soit IFn(R) le coefficient d impact d une revue «R» (ou «impact factor») de l année n. IF année n d une revue: Nombre de citations année n 2+ année n 1 Nombre d articles publiés année n 2 + année n 1 d d b d l él é l l correspond donc un nombre moyen de citations court terme. Plus est élevé, plus les articles publiés par la revue considérée sont cités (à court terme).

34 50% des journaux d immunologie ont un facteur d impact supérieur à 3

35 Etape de l analyse d article 1) Compréhension nécessité d informations complémentaires 2) Analyse critique 3) Restitution

36 1 Phase de compréhension de l article Comprendre la démarche et le point de vue des auteurs Comprendre la problématique Comprendre la démarche expérimentale Comprendre les résultats de chaque expérience Comprendre les interprétations ti des auteurs Faire une synthèse

37 1 Phase de compréhension de l article 1 1 Comprendre la problématique : Les objectifs : identifier la (les) question(s) posée(s) connaîtrele contexte : qu est ce qui est connu sur le sujet au moment de la publication? identifier les principales conclusions Les sources d information : dans l article : Titre, résumé, introduction, parfois le début de la discussion Chercher h un article de revue Chercher un autre article de recherche Choisir un autre article si la question q posée ne vous paraît pas intéressante ou pertinente

38 1 Phase de compréhension de l article 1 2 Comprendre la démarche expérimentale : Les objectifs : pour chaque méthode employée, connaître le principe (c.a.d. les grandes étapes du protocole), comprendre sa finalité, si possible, s interroger sur ses limites Les sources d information : dans l article : Matériel et méthodes, résultats vos cours certains ouvrages articles de recherche cités articles de la série des Methods in

39 1 Phase de compréhension de l article 1 3 Comprendre les résultats de chaque expérience : Les objectifs : pour chaque figure ou tableau de résultat présenté identifier les «témoins» et analyser les résultats leur correspondant, identifier les «essais» et analyser les résultats leur correspondant, comprendre les conclusions tirées de l expérience par les auteurs. Les sources d information : dans l article uniquement : Matériel Méthodes, Résultats Distinguer témoins positif et négatif Distinguer g témoin positif (négatif) biologique gq ou témoin positif (négatif) d analyse. Repérer la significativité des résultats

40 1 Phase de compréhension de l article 1 4 Comprendre les interprétations formulées par les auteurs : L objectif: expérience par expérience, comprendre les interprétations proposées par les auteurs. Les sources d information : Dans l article uniquement : partie Résultats. 1 5 Effectuer une synthèse : L objectif : Recenser les différentes conclusions, et s efforcer de les rassembler Hiérarchiser les conclusions. Les sources d information : dans l article uniquement : Résultats, Discussion, Titre, Résumé

41 2 Phase d analyse critique «procéder à une analyse critique» signifie «s interroger» 1 Questionnement méthodologique Pour chaque expérience décrite dans l article : La stratégie expérimentale utilisée permet elle de bien répondre à la question posée? Les témoins sont ils selon vous suffisants? Les témoins donnent ils bien les résultats attendus? 2 Questionnement sur l analyse des résultats par les auteurs Pour chaque expérience décrite dans l article : Les résultats obtenus vous paraissent ils convaincants? Êtes vous convaincu par les interprétations proposées?

42 2 Phase d analyse critique 3 Questionnement sur les conclusions formulées par les auteurs Les différentes expériences vous paraissent elles cohérentes ou voyez vous vous des contradictions Les conclusions tirées sont elles cohérentes avec les données de la littérature t dont vous avez connaissance? 4 Questionnement sur les perspectives ouvertes par l article Quelle stratégie expérimentale pourriez vous proposer pour confirmer ou infirmer les conclusions importantes de l article? Quelle «nouvelle» question suscitent les conclusions de l article?

43 3 Restitution (présentation orale) 1 Situer la problématique (5 min max) Donner les connaissances (contemporaines de la publication) essentielles la compréhension (il faut être concis) ; Formuler de manière explicite la(les) question(s) posée(s) par l article. 2 Présenter et interpréter des résultats choisis Faut il présenter tous les résultats? Ce n estpasobligatoire nest obligatoire, et cest c estrarement possible dans le temps qui vous est imparti. Cela implique : de choisir judicieusement les expériences que vous allez présenter ; d être néanmoins capable de répondre à des questions concernant les expériences que vous n avez pas présentées. Faut il présenter les résultats dans l ordre de l article? Ce n est pas obligatoire, il est parfois plus facile de présenter les données dans un ordre différent de celui de la publication.

44 Comment présenter une expérience (et donc d une figure) 1 Indiquer précisément la question posée. 2 Présenter la méthode expérimentale utilisée pour répondre à la question. Si nécessaire, élaborer un schéma présentant son principe. 3 Projeter le résultat de l expérience (tableau ou figure) ; il doit être accompagné : d un titre (qui ne doit pas donner la conclusion de l expérience) mais faire référence à la stratégie té expérimentale éi tl utilisée ; d une légende. Si la légende de l article est trop sommaire ou difficile à comprendre sur la publication, ne pas hésiter à refaire une légende didactique. 4 Décrire les résultats obtenus sans les interpréter. 5 Commenter les résultats obtenus pour les témoins. 6 Présenter les interprétations des auteurs. 7 Effectuer une analyse critique des résultats et de leurs interprétations.

45 Exemple 1:

46 Exemple 2: Impression des 4 premières pages

47

48 2015 FMBS215 Immunopathologie première série d'articles article 1 A germinal center independent pathway generates unswitched Justin J. J. Exp. Med. Vol. 209 memory B cells early in the primary Taylor, et al. No , 2012 response article 2 Selective depletion of Foxp3+ J exp MedVol. 204, No. regulatory T cells induces a scurfy-like Lahl K et al. 1, January 22, 2007 disease article 3 Sodium Chloride Drives Autoimmune Markus Nature April 25; Disease by the Induction Kleinewietfeld 496(7446): of Pathogenic Th17 Cells article 4 article 5 Down-Regulation of Interferon Signature in Systemic Lupus Erythematosus Patients by Active Immunization With Interferon Kinoid Bernard R. Lauwerys, ARTHRITIS & RHEUMATISM, Vol. 65, No. 2, February 2013, pp Expression Profiles of MYC Protein and MYC Gene Rearrangement in Lymphomas article ce 6 Exhaustion of bacteria-specific CD4 T cells and microbial translocation in common variable immunodeficiency disorders article 7 article 8 article 9 article 10 T helper 17 cells play a critical pathogenic role in lung cancer Gut Microbiota Elicits a Protective Immune Response against Malaria Transmission Karen M. Chisholm, Perreau, M Seon Hee Chang Am J Surg Pathol Volume 00, Number 00, 2015 J. Exp. Med Vol. 211 No date présentation 12-févr 19-févr 19-févr 26-févr 05-mars 19-mars intervenant superviseur Etudiants LG/MAP LG/MAP TV TV CR PC PNAS April 15, 2014 vol mars MAP no. 15 Bahtiyar Cell 159, , Yilmaz, December 4, 2014 Cell Death and Disease( Functional expression cloning identifies COX-2 as a suppressor of antigen-specific cancer immunity Göbel-C 2014) 5, e1568; doi: /cddis Changes in antigen-specific T-cell number and function during oral desensitization in cow s milk allergy MucosalImmunology VOLUME 5 NUMBER 3 26-mars 02-avr 09-avr PC MAP FC

Explorations des réponses Immunitaires. L3 Médecine

Explorations des réponses Immunitaires. L3 Médecine 2012 Explorations des réponses Immunitaires L3 Médecine Rappel sur les réponses Immunitaires DIFFERENTS TYPES DE REPONSES IMMUNITAIRES Naturelle = innée Adaptative Non spécifique Spécifique Immédiate Barrière

Plus en détail

MAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de

MAB Solut. vos projets. MABLife Génopole Campus 1 5 rue Henri Desbruères 91030 Evry Cedex. www.mabsolut.com. intervient à chaque étape de Mabsolut-DEF-HI:Mise en page 1 17/11/11 17:45 Page1 le département prestataire de services de MABLife de la conception à la validation MAB Solut intervient à chaque étape de vos projets Création d anticorps

Plus en détail

Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques

Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Dr Olfa BAHRI Laboratoire de Virologie Clinique Institut Pasteur de Tunis INTRODUCTION Plus de 300. 10 6 porteurs chroniques de VHB dans le monde Hépatite chronique

Plus en détail

EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410

EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICES : MECANISMES DE L IMMUNITE : pages 406 407 408 409 410 EXERCICE 1 PAGE 406 : EXPERIENCES A INTERPRETER Question : rôles respectifs du thymus et de la moelle osseuse dans la production des lymphocytes.

Plus en détail

Cytokines & Chimiokines

Cytokines & Chimiokines Cytokines & Chimiokines I. (D après Förster, R. et al. (1999) Cell 99:23) Dans le but d étudier la régulation de la circulation des leucocytes dans l organisme, des souris déficientes pour le récepteur

Plus en détail

Cytokines ; Chimiokines

Cytokines ; Chimiokines Cytokines ; Chimiokines I. Dans le but d étudier la régulation de la circulation des leucocytes dans l'organisme, des souris déficientes pour le récepteur CCR7 de chimiokine ont été générées par recombinaison

Plus en détail

Vaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins

Vaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins Vaccinologie et Stratégie de Développement des Vaccins Vaccinologie 1977 - Terme utilisé par Jonas Salk. 1983 - Rassemble tous les aspects des vaccinations : biologiques, immunologiques et cliniques ainsi

Plus en détail

www.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage

www.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage 2 HTS 3 Immunologie / Immunologie Informations Techniques 3 I 2 ELISA 96 Puits 3 I 4 ELISA 96 Puits en Barrettes 3 I 6 en Barrettes de 8 Puits 3 I 7 en Barrettes de 12 Puits 3 I 8 en Barrettes de 16 Puits

Plus en détail

ANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES

ANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES L OUTIL IDEAL POUR TOUTES LES DETECTIONS IMMUNOCHIMIQUES pour toutes les techniques immunodosages (EIA/ELISA) dot/ westernblot immunohistochimie immunocytochimie cytométrie en flux quel que soit le système

Plus en détail

TD de Biochimie 4 : Coloration.

TD de Biochimie 4 : Coloration. TD de Biochimie 4 : Coloration. Synthèse de l expérience 2 Les questions posées durant l expérience 2 Exposé sur les méthodes de coloration des molécules : Générique Spécifique Autres Questions Pourquoi

Plus en détail

Service de Biothérapies

Service de Biothérapies AP-HP Service de Biothérapies Pr. D. Klatzmann Service de Biothérapies Activités de l unité de thérapie cellulaire Dr. Hélène Trébéden-Negre Plan Définition de la thérapie cellulaire Les autogreffes de

Plus en détail

Les cytokines et leurs récepteurs. Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli

Les cytokines et leurs récepteurs. Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli Les cytokines et leurs récepteurs Laurence Guglielmi laurence.guglielmi@univ-montp1.frli l i@ i 1 Les cytokines et leurs récepteurs 2 mécanismes principaux d interactions cellulaires : - contact membranaire

Plus en détail

Innovations thérapeutiques en transplantation

Innovations thérapeutiques en transplantation Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010

Plus en détail

IMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques

IMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production

Plus en détail

Cibles et mécanismes d action des traitements par cytokines et anti-cytokines

Cibles et mécanismes d action des traitements par cytokines et anti-cytokines Cibles et mécanismes d action des traitements par cytokines et anti-cytokines Jean Daniel Lelièvre, Yves Lévy, Pierre Miossec I-Introduction... 2 II-Les interférons... 2 II-1.L interféron... 3 II-1-a.

Plus en détail

Production d effecteurs immuns. Veronique DECOT, MCU-PH UTCT (Unité de Thérapie Cellulaire et Tissus) CHU de Nancy

Production d effecteurs immuns. Veronique DECOT, MCU-PH UTCT (Unité de Thérapie Cellulaire et Tissus) CHU de Nancy Production d effecteurs immuns Veronique DECOT, MCU-PH UTCT (Unité de Thérapie Cellulaire et Tissus) CHU de Nancy Conditionnement Receveur Allogreffe de CSH Non prise et rejet de la greffe Donneur Immunosuppression

Plus en détail

TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES

TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES Classement NABM : non inscrit code : non codé DÉCEMBRE 2006 Service évaluation des actes professionnels

Plus en détail

Première partie: Restitution + Compréhension (08 points)

Première partie: Restitution + Compréhension (08 points) Lycée M hamdia Année scolaire : 2011/2012 Prof : Saïd Mounir Date : 17/05/2012 Première partie: Restitution + Compréhension (08 points) EXERCIE N O 1: (4 points) : 1 : a-b 2 : b 3 : a-b 4 : d 5 : d 6 :

Plus en détail

L immunoenzymologie. Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic cificité des anticorps pour leurs nes

L immunoenzymologie. Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic cificité des anticorps pour leurs nes L immunoenzymologie Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic Basée e sur la très s grande spécificit cificité des anticorps pour leurs antigènes nes Test qualitatif Détection

Plus en détail

Les OGM. 5 décembre 2008. Nicole Mounier

Les OGM. 5 décembre 2008. Nicole Mounier Les OGM 5 décembre 2008 Nicole Mounier Université Claude Bernard Lyon 1 CGMC, bâtiment Gregor Mendel 43, boulevard du 11 Novembre 1918 69622 Villeurbanne Cedex OGM Organismes Génétiquement Modifiés Transfert

Plus en détail

CONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD?

CONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD? CONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD? Hélène MANGEARD François MALADRY Tuberculose : infection mycobactérienne Infection mycobactérienne chronique (M. Tuberculosis ++ ou bacille

Plus en détail

DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires.

DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires. Produits de thérapie cellulaire DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires. DIAPOSITIVE 2 La fabrication des thérapies cellulaires est examinée par la Division

Plus en détail

5.5.5 Exemple d un essai immunologique

5.5.5 Exemple d un essai immunologique 5.5.5 Exemple d un essai immunologique Test de grossesse Test en forme de bâtonnet destiné à mettre en évidence l'hormone spécifique de la grossesse, la gonadotrophine chorionique humaine (hcg), une glycoprotéine.

Plus en détail

Vue d ensemble : Office of Cellular, Tissue and Gene Therapies

Vue d ensemble : Office of Cellular, Tissue and Gene Therapies Vue d ensemble : Office of Cellular, Tissue and Gene Therapies DIAPOSITIVE 1 Cette présentation fournit une vue d ensemble de l Office of Cellular, Tissue, and Gene Therapies (bureau des thérapies cellulaires,

Plus en détail

INAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE

INAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE INAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE Contact presse : Cathy Josse 03 22 66 87 83 / 06 86 30 46 57 josse.cathy@chu-amiens.fr 1 COMMUNIQUE DE SYNTHESE Le 16 février

Plus en détail

Le don de moelle osseuse :

Le don de moelle osseuse : DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui

Plus en détail

AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE

AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE CONCOURS EXTERNE Session 2005 TRAVAUX PRATIQUES DE BIOCHIMIE PHYSIOLOGIE ALCOOL ET FOIE L éthanol, psychotrope puissant, est absorbé passivement dans l intestin

Plus en détail

Transfusions sanguines, greffes et transplantations

Transfusions sanguines, greffes et transplantations Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222

Plus en détail

Vaccins du futur Atelier «Croisière dans l archipel des nouveaux vaccins»

Vaccins du futur Atelier «Croisière dans l archipel des nouveaux vaccins» Vaccins du futur Atelier «Croisière dans l archipel des nouveaux vaccins» Bernard Duval Institut National de Santé Publique du Québec 18 avril 2002 Objectifs Grands axes de la réponse immunitaire Conjugaison

Plus en détail

Approche par groupe de gènes pour les données longitudinales d expression génique avec une application dans un essai vaccinal contre le VIH

Approche par groupe de gènes pour les données longitudinales d expression génique avec une application dans un essai vaccinal contre le VIH Approche par groupe de gènes pour les données longitudinales d expression génique avec une application dans un essai vaccinal contre le VIH Boris Hejblum 1,2,3 & Rodolphe Thiébaut 1,2,3 1 Inserm, U897

Plus en détail

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires

Dr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique

Plus en détail

La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.

La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium

Plus en détail

Mécanisme des réactions inflammatoires

Mécanisme des réactions inflammatoires 01/04/2014 THOMASSIN Guillaume L2 Revêtement Cutané Dr. Sophie Deplat-Jégo Relecteur 4 8 pages Revêtement cutané Mécanisme des réactions inflammatoires cutanés Mécanisme des réactions inflammatoires Plan

Plus en détail

Plateforme Transgenèse/Zootechnie/Exploration Fonctionnelle IBiSA. «Anexplo» Service Transgenèse. Catalogue des prestations

Plateforme Transgenèse/Zootechnie/Exploration Fonctionnelle IBiSA. «Anexplo» Service Transgenèse. Catalogue des prestations Plateforme Transgenèse/Zootechnie/Exploration Fonctionnelle IBiSA «Anexplo» Service Transgenèse Catalogue des prestations 04/01/12 - Page 1 sur 8 Présentation du service de Transgenèse Le service de Transgenèse

Plus en détail

Lymphome non hodgkinien

Lymphome non hodgkinien Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque

Plus en détail

Mécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes

Mécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes Mécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes Sébastien Lacroix-Desmazes INSERM UMRS 1138 Immunopathology and herapeutic Immunointervention CRC - Paris, France Ma connaissance d un patient

Plus en détail

Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010

Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Parc d Innovation d Illkirch, France, le 10 mars 2010 Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Transgene (Euronext

Plus en détail

3: Clonage d un gène dans un plasmide

3: Clonage d un gène dans un plasmide 3: Clonage d un gène dans un plasmide Le clonage moléculaire est une des bases du génie génétique. Il consiste à insérer un fragment d'adn (dénommé insert) dans un vecteur approprié comme un plasmide par

Plus en détail

Principales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus

Principales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus Module 2 Exercice 1: Cellules souches hématopoïétiques 1. Causes de décès en Suisse (2010) La figure suivante montre les causes de décès les plus fréquentes en Suisse en 2010, telles qu elles ont été relevées

Plus en détail

DON DE SANG. Label Don de Soi

DON DE SANG. Label Don de Soi DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7

Plus en détail

LE CANCER C EST QUOI? QUELLE EST LA DIFFÉRENCE ENTRE UN ORGANE NORMAL ET UN ORGANE ATTEINT PAR LE CANCER? Organe normal Organe précancéreux Cancer

LE CANCER C EST QUOI? QUELLE EST LA DIFFÉRENCE ENTRE UN ORGANE NORMAL ET UN ORGANE ATTEINT PAR LE CANCER? Organe normal Organe précancéreux Cancer LE CANCER C EST QUOI? Généralement, le cancer se présente sous la forme d une tumeur, d une masse, qui se développe dans un organe. Les tumeurs solides, qui représentent 90% de tous les cancers, se distinguent

Plus en détail

Critères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage dans le vin (OIV-Oeno 427-2010)

Critères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage dans le vin (OIV-Oeno 427-2010) Méthode OIV- -MA-AS315-23 Type de méthode : critères Critères pour les méthodes de quantification des résidus potentiellement allergéniques de protéines de collage (OIV-Oeno 427-2010) 1 Définitions des

Plus en détail

Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale

Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale ARN du virus de l hépatite C : ARN-VHC ARN-VHC 03VHC1 Novembre 2003 Edité : mars 2006 Annales ARN-VHC 03VHC1 1 / 8 ARN-VHC 03VHC1

Plus en détail

TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY)

TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY) TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY) Lise Vézina, technicienne de laboratoire Michel Lacroix, agronome-phytopathologiste Direction de l innovation scientifique et technologique Au Laboratoire

Plus en détail

Apport d un nouveau test Interféron Gamma

Apport d un nouveau test Interféron Gamma Apport d un nouveau test Interféron Gamma Dr D. Bonnet Service de maladies infectieuses Bichat Claude bernard Tuberculose 1/3 population mondiale infectée par BK Primo infection asymptomatique 90% des

Plus en détail

Biochimie I. Extraction et quantification de l hexokinase dans Saccharomyces cerevisiae 1. Assistants : Tatjana Schwabe Marcy Taylor Gisèle Dewhurst

Biochimie I. Extraction et quantification de l hexokinase dans Saccharomyces cerevisiae 1. Assistants : Tatjana Schwabe Marcy Taylor Gisèle Dewhurst Biochimie I Extraction et quantification de l hexokinase dans Saccharomyces cerevisiae 1 Daniel Abegg Sarah Bayat Alexandra Belfanti Assistants : Tatjana Schwabe Marcy Taylor Gisèle Dewhurst Laboratoire

Plus en détail

ATELIER IMAGEJ. Différentes applications vous sont proposées pour apprendre à utiliser quelques fonctions d ImageJ :

ATELIER IMAGEJ. Différentes applications vous sont proposées pour apprendre à utiliser quelques fonctions d ImageJ : Différentes applications vous sont proposées pour apprendre à utiliser quelques fonctions d ImageJ : 1. ANALYSE QUANTITATIVE D UN GEL D ELECTROPHORESE... 2 2. NUMERATION DE COLONIES BACTERIENNES SUR UNE

Plus en détail

PLAN. Intérêt des cellules souches exogènes (hématopoïétiques ou mésenchymateuses) dans la réparation/régénération

PLAN. Intérêt des cellules souches exogènes (hématopoïétiques ou mésenchymateuses) dans la réparation/régénération Cellules souches & appareil respiratoire : Perpectives thérapeutiques Pr Carole Planès Physiologie SMBH Bobigny EA 2363, UFR SMBH, Université Paris 13 carole.planes@avc.aphp.fr Master 2 B2PCR Respiration

Plus en détail

Diagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux

Diagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055

Plus en détail

www.dondemoelleosseuse.fr

www.dondemoelleosseuse.fr Agence relevant du ministère de la santé www.dondemoelleosseuse.fr 01 Pourquoi devenir Veilleur de Vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies. Chaque année, des milliers de personnes - enfants

Plus en détail

ÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES CONCOURS D ADMISSION SESSION 2013 FILIÈRE BCPST COMPOSITION DE BIOLOGIE

ÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES CONCOURS D ADMISSION SESSION 2013 FILIÈRE BCPST COMPOSITION DE BIOLOGIE ÉCOLES NORMALES SUPÉRIEURES ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES CONCOURS D ADMISSION SESSION 2013 FILIÈRE BCPST COMPOSITION DE BIOLOGIE Épreuve commune aux ENS de Cachan, Lyon, Paris et de l ENPC Durée

Plus en détail

Optimisation grâce aux Systèmes Immunitaires Artificiels

Optimisation grâce aux Systèmes Immunitaires Artificiels Optimisation grâce aux Systèmes Immunitaires Artificiels Mokhtar GHARBI Professeur encadrant : Vincent RODIN CERV : Centre Européen de Réalité Virtuelle EA 3883 EBV Ecosystémique et Biologie Virtuelles

Plus en détail

Les plateformes de génétique

Les plateformes de génétique Thérapies ciblées : de l anatomopathologie th l à la biothérapie i Les plateformes de génétique moléculaire PO Schischmanoff UF Génétique moléculaire et oncogénétique CHU Avicenne ACP FHF 29 mars 2012

Plus en détail

Anticorps, vaccins, immunothérapies allergéniques tout savoir sur les progrès de l immunothérapie en 20 questions

Anticorps, vaccins, immunothérapies allergéniques tout savoir sur les progrès de l immunothérapie en 20 questions Anticorps, vaccins, immunothérapies allergéniques tout savoir sur les progrès de l immunothérapie en 20 questions De quoi se compose le système immunitaire? Chaque jour, des substances étrangères, appelées

Plus en détail

Charte de la Banque ADN et de Cellules de Généthon

Charte de la Banque ADN et de Cellules de Généthon Sommaire 1. PREAMBULE... 2 2. DEFINITIONS... 2 3. CADRE LEGAL... 3 4. ORGANISATION DE LA BACG... 4 5. PRESTATIONS DE LA BACG... 5 6. MODALITES DE CONTRIBUTION ET D UTILISATION DES SERVICES... 5 7. REGLES

Plus en détail

QuantiFERON TB Gold in tube

QuantiFERON TB Gold in tube Qu est-ce que le QuantiFERON? Test sanguin de dépistage de l infection tuberculeuse. QuantiFERON TB Gold in tube Test ELISA qui mesure la réponse immunitaire à médiation cellulaire à l infection tuberculeuse.

Plus en détail

Mécanismes de l alloréactivité, des rejets de greffe et de la réaction du greffon contre l hôte.

Mécanismes de l alloréactivité, des rejets de greffe et de la réaction du greffon contre l hôte. Mécanismes de l alloréactivité, des rejets de greffe et de la réaction du greffon contre l hôte. Marcelo de Carvalho Bittencourt, Christophe Baron, Gilles Blancho, Myriam Labalette, Hélène Moins Teisserenc

Plus en détail

COUSIN Fabien KERGOURLAY Gilles. 19 octobre 2007. de l hôte par les. Master 2 MFA Responsable : UE Incidence des paramètres environnementaux

COUSIN Fabien KERGOURLAY Gilles. 19 octobre 2007. de l hôte par les. Master 2 MFA Responsable : UE Incidence des paramètres environnementaux COUSIN Fabien KERGOURLAY Gilles 19 octobre 2007 Inhibition des défenses de l hôte par les bactéries pathogènes Master 2 MFA Responsable : UE Incidence des paramètres environnementaux Gwennola ERMEL I Détection

Plus en détail

Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir

Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir Extrait Communiqué de presse Saint-Denis, le 12 avril 2012 Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir La dynamique du plan greffe 2000-2003 a généré un essor sans précédent de près de 50 % de

Plus en détail

Charges virales basses sous traitement: définition impact virologique. Laurence Bocket Virologie CHRU de Lille

Charges virales basses sous traitement: définition impact virologique. Laurence Bocket Virologie CHRU de Lille XVIIe Journée Régionale de Pathologie Infectieuse 12 octobre 2010 Charges virales basses sous traitement: définition impact virologique Laurence Bocket Virologie CHRU de Lille conflits d intérêts subventions,

Plus en détail

VIABILITE DES GREFFONS DE CELLULES SOUCHES NON CRYOPRESERVES A UNE TEMPERATURE DE 4 C

VIABILITE DES GREFFONS DE CELLULES SOUCHES NON CRYOPRESERVES A UNE TEMPERATURE DE 4 C VIABILITE DES GREFFONS DE CELLULES SOUCHES NON CRYOPRESERVES A UNE TEMPERATURE DE 4 C M. Brahimi, N. Yafour, S. Osmani, F. Attaf, A. Arabi, B. Enta-Soltan, M.A. Bekadja. Service d Hématologie et de Thérapie

Plus en détail

Item 127 : Transplantation d'organes

Item 127 : Transplantation d'organes Item 127 : Transplantation d'organes Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Allogreffe de moelle ou de cellules souches...1 2 Transplantation d'organes... 2 3 Diagnostic...3

Plus en détail

- 2 - faire industriel dans la mise au point des produits biologiques. L Institut Roche de Recherche et Médecine Translationnelle (IRRMT, basé à

- 2 - faire industriel dans la mise au point des produits biologiques. L Institut Roche de Recherche et Médecine Translationnelle (IRRMT, basé à Information presse Roche, l Agence Nationale de Recherches sur le Sida et les hépatites virales (ANRS), le Baylor Research Institute (BRI) et Inserm Transfert mettent en place une coopération stratégique

Plus en détail

La Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques

La Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques La Greffe de Cellules Souches Hématopoïétiques Professeur Ibrahim Yakoub-Agha CHRU de LILLE (Illustration de J. Cloup, extraite du CD-Rom «greffe de Moelle» réalisé par la société K Noë) La moelle osseuse

Plus en détail

www.fnama.fr Tuberculose Pr. Jean-Louis Herrmann Service de Microbiologie, Hôpital R. Poincaré, Garches jean-louis.herrmann@rpc.aphp.

www.fnama.fr Tuberculose Pr. Jean-Louis Herrmann Service de Microbiologie, Hôpital R. Poincaré, Garches jean-louis.herrmann@rpc.aphp. Tuberculose intérêt des tests sanguins Pr. Jean-Louis Herrmann Service de Microbiologie, Hôpital R. Poincaré, Garches jean-louis.herrmann@rpc.aphp.fr Pouvoir Pathogène : Maladie Granulomateuse Chronique

Plus en détail

AGRÉGATION DE SCIENCES DE LA VIE - SCIENCES DE LA TERRE ET DE L UNIVERS

AGRÉGATION DE SCIENCES DE LA VIE - SCIENCES DE LA TERRE ET DE L UNIVERS AGRÉGATION DE SCIENCES DE LA VIE - SCIENCES DE LA TERRE ET DE L UNIVERS CONCOURS EXTERNE ÉPREUVES D ADMISSION session 2010 TRAVAUX PRATIQUES DE CONTRE-OPTION DU SECTEUR A CANDIDATS DES SECTEURS B ET C

Plus en détail

Pharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux

Pharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux Pharmacovigilance des nouveaux anticoagulants oraux Dr A.Lillo-Le Louët, Centre Régional de Pharmacovigilance (CRPV) Paris-HEGP Avec avec Dr P.Lainé, CRPV - Angers Préambule Directeur du Centre Régional

Plus en détail

Tout ce qu il faut savoir sur le don de moelle osseuse

Tout ce qu il faut savoir sur le don de moelle osseuse Tout ce qu il faut savoir sur le don de moelle osseuse 1. La moelle osseuse : un rôle vital pour le corps humain Page 2/23 1.1. Qu est ce que la moelle osseuse? La moelle osseuse est indispensable à la

Plus en détail

Biologie Appliquée. Dosages Immunologiques TD9 Mai 2015. Stéphanie Sigaut INSERM U1141 stephanie.sigaut@inserm.fr

Biologie Appliquée. Dosages Immunologiques TD9 Mai 2015. Stéphanie Sigaut INSERM U1141 stephanie.sigaut@inserm.fr Biologie Appliquée Dosages Immunologiques TD9 Mai 2015 Stéphanie Sigaut INSERM U1141 stephanie.sigaut@inserm.fr 1 ELISA 2 3 4 [Ac] 5 6 7 8 9 Correction : Faire la moyenne D0-1 et D0-2 pour toute les valeurs

Plus en détail

Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009

Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N

Plus en détail

Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin

Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du

Plus en détail

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes

Plus en détail

Biomarqueurs en Cancérologie

Biomarqueurs en Cancérologie Biomarqueurs en Cancérologie Définition, détermination, usage Biomarqueurs et Cancer: définition Anomalie(s) quantitative(s) ou qualitative(s) Indicative(s) ou caractéristique(s) d un cancer ou de certaines

Plus en détail

DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE

DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible

Plus en détail

LES DÉFICITS IMMUNITAIRES COMBINÉS SÉVÈRES

LES DÉFICITS IMMUNITAIRES COMBINÉS SÉVÈRES LES DÉFICITS IMMUNITAIRES COMBINÉS SÉVÈRES Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement

Plus en détail

TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES

TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES Classement NABM : non inscrit code : non codé DÉCEMBRE 2006 Service évaluation des actes professionnels

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

BIOPSIE de MOELLE OSSEUSE

BIOPSIE de MOELLE OSSEUSE BIOPSIE de MOELLE OSSEUSE Le prélèvement de moelle osseuse? La moelle osseuse, tissu hématopoïétique situé dans la cavité centrale des os, peut être prélevée de deux façons : -par ponction sternale -par

Plus en détail

Don de moelle osseuse. pour. la vie. Agence relevant du ministère de la santé. Agence relevant du ministère de la santé

Don de moelle osseuse. pour. la vie. Agence relevant du ministère de la santé. Agence relevant du ministère de la santé Don de moelle osseuse Engagez-VOUS pour la vie 1 Pourquoi devenir veilleur de vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison

Plus en détail

BASE. Vous avez alors accès à un ensemble de fonctionnalités explicitées ci-dessous :

BASE. Vous avez alors accès à un ensemble de fonctionnalités explicitées ci-dessous : BASE BioArray Software Environment (BASE) est une base de données permettant de gérer l importante quantité de données générées par des analyses de bio-puces. BASE gère les informations biologiques, les

Plus en détail

QUELLES SONT LES OPTIONS DU TRAITEMENT DE LA LMC?

QUELLES SONT LES OPTIONS DU TRAITEMENT DE LA LMC? QUELLES SONT LES OPTIONS DU TRAITEMENT DE LA LMC? On vous a diagnostiqué une leucémie myéloïde chronique (LMC) et il se peut que vous ayez déjà débuté un traitement. Le traitement de la LMC dépend largement

Plus en détail

Le don de moelle osseuse

Le don de moelle osseuse Le don de moelle osseuse Enfant, je rêvais de sauver des vies. Aujourd hui, je le fais. Grande cause nationale 2009 Olivier, 4 ans Olivier, 32 ans Établissement relevant du ministère de la santé Le don

Plus en détail

Profil médico-économique de plerixafor en remobilisation dans le myélome multiple

Profil médico-économique de plerixafor en remobilisation dans le myélome multiple Profil médico-économique de plerixafor en remobilisation dans le myélome multiple Aline Voidey Soirée de la Société de Médecine de Franche-Comté Jeudi 27 novembre 2014 L hématopoièse Une seule et unique

Plus en détail

ACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012

ACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles

Plus en détail

Le parcours en greffe de cellules hématopoïétiques : greffe allogénique

Le parcours en greffe de cellules hématopoïétiques : greffe allogénique Le parcours en greffe de cellules hématopoïétiques : greffe allogénique Introduction Cette brochure vise à vous familiariser avec la greffe de cellules hématopoïétiques (GCH). Elle présente en quelques

Plus en détail

Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses

Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses M-H H BESSIERES,, S. CASSAING, A. BERRY, R. FABRE, J-F.. MAGNAVAL Service de Parasitologie-Mycologie Diagnostic biologique d une d parasitose

Plus en détail

Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT

Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie

Plus en détail

Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie

Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie Le phénotype immunitaire d un individu caractérise sa capacité à répondre, grâce aux effecteurs de l immunité adaptative, aux différents agents

Plus en détail

G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané

G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome

Plus en détail

Hépatite B. Le virus Structure et caractéristiques 07/02/2013

Hépatite B. Le virus Structure et caractéristiques 07/02/2013 Hépatite B Le virus Structure et caractéristiques o o o Famille des Hepadnaviridae Genre orthohepadnavirus Enveloppé, capside icosaédrique, 42 nm 1 Le virus Structure et caractéristiques En microscopie

Plus en détail

Base de données bibliographiques Pubmed-Medline

Base de données bibliographiques Pubmed-Medline Chapitre 1 ; Domaine 1 ; Documentation ; Champs référentiels 1.1.1, 1.1.2 et 1.1.3 Base de données bibliographiques Pubmed-Medline D r Patrick Deschamps,, 30 mai 2007 PLAN C2i métiers de la santé Introduction

Plus en détail

Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques

Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques UE7 Cours n 9 C. LAMAZE 24.11.11 Elise GODEAU (partie1) Guillaume MERGENTHALER (partie2) Le rôle de l endocytose dans les processus pathologiques SOMMAIRE : I. L endocytose à récepteurs : la voie des clathrines

Plus en détail

Hépatite C une maladie silencieuse..

Hépatite C une maladie silencieuse.. Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle

Plus en détail

Production d une protéine recombinante

Production d une protéine recombinante 99 Production d une protéine recombinante Lic. B. PIRSON Lic. J-M. SERONT ISICHt - Mons Production de la protéine recombinante GFP (Green Fluorescent Protein d Aequoria victoria) par une bactérie ( E.

Plus en détail

Leucémies de l enfant et de l adolescent

Leucémies de l enfant et de l adolescent Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE

Plus en détail

STRATEGIES DE SURVIE DES VIRUS ET DEFENSE DE L'HOTE

STRATEGIES DE SURVIE DES VIRUS ET DEFENSE DE L'HOTE STRATEGIES DE SURVIE DES VIRUS ET DEFENSE DE L'HOTE d'après le cours de Jean-Louis VIRELIZIER, Unité d'immunologie Virale, Institut Pasteur, Paris. INTRODUCTION L'étude des moyens de défense de l'organisme

Plus en détail

Guide de Mobilisation. de cellules souches pour mon. Autogreffe AVEC LE SOUTIEN DE. Carnet d informations et de suivi pour le patient et sa famille

Guide de Mobilisation. de cellules souches pour mon. Autogreffe AVEC LE SOUTIEN DE. Carnet d informations et de suivi pour le patient et sa famille Guide de Mobilisation de cellules souches pour mon Autogreffe Carnet d informations et de suivi Carnets pour d informations le patient et sa et famille de suivi pour le patient et sa famille AVEC LE SOUTIEN

Plus en détail

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination

Plus en détail

Médicaments du futur : Tendances et enjeux. Nicolas PY, Debiopharm International forumofac.14 26/09/2014

Médicaments du futur : Tendances et enjeux. Nicolas PY, Debiopharm International forumofac.14 26/09/2014 Médicaments du futur : Tendances et enjeux Nicolas PY, Debiopharm International forumofac.14 26/09/2014 Quelques mots sur Debiopharm Groupe fondé en 1979 Siège à Lausanne 350 collaborateurs Financièrement

Plus en détail

MASTER (LMD) MANAGEMENT DE PROJET ET INNOVATION EN BIOTECHNOLOGIE

MASTER (LMD) MANAGEMENT DE PROJET ET INNOVATION EN BIOTECHNOLOGIE MASTER (LMD) MANAGEMENT DE PROJET ET INNOVATION EN BIOTECHNOLOGIE RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Mention : BIOLOGIE SANTE Spécialité

Plus en détail