Liste d exercices IV
|
|
- Cécile Doré
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Université de Paris-Sud Orsay Année universitaire S2, M1 Géométrie Liste d exercices IV (I) Exemples des variétés différentielles 1. Variété produit : Soient M et N deux variétés différentielles de classe C. (a) Montrer que qu il existe un atlas C sur M N tel que les projections sur M et N respectivement sont de classe C. (b) Montrer que avec cette structure différentielle l espace tangent à M N en un point (p, q) est naturelement identifié au produit T p M T q N. 2. Action d un groupe : Soit M une variété différentielle de classe C. On rappelle qu un groupe G agit proprement discontinûment sur M si pour tout point p M il existe un ouvert U de M contenant p tel que g(u) U = pour tout g. On suppose que M/G est séparé. (a) Montrer que si le groupe G agit par difféomorphismes C sur M, alors il existe un atlas C sur l espace quotient M/G tel que la projection canonique π : M M/G est un difféomorphisme local. (b) Quelle-est la différentielle de π dans un point p M? (c) Conclure que le tore T n = R n /Z n et l espace projectif P n = S n /{±Id} sont des variétés différentielles. (d) Montrer que T n = S 1 S 1 avec la structure différentielle produit est difféomorphe à R n /Z n. (II) Application de Gauss Soit M une hypersurface, c est-à-dire une sous-variété sans bord de codimension 1, compacte de classe C de R n+1. On définit une application ψ de M dans P n en associant à x la droite vectorielle orthogonale à T x M pour le produit scalaire canonique. 1. Montrer que ψ est C. 2. Montrer que ψ est surjective. (III) Une surjection de l espace projectif sur la sphère de même dimension 1. On considère l application P de R n+1 \ {0} dans R n+1 définie par : ( 2tx1 (t, x 1,..., x n ) t 2 + x 2,..., où l on a posé : x 2 = 2tx n t 2 + x 2, t2 + x 2 t 2 + x 2 n x 2 i. Montrer que cette application définit par passage au quotient une application p de P n dans S n et que p est C. Quelle est l image réciproque du pôle nord N = (0,..., 0, 1)? Du pôle sud S = (0,..., 0, 1)? ),
2 2. En utilisant la projection stéréographique de pôle N, montrer que p induit un difféomorphisme de P n \ p 1 (N) sur S n \ N. 3. Que peut-on dire de p pour n = 1? 4. Montrer que l ensemble des points de P n dont une coordonnée homogène est non nulle est connexe. En admettant le fait que le complémentaire dans S 2 d une courbe fermée simple a deux composantes connexes, en déduire que P 2 n est pas homéomorphe à S 2. (IV) Grassmanniennes Soit V un espace vectoriel réel de dimension n et 0 k n un entier. On note G k (V ) l ensemble des sous-espaces vectoriels de dimension k de V. L objet de cet exercice est de munir cet ensemble d une structure de variété C compacte. Si B est un sous-espace vectoriel de dimension n k de V, on note U B le sousensemble de G k (V ) constitué des supplémentaires de B. Soit A un supplémentaire de B. On note L(A, B) l ensemble des applications linéaires de A dans B. On définit ψ A,B : L(A, B) U B, f (Id + f)(a). 1. Montrer que ψ A,B est bien définie et bijective. 2. Montrer que le domaine de définition et l image de ψ 1 A,B ψ A,B sont des ouverts de L(A, B) et de L(A, B ). 3. Montrer que ψ 1 A,B ψ A,B est un difféomorphisme C de son domaine de définition sur son image. 4. Montrer qu il existe une topologie sur G k (V ) telle que les U B soient des ouverts et les ψ A,B des homéomorphismes. Vérifier que G k (V ) est séparé pour cette topologie. 5. Montrer que les ψ A,B forment un atlas munissant G k (V ) d une structure de variété C. 6. Montrer que G k (V ) est compacte. (V) Connexité Soit Y une variété différentielle de classe C et connexe de dimension n, et X une sous-variété fermée de classe C de Y de dimension n 2. Montrer que Y \ X est connexe. (VI) Les sous-variétés comme lignes de niveau Soit M une variété différentielle de classe C et N M une sous-variété fermée de classe C de M. 1. Soit x M. Montrer qu il existe un voisinage U x de x dans M et une fonction de classe C F : U R + telle que U N = F 1 (0). 2. Montrer qu il existe une fonction de classe C F : M R telle que N = F 1 (0). (VII) Immersions et plongements Soit f : X Y une application de classe C entre variétés différentielles de classe C.
3 1. Montrer que si f est une immersion injective propre, f(x) est une sous-variété de Y. 2. Montrer que c est faux si l on enlève une des trois hypothèses. 3. Plus généralement, montrer que si f est une immersion propre dont les fibres non vides ont cardinal constant d, alors f(x) est une sous-variété de Y. 4. On suppose que f est propre, de rang constant, et que le nombre de composantes connexes de f 1 (f(x)) est constant et fini. Montrer que f(x) est une sous-variété de classe C de Y. 5. Plongements du plan projectif : (a) Soit φ : R 3 R 6 donnée par (x, y, z) ( x 2, y 2, z 2, 2xy, 2zx, 2yz ). Montrer que M = φ(r 3 \ {0}) est une sous-variété de R 6. (b) Montrer que M S 5 est une sous-variété de S 5, difféomorphe à P 2, appelée la surface de Veronese. (c) On identifie R n avec l espace des polynômes en T de degré au plus n 1. En utilisant l application χ : R 3 R 5, x+yt +zt 2 (x+yt +zt 2 ) 2, construire un plongement de P 2 dans S Montrer qu il n existe pas d immersion de S n dans R n. 7. Soient M et P deux variétés différentielles de classe C, N une sous-variété de classe C de M, et f : M P une application de classe C. (a) Si f est une immersion, est-ce que la restriction de f à N l est aussi? (b) Si f est une submersion, est-ce que la restriction de f à N l est aussi? (VIII) Fibration de Hopf 1. Soit Ĉ = C { } le compactifié d Alexandrov de C. Montrer qu il est muni d une structure de variété de classe C par les paramétrages locaux φ 1 : R 2 Ĉ, (x, y) x + iy, et φ 2 : R 2 Ĉ, (x, y) (x + iy) On identifie S 3 avec la sphère unité de C 2. On définit alors une action de S 1 sur S 3 par θ (z 1, z 2 ) = ( e 2iπθ z 1, e 2iπθ z 2 ) pour θ S 1. Pour tout z = (z 1, z 2 ), montrer que θ θ z est un plongement (i.e. une immersion injective propre) de S 1 dans S On définit une application π : S 3 Ĉ par π(z 1, z 2 ) = z 1 /z 2. Montrer que cette application est C et submersive. Quelles sont ses fibres? 4. Montrer que, pour tout z Ĉ, il existe un voisinage U de z et un difféomorphisme ψ entre π 1 (U) et U S 1 tel que π ψ 1 : U S 1 U est la première projection. On dit que π est un fibré localement trivial de fibre S 1. (IX) Transversalité et théorème de Sard Soient M m et N n deux sous-variétés de classe C de R d. On rappelle que M et N sont transverses si pour tout point p M N on a T p M + T p N = R d. 1. Montrer que si M et N sont transverses et dimm + dimn < d, alors M N =.
4 2. Montrer qu il existe un sous-ensemble X de R d de mesure nulle tel que pour tout a R d \X on a que M + a et N sont transverses. 3. Conclure que si dimm + dimn < d, alors il existe un sous-ensemble X de R d de mesure nulle, tel que pour tout a R d \ X on a (M + a) N =. (X) Pré-images d une fonction 1. Soit f : S 1 R une application C. Montrer que pour toute valeur régulière t de f la pré-image f 1 (t) a un nombre pair de points. En particulier, un point x S 1 est une sous-variété qui n est pas la pré-image d une valeur régulière. 2. On considère l action du group {±Id} sur S 2 et soit π : S 2 P 2 la projection canonique. Alors S 1 {0} es invariant et sont projeté π(s 1 ) est naturellement identifié à P 1 ; i.e. on obtient ainsi un plongement de P 1 dans P 2. Montrer que P 1 n est pas la pré-image d une valeur régulière d une fonction f : P 2 R. 3. Soit P un polynôme homogène réel non constant en n variables, et a une valeur non nulle de P. Montrer que P 1 (a) est une sous-variété C de dimension n 1 de R n, et que les hypersurfaces P 1 (a) pour a > 0 sont difféomorphes. (XI) Projection orthogonale Soient M une sous-variété C de R n, muni de son produit scalaire euclidien standard, et x M. On note ψ : M T x M la projection orthogonale de M sur T x M. Calculer la différentielle de ψ en x. (XII) Éclatement Soit n 1. On identifie P n 1 à l ensemble des droites vectorielles de R n. On note E n = { (x, X) R n P n 1 : x X }. 1. Montrer que E n est une sous-variété de classe C de dimension n de R n P n Soit π la projection de R n P n 1 dans R n. Montrer que E n \ π 1 (0) est difféomorphe à R n \ {0} et que π 1 (0) est difféomorphe à P n Soient I un intervalle de R et γ : I R n une immersion C 1. Supposons que la restriction de γ à l ensemble I \ γ 1 (0) soit injective et que, pour s t dans I avec γ(s) = γ(t) = 0, on ait γ (s) γ (t). Montrer qu il existe une unique application continue γ : I E n telle que π γ = γ et que γ soit injective. (XIII) Champs de vecteurs tangents Soit M une variété différentielle de classe C, T M = {(p, v) : p M, v T p M} son fibré tangent, et π : T M M la projection π(p, v) = p. Un champs de vecteurs tangent à M est une fonction X : M T M qui à chaque point p M donne un vecteur tangent X(p) T p M. Autrement dit, π X = id M. Si φ : V R n U M est une carte locale de M, on note { x 1 (p),..., } (p) x n la base de T p M induite par φ, pour un point p U.
5 1. Montrer que si X est un champs de vecteurs tangents à M, alors pour toute fonction f : M R de classe C on peut associer une fonction X(f) : M R en posant X(f)(p) = d dt (f α(t)) t=0, où α : ( ɛ, ɛ) M est une courbe C avec α(0) = p et α (0) = X(p). 2. Montrer que les affirmations suivantes sont équivalentes : (a) Le champ X : M T M es de classe C. (b) Pour toute carte locale φ : V U le champ X s écrit comme X = n a i, x i où les fonctions a i : U R sont de classe C. (c) Pour toute fonction f : M R de classe C la fonction X(f) est de classe C. 3. Supposons que X est de classe C, et notons par C (M) l algèbre des fonctions C sur M. D après 2.(c), X : C (M) C (M), f X(f). Montrer que X est linéaire et qu il vérifie (L) X(fg) = fx(g) + gx(f), pour tout f, g C (M). 4. Montrer que si δ : C (M) C (M) est linéaire et vérifie (L), alors il existe un champs X sur M tel que δ(f) = X(f) pour toute f C (M). 5. On note X (M) l espace de champs de vecteurs tangents à M de classe C. Soient X, Y X (M), on definit le crochet de Lie [X, Y ] : C (M) C (M) en posant [X, Y ](f) = X(Y (f)) Y (X(f)), f C (M). Montrer que [X, Y ] X (M). 6. Montrer que le crochet vérifie les propriétés suivantes : soient X, Y, Z X (M), a, b R et g, f C (M). Alors (a) [X, Y ] = [Y, X], (b) [ax + by, Z] = a[x, Z] + b[y, Z], (c) L identité de Jacobi : [[X, Y ], Z] + [[Y, Z], X] + [[Z, X], Y ] = 0, (d) [fx, gy ] = fg[x, Y ] + fx(g)y gy (f)x. 7. Soit φ : V U une carte locale, et soient X, Y X (M) tels que dans la base induite par φ s écrivent n n X = a i et Y = b i. x i x i Montrer que [X, Y ] = n n b i a i a j b j. x j x j x i j=1 8. Montrer que si X X (M) est tel que [X, Y ] = 0 pour tout Y X (M), alors X = 0.
6 9. Définir sur R 2 \ {0} les champs de vecteurs X r et X θ formant en tout point une base orthonormée positive, telle que X r soit radial sortant. Calculer leur crochet de Lie. Si (x, y) et (r, θ) sont respectivement les coordonnées cartésiennes et polaires d un point de R 2 \ {0}, calculer l expression de r et θ en fonction de x et y, et calculer leur crochet de Lie. Quel est le rapport entre X r, X θ et r, θ? 10. Soient (x, y, z) et (r, θ, φ) respectivement les coordonnées cartésiennes et sphériques d un point de R 3 \{0}. Calculer l expression de r, θ et φ le crochet de Lie des champs de vecteurs 1 r θ et 1 r φ. en fonction de x, y et z. Calculer 11. Sur S 2, on considère sur l ouvert complémentaire des deux pôles les champs de vecteurs N et E unitaires et pointant respectivement vers le nord et l est. Calculer [N, E]. 12. Le produit vectoriel vu comme un crochet : On se donne sur R 3 les champs de vecteurs X = z y y z ; Y = x z z x ; Z = y x x z. (a) Montrer qu ils sont linéairement indépendants sur R. Soit E l espace vectoriel qu ils engendre. Montrer que E est stable par le crochet. (b) Soit φ : E R 3 donné par Montrer que φ est un isomorphism et que où désigne le produit vectoriel. φ (ax + by + cz) = (a, b, c). φ ([V, W ]) = φ(v ) φ(w ),
3 Approximation de solutions d équations
3 Approximation de solutions d équations Une équation scalaire a la forme générale f(x) =0où f est une fonction de IR dans IR. Un système de n équations à n inconnues peut aussi se mettre sous une telle
Plus en détailFormes quadratiques. 1 Formes quadratiques et formes polaires associées. Imen BHOURI. 1.1 Définitions
Formes quadratiques Imen BHOURI 1 Ce cours s adresse aux étudiants de niveau deuxième année de Licence et à ceux qui préparent le capes. Il combine d une façon indissociable l étude des concepts bilinéaires
Plus en détailAOT 13. et Application au Contrôle Géométrique
AOT 13 Géométrie Différentielle et Application au Contrôle Géométrique Frédéric Jean Notes de cours Édition 2011/2012 ii Table des matières 1 Variétés différentiables 1 1.1 Variétés différentiables............................
Plus en détailFonctions de plusieurs variables
Module : Analyse 03 Chapitre 00 : Fonctions de plusieurs variables Généralités et Rappels des notions topologiques dans : Qu est- ce que?: Mathématiquement, n étant un entier non nul, on définit comme
Plus en détailCours d Analyse. Fonctions de plusieurs variables
Cours d Analyse Fonctions de plusieurs variables Licence 1ère année 2007/2008 Nicolas Prioux Université de Marne-la-Vallée Table des matières 1 Notions de géométrie dans l espace et fonctions à deux variables........
Plus en détailFonctions de plusieurs variables
Maths MP Exercices Fonctions de plusieurs variables Les indications ne sont ici que pour être consultées après le T (pour les exercices non traités). Avant et pendant le T, tenez bon et n allez pas les
Plus en détailExercices - Fonctions de plusieurs variables : corrigé. Pour commencer
Pour commencer Exercice 1 - Ensembles de définition - Première année - 1. Le logarithme est défini si x + y > 0. On trouve donc le demi-plan supérieur délimité par la droite d équation x + y = 0.. 1 xy
Plus en détailCalcul intégral élémentaire en plusieurs variables
Calcul intégral élémentaire en plusieurs variables PC*2 2 septembre 2009 Avant-propos À part le théorème de Fubini qui sera démontré dans le cours sur les intégrales à paramètres et qui ne semble pas explicitement
Plus en détail8.1 Généralités sur les fonctions de plusieurs variables réelles. f : R 2 R (x, y) 1 x 2 y 2
Chapitre 8 Fonctions de plusieurs variables 8.1 Généralités sur les fonctions de plusieurs variables réelles Définition. Une fonction réelle de n variables réelles est une application d une partie de R
Plus en détailFONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4)
FONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4) Bernard Le Stum Université de Rennes 1 Version du 13 mars 2009 Table des matières 1 Fonctions partielles, courbes de niveau 1 2 Limites et continuité
Plus en détailProblème 1 : applications du plan affine
Problème 1 : applications du plan affine Notations On désigne par GL 2 (R) l ensemble des matrices 2 2 inversibles à coefficients réels. Soit un plan affine P muni d un repère (O, I, J). Les coordonnées
Plus en détailGéométrie dans l espace Produit scalaire et équations
Chapitre 11. 2ème partie Géométrie dans l espace Produit scalaire et équations Terminale S Ce que dit le programme : CONTENUS CAPACITÉS ATTENDUES COMMENTAIRES 2ème partie Produit scalaire Produit scalaire
Plus en détailChapitre 2 Le problème de l unicité des solutions
Université Joseph Fourier UE MAT 127 Mathématiques année 2011-2012 Chapitre 2 Le problème de l unicité des solutions Ce que nous verrons dans ce chapitre : un exemple d équation différentielle y = f(y)
Plus en détailIntégration et probabilités TD1 Espaces mesurés Corrigé
Intégration et probabilités TD1 Espaces mesurés Corrigé 2012-2013 1 Petites questions 1 Est-ce que l ensemble des ouverts de R est une tribu? Réponse : Non, car le complémentaire de ], 0[ n est pas ouvert.
Plus en détailCalcul fonctionnel holomorphe dans les algèbres de Banach
Chapitre 7 Calcul fonctionnel holomorphe dans les algèbres de Banach L objet de ce chapitre est de définir un calcul fonctionnel holomorphe qui prolonge le calcul fonctionnel polynômial et qui respecte
Plus en détailPolynômes à plusieurs variables. Résultant
Polynômes à plusieurs variables. Résultant Christophe Ritzenthaler 1 Relations coefficients-racines. Polynômes symétriques Issu de [MS] et de [Goz]. Soit A un anneau intègre. Définition 1.1. Soit a A \
Plus en détailI. Polynômes de Tchebychev
Première épreuve CCP filière MP I. Polynômes de Tchebychev ( ) 1.a) Tout réel θ vérifie cos(nθ) = Re ((cos θ + i sin θ) n ) = Re Cn k (cos θ) n k i k (sin θ) k Or i k est réel quand k est pair et imaginaire
Plus en détailDéveloppements limités. Notion de développement limité
MT12 - ch2 Page 1/8 Développements limités Dans tout ce chapitre, I désigne un intervalle de R non vide et non réduit à un point. I Notion de développement limité Dans tout ce paragraphe, a désigne un
Plus en détailFEUILLETAGES PAR VARIÉTÉS COMPLEXES ET PROBLÈMES D UNIFORMISATION LAURENT MEERSSEMAN
FEUILLETAGES PAR VARIÉTÉS COMPLEXES ET PROBLÈMES D UNIFORMISATION LAURENT MEERSSEMAN Abstract. Ce texte est une introduction aux feuilletages par variétés complexes et aux problèmes d uniformisation de
Plus en détailNotes du cours MTH1101N Calcul I Partie II: fonctions de plusieurs variables
Notes du cours MTH1101N Calcul I Partie II: fonctions de plusieurs variables Fausto Errico Département de mathématiques et de génie industriel École Polytechnique de Montréal Automne 2012 Table des matières
Plus en détailNotes du cours MTH1101 Calcul I Partie II: fonctions de plusieurs variables
Notes du cours MTH1101 Calcul I Partie II: fonctions de plusieurs variables Guy Desaulniers Département de mathématiques et de génie industriel École Polytechnique de Montréal Automne 2014 Table des matières
Plus en détailExo7. Matrice d une application linéaire. Corrections d Arnaud Bodin.
Exo7 Matrice d une application linéaire Corrections d Arnaud odin. Exercice Soit R muni de la base canonique = ( i, j). Soit f : R R la projection sur l axe des abscisses R i parallèlement à R( i + j).
Plus en détailCalcul Différentiel. I Fonctions différentiables 3
Université de la Méditerranée Faculté des Sciences de Luminy Licence de Mathématiques, Semestre 5, année 2008-2009 Calcul Différentiel Support du cours de Glenn Merlet 1, version du 6 octobre 2008. Remarques
Plus en détailI - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES
I - PUISSANCE D UN POINT PAR RAPPORT A UN CERCLE CERCLES ORTHOGONAUX POLES ET POLAIRES Théorème - Définition Soit un cercle (O,R) et un point. Une droite passant par coupe le cercle en deux points A et
Plus en détailOM 1 Outils mathématiques : fonction de plusieurs variables
Outils mathématiques : fonction de plusieurs variables PCSI 2013 2014 Certaines partie de ce chapitre ne seront utiles qu à partir de l année prochaine, mais une grande partie nous servira dès cette année.
Plus en détailUn K-espace vectoriel est un ensemble non vide E muni : d une loi de composition interne, c est-à-dire d une application de E E dans E : E E E
Exo7 Espaces vectoriels Vidéo partie 1. Espace vectoriel (début Vidéo partie 2. Espace vectoriel (fin Vidéo partie 3. Sous-espace vectoriel (début Vidéo partie 4. Sous-espace vectoriel (milieu Vidéo partie
Plus en détailCalcul différentiel. Chapitre 1. 1.1 Différentiabilité
Chapitre 1 Calcul différentiel L idée du calcul différentiel est d approcher au voisinage d un point une fonction f par une fonction plus simple (ou d approcher localement le graphe de f par un espace
Plus en détailIntroduction à l étude des Corps Finis
Introduction à l étude des Corps Finis Robert Rolland (Résumé) 1 Introduction La structure de corps fini intervient dans divers domaines des mathématiques, en particulier dans la théorie de Galois sur
Plus en détailStructures algébriques
Structures algébriques 1. Lois de composition s Soit E un ensemble. Une loi de composition interne sur E est une application de E E dans E. Soient E et F deux ensembles. Une loi de composition externe
Plus en détailFonctions de plusieurs variables. Sébastien Tordeux
Fonctions de plusieurs variables Sébastien Tordeux 22 février 2009 Table des matières 1 Fonctions de plusieurs variables 3 1.1 Définition............................. 3 1.2 Limite et continuité.......................
Plus en détailPlan du cours : électricité 1
Semestre : S2 Module Physique II 1 Electricité 1 2 Optique géométrique Plan du cours : électricité 1 Partie A : Electrostatique (discipline de l étude des phénomènes liés aux distributions de charges stationnaires)
Plus en détailFonctions de plusieurs variables
UNIVERSITÉ DE POITIERS Parcours Renforcé Première Année 2009/2010 Paul Broussous Fonctions de plusieurs variables Seconde version corrigée Table des matières 1. Un peu de topologie. 1.1. Distance euclidienne,
Plus en détailFonctions de plusieurs variables : dérivés partielles, diérentielle. Fonctions composées. Fonctions de classe C 1. Exemples
45 Fonctions de plusieurs variables : dérivés partielles, diérentielle. Fonctions composées. Fonctions de classe C 1. Exemples Les espaces vectoriels considérés sont réels, non réduits au vecteur nul et
Plus en détailUniversité Paris-Dauphine DUMI2E 1ère année, 2009-2010. Applications
Université Paris-Dauphine DUMI2E 1ère année, 2009-2010 Applications 1 Introduction Une fonction f (plus précisément, une fonction réelle d une variable réelle) est une règle qui associe à tout réel x au
Plus en détailThéorème du point fixe - Théorème de l inversion locale
Chapitre 7 Théorème du point fixe - Théorème de l inversion locale Dans ce chapitre et le suivant, on montre deux applications importantes de la notion de différentiabilité : le théorème de l inversion
Plus en détailCours de mathématiques
DEUG MIAS premier niveau Cours de mathématiques année 2003/2004 Guillaume Legendre (version révisée du 3 avril 2015) Table des matières 1 Éléments de logique 1 1.1 Assertions...............................................
Plus en détailIntégration et probabilités TD1 Espaces mesurés
Intégration et probabilités TD1 Espaces mesurés 2012-2013 1 Petites questions 1) Est-ce que l ensemble des ouverts de R est une tribu? 2) Si F et G sont deux tribus, est-ce que F G est toujours une tribu?
Plus en détailContinuité et dérivabilité d une fonction
DERNIÈRE IMPRESSIN LE 7 novembre 014 à 10:3 Continuité et dérivabilité d une fonction Table des matières 1 Continuité d une fonction 1.1 Limite finie en un point.......................... 1. Continuité
Plus en détailExercices - Polynômes : corrigé. Opérations sur les polynômes
Opérations sur les polynômes Exercice 1 - Carré - L1/Math Sup - Si P = Q est le carré d un polynôme, alors Q est nécessairement de degré, et son coefficient dominant est égal à 1. On peut donc écrire Q(X)
Plus en détailFonctions de plusieurs variables, intégrales multiples, et intégrales dépendant d un paramètre
IUFM du Limousin 2009-10 PLC1 Mathématiques S. Vinatier Rappels de cours Fonctions de plusieurs variables, intégrales multiples, et intégrales dépendant d un paramètre 1 Fonctions de plusieurs variables
Plus en détailLe produit semi-direct
Le produit semi-direct Préparation à l agrégation de mathématiques Université de Nice - Sophia Antipolis Antoine Ducros Octobre 2007 Ce texte est consacré, comme son titre l indique, au produit semi-direct.
Plus en détailChapitre VI Fonctions de plusieurs variables
Chapitre VI Fonctions de plusieurs variables 6. 1 Fonctions différentiables de R 2 dans R. 6. 1. 1 Définition de la différentiabilité Nous introduisons la différentiabilité sous l angle des développements
Plus en détailOptimisation des fonctions de plusieurs variables
Optimisation des fonctions de plusieurs variables Hervé Hocquard Université de Bordeaux, France 8 avril 2013 Extrema locaux et globaux Définition On étudie le comportement d une fonction de plusieurs variables
Plus en détailDe même, le périmètre P d un cercle de rayon 1 vaut P = 2π (par définition de π). Mais, on peut démontrer (difficilement!) que
Introduction. On suppose connus les ensembles N (des entiers naturels), Z des entiers relatifs et Q (des nombres rationnels). On s est rendu compte, depuis l antiquité, que l on ne peut pas tout mesurer
Plus en détailChapitre 0 Introduction à la cinématique
Chapitre 0 Introduction à la cinématique Plan Vitesse, accélération Coordonnées polaires Exercices corrigés Vitesse, Accélération La cinématique est l étude du mouvement Elle suppose donc l existence à
Plus en détailMesures gaussiennes et espaces de Fock
Mesures gaussiennes et espaces de Fock Thierry Lévy Peyresq - Juin 2003 Introduction Les mesures gaussiennes et les espaces de Fock sont deux objets qui apparaissent naturellement et peut-être, à première
Plus en détail1 Complément sur la projection du nuage des individus
TP 0 : Analyse en composantes principales (II) Le but de ce TP est d approfondir nos connaissances concernant l analyse en composantes principales (ACP). Pour cela, on reprend les notations du précédent
Plus en détailImage d un intervalle par une fonction continue
DOCUMENT 27 Image d un intervalle par une fonction continue La continuité d une fonction en un point est une propriété locale : une fonction est continue en un point x 0 si et seulement si sa restriction
Plus en détailENSAE - DAKAR BROCHURE D'INFORMATION SUR LE CONCOURS DE RECRUTEMENT D ÉLÈVES INGÉNIEURS STATISTICIENS ÉCONOMISTES (I S E) Option Mathématiques CAPESA
ENSEA - ABIDJAN ENSAE - DAKAR ISSEA - YAOUNDÉ BROCHURE D'INFORMATION SUR LE CONCOURS DE RECRUTEMENT D ÉLÈVES INGÉNIEURS STATISTICIENS ÉCONOMISTES (I S E) Option Mathématiques CAPESA CENTRE D APPUI AUX
Plus en détailFonctions de plusieurs variables et applications pour l ingénieur
Service Commun de Formation Continue Année Universitaire 2006-2007 Fonctions de plusieurs variables et applications pour l ingénieur Polycopié de cours Rédigé par Yannick Privat Bureau 321 - Institut Élie
Plus en détailCalcul différentiel sur R n Première partie
Calcul différentiel sur R n Première partie Université De Metz 2006-2007 1 Définitions générales On note L(R n, R m ) l espace vectoriel des applications linéaires de R n dans R m. Définition 1.1 (différentiabilité
Plus en détailChapitre VI - Méthodes de factorisation
Université Pierre et Marie Curie Cours de cryptographie MM067-2012/13 Alain Kraus Chapitre VI - Méthodes de factorisation Le problème de la factorisation des grands entiers est a priori très difficile.
Plus en détailC1 : Fonctions de plusieurs variables
1er semestre 2012/13 CPUMP 3 U 11 : Abrégé de cours Compléments Analyse 3 : fonctions analytiques Les notes suivantes, disponibles à l adresse http://www.iecn.u-nancy.fr/~bertram/, contiennent les définitions
Plus en détailPremière partie. Préliminaires : noyaux itérés. MPSI B 6 juin 2015
Énoncé Soit V un espace vectoriel réel. L espace vectoriel des endomorphismes de V est désigné par L(V ). Lorsque f L(V ) et k N, on désigne par f 0 = Id V, f k = f k f la composée de f avec lui même k
Plus en détail* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable T : pour travailler et mémoriser le cours
Exo7 Continuité (étude globale). Diverses fonctions Exercices de Jean-Louis Rouget. Retrouver aussi cette fiche sur www.maths-france.fr * très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile *****
Plus en détailProposition. Si G est un groupe simple d ordre 60 alors G est isomorphe à A 5.
DÉVELOPPEMENT 32 A 5 EST LE SEUL GROUPE SIMPLE D ORDRE 60 Proposition. Si G est un groupe simple d ordre 60 alors G est isomorphe à A 5. Démonstration. On considère un groupe G d ordre 60 = 2 2 3 5 et
Plus en détailRappels et compléments, première partie : Nombres complexes et applications à la géométrie
Rappels et compléments, première partie : Nombres complexes et applications à la géométrie 1 Définition des nombres complexes On définit sur les couples de réels une loi d addition comme suit : (x; y)
Plus en détailDifférentiabilité ; Fonctions de plusieurs variables réelles
Différentiabilité ; Fonctions de plusieurs variables réelles Denis Vekemans R n est muni de l une des trois normes usuelles. 1,. 2 ou.. x 1 = i i n Toutes les normes de R n sont équivalentes. x i ; x 2
Plus en détailRésolution d équations non linéaires
Analyse Numérique Résolution d équations non linéaires Said EL HAJJI et Touria GHEMIRES Université Mohammed V - Agdal. Faculté des Sciences Département de Mathématiques. Laboratoire de Mathématiques, Informatique
Plus en détailGroupoïdes quantiques mesurés : axiomatique, étude, dualité, exemples
Groupoïdes quantiques mesurés : axiomatique, étude, dualité, exemples Franck LESIEUR Mathématiques et Applications, Physique Mathématique d Orléans UMR 6628 - BP 6759 45067 ORLEANS CEDEX 2 - FRANCE e-mail
Plus en détailDéveloppements limités, équivalents et calculs de limites
Développements ités, équivalents et calculs de ites Eercice. Déterminer le développement ité en 0 à l ordre n des fonctions suivantes :. f() e (+) 3 n. g() sin() +ln(+) n 3 3. h() e sh() n 4. i() sin(
Plus en détailChapitre 3. Quelques fonctions usuelles. 1 Fonctions logarithme et exponentielle. 1.1 La fonction logarithme
Chapitre 3 Quelques fonctions usuelles 1 Fonctions logarithme et eponentielle 1.1 La fonction logarithme Définition 1.1 La fonction 7! 1/ est continue sur ]0, +1[. Elle admet donc des primitives sur cet
Plus en détailAnalyse fonctionnelle Théorie des représentations du groupe quantique compact libre O(n) Teodor Banica Résumé - On trouve, pour chaque n 2, la classe
Analyse fonctionnelle Théorie des représentations du groupe quantique compact libre O(n) Teodor Banica Résumé - On trouve, pour chaque n 2, la classe des n n groupes quantiques compacts qui ont la théorie
Plus en détailPoints de Weierstrass d une surface de Riemann compacte
16 Le journal de maths des élèves, Volume 1 (1994), No. 2 Points de Weierstrass d une surface de Riemann compacte Sandrine Leroy Introduction Nous allons nous intéresser ici à des points très remarquables
Plus en détail* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable
Eo7 Fonctions de plusieurs variables Eercices de Jean-Louis Rouget Retrouver aussi cette fiche sur wwwmaths-francefr * très facile ** facile *** difficulté moenne **** difficile ***** très difficile I
Plus en détailMéthodes de quadrature. Polytech Paris-UPMC. - p. 1/48
Méthodes de Polytech Paris-UPMC - p. 1/48 Polynôme d interpolation de Preuve et polynôme de Calcul de l erreur d interpolation Étude de la formule d erreur Autres méthodes - p. 2/48 Polynôme d interpolation
Plus en détailProgramme de la classe de première année MPSI
Objectifs Programme de la classe de première année MPSI I - Introduction à l analyse L objectif de cette partie est d amener les étudiants vers des problèmes effectifs d analyse élémentaire, d introduire
Plus en détailUne forme générale de la conjecture abc
Une forme générale de la conjecture abc Nicolas Billerey avec l aide de Manuel Pégourié-Gonnard 6 août 2009 Dans [Lan99a], M Langevin montre que la conjecture abc est équivalente à la conjecture suivante
Plus en détailCours Fonctions de deux variables
Cours Fonctions de deux variables par Pierre Veuillez 1 Support théorique 1.1 Représentation Plan et espace : Grâce à un repère cartésien ( ) O, i, j du plan, les couples (x, y) de R 2 peuvent être représenté
Plus en détailCours arithmétique et groupes. Licence première année, premier semestre
Cours arithmétique et groupes. Licence première année, premier semestre Raphaël Danchin, Rejeb Hadiji, Stéphane Jaffard, Eva Löcherbach, Jacques Printems, Stéphane Seuret Année 2006-2007 2 Table des matières
Plus en détailMATHEMATIQUES APPLIQUEES Equations aux dérivées partielles Cours et exercices corrigés
MATHEMATIQUES APPLIQUEES Equations aux dérivées partielles Cours et exercices corrigés Département GPI 1ère année Avril 2005 INPT-ENSIACET 118 route de Narbonne 31077 Toulouse cedex 4 Mail : Xuan.Meyer@ensiacet.fr
Plus en détailCalcul matriciel. Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes.
1 Définitions, notations Calcul matriciel Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes. On utilise aussi la notation m n pour le
Plus en détailExemple 4.4. Continuons l exemple précédent. Maintenant on travaille sur les quaternions et on a alors les décompositions
Exemple 4.4. Continuons l exemple précédent. Maintenant on travaille sur les quaternions et on a alors les décompositions HQ = He 1 He 2 He 3 He 4 HQ e 5 comme anneaux (avec centre Re 1 Re 2 Re 3 Re 4
Plus en détailOptimisation non linéaire Irène Charon, Olivier Hudry École nationale supérieure des télécommunications
Optimisation non linéaire Irène Charon, Olivier Hudry École nationale supérieure des télécommunications A. Optimisation sans contrainte.... Généralités.... Condition nécessaire et condition suffisante
Plus en détailTOUT CE QU IL FAUT SAVOIR POUR LE BREVET
TOUT E QU IL FUT SVOIR POUR LE REVET NUMERIQUE / FONTIONS eci n est qu un rappel de tout ce qu il faut savoir en maths pour le brevet. I- Opérations sur les nombres et les fractions : Les priorités par
Plus en détailAngles orientés et fonctions circulaires ( En première S )
Angles orientés et fonctions circulaires ( En première S ) Dernière mise à jour : Jeudi 01 Septembre 010 Vincent OBATON, Enseignant au lycée Stendhal de Grenoble (Année 006-007) Lycée Stendhal, Grenoble
Plus en détailAlgorithmes pour la planification de mouvements en robotique non-holonome
Algorithmes pour la planification de mouvements en robotique non-holonome Frédéric Jean Unité de Mathématiques Appliquées ENSTA Le 02 février 2006 Outline 1 2 3 Modélisation Géométrique d un Robot Robot
Plus en détailCapes 2002 - Première épreuve
Cette correction a été rédigée par Frédéric Bayart. Si vous avez des remarques à faire, ou pour signaler des erreurs, n hésitez pas à écrire à : mathweb@free.fr Mots-clés : équation fonctionnelle, série
Plus en détailLes travaux doivent être remis sous forme papier.
Physique mathématique II Calendrier: Date Pondération/note nale Matériel couvert ExercicesSérie 1 : 25 septembre 2014 5% RH&B: Ch. 3 ExercicesSérie 2 : 23 octobre 2014 5% RH&B: Ch. 12-13 Examen 1 : 24
Plus en détailCHAPITRE 10. Jacobien, changement de coordonnées.
CHAPITRE 10 Jacobien, changement de coordonnées ans ce chapitre, nous allons premièrement rappeler la définition du déterminant d une matrice Nous nous limiterons au cas des matrices d ordre 2 2et3 3,
Plus en détailRepérage d un point - Vitesse et
PSI - écanique I - Repérage d un point - Vitesse et accélération page 1/6 Repérage d un point - Vitesse et accélération Table des matières 1 Espace et temps - Référentiel d observation 1 2 Coordonnées
Plus en détailSTATIQUE GRAPHIQUE ET STATIQUE ANALYTIQUE
ÉCOLE D'INGÉNIEURS DE FRIBOURG (E.I.F.) SECTION DE MÉCANIQUE G.R. Nicolet, revu en 2006 STATIQUE GRAPHIQUE ET STATIQUE ANALYTIQUE Eléments de calcul vectoriel Opérations avec les forces Equilibre du point
Plus en détailEXERCICE 4 (7 points ) (Commun à tous les candidats)
EXERCICE 4 (7 points ) (Commun à tous les candidats) On cherche à modéliser de deux façons différentes l évolution du nombre, exprimé en millions, de foyers français possédant un téléviseur à écran plat
Plus en détailContinuité d une fonction de plusieurs variables
Chapitre 2 Continuité d une fonction de plusieurs variables Maintenant qu on a défini la notion de limite pour des suites dans R n, la notion de continuité s étend sans problème à des fonctions de plusieurs
Plus en détailpar Méthodes topologiques en dynamique des surfaces École d été, Grenoble, Juin 2006
POINTS FIXES DES HOMÉOMORPHISMES DE SURFACES par Frédéric Le Roux Méthodes topologiques en dynamique des surfaces École d été, Grenoble, Juin 2006 La fibration de Hopf. Dessin de Benoît Kloeckner, http
Plus en détailCHAPITRE IV. L axiome du choix
CHAPITRE IV L axiome du choix Résumé. L axiome du choix AC affirme qu il est légitime de construire des objets mathématiques en répétant un nombre infini de fois l opération de choisir un élément dans
Plus en détail1 Première section: La construction générale
AMALGAMATIONS DE CLASSES DE SOUS-GROUPES D UN GROUPE ABÉLIEN. SOUS-GROUPES ESSENTIEL-PURS. Călugăreanu Grigore comunicare prezentată la Conferinţa de grupuri abeliene şi module de la Padova, iunie 1994
Plus en détailChapitre 6. Fonction réelle d une variable réelle
Chapitre 6 Fonction réelle d une variable réelle 6. Généralités et plan d étude Une application de I dans R est une correspondance entre les éléments de I et ceu de R telle que tout élément de I admette
Plus en détailMathématiques Algèbre et géométrie
Daniel FREDON Myriam MAUMY-BERTRAND Frédéric BERTRAND Mathématiques Algèbre et géométrie en 30 fiches Daniel FREDON Myriam MAUMY-BERTRAND Frédéric BERTRAND Mathématiques Algèbre et géométrie en 30 fiches
Plus en détailIntégration sur des espaces produits
Chapitre 5 Intégration sur des espaces produits 5.1 Produit de deux mesures Étant donnés deux espaces mesurés (Ω 1, F 1, µ 1 ) et (Ω 2, F 1, µ 2 ), le but de cette section est de construire une mesure
Plus en détailCours d Analyse 3 Fonctions de plusieurs variables
Université Claude Bernard, Lyon I Licence Sciences, Technologies & Santé 43, boulevard 11 novembre 1918 Spécialité Mathématiques 69622 Villeurbanne cedex, France L. Pujo-Menjouet pujo@math.univ-lyon1.fr
Plus en détailL isomorphisme entre les tours de Lubin-Tate et de Drinfeld et applications cohomologiques par Laurent Fargues
Préambule.................................... xv Bibliographie... xxi I L isomorphisme entre les tours de Lubin-Tate et de Drinfeld et applications cohomologiques par Laurent Fargues Introduction...................................
Plus en détailUne introduction aux codes correcteurs quantiques
Une introduction aux codes correcteurs quantiques Jean-Pierre Tillich INRIA Rocquencourt, équipe-projet SECRET 20 mars 2008 1/38 De quoi est-il question ici? Code quantique : il est possible de corriger
Plus en détailFonctions de plusieurs variables et changements de variables
Notes du cours d'équations aux Dérivées Partielles de l'isima, première année http://wwwisimafr/leborgne Fonctions de plusieurs variables et changements de variables Gilles Leborgne juin 006 Table des
Plus en détailCorrection du Baccalauréat S Amérique du Nord mai 2007
Correction du Baccalauréat S Amérique du Nord mai 7 EXERCICE points. Le plan (P) a une pour équation cartésienne : x+y z+ =. Les coordonnées de H vérifient cette équation donc H appartient à (P) et A n
Plus en détail6 Equations du première ordre
6 Equations u première orre 6.1 Equations linéaires Consiérons l équation a k (x) k u = b(x), (6.1) où a 1,...,a n,b sont es fonctions continûment ifférentiables sur R. Soit D un ouvert e R et u : D R
Plus en détailLicence de Mathématiques 3
Faculté des sciences et techniques Département de mathématiques 2004-2005 Licence de Mathématiques 3 M62 : Fonctions réelles de plusieurs variables Laurent Guillopé www.math.sciences.univ-nantes.fr/~guillope/m62/
Plus en détailLa Licence Mathématiques et Economie-MASS Université de Sciences Sociales de Toulouse 1
La Licence Mathématiques et Economie-MASS Université de Sciences Sociales de Toulouse 1 La licence Mathématiques et Economie-MASS de l Université des Sciences Sociales de Toulouse propose sur les trois
Plus en détailC algèbre d un certain groupe de Lie nilpotent.
Université Paul Verlaine - METZ LMAM 6 décembre 2011 1 2 3 4 Les transformations de Fourier. Le C algèbre de G/ Z. Le C algèbre du sous-groupe G 5 / vect{u,v }. Conclusion. G un groupe de Lie, Ĝ l ensemble
Plus en détailTIQUE DE FRANCE NILSYSTÈMES D ORDRE 2 ET PARALLÉLÉPIPÈDES
Bulletin de la SOCIÉTÉ MATHÉMATIQUE DE FRANCE NILSYSTÈMES D ORDRE 2 ET PARALLÉLÉPIPÈDES Bernard Host & Alejandro Maass Tome 135 Fascicule 3 2007 SOCIÉTÉ MATHÉMATIQUE DE FRANCE Publié avec le concours du
Plus en détail