Devenir des anoxies sévères chez le nouveau-né à terme. Jean-Michel Roué Réanimation néonatale - CHRU de Brest
|
|
- Catherine Gobeil
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Devenir des anoxies sévères chez le nouveau-né à terme Jean-Michel Roué Réanimation néonatale - CHRU de Brest
2 Asphyxie périnatale - Définition - Anamnèse obstétricale: HRP, compression funiculaire, rupture utérine, dystocie sévère, dysfonction placentaire, hémorragie fœtale Avec altération brusque du RCF Apgar restant bas (<4 à 5mn ou plus) Acidose métabolique (cordon ou H1: ph <7, BD>12mmoles/l) Zupan-Simunek 2010
3 Asphyxie périnatale - Physiopathologie - D après C.Alexandre,T.Pennaforte, A Huygue, JP Courcol. Lille 2010
4 Asphyxie périnatale - Conséquences néonatales - Asphyxie périnatale 20 %0 naissances Encéphalopathie anoxo-ischémique 1-2 %0 23 millions de décès/an 20% des IMC à terme Ahearne CE 2016, Zupan-Simunek 2010
5 Asphyxie périnatale - Conséquences néonatales - Avant l ère de l hypothermie Décès 24-33% EAI modérée 10%, EAI sévère 60% Séquelles neurodévelopementales 30-85% Défaillance multiviscérale 84% Convulsions 15% Ahearne CE 2016, Gluckman 2005, Shankaran 2008, Zupan-Simunek 2010
6 Hypothermie - Physiopathologie - Hypothermie thérapeutique D après C.Alexandre,T.Pennaforte, A Huygue, JP Courcol. Lille 2010
7 Résultats hypothermie Hypothermie Contrôle Décès -Shankara % 37 % RR Azzopardi % 27 % RR 0.86 Séquelles sévères - Azzopardi % 26 % RR 0.68 Survie sans séquelles - Azzopardi % 28 % RR 0.67
8 Résultats Hypothermie versus Soins standards Systematic Review n = 1214 Décès ou séquelles majeures à 18 mois RR 0,76 (IC 95% 0,69-0,84) Décès RR 0,75 (IC 95% 0,63-0,88) Tagin MA 2012
9 Résultats Hypothermie versus Soins standards Survivants à 18 mois: Incapacités majeures: 0,68 (IC 95% 0,56-0,83) IMC 0,62 (IC 95 % 0,49-0,88) Retard de développement 0,66 (IC 95% 0,52-0,82) Cécité 0,56 (IC 95% 0,33-0,94) Surdité : pas de différence Tagin MA 2012
10 Résultats Hypothermie versus Soins standards Méta-Analyse Cochrane nouveau-nés à terme Décès RR 0,75 (CI95% 0,64-0,88), nnt 11 Séquelles RR 0,77 (0,63-0,94), nnt 8 Décès & séquelles sévères RR 0,75 (CI 95% 0,68-0,83), nnt 7 Jacobs 2013
11 Résultats Hypothermie Hypothermie: amélioration survie et pronostic neurologique dans EAI modérées et sévères 1 survie sans séquelles pour 7 enfants traités Années : Standard de soins
12 Devenir à long terme (âge scolaire) Essai randomisé: Hypothermie versus soins standards 325 nouveau-nés, 277 enfants évalués à 6-7 ans Survie sans séquelles neurologiques 45 % versus 28 % (RR 1,60 ( ) QI > 85 52% versus 39% (RR 1,31, p 0.04) IMC 21% vs 36% (p 0.03) Séquelles modérées à sévères 22 % vs 37 % (p 0.03) Azzopardi D N Engl J Med 2014
13 Critères pronostiques initiaux aeeg (<7j): Se 0,93 Sp 0,9 EEG (<7j): Se 0,92 Sp 0,83 IRM de diffusion (J4-J8): Sp 0,89 IRM T1,T2 (J4-J8): Se 0,98 PEV Se 0,9 Sp 0,92 ETF: faible Sp Examen clinique: faible Sp Van Laerhoven 2013
14 Indications de l hypothermie en pratique A. naissance dans un contexte d asphyxie périnatale B. AG 36 SA C. PN > 1800 g D. âge post-natal H6
15 Indications de l hypothermie en pratique E. état à la naissance : au moins 1 des critères suivants : PH 7ou BD 16mmol/l ou lactates 11 mmol/l (H0-H1) OU : Apgar 5à 10min de vie OUnécessité d une réanimation ventilatoire à la naissancepoursuivie à 10min devie
16 Indications de l hypothermie en pratique F. Signes d Encéphalopathie Anoxo-Ischémique modérée à sévère: Si pas d aeeg ou EEG standard interprétés avant l hypothermie => 3 critères cliniques : altération de la conscience (léthargie=réponse aux stimulations réduites, stupeur, coma=réponse aux stimulations absente), ET 2 items parmi les 6répertoriés :
17 Score de Sarnat
18 Indications de l hypothermie en pratique si possible, aeeg ou EEG spécificité des signes neuro d EAI surtout si examen neurologique «limite» ou enfant sédaté avant évaluation Tracé de fond (amplitude), convulsions
19 Hypothermie en pratique Avant H6 T cible 33,5 C Pendant 72h
20 Transfert vers niveau 3 Indication formelle: Hypothermie d emblée Indication limite: Réévaluation clinico-biologique H2 Objectif T (pas de bonnet, éteindre couveuse, surveillance sonde thermique+++) Eviter hypo/eroxie (SpO2), hypocapnie, hypoglycémie, hypota, stimulations nociceptives Ne pas extuber si enfant intubé
21 Arrivée en réanimation Vérification critères d inclusion EEG si possible ou aeeg ETF (hémorragie, malformations) Bilan biologique (défaillance multiviscérale) Hypothermie 33,5 pendant 72h Sonde thermique rectale Sonde thermique cutanée
22 Devenir des Encéphalopathies Anoxo-Ischémiques - CHRU de Brest - Analyse rétrospective sur 5 ans: dossier, «registre» Admis au CHRU de Brest ( inclus) n = 42 n = 7-10 / an Maternité d origine Niveau 1 = 10% Niveau 2 = 76% Niveau 3 = 14% Outborn 86% (n = 36/42)
23 Devenir des Encéphalopathies Anoxo-Ischémiques - CHRU de Brest - Sexe M =22 / F = 20 Terme 39,9 SA (±1,3) PN 3233 g (±666) Apgar 1,4 (±1,6) à 1 Min 3,1 (± 2,3) à 5 Min
24 Devenir des Encéphalopathies Anoxo-Ischémiques - CHRU de Brest - Contexte obstétrical Dystocie mécanique Compression funiculaire Cause Inconnue HRP Rupture Utérine Inhalation Méconiale
25 Devenir des Encéphalopathies Anoxo-Ischémiques - CHRU de Brest - Sévérité clinique EAI Pas d EAI n = 2 ( 5%) EAI modérée n = 31 (74%) EAI sévère n = 9 (21%) Critères biologiques (H0-H2) Lactates 12,1 (±5,6) ph 7,1 (±0,2) BE 13,3 (±8,4)
26 Devenir des Encéphalopathies Anoxo-Ischémiques - CHRU de Brest - Hypothermie thérapeutique n = 38/42 (90%) Hypothermie non réalisée Délai > 6h: n = 2 Pas d indication: n = 1 Pas d évaluation de l indication: n = 1
27 Devenir des Encéphalopathies Anoxo-Ischémiques - CHRU de Brest - Complications
28 Devenir des Encéphalopathies Anoxo-Ischémiques - CHRU de Brest - Décès n = 10/42 (23,8%) Décès et LATA n = 8 (80%) Survie n = 32/42 (76,2%) Evaluation Neurologique à la Sortie (Amiel Tison) Normale 16/32 (50%) Altéré 15/32 (47%) Très altéré 1/32 ( 3%)
29 Devenir des Encéphalopathies Anoxo-Ischémiques - CHRU de Brest - IRM cérébrale à la sortie (32 survivants) Non faite n = 8 (25%) examen neuro normal n = 6/8 (75%) Normale n = 11 (34%) examen neuro normal n = 7/11 (64%) Anormale (NGC, CSC) n = 13 (41%) examen neuro normal n = 3/13 (23%)
30 Devenir des Encéphalopathies Anoxo-Ischémiques - CHRU de Brest - Evaluation Neurodéveloppementale à 2 ans Ensemble des patients 42 (26 > 2 ans) Décès n = 5/26 (19%) Pas de séquelles n = 10/26 (38%) Séquelles mineures à modérées n = 5/26(19%) Séquelles majeures n = 3 (12%) Perdus de vue n = 3 (12%)
31 Devenir des Encéphalopathies Anoxo-Ischémiques - CHRU de Brest - Evaluation Neurodéveloppementale à 2 ans 32 survivants (20 > 2 ans) Pas de séquelles n = 10/20 (50%) Séquelles mineures à modérées n = 4 (20%) Séquelles majeures n = 3 (15%) Perdus de vue n = 3 (15%)
32 Devenir des Encéphalopathies Anoxo-Ischémiques - CHRU de Brest - Survie sans séquelles à 2 ans Examen neuro normal à la sortie: 100% IRM normale à la sortie: 75% IRM anormale à la sortie: 22%
33 Devenir des EAI - CHRU de Brest - Hypothermie Contrôle Décès -Shankara % 37 % RR Azzopardi % 27 % RR Brest % Séquelles sévères M Azzopardi % 26 % RR Brest 12 % Survie sans séquelles à M Azzopardi % 28 % RR Brest 50 %
34 PHRC national LyTONEPAL LONG TERM OUTCOME OF NEONATAL HYPOXIC ISCHEMIC ENCEPHALOPATHY Constats Nécessité de préciser la prévalence de l EAI en France Modifications importantes des pratiques neuroprotection par hypothermie Autres ttt: EPO Réanimation en salle de naissance: air vs O2 aeeg / séquences de diffusion en IRM Devenir tardif des enfants traités par : une vrai question Pr Debillon, CHU Grenoble
35 PHRC national Lytonépal Pr Debillon, CHU Grenoble Etude observationnelle 09/2015: cohorte nationale, en population Avec un suivi prolongé des enfants (3ans) Objectif principal: Déterminer les facteurs prédictifs du devenir défavorable à 3 ans Objectifs secondaires: Décrire les pratiques de neuroprotection Obtenir des données épidémiologiques périnatales Identifier les marqueurs ultra précoces du pronostic (biomarqueurs, aeeg, IRM)
36 Encéphalopathie Anoxo-Ischémique - Messages clés - Taux de mortalité élevé: 25% Séquelles fréquentes: 35% des survivants Standard de soins = hypothermie Diminution des risques de 25%
37 Encéphalopathie Anoxo-Ischémique - Messages clés - Taux élevé d outborn: Collaboration importante Niveau 1-2/Samu/Niveau 3 Perdus de vue, manque de données au long terme Cohorte nationale Lytonépal Étude des facteurs prédictifs
Laetitia SELLAM. Mémoire pour l obtention du DES de pédiatrie. CHU Clermont Ferrand. 9 octobre 2009
Devenir à court terme des prématurés nés entre 24 SA et 26 SA: l expérience Clermontoise Mémoire pour l obtention du DES de pédiatrie 9 octobre 2009 Laetitia SELLAM CHU Clermont Ferrand Introduction Amélioration
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailDon d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper
Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale
Plus en détailLA TRES GRANDE PREMATURITE:QUEL PRONOSTIC POUR L ENFANT? DELABY BEATRICE COURS DES ROUEN LE 9 MARS 2005
LA TRES GRANDE PREMATURITE:QUEL PRONOSTIC POUR L ENFANT? DELABY BEATRICE COURS DES ROUEN LE 9 MARS 2005 LA TRES GRANDE PREMATURITE DEFINITION - La très grande prématurité se définit comme une naissance
Plus en détailFondation PremUp. Mieux naître pour mieux vivre
Fondation PremUp Mieux naître pour mieux vivre Une fondation de coopération scientifique initiée par les pouvoirs publics en 2007 6 membres fondateurs : L Assistance Publique des Hôpitaux de Paris, l Inserm,
Plus en détailActualité sur la prise en charge de l arrêt cardiaque
Actualité sur la prise en charge de l arrêt cardiaque 24 ème Congrès de la Coordination des Infirmiers Anesthésistes et de Réanimation de Caen et sa Région Dr Buléon Clément Pôle Réanimation-Anesthésie-SAMU,
Plus en détailLundis de la Santé - Brest 12 Décembre 2005. Tabac et Grossesse M. COLLET
Lundis de la Santé - Brest 12 Décembre 2005 Tabac et Grossesse M. COLLET Tabac et grossesse Problème majeur de santé publique 25 à 33 % des femmes fument pendant la grossesse Nombreuses conséquences obstétricales
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailTROUBLES COGNITIFS DE L ANCIEN PRÉMATURÉ
8 ÈME JOURNÉE RÉGIONALE DES RÉSEAUX DE PÉRINATALITÉ DE L ILE DE FRANCE 17 OCTOBRE 2013 TROUBLES COGNITIFS DE L ANCIEN PRÉMATURÉ DR PATRICIA DWORZAK PÉDIATRE, MEMBRE DU RÉSEAU PSOF RESPONSABLE DE L UNITÉ
Plus en détailRéanimation du nouveau-né en salle de naissance : quelles innovations techniques?
Réanimation du nouveau-né en salle de naissance : quelles innovations techniques? Résumé : De nouvelles recommandations internationales concernant la salle de naissance sont parues fin 2010. La priorité
Plus en détailObjectifs et Modalités. Présentation : Dr M. Hours, INRETS
Objectifs et Modalités Présentation : Dr M. Hours, INRETS Objectifs du projet Identifier les facteurs pronostiques de handicap et/ou de mauvaise réinsertion des victimes d accidents de la circulation Sous-
Plus en détailEVALUATION DES SIGNES VITAUX REANIMATION DU NOUVEAU-NE EN SALLE DE NAISSANCE
MINI-MODULE D AUTO-ENSEIGNEMENT TECHNICIENS SUPERIEURS EN OBSTETRIQUE 2 EME ANNEE EVALUATION DES SIGNES VITAUX REANIMATION DU NOUVEAU-NE EN SALLE DE NAISSANCE Introduction et intérêt du sujet Dr EMIRA
Plus en détailAccueil du nouveau-né en cas d accouchement extra-hospitalier
1 Accueil du nouveau-né en cas d accouchement extra-hospitalier Chabernaud JL. SMUR pédiatrique (SAMU 92), CHU Antoine-Béclère (AP-HP) 157, rue de la Porte de Trivaux 92141 Clamart. Tél : 01-45-37-46-14
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailObjectifs pédagogiques Lecture critique d article
Objectifs pédagogiques Lecture critique d article groupe V Evaluer les applications cliniques Evaluer les applications cliniques 21 ) Discuter la ou les décisions médicales auxquelles peuvent conduire
Plus en détailHTA et grossesse. Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice
HTA et grossesse Dr M. Saidi-Oliver chef de clinique-assistant CHU de Nice Définition HTA gravidique: Après 20 SA Systole> 140mmHg et/ou Diastole>90mmHg A 2 reprises séparées de plus de 6 heures Résolutive
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailLogiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique
Université d été E-Santé Castres-Mazamet 4, 5, 6 juillet 2012 «Des supports numériques au service de l éducation thérapeutique des patients» Logiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailQUALITÉ DE L APPRENTISSAGE DE L INTUBATION ORO-TRACHÉALE EN LABORATOIRE DE SIMULATION, SON INTÉRÊT POUR LES PATIENTS.
QUALITÉ DE L APPRENTISSAGE DE L INTUBATION ORO-TRACHÉALE EN LABORATOIRE DE SIMULATION, SON INTÉRÊT POUR LES PATIENTS. Mémoire de D.E.S.C. de Médecine d Urgence Olivier Vuillot Matériel et Méthode : Design
Plus en détailGrossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours
Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)
Plus en détailEvidence-based medicine en français
Evidence-based medicine en français MÉDECINE FACTUELLE (Office de la langue française) Médecine fondée sur des faits démontrés Médecine fondée sur des preuves Médecine fondée sur des données probantes
Plus en détailAspects juridiques de la transplantation hépatique. Pr. Ass. F. Ait boughima Médecin Légiste CHU Ibn Sina, Rabat
Aspects juridiques de la transplantation hépatique Pr. Ass. F. Ait boughima Médecin Légiste CHU Ibn Sina, Rabat CONTEXTE - La greffe, longtemps image expérimentale, est une thérapeutique éprouvée - Première
Plus en détailBienvenue aux Soins Intensifs Pédiatriques
SIP Août 2010 Route : 354 Bienvenue aux Soins Intensifs Pédiatriques Août 2010 1 Table des matières 1. Présentation du service p 3 2. Pathologies les plus courantes aux SIP. P 5 3. Objectifs de stage p
Plus en détailMIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC
MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR MES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 3 Vrai Faux Qu est-ce que l on
Plus en détailLes grandes études de télémédecine en France
Les grandes études de télémédecine en France Optimisation de la Surveillance ambulatoire des Insuffisants CArdiaques par Télécardiologie De Midi-Pyrénées au Sud de la France M Galinier, A Pathak Pôle Cardio-Vasculaire
Plus en détailInfection VIH et Grossesse Rédigée par : Laurichesse Hélène, C Jacomet
Procédure qualité : «VIH et grossesse» Page 1 sur 6 CHU de Clermont-Ferrand Service de Gynécologie-obstétrique Pôle Gynécologie-Obstétrique biologie de la reproduction Procédure médicale Infection VIH
Plus en détailMonitoring non invasif dans l état de choc
Monitoring non invasif dans l état de choc Congrès AER - Lyon 2013 Pr Carole SCHWEBEL Réanimation Médicale - CHU Grenoble Inserm 1039 Radiopharmaceutiques Biocliniques mon intervention ne présente aucun
Plus en détailELABORATION DU PLAN DE MONITORING ADAPTE POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE A PROMOTION INSTITUTIONNELLE
Référence HCL : Titre de l étude : ELABORATION DU PLAN DE MONITORING ADAPTE POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE A PROMOTION INSTITUTIONNELLE Investigateur Coordonnateur : Méthode. Définition du niveau de risque
Plus en détailBERTHIER E, CHRISTIANO M, PHILIPPE M O, IEHL J, TATARU N, DECAVEL P, VUILLIER F, ELISEEF A, MOULIN T. Introduction (1). Contexte de l étude
REPRODUCTIBILITE INTEROBSERVATEUR DU TEST «NIHSS» (National Institutes of Heath Stroke Scale) RÉALISÉ PAR VIDÉOCONFÉRENCE : EXPÉRIENCE DU RÉSEAU DES URGENCES NEUROLOGIQUES (RUN) BERTHIER E, CHRISTIANO
Plus en détailEtat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC
1 Etat des lieux du prélèvement et de la greffe d organes, de tissus et de cellules MAROC Dr A. BOUDAK / Dr M.H Trabelssi Dir Hôpitaux et dessoins Ambulatoires/M. Santé 6ème colloque France Maghreb sur
Plus en détailQUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES?
QUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES? Cliquez pour modifier le style des sous titres du masque MARIE CHRISTINE MERSCH MASSEUR KINESITHERAPEUTE Service de Réadaptation
Plus en détailLa ventilation non invasive aux soins intensifs
La ventilation non invasive aux soins intensifs Martin Lessard MD Service de soins intensifs, CHA Division de soins intensifs adultes Université Laval 3 mars 2011 BiPAP (Bi-level Positive Airway Pressure)
Plus en détailFemmes enceintes ayant une complication au cours de leur grossesse : transferts en urgence entre les établissements de santé
RECOMMANDATION DE BONNE PRATIQUE Femmes enceintes ayant une complication au cours de leur grossesse : transferts en urgence entre Méthode «Recommandations pour la pratique clinique» RECOMMANDATIONS Novembre
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détail7- Les Antiépileptiques
7- Les Antiépileptiques 1 Définition L épilepsie est un trouble neurologique chronique caractérisé par la survenue périodique et imprévisible de crises convulsives dues à l émission de décharges électriques
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailEXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE
EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation
Plus en détailDécret n 2010-1229 du 19 octobre
Télémédecine et diabète : le plan d éducation personnalisé électronique para médical (epep) Lydie Canipel Colloque TIC Santé 2011, 8 et 9 février 2011, Paris Décret n 2010-1229 du 19 octobre 2010 relatif
Plus en détailLe monitoring réinventé
Document destiné aux professionnels de la santé Moniteur de surveillance série CSM-1901 Le monitoring réinventé * L'écran Web est une image de composition Nihon Kohden crée le moniteur du futur Optimisation
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailSuivi de la grossesse et orientation des femmes enceintes en fonction des situations à risque identifiées
Suivi de la grossesse et orientation des femmes enceintes en fonction des situations à risque identifiées Grossesse a priori «normale» Quelle prise en charge? Sécurité médicale RPC EBM Opinion des usagers
Plus en détailDocteur José LABARERE
UE7 - Santé Société Humanité Risques sanitaires Chapitre 3 : Epidémiologie étiologique Docteur José LABARERE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailNAVA pourquoi pas. Stéphane Delisle RRT, PhD, FCCM Mohamed Ait Si M Hamed, inh. BSc.
NAVA pourquoi pas Stéphane Delisle RRT, PhD, FCCM Mohamed Ait Si M Hamed, inh. BSc. 7e Symposium en thérapie respiratoire HSCM 1 décembre 2012 Le mode NAVA o Neurally Adjusted Ventilatory Assist Neuro-Asservissement
Plus en détailCas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier
Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan
Plus en détailL axe 5 du Cancéropole Nord Ouest
L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société
Plus en détailLE POINT TOX. N 7 - Juillet 2013. Bulletin du réseau de toxicovigilance de La Réunion L ÉVOLUTION TEMPORELLE DU NOMBRE D INTOXICATIONS
LE POINT TOX Bulletin du réseau de toxicovigilance de La Réunion N - Juillet 213 Dans ce bulletin d information, nous vous présentons l évolution temporelle du nombre d intoxications à la Réunion recensées
Plus en détailConsignes de remplissage - Grille de recueil - Thème DAN2
Généralisation 2014 d un recueil d indicateurs pour l amélioration de la qualité et de la sécurité des soins dans les établissements de santé de soins de courte durée Consignes de remplissage - Grille
Plus en détailIndications de la césarienne programmée à terme
Indications de la césarienne programmée à terme Janvier 2012 Quelles sont les indications de la césarienne programmée? Utérus cicatriciel Transmissions mère-enfant d infections maternelles Grossesse gémellaire
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailCONVULSIONS DE L ENFANT Item 190 JP. CARRIERE
CONVULSIONS DE L ENFANT Item 190 JP. CARRIERE Les crises convulsives sont les symptômes les plus fréquents en pratique neurologique pédiatrique. Ce terme a la même signification que «crise épileptique»
Plus en détailINSTITUT REGIONAL DE FORMATIONS SPECIALISEES EN SANTE HOUPHOUET BOIGNY INSTITUT DE FORMATION D INFIRMIERS PUERICULTEURS 416 chemin de la Madrague Ville 13314 MARSEILLE Cedex 15 Tél : 04 91 96 67 18 Réanimation
Plus en détailSoins Inrmiers aux brûlés
Soins Inrmiers aux brûlés Le 29/04/2009 1 Intro La gravité d'une brûlure dépend essentiellement de sa profondeur, de sa supercie de sa localisation et du ASA. Sa prise en charge doit être rapide pour limiter
Plus en détailStreptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions.
Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Exemple d une étude prospective sur la place d un test de détection rapide du SGB. HONORAT Raphaële 1, ASSOULINE Corinne 1,
Plus en détailLASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.
LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus
Plus en détailLes fistules obstétricales sont des communications anormales entre les voies urinaires ou digestives et l'appareil génital. ou d une manœuvre abortive
ROLE DE LA SAGE FEMME DANS LA PREVENTION, LE DIAGNOSTIC ET ORIENTATION DES FISTULES Présenté par Mme Atchoumi Annie Hortense Sage-femme DU épidémiologie-bordeaux CHU de Yaoundé Introduction Définition
Plus en détailOrganisation du suivi dans le cadre d un réseau
Organisation du suivi dans le cadre d un réseau Mandovi Rajguru Pédiatre Maternité Hôpital Bichat Claude Bernard Journée des pédiatres de maternité GENIF 04 Juin 2009 Introduction Constitution d un réseau
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailJ. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1)
J. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1) (1) Pôle d Imagerie, service de Radiologie, CHU Caen (2) Pôle Cardio-thoracique, service de Chirurgie
Plus en détailPsoriasis et travail dans le BTP. Pr E. Delaporte
Psoriasis et travail dans le BTP Pr E. Delaporte 30 Mai 2013 Janvier 2013 : File active de 335 malades traités (293) ou ayant été traités (42) par immunosupp./ modulateurs (MTX CyA biomédicaments) 214
Plus en détailProgramme de réhabilitation respiratoire
Programme de réhabilitation respiratoire Dr Jean-Marc Perruchini Service de Réhabilitation R respiratoire, Clinique de Médecine Physique Les Rosiers 45, Bd Henri Bazin, 21002 DIJON Cedex Mle Carine Lopez
Plus en détailAMIFORM PRÉLÈVEMENTS D ORGANES ET DE TISSUS. Docteur Renaud Gruat
AMIFORM PRÉLÈVEMENTS D ORGANES ET DE TISSUS Docteur Renaud Gruat Activité de greffe en France Origine des greffons Donneur Vivant Organes «doubles» Rein/ Foie/Pm Tissus Résidus op Peau/ os Cellules souches
Plus en détailSommeil, fatigue au volant et jeunes conducteurs
06 NOVEMBRE 2014 Sommeil, fatigue au volant et jeunes conducteurs Roger Godbout, Ph.D. Laboratoire et Clinique du sommeil, Hôpital Rivière-des-Prairies Département de psychiatrie, Université de Montréal
Plus en détailHématome rétro-placentaire ( HRP )
Hématome rétro-placentaire ( HRP ) L hématome rétroplacentaire (HRP) ou abruptio placentae correspond au décollement prématuré d un placenta normalement inséré (DPPNI). La lésion anatomique est formée
Plus en détailBanque de Sang Placentaire Ce qu on dit qui est possible! Ce qu on dit qui est faux!
Banque de Sang Placentaire Ce qu on dit qui est possible! Ce qu on dit qui est faux! Dr Marion Baudard Directeur Médical, Coordinateur des Sites de Collecte Banque de Sang Placentaire du CHRU de Montpellier
Plus en détailPLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE
PLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE CHEFIRAT B. Les intoxications aiguës constituent un réel problème de santé publique dont l impact reste encore à évaluer. Le nombre total
Plus en détailLes maladies vasculaires cérébrales
Les maladies vasculaires cérébrales Zlokovic et Apuzzo. Neurosurgery 1998; 43(4): 877-78 cité sur http://www.ohsu.edu/bbb/forprof_program.html Centre Mont-Royal, 5 juin 2014 Dr Yan Deschaintre Présentateur
Plus en détailNouvelles problématiques liées à l hypothermie thérapeutique après arrêt cardiaque
Réanimation (2009) 18, 223 238 MISE AU POINT Nouvelles problématiques liées à l hypothermie thérapeutique après arrêt cardiaque Rising questions related to therapeutic hypothermia after cardiac arrest
Plus en détailDéficit neurologique récent. Dr N. Landragin CCA Neuro
Déficit neurologique récent Dr N. Landragin CCA Neuro Question vague: couvre toute la neurologie... ou presque... comprendre une démarche diagnostique en neurologie...? Cas clinique n 1 Mlle M, 21 ans,
Plus en détailPLAN D ACTION 2012 2016 POUR ACCELER LA REDUCTION DE LA MORTALITE MATERNELLE ET NEONATALE
Royaume du Maroc Ministère de la Santé PLAN D ACTION 2012 2016 POUR ACCELER LA REDUCTION DE LA MORTALITE MATERNELLE ET NEONATALE Fin du Compte à rebours 2015 Avec l appui de Contexte En souscrivant aux
Plus en détailContrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques
Contrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques B. Dureuil, PG. Yavordios, A. Steib Collège Français des Anesthésistes Réanimateurs (Absence de conflits d intérêts sur le sujet)
Plus en détailÉVALUATION DE L INTÉRÊT DU DÉPISTAGE DE L INFECTION À CYTOMÉGALOVIRUS CHEZ LA FEMME ENCEINTE EN FRANCE
ÉVALUATION DE L INTÉRÊT DU DÉPISTAGE DE L INFECTION À CYTOMÉGALOVIRUS CHEZ LA FEMME ENCEINTE EN FRANCE Septembre 2004 Service évaluation technologique Service évaluation économique Septembre 2004 Évaluation
Plus en détailMaternité et activités sportives
Maternité et activités sportives L obstétricien est de plus en plus souvent interrogé sur les avantages et les risques de maintenir ou de débuter une APS ou de loisir pendant la grossesse. Transformations
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailListe des titres de formation autorisés par le CNOSF
Liste des titres de formation autorisés par le CNOSF (Mise à jour au 4 juin 2013) Attention : Conformément aux articles R.4127-339 et R.4127-340 du code de la santé publique, seuls les titres, diplômes
Plus en détailBULLETIN. Un bon départ avec STAN et Mosos. Table des matières. 2 Mosos <ebirth> est lancé à l hôpital Saint-Luc à Bruges
BULLETIN NOVEMBRE 2014 Un bon départ avec STAN et Mosos Beaucoup d hôpitaux sont déjà convaincus que STAN et Mosos sont indispensables pour garantir un bon départ dans la vie. Presque 93% des maternités
Plus en détailMédecine & enfance. avril 2007 page 3. 3]. L European Resuscitation Council a repris les recommandations de
VOLUME 27 AVRIL 2007 HORS SERIE ISSN 0291-0233 Prise en charge et réanimation du nouveau-né en salle de naissance. Synthèse, adaptation et commentaires pratiques des recommandations de l International
Plus en détailprise en charge paramédicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailprise en charge médicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailLe dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence
Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence On pose fréquemment le diagnostic de migraine sévère à l urgence. Bien que ce soit un diagnostic commun,
Plus en détailComplément à la circulaire DH/EO 2 n 2000-295 du 30 mai 2000 relative à l'hospitalisation à domicile
http://www.sante.gouv.fr/adm/dagpb/bo/2001/01-01/a0010017.htm Bulletin Officiel n 2001-1 Direction de l'hospitalisation et de l'organisation des soins Page 1 sur 6 Complément à la circulaire DH/EO 2 n
Plus en détailLes donneurs d organes potentiels ne se retrouvent pas seulement dans les grands centres de traumatologie!
Les donneurs d organes potentiels ne se retrouvent pas seulement dans les grands centres de traumatologie! Kathy Poulin Infirmière ressource au don d organes et de tissus 1 Taux et nombre de donneurs décédés
Plus en détailModule 2. De la conception à la naissance
Module 2. De la conception à la naissance ITEM 17. Principales complications de la grossesse Diagnostics différentiels d une hémorragie génitale Hématurie Rectorragie Diagnostics différentiels de l HTA
Plus en détailLa chirurgie dans la PC
La chirurgie dans la PC GF PENNECOT Marchant ou déambulant Grand handicapé Kinésith sithérapie Appareillage Médicaments Chirurgie neuro ortho LESION NEUROLGIQUE STABLE Spasticité Perte de la sélectivit
Plus en détailBases de données pour la recherche : quels enjeux et quel rôle pour les patients?
Bases de données pour la recherche : quels enjeux et quel rôle pour les patients? Paul Landais Université Montpellier 1 Responsable de la Banque Nationale de Données Maladies Rares (BNDMR) Co-coordonnateur
Plus en détail«Les lombalgies chroniques communes à la consultation de rhumatologie du CHU de Fès»
2006-2007 Premier Prix : «La voie d abord postérieure mini-invasive modifiée de la hanche» Dr. Chbani Idrissi Badr Deuxième Prix «Éradication de l helicobacter pylori: quelle trithérapie en première intention?»
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailPrise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères. Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D.
Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D. Introduction Incidence : 0,5 à 3 % Importance de la reconnaissance et d un traitement
Plus en détailLe sevrage de la trachéotomie
Le sevrage de la trachéotomie Journée de formation «infirmière» et «kinésithérapeute» SKR. Maison de la réanimation Paris 01 / 06 / 2012 Dr G.Beduneau Réanimation Médicale CHU ROUEN gaetan.beduneau@chu-rouen.fr
Plus en détailVous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à
Vous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à plat dos, inconscient Glasgow 3, à 20 mètres d une
Plus en détailIschémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détailTraitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant
Traitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant Pr Maryvonne Hourmant Service de Néphrologie-Immunologie clinique. CHU de Nantes Le constat Coût du traitement
Plus en détailLa Maladie Thrombo-Embolique Veineuse (MTEV) et sa prise en charge médicamenteuse
La Société de Pharmacie de Lyon, le 17 novembre 2011 Le risque thrombo-embolique : actualités thérapeutiques et sa prise en charge La Maladie Thrombo-Embolique Veineuse (MTEV) et sa prise en charge médicamenteuse
Plus en détailL infarctus veineux hémorragique (IVH) du nouveau-né, une pathologie mal connue. À propos de 19 patients.
L infarctus veineux hémorragique (IVH) du nouveau-né, une pathologie mal connue. À propos de 19 patients. Dr M. Lahutte, radiologie pédiatrique, hôpital Saint-Vincent-de-Paul, Paris Dr C. Bordarier, néonatalogie,
Plus en détailPrincipales complications de la grossesse Hypertension artérielle gravidique Item 17 - Module 2
Objectifs : Principales complications de la grossesse Hypertension artérielle gravidique Item 17 - Module 2 Diagnostiquer et connaître les principes de prévention et de prise en charge de l hypertension
Plus en détailLes définitions des saignements ACS/PCI
Les définitions des saignements ACS/PCI Les définitions classiques et leurs limites Les nouvelles définitions Des éléments pour de futures définitions François SCHIELE, CHU de BESANCON Définition «classique»,
Plus en détailA. ANDRO 1, C. MESTON 2, N. MORVAN 3
Chapitre 121 La ventilation non invasive (VNI) de l enfant A. ANDRO 1, C. MESTON 2, N. MORVAN 3 1. Définition La VNI se définit comme une technique destinée à augmenter la ventilation alvéolaire sans utiliser
Plus en détailRèglement des Etudes
Règlement des Etudes Il est toléré 3 jours d absence, pour raisons valables, sur les 12 jours de l enseignement. A partir de 4 le DIU ne pourra pas être validé. Il est nécessaire d obtenir la note minimale
Plus en détailService d Urologie - Hôpital de la Conception - APHM. 2. Service de Gynécologie Obstétrique - Hôpital de la Conception - APHM. 3
Efficacité de la stimulation transcutanée chronique du nerf tibial postérieur dans l hyperactivité vésicale de la femme atteinte de Maladie de Parkinson ou d Atrophie Multisystématisée A. Ohannessian 1,2,4,
Plus en détail