QUANTIFICATION SIMULTANÉE DU FER ET DE LA STÉATOSE HÉPATIQUE EN IRM

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "QUANTIFICATION SIMULTANÉE DU FER ET DE LA STÉATOSE HÉPATIQUE EN IRM"

Transcription

1 Anita KIANI, Anne BOULIC, Edouard BARDOU-JACQUET, Hervé SAINT-JALMES, Giulio GAMBAROTA, Yves GANDON CHU de Rennes QUANTIFICATION SIMULTANÉE DU FER ET DE LA STÉATOSE HÉPATIQUE EN IRM

2 Introduction - plan L Objectif est de présenter les principales techniques IRM pour quantifier le fer et la graisse hépatique, ainsi qu une séquence IRM unique permettant de quantifier conjointement les deux car elles peuvent être simultanées. Partie I Mise au point sur les surcharges hépatiques en fer et la stéatose : contexte, diagnostic et quantification par IRM. Partie II Evaluation conjointe des deux surcharges : séquences multiéchos à 1,5T et 3T.

3 Pré-test A : La méthode DIXON 2 points permet de quantifier la stéatose : OUI / NON? B : La méthode DIXON 3 points utilise la moyenne des deux premiers échos en phase ainsi que le deuxième écho en opposition de phase : OUI / NON? C : La méthode DIXON 3 points compense totalement la sous estimation liée au fer : OUI / NON? D : Le calcul du T2* est plus performant que le rapport foie/muscle pour l estimation des fortes surcharges en fer : OUI / NON? E : La surcharge hépatique en fer est mesurable à 3T : OUI / NON? F : Il est possible d obtenir le rapport F/M, le T2* et une estimation DIXON 3 points en une seule séquence en apnée : OUI / NON?

4 Stéatose = Surcharge hépatique en graisse

5 Stéatose : contexte Surcharge hépatique en triglycérides de plus de 5% de la masse hépatique totale Touche 20 % de la population Alcoolisme, hépatite C Surpoids, syndrome métabolique : NAFLD (Non Alcoholic Fatty Liver Disease) Conséquences: NASH (Non Alcoholic Steato Hepatitis) dans environ 20% des cas pouvant mener à la cirrhose voire au carcinome hépatocellulaire

6 Stéatose : histologie Grade = % d hépatocytes contenant des vacuoles lipidiques : c est la valeur usuelle mais elle ne correspond pas au % du volume de graisse dans le foie. Fraction graisseuse hépatique (FGH) = % volumique (ou surfacique) des vacuoles de graisse : c est la valeur de biopsie (Gold Standard) utilisée lors de la mise au point des méthodes de quantification par IRM.

7 Stéatose : grade vs FGH Globalement, le grade histologique (% d hépatocytes contenant des vacuoles) est égal à trois fois la fraction graisseuse (% de surface ou de volume).

8 Stéatose : IRM La graisse a un T1 et un T2 plus court que celui du foie. La stéatose est donc : En hypersignal T1 En hyposignal T2 Les protons (H+) de l eau (H2O) et de la graisse (H 3 C [CH 2 ] n COOH ) n ont pas le même environnement moléculaire Placés dans un champ magnétique, les H+ s alignent au champ et précessent (tournent) à des vitesses différentes en fonction de leur environnement Cette différence peut s analyser en fréquence : spectroscopie Mais aussi en phase : imagerie de phase (ou DIXON)

9 Stéatose : spectroscopie Analyse, au sein d un voxel, des différentes fréquences de résonance des protons composant ce voxel Résultats sous forme de pics décalés sur l axe des fréquences. Eau Graisse Spectre calculé par le logiciel Lcmodel à partir de données obtenues in vivo en apnée sur IRM 3T Verio (Siemens)

10 Stéatose : spectroscopie On observe 3 pics principaux : Le principal (70% des lipides) est décalé de 3,2 ppm par rapport à la fréquence de l eau Deux autres pics (12% et 9% des lipides) sont décalés respectivement de 2,6 ppm et 3,6 ppm. Eau 3.2 ppm 3.6 ppm 2.6 ppm Graisse La surface des pics est proportionnelle au nombre de protons et permet de quantifier les différentes composantes graisseuses d un foie. La somme permet d avoir une estimation de la quantité de graisse.

11 Stéatose : imagerie de phase Les protons (H+) de l eau (H2O) et de la graisse (H 3 C [CH 2 ] n COOH ) précessent (tournent) à des vitesses différentes en fonction de leur environnement. Ils se retrouvent alternativement soit en phase, soit en opposition de phase. Le signal recueilli s ajoute lorsque les H+ sont en phase et se soustrait lorsqu ils sont en opposition de phase.

12 Stéatose : décalage de phase Rephasage (ms) = 1000 écart de fréquence * fréquence de l eau La fréquence de l eau est proportionnelle à l intensité du champ magnétique Les TE en phase sont donc des multiples de : 1.5T : 1000 ms / ( 3,2 ppm * 64 Mhz ) = 4,8 ms 3T : 1000 ms / ( 3,2 ppm * 128 Mhz ) = 2,4 ms Les TE en opposition de phase sont des multiples de la moitié de ces temps : 1.5T : 4,8 ms / 2,4 = 2,4 ms 3T : 1,2 ms / 2 = 1,2 ms

13 Stéatose : signal selon TE Evolution du signal selon le temps d écho Intensité du signal Foie normal (sans graisse) Foie graisseux 1,5T 3T OP IP OP IP 2.4 ms 4.8 ms 7.2ms 9,6 ms 1.2 ms 2.4 ms 3.6ms 4.8 ms Temps d écho

14 Stéatose : IPOP à 1,5T Stéatose diffuse avec diminution du signal hépatique en OP (soustraction des signaux) Adénome graisseux avec diminution encore plus marquée du signal en OP OP : Opposition de phase 1 er TE = 2.4 ms 1,5T IP : En phase 1 er TE = 4.8 ms

15 Stéatose : IPOP à 3T Stéatose avec diminution du signal hépatique en OP Plage de foie sain Hémangiome Hyperintensité relative Opposition de phase TE = 2.4 ms. 1.2 ms 3.0T En phase TE = 4.8 ms. 2.4 ms

16 Stéatose : DIXON 2 pts Quantification : méthode Dixon 2 points On mesure le pourcentage (%) de perte de signal en opposition de phase par rapport au signal en phase : % graisse = Signal IP Signal OP 2 * Signal IP Divisé par 2 car une perte de 100% du signal ne correspond qu à une stéatose de 50%. Au dessus l écart re-diminue et une stéatose de 60% donnerait un signal identique à 40%. Cette ambigüité reste théorique car de telles surcharges n ont pas été décrites chez l homme.

17 Stéatose : DIXON 2 pts Pour le foie normal, la valeur est négative traduisant la décroissance normale du signal Intensité du signal Foie normal Foie normal (sans graisse) Foie graisseux % graisse = IP-OP/ (2 IP) 1,5T 3T OP IP OP IP 2.4 ms 4.8 ms 7.2ms 9,6 ms 1.2 ms 2.4 ms 3.6ms 4.8 ms Temps d écho

18 Stéatose : DIXON 3pts La méthode DIXON 2 points ne tient pas compte de la décroissance du signal (majorée en cas de surcharge en fer) -> sous estimation de la stéatose avec des valeurs négatives, surtout en présence de fer. La méthode Dixon 3 points fait une moyenne entre deux échos IP encadrant un écho OP : % graisse = Moyenne IP Signal OP 2 * Moyenne IP

19 Stéatose : DIXON 3pts Intensité du signal Pour le foie normal, la valeur est nulle car la décroissance normale du signal est compensée par la moyenne entre les deux points Foie normal (sans graisse) Foie graisseux Foie normal % graisse = IP- OP/ (2 IP) 1,5T 3T OP IP OP IP 2.4 ms 4.8 ms 7.2ms 9,6 ms 1.2 ms 2.4 ms 3.6ms 4.8 ms Temps d écho

20 FGH FGH Stéatose : comparaison Dixon 2 et 3 pts selon la charge en fer à 1.5T CHF Le calcul DIXON 2 pts donne des valeurs de fraction graisseuse hépatique (FGH) négatives anormales dès que la charge hépatique en fer (CHF) augmente. CHF Le calcul DIXON 3 pts ne donne plus de valeurs négatives mais il existe cependant une surévaluation, avec une corrélation à la concentration hépatique en fer qui ne devrait pas exister.

21 Stéatose : limitations Plusieurs sources d erreur : T1 court de la graisse : plus le TE est court plus le foie stéatosique est intense par rapport au foie sain. Ce contraste en T1 intervient donc sur la comparaison entre les échos. Pour le minimiser on allonge le TR et on réduit l angle de bascule : 20 avec un TR > 100 ms, ou encore moins avec un TR plus court. Effet multipics de la graisse : la variation de la phase est plus complexe qu une simple sinusoïde, du fait des différents pics de la graisse (cf: spectroscopie). Des calculs plus complexes sont proposés (IDEAL, VIBE multipoints ) Et surtout la présence de fer : la compensation par une méthode DIXON 3 points est limitée.

22 Stéatose : au total Il faut préférer un calcul Dixon 3pts pour réduire les erreurs liées au fer Mais il persiste des erreurs en cas de forte surcharge UNE ESTIMATION CONJOINTE FER ET GRAISSE EST INDISPENSABLE

23 Hépatosidérose = Surcharge hépatique en fer

24 Hépatosidérose : histologie Stockage anormal de fer dans des amas d hémosidérine hépatique Histologie avec coloration de Perls : le fer apparait sous forme de zones foncées Localisation du fer : Hépatocytes (hémochromatoses génétiques) Système réticulo-endothélial (autres causes)

25 Hépatosidérose : causes Multiples étiologies : Acquises : Post-transfusionnelles, hémolyses ( ß-thalassémie, drépanocytose ) IRM utile pour le diagnostic de complication (surcharge cardiaque) et le suivi thérapeutique (chélateurs) Hépatosidérose dysmétabolique (HTA, résistance à l insuline, ) IRM indispensable pour confirmer la surcharge hépatique et poser le diagnostic Alcoolisme, hépatite virale C Génétiques = les hémochromatoses (type I à IV) Surtout type 1 (gène HFE C282Y/C282Y) Mais formes atypiques (surtout type 4) IRM pas très utile pour le diagnostic sauf pour les formes atypiques

26 Hépatosidéroses : différences La rate n est pas surchargée en fer dans l hémochromatose. Une surcharge du pancréas est un témoin de très forte surcharge avec haut risque de complication.

27 Hépatosidérose : imagerie L hémosidérine en amas crée un effet IRM superparamagnétique entrainant un raccourcissement du T2 = hyposignal T2 hépatique proportionnel à la surcharge en fer L écho de gradient (T2*) étant plus sensible à la susceptibilité magnétique, la baisse du signal est plus rapide et importante qu en T2. Le signal obtenu dépend donc du TE choisi : plus le TE est long plus l effet du fer est important Signal T2 Recueil du signal Faible surcharge : TE court versus TE long TE Temps TE = 4 ms TE = 14 ms

28 Hépatosidérose : imagerie Signal en fonction du TE : foie normal et deux niveaux de surcharge TE = 4ms TE = 4ms TE = 4ms TE = 14ms TE = 14ms TE = 14ms Normal < 40 µmol/g Faible surcharge 60 µmol/g Forte surcharge 300 µmol/g

29 Hépatosidérose : quantificat Méthode T2* : calcul de la vitesse de décroissance du signal en écho de gradient T2* (ou R2* = 1/T2*) Méthode rapport foie/muscle : comparaison du signal du foie par rapport à celui des muscles paravertébraux NB : on parle de T2 pour la décroissance du signal en spin écho et de T2*en écho de gradient. Le TE et le T2* interviennent directement sur le niveau du signal selon la formule suivante : Signal = Signal initial exp (-TE/T2*) + bruit de fond

30 Hépatosidérose : calcul du T2* Calcul de la valeur du T2* en traçant la courbe du signal mesuré sur les différents échos Formule de Wood 1 simplifiée à 1,5T : CHF = [Fe] = 456 µmol / T2* Points clés: Il faut plusieurs points au dessus du bruit de fond donc un premier TE au moins aussi court que le T2* à mesurer +++. Wood 1 qui a utilisé un TE de 0.8 ms commence à avoir une dispersion des valeurs de CHF au dessus d un T2* à 0.8 ms (soit 600 µmol/g). Hankins 2 avec un premier TE à 1.1 ms a une dispersion plus précoce vers 400 µmol/g. Attention à la phase en cas de stéatose associée car ces TE courts sont inférieurs au 1 er écho en phase 1 Wood et col. Blood Hankins et col. Blood 2009

31 Hépatosidérose : calcul du T2* Intensité du signal Plus la surcharge en fer est importante plus la baisse du signal est rapide. Le signal est au niveau du bruit de fond pour le TE le plus court. Foie normal Hepatosidérose Bruit de fond 1,5T OP IP OP IP 2.4 ms 4.8 ms 7.2ms 9,6 ms OP 12 ms Temps d écho 3T 1.2 ms 2.4 ms 3.6ms 4.8 ms 6 ms

32 Hépatosidérose : rapport F/M Utilisation du rapport foie / muscle Rapport entre le foie un tissu n accumulant pas de fer (ici, les muscles para-vertébraux)

33 Hépatosidérose : séquences F/M Séquences écho de gradient en apnée TR = 120 ms et angle de bascule =20 Au moins 3 échos avec TE = 4, 9 et 14 ms à 1,5T Antenne corps ++ Site web : Gandon et col. Lancet 2004

34 CHF par IRM (µmol/g) Hépatosidérose : F/M Validé sur plusieurs séries avec un plafonnement à 300 ms en utilisant un TE minimum à 4 ms. Gandon et col. Lancet 2004 CHF par biopsie (µmol/g)

35 Hépatosidérose : erreur F/M TE = 4 ms Gradient de signal lié à une sélection automatique de l antenne intégrée dans le lit de la table CHF estimée à 180 µmol/g alors qu il n y a pas de surcharge en fer

36 Hépatosidérose : erreur F/M à 3T Hyposignal des muscles paravertébraux par hétérogénéité de B1 sur une IRM 3T sans émission parallèle.

37 Hépatosidéroses : F/M ou T2*

38 Hépatosidéroses : F/M ou T2* Corrélations publiées entre l IRM et la mesure biochimique du fer hépatique par biopsie avec distinction du niveau de surcharge : 72 corrélations pour le calcul du T2* versus près de 400 pour la méthode F/M.

39 Quantification combinée : une seule séquence DIXON F/M - T2*

40 Quantificat combinée : une séquence Séquence en écho de gradient Antenne corps TR = 120 ms, FA = 20 6 à 8 échos avec TE selon le champ magnétique : Multiples de 2,4 ms à 1,5T Multiples de 1,2 ms à 3T Calcul de résultats en ligne sur

41 Quantificat combinée : un logiciel Plugin ImageJ (NIH) gratuit IronByMR (Java) Téléchargeable sur ou Intégrable aux PACS Cherche et reconnait les images DICOM adaptées en effectuant des contrôles (vérifie les bon choix de paramètres) Accepte les images à 1,5 et 3T avec les séquences IP-OP, écho de gradient mono et multi-échos. Facilite le placement des ROIs sur plusieurs séquences et sur tous les échos Donne les résultats (stéatose, concentration en fer) en tenant compte des influences réciproques, possiblement sous forme de compte-rendu.

42 IronByMR intégrable dans un PACS Génération automatique du compte-rendu.

43 Quantificat combinée : stéatose Dans une population avec différents niveaux de surcharge en fer, en comparaison à la FGH quantifiée par biopsie, on obtient des valeurs négatives avec la méthode DIXON 2 points et des surévaluations importantes avec la méthode DIXON 3 points. Dixon 2pts Dixon 3pts biopsie biopsie Résultats à 3T avec confrontation histologique et biochimique

44 Quantificat combinée : stéatose En excluant les CHF> 120µmol/g on obtient une meilleure corrélation. Il reste des valeurs négatives anormales avec la méthode 2 points. La méthode 3 points donne une fraction graisseuse un peu surévaluée mais très proche de celle obtenue à partir de l histologie. Dixon 2pts Dixon 3pts biopsie biopsie Résultats à 3T avec confrontation histologique et biochimique

45 Quantificat combinée : T2* Avec un TE le plus court à 1,2 ms, la corrélation du T2* à la concentration hépatique en fer n est plus possible au-delà de 100µmol/g (N<40). En revanche elle parait assez bonne en dessous. T2* CHF µmol/g Résultats à 3T avec confrontation histologique et biochimique

46 Quantificat combinée : F/M L algorithme développé à partir du rapport F/M permet une meilleure quantification du fer hépatique, y compris en cas de forte surcharge. CHF par IRM CHF par biopsie Résultats à 3T avec confrontation histologique et biochimique

47 Au total Une quantification conjointe du fer et de la graisse est indispensable. Elle est possible en une seule séquence en écho de gradient multiéchos IPOP. A 3T, les échos doivent être divisés par deux. L artéfact d hétérogénéité B1 doit être évité. La corrélation est bonne aux mesures biochimiques du fer et à la surface de graisse obtenues par biopsie. Un logiciel dédié est téléchargeable en ligne.

48 Post-test A : La méthode DIXON 2 points permet de quantifier la stéatose : OUI / NON? B : La méthode DIXON 3 points utilise la moyenne des deux premiers échos en phase ainsi que le deuxième écho en opposition de phase : OUI / NON? C : La méthode DIXON 3 points compense totalement la sous estimation liée au fer : OUI / NON? D : Le calcul du T2* est plus performant que le rapport foie/muscle pour l estimation des fortes surcharges en fer : OUI / NON? E : La surcharge hépatique en fer est mesurable à 3T : OUI / NON? F : Il est possible d obtenir le rapport F/M, le T2* et une estimation DIXON 3 points en une seule séquence en apnée : OUI / NON?

49 Réponses au test A : La méthode DIXON 2 points permet de quantifier la stéatose : NON Le résultat est sous-estimé car il ne tient pas compte de la décroissance du signal, surtout en cas de surcharge en fer associée. B : La méthode DIXON 3 points utilise la moyenne des deux premiers échos en phase ainsi que le deuxième écho en opposition de phase : OUI C : La méthode DIXON 3 points compense totalement la sous estimation liée au fer : NON Pas si la surcharge en fer est importante. D : Le calcul du T2* est plus performant que le rapport foie/muscle pour l estimation des fortes surcharges en fer : NON car il faut au moins deux échos au dessus du bruit de fond pour calculer correctement le T2* et un seul pour la méthode F/M E : La surcharge hépatique en fer est mesurable à 3T : OUI F : Il est possible d obtenir le rapport F/M, le T2* et une estimation DIXON 3 points en une seule séquence en apnée : OUI avec une séquence en écho de gradient avec 6 à 8 échos alternativement en opposition de phase et en phase.

50 Références 1. Dixon WT. Simple proton spectroscopic imaging. Radiology. oct 1984;153(1): Glover GH, Schneider E. Three-point Dixon technique for true water/fat decomposition with B0 inhomogeneity correction. Magn Reson Med. avr 1991;18(2): Gandon Y, Olivié D, Guyader D, Aubé C, Oberti F, Sebille V, et al. Non-invasive assessment of hepatic iron stores by MRI. Lancet. 31 janv 2004;363(9406): Alústiza JM, Castiella A. Liver fat and iron at in-phase and opposed-phase MR imaging. Radiology. févr 2008;246(2): Wood JC, Enriquez C, Ghugre N, Tyzka JM, Carson S, Nelson MD, et al. MRI R2 and R2* mapping accurately estimates hepatic iron concentration in transfusion-dependent thalassemia and sickle cell disease patients. Blood. 15 août 2005;106(4): Hankins JS, McCarville MB, Loeffler RB, Smeltzer MP, Onciu M, Hoffer FA, et al. R2* magnetic resonance imaging of the liver in patients with iron overload. Blood. 14 mai 2009;113(20): Guiu B, Loffroy R, Ben Salem D, Masson D, Hervé G, Petit JM, et al. [Liver steatosis and in-out of phase MR imaging: theory and clinical applications at 3T]. J Radiol. déc 2007;88(12):

Foscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique

Foscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique S A l (1) G H (2) S S Aptel (1), G Hossu (2), S Foscolo (1), J Felblinger (2), S Bracard (1) CHU Hôpital central, service de neuroradiologie, Nancy (1) CHU BRABOIS, Centre d investigation clinique innovation

Plus en détail

IRM hépatique: ce que le manipulateur doit savoir

IRM hépatique: ce que le manipulateur doit savoir CHU Henri Mondor IRM hépatique: ce que le manipulateur doit savoir P.Zerbib, A.Luciani, F.Pigneur, R.Raymond, A.Rahmouni CHU Henri Mondor Créteil Service Imagerie Médicale Pr.A.RAHMOUNI Objectifs Comprendre

Plus en détail

L IRM pas à pas Un module d enseignement interactif des bases physiques de l Imagerie par Résonance Magnétique. http://www.e-mri.

L IRM pas à pas Un module d enseignement interactif des bases physiques de l Imagerie par Résonance Magnétique. http://www.e-mri. L IRM pas à pas Un module d enseignement interactif des bases physiques de l Imagerie par Résonance Magnétique http://www.e-mri.org D HOA, A MICHEAU, G GAHIDE, E LE BARS, C CYTEVAL, M ZANCA, P DUJOLS,

Plus en détail

Un nouveau test sanguin performant pour le diagnostic non-invasif de steatohépatite non alcoolique chez les patients avec une NAFLD

Un nouveau test sanguin performant pour le diagnostic non-invasif de steatohépatite non alcoolique chez les patients avec une NAFLD Un nouveau test sanguin performant pour le diagnostic non-invasif de steatohépatite non alcoolique chez les patients avec une NAFLD J Boursier, A Guillet, S Michalak, Y Gallois, F Oberti, I Fouchard-Hubert,

Plus en détail

Compléments - Chapitre 5 Spectroscopie

Compléments - Chapitre 5 Spectroscopie ompléments - hapitre 5 Spectroscopie Spectroscopie par résonance magnétique nucléaire (RMN 13 ) Tandis que la spectroscopie RMN 1 H fournit des données sur la disposition des atomes d'hydrogène dans une

Plus en détail

Résonance Magnétique Nucléaire : RMN

Résonance Magnétique Nucléaire : RMN 21 Résonance Magnétique Nucléaire : RMN Salle de TP de Génie Analytique Ce document résume les principaux aspects de la RMN nécessaires à la réalisation des TP de Génie Analytique de 2ème année d IUT de

Plus en détail

Simulation d'un examen anthropomorphique en imagerie TEMP à l iode 131 par simulation Monte Carlo GATE

Simulation d'un examen anthropomorphique en imagerie TEMP à l iode 131 par simulation Monte Carlo GATE Simulation d'un examen anthropomorphique en imagerie TEMP à l iode 131 par simulation Monte Carlo GATE LAURENT Rémy laurent@clermont.in2p3.fr http://clrpcsv.in2p3.fr Journées des LARD Septembre 2007 M2R

Plus en détail

Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN

Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre

Plus en détail

Hémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010

Hémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010 Hémochromatose génétique non liée à HFE-1 : quand et comment la rechercher? Cécilia Landman 11 décembre 2010 Métabolisme du fer : hepcidine Fer absorbé par les entérocytes des villosités duodénales : transporteur

Plus en détail

Traitement de l hépatite C: données récentes

Traitement de l hépatite C: données récentes Traitement de l hépatite C: données récentes J.-P. BRONOWICKI (Vandœuvre-lès-Nancy) Tirés à part : Jean-Pierre Bronowicki Service d Hépatogastroentérologie, CHU de Nancy, 54500 Vandœuvre-lès-Nancy. Le

Plus en détail

Actualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2

Actualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2 Actualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2 (1) Service de NeuroImagerie Diagnostique et Thérapeutique, CHU Bordeaux, Université de Bordeaux (2) Neurocentre Magendie, INSERM U 862, Université de Bordeaux

Plus en détail

Apport de l IRM dans la

Apport de l IRM dans la Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction

Plus en détail

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur

ANALYSE SPECTRALE. monochromateur ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle

Plus en détail

Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire

Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence

Plus en détail

CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE

CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE L. Lecoq, J. Gendre, N. Sturm, C. Letoublon, MN. Hilleret, JP. Zarski, V. Leroy

Plus en détail

L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon

L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie. DANIEL RIGAUD CHU de Dijon L obésité et le diabète de type 2 en France : un défi pour la prochaine décennie DANIEL RIGAUD CHU de Dijon 46 Obésité : définition L obésité est définie comme un excès de masse grasse associée à un surcroît

Plus en détail

Échographie normale et pathologique du grand pectoral

Échographie normale et pathologique du grand pectoral Échographie normale et pathologique du grand pectoral JL Brasseur, N Gault, B Mendes, D Zeitoun-Eiss, J Renoux, P Grenier G H Pitié-Salpêtrière Introduction La pathologie du grand pectoral est relativement

Plus en détail

Hépatites Auto-Immunes. Critères et Scores Diagnostiques

Hépatites Auto-Immunes. Critères et Scores Diagnostiques Hépatites Auto-Immunes Critères et Scores Diagnostiques Olivier CHAZOUILLERES Service d Hépatologie Centre de référence des maladies inflammatoires des voies biliaires Paris Saint Antoine HAI: Modes de

Plus en détail

Comment réaliser physiquement un ordinateur quantique. Yves LEROYER

Comment réaliser physiquement un ordinateur quantique. Yves LEROYER Comment réaliser physiquement un ordinateur quantique Yves LEROYER Enjeu: réaliser physiquement -un système quantique à deux états 0 > ou 1 > -une porte à un qubitconduisant à l état générique α 0 > +

Plus en détail

LES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES. Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris

LES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES. Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris LES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris 8 Avant l introduction des traitements antirétroviraux hautement actifs (HAART), la majorité des patients

Plus en détail

OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE

OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE Jurgita Bruzaite,, Monique Boukobza,, Guillaume Lot* Services de Neuroradiologie et de Neurochirurgie

Plus en détail

Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?

Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,

Plus en détail

La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène

La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène 1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients

Plus en détail

Y a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin

Y a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin Y a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin Objectifs thérapeutiques Inhibition de la réplication virale Négativation

Plus en détail

Compte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie

Compte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur

Plus en détail

PRINCIPE ET FONCTIONNEMENT DES DÉFIBRILLATEURS AUTOMATIQUES IMPLANTABLES (DAI)

PRINCIPE ET FONCTIONNEMENT DES DÉFIBRILLATEURS AUTOMATIQUES IMPLANTABLES (DAI) PRINCIPE ET FONCTIONNEMENT DES DÉFIBRILLATEURS AUTOMATIQUES IMPLANTABLES (DAI) 2 Défibrillateur Automatique Implantable SOMMAIRE Introduction Indications Principe du DAI Historique Composants et structure

Plus en détail

Cas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier

Cas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan

Plus en détail

Hépatite C une maladie silencieuse..

Hépatite C une maladie silencieuse.. Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle

Plus en détail

REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES

REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES

Plus en détail

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais

Plus en détail

Chapitre II La régulation de la glycémie

Chapitre II La régulation de la glycémie Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique

Plus en détail

Traitement des hépatites virales B et C

Traitement des hépatites virales B et C Traitement des hépatites virales B et C GFMER Yaoundé 26 Novembre 2007 Dr José M Bengoa foie cirrhotique foie normal Vitesse de développement de la fibrose fibrose VHD VHB VHC années Indications au traitement

Plus en détail

DESS INGENIERIE FINANCIERE

DESS INGENIERIE FINANCIERE DESS INGENIERIE FINANCIERE Mercredi 27 mars 2005 Philippe TESTIER - CFCM Brest 1 SOMMAIRE Le Change au comptant (spot) ; Le Change à Terme (termes secs, swaps de change) ; Les Options de Change ; Les Options

Plus en détail

PLACE DES MARQUEURS NON INVASIFS DE FIBROSE ET DE L ELASTOMETRIE

PLACE DES MARQUEURS NON INVASIFS DE FIBROSE ET DE L ELASTOMETRIE PLACE DES MARQUEURS NON INVASIFS DE FIBROSE ET DE L ELASTOMETRIE DANS LA PRISE EN CHARGE DES HEPATITES DOCTEUR LAURENT CASTERA SERVICES D HEPATO-GASTROENTEROLOGIE, C.H.U. BORDEAUX Introduction La quantification

Plus en détail

Apport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum

Apport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum Apport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction Matériel

Plus en détail

Après chirurgie bariatrique, quel type de tissu adipeux est perdu? Dr Emilie Montastier Hôpital Larrey, Toulouse

Après chirurgie bariatrique, quel type de tissu adipeux est perdu? Dr Emilie Montastier Hôpital Larrey, Toulouse Après chirurgie bariatrique, quel type de tissu adipeux est perdu? Dr Emilie Montastier Hôpital Larrey, Toulouse Généralités / Contexte La chirurgie bariatrique: pas de relation quantitative claire entre

Plus en détail

Convention nationale sur les modalités d application complémentaires dans le cadre de l introduction de la structure tarifaire SwissDRG

Convention nationale sur les modalités d application complémentaires dans le cadre de l introduction de la structure tarifaire SwissDRG Convention nationale sur les modalités d application complémentaires dans le cadre de l introduction de la structure tarifaire SwissDRG entre H+ Les Hôpitaux de Suisse (ci-après «les hôpitaux») et santésuisse

Plus en détail

Images en «franc» hypersignal T2 du pelvis féminin Atlas iconographique

Images en «franc» hypersignal T2 du pelvis féminin Atlas iconographique Images en «franc» hypersignal du pelvis féminin Atlas iconographique Cavet M, Soyer P, Malzy P, Bendavid S, Merlin A, Martin-Grivaud S, Rymer R RADIOLOGIE VISCERALE ET VASCULAIRE, HOPITAL LARIBOISIERE

Plus en détail

Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003

Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique

Plus en détail

Christian TREPO, MD, PhD

Christian TREPO, MD, PhD PEG INTERFERON MONOTHERAPI E Christian TREPO, MD, PhD Unmet medical needs in chronic HBV infection Inhibition of viral replication Normalisation of ALT Improvement in liver necroinflammation Improvement

Plus en détail

LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B

LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication

Plus en détail

Croissance et vieillissement cellulaires Docteur COSSON Pierre Nb réponses = 81 sur 87. Résultats des questions prédéfinies

Croissance et vieillissement cellulaires Docteur COSSON Pierre Nb réponses = 81 sur 87. Résultats des questions prédéfinies Docteur COSSON Pierre Nb réponses = 8 sur 87 A00 8/87 Indicateurs globaux Index global m.= m.=,9 s.=0,. Evaluation générale de cette unité m.=. Sciences médicales de base m.=,. Compétences cliniques m.=,7.

Plus en détail

Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin

Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Introduction Le prélèvement d une partie du foie chez une personne «vivante» et apparentée

Plus en détail

Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence

Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence On pose fréquemment le diagnostic de migraine sévère à l urgence. Bien que ce soit un diagnostic commun,

Plus en détail

Résistance du virus de l hépatite C aux nouveaux traitements anti-viraux

Résistance du virus de l hépatite C aux nouveaux traitements anti-viraux 14 ème forum SOS Hépatites, Lyon Résistance du virus de l hépatite C aux nouveaux traitements anti-viraux Dr. Sylvie LARRAT Laboratoire de Virologie CHU Grenoble Hépatite C chronique 180 millions de porteurs

Plus en détail

Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire

Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire Sylvie CHABAUD Direction de la Recherche Clinique et de l Innovation : Centre Léon Bérard - Lyon Unité de Biostatistique

Plus en détail

Marseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique

Marseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique Marseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique Dominique Larrey Service d Hépatogastroenterologie et transplantation Hôpital Saint Eloi CHU Montpellier

Plus en détail

Stéatose hépatique non alcoolique et stéato-hépatite non alcoolique

Stéatose hépatique non alcoolique et stéato-hépatite non alcoolique World Gastroenterology Organisation Global Guidelines Stéatose hépatique non alcoolique et stéato-hépatite non alcoolique Juin 2012 Review Team Douglas LaBrecque (chair) Zaigham Abbas Frank Anania Peter

Plus en détail

BERTHIER E, CHRISTIANO M, PHILIPPE M O, IEHL J, TATARU N, DECAVEL P, VUILLIER F, ELISEEF A, MOULIN T. Introduction (1). Contexte de l étude

BERTHIER E, CHRISTIANO M, PHILIPPE M O, IEHL J, TATARU N, DECAVEL P, VUILLIER F, ELISEEF A, MOULIN T. Introduction (1). Contexte de l étude REPRODUCTIBILITE INTEROBSERVATEUR DU TEST «NIHSS» (National Institutes of Heath Stroke Scale) RÉALISÉ PAR VIDÉOCONFÉRENCE : EXPÉRIENCE DU RÉSEAU DES URGENCES NEUROLOGIQUES (RUN) BERTHIER E, CHRISTIANO

Plus en détail

TRAITEMENT DE L HÉPATITE B

TRAITEMENT DE L HÉPATITE B TRAITEMENT DE L HÉPATITE B P Mathurin Service d Hépatogastroentérologie Pr Paris Hôpital Claude Hurriez CHRU Lille CRITERES VIROLOGIQUES ET HISTOIRE NATURELLE 1 OBJECTIF THERAPEUTIQUE: Séroconversion HBe

Plus en détail

Étude de la faisabilité de l auto-compression en A MOISEI, S KINZELIN, P TROUFLEAU, B BOYER, L LEMOINE, P HENROT

Étude de la faisabilité de l auto-compression en A MOISEI, S KINZELIN, P TROUFLEAU, B BOYER, L LEMOINE, P HENROT Étude de la faisabilité de l auto-compression en mammographie A MOISEI, S KINZELIN, P TROUFLEAU, B BOYER, L LEMOINE, P HENROT INTRODUCTION La compression mammographique est parfois mal vécue par certaines

Plus en détail

Stéatose hépatique non alcoolique et stéatohépatite non alcoolique

Stéatose hépatique non alcoolique et stéatohépatite non alcoolique Stéatose hépatique non alcoolique et stéatohépatite non alcoolique Manifestations hépatiques du syndrome métabolique Christine Bernsmeier, Markus H. Heim Quintessence P La stéatose hépatique non alcoolique

Plus en détail

Equipement. électronique

Equipement. électronique MASTER ISIC Les générateurs de fonctions 1 1. Avant-propos C est avec l oscilloscope, le multimètre et l alimentation stabilisée, l appareil le plus répandu en laboratoire. BUT: Fournir des signau électriques

Plus en détail

Grossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours

Grossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)

Plus en détail

Bandes Critiques et Masquage

Bandes Critiques et Masquage Bandes Critiques et Masquage A. Almeida Licence Pro Acoustique et Vibrations Octobre 2012 Au Menu Au programme 1 Observations du masquage 5 Application du masquage 2 Conséquences du Masquage 3 Interprétation

Plus en détail

Diagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux

Diagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055

Plus en détail

Thierry DELZESCAUX. «biopicsel» group, URA CNRS-CEA 2210 Service MIRCen, I²BM, CEA Fontenay-aux-Roses, France. Thierry.Delzescaux@cea.

Thierry DELZESCAUX. «biopicsel» group, URA CNRS-CEA 2210 Service MIRCen, I²BM, CEA Fontenay-aux-Roses, France. Thierry.Delzescaux@cea. Thierry DELZESCAUX «biopicsel» group, URA CNRS-CEA 2210 Service MIRCen, I²BM, CEA Fontenay-aux-Roses, France Thierry.Delzescaux@cea.fr Thierry DELZESCAUX Ingénieur chercheur CEA Experience Since 2008:

Plus en détail

Nouvelles caméras CZT cardiaques: une seconde vie pour le thallium 201?

Nouvelles caméras CZT cardiaques: une seconde vie pour le thallium 201? Symposium Covidien, Nice, 10 mai 2010 Nouvelles caméras CZT cardiaques: une seconde vie pour le thallium 201? Bernard Songy Centre Cardiologique du Nord St-Denis Thallium 201: Le thallium 201 présente

Plus en détail

des banques pour la recherche

des banques pour la recherche ADN, cellules, tissus... des banques pour la recherche FÉVRIER 2009 Les banques d échantillons de matériel biologique (tissus, cellules, ADN ), appelées biobanques, mettent à disposition des chercheurs

Plus en détail

... IRM bas champ : développement d un système pour son intégration en imagerie multimodale in vivo du petit animal

... IRM bas champ : développement d un système pour son intégration en imagerie multimodale in vivo du petit animal ....... Thèse présentée pour obtenir le grade de Docteur de l Université Louis Pasteur Strasbourg I Ecole doctorale Vie et Santé Christian GOETZ. IRM bas champ : développement d un système pour son intégration

Plus en détail

ALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement

ALTO : des outils d information sur les pathologies thromboemboliques veineuses ou artérielles et leur traitement Communiqué de presse Bayer HealthCare S.A.S. Parc Eurasanté 220, avenue de la Recherche 59120 LOOS France Tel.+333 28 16 34 00 www.bayerhealthcare.fr Favoriser l observance avec ALTO : l engagement de

Plus en détail

Mesurage de la qualité acoustique de revêtements. acoustique de revêtements

Mesurage de la qualité acoustique de revêtements. acoustique de revêtements Monitoring de la performance acoustique d un d revêtement phonoabsorbant en milieu urbain François Aballéa, Pierre-Jean René a Olivier Schalbetter, Lucien Pignat b Daniel Vaucher de la Croix, Fabien Lassablière

Plus en détail

Solutions globales de monitoring sans fil

Solutions globales de monitoring sans fil Solutions globales de monitoring sans fil Les Points forts Détails produit Packet Power fournit le moyen le plus simple et le meilleur rapport efficacité/performance pour la collecte détaillée des puissances

Plus en détail

Etudier l influence de différents paramètres sur un phénomène physique Communiquer et argumenter en utilisant un vocabulaire scientifique adapté

Etudier l influence de différents paramètres sur un phénomène physique Communiquer et argumenter en utilisant un vocabulaire scientifique adapté Compétences travaillées : Mettre en œuvre un protocole expérimental Etudier l influence de différents paramètres sur un phénomène physique Communiquer et argumenter en utilisant un vocabulaire scientifique

Plus en détail

OCT et MYOPIE. Jacques Chofflet Hôpital Saint Roch, Nice Prof. Gastaud Cabinet d Ophtalmologie d Antibes

OCT et MYOPIE. Jacques Chofflet Hôpital Saint Roch, Nice Prof. Gastaud Cabinet d Ophtalmologie d Antibes OCT et MYOPIE Jacques Chofflet Hôpital Saint Roch, Nice Prof. Gastaud Cabinet d Ophtalmologie d Antibes OCT & Myopie «OCT has had the largest clinical impact in ophthalmology.» Fujimoto, 2001. «OCT has

Plus en détail

WWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale

WWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale WWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale Le SA10 est un appareil portable destiné au test des disjoncteurs moyenne tension et haute tension. Quoiqu il soit conçu pour fonctionner couplé

Plus en détail

La mise en place du PACS 1 Midi-Pyrénées s inscrit

La mise en place du PACS 1 Midi-Pyrénées s inscrit Pr Louis Lareng ADMINISTRATEUR Dr Monique Savoldelli DIRECTEUR SIH Karine Seymour CHEF DE PROJET 35 GROUPEMENT DE COOPÉRATION SANITAIRE TÉLÉSANTÉ MIDI-PYRÉNÉES, TOULOUSE Mise en place d un PACS mutualisé

Plus en détail

Chapitre V : La gestion de la mémoire. Hiérarchie de mémoires Objectifs Méthodes d'allocation Simulation de mémoire virtuelle Le mapping

Chapitre V : La gestion de la mémoire. Hiérarchie de mémoires Objectifs Méthodes d'allocation Simulation de mémoire virtuelle Le mapping Chapitre V : La gestion de la mémoire Hiérarchie de mémoires Objectifs Méthodes d'allocation Simulation de mémoire virtuelle Le mapping Introduction Plusieurs dizaines de processus doivent se partager

Plus en détail

La baisse tendancielle des rentes réduitelle la demande d épargne retraite? Leçons tirées d une réforme des tables de mortalité

La baisse tendancielle des rentes réduitelle la demande d épargne retraite? Leçons tirées d une réforme des tables de mortalité La baisse tendancielle des rentes réduitelle la demande d épargne retraite? Leçons tirées d une réforme des tables de mortalité Alexis DIRER LEO, Université d Orléans Co-écrit avec Rim Ennajar-Sayadi Journée

Plus en détail

Place du médecin généraliste dans la gestion du traitement de l hépatite C C. Buffet*

Place du médecin généraliste dans la gestion du traitement de l hépatite C C. Buffet* Entretiens de Bichat 26 sept. 2013 Salle 352 A 17 h 30 18 h 30 Place du médecin généraliste dans la gestion du traitement de l hépatite C C. Buffet* * Hépatologue, Université Paris XI, Centre de compétence

Plus en détail

MONITORING PÉRI-OPÉRATOIRE DE L'ISCHÉMIE CARDIAQUE. Dary Croft 9 mai 2013

MONITORING PÉRI-OPÉRATOIRE DE L'ISCHÉMIE CARDIAQUE. Dary Croft 9 mai 2013 MONITORING PÉRI-OPÉRATOIRE DE L'ISCHÉMIE CARDIAQUE Dary Croft 9 mai 2013 Plan Épidémiologie en chir. non-cardiaque Aspects techniques de l ECG Rappel critères ECG de l'ischémie Principe de monitoring per-op

Plus en détail

L APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.

L APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. 1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises

Plus en détail

Mesure de la surface spécifique

Mesure de la surface spécifique Mesure de la surface spécifique Introducing the Acorn Area TM Acorn Area est un instrument révolutionnaire conçu pour mesurer la surface spécifique des nanoparticules en suspension dans un liquide. Utilisant

Plus en détail

INSUFFISANCE HÉPATIQUE

INSUFFISANCE HÉPATIQUE INSUFFISANCE HÉPATIQUE EXISTE-T-IL DES TRAITEMENTS À BASE DE CELLULES SOUCHES POUR L INSUFFISANCE HÉPATIQUE? Bien qu aucun traitement à base de cellules souches pour l insuffisance hépatique ne soit approuvé

Plus en détail

PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris

PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases

Plus en détail

1/ La place du référencement dans la gestion de trafic sur un site web

1/ La place du référencement dans la gestion de trafic sur un site web Rapport réalisée par JULIEN GUYOT, société Au Cœur de la Toile LA GESTION DE TRAFIC DES SITES EN LIGNE Thème : La place du référencement dans la gestion de trafic d un site. 2003-2004 Société Au Cœur de

Plus en détail

Vue d ensemble : Office of Cellular, Tissue and Gene Therapies

Vue d ensemble : Office of Cellular, Tissue and Gene Therapies Vue d ensemble : Office of Cellular, Tissue and Gene Therapies DIAPOSITIVE 1 Cette présentation fournit une vue d ensemble de l Office of Cellular, Tissue, and Gene Therapies (bureau des thérapies cellulaires,

Plus en détail

Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX

Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants Docteur Christine BOITEUX Théorie Endocardites et anticoagulation POUR Thromboses Emboles septiques CONTRE Favorise emboles septiques et diffusion

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE 2011

DOSSIER DE PRESSE 2011 DOSSIER DE PRESSE 2011 Contacts presse : ECHOSENS 153 Avenue d Italie 75013 Paris MEDIAL Sophie BAUMONT Attachée de presse Tél. : 01 53 83 81 55 49 : sophiebaumont@medial-rp.com Le foie, un organe vital

Plus en détail

Le GRAND CONSEIL de la République et canton de Genève décrète ce qui suit :

Le GRAND CONSEIL de la République et canton de Genève décrète ce qui suit : Secrétariat du Grand Conseil PL 10267 Projet présenté par le Conseil d Etat Date de dépôt: 22 mai 2008 Projet de loi ouvrant un crédit au titre d'indemnité cantonale d'investissement de 3 000 000 F, pour

Plus en détail

Effets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux

Effets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux Effets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux PF Plouin, ESH Hypertension Excellence Center, Hôpital Européen Georges Pompidou, Paris La prise en charge de l hypertendu l concerne

Plus en détail

DON ET GREFFE D ORGANES EN TUNISIE. Dr Mylène Ben Hamida Centre National pour la Promotion de la Transplantation d Organes

DON ET GREFFE D ORGANES EN TUNISIE. Dr Mylène Ben Hamida Centre National pour la Promotion de la Transplantation d Organes DON ET GREFFE D ORGANES EN TUNISIE Dr Mylène Ben Hamida Centre National pour la Promotion de la Transplantation d Organes Les besoins sont importants Insuffisance Organique Terminale en Tunisie Rein :

Plus en détail

EFFET DOPPLER EXOPLANETES ET SMARTPHONES.

EFFET DOPPLER EXOPLANETES ET SMARTPHONES. EFFET DOPPLER EXOPLANETES ET SMARTPHONES. I. APPLICATIONS UTILISEES POUR CETTE ACTIVITE : Sauf indication les applications sont gratuites. 1.Pour connaître les exoplanetes : Exoplanet (android et IOS)

Plus en détail

Mesures de temps de propagation de groupe sur convertisseurs de fréquence sans accès aux OL

Mesures de temps de propagation de groupe sur convertisseurs de fréquence sans accès aux OL Mesures de temps de propagation de groupe sur convertisseurs de fréquence sans accès aux Comment mesurer le temps de propagation de groupe sur des convertisseurs de fréquence dans lesquels le ou les oscillateurs

Plus en détail

INTRODUCTION A L ELECTRONIQUE NUMERIQUE ECHANTILLONNAGE ET QUANTIFICATION I. ARCHITECTURE DE L ELECRONIQUE NUMERIQUE

INTRODUCTION A L ELECTRONIQUE NUMERIQUE ECHANTILLONNAGE ET QUANTIFICATION I. ARCHITECTURE DE L ELECRONIQUE NUMERIQUE INTRODUCTION A L ELECTRONIQUE NUMERIQUE ECHANTILLONNAGE ET QUANTIFICATION I. ARCHITECTURE DE L ELECRONIQUE NUMERIQUE Le schéma synoptique ci-dessous décrit les différentes étapes du traitement numérique

Plus en détail

Programme de réhabilitation respiratoire

Programme de réhabilitation respiratoire Programme de réhabilitation respiratoire Dr Jean-Marc Perruchini Service de Réhabilitation R respiratoire, Clinique de Médecine Physique Les Rosiers 45, Bd Henri Bazin, 21002 DIJON Cedex Mle Carine Lopez

Plus en détail

Le suivi de la qualité. Méthode MSP : généralités

Le suivi de la qualité. Méthode MSP : généralités Le suivi de la qualité La politique qualité d une entreprise impose que celle maîtrise sa fabrication. Pour cela, elle doit être capable d évaluer la «qualité» de son processus de production et ceci parfois

Plus en détail

Pathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013

Pathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode

Plus en détail

Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale

Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale ARN du virus de l hépatite C : ARN-VHC ARN-VHC 03VHC1 Novembre 2003 Edité : mars 2006 Annales ARN-VHC 03VHC1 1 / 8 ARN-VHC 03VHC1

Plus en détail

ATELIER IMAGEJ. Différentes applications vous sont proposées pour apprendre à utiliser quelques fonctions d ImageJ :

ATELIER IMAGEJ. Différentes applications vous sont proposées pour apprendre à utiliser quelques fonctions d ImageJ : Différentes applications vous sont proposées pour apprendre à utiliser quelques fonctions d ImageJ : 1. ANALYSE QUANTITATIVE D UN GEL D ELECTROPHORESE... 2 2. NUMERATION DE COLONIES BACTERIENNES SUR UNE

Plus en détail

Mesures d antennes en TNT

Mesures d antennes en TNT Mesures d antennes en TNT Ce TP s intéresse aux techniques liées à l installation d un équipement de réception de télévision numérique terrestre. Pour les aspects théoriques, on pourra utilement se référer

Plus en détail

Le point sur les techniques d embolisation des hépatocarcinomes

Le point sur les techniques d embolisation des hépatocarcinomes Le point sur les techniques d embolisation des hépatocarcinomes Johann CLOUET Pharmacien AHU Pharmacie Centrale CHU de Nantes Epidémiologie Hépatocarcinome ou CHC. 5 ème cancer mondial 3 ème par la mortalité

Plus en détail

Evaluation des performances de programmes parallèles haut niveau à base de squelettes

Evaluation des performances de programmes parallèles haut niveau à base de squelettes Evaluation des performances de programmes parallèles haut niveau à base de squelettes Enhancing the Performance Predictability of Grid Applications with Patterns and Process Algebras A. Benoit, M. Cole,

Plus en détail

le bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor

le bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor le bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor Bilan urodynamique Continence et miction = résultat d'un rapport de forces vessie/urètre: 1. Pression vésicale de remplissage (compliance): doit rester

Plus en détail

Les atouts et faiblesses des caméras TEP dédiées, TEP corps entier, TEP-CT, TEMP pour la quantification

Les atouts et faiblesses des caméras TEP dédiées, TEP corps entier, TEP-CT, TEMP pour la quantification Les atouts et faiblesses des caméras TEP dédiées, TEP corps entier, TEP-CT, TEMP pour la quantification Irène Buvat U494 INSERM CHU Pitié-Salpêtrière, Paris buvat@imed.jussieu.fr http://www.guillemet.org/irene

Plus en détail

Cancer du sein in situ

Cancer du sein in situ traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome

Plus en détail

F ZOULIM. Traitement du VHB : Interféron ou anti-viraux

F ZOULIM. Traitement du VHB : Interféron ou anti-viraux F ZOULIM Traitement du VHB : Interféron ou anti-viraux - Connaître les objectifs du traitement - Connaître les résultats immédiats et à long terme des traitements - Savoir choisir une option thérapeutique

Plus en détail

Les Jeudis de l'europe

Les Jeudis de l'europe LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER

Plus en détail

Caractéristiques des ondes

Caractéristiques des ondes Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace

Plus en détail