NAPROSYNE 500 mg, suppositoire Résumés des Caractéristiques du Produit
|
|
- Marie-Thérèse Poitras
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 NAPROSYNE 500 mg, suppositoire Résumés des Caractéristiques du Produit DENOMINATION DU MEDICAMENT : NAPROSYNE 500 mg, suppositoire COMPOSITION QUALITATIVE ET QAUNTITATIVE Naproxène (DCI) 500 mg par suppositoires. Excipients : glycérides hémi-synthétiques solides FORME PHARMACEUTIQUE suppositoire DONNEES CLINIQUES Indications thérapeutiques Elles procèdent de l'activité anti-inflammatoire du naproxène, de l'importance des manifestations d'intolérance auxquelles le médicament donne lieu et de sa place dans l'éventail des produits anti-inflammatoires actuellement disponibles. Elles sont limitées, chez l'adulte (à partir de 15 ans), au : traitement symptomatique au long cours : des rhumatismes inflammatoires chroniques, notamment polyarthrite rhumatoïde, spondylarthrite ankylosante ou syndromes apparentés tels que syndrôme de Fiessinger Leroy-Reiter et rhumatisme psoriasique ; de certaines arthroses invalidantes et douloureuses; traitement symptomatique de courte durée des poussées aiguës des : rhumatismes abarticulaires tels que péri-arthrites scapulo-humérales, tendinites, bursites ; arthroses ; lombalgies ; radiculalgies ; affections aiguës post-traumatiques bénignes de l appareil locomoteur. thérapeutique d appoint d affections non rhumatologiques. Dans les indications suivantes, les risques encourus, en particulier l extension d un processus septique concomitant, sont ceux des AINS. Ils doivent évalués par rapport au bénéfice antalgique attendu : - traitement symptomatique de courte durée de la douleur au cours des manifestations inflammatoires dans les domaines ORL et stomatologie, - dysménorrhées après recherche étiologique. Posologie et mode d administration Posologie :Adulte : traitement d attaque : 1000 mg par jour, soit 1 suppositoire le soir en complément des formes orales ; traitement d entretien : 1 suppositoire par jour, soit 500 mg par jour. Mode d administration : Voie rectale. Durée d administration : L utilisation de la voie rectale doit être la plus courte possible en raison du risque de toxicité locale surajoutée aux risques de la voie orale. Contre-Indications Ce médicament est contre-indiqué dans les cas suivants : Au delà de 24 semaines d aménorrhée (5 mois de grossesse révolus) (cf. 4.6 Grossesse et Allaitement), antécédents d allergie ou d asthme déclenchés par la prise de naproxène ou de substances d'activité proche telles que d autres AINS, aspirine ; hypersensibilité à l un des excipients; ulcère gastro-duodénal en évolution, hémorragie digestive ; insuffisance hépato-cellulaire sévère ; insuffisance rénale sévère ; insuffisance cardiaque sévère non contrôlée ; enfant de moins de 15 ans Liée à la voie d administration : antécédents récents de rectites ou de rectorragies. Mises en garde et précautions particulières d emploi Les patients présentant un asthme associé à une rhinite chronique, à une sinusite chronique et/ou à une polypose nasale, ont un risque de manifestations allergiques lors de la prise d aspirine et/ou d antiinflammatoires non stéroïdiens, plus élevé que le reste de la population. L administration de ce produit peut entraîner une crise d asthme notamment chez certains sujets allergiques à l aspirine ou à un AINS (c.f. 4.3 Contre-indications) Les hémorragies gastro-intestinales ou les ulcères/perforations peuvent se produire à n importe quel moment en cours de traitement sans qu il y ait nécessairement de signes avant-coureurs ou d antécédents. Le risque
2 relatif augmente avec la dose ainsi que chez le sujet âgé, fragile, de faible poids corporel, le malade soumis à un traitement anticoagulant ou antiagrégant plaquettaire (cf Interaction avec d autres médicaments et autres formes d interactions). En cas d hémorragie gastro-intestinale ou ulcère, interrompre immédiatement le traitement. Lors de la prescription, le médecin devra prendre en compte le fait que des cas d infertilité secondaire anovulatoire par non rupture du follicule de De Graaf, réversibles à l arrêt du traitement, ont été décrits chez les patientes traitées au long cours par certains inhibiteurs de synthèse des prostaglandines. Ce produit doit être utilisé avec précaution dans les affections de nature infectieuse ou comportant un risque infectieux, même bien contrôlé ; en effet : le naproxène pourrait être susceptible de réduire les défenses naturelles de l organisme contre l infection ; le naproxène pourrait être susceptible de masquer les signes et les symptômes habituels de l infection. Le naproxène existe sous forme d autres dosages qui peuvent être plus adaptés Le naproxène sera administré avec prudence et sous surveillance particulière chez les malades ayant des antécédents digestifs (ulcère gastro-duodénal, hernie hiatale, hémorragie digestive ). Les personnes âgées pouvant présenter un risque plus élevé d effets indésirables que les patients jeunes : une surveillance clinique et biologique est recommandée, en cas de posologie élevée. une étude a montré que, chez les personnes âgées, la concentration plasmatique en ion Naproxène libre est doublé»e bien que la concentration plasmatique totale soit inchangée ; une réduction de la posologie doit être envisagée en cas d altération de la fonction rénale. Comme le naproxène et ses métabolites sont éliminés en grande partie (95 pour cent) dans les urines par filtration glomérulaire, le naproxène doit être utilisé avec prudence chez les patients dont la focntion rénale est pertubée ; le contrôle de la créatinine est recommandé. Des doses les plus faibles possible doivent utilisées chez ces patients. Le naproxène entraîne une diminution de l agrégation plaquettaire et un allongement du temps de saignement : - ceci doit être pris en compte lors de la détermination du temps de saignement ; - les patients présentant des troubles de la coagulation, ou traités par des médicaments interférant avec l hémostase, doivent être surveillés avec attention en cas d administration de naproxène. Des oedèmes périphériques modérés ayant été observés chez des patients dont la fonction cardiaque est comprise, une surveillance clinique doit être envisagée. De rares cas d effets indésirables ophtalmologiques ayant été rapportées, il est recommandé de pratiquer, si le médecin le juge nécessaire, un examen ophtalmologique chez les patients qui développent sous naproxène des troubles de la vision. Au cours d un traitement prolongé, il est recommandé de contrôler la numération et la formule sanguine, les fonctions hépatique et rénale. Insuffisance rénale fonctionne lle : Les AINS, en inhibant l action vasodilatatrice des prostaglandines rénales, sont susceptibles de provoquer une insuffisance rénale fonctionnelle par diminution de la filtration glomérulaire. Cet effet indésirable est dose dépendant. En début de traitement ou après une augmentation de la posologie, une surveillance de la diurèse et de la fonction rénale est recommandée chez les patients présentant les facteurs de risque suivants : sujets âgés, médicaments associés tels que : IEC, sartans, diurétiques (cf. rubriques 4.5 Interactions avec d autres médicaments et autres formes d interactions), hypovolémie qu elle qu en soit la cause, insuffisance cardiaque, insuffisance rénale chronique, syndrome néphrotique, néphropathie lupique, cirrhose hépatique décompensée. Rétention hydro-sodée : Rétention hydro-sodée avec possibilité d œdème, d HTA ou de majoration d HTA, d aggravation d insuffisance cardiaque. Une surveillance clinique est nécessaire, dès le début du traitement en cas d HTA ou d insuffisance cardiaque. Une diminution de l effet des antihypertenseurs est possible (cf. rubrique 4.5 Interactions avec d autres médicaments et autres formes d interactions). Hyperkaliémie : Hyperkaliémie favorisée par le diabète ou un traitement concomitant par des médicaments hyperkaliémants (cf. rubrique 4.5 Interactions avec d autres médicaments et autres formes d interactions). Une surveillance régulière de la kaliémie doit être effectuée dans ces circonstances.
3 La prise de ce médicament doit être évitée en cas de traitement avec un autre anti-inflammatoire non stéroïdien, avec un anticoagulant oral, avec du lithium, avec de l aspirine à doses antalgiques, antipyrétiques ou anti-inflammatoires, avec du méthotrexate à des doses supérieures à 20 mg par semaine, avec les héparines de bas poids moléculaire et apparentés et les héparines non fractionnées (à doses curatives et/ou chez le sujet âgé) (cf.rubrique 4.5 Interactions médicamenteuses et autres formes d interactions). Interactions avec d autres médicaments et autres formes d interactions Risque lié à l hyperkaliémie : Certains médicaments ou classes thérapeutiques sont susceptibles de favoriser la survenue d une hyperkaliémie : les sels de potassium, les diurétiques hyperkaliémiants, les inhibiteurs de l enzyme de conversion, les antagonistes de l angiotensine II, les anti-inflammatoires non stéroïdiens, les héparines (de bas poids moléculaires ou non fractionnées), les immunosuppresseurs comme la ciclosporine et le tacrolimus, le triméthoprime. L association de ces médicaments majore le risque d hyperkaliémie. Ce risque est particulièrement important avec les diurétiques épargneurs de potassium, notamment lorsqu ils sont associés entre eux ou avec des sels de potassium, tandis que l association d un IEC et d un AINS, par exemple, est à moindre risque dès l instant que sont mises en œuvre les précautions recommandées. Pour connaître les risques et les niveaux de contraintes spécifiques aux médicaments hyperkaliémiants, il convient de se reporter aux interactions propres à chaque substance. Toutefois certaines substances, comme le triméthoprime, ne font pas l objet d interactions spécifiques au regard de ce risque. Leur mention dans ce chapeau s explique en tant que facteur favorisant pouvant s ajouter à d autres facteurs de risque «à prendre en compte» dans la survenue d une hyperkaliémie. Associations déconseillées : autres AINS les autres anti-inflammatoires non stéroïdiens, majoration du risque ulcérogène et hémorragique digestif; acide acétylsalicyclique à des doses anti-inflammatoires ( 1 g par prise et/ou 3 g par jour), et à des doses antalgiques ou antipyrétiques ( 500 mg par prise et/ou < 3 g par jour) Majoration du risque ulcérogène et hémorragique digestif. anticoagulants oraux augmentation du risque hémorragique de l anticoagulant oral (agression de la muqueuse gastro-duodénale par les AINS). Si l'association ne peut être évitée, surveillance clinique et biologique étroite ; héparines de bas poids moléculaire et apparentés et héparines non fractionnées (à doses curatives et/ou chez le sujet âgé) augmentation du risque hémorragique et agression de la muqueuse gastro-duodénale par les AINS. Si l'association ne peut être évitée, surveillance clinique étroite. lithium augmentation de la lithémie pouvant atteindre des valeurs toxiques (diminution de l'excrétion rénale du lithium). Si l'association ne peut être évitée, surveiller étroitement la lithémie et adapter la posologie du lithium pendant l'association et après l'arrêt de l'ains. méthotrexate, utilisé à des doses supérieures à 20 mg/semaine augmentation de la toxicité notamment hématologique du méthotrexate (diminution de la clairance rénale du méthotrexate par les anti-inflammatoires). Associations nécessitant des précautions d emploi: - Ciclosporine, Tacrolimus : Risque d addition des effets néphrotoxiques, notamment chez le sujet âgé. Surveiller la fonction rénale en début de traitement par l AINS. - diurétiques, inhibiteurs de l'enzyme de conversion (IEC), antagonistes des récepteurs de l angiotensine II : Insuffisance rénale aiguë chez le malade à risque (sujet âgé et/ou déshydraté) par diminution de la filtration glomérulaire (inhibition des prostaglandines vasodilatatrices due aux AINS). Par ailleurs, réduction de l'effet antihypertenseur. Hydrater le malade ; surveiller la fonction rénale au début du traitement ; - méthotrexate utilisé à des doses inférieures à 20 mg/semaine augmentation de la toxicité hématologique du méthotrexate (diminution de sa clairance rénale par les antiinflammatoires). Contrôle hebdomadaire de l'hémogramme durant les premières semaines de l'association. Surveillance accrue en cas d'altération (même légère) de la fonction rénale, ainsi que chez le sujet âgé ; Associations à prendre en compte : - Acétylsalicylique à des doses anti-agrégantes (de 50 mg à 375 mg par jour en 1 ou plusieurs prises) : Majoration du risque ulcérogène et hémorragique digestif. - Bêta-bloquants (sauf esmolol): réduction de l'effet antihypertenseur (inhibition des prostaglandines vasodilatatrices par les AINS) ; - Héparines de bas poids moléculaire et apparentés et héparines non fractionnées (à doses préventives et en dehors du sujet âgé) Augmentation du risque hémorragique
4 Grossesse et allaitement GROSSESSE Aspect malformatif : 1 er trimestre Les études chez l animal n ont pas mis en évidence d effet tératogène. En l absence d effet tératogène chez l animal, un effet malformatif dans l espèce humaine n est pas attendu. En effet à ce jour, les substances responsables de malformations dans l espèce humaine se sont révélées tératogène chez l animal au cours d études bien conduites sur 2 espèces. Dans l espèce humaine, aucun effet malformatif particulier, lié à l administration au cours du 1 er trimestre de la grossesse, n a été signalé. Cependant, des études épidémiologiques complémentaires sont nécessaires afin de confirmer l absence du risque. Aspect foetotoxique et néonatal : 2ème et 3ème trimestres Il s agit d une toxicité de classe concernant tous les inhibiteurs de synthèse des prostaglandines. L administration pendant le 2éme et 3éme trimestres expose à : Une atteinte fonctionnelle rénale : o In utero pouvant s observer dès 12 semaines d aménorrhée (mise en route de la diurèse fœtale) : oligoamnios (le plus souvent réversible à l arrêt du traitement), voire anamnios en particulier lors d une exposition prolongée. o A la naissance, une insuffisance rénale (réversible ou non) peut persister en particulier en cas d exposition tardive et prolongée (avec un risque d hyperkaliémie sévère et retardée). Un risque d atteinte cardiopulmonaire : Constriction partielle ou complète in utero du canal artériel. La constriction du canal artériel peut survenir à partir de 5 mois révolus et peut conduire à une insuffisance cardiaque droite fœtale ou néonatale voire une mort fœtale in utero. Ce risque est d autant plus important que la prise est proche du terme (moindre réversibilité). Cet effet existe même pour une prise ponctuelle. Un risque d allongement du temps de saignement pour la mère et l enfant. En conséquence : jusqu à 12 semaines d aménorrhée : l utilisation de ce produit ne doit être envisagée que si nécessaire. Entre 12 et 24 semaines d aménorrhée (entre le début de la diurèse fœtale et 5 mois révolus) : une prise brève ne doit être prescrite que si nécessaire. Une prise prolongée est fortement déconseillée. Au delà de 24 semaines d aménorrhée (5 mois révolus) : toute prise même ponctuelle est contre-indiquée (cf 4.3 Contre-indications). Une prise par mégarde au delà de 24 semaines d aménorrhée (5 mois révolus) justifie une surveillance cardiaque et rénale ; fœtale et/ou néonatale selon le terme d exposition. La durée de cette surveillance sera adaptée à la demi-vie d élimination de la molécule. ALLAITEMENT Les AINS passant dans le lait maternel, par mesure de précaution, il convient d éviter de les administrer chez la femme qui allaite. Effets sur l aptitude à conduire des véhicules et à utiliser des machines Prévenir les patients de l'apparition possible de vertiges, de somnolence et de troubles visuels. Effets indésirables - Effets digestifs : Ont été surtout rapportés des troubles gastro-intestinaux à type d'épigastralgies, souvent légères ou modérées, de nausées, de vomissements, de ballonnements abdominaux, de dyspepsie, diarrhée, constipation, stomatites ulcéreuses. Ont été exceptionnellement observés : ulcères, hémorragies et/ou perforations gastro-intestinales. Ces hémo rragies digestives sont d'autant plus fréquentes que la posologie utilisée est élevée. Quelques cas isolés d oesophagites, colites et pancréatites ont également été rapportés. Risque de toxicité locale, lié à la voie d administration, d autant plus fréquent et intense que la durée de traitement est prolongée, le rythme d administration et la posologie élevés. Peuvent survenir des brûlures rectales, des douleurs, un prurit. - Réactions d'hypersensibilité : dermatologiques : rash cutané, urticaire, aggravation d urticaire chronique, prurit ; respiratoire : asthme. La survenue de crise d'asthme chez certains sujets peut être liée à une allergie à l'aspirine ou à un AINS. (cf. 4.3 contre-indications) ; générales : oedème de Quincke, vascularite, réactions anaphylactoïdes aux composants.
5 - Réactions cutanées : Prurit, perte de cheveux, réactions de photosensibilité incluant de rares cas de pseudoporphyries ont été observées Purpura, érythème polymorphe, érythème pigmenté fixe, érythème noueux et lichen plan ont été rarement signalés. La su rvenue de dermatoses bulleuses (Stevens-Johnson et syndrome de Lyell) est tout à fait exceptionnelle. - Effets sur le système nerveux central : Ont été surtout rapportés :céphalées, vertiges, somnolence, Ont été également été rapportés : insomnies, difficultés de concentration, troubles de l'idéation, méningites aseptiques. - Effets rénaux : Rétention hydrosodée avec possibilité d œdème, hyperkaliémie (cf. rubriques 4.4 Mises en garde et précautions particulières d emploi et 4.5 Interactions avec d autres médicaments et autres formes d interactions). Insuffisance rénale aiguë (IRA) fonctionnelle chez les patients présentant des facteurs de risque (cf. rubrique 4.4 Mises en garde et précautions particulières d emploi). Atteintes rénales organiques pouvant se traduire par une IRA : des cas isolés de néphrite interstitielle, de nécrose tubulaire aiguë, de syndrome néphrotique, de nécrose papillaire ont été rapportés. - Effets ophtalmiques : troubles visuels, exceptionnellement papillite, névrite optique rétrobulbaire et œdème papillaire - Effets sur l appareil auditif : troubles de l audition, en particulier acouphènes. - Effets cardiovasculaires : ont été rapportés des oedèmes périphériques modérés, chez les patients dont la fonction cardiaque est compromise, une aggravation de l insuffisance cardiaque congestive et de l hypertension. - Effets sur le s ystème respiratoire : pneumonies à éosinophiles. - Manifestations hématologiques : leucopénie (principalement granulocytopénie), thrombocytopénie, anémies aplasiques et hémolytiques. - Manifestations hépatiques : quelques cas de modifications transitoires et réversibles des paramètres biologiques hépatique, ictère, exceptionnellement hépatite sévère ont été signalés. Surdosage Signes cliniques : somnolence, vertiges, désorientation, brûlure d estomac, indigestion, nausées ou vomissements, apnée. Signes biologiques : altération des fonctions hépatique et rénale, hypoprothrombinémie, acidose métabolique. C onduite à tenir : - transfert immédiat en milieu hospitalier ; - traitement symptomatique PROPRIETES PHARMACOLOGIQUES Propriétés pharmaco-dynamiques ANTI-INFLAMMATOIRE, ANTIRHUMATISMAL, NON STEROIDIEN Code ATC : M01AE02 (M : Muscle et Squelette) Le naproxène est un anti-inflammatoire non stéroïdien, dérivé de l'acide aryl-carboxylique, appartenant au groupe des propioniques. Il possède les propriétés suivantes : activité anti-inflammatoire, antalgique, antipyrétique, inhibition des fonctions plaquettaires. L ensemble de ces propriétés est lié à une inhibition de la synthèse des prostaglandines. Propriétés pharmaco-cinétiques Absorption : La biodisponibilité est constante et élevée (95%). La concentration plasmatique maximale est d environ 60,5 µg/ml après administration d un suppositoire à 500 ème ème mg de naproxène. Elle est atteinte entre la 4 et la 6 heure après administration. A des doses supérieures à 500 mg, l élévation plasmatique du naproxène n est pas proportionnelle à la dose ingérée. L état d équilibre est obtenu après les 48 heures de traitement. Distribution : La fixation sur les protéines plasmatiques est d environ 99 %.
6 La demi-vie plasmatique est d environ 13 à 14 heures. La demi-vie dans le liquide synovial est d environ 23 à 26 heures. La molécule de naproxène traverse la barrière placentaire. Par ailleurs, bien qu en faible proportion, on retrouve la molécule dans le lait maternel. L acide acétylsalicylique déplaçant le naproxène de ses liaisons aux protéines plasmatiques, il provoque une augmentation de la clairance rénale de cette molécule et la diminution de son taux sérique. In vitro, il existe des interactions avec des antivitamines K ainsi qu avec les molécules hydantoïnes, sulfonamide et sulfonylurée, le naproxène pouvant déplacer ces médicaments de leurs sites de liaison aux protéines plasmatiques. Métabolisme Environ 25% du produit administré est métabolisé en dérivé déméthylé. Ce métabolite est extrêmement peu actif. Elimination : L élimination se fait, sous forme inchangée ou conjuguée, essentiellement par les urines : 70 % sous forme de naproxène, 28 % sous une forme déméthylée. La demi-vie plasmatique est d environ 13 à 14 heures. Chez le sujet âgé : bien que la concentration plasmatique ne diffère pas de celle du sujet jeune, la proportion de naproxène non liée aux protéines est plus importante et donc l activité pharmacologique peut en être augmentée : il est recommandé chez ces sujets d exercer une surveillance particulière en cas de posologies élevées. DONNEES PHARMACEUTIQUES Durée de conservation : 3 ans Précaution particulière de conservation : le médicament est à conserver à l abri de la chaleur Nature et contenance du récipient : 12 suppositoires sous plaquettes thermoformées (PVC/Polyethylène) : 12 suppositoires Prix : 4,22. Remb. Sec. Soc.à 35%. Collect. Liste II. Laboratoires GRÜNENTHAL , rue de Villiers LEVALLOIS PERRET CEDEX Le fichier utilisé pour vous communiquer le présent document est déclaré auprès de la CNIL. En application des dispositions des articles 32 et suivants de la loi «Informatique et libertés» du 6 août 2004, vous disposez d un droit d accès et de rectification auprès du Pharmacien responsable de notre Laboratoire. Selon les principes édictés par la Charte de la visite médicale, pour toute question ou observation sur le déroulement de la visite, merci de contacter l'information Scientifique et Médicale des Laboratoires Grünenthal
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Version 3.0, 04/2013
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Version 3.0, 04/2013 1 NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR ALEVE 220 mg, comprimés pelliculés Naproxène sodique Veuillez lire attentivement cette notice avant de
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailE04a - Héparines de bas poids moléculaire
E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique
Plus en détailUTILISATION ET PRECAUTION D EMPLOI DES AINS Professeur Philippe BERTIN, Chef de Service de Rhumatologie, CHU Limoges Octobre 2009
UTILISATION ET PRECAUTION D EMPLOI DES AINS Professeur Philippe BERTIN, Chef de Service de Rhumatologie, CHU Limoges Octobre 2009 Objectifs pédagogiques : 1 ) Connaître les mécanismes d action des AINS
Plus en détailNurofen 400 Fastcaps, 400 mg capsules (molles) Ibuprofène
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Nurofen 400 Fastcaps, 400 mg capsules (molles) Ibuprofène Veuillez lire attentivement cette notice avant de prendre ce médicament. Elle contient des informations importantes
Plus en détail1 - Que faut-il retenir sur les anticoagulants oraux?
La nouvelle convention pharmaceutique offre l opportunité aux pharmaciens d accompagner les patients traités par anticoagulants oraux au long cours afin de prévenir les risques iatrogéniques. Les anticoagulants
Plus en détailBien vous soigner. avec des médicaments disponibles sans ordonnance. juin 2008. Douleur. de l adulte
Bien vous soigner avec des médicaments disponibles sans ordonnance juin 2008 Douleur de l adulte Douleur de l adulte Ce qu il faut savoir La douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable,
Plus en détailRÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT. Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl par comprimé enrobé.
RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT 1. Dé nomination du mé dicame nt Bisolax 5 mg comprimés enrobés. 2. Composition qualitative e t quantitative Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl
Plus en détailAnti-Inflammatoires Non stéroïdiens
Pharmacologie Clinique des Anti-Inflammatoires Non stéroïdiens Effets indésirables Aude FERRAN Plan Toxicité digestive Ulcères» Physiopathologie : effets locaux et systémiques» Cas du cheval Augmentation
Plus en détailAlgorithme d utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS)
Algorithme d utilisation des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) Édition Conseil du médicament www.cdm.gouv.qc.ca Coordination Anne Fortin, pharmacienne Élaboration Conseil du médicament Fédération
Plus en détailCarnet de suivi Lithium
Carnet de suivi Lithium Brochure d information sur les troubles bipolaires et leur traitement par lithium Nom : Ce carnet est important Si vous le trouvez, merci de le faire parvenir à l adresse cidessous
Plus en détailPlan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or
Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 10 mai 2006
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 mai 2006 METOJECT 10 mg/ml, solution injectable en seringue pré-remplie 1 seringue pré-remplie en verre de 0,75 ml avec aiguille : 371 754-3 1 seringue pré- remplie
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailLivret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation
Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT
Plus en détailRecommandations après le retrait des associations dextropropoxyphène/paracétamol et dextropropoxyphène/paracétamol/caféine
Groupe Référent Médecins Généralistes de l Afssaps Mise au point Prise en charge des douleurs de l adulte modérées à intenses Recommandations après le retrait des associations dextropropoxyphène/paracétamol
Plus en détailAssurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012
Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab
Plus en détailNOTICE : INFORMATIONS DU PATIENT. Keforal 500 mg comprimés pelliculés. Céfalexine monohydratée
NOTICE : INFORMATIONS DU PATIENT Keforal 500 mg comprimés pelliculés Céfalexine monohydratée Veuillez lire attentivement cette notice avant de prendre ce médicament car elle contient des informations importantes
Plus en détailPLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE
PLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE CHEFIRAT B. Les intoxications aiguës constituent un réel problème de santé publique dont l impact reste encore à évaluer. Le nombre total
Plus en détailObservation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas
Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie
Plus en détailLES EFFETS INDESIRABLES DES MEDICAMENTS
LES EFFETS INDESIRABLES DES MEDICAMENTS Cours Francophone Inter pays de Pharmacovigilance Centre Antipoison et de pharmacovigilance du Maroc Dr R. Benkirane TERMINOLOGIE Plusieurs termes sont préconisés
Plus en détailMaternité et activités sportives
Maternité et activités sportives L obstétricien est de plus en plus souvent interrogé sur les avantages et les risques de maintenir ou de débuter une APS ou de loisir pendant la grossesse. Transformations
Plus en détailHTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détailKARDEGIC 75 mg, poudre pour solution buvable en sachet-dose Acétylsalicylate de DL-Lysine
KARDEGIC 75 mg, poudre pour solution buvable en sachet-dose Acétylsalicylate de DL-Lysine Veuillez lire attentivement cette notice avant d'utiliser ce médicament. Elle contient des informations importantes
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailFibrillation atriale chez le sujet âgé
Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque
Plus en détailFiche Produit Profils Médicalisés PHMEV
Guide méthodologique développé par l équipe de projets ci-dessous : Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV EQUIPE PROJET Chef de projet : Maryline CHARRA, Pharmacien Conseil Responsable de la mission
Plus en détailHVC CHRONIQUE MOYENS THERAPEUTIQUES ET BILAN PRE-THERAPEUTIQUE CHAKIB MARRAKCHI. http://www.infectiologie.org.tn
HVC CHRONIQUE MOYENS THERAPEUTIQUES ET BILAN PRE-THERAPEUTIQUE CHAKIB MARRAKCHI LES MOYENS THERAPEUTIQUES Les interférons La ribavirine Les nouveaux produits INTERFERONS 1957: activité antivirale Interférence
Plus en détailTRAITEMENT DE LA POLYARTHRITE RHUMATOIDE
TRAITEMENT DE LA POLYARTHRITE RHUMATOIDE RÉVOLUTION DES PRINCIPES DE TRAITEMENT Mise à disposition de nouvelles molécules Traitements de fond classiques ( Méthotrexate, Salazopyrine ) : plus efficaces
Plus en détailANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR
Dénomination du médicament ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR LYSOPAÏNE MAUX DE GORGE AMBROXOL CITRON 20 mg SANS SUCRE, pastille édulcorée au sorbitol et au sucralose. Chlorhydrate d ambroxol
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailFrench Version. Aciclovir Labatec 250 mg (For Intravenous Use Only) 02/2010. Product Information Leaflet for Aciclovir Labatec i.v.
Product Information Leaflet for Aciclovir Labatec i.v. 250 mg French Version Aciclovir Labatec i.v. Composition Principe actif: Aciclovirum ut Acicloviri natricum (Praeparatio cryodesiccata). Excipients:
Plus en détailEn considérant que l effet anticoagulant du dabigatran débute dans les 2 heures suivant la prise du médicament :
Informations sur le dabigatran (Pradaxa md ) Préambule : Ce document présente plusieurs informations utiles pour les prescripteurs afin de les aider lors de l utilisation du dabigatran (Pradaxa md ). L
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Asaflow 80 mg, comprimés gastro-résistants Asaflow 160 mg, comprimés gastro-résistants. Acide acétylsalicylique
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Asaflow 80 mg, comprimés gastro-résistants Asaflow 160 mg, comprimés gastro-résistants Acide acétylsalicylique Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser
Plus en détailNOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR
NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR LANSOPRAZOLE TEVA 15 mg GÉLULES GASTRO-RÉSISTANTES LANSOPRAZOLE TEVA 30 mg GÉLULES GASTRO-RÉSISTANTES lansoprazole Veuillez lire attentivement cette notice avant de
Plus en détailRésumé des Caractéristiques du Produit 1. DENOMINATION DU MEDICAMENT PARONAL 2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE
Résumé des Caractéristiques du Produit 1. DENOMINATION DU MEDICAMENT PARONAL 2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE Par fiole: L - asparaginase 10.000 U.I. Pour les excipients, cfr section 6.1. 3.
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Bisolax 5 mg comprimés enrobés Bisacodyl
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Bisolax 5 mg comprimés enrobés Bisacodyl Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament. Elle contient des informations importante s pour
Plus en détailE03 - Héparines non fractionnées (HNF)
E03-1 E03 - Héparines non fractionnées (HNF) Les héparines sont des anticoagulants agissant par voie parentérale. 1. Modalités d u tilisation Mode d action : l héparine est un cofacteur de l antithrombine
Plus en détailLA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD
LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD Service de Pneumologie Hôpital Beauregard - THIONVILLE 1 Bilan initial Objectifs Bilan de base Traitement pharmacologique Autres traitements pharmacologiques Autres
Plus en détailNotice : Informations de l utilisateur. Pantomed 20 mg comprimés gastro-résistants. Pantoprazole
Notice : Informations de l utilisateur Pantomed 20 mg comprimés gastro-résistants Pantoprazole Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament car elle contient des informations
Plus en détailRELPAX. hydrobromure d élétriptan
RELPAX hydrobromure d élétriptan * Pharmacocinétique * Toxicologie * Formulation galénique * Essais cliniques * Conclusion * Pharmacocinétique * Toxicologie * Formulation galénique * Essais cliniques *
Plus en détailGrossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours
Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailPrincipales complications de la grossesse Hypertension artérielle gravidique Item 17 - Module 2
Objectifs : Principales complications de la grossesse Hypertension artérielle gravidique Item 17 - Module 2 Diagnostiquer et connaître les principes de prévention et de prise en charge de l hypertension
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailNOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Dulcolax bisacodyl 5 mg comprimés enrobés (bisacodyl)
NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR Dulcolax bisacodyl 5 mg comprimés enrobés (bisacodyl) Veuillez lire attentivement cette notice avant de prendre ce médicament. Elle contient des informations importantes
Plus en détailLe diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers
Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers Les spondylarthopathies 0.2% de la population en France Arthrites Réactionnelles rares S. Ankylosante
Plus en détailXARELTO (RIVAROXABAN) 2,5 MG - 15 MG - 20 MG, COMPRIMÉS PELLICULÉS GUIDE DE PRESCRIPTION
Les autorités de santé de l Union Européenne ont assorti la mise sur le marché du médicament Xarelto 2,5 mg; 15 mg et 20 mg de certaines conditions. Le plan obligatoire de minimisation des risques en Belgique
Plus en détailAtelier N 2. Consultation de patientes porteuses d une maladie générale
Atelier N 2 Consultation de patientes porteuses d une maladie générale Contre indica,ons à la grossesse Hypertension artérielle pulmonaire >30mmHg Maladie de Marfan (dilatation aortique>4 cm) Rétrécissement
Plus en détailS o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique
Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3
Plus en détailOrientation diagnostique devant une éosinophilie 1
Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Introduction L hyperéosinophilie est définie par la présence de polynucléaires éosinophiles circulants à plus de 0,5 G/l (500/µl) (quel que soit leur
Plus en détailPoint d information Avril 2012. Les nouveaux anticoagulants oraux (dabigatran et rivaroxaban) dans la fibrillation auriculaire : ce qu il faut savoir
Point d information Avril 2012 Les nouveaux anticoagulants oraux (dabigatran et rivaroxaban) dans la fibrillation auriculaire : ce qu il faut savoir Le dabigatran (PRADAXA), inhibiteur direct de la thrombine,
Plus en détailNOTICE. PANTOPRAZOLE MYLAN CONSEIL 20 mg, comprimé gastro résistant
NOTICE ANSM Mis à jour le : 05/09/2014 Dénomination du médicament Encadré PANTOPRAZOLE MYLAN CONSEIL 20 mg, comprimé gastro résistant Veuillez lire attentivement cette notice avant de prendre ce médicament.
Plus en détailDossier d information sur les bêtabloquants
Dossier d information sur les bêtabloquants Septembre 2014 I. Rappel sur les récepteurs bêta-adrénergiques Il y a actuellement 3 sortes de récepteurs bêta-adrénergiques connus: - Les récepteurs 1 qui sont
Plus en détailPharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux
Pharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux Apixaban, Dabigatran, Rivaroxaban Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046 et CIC 9301 INSERM-CHRU, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailLes anticoagulants. PM Garcia Sam Hamati. sofomec 2008
Les anticoagulants PM Garcia Sam Hamati sofomec 2008 1 Les anticoagulants sofomec 2008 point de vue HAS AVK = 13% des hospitalisations pour accidents iatrogènes 17 000 hospitalisations / an /France pas
Plus en détailHÉPARINES DE BAS POIDS MOLÉCULAIRE
AGENCE FRANÇAISE de SÉCURITÉ SANITAIRE des PRODUITS de SANTÉ SCHÉMA COMMUN HÉPARINES DE BAS POIDS MOLÉCULAIRE Information destinée aux professionnels de santé Texte de référence utilisé pour la rédaction
Plus en détailNOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Bisolax 5 mg comprimés enrobés. Bisacodyl
NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR Bisolax 5 mg comprimés enrobés Bisacodyl Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament car elle contient des informations importantes pour
Plus en détailProfesseur Diane GODIN-RIBUOT
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 5 : Mesure de la fonction rénale : la clairance rénale Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailMédicaments en vente libre : Considérations pour la pratique de la thérapie physique au Canada
Médicaments en vente libre : Considérations pour la pratique de la thérapie physique au Canada Contexte L utilisation de médicaments par un professionnel de la santé n étant pas médecin évolue et dépend
Plus en détailInformations sur le rivaroxaban (Xarelto md ) et l apixaban (Eliquis md )
Informations sur le rivaroxaban (Xarelto md ) et l apixaban (Eliquis md ) Préambule Ce document présente plusieurs informations utiles pour les prescripteurs afin de les aider lors de l utilisation du
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailAvis 20 novembre 2013
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 20 novembre 2013 COVERSYL 2,5 mg, comprimé pelliculé B/30 (CIP : 34009 366 587 5 2) B/90 (CIP : 34009 366 590 6 3) COVERSYL 5 mg, comprimé pelliculé sécable B/30 (CIP
Plus en détailDIAMICRON MR (Gliclazide) Monographie de produit Page 1 de 5
PARTIE III : RENSEIGNEMENTS POUR LE CONSOMMATEUR Pr DIAMICRON MR Gliclazide Comprimés à libération modifiée de 30 mg Comprimés sécables à libération modifiée de 60 mg Le présent dépliant constitue la troisième
Plus en détailNouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques
Nouveaux anticoagulants oraux : aspects pratiques Christelle MARQUIE CHRU de Lille Clinique de Cardiologie L i l l e 2 Université du Droit et de la Santé Les NOAG: QCM 1. ont les mêmes indications que
Plus en détailLa maladie de Still de l adulte
La maladie de Still de l adulte Syndrome de Wissler-Fanconi La maladie Le diagnostic Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur Cette fiche est destinée
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 18 novembre 2009
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 18 novembre 2009 LEDERTREXATE 5 mg, solution injectable B/1 ampoule de 2 ml (Code CIP : 315 012-5) LEDERTREXATE 25 mg, solution injectable B/1 ampoule de 1 ml (Code CIP
Plus en détailLa maladie de Berger Néphropathie à IgA
Néphropathie à IgA La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer
Plus en détailORDONNANCE COLLECTIVE
ORDONNANCE COLLECTIVE Assurer le suivi des personnes recevant un Page 1 de 12 O.C. 6.5 Professionnels visés : Les infirmières qui possèdent la formation, les connaissances et les compétences nécessaires,
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailLe traitement de l'insuffisance cardiaque chez le chien
Folia veterinaria Le traitement de l'insuffisance cardiaque chez le chien Les principaux traitements à instaurer chez le chien insuffisant cardiaque sont passés en revue en insistant sur les critères de
Plus en détailProgramme de prise en charge et de suivi en anticoagulothérapie
Programme de prise en charge et de suivi en anticoagulothérapie (PEACE) Médecins réviseurs : Dr Steve Brulotte, cardiologue, CSSSAD-Lévis Dr Daniel D Amours, cardiologue, CHU Dr Guy Boucher, cardiologue,
Plus en détailPoint d Information. Le PRAC a recommandé que le RCP soit modifié afin d inclure les informations suivantes:
Point d Information Médicaments à base d ivabradine, de codéine, médicaments contenant du diméthyl fumarate, du mycophénolate mofétil/acide mycophénolique, de l octocog alpha, spécialité Eligard (contenant
Plus en détailHumira Solution pour injection dans un injecteur prérempli
Humira Solution pour injection dans un injecteur prérempli ABBOTT OEMéd Qu est-ce que Humira et quand doit-il être utilisé? Humira est un médicament qui limite le processus inflammatoire dans le cadre
Plus en détailNOTICE. DEBRICALM 100 mg, comprimé pelliculé Maléate de trimébutine
NOTICE ANSM Mis à jour le : 08/06/2010 Dénomination du médicament DEBRICALM 100 mg, comprimé pelliculé Maléate de trimébutine Encadré Veuillez lire attentivement cette notice avant de prendre ce médicament.
Plus en détailTraiter la goutte sans être débordé
Fédération des médecins omnipraticiens du Québec Traiter la goutte sans être débordé Hélène Demers et Michel Lapierre Vous voulez traiter et prévenir la goutte? Lisez ce qui suit! Les différentes phases
Plus en détailANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détailNOTICE. ANSM - Mis à jour le : 25/03/2014. Dénomination du médicament. PANTOPRAZOLE RATIOPHARM CONSEIL 20 mg, comprimé gastro-résistant Pantoprazole
NOTICE ANSM - Mis à jour le : 25/03/2014 Dénomination du médicament PANTOPRAZOLE RATIOPHARM CONSEIL 20 mg, comprimé gastro-résistant Pantoprazole Encadré Veuillez lire attentivement cette notice avant
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailDemandeur Nom (de fantaisie) Dosage Forme pharmaceutique. Lisonorm* 1 10 mg/5 mg comprimés par voie orale
ANNEXE I LISTE DES DENOMINATIONS, FORME PHARMACEUTIQUE, DOSAGE DU MEDICAMENT, MODE D ADMINISTRATION, DEMANDEURS / TITULAIRES DE L AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE DANS LES ETATS MEMBRES 1 Etat membre
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailL ORDONNANCE CHEZ L IRC: PIEGES ET BALISES. Dr Parotte M-C Néphrologue CHPLT Verviers 27 Avril 2013
L ORDONNANCE CHEZ L IRC: PIEGES ET BALISES Dr Parotte M-C Néphrologue CHPLT Verviers 27 Avril 2013 => QUELLE EST LA FONCTION RENALE DE MON PATIENT? MDRD: COCKROFT: Clairance créatinine ml/min = [140-âge
Plus en détailInstitut WanXiang Historique de santé du patient
Institut WanXiang Historique de santé du patient Merci de remplir ce questionnaire aussi complètement que possible et d indiquer les zones d incompréhension avec un point d'interrogation. En plus de toutes
Plus en détailInsuffisance rénale. Définition. o Insuffisance rénale aiguë
Insuffisance rénale Définition o Insuffisance rénale aiguë Se traduit par un brusque arrêt de la filtration des déchets du sang et de la production d urine. Associée à un déséquilibre de l organisme en
Plus en détailHémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX
Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants Docteur Christine BOITEUX Théorie Endocardites et anticoagulation POUR Thromboses Emboles septiques CONTRE Favorise emboles septiques et diffusion
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailINSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES»
INSUFFISANCE CARDIAQUE «AU FIL DES ANNEES» v On ne guérit pas ( en général ) d une insuffisance cardiaque, mais on peut la stabiliser longtemps, très longtemps à condition v Le patient insuffisant cardiaque
Plus en détailCommuniqué. Abbott présente à Santé Canada une demande d homologation d HUMIRA pour le traitement du psoriasis POUR PUBLICATION IMMÉDIATE
POUR PUBLICATION IMMÉDIATE Communiqué Abbott présente à Santé Canada une demande d homologation d HUMIRA pour le traitement du psoriasis Media: Sylvie Légaré (514) 832-7268 Abbott Gabrielle Collu 514)
Plus en détailSYNOPSIS INFORMATIONS GÉNÉRALES
Evaluation de l utilisation d un anticoagulant anti-xa direct oral, Apixaban, dans la prévention de la maladie thromboembolique veineuse chez les patients traités par IMiDs au cours du myélome : étude
Plus en détailRecommandation Pour La Pratique Clinique
Recommandation Pour La Pratique Clinique Prise en charge diagnostique et thérapeutique de la migraine chez l adulte ( et chez l enfant) : aspects cliniques (et économiques) Octobre 2002 1 La migraine de
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux : quelles interactions médicamenteuses?
Les nouveaux anticoagulants oraux : quelles interactions médicamenteuses? Dr Stéphanie Chhun, Pharmacologue (Hôpital Universitaire Necker Enfants-Malades) Pr Stéphane Mouly, Interniste (Hôpital Lariboisière)
Plus en détail