Bordeaux, le 6 avril Le Président. Monsieur le Maire,

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Bordeaux, le 6 avril Le Président. Monsieur le Maire,"

Transcription

1 Bordeaux, le 6 avril 2009 Le Président Références à rappeler : CH.R/RODII Monsieur le Maire, Par lettre du 1 er février 2008, vous avez été informé que la Chambre régionale des comptes d Aquitaine allait procéder au jugement des comptes de 2003 à 2006 et à l examen de la gestion de 2003 jusqu à la période la plus récente, de la Commune du Bouscat. A l issue de cette vérification, l entretien préalable avec le conseiller-rapporteur, prévue par les articles L et R du code des juridictions financières a eu lieu le 13 juin Je vous ai fait connaître, par lettre du 9 septembre 2008, les observations retenues à titre provisoire par la Chambre lors de sa séance du 10 juin 2008, en vous priant de bien vouloir y répondre dans le délai de deux mois. Vous avez répondu par courrier du 3 novembre 2008, enregistré au greffe le 4 novembre La chambre a arrêté au cours de sa séance du 3 février 2009 les observations définitives suivantes qui vous ont été notifiées le 6 mars Vous avez répondu le 17 mars Cette réponse qui n engage que votre responsabilité est jointe au présent rapport. En conséquence, je vous prie de bien vouloir trouver ciaprès le rapport d observations définitives de la chambre qui portent sur : - les principales caractéristiques de la collectivité ; - la situation financière ; - la gestion des ressources humaines ; - les avantages en nature. Monsieur Patrick BODET Maire de la commune du BOUSCAT Hôtel de ville Place Gambetta BP LE BOUSCAT 3, place des Grands-Hommes CS Bordeaux Cedex Tél. : Fax :

2 2 I PRINCIPALES CARACTERISTIQUES DE LA COLLECTIVITE La commune du Bouscat fait partie intégrante de la communauté urbaine de Bordeaux (27 communes : habitants) dont elle constitue la huitième ville par l importance de sa population ( habitants). En ce qui concerne l habitat, celui-ci a été évalué par l INSEE dans sa dernière enquête annuelle de recensement, de 2004 à 2006, à logements, essentiellement composés de résidences principales (94 %), la proportion de propriétaires étant de 59 %. La commune compte 575 logements de plus qu en 1999 (dernier recensement général), ce qui représente une augmentation de 5,1 %. Au 1 er janvier 2004, la commune disposait de 21 % de logements sociaux. D une superficie de 5 Km², elle est l une des plus petites communes de la CUB mais aussi l une des plus dense après Bordeaux et Talence. Il s agit d une commune exclusivement urbaine qui dispose du parc de la Chêneraie d une superficie d environ 5 hectares. Par ailleurs, un hippodrome de près de 60 hectares se situe sur le territoire de la commune. Il peut être considéré comme le plus grand espace vert de la CUB et donne à la commune du Bouscat, l opportunité de développer un pôle d excellence sur le thème de l équitation. II LA SITUATION FINANCIERE L analyse financière de la commune du Bouscat a été effectuée à partir des comptes administratifs et des comptes de gestion Toutefois, la chambre a exercé auparavant un contrôle de la fiabilité des documents budgétaires produits par l ordonnateur au titre de l exercice 2006 (dernier exercice de la période contrôlée). La chambre a relevé deux anomalies, rectifiées en cours d instruction, qui portaient notamment sur des différences constatées entre l état de la dette arrêté par l ordonnateur et les éléments du compte de gestion ainsi que sur le compte de dépôt et cautionnement. Ces anomalies n affectent en rien la qualité de l information comptable, ce contrôle ayant permis de s assurer que les comptes produits donnaient une image fidèle de la situation de la comptabilité Les masses budgétaires Le volume des masses budgétaires réelles de la commune du Bouscat est resté faible au regard de la moyenne nationale des communes comparables. En effet, le total constitué par les dépenses réelles de fonctionnement et d investissement représente par habitant en 2006, alors que la moyenne nationale était de /h en 2005.

3 Il a été observé également pendant cette période un renforcement de l effort d investissement à compter de Ainsi, les dépenses réelles d investissement représentent 35 % de la masse budgétaire réelle en 2006, contre 28 % en Les dépenses réelles de fonctionnement (19,1 M en 2006) L évolution globale des dépenses réelles de fonctionnement sur la période (+ 6,9 %) a été modérée. Ramenées par habitant, ces dépenses représentent 802 /h en 2004 et 801 /h en 2005, soit un niveau nettement inférieur à la moyenne nationale 2005 de /h. L analyse de ces dépenses met en évidence les points suivants : - les dépenses de personnel (10,2 M en 2005, 10,6 M en 2006) ont connu une progression de l ordre de 8,4 %, soit 2,7 % d augmentation moyenne annuelle, avec un niveau par habitant de 469 en 2006 (452 /h en 2005), nettement inférieur à la moyenne nationale (601 /h en 2005 et 620 /h en 2006). Rapportées à l ensemble des dépenses réelles de fonctionnement, les charges de personnel sont en légère progression, passant de 54,6 % en 2003 à 55,4 % en 2006 (moyenne nationale 2005 : 56,9 %). - les charges à caractère général (3,5 M en 2005, 4,1 M en 2006) ont progressé de 8,1 % soit une augmentation moyenne annuelle de 2,3 %. Ramenées à la population, ces charges à caractère général qui étaient de 166 /h en 2003, et de 177 /h en 2006 placent la commune du Bouscat nettement en deçà de la moyenne nationale (261 /h en 2005). - les subventions versées par la commune ont connu progression de 34 % entre 2003 et 2006 passant de 0,6 M à 0,8 M. Ces subventions représentaient 4,4 % des dépenses réelles de fonctionnement en 2006 contre 3,3% en Leur niveau par habitant (34 /h en 2005, 37 /h en 2006 est nettement inférieur à la moyenne nationale (107 /h). Les sommes concernées, outre la subvention de fonctionnement versée annuellement au CCAS (0,14 M en 2006) correspondent aux subventions attribuées à une cinquantaine d associations sportives culturelles et socio-éducatives. - les charges d intérêt d emprunt sont passées de 0,2 M en 2003 à 0,25 M en 2006 soit un accroissement de 24 %. Le montant des charges financières par habitant est mesuré puisque il se situe à 11 en 2006, niveau inférieur à la moyenne nationale (42 /h en 2006). Aussi, compte tenu du niveau modéré des dépenses de personnel constaté précédemment, le coefficient de rigidité des charges de structure de la commune du Bouscat estil resté en permanence en deçà de la moyenne nationale (46,7 % en moyenne sur la période , contre 51,4 %).

4 Les recettes réelles de fonctionnement (23,8 M en 2006) L évolution globale des recettes réelles de fonctionnement a été légèrement supérieure à celle des dépenses réelles de fonctionnement (+ 10,1 % en 2006 contre 6,9 %). Toutefois, elles sont demeurées faibles (comme les dépenses réelles) représentant /h, soit un niveau nettement inférieur à la moyenne nationale (1 255 /h en 2005). Parmi ces recettes réelles de fonctionnement, la chambre a pu observer que le produit de la fiscalité directe (12,2 M en 2006) a progressé de 11 % entre 2003 et 2006 en raison d une part de la mise en place de la taxe professionnelle unique (TPU) et d autre part de l urbanisation très dense de la commune. Ainsi, la commune du Bouscat a disposé tout au long de cette période d un produit fiscal direct conséquent de l ordre de 538 /h en 2006 contre une moyenne nationale de 441 /h. La collectivité a pu préserver une relative autonomie financière dès lors que la part des contributions directes dans les recettes réelles de fonctionnement est passée de 50,3 % en 2003 à 50,9 % en Mais pour cela, la commune du Bouscat qui ne disposait encore en 2005 que d un potentiel fiscal relativement faible (inférieur de 57 à la moyenne nationale des communes de la strate) a du maintenir une pression fiscale élevée sur les ménages. En effet, en 2005, le coefficient de mobilisation du potentiel fiscal s avère supérieur d environ 17 points à la moyenne nationale. Cette situation s explique par des taux d imposition supérieurs aux moyennes nationales même si ces taux sont restés inchangés sur la période contrôlée L autofinancement (0,7 M en 2006) L autofinancement de la commune du Bouscat, après un net fléchissement en 2004, a connu une forte augmentation en Ainsi, la capacité d autofinancement disponible est passée de 0,4 M en 2003 à 0,7 M en 2006 soit un accroissement de 61 %. Cette épargne disponible représente 33 /h en 2006 soit un niveau équivalent à la moyenne des communes de la strate L équipement Les dépenses d équipement La commune du Bouscat dispose depuis 2005 d un plan prévisionnel pluriannuel des investissements (P.P.I) faisant l objet de mises à jour annuelles au moment des discussions budgétaires en fonction de la capacité d investissement de la collectivité. La Chambre retient de votre réponse que le P.P.I. de la commune du Bouscat a été actualisé après les dernières élections de mars 2008.

5 La chambre a noté que les dépenses d équipement (investissements remboursement de la dette) ont connu une forte progression entre 2003 et En effet, elles sont passées sur cette période de 3,5 M à 6,3 M. Cette tendance se confirme également en 2007 (6,4 M ). Toutefois, le niveau des dépenses d équipement ramené par habitant est resté en deçà de la moyenne nationale (280 /h contre 308 /h en 2006) Le financement des équipements En 2006, les dépenses d investissements ont été financées par l emprunt à concurrence de 37,5 %. Le recours à l emprunt représente, cette année-là, pour la commune du Bouscat 105 /h alors que la moyenne pour les communes de la même catégorie démographique dans le département de la Gironde est de 158 /h L endettement L encours de la dette a progressé sur la période de 11 % ; ramenée par habitant il se situe pour la commune à 460 en 2006 alors que la moyenne nationale est de en Quant à l annuité de la dette qui a connu une diminution de 5,5 % entre 2003 et 2006, elle représente 49 /h en 2006, ratio nettement inférieur à la moyenne de la strate (156 ). Il convient de rappeler que la commune du Bouscat a disposé tout au long de cette période d un crédit à long terme renouvelable (C.L.T.R.) de 3 M consolidé en emprunt au cours de l exercice La chambre relève que la situation financière de la commune du Bouscat se caractérise par une pression fiscale historiquement élevée expliquant le gel des taux d imposition constaté sur la période contrôlée, une maitrise des charges de gestion et une politique d investissement soutenue. III LA GESTION DES RESSOURCES HUMAINES 3.1. L environnement administratif La chambre note qu une nouvelle organisation plus rationnelle des services administratifs de la commune vient d être mise en place avec la création de pôles spécialisés. Il a pu être également constaté un renforcement de l encadrement, puisque des personnels de catégorie A ont été recrutés pour des postes de responsabilités, les chefs de services étant auparavant des personnels de catégorie C L évolution des effectifs et de la masse salariale Au 31 décembre 2007, l effectif pourvu de la commune du Bouscat (hors CCAS) est de 397 agents titulaires, en progression de 1 % par rapport à 2003.

6 6 Quant à la masse salariale, elle a progressé, comme vu précédemment, de 8 % passant de 9,8 M en 2003 à 10,6 M en Toutefois, ramenée par habitant elle est encore nettement inférieure à la moyenne de la strate (469 par habitant contre 620 en 2006) La gestion des emplois La chambre s est attachée à vérifier l application des dispositions législatives et réglementaires en matière de recrutement. Elle a relevé un certain nombre d anomalies qui sont présentées ci-après : - La publicité des vacances de postes La loi du 26 janvier 1984 dispose dans son article 41 que lorsqu un emploi est créé ou devient vacant, l autorité territoriale informe le centre de gestion compétent qui assure la publicité de cette création ou de cette vacance. Le Conseil d Etat a précisé dans un arrêt du 14 mars 1997 (département des Alpes- Maritimes) que ces dispositions légales s appliquaient également pour le recrutement des agents contractuels occupant un emploi permanent. De plus, une telle publicité doit être réalisée aussi bien lors du recrutement initial d un agent non titulaire que préalablement au renouvellement du contrat (Cour administrative d appel de Bordeaux 10 juin 1996 ; Cour administrative d appel de Marseille 9 mars 2004). Le contrôle auquel la chambre a procédé a mis en évidence que l ensemble de ces dispositions n était pas appliqué par la commune du Bouscat. Il en a été ainsi, par exemple, pour le recrutement de huit emplois d assistante maternelle pour lequel aucune publicité n a été faite. Or, l article L du code de l action sociale et des familles prévoit que les assistants maternels et les assistants familiaux employés par des collectivités territoriales sont des agents non titulaires de ces collectivités. Les dispositions particulières qui leur sont applicables compte tenu du caractère spécifique de leur activités sont fixées par voie réglementaire (articles R à R de ce code). La loi n du 27 juin 2005 a maintenu ce statut propre aux assistants maternels et familiaux employés par des personnes morales de droit public. En conséquence, les textes portant sur la publicité des vacances d emploi devaient s appliquer. La chambre a pris connaissance de votre réponse dans laquelle vous reconnaissez que : «la publicité réglementaire n a effectivement pas été suffisante. Néanmoins, le statut contractuel spécifique de cette catégorie d emploi, l évolution permanente et croissante des demandes des administrés dans le domaine de la petite enfance et la difficulté, pour une collectivité territoriale, d y répondre rapidement par d autres modes de gardes, la nécessité, pour les assistantes maternelles, d être titulaires d un agrément de la Protection Maternelle Infantile et l exigence de résider dans la commune sont autant de contraintes dans le recrutement de ces personnels».

7 7 De même, le recrutement d un contractuel «acheteur négociateur» appelle les remarques suivantes : La délibération de création du poste d acheteur négociateur par le conseil municipal a été prise le 10 février 2004, la déclaration de vacance d emploi a été enregistrée le 16 février 2004 et la signature du contrat est intervenue le 17 février Or, la réglementation et la jurisprudence prévoient que la publicité doit être suffisante pour satisfaire au principe de mobilité qui constitue une garantie fondamentale de la carrière des fonctionnaires. Pour ce faire, les collectivités territoriales doivent respecter un délai raisonnable entre la publicité et la nomination (l article 41 de la loi du 26 janvier 1984 mentionne un délai de 2 mois à compter de la publicité, décret n du 5 octobre 1987 et décret n du 26 juin 1985, CE req. n du 14 mars 1997 Département des Alpes Maritimes) ; tel n a pas été le cas lors du recrutement de l acheteur négociateur. De plus, la chambre a constaté qu à l occasion des renouvellements successifs (février 2005 et février 2006), aucune déclaration de publicité n a été faite. Enfin, la délibération exécutoire du 10 février 2004 ne remplissait pas toutes les conditions réglementaires. Ainsi, si cette délibération indique une durée de 1 an renouvelable dans la limite de 3 ans, en revanche elle ne précise pas le grade correspondant à l emploi créé et ne fait référence à aucun indice. La chambre prend acte de votre engagement à respecter la réglementation relative à la publicité des vacances de postes. - Les collaborateurs de cabinet La chambre a constaté que la commune du Bouscat n a pas pris de délibération conforme aux dispositions de l article 3 du décret n du 16 décembre 1957 afin de fixer le montant des crédits affectés au cabinet du maire. La chambre retient de votre réponse que la délibération prévue par la réglementation sera prise lors du vote du prochain budget Le régime indemnitaire La chambre a analysé sur la période l ensemble du régime indemnitaire au vu des délibérations votées par le Conseil municipal. Deux points méritent d être soulevés. - La prime de présence Par délibération en date du 23 octobre 2007, la commune du Bouscat a institué une prime pour l ensemble des agents (titulaires et non titulaires) modulée en fonction de la nature des fonctions exercées, de la manière de servir et de la présence effective au travail.

8 8 Sans remettre en cause le souhait de la collectivité d introduire une modulation du régime indemnitaire en fonction de la présence des agents, la chambre s interroge sur le fondement légal d une telle prime. La chambre souhaite tout d abord rappeler les principes suivants : D une part, l article 20 de la loi du 13 juillet 1983, précise que «Les fonctionnaires ont droit, après service fait, à une rémunération comprenant le traitement ainsi que les indemnités instituées par un texte législatif ou réglementaire». Ainsi, aucune prime ou indemnité ne peut être attribuée aux personnels territoriaux en l absence d un texte l instituant expressément. En conséquence, l autorité territoriale ou l organe délibérant ne dispose d aucun pouvoir normatif lui permettant de créer une prime. Sa compétence est strictement encadrée par les textes (CE n du 28/11/90 département du Loir et Cher). De plus, il est de jurisprudence constante qu il ne peut y avoir de prime sans texte (CE n du 18/06/93 ; M. Gaucher). D autre part, le principe de libre administration des collectivités territoriales doit être concilié avec le «principe de parité» posé par l article 88 de la loi n du 26 janvier 1984 modifiée, aux termes duquel les régimes indemnitaires sont fixés «dans la limite de ceux dont bénéficient les différents services de l Etat. Ces limites s apprécient sur la base des équivalences établies par le décret n du 6 septembre 1991 modifié. Si, en réponse à la question écrite sénatoriale n 255 du 5 juillet 2007, Mme la ministre de l intérieur, de l outre-mer et des collectivités territoriales, a rappelé que par un arrêt du 27 novembre 1992, Fédération Interco CFDT et autres, le Conseil d Etat a jugé qu une collectivité peut instituer par délibération un régime indemnitaire qui ne soit pas strictement identique à celui des corps de référence de l Etat, sous réserve de respecter le principe de parité, elle a toutefois précisé qu en «revanche, l organe délibérant ne dispose d aucun pouvoir normatif lui permettant de créer une prime et sa compétence reste encadrée par les textes précités afin de répondre au souci d équilibre entre le principe de libre administration des collectivités territoriales et le principe de parité entre fonctions publiques». Enfin, la réponse du ministre de la fonction publique à la question écrite sénatoriale n du 7 octobre 1999, posée lors de la création d une prime de présence dans une commune, rappelle que l organe délibérant peut «décider de moduler les attributions servies à chaque agent en fonction des critères qui lui sont propres et qu il aura préalablement définis, parmi lesquels peut figurer une proratisation des primes et indemnités en fonction de la présence de l agent». C est ainsi que le conseil municipal du Bouscat ne peut instituer une nouvelle indemnité mais peut créer «une modalité de répartition, fixée par l assemblée délibérante, s inscrivant dans la limite du dispositif indemnitaire de référence des personnels des préfectures».

9 Ainsi, au vu de ce qui précède la chambre estime que la prime de présence instituée par la commune du Bouscat n est pas conforme à la législation en vigueur. Il appartenait alors à la collectivité d appliquer la modulation désirée sur une prime existante. 9 Elle prend acte de votre information selon laquelle, dès le mois de janvier 2009 le conseil municipal de la commune du Bouscat devait se prononcer pour intégrer cette indemnité dans l ensemble des primes existantes. IV LES AVANTAGES EN NATURE La chambre s est intéressée tout d abord au parc automobile et plus précisément à l affectation des véhicules. En effet, la commune du Bouscat dispose de 89 véhicules dont trois ont été attribués en tant que véhicules de services avec remisage à domicile. Ces véhicules sont affectés au Directeur général des services, au Directeur des services techniques et au Directeur de cabinet. Il ressort de l analyse qui a été faite par la chambre que la commune du Bouscat devait mieux formaliser les procédures d utilisation des véhicules (élaboration d un règlement intérieur) et d affectation (autorisation écrite) dans le cas notamment des véhicules de services avec remisage à domicile. La chambre prend acte toutefois des mesures qui ont déjà été prises notamment par la mise en place d un carnet de bord dans chaque véhicule. La chambre prend acte des mesures mises en place par la commune pour mieux formaliser les procédures d attributions des véhicules. Par ailleurs, la chambre a relevé que dans le cadre de l opération «tour de France à la voile» en juillet 2005 et renouvelée en juillet 2006, la commune du Bouscat avait mis à disposition d une association un véhicule (type minibus) et la carte de ravitaillement en essence pendant le mois durant lequel l épreuve s est déroulée. Ce véhicule destiné au transport de matériel était utilisé par l équipe d assistance qui suit, par voie routière, les étapes courues par les bateaux. L équipe utilisant le véhicule a opéré des dépenses (péages et essence) sur un parcours allant de Dunkerque à Toulon pour un coût en 2006 de 1 389,95 (péage et essence). La chambre considère que cette mise à disposition du véhicule ainsi que l utilisation de la carte «essence-péage» doit être considérée comme une subvention au profit de l association. En conséquence, le conseil municipal de la commune du Bouscat devait se prononcer par délibération sur cette aide. En outre, dans un souci de bonne gestion et de sécurité juridique, il aurait été souhaitable que la commune du Bouscat passe une convention avec ladite association. La chambre relève de votre réponse qu une note de services a été diffusée afin d éviter que se renouvelle une telle situation. Concernant les logements de fonction, la chambre rappelle qu il s agit d un avantage en nature lorsque le logement est attribué à titre gratuit quand bien même leurs bénéficiaires sont soumis à un régime d astreintes. Dès lors, il appartient à la commune de mentionner cet avantage sur la feuille de paie et de le mentionner sur la déclaration annuelle des salaires.

10 10 La chambre vous demande de veiller dorénavant à l application de ces dispositions. Elle prend acte de votre engagement à respecter d dorénavant cette obligation. En application des dispositions de l article L du code des juridictions financières, le présent rapport d observations définitives de la chambre accompagné de votre réponse doit faire l objet d une inscription à l ordre du jour de la plus proche réunion de l assemblée délibérante. Il doit être joint à la convocation de chacun de ses membres et doit faire l objet d un débat. La chambre vous serait obligée de lui faire connaître dans quelles conditions aura été réalisée cette communication. En outre, j appelle votre attention sur le fait que ce rapport deviendra communicable à tout tiers demandeur dès qu aura eu lieu la réunion précitée. Je vous informe qu une copie du présent rapport est transmise au préfet et au trésorier-payeur général du département de la Gironde, en application de l article R du code des juridictions financières. distinguée. Je vous prie de croire, Monsieur le Maire, à l expression de ma considération Bernard GIREL conseiller maître à la cour des comptes

Le Président, Bordeaux, le 15 septembre 2011

Le Président, Bordeaux, le 15 septembre 2011 Le Président, Bordeaux, le 15 septembre 2011 Références à rappeler : CM/JPR/RODII/064 036 931 Monsieur le Directeur, Par lettre du 21 janvier 2011, vous avez été informé que la chambre régionale des comptes

Plus en détail

Bordeaux, le 22 mars 2010. Le Président Références à rappeler : Ch.R//CB/ROD II/ /033017992. Monsieur le Président,

Bordeaux, le 22 mars 2010. Le Président Références à rappeler : Ch.R//CB/ROD II/ /033017992. Monsieur le Président, Le Président Références à rappeler : Ch.R//CB/ROD II/ /033017992 Bordeaux, le 22 mars 2010 Monsieur le Président, Par lettre du 9 septembre 2008, vous avez été informé que la Chambre régionale des comptes

Plus en détail

Madame la Maire, Je vous prie d agréer, Madame la Maire, l expression de ma considération la plus distinguée.

Madame la Maire, Je vous prie d agréer, Madame la Maire, l expression de ma considération la plus distinguée. La Présidente Lyon, le 22 Juillet 2013 N Recommandée avec A.R. REF : ma lettre n 508 du 20 juin 2013 P.J. : 1 Madame la Maire, Par lettre citée en référence, je vous ai communiqué le rapport d observations

Plus en détail

QUALITE DES INTERVENANTS DANS LE CADRE DES REGIES POSITIONNEMENT DES INTERVENANTS DANS LE CADRE DES REGIES II-1

QUALITE DES INTERVENANTS DANS LE CADRE DES REGIES POSITIONNEMENT DES INTERVENANTS DANS LE CADRE DES REGIES II-1 II-1 BASE REGLEMENTAIRE - Article 22 du décret n 2012-1246 du 7 novembre 2012 relatif à la gestion budgétaire et comptable publique (GBCP) ; - Article R.1617-3 à R.1617-5-2 et R.1617-17 du Code général

Plus en détail

Délibération n 23 Conseil municipal du 30 mars 2012

Délibération n 23 Conseil municipal du 30 mars 2012 Direction Générale Organisation et Ressources Humaines Direction des Ressources Humaines Délibération n 23 Conseil municipal du 30 mars 2012 Personnel municipal - Adaptation du tableau des effectifs -

Plus en détail

LES GARANTIES D EMPRUNT

LES GARANTIES D EMPRUNT LES GARANTIES D EMPRUNT (Compte 801.5) Fiche n 1 Définition Les garanties d emprunt entrent dans la catégorie des engagements hors bilan parce qu une collectivité peut accorder sa caution à une personne

Plus en détail

Le Président N /G//06-1190 B

Le Président N /G//06-1190 B C20 G/MCL Le Président N /G//06-1190 B N 06-0461 R RECOMMANDE AVEC A.R. NOISIEL, le 16 NOV. 2006 Monsieur le Maire, Je vous prie de bien vouloir trouver ci-joint le rapport comportant les observations

Plus en détail

Vous voudrez bien indiquer au greffe de la juridiction la date de cette réunion.

Vous voudrez bien indiquer au greffe de la juridiction la date de cette réunion. Le Président REF. : N 1027 Poitiers, le 29 décembre 2006 Rod2-1 RECOMMANDE AVEC A.R. Monsieur le Maire, Le rapport d observations définitives sur la gestion de la commune de Saint-Sauveur-d Aunis, arrêté

Plus en détail

VILLE DE CRUSEILLES (Haute-Savoie)

VILLE DE CRUSEILLES (Haute-Savoie) VILLE DE CRUSEILLES (Haute-Savoie) CONSEIL MUNICIPAL DU 03 SEPTEMBRE 2015 NOTE DE SYNTHESE PERSONNEL 1- Personnel du service Animation : Augmentation du temps de travail 2- Suppression et création d un

Plus en détail

LEVET COMMUNE DE LEVET

LEVET COMMUNE DE LEVET LEVET COMMUNE DE LEVET Conseil Municipal du 4 juin 2015 Le Compte Administratif présenté aujourd hui découle de la gestion de l exercice 2014 : il constitue notre socle de gestion pour l avenir. Compte

Plus en détail

PACTE D ADMINISTRATION COMMUNE ENTRE LA VILLE ET L AGGLOMERATION D AGEN

PACTE D ADMINISTRATION COMMUNE ENTRE LA VILLE ET L AGGLOMERATION D AGEN Date de mise à jour : 3 décembre 2014 Entre PACTE D ADMINISTRATION COMMUNE ENTRE LA VILLE ET L AGGLOMERATION D AGEN ( Convention de création d un service commun en application de l article L 5211-4-2 du

Plus en détail

Prospective financière Saint-Etienne Métropole 2011 2014. Dossier de presse Conseil de Communauté Jeudi 24 juin 2010

Prospective financière Saint-Etienne Métropole 2011 2014. Dossier de presse Conseil de Communauté Jeudi 24 juin 2010 Prospective financière Saint-Etienne Métropole 2011 2014 Dossier de presse Conseil de Communauté Jeudi 24 juin 2010 COMPTE ADMINISTRATIF 2009 Des résultas de gestion satisfaisants mais une marge de manœuvre

Plus en détail

LA FORMATION DES AGENTS DE LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE

LA FORMATION DES AGENTS DE LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE CENTRE DE GESTION DE MAINE ET LOIRE NOTE D INFORMATION MARS 2008 Mise à jour JUIN 2009 (Annule et remplace la précédente) LA FORMATION DES AGENTS DE LA FONCTION PUBLIQUE

Plus en détail

AUDIT FINANCIER ET FISCAL DE LA COMMUNE COMMUNE DE SAINT-JULIEN EN GENEVOIS

AUDIT FINANCIER ET FISCAL DE LA COMMUNE COMMUNE DE SAINT-JULIEN EN GENEVOIS AUDIT FINANCIER ET FISCAL DE LA COMMUNE COMMUNE DE SAINT-JULIEN EN GENEVOIS Le 4 février 2015 Jean-Pierre COBLENTZ Adel KARMOUS STRATORIAL FINANCES www.stratorial-finances.fr Tour GAMMA A 193 rue de Bercy

Plus en détail

Le budget, c est combien? C est quoi?

Le budget, c est combien? C est quoi? Le budget, c est combien? C est quoi? Pourquoi cette plaquette? Parce que l équipe municipale prélève et gère, dans la recherche de l intérêt commun, une partie de vos ressources, nous sommes comptables

Plus en détail

PRESENTS : Mesdames B. BALMET - M. BERNARD-GUELLE - S. DUPISSON - G. FRIER A.HENRY - MA. SUCHEL - E. VEZZU. Madame A. CHEVALLET à Monsieur D.

PRESENTS : Mesdames B. BALMET - M. BERNARD-GUELLE - S. DUPISSON - G. FRIER A.HENRY - MA. SUCHEL - E. VEZZU. Madame A. CHEVALLET à Monsieur D. , Maire de la Commune de Noyarey. DELIBERATION N 2009/069 DEMANDE AUPRES DE L EPFL-RG DE PROLONGATION DE LA PERIODE DE RESERVE FONCIERE DE LA PROPRIETE EX-CHAVANNE, CADASTREE AB 15 et AB 17 A 20. Monsieur,

Plus en détail

COMPTE RENDU DE LA SÉANCE DU CONSEIL MUNICIPAL DU 13 Janvier 2014

COMPTE RENDU DE LA SÉANCE DU CONSEIL MUNICIPAL DU 13 Janvier 2014 COMPTE RENDU DE LA SÉANCE DU CONSEIL MUNICIPAL DU 13 Janvier 2014 L an deux mille quatorze, le treize du mois de janvier, le Conseil Municipal de la Commune de la Mothe-Achard, dûment convoqué par Monsieur

Plus en détail

COMPTE-RENDU de la SEANCE du CONSEIL MUNICIPAL du 19 DECEMBRE 2013

COMPTE-RENDU de la SEANCE du CONSEIL MUNICIPAL du 19 DECEMBRE 2013 Mairie de Trèves (Rhône) 450 route des Deux Vallées 69420 TREVES COMPTE-RENDU de la SEANCE du CONSEIL MUNICIPAL du 19 DECEMBRE 2013 Le Conseil Municipal, dûment convoqué le 13 décembre 2013 s est réuni

Plus en détail

Marché : N DAF/AUDIT COMPT FINANCIER/18-08

Marché : N DAF/AUDIT COMPT FINANCIER/18-08 ROYAUME DU MAROC AGENCE POUR LA PROMOTION ET LE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE ET SOCIAL DES PREFECTURES ET POVINCES DU NORD DU ROYAUME... Marché : N DAF/AUDIT COMPT FINANCIER/18-08 OBJET : L AUDIT COMPTABLE

Plus en détail

COMPRENDRE LE BUDGET MUNICIPAL

COMPRENDRE LE BUDGET MUNICIPAL COMPRENDRE LE BUDGET MUNICIPAL Le vote du budget constitue l acte politique majeur de la vie de la collectivité. Il doit impérativement être voté avant le 31 mars de l année qu il intéresse. Toutefois,

Plus en détail

DOMICILIATION DES ENTREPRISES ET EXERCICE DE L'ACTIVITE CHEZ SOI

DOMICILIATION DES ENTREPRISES ET EXERCICE DE L'ACTIVITE CHEZ SOI DOMICILIATION DES ENTREPRISES ET EXERCICE DE L'ACTIVITE CHEZ SOI 30/01/2014 La domiciliation de l entreprise, correspond à l adresse administrative de l entreprise, qui doit être déclarée au CFE (Centre

Plus en détail

CONSEIL COMMUNAUTAIRE DU 10 AVRIL 2008 NOTE DE SYNTHESE

CONSEIL COMMUNAUTAIRE DU 10 AVRIL 2008 NOTE DE SYNTHESE CONSEIL COMMUNAUTAIRE DU 1 AVRIL 28 NOTE DE SYNTHESE L an deux mille huit, le dix avril, le Conseil communautaire s est réuni en séance ordinaire sous la présidence de Patrick PETITJEAN, Président. Nombre

Plus en détail

APPROBATION DU PROCÈS-VERBAL DU 3 DECEMBRE 2014

APPROBATION DU PROCÈS-VERBAL DU 3 DECEMBRE 2014 MAIRIE de CHENAC ST SEURIN D UZET PROCES VERBAL Réunion du CONSEIL MUNICIPAL du 18 février 2015 L an deux mil quinze, le dix-huit février à vingt heures trente, les membres du Conseil Municipal de la commune

Plus en détail

Mme Élise MOURA souhaite que soient remis dans la délibération les tarifs du marché comportant l abonnement annuel.

Mme Élise MOURA souhaite que soient remis dans la délibération les tarifs du marché comportant l abonnement annuel. COMPTE-RENDU DU CONSEIL MUNICIPAL L an deux mil douze, le treize novembre, le Conseil Municipal de la Commune du Porge, dûment convoqué s est réuni en séance ordinaire, à la Mairie, sous la présidence

Plus en détail

COMMUNE DE PERIGNY-SUR-YERRES COMPTE RENDU CONSEIL MUNICIPAL SEANCE DU 13 DECEMBRE 2010

COMMUNE DE PERIGNY-SUR-YERRES COMPTE RENDU CONSEIL MUNICIPAL SEANCE DU 13 DECEMBRE 2010 COMMUNE DE PERIGNY-SUR-YERRES COMPTE RENDU CONSEIL MUNICIPAL SEANCE DU 13 DECEMBRE 2010 Etaient présents : MM & Mme : G. URLACHER, G. LE LAY, F. TARTIVEL, J. MARTINEAU, D. PERRAU, P. LE LOARER, Maires

Plus en détail

REUNION DU CONSEIL MUNICIPAL DU 17 MAI 2011

REUNION DU CONSEIL MUNICIPAL DU 17 MAI 2011 DEPARTEMENT DE SEINE MARITIME MAIRIE DE SAINT PIERRE DE MANNEVILLE ARRONDISSEMENT DE ROUEN CANTON DE GRAND COURONNE CONVOCATION DU 9 MAI 2011 REUNION DU CONSEIL MUNICIPAL DU 17 MAI 2011 Le 17 mai 2011,

Plus en détail

LA MISE EN PLACE DE LA PRIME DE FONCTIONS ET DE RESULTATS

LA MISE EN PLACE DE LA PRIME DE FONCTIONS ET DE RESULTATS Réf. : CDG-INFO2011-2/CDE Date : le 21 février 2011 MISE A JOUR DU 20 NOVEMBRE 2014 Personnes à contacter : Christine DEUDON - Sylvie TURPAIN : 03.59.56.88.48/58 Suite à la parution de l arrêté du 23/10/2014

Plus en détail

MONTGERON TOUT CE QUE VOUS DEVEZ SAVOIR SUR LA SITUATION FINANCIÈRE DE LA VILLE DE

MONTGERON TOUT CE QUE VOUS DEVEZ SAVOIR SUR LA SITUATION FINANCIÈRE DE LA VILLE DE TOUT CE QUE VOUS DEVEZ SAVOIR SUR LA SITUATION FINANCIÈRE DE LA VILLE DE MONTGERON FISCALITÉ, ENDETTEMENT, FONCTIONNEMENT, INVESTISSEMENT, ÉQUIPEMENTS PUBLICS, ÉPARGNE, CRÉDIT, SERVICES PUBLICS CHIFFRES

Plus en détail

Conseil municipal du 19 décembre 2013

Conseil municipal du 19 décembre 2013 BUDGET PRIMITIF 2014 Conseil municipal du 19 décembre 2013 1 Un budget stable hors impact des rythmes scolaires Des dépenses de fonctionnement globales en croissance de 2,99 % par rapport au BP 2013. Mais

Plus en détail

Nomination et renouvellement de MCF et PR associé à temps plein

Nomination et renouvellement de MCF et PR associé à temps plein Enseignants associés Référence : décret n 85-733 du 17 juillet 1985 modifié décret n 2007-772 du 10 mai 2007 et arrêté du 10 mai 2007 Le régime de l association régi par le décret n 85-733 du 17 juillet

Plus en détail

COMPTE RENDU DU CONSEIL MUNICIPAL. Séance du 29 décembre 2008

COMPTE RENDU DU CONSEIL MUNICIPAL. Séance du 29 décembre 2008 Date de convocation :12/12/2008 COMPTE RENDU DU CONSEIL MUNICIPAL Séance du 29 décembre 2008 L an deux mil huit, le vingt neuf décembre à 18 heures, le Conseil Municipal de la commune de SAINT LAMBERT

Plus en détail

Le budget 2013. Présentation par M. Pascal BOLO, Adjoint aux Finances. Conseil Municipal du

Le budget 2013. Présentation par M. Pascal BOLO, Adjoint aux Finances. Conseil Municipal du Le budget 2013 Présentation par M. Pascal BOLO, Adjoint aux Finances Conseil Municipal du 8 février 2013 Les documents budgétaires : Le budget selon la nomenclature M14; Les documents annexes; Le budget

Plus en détail

STATUTS le 4 février 2011

STATUTS le 4 février 2011 STATUTS le 4 février 2011 Statuts de l EID Atlantique 1 Préambule : Vu le code général des collectivités territoriales (CGCT) et notamment ses articles L. 5421-1 et suivants et R. 5421-1 et suivants ;

Plus en détail

LE DELEGUE INTERMINISTERIEL A LA SECURITE ROUTIERE A MESDAMES ET MESSIEURS LES PREFETS MONSIEUR LE PREFET DE POLICE

LE DELEGUE INTERMINISTERIEL A LA SECURITE ROUTIERE A MESDAMES ET MESSIEURS LES PREFETS MONSIEUR LE PREFET DE POLICE PREMIER MINISTRE Le Délégué Interministériel à la Sécurité Routière LE DELEGUE INTERMINISTERIEL A LA SECURITE ROUTIERE A MESDAMES ET MESSIEURS LES PREFETS MONSIEUR LE PREFET DE POLICE OBJET: Agrément des

Plus en détail

ARRETE NOR: EQUS0100026A. Version consolidée au 27 mars 2015

ARRETE NOR: EQUS0100026A. Version consolidée au 27 mars 2015 ARRETE Arrêté du 8 janvier 2001 relatif à l exploitation des établissements d enseignement, à titre onéreux, de la conduite des véhicules à moteur et de la sécurité routière. NOR: EQUS0100026A Version

Plus en détail

COMMUNE DE BOUFFEMONT

COMMUNE DE BOUFFEMONT BOUFFEMONT DEPARTEMENT DU VAL-D'OISE COMMUNE DE BOUFFEMONT Acte d engagement LOT UNIQUE DOMMAGE AUX BIENS, TOUS RISQUES EXPOSITION,TOUS RISQUES INFORMATIQUES ET APPAREILS A COURANT FAIBLE FLOTTE AUTOMOBILE

Plus en détail

PREPARATION BUDGET PRIMITIF 2015. Commune de Poisat 23 février 2015

PREPARATION BUDGET PRIMITIF 2015. Commune de Poisat 23 février 2015 PREPARATION BUDGET PRIMITIF 2015 Commune de Poisat 23 février 2015 Sommaire Le budget communal : quelques points de compréhension 1. Principes budgétaires 2. Préparation du budget 3. Exécution du budget

Plus en détail

NOTA : article L.3221-11-1 pour les départements et article L.4231-8-1 pour les régions.

NOTA : article L.3221-11-1 pour les départements et article L.4231-8-1 pour les régions. L ordonnance n 2005-645 du 6 juin 2005 relative aux procédures de passation des marchés publics des collectivités territoriales] introduit trois nouveaux articles au code général des collectivités territoriales

Plus en détail

Comment remplir le dossier de demande subvention?

Comment remplir le dossier de demande subvention? Comment remplir le dossier de demande subvention? Ville de Suresnes année 2015 Le dossier de demande de subvention est à déposer en 3 exemplaires avant le 5 décembre 2014 Au service Vie Associative 6 rue

Plus en détail

JOURNAL OFFICIEL DE LA REPUBLIQUE ALGERIENNE N 42 11

JOURNAL OFFICIEL DE LA REPUBLIQUE ALGERIENNE N 42 11 JOURNAL OFFICIEL DE LA REPUBLIQUE ALGERIENNE N 42 11 Décret présidentiel n 14-196 du 8 Ramadhan 1435 correspondant au 6 juillet 2014 portant organisation et gestion de la formation et du perfectionnement

Plus en détail

LA DISSOLUTION DES EPCI ET DES SYNDICATS MIXTES

LA DISSOLUTION DES EPCI ET DES SYNDICATS MIXTES LA DISSOLUTION DES EPCI ET DES SYNDICATS MIXTES La loi n 2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales (loi RCT) a profondément modifié la procédure administrative de dissolution

Plus en détail

Conventionnement. Madame, Monsieur,

Conventionnement. Madame, Monsieur, DELEGATION... Conventionnement N de convention : hhhhhhhhhhhhhhhhhhhh la présente convention a été validée par l Anah le hh hh hhhh Signature N 12 808*05 Réservé à l Anah CONVENTION À LOYER SOCIAL OU TRÈS

Plus en détail

Présentation des indicateurs techniques du Budget Général

Présentation des indicateurs techniques du Budget Général Présentation des indicateurs techniques du Budget Général Thomas Duquesne Février 2015 Pourquoi utiliser des indicateurs techniques? Notre compte administratif (bilan comptable annuel) est contrôlé par

Plus en détail

REUNION DU CONSEIL MUNICIPAL D AMFREVILLE JEUDI 30 OCTOBRE 2010

REUNION DU CONSEIL MUNICIPAL D AMFREVILLE JEUDI 30 OCTOBRE 2010 REUNION DU CONSEIL MUNICIPAL D AMFREVILLE JEUDI 30 OCTOBRE 2010 PRESENTS : M. X. MADELAINE, Maire ; L.AUGUSTE, L.PARDOEN, E.DELAUNAY, R.FOLTETE, B.LEDRU, P.GOUPIL, C.LECHARPENTIER, B.NUYTEN, N.DUPUIS,

Plus en détail

AU NOM DU PEUPLE FRANÇAIS LA CHAMBRE REGIONALE DES COMPTES D AUVERGNE, STATUANT EN SECTION

AU NOM DU PEUPLE FRANÇAIS LA CHAMBRE REGIONALE DES COMPTES D AUVERGNE, STATUANT EN SECTION CHAMBRE REGIONALE DES COMPTES D'AUVERGNE COMMUNE DE CERILLY N codique : 003 015 048 Département : Allier Trésorerie de Cérilly-Ainay-Le-Château Exercices 2004 et 2005 Audience publique du 9 juin 2010 Lecture

Plus en détail

Copyright DGAFP - http://bjfp.fonction-publique.gouv.fr - 19/03/2014 15:07:58

Copyright DGAFP - http://bjfp.fonction-publique.gouv.fr - 19/03/2014 15:07:58 Circulaire FP n 2164 du 13 juin 2008 relative à la mise en œuvre du décret n 2008-539 du 6 juin 2008 relatif à l instauration d une indemnité dite de garantie individuelle du pouvoir d achat MINISTERE

Plus en détail

Présentation des indicateurs techniques du Budget Général

Présentation des indicateurs techniques du Budget Général Présentation des indicateurs techniques du Budget Général Thomas Duquesne conseil du 17 octobre 2014 Pourquoi utiliser des indicateurs techniques? Notre compte administratif (bilan comptable annuel) est

Plus en détail

PREFECTURE DE LA REGION AQUITAINE

PREFECTURE DE LA REGION AQUITAINE PREFECTURE DE LA REGION AQUITAINE DIRECTION REGIONALE DE L ALIMENTATION DE L AGRICULTURE & DE LA FORET Service Régional de la Forêt & du Bois Arrêté du 13 août 2009 conditions de financement par des aides

Plus en détail

Le ministre de l'intérieur. La ministre des sports, de la jeunesse, de l éducation populaire et de la vie associative

Le ministre de l'intérieur. La ministre des sports, de la jeunesse, de l éducation populaire et de la vie associative MINISTERE DE L INTERIEUR MINISTERE DES SPORTS, DE LA JEUNESSE, DE L EDUCATION POPULAIRE ET DE LA VIE ASSOCIATIVE SECRETARIAT GENERAL DIRECTION DE LA MODERNISATION ET DE L ACTION TERRITORIALE SOUS-DIRECTION

Plus en détail

TEXTE ADOPTE no 511 Petite loi ASSEMBLEE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 ONZIEME LEGISLATURE SESSION ORDINAIRE DE 1999-2000 23 mai 2000 PROJET DE LOI ADOPTE PAR L ASSEMBLEE NATIONALE EN NOUVELLE

Plus en détail

No 2487 ASSEMBLÉE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 ONZIÈME LÉGISLATURE Enregistré à la Présidence de l'assemblée nationale le 21 juin 2000. PROJET DE LOI MODIFIE PAR LE SENAT EN NOUVELLE LECTURE

Plus en détail

LA REFORME DES PRESCRIPTIONS CIVILES

LA REFORME DES PRESCRIPTIONS CIVILES LA REFORME DES PRESCRIPTIONS CIVILES Plus de 250 régimes de prescription différents selon la cour de cassation, des délais souvent inadaptés, des points de départ différents, des divergences importantes

Plus en détail

Les crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 2014

Les crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 2014 Les crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 214 Gwenaëlle FEGAR Direction des Statistiques monétaires et financières Service d Analyse des financements nationaux Après une forte progression

Plus en détail

LE CHAMP D APPLICATION

LE CHAMP D APPLICATION LES TEXTES Loi n 2001-420 du 15 mai 2001 relative aux nouvelles régulations économiques (art. 54 et 55) Décret n 2002-231 du 21 février 2002 modifiant le décret du 7 mars 2001 portant code des marchés

Plus en détail

N 728 SESSION EXTRAORDINAIRE DE 2011-2012. Enregistré à la Présidence du Sénat le 31 juillet 2012 PROPOSITION DE LOI

N 728 SESSION EXTRAORDINAIRE DE 2011-2012. Enregistré à la Présidence du Sénat le 31 juillet 2012 PROPOSITION DE LOI N 728 SÉNAT SESSION EXTRAORDINAIRE DE 2011-2012 Enregistré à la Présidence du Sénat le 31 juillet 2012 PROPOSITION DE LOI relative au statut juridique des gens du voyage et à la sauvegarde de leur mode

Plus en détail

Décrets, arrêtés, circulaires

Décrets, arrêtés, circulaires Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DES FINANCES ET DES COMPTES PUBLICS Décret n o 2014-444 du 29 avril 2014 relatif au fonds de soutien aux collectivités territoriales et à certains

Plus en détail

QU'EST-CE QU'UNE MAISON D ASSISTANTS MATERNELS (MAM)? QUI EST L EMPLOYEUR DES ASSISTANTS MATERNELS?

QU'EST-CE QU'UNE MAISON D ASSISTANTS MATERNELS (MAM)? QUI EST L EMPLOYEUR DES ASSISTANTS MATERNELS? Mise à jour Septembre 2011 Un assistant maternel est agréé par le Conseil général. Il peut moyennant rémunération, accueillir habituellement et de façon non permanente des mineurs : - à son domicile (art.

Plus en détail

DELIBERATION N 12-1478 29 OCTOBRE 2012

DELIBERATION N 12-1478 29 OCTOBRE 2012 DELIBERATION N 12-1478 29 OCTOBRE 2012 FONCIER Interventions foncières stratégiques Dispositif régional en sortie de portage de l'etablissement Public Foncier Provence-Alpes-Côte d'azur (EPF PACA) Affectation

Plus en détail

dénommé ci-après le «propriétaire», dénommé ci-après le «gestionnaire», Vu l objet de la Résidence Sociale tel que défini à l annexe I ;

dénommé ci-après le «propriétaire», dénommé ci-après le «gestionnaire», Vu l objet de la Résidence Sociale tel que défini à l annexe I ; CONVENTION N...... CONCLUE ENTRE L ETAT, L ORGANISME PROPRIETAIRE, L ORGANISME GESTIONNAIRE EN APPLICATION DE L ARTICLE L.353.2 DU CODE DE LA CONSTRUCTION ET DE L HABITATION PORTANT SUR LES RESIDENCES

Plus en détail

ANALYSE FINANCIERE DE LA COMMUNE D ITANCOURT.

ANALYSE FINANCIERE DE LA COMMUNE D ITANCOURT. ANALYSE FINANCIERE DE LA COMMUNE D ITANCOURT. -=-=-=- L étude porte sur la situation à la clôture de l exercice 2 (se reporter au compte administratif de 2). Il n est pas tenu compte du budget annexe du

Plus en détail

«AMICALE DES CADRES DE LA POLICE NATIONALE ET DE LA SECURITE INTERIEURE» «ACPNSI»

«AMICALE DES CADRES DE LA POLICE NATIONALE ET DE LA SECURITE INTERIEURE» «ACPNSI» «AMICALE DES CADRES DE LA POLICE NATIONALE ET DE LA SECURITE INTERIEURE» «ACPNSI» Mutuelle régie par les dispositions du Livre III du Code de la mutualité et immatriculée au registre national des mutuelles

Plus en détail

ANALYSE FINANCIERE DES COMPTES ANNEXES D EAU ET D ASSAINISSEMENT DE LA CAB!

ANALYSE FINANCIERE DES COMPTES ANNEXES D EAU ET D ASSAINISSEMENT DE LA CAB! ANALYSE FINANCIERE DES COMPTES ANNEXES D EAU ET D ASSAINISSEMENT DE LA CAB! 16 septembre 2014 Caroline GRAOUER & Christian ESCALLIER Cabinet Michel Klopfer 6 bis, rue de Larminat 75015 Paris Tél. : 01

Plus en détail

RECOMMANDATIONS DÉPARTEMENTALES. Pour les Maisons d assistants maternels (MAM)

RECOMMANDATIONS DÉPARTEMENTALES. Pour les Maisons d assistants maternels (MAM) RECOMMANDATIONS DÉPARTEMENTALES Pour les Maisons d assistants maternels (MAM) Edition 2008 2013 CDAJE 38 Commission départementale de l accueil des jeunes enfants CDAJE 38 1 Par dérogation à l article

Plus en détail

Présentation au conseil municipal 16 décembre 2014. Débat. d Orientation. Budgétaire 2015

Présentation au conseil municipal 16 décembre 2014. Débat. d Orientation. Budgétaire 2015 Présentation au conseil municipal 16 décembre 2014 Débat d Orientation Budgétaire 2015 Le budget 2015 sera le premier de ce nouveau mandat 2014-2020 Il est construit sur le Plan de mandat financier en

Plus en détail

GUIDE PYRAMIDE DES CONDITIONS D'AVANCEMENT DE GRADE ET DE PROMOTION INTERNE

GUIDE PYRAMIDE DES CONDITIONS D'AVANCEMENT DE GRADE ET DE PROMOTION INTERNE VOS CONTACTS Marie-Christine DEVAUX Responsable de la direction «développement des carrières» Christine DEUDON 03.59.56.88.48 Sylvie TURPAIN 03.59.56.88.58 Communes de l arrondissement de : Lignes directes

Plus en détail

CDG 68. Interface Internet

CDG 68. Interface Internet CDG 68 Interface Internet BOURSE DE L EMPLOI GUIDE UTILISATEUR 22, Rue Wilson 68000 COLMAR Tél. :03.89.20.36.00 Fax :03.89.20.36.29 Courriel : cdg68@calixo.net Internet : http://www.cdg68.fr Sommaire INTERFACE

Plus en détail

PERSPECTIVES FINANCIERES DES PETITES VILLES

PERSPECTIVES FINANCIERES DES PETITES VILLES PERSPECTIVES FINANCIERES DES PETITES VILLES La participation des communes au plan d économies initié par l Etat va modifier substantiellement les équilibres financiers des collectivités locales et notamment

Plus en détail

CONTRAT DE SYNDIC N. 96-98, rue du Théâtre (Angle avenue Emile Zola) - 75015 PARIS - Tél. : 01 45 79 89 49 - Fax : 01 45 79 98 29

CONTRAT DE SYNDIC N. 96-98, rue du Théâtre (Angle avenue Emile Zola) - 75015 PARIS - Tél. : 01 45 79 89 49 - Fax : 01 45 79 98 29 GESTION DE PATRIMOINE SYNDIC DE COPROPRIETE TRANSACTION FONDS DE COMMERCE EXPERTISE LOCATION 1 CONTRAT DE SYNDIC N ENTRE LES SOUSSIGNES : Le SYNDICAT DES COPROPRIETAIRES de l immeuble : RESIDENCE VASCO

Plus en détail

MODELE DE CONTRAT DE TRAVAIL A DUREE INDETERMINEE ENTRE PARENTS ET ASSISTANTES MATERNELLES

MODELE DE CONTRAT DE TRAVAIL A DUREE INDETERMINEE ENTRE PARENTS ET ASSISTANTES MATERNELLES MODELE DE CONTRAT DE TRAVAIL A DUREE INDETERMINEE ENTRE PARENTS ET ASSISTANTES MATERNELLES Ce modèle a une fonction d information La Convention Collective Nationale des assistants maternels du particulier

Plus en détail

VILLE DE FROUARD PRESTATIONS NETTOYAGE DES VITRES DES BATIMENTS COMMUNAUX CAHIER DES CLAUSES ADMINISTRATIVES PARTICULIERES (C.C.A.

VILLE DE FROUARD PRESTATIONS NETTOYAGE DES VITRES DES BATIMENTS COMMUNAUX CAHIER DES CLAUSES ADMINISTRATIVES PARTICULIERES (C.C.A. VILLE DE FROUARD PRESTATIONS NETTOYAGE DES VITRES DES BATIMENTS COMMUNAUX CAHIER DES CLAUSES ADMINISTRATIVES PARTICULIERES (C.C.A.P) (le présent cahier des clauses administratives contient 10 pages dont

Plus en détail

Le baromètre. Dauphine-Crédit Foncier. de l immobilier résidentiel. Tendance globale

Le baromètre. Dauphine-Crédit Foncier. de l immobilier résidentiel. Tendance globale Le baromètre Dauphine-Crédit Foncier de l immobilier résidentiel Tendance globale N. 3 Juin 2011 Kevin Beaubrun-Diant, co-responsable de la chaire «Ville et Immobilier», Université Paris-Dauphine. Cette

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE. Les dates clés de la Coddem

DOSSIER DE PRESSE. Les dates clés de la Coddem 6 ème séance plénière lundi 14 avril 2014 DOSSIER DE PRESSE La commission départementale de la démographie médicale : l instance incontournable en Lot-et-Garonne pour mettre en place un nouvel exercice

Plus en détail

PARIS, le 20 Juin 2000 LE MINISTRE DE L INTERIEUR MESDAMES ET MESSIEURS LES PREFETS

PARIS, le 20 Juin 2000 LE MINISTRE DE L INTERIEUR MESDAMES ET MESSIEURS LES PREFETS DIRECTION DE LA PROGRAMMATION, DES AFFAIRES FINANCIERES ET IMMOBILIERES PARIS, le 20 Juin 2000 SOUS-DIRECTION DES AFFAIRES FINANCIERES BUREAU DE LA COMPTABILITE CENTRALE ET DE L'ORGANISATION FINANCIERE

Plus en détail

BURKINA FASO ---------- Unité Progrès Justice MAIRIE ------------ SECRETARIAT GENERAL ------------- DIRECTION DE L ADMINISTRATION GENERALE

BURKINA FASO ---------- Unité Progrès Justice MAIRIE ------------ SECRETARIAT GENERAL ------------- DIRECTION DE L ADMINISTRATION GENERALE COMMUNE DE BOBO-DIOULASSO BURKINA FASO ---------- Unité Progrès Justice MAIRIE ------------ SECRETARIAT GENERAL ------------- DIRECTION DE L ADMINISTRATION GENERALE PROJET D ARRETE N 2014 /CB/M/SG PORTANT

Plus en détail

Extension de l accord du 24 juin 2010 relatif à l activité de portage salarial

Extension de l accord du 24 juin 2010 relatif à l activité de portage salarial CIRCULAIRE N 2013-15 DU 18 JUILLET 2013 Direction des Affaires Juridiques INSV0014-ACE Titre Portage salarial Objet Extension de l accord du 24 juin 2010 relatif à l activité de portage salarial Unédic

Plus en détail

ACCORD SUR L EGALITE PROFESSIONNELLE ENTRE LES HOMMES ET LES FEMMES

ACCORD SUR L EGALITE PROFESSIONNELLE ENTRE LES HOMMES ET LES FEMMES Caisse Régionale de CREDIT AGRICOLE MUTUEL de la TOURAINE et du POITOU ACCORD SUR L EGALITE PROFESSIONNELLE ENTRE LES HOMMES ET LES FEMMES Entre les Soussignés : La CAISSE REGIONALE DE CREDIT AGRICOLE

Plus en détail

DISPOSITIF EN FAVEUR DU POUVOIR D ACHAT DES FONCTIONNAIRES GIPA 2008

DISPOSITIF EN FAVEUR DU POUVOIR D ACHAT DES FONCTIONNAIRES GIPA 2008 DISPOSITIF EN FAVEUR DU POUVOIR D ACHAT DES FONCTIONNAIRES GIPA 2008 Eric WOERTH Ministre du Budget, des Comptes publics et de la Fonction publique et André SANTINI Secrétaire d État chargé de la Fonction

Plus en détail

I. Description générale du dispositif. 1) date limite de dépôt des dossiers :

I. Description générale du dispositif. 1) date limite de dépôt des dossiers : Fonds de soutien aux collectivités territoriales et à certains établissements publics ayant souscrit des contrats de prêt ou des contrats financiers structurés à risque les plus sensibles I. Description

Plus en détail

CONVENTION. Bordeaux Gironde Investissement 2011

CONVENTION. Bordeaux Gironde Investissement 2011 POLE DEVELOPPEMENT DURABLE ET RAYONNEMENT METROPOLITAIN DIRECTION DES ENTREPRISES ET DE L ATTRACTIVITE Service du portage des projets économiques CONVENTION Bordeaux Gironde Investissement 2011 Entre :

Plus en détail

Prime de service et de rendement (P.S.R.)

Prime de service et de rendement (P.S.R.) Prime de service et de rendement (P.S.R.) 85 Bd de la République 17076 La Rochelle cedex 9 Tel. 05.46.27.47.00 Fax. 05.46.27.47.08 Courriel. cdg17@cdg17.fr Mise à jour le 15 janvier 2014 Références : Décret

Plus en détail

TRAITEMENT DU SURENDETTEMENT. Évolutions résultant de la loi portant réforme du crédit à la consommation

TRAITEMENT DU SURENDETTEMENT. Évolutions résultant de la loi portant réforme du crédit à la consommation Direction générale des activités fiduciaires et de place Direction de la surveillance des relations entre les particuliers et la sphère financière Service infobanque et surendettement TRAITEMENT DU SURENDETTEMENT

Plus en détail

DEPARTEMENT DES LANDES MAIRIE DE SOUPROSSE. COMPTE RENDU DE LA SEANCE DU CONSEIL MUNICIPAL du 28 Mars 2011 à 20 H

DEPARTEMENT DES LANDES MAIRIE DE SOUPROSSE. COMPTE RENDU DE LA SEANCE DU CONSEIL MUNICIPAL du 28 Mars 2011 à 20 H DEPARTEMENT DES LANDES MAIRIE DE SOUPROSSE COMPTE RENDU DE LA SEANCE DU CONSEIL MUNICIPAL du 28 Mars 2011 à 20 H L'an deux mil onze et le vingt huit mars à vingt heures, le Conseil Municipal de cette Commune,

Plus en détail

Certificat d urbanisme

Certificat d urbanisme MINISTÈRE CHARGÉ Demande de Certificat d urbanisme N 13410*02 1/4 Vous pouvez utiliser ce formulaire pour : Connaître le droit de l urbanisme applicable sur un terrain Savoir si l opération que vous projetez

Plus en détail

EXAMEN PROFESSIONNEL D ATTACHE PRINCIPAL

EXAMEN PROFESSIONNEL D ATTACHE PRINCIPAL Service Interrégional des Concours Filière administrative Août 2014 EXAMEN PROFESSIONNEL D ATTACHE PRINCIPAL Présentation du cadre d emplois Principales fonctions des attachés 1 PRÉSENTATION DU CADRE D

Plus en détail

Statuts. Mutuelle de France

Statuts. Mutuelle de France Statuts Mutuelle de France Mutuelle soumise aux dispositions du Livre II du Code de la Mutualité Inscrite au Registre National des Mutuelles sous le n 784 410 763 Sous convention de substitution au Groupe

Plus en détail

SECRÉTARIAT D ETAT CHARGE DU BUDGET. publique. Le Ministre de l Intérieur,

SECRÉTARIAT D ETAT CHARGE DU BUDGET. publique. Le Ministre de l Intérieur, MINISTÈRE DE L ÉCONOMIE, DES FINANCES ET DE L INDUSTRIE SECRÉTARIAT D ETAT CHARGE DU BUDGET MINISTÈRE DE L INTÉRIEUR Direction du Trésor Direction de la Comptabilité publique Direction générale des collectivités

Plus en détail

AVIS D APPEL PUBLIC A LA CONCURRENCE

AVIS D APPEL PUBLIC A LA CONCURRENCE AVIS D APPEL PUBLIC A LA CONCURRENCE Identification de l'organisme qui passe le marché : Commune d'orsay Pouvoir adjudicateur : M. le Maire d'orsay Adresse : 2 place du général Leclerc - 91 400 ORSAY Objet

Plus en détail

COMMUNE DE POURNOY LA CHETIVE

COMMUNE DE POURNOY LA CHETIVE 2014/99 Convocation du 13 novembre 2014 L an deux mil quatorze, le vingt novembre à vingt heures trente, le conseil municipal, légalement convoqué par Madame le Maire, se rassemble en séance ordinaire

Plus en détail

MINISTÈRE DU BUDGET, DES COMPTES PUBLICS, DE LA FONCTION PUBLIQUE ET DE LA REFORME DE L ÉTAT

MINISTÈRE DU BUDGET, DES COMPTES PUBLICS, DE LA FONCTION PUBLIQUE ET DE LA REFORME DE L ÉTAT MINISTÈRE DU BUDGET, DES COMPTES PUBLICS, DE LA FONCTION PUBLIQUE ET DE LA REFORME DE L ÉTAT Les comités techniques dans la fonction publique de l État collection Ressources humaines UNE INSTANCE REPRÉSENTATIVE

Plus en détail

le syndicat CGT représenté par [à compléter] en sa qualité de délégué syndical,

le syndicat CGT représenté par [à compléter] en sa qualité de délégué syndical, Projet d accord collectif mettant en place un régime de remboursement de «frais de santé» au bénéfice du personnel de l EPIC SNCF relevant du régime général de ENTRE LES SOUSSIGNEES : SOCIETE NATIONALE

Plus en détail

CONVENTION DE PORTAGE FONCIER VILLE DE SAINT-BRIEUC / SAINT-BRIEUC AGGLOMERATION OPERATION RUE DU GOELO NOTE DE SYNTHESE. Mesdames, Messieurs,

CONVENTION DE PORTAGE FONCIER VILLE DE SAINT-BRIEUC / SAINT-BRIEUC AGGLOMERATION OPERATION RUE DU GOELO NOTE DE SYNTHESE. Mesdames, Messieurs, Ville de SAINT-BRIEUC ------------------------------- Conseil Municipal ---------------------- Séance du 29 septembre 2009 ----------------- Rapporteur : Mme DIOURON ----------------- N 10 CONVENTION DE

Plus en détail

A propos de l Audit des finances communales

A propos de l Audit des finances communales A propos de l Audit des finances communales (évoqué lors du Conseil municipal de septembre 2014) A la demande de la majorité municipale, un audit a été commandité auprès du cabinet FCL. Les conclusions

Plus en détail

COMMUNE DE DUPPIGHEIM

COMMUNE DE DUPPIGHEIM Département du Bas-Rhin Arrondissement de MOLSHEIM COMMUNE DE DUPPIGHEIM EXTRAIT DU PROCES-VERBAL DES DELIBERATIONS DU CONSEIL MUNICIPAL Nombre de Conseillers élus : 19 Conseillers en fonction : 19 Conseillers

Plus en détail

COTISATION FONCIÈRE DES ENTREPRISES COTISATION SUR LA VALEUR AJOUTÉE DES ENTREPRISES

COTISATION FONCIÈRE DES ENTREPRISES COTISATION SUR LA VALEUR AJOUTÉE DES ENTREPRISES COTISATION FONCIÈRE DES ENTREPRISES COTISATION SUR LA VALEUR AJOUTÉE DES ENTREPRISES SUPPRESSION DE L EXONÉRATION EN FAVEUR DES CRÉATIONS OU EXTENSIONS D ÉTABLISSEMENTS SITUÉS DANS LES QUARTIERS PRIORITAIRES

Plus en détail

GUIDE POUR LA REDACTION D UN REGLEMENT BUDGETAIRE ET FINANCIER POUR LES COLLECTIVITES TERRITORIALES ET LEURS GROUPEMENTS

GUIDE POUR LA REDACTION D UN REGLEMENT BUDGETAIRE ET FINANCIER POUR LES COLLECTIVITES TERRITORIALES ET LEURS GROUPEMENTS GUIDE POUR LA REDACTION D UN REGLEMENT BUDGETAIRE ET FINANCIER POUR LES COLLECTIVITES TERRITORIALES ET LEURS GROUPEMENTS Les régions et les départements ont l obligation de se doter d un règlement budgétaire

Plus en détail

STATUTS CONSTITUTIFS. Fonds de dotation MECENAT-MSE. FONDS DE DOTATION «Mécénat- MSE»

STATUTS CONSTITUTIFS. Fonds de dotation MECENAT-MSE. FONDS DE DOTATION «Mécénat- MSE» STATUTS CONSTITUTIFS Fonds de dotation MECENAT-MSE 1 L an DEUX MILLE ONZE Le 21 avril A Marseille, STATUTS CONSTITUTIFS du fonds de dotation MECENAT-MSE Le Conseil d administration de l association MODERNISER

Plus en détail

SYNDICATS DES TERRITORIAUX VILLE DE NANTES ET C.C.A.S.

SYNDICATS DES TERRITORIAUX VILLE DE NANTES ET C.C.A.S. SYNDICATS DES TERRITORIAUX VILLE DE NANTES ET C.C.A.S. 16 rue du Moulin 44000 NANTES T. 02-40-41-95-46 F. 02-40-41-59-83 Syndicatville-cgt@mairie-nantes.fr SITE : www.cgt-nantes.fr Après l ouverture du

Plus en détail

Entre : - Le Professionnel (raison sociale) [ ] numéro SIREN adresse du siège social numéro d habilitation numéro d agrément

Entre : - Le Professionnel (raison sociale) [ ] numéro SIREN adresse du siège social numéro d habilitation numéro d agrément MINISTERE DE L'INTÉRIEUR MINISTÈRE DE L'ÉCONOMIE ET DES FINANCES CONVENTION D AGRÉMENT EN VUE DE LA PERCEPTION DES TAXES ET DE LA REDEVANCE DUES SUR LES CERTIFICATS D IMMATRICULATION DES VÉHICULES À MOTEUR

Plus en détail

ANNEXE VIII - DIRECTION NATIONALE D AIDE ET DE CONTRÔLE DE GESTION (D.N.A.C.G.)

ANNEXE VIII - DIRECTION NATIONALE D AIDE ET DE CONTRÔLE DE GESTION (D.N.A.C.G.) ANNEXE VIII - DIRECTION NATIONALE D AIDE ET DE CONTRÔLE DE GESTION (D.N.A.C.G.) DIRECTION NATIONALE D AIDE ET DE CONTRÔLE DE GESTION (D.N.A.C.G.) ARTICLE 1 : Conformément aux dispositions particulières

Plus en détail

Procès-verbal de la réunion du Conseil Municipal

Procès-verbal de la réunion du Conseil Municipal Département de Vaucluse Commune de Venasque Procès-verbal de la réunion du Conseil Municipal SEANCE DU VENDREDI 4 FEVRIER 2011 Nombre de membres : Afférents au Conseil Municipal 15 En exercice : 14 Qui

Plus en détail