Loi de comportement pour matériaux composites thermodures et thermoplastiques dans le cadre de sollicitations de type crash

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Loi de comportement pour matériaux composites thermodures et thermoplastiques dans le cadre de sollicitations de type crash"

Transcription

1 Loi de comportement pour matériaux composites thermodures et thermoplastiques dans le cadre de sollicitations de type crash Patrick ROZYCKI Laurent GORNET Institut de Recherche en Génie Civil et Mécanique GeM - UMR CNRS 6183 Ecole Centrale de Nantes Patrick.Rozycki@ec-nantes.fr Laurent.Gornet@ec-nantes.fr

2 Plan de la présentation Introduction Intérêt de composites dans le domaine des transports Rappels sur les composites Enjeux en dynamique rapide Caractérisations et observations expérimentales Quasi statique & Dynamique Loi de comportement unifiée pour matériaux composites Déformations élastiques et irréversibles, Endommagements, Sensibilité à la vitesse de déformation Méthodologie d identification des paramètres Comment obtenir tous ces paramètres? Validations numériques élémentaires Conclusions et perspectives 2

3 Introduction Utilisation des matériaux composites Tous domaines Aéronautique, Nautique, Automobile Avantages Bonnes propriétés mécaniques, Légèreté, Bon comportement en fatigue (sens fibres) 4/3/29 à 1:35 VéLV ( PSA Peugeot Citroën) Club Med Photos Yvan Zedda 3

4 Introduction Qu est ce qu un matériau composite? Association de deux matériaux (principalement) Des fibres de natures différentes (verre, kevlar, carbone ) Une matrice Les fibres peuvent avoir différentes architectures Courtes ou longues, Unidirectionnelles, tissées Tricotées, tressées, Matrice peut être de différentes natures Thermodurcissable (comme époxy) Thermoplastique (comme PA66) Autres Empilement de couches élémentaires ou alors un seul et même matériau 4

5 Introduction Dynamique rapide (crash et impact) Procédures de certification Automobile : chocs frontaux, latéraux Aéronautique : Ingestion et impact d oiseaux, de grêle Chute d objets sur structures, Chute libre hélicoptère Opel Mokka crash-test Euro-NCAP Image Opel Nécessité de connaitre le comportement des composites Du quasi statique aux moyennes ou grandes vitesses de déformation Evasement Flexion sans rupture Johnson et al., 21 MD -5 helicopter at NASA Langley Research Center 21 5

6 Introduction Petits rappels sur les échelles Echelle micro 3 = z Echelle méso 1 2 x z y Echelle macro Interfaces 1 3 = z 2 3 = z z 2 x y Echelle macro Echelle micro Thèse Cyril PRIEM session poster 6

7 Introduction Hétérogénéités des composites Phénomènes physiques divers et complexes À l échelle microscopique/mésoscopique/macroscopique Interfaces Décohésion fibres/matrice (E.K Gamstedt, 1999 [1]) Fissuration matricielle et délaminage (K.G. Stout, 1999 [2]) Micrographie in situ d un composite tissé (A.K. Roy, 1998 [3]) 7

8 Introduction Comportement quasi statique Composites unidirectionnels à matrice thermodurcissable (Allix et al., 199 ), (Ladevèze et al., 1992, 1998), (Gornet, 1996) Prise en compte d endommagements de type fissuration matricielle, décohésion fibres/matrice, de déformations irréversibles dans les directions transverses et de cisaillement. Composites tissés à matrice thermodurcissable (Hochard et al., 21), (Johnson et al., 21), (Hochard et al., 25) Prise en compte d endommagements dans les sens chaine, trame et de cisaillement, de déformations irréversibles dans la direction de cisaillement. Onera Damage Model (Maire et Chaboche, 1997 [4]), (Marcin, 21 [5]) Endommagements anisotropes, prise en compte du caractère unilatéral du dommage, déformations résiduelles générées par fissuration matricielle, différence entre le dommage matriciel et le dommage "fibre" Comportement dynamique Composites unidirectionnels et tissés à matrice thermodurcissable (Rozycki, 2), (Rozycki et Coutellier, 22), (Coutellier et Rozycki,24), (Marguet et al., 27) Dépendance à la vitesse de déformation des modules élastiques, des variables d évolution de l endommagement, de la contrainte d écoulement initiale 8

9 Introduction Dans les codes de calcul de type explicite (dédiés au crash) ABAQUS explicite, LS DYNA, Virtual Performance Solution (VPS), Radioss Déclinaison entre Modèles élastiques orthotropes «fragiles» Modèles élasto-plastiques «fragiles» Modèles élastiques endommageables Modèles visco-élasto-plastiques Modèles élasto-plastiques endommageables avec prise en compte des vitesses de déformations Lois utilisateurs principalement au niveau des laboratoires Conclusions Existence de différentes modélisations adaptées le plus souvent à un type de composite Peu de modélisations pour les composites thermoplastiques Pas ou peu de prise en compte de l ensemble des phénomènes spécifiques au crash Proposition d une loi unifiée pour matériaux composites 9

10 Caractérisations et observations expérimentales en quasi statique D après la littérature et les différents travaux Caractérisation quasi statique d un matériau composite nécessite a minima Un essai dans le sens longitudinal (1) Un essai dans le sens transversal (2) (ou un essai mettant en avant les déformations transversales) Un essai dans le sens de cisaillement Des essais peuvent être ajoutés pour Couplage entre les sens longitudinal et de cisaillement Couplage entre les sens transverse et de cisaillement Géométries des éprouvettes Suivent une norme (quand cela est possible!) Type d essais Tractions et compressions à rupture et cyclées Instrumentations Jauges, corrélation d images, capteurs Sens longitudinal Les mesures unidimensionnelles des déformations et contraintes ne suffisent pas pour un composite! x θ z = 3 1 y 2 Sens transversal 1

11 Comportements en quasi statique Contrainte locale Contrainte σ 12 (MPa) Contrainte σ 11 (MPa) Contrainte σ 11 (-) Déformation 2ε 12 (%) Résultats moyens en traction pour un stratifié tissé verre/époxy à Traction ε11 Traction ε22 Compression ε11 Compression ε Déformation ε 11 (%) Résultats moyens en traction pour un stratifié unidirectionnel verre/époxy à E i Boucle n i ε i irr ε i élast Déformation locale Identification des endommagements et déformations irréversibles Déformation ε 11 (-) Résultats moyens en traction sens chaine pour l interlock 11

12 Caractérisations et observations expérimentales en dynamique Gamme d essais Orientations préconisées pour la quasi statique Type d essais A rupture Instrumentations Jauges, corrélation d images, capteurs Gammes de vitesses «Faibles» vitesses de déformation de 1 4 s 1 à 1 1 s 1 Machine de traction/compression classique «Moyennes» vitesses de déformation de 1 1 s 1 à 1 s 1 Machine avec un vérin hydraulique, système «arbalète» ou puits de chute «Hautes» vitesses de déformation supérieure à 1 s 1 Barres d Hopkinson ou canon à gaz Puits de chute Barres Hopkinson Canon à gaz Arbalète 12

13 Comportements en dynamique Contrainte σ 11 (MPa) Contrainte (MPa) Contrainte σ 11 (MPa) Contrainte σ 12 (MPa) Contrainte σ 11 (MPa) /s 1.3 /s 36 /s /s.411 /s 1.44 /s 6.25 /s /s /s Déformation (%) Sensibilité à la vitesse de déformation d une résine époxy (A. Gilat et al., 22 [6]) Déformation (%) 25 Résultats moyens en traction dynamique pour un stratifié UD verre/époxy /s.321 /s 1.46 /s 31 /s /s.1 /s 1 /s 5 /s 1 /s 5 /s 1 /s 2 /s 5 /s 1 /s 2 /s Déformation (%) Résultats moyens en compression dynamique pour un stratifié UD verre/époxy Déformation 2ε 12 (%) Résultats moyens en traction dynamique pour un stratifié tissé verre/époxy 13

14 Loi de comportement unifiée pour matériaux composites Modélisation quasi-statique Consécutive aux différents travaux menés principalement par le LMT de Cachan Cadre thermodynamique des processus irréversibles Potentiel thermodynamique ρψ ε e, d i, p, β i Basé sur la densité volumique d énergie libre d Helmholtz ρψ Formulation adaptée aux algorithmes des codes de calcul (dynamique explicite) Forces thermodynamiques associées En fonction de la déformation Indépendantes de l endommagement Utilisation de la notion de contrainte effective σ ij = σ ij 1 d ij 14

15 Loi de comportement unifiée pour matériaux composites Introduction de 5 variables scalaires d endommagement Agissant sur les composantes diagonales de la matrice de rigidité (C) C ij = C ij 1 d ij pour i, j 1,3 sauf i = j = 3 avec C 11 = E 11 = 1 ν 12 ν ; C C ij = G ij pour i j E 22 1 ν 12 ν 21 Energie de déformation du matériau endommagé W d e = 1 2 (C 11 e 1 d 11 ε C e 22 1 d 22 ε ν 21 C 11 ε e e 11 ε 22 + C e 12 1 d 12 2ε C e 13 1 d 13 2ε C 23 1 d 23 2ε 23 Loi de comportement σ = W e d ε e d C 11 σ 11 σ = C 11 ν 21 ε C e et σ ij = C ij 2ε e ij pour i j 22 ν 12 C 22 e ε 22 e 2 ) 15

16 Loi de comportement unifiée pour matériaux composites Variables thermodynamiques associées Y ij = W e d Y d 11 = 1 ij ε 2 C 11 e ε 2 11 ; Y 22 = 1 2 C 22 e ε 22 e,d d ij 2 ; Y ij = 1 2 C ij 2ε ij e 2 pour i j Pour une grande majorité de matériau Comportements en cisaillement dans le plan (12) induisent des déformations beaucoup plus grandes que dans les cas longitudinaux et transversaux Norme choisie Y 2 = Y 12 + G 13 Y13 + G23 Y23 + E22 Y22 + E11 G 12 G 12 G 12 G Y Evolutions des endommagements pris sous leur forme intégrée Modèle non standard contrôle positivité du potentiel de dissipation d ii = E ii fd Y = b ii f D Y ; d ij = Gij f D Y = b ij f D Y G 12 avec Y t = sup τ t G 12 Y τ 16

17 Loi de comportement unifiée pour matériaux composites Evolution des variables d endommagement par rapport à la fonction du domaine de non-endommagement Loi adaptée qui satisfait les observations expérimentales Linéaire, logarithmique, puissance, polynomiale n d ij = α ij k Y ij Y ij k k=1 Pour mieux contrôler la «rupture» Introduction de fonction Y rupt Evolutions se font telles que d ij = b ij f D Y pour d ij 1 et Y ij Y ij rupt avec b 12 = 1 17

18 Loi de comportement unifiée pour matériaux composites Couplage plasticité/endommagements Par le biais des contraintes et déformations effectives Critère de plasticité f P σ, R = σ a 11 σ a 2 22 σ a 13 σ a 23 σ 2 23 R p R 2 Facteurs a ij traduisent un couplage entre les directions Fonction seuil R(p) choisie sous une forme puissance R p = βp m Mais peut être prise sous une autre forme pour satisfaire les observations expérimentales n R p = β k p k k= 18

19 Loi de comportement unifiée pour matériaux composites Modélisation dynamique Seules données identifiables expérimentalement Modules élastiques Contraintes d écoulement initiale Contraintes et déformations à rupture Mais les effets de la vitesse de déformation Se répercutent sur les déformations inélastiques et les endommagements Très difficile à démontrer expérimentalement Pas possibilité de cyclage Développements d essais dits «arrêtés» (conforte cette hypothèse) 19

20 Loi de comportement unifiée pour matériaux composites «Pseudo-viscoélasticité» du composite Prise en compte à l aide d une contrainte visqueuse qui vient s ajouter à la contrainte élastique Modèle de solide de Kelvin-Voigt σ = σ e + σ v Application au cas unidimensionnel Temps lors des sollicitations dynamiques (crash, impact, etc.) extrêmement faibles, on a au premier ordre Extrapolation σ 11 o 1 e C 11 ε F 11 Introduction de fonction de viscosité σ = C I + F ε, ε ε e = Λ ε, ε ε e Λ ij = C ij 1 + F ij ε, ε Prise en compte d un seuil de vitesse de déformation à partir duquel il y a une influence F ij ε, ε = si ε ε 2

21 Loi de comportement unifiée pour matériaux composites Contraintes d écoulement initial σ ij dyn = σ ij stat 1 + F σ ij ε, ε et R dyn = R stat σ 1 + F R ε, ε avec F R = F 12 Influence sur les évolutions des endommagements Endommagements étant nuls, évolution des seuils : Y ij dyn = 1 + F ij σ ε, ε 1 + F ij ε, ε Y 12 stat Modules élastiques, contraintes d écoulement initial et seuils de nonendommagement Evoluent que de façon croissante avec la vitesse de déformation Postulat (raisonnablement) : progression des endommagements plus rapide que dans le cas quasi statique Coefficients des lois d évolutions des endommagements n d ij = α ij k Y ij Y ij k k=1 α ij dyn = 1 + F ij σ ε, ε 1 + F ij ε, ε α ij stat rupt Taux de restitution critique Y ij peuvent aussi évoluer (ou non) en regard des observations expérimentales 21

22 Loi de comportement unifiée pour matériaux composites Implémentation numérique Algorithme de type prédiction-correction Phase d adaptation des paramètres du modèle à la vitesse de déformation Dépendance vis-à-vis du maillage Travaux de Gornet, 1996, Allix et al, 1997, Ladevèze et al, 2 Régularisation du problème Impose une borne supérieure à la vitesse d endommagement τ paramètre matériau, d = 1 τ 1 e α f Y d + α paramètre pilotant l aspect plus ou moins fragile de la rupture f Y fonction d évolution choisie pour l endommagement Exemple Evolution d endommagement linéaire d ordonnée à l origine Y et de pente Y C f Y = Y Y Y C Y 22

23 Synthèse des paramètres du modèle Nature Dénomination Variable(s) Module d Young longitudinal E 11 Module d Young transversal E 22 Elasticité Coefficient de Poisson ν 12 Modules de cisaillement G 12, G 13, G 23 Déformations à rupture longitudinal, transversal et de cisaillement ε rupt 11, ε rupt 22, 2ε rupt rupt rupt 12, 2ε 13, 2ε23 Taux de restitution d énergie initiaux Y 11, Y 22, Y 12, Y 13, Y 23 Endommagement Taux de restitution d énergie d évolution Tous les α ij k ou α ij Taux de restitution d énergie critiques Y rupt 11, Y rupt 22, Y rupt 12, Y rupt rupt 13, Y 23 Facteurs de couplage endommagements b 11, b 22, b 13, b 23 Contrainte d écoulement initiale R Plasticité Paramètres de la fonction seuil R(p) Tous les β ou β k et m Facteurs de couplage plasticité a 2 11, a , a 13 2, a 23 Fonctions de viscosité pour les modules d élasticité Vitesse de déformation Fonctions de viscosité pour les contraintes d écoulement initiales F 11, F 22, F 12, F 13, F 23 F σ 11, F σ 22, F σ 12 = F R, F σ σ 13, F 23 23

24 Méthodologie d identification des paramètres 1 : passage des courbes contraintes/déformations du repère global au repère local ε 11 ε 22 2ε 12 = σ 11 σ 22 σ 12 = σ 13 σ 23 = cos 2 θ sin 2 θ sin θ cos θ sin 2 θ cos 2 θ sin θ cos θ 2 sin θ cos θ 2 sin θ cos θ cos 2 θ sin 2 θ 2ε 13 2ε xz cos θ sin θ 2ε xz = 2ε 23 sin θ cos θ 2ε = P ε yz 2ε yz cos 2 θ sin 2 θ 2 sin θ cos θ sin 2 θ cos 2 θ 2 sin θ cos θ sin θ cos θ sin θ cos θ cos 2 θ sin 2 θ cos θ sin θ sin θ cos θ σ xx σ yy σ xy ε xx ε yy 2ε xy = P σ σ xz σ yz = P σ σ xz σ yz avec P σ = P ε = P ε σ xx σ yy σ xy ε xx ε yy 2ε xy Cas de stratifiés de même orientation «trivial» Cas de stratifiés symétriques Utilisation de la théorie des stratifiés Ces opérations peuvent être automatisées soit sous un tableur de calcul soit informatiquement! 24

25 Méthodologie d identification des paramètres Contrainte locale Contrainte locale 2 : Identification des caractéristiques élastiques et constantes à rupture par orientations Déformation locale 3 : Identification de l évolution des endommagements et déformations irréversibles par orientations Ces opérations peuvent être automatisées soit sous un tableur de calcul soit informatiquement! Boucle n i Déformation locale 25

26 Méthodologie d identification des paramètres Facteurs de couplages 2 = ε plastique ii 1 d 2 ii plastique 1 d 2 12 a ii ε 12 Identification de la fonction R p p = 2ε ε11 a ε22 a ε13 a ε23 a 23 2 f P σ, R = σ a 11 σ a 2 22 σ a 13 σ a 23 σ 2 23 R p R = Ces opérations peuvent être automatisées soit sous un tableur de calcul soit informatiquement! Possibilité de mettre en place un algorithme (génétique) d optimisation Améliorer le jeu de paramètres en quasi statique Optimisation sur l ensemble des essais Chaque orientation Chaque direction de sollicitation 26

27 Méthodologie d identification des paramètres 4 : Identification des fonctions de viscosité On reproduit la procédure d obtention des caractéristiques élastiques Pour chaque type d orientation et pour chaque vitesse de sollicitation. Calcul de la vitesse de déformation pour les essais A partir des modules d Young ou module de cisaillement et des contraintes d écoulement initial en fonction des différentes vitesses de déformation identifiées χ χ = (E 11, E 22, G 12, σ 11, σ 22, σ 12 = R ) 1 avec χ ε χ ε = (E ε ε 11, E ε 22, G ε 12, σ ε 11, σ ε 22, σ ε 12 = R ) Identification des approximations pour l évolution des différentes caractéristiques Ces opérations peuvent être automatisées soit sous un tableur de calcul soit informatiquement! Possibilité de mettre en place un algorithme (génétique) d optimisation Améliorer le jeu de paramètres en dynamique Optimisation sur l ensemble des essais Chaque orientation Chaque direction de sollicitation Chaque vitesse de sollicitation 27

28 Validations numériques élémentaires Contrainte σ 12 (MPa) Contrainte σ 11 (-) Contrainte σ 12 (MPa) Expérimental Numérique Expérimental Numérique Déformation 2ε 12 (%) Comparaison expérimental/numérique pour un thermoplastique tissé carbone/pa66 Déformation ε 11 (-) Comparaison expérimental/numérique pour un composite interlock sans le sens chaine /s.11 /s 4.3 /s /s /s Evolutions d endommagement à différentes vitesses pour un composite UD verre/époxy Déformation 2ε 12 (%) Simulations numériques à différentes vitesses pour un composite UD verre/époxy 28

29 Validations numériques élémentaires Simulations numériques à différentes vitesses pour un Tissé verre/époxy en traction Simulations numériques à différentes vitesses pour un Tissé verre/époxy en compression Comparaison expérimental/numérique pour une compression cyclique pour un nid d abeille Simulations numériques à différentes vitesses pour un Tissé verre/époxy en cisaillement 29

30 Validations numériques élémentaires Intégration de l effet retard 3

31 Validations numériques élémentaires Essai Temps max. ms Effort max. kn Déplacement max. mm Expérimental Sans prise en compte de vitesse Avec prise en compte de vitesse

32 Validations numériques élémentaires CL (avance flotteur) CI (bras) Bras Vague CL (encastrement vague) CL (symétrie) Impact basse vitesse (2 m/s) Endommagement en cisaillement des peaux Endommagement en cisaillement des âmes Impact haute vitesse (2 m/s) Endommagement en compression des âmes Endommagement en cisaillement des âmes 32

33 Conclusions Plutôt que d écrire une loi de comportement adaptée à un type de matériaux composites (unidirectionnel, tissé, ) Proposition d une loi de comportement «unifiée» Richesse de la loi Multitude des phénomènes pris en compte Evolution des déformations élastiques et irréversibles Evolution des endommagements (du fragile via les fonctions Heaviside à des évolutions plus complexes) Couplages Prise en compte de la sensibilité à la vitesse de déformation Procédure expérimentale de caractérisation Ne dépend que peu de l utilisateur Modèle «accessible» et «utilisable» (milieu industriel) Possibilité de réduire les dispersions sur le canevas expérimental Algorithmes d optimisation (génétique) 33

34 Perspectives Contrainte σ 12 (MPa) Taux de restitution d'énergie Y 12 (MPa 1/2 ) Composite à matrice thermoplastique Prise en compte des effets de température Prise en compte des effets de l hygrométrie Applications au domaine automobile Modélisation plus fine en ce qui concerne la réorientation des fibres pour ces composites Réorientation perturbe l identification de la perte de rigidité Expérimental Numérique Expérimental Numérique Déformation 2ε 12 (%) Endommagement d 12 (-) D autres travaux sont en cours pour poursuivre les développements à propos de la loi unifiée dans le cas tridimensionnel 34

35 Perspectives Modèle élasto-visco-plastique endommageable couplé avec des dérivées fractionnaires Thèse d Alina Krasnobrizha (Session Poster) Loi en cisaillement σ 12 = G 12 1 d 12 A + G 1 12 D α élast ε 12 Dérivée fractionnaire (Riemann-Liouville) D α f t = dα t f t 1 d dt α = t y α f y dy Γ 1 α dt = z 1! pour z R + avec Γ z 35

36 Perspectives Tressé 3D Carbone 45 Tressé 3D Carbonepolypropylène 2 Problème : comment représenter cela par EF? Coût en temps CPU (industriels imposent pas plus de 2% par rapport à un calcul «classiques») Super éléments? XFEM/Level Set. 36

37 Section MERCI POUR VOTRE ATTENTION 37

38 Références [1] Gamstedt EK, Sjögren BA. Micromechanisms in tension-compression fatigue of composite laminates containing transverse plies, Composites Science and Technology, 59 (2), (1999), pp [2] Stout MG, Koss DA, Liu C, Idasetima J. Damage development in carbon/epoxy laminates under quasi-static and dynamic loading, Composites Science and Technology, 59 (16), (1999), pp [3] Roy AK. Comparison of in situ damage assessment in unbalanced fabric composite and model laminate of planar (one-directional) crimping, Composites Science and Technology, 58 (11), (1998), pp [4] J. F. Maire, J. L. Chaboche, A new formulation of continuum damage mechanics (CDM) for composite materials, Aerospace Science and Technology, 4, (1997), pp [5] L. Marcin, Modélisation du comportement, de l'endommagement, et de la rupture de matériaux composites à renforts tissés pour le dimensionnement robuste de structures, Thèse de doctorat Université de Bordeaux 1, (21). [6] A. Gilat, R.K. Goldberg, G.D. Roberts, Experimental study of strain-ratedependent behavior of carbon/epoxy composite, Composites Science and Technology, 62(1-11), (22), pp

Rupture et plasticité

Rupture et plasticité Rupture et plasticité Département de Mécanique, Ecole Polytechnique, 2009 2010 Département de Mécanique, Ecole Polytechnique, 2009 2010 25 novembre 2009 1 / 44 Rupture et plasticité : plan du cours Comportements

Plus en détail

10ème Congrès Français d'acoustique Lyon, 12-16 Avril 2010

10ème Congrès Français d'acoustique Lyon, 12-16 Avril 2010 1ème Congrès Français d'acoustique Lyon, 12-16 Avril 21 Identification du dommage par EA de stratifiés composites chargés en statique et cyclique M. Kharoubi 1, L. Fatmi 1, A. El Mahi 2, R. EL Guerjouma

Plus en détail

Les composites thermoplastiques

Les composites thermoplastiques Les composites thermoplastiques Définition Par définition, un thermoplastique (anglais :thermoplast) est un matériau à base de polymère (composé de macromolécules) qui peut être mis en forme, à l état

Plus en détail

Chapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE. par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ

Chapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE. par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ Chapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ Les propriétés mécaniques des métaux et alliages sont d un grand intérêt puisqu elles conditionnent

Plus en détail

ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE

ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE ANALYSIS OF THE EFFICIENCY OF GEOGRIDS TO PREVENT A LOCAL COLLAPSE OF A ROAD Céline BOURDEAU et Daniel BILLAUX Itasca

Plus en détail

Généralités sur les matériaux composites

Généralités sur les matériaux composites Généralités sur les matériaux composites Laurent Gornet 28/09/2008 Ce document est sous licence Creative Commons : paternité ; pas d utilisation commerciale ; partage des conditions initiales à l identique

Plus en détail

DISQUE DUR. Figure 1 Disque dur ouvert

DISQUE DUR. Figure 1 Disque dur ouvert DISQUE DUR Le sujet est composé de 8 pages et d une feuille format A3 de dessins de détails, la réponse à toutes les questions sera rédigée sur les feuilles de réponses jointes au sujet. Toutes les questions

Plus en détail

SOCIETE NATIONALE DES CHEMINS DE FER BELGES SPECIFICATION TECHNIQUE

SOCIETE NATIONALE DES CHEMINS DE FER BELGES SPECIFICATION TECHNIQUE SOCIETE NATIONALE DES CHEMINS DE FER BELGES SPECIFICATION TECHNIQUE L - 72 FOURNITURE DE SEMELLES ELASTIQUES POUR LA FIXATION DE VOIE "TYPE BOTZELAER" EDITION: 04/2001 Index 1. INTRODUCTION... 3 1.1. DOMAINE

Plus en détail

ANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE

ANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE 562 ANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE 563 TABLE DES MATIÈRES ANNEXE J... 562 POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS

Plus en détail

SIMULATION DU PROCÉDÉ DE FABRICATION DIRECTE DE PIÈCES THERMOPLASTIQUES PAR FUSION LASER DE POUDRE

SIMULATION DU PROCÉDÉ DE FABRICATION DIRECTE DE PIÈCES THERMOPLASTIQUES PAR FUSION LASER DE POUDRE SIMULATION DU PROCÉDÉ DE FABRICATION DIRECTE DE PIÈCES THERMOPLASTIQUES PAR FUSION LASER DE POUDRE Denis DEFAUCHY Gilles REGNIER Patrice PEYRE Amine AMMAR Pièces FALCON - Dassault Aviation 1 Présentation

Plus en détail

Réalisation et modélisation de rubans déployables pour application spatiale

Réalisation et modélisation de rubans déployables pour application spatiale Réalisation et modélisation de rubans déployables pour application spatiale F. GUINOT a, S. BOURGEOIS a, B. COCHELIN a, C.HOCHARD a, L. BLANCHARD b a. Laboratoire de Mécanique et d Acoustique (LMA), 31

Plus en détail

SOCIETE NATIONALE DES CHEMINS DE FER BELGES SPECIFICATION TECHNIQUE L-70

SOCIETE NATIONALE DES CHEMINS DE FER BELGES SPECIFICATION TECHNIQUE L-70 SOCIETE NATIONALE DES CHEMINS DE FER BELGES SPECIFICATION TECHNIQUE L-70 PIECES EN CAOUTCHOUC POUR ORGANES DE SUSPENSION, DE TRANSMISSION ET D ENTRAINEMENT EDITION: 2005 Version 12/07/2005 ST L70 -Version

Plus en détail

Sujet proposé par Yves M. LEROY. Cet examen se compose d un exercice et de deux problèmes. Ces trois parties sont indépendantes.

Sujet proposé par Yves M. LEROY. Cet examen se compose d un exercice et de deux problèmes. Ces trois parties sont indépendantes. Promotion X 004 COURS D ANALYSE DES STRUCTURES MÉCANIQUES PAR LA MÉTHODE DES ELEMENTS FINIS (MEC 568) contrôle non classant (7 mars 007, heures) Documents autorisés : polycopié ; documents et notes de

Plus en détail

Caractéristiques des ondes

Caractéristiques des ondes Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace

Plus en détail

Projet ANR. Bruno Capra - OXAND. 04/06/2015 CEOS.fr - Journée de restitution (Paris) B. CAPRA

Projet ANR. Bruno Capra - OXAND. 04/06/2015 CEOS.fr - Journée de restitution (Paris) B. CAPRA Projet ANR Bruno Capra - OXAND MEFISTO : Maîtrise durable de la fissuration des infrastructures en bétons Contexte Problématique des Maîtres d Ouvrages Evaluation et prédiction de la performance des ouvrages

Plus en détail

Exercices - Fonctions de plusieurs variables : corrigé. Pour commencer

Exercices - Fonctions de plusieurs variables : corrigé. Pour commencer Pour commencer Exercice 1 - Ensembles de définition - Première année - 1. Le logarithme est défini si x + y > 0. On trouve donc le demi-plan supérieur délimité par la droite d équation x + y = 0.. 1 xy

Plus en détail

Compte rendu de LA37 B, TP numéro 1. Evolution de la température et du degrée d'hydratation

Compte rendu de LA37 B, TP numéro 1. Evolution de la température et du degrée d'hydratation 4 6 8 2 4 8 22 26 3 34 38 42 46 5 54 58 62 66 7 74 78 83 89 96 8 44 Bertin Morgan Compte rendu de LA37 B, TP numéro. Les essais effectués par le laboratoire des ponts et chaussés nous ont fournis la température

Plus en détail

Tous les produits de la gamme SAF offrent des résistances :

Tous les produits de la gamme SAF offrent des résistances : Fiche Technique Strengths Are Flex La gamme SAF est basée sur une technologie et des polymères méthacrylates brevetés. Ces adhésifs de nouvelle génération permettent d adhérer sur de nombreux supports

Plus en détail

Etude de l influence d une agression thermique sur les propriétés mécaniques résiduelles de matériaux composites

Etude de l influence d une agression thermique sur les propriétés mécaniques résiduelles de matériaux composites Etude de l influence d une agression thermique sur les propriétés mécaniques résiduelles de matériaux composites M. Ropital, T. Rogaume, D. Halm Institut Pprime, UPR 3346 CNRS, ISAE-ENSMA, Université de

Plus en détail

Cours de Résistance des Matériaux (RDM)

Cours de Résistance des Matériaux (RDM) Solides déformables Cours de Résistance des Matériau (RDM) Structure du toit de la Fondation Louis Vuitton Paris, architecte F.Gehry Contenu 1 POSITIONNEMENT DE CE COURS... 2 2 INTRODUCTION... 3 2.1 DEFINITION

Plus en détail

Une approche statique quasi-périodique de la capacité portante des groupes de micropieux

Une approche statique quasi-périodique de la capacité portante des groupes de micropieux Une approche statique quasi-périodique de la capacité portante des groupes de micropieux Zied Kammoun 1, Joseph Pastor 2, Hichem Smaoui 3 1 Université de Tunis El Manar, Ecole Nationale d Ingénieurs de

Plus en détail

SOL FORTE ÉPAISSEUR INDUSTRIAL FLORIM

SOL FORTE ÉPAISSEUR INDUSTRIAL FLORIM SOL FORTE ÉPAISSEUR INDUSTRIAL FLORIM Nouvelle solution en grès cérame grande épaisseur pour l aménagement extérieur. Dalles en grès cérame fin coloré pleine masse de 2 cm d épaisseur, obtenues par atomisation

Plus en détail

«SERVICES D INGENIERIE»

«SERVICES D INGENIERIE» PUNCH POWERGLIDE STRASBOURG 45 années d expériences Le pôle R & D de PPS rassemble plus d une centaine d experts, chefs de projet, ingénieurs et techniciens expérimentés en recherche et développement,

Plus en détail

Etude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau

Etude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau Etude expérimentale et numérique de la Sédimentation/Consolidation de sols à très forte teneur en eau Gilbert LE BRAS (IUT de st nazaire, Dépt. Génie Civil) Alain ALEXIS (GeM) 1/42 Introduction Domaine

Plus en détail

Problèmes d ordonnancement dans les systèmes de production. Journée Automatique et Optimisation Université de Paris 12 20 Mars 2003

Problèmes d ordonnancement dans les systèmes de production. Journée Automatique et Optimisation Université de Paris 12 20 Mars 2003 Problèmes d ordonnancement dans les systèmes de production Michel Gourgand Université Blaise Pascal Clermont Ferrand LIMOS CNRS UMR 6158 1 Le LIMOS Laboratoire d Informatique, de Modélisation et d Optimisation

Plus en détail

Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER. Laure Delaporte ConstruirAcier. Jérémy Trouart Union des Métalliers

Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER. Laure Delaporte ConstruirAcier. Jérémy Trouart Union des Métalliers Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER Laure Delaporte ConstruirAcier Jérémy Trouart Union des Métalliers Jean-Marc SCHAFFNER des Ateliers SCHAFFNER chef de file du GT4 Jérémy TROUART de l Union des Métalliers

Plus en détail

Généralités. Aperçu. Introduction. Précision. Instruction de montage. Lubrification. Conception. Produits. Guides à brides FNS. Guides standards GNS

Généralités. Aperçu. Introduction. Précision. Instruction de montage. Lubrification. Conception. Produits. Guides à brides FNS. Guides standards GNS Généralités Aperçu Introduction Précision Instruction de montage Lubrification Conception page............................. 4............................. 5............................. 6.............................

Plus en détail

BACCALAURÉAT GÉNÉRAL SÉRIE SCIENTIFIQUE

BACCALAURÉAT GÉNÉRAL SÉRIE SCIENTIFIQUE BACCALAURÉAT GÉNÉRAL SÉRIE SCIENTIFIQUE ÉPREUVE DE SCIENCES DE L INGÉNIEUR ÉPREUVE DU VENDREDI 20 JUIN 2014 Session 2014 Durée de l épreuve : 4 heures Coefficient 4,5 pour les candidats ayant choisi un

Plus en détail

TUTORIAL 1 ETUDE D UN MODELE SIMPLIFIE DE PORTIQUE PLAN ARTICULE

TUTORIAL 1 ETUDE D UN MODELE SIMPLIFIE DE PORTIQUE PLAN ARTICULE TUTORIAL 1 ETUDE D UN MODELE SIMPLIFIE DE PORTIQUE PLAN ARTICULE L'objectif de ce tutorial est de décrire les différentes étapes dans CASTOR Concept / FEM permettant d'effectuer l'analyse statique d'une

Plus en détail

Information. BASES LITTERAIRES Etre capable de répondre à une question du type «la valeur trouvée respecte t-elle le cahier des charges?

Information. BASES LITTERAIRES Etre capable de répondre à une question du type «la valeur trouvée respecte t-elle le cahier des charges? Compétences générales Avoir des piles neuves, ou récentes dans sa machine à calculer. Etre capable de retrouver instantanément une info dans sa machine. Prendre une bouteille d eau. Prendre CNI + convocation.

Plus en détail

DRIVE-TECHNOLOGY INKOMA - GROUP. Actionneur pour panneaux solaires - ASN ALBERT

DRIVE-TECHNOLOGY INKOMA - GROUP. Actionneur pour panneaux solaires - ASN ALBERT DRIVE-TECHNOLOGY ALBERTINKOMA - GROUP Actionneur pour panneaux solaires - ASN ALBERT Maschinenfabrik ALBERT GmbH Technologiepark 2 A - 4851 Gampern (Autriche) Tél: +43/(0)7682-39080-10 Fax: +43/(0)7682-39080-99

Plus en détail

SUR LES DEFORMATIONS ELASTIQUES DE QUELQUE CONSTRUCTIONS DES OUTILS DE TOURNAGE PAR LA METHODE D ELEMENT FINI

SUR LES DEFORMATIONS ELASTIQUES DE QUELQUE CONSTRUCTIONS DES OUTILS DE TOURNAGE PAR LA METHODE D ELEMENT FINI U.P.B. Sci. Bull., Series D, Vol. 71, Iss. 4, 2009 ISSN 1454-2358 SUR LES DEFORMATIONS ELASTIQUES DE QUELQUE CONSTRUCTIONS DES OUTILS DE TOURNAGE PAR LA METHODE D ELEMENT FINI Ioan POPESCU 1, Ioana Mădălina

Plus en détail

Banc d études des structures Etude de résistances de matériaux (RDM) et structures mécaniques

Banc d études des structures Etude de résistances de matériaux (RDM) et structures mécaniques Banc d études des structures Etude de résistances de matériaux (RDM) et structures mécaniques Descriptif du support pédagogique Le banc d essais des structures permet de réaliser des essais et des études

Plus en détail

Initiation à la Mécanique des Fluides. Mr. Zoubir HAMIDI

Initiation à la Mécanique des Fluides. Mr. Zoubir HAMIDI Initiation à la Mécanique des Fluides Mr. Zoubir HAMIDI Chapitre I : Introduction à la mécanique des fluides 1 Introduction La mécanique des fluides(mdf) a pour objet l étude du comportement des fluides

Plus en détail

Prévenir les risques industriels grâce à l'émission acoustique...

Prévenir les risques industriels grâce à l'émission acoustique... Contrôle non destructif par émission acoustique appliqué au domaine des matériaux et des structures Prévenir les risques industriels grâce à l'émission acoustique... Anticiper et détecter les défauts de

Plus en détail

Contrôle par commande prédictive d un procédé de cuisson sous infrarouge de peintures en poudre.

Contrôle par commande prédictive d un procédé de cuisson sous infrarouge de peintures en poudre. Contrôle par commande prédictive d un procédé de cuisson sous infrarouge de peintures en poudre. Isabelle Bombard, Bruno da Silva, Pascal Dufour *, Pierre Laurent, Joseph Lieto. Laboratoire d Automatique

Plus en détail

Conception parasismique des diaphragmes de toit selon la norme CSA-S16

Conception parasismique des diaphragmes de toit selon la norme CSA-S16 Conception parasismique des diaphragmes de toit selon la norme CSA-S16 Robert Tremblay École Polytechnique, Montréal, Canada SCGC - Québec Québec, 16 Avril 2009 Plan 1. Information générale 2. Exemple

Plus en détail

P M L R O G W. sylomer. Gamme de Sylomer Standard. Propriétés Méthode de test Commentaires. Polyuréthane (PUR) Cellulaire mixte

P M L R O G W. sylomer. Gamme de Sylomer Standard. Propriétés Méthode de test Commentaires. Polyuréthane (PUR) Cellulaire mixte Matière : Couleur : Polyuréthane (PUR) Cellulaire mixte Gris Recommandations d usage : Pression (dépend du facteur de forme) Déflexion Pression statique maximum :. N/mm ~ % Pression dyn. maximum :. N/mm

Plus en détail

Le calcul intensif chez PSA Peugeot Citroën. TERATEC 28 juin 2011

Le calcul intensif chez PSA Peugeot Citroën. TERATEC 28 juin 2011 Le calcul intensif chez PSA Peugeot Citroën TERATEC 28 juin 2011 Daniel ZAMPARINI 1 Le calcul intensif chez PSA Peugeot Citroën TERATEC - 28 juin 2011 PSA Peugeot Citroën : éléments clés de la branche

Plus en détail

Fonctions de plusieurs variables

Fonctions de plusieurs variables Maths MP Exercices Fonctions de plusieurs variables Les indications ne sont ici que pour être consultées après le T (pour les exercices non traités). Avant et pendant le T, tenez bon et n allez pas les

Plus en détail

Cours de résistance des matériaux

Cours de résistance des matériaux ENSM-SE RDM - CPMI 2011-2012 1 Cycle Préparatoire Médecin-Ingénieur 2011-2012 Cours de résistance des matériau Pierre Badel Ecole des Mines Saint Etienne Première notions de mécanique des solides déformables

Plus en détail

BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR AGRICOLE SUJET

BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR AGRICOLE SUJET SESSION 2010 France métropolitaine BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR AGRICOLE ÉPREUVE N 2 DU PREMIER GROUPE ÉPREUVE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE Option : Génie des équipements agricoles Durée : 3 heures 30 Matériel

Plus en détail

SSNL126 - Flambement élastoplastique d'une poutre droite. Deux modélisations permettent de tester le critère de flambement en élastoplasticité :

SSNL126 - Flambement élastoplastique d'une poutre droite. Deux modélisations permettent de tester le critère de flambement en élastoplasticité : Titre : SSNL16 - Flambement élastoplastique d'une poutre [...] Date : 15/1/011 Page : 1/6 Responsable : Nicolas GREFFET Clé : V6.0.16 Révision : 8101 SSNL16 - Flambement élastoplastique d'une poutre droite

Plus en détail

GROUPE HOLDIM Leader mondial de l optimisation moteur. DYNORACE 2WD /DF2 Banc 2 roues motrices. Banc de puissance Disponible en 3 versions :

GROUPE HOLDIM Leader mondial de l optimisation moteur. DYNORACE 2WD /DF2 Banc 2 roues motrices. Banc de puissance Disponible en 3 versions : BANCS DE PUISSANCE Banc de puissance Disponible en 3 versions : Inertiel /DF2is Inertiel /DF2i Freiné /DF2fs Avec un frein à courant de Foucault 3 GROUPE HOLDIM Leader mondial de l optimisation moteur

Plus en détail

OM 1 Outils mathématiques : fonction de plusieurs variables

OM 1 Outils mathématiques : fonction de plusieurs variables Outils mathématiques : fonction de plusieurs variables PCSI 2013 2014 Certaines partie de ce chapitre ne seront utiles qu à partir de l année prochaine, mais une grande partie nous servira dès cette année.

Plus en détail

SSNV143 - Traction biaxiale avec la loi de comportement BETON_DOUBLE_DP

SSNV143 - Traction biaxiale avec la loi de comportement BETON_DOUBLE_DP Titre : SSNV14 - Traction biaxiale avec la loi e comport[...] Date : 17/02/2011 Page : 1/14 Manuel e Valiation Fascicule V6.04 : Statique non linéaire es structures volumiques Document V6.04.14 SSNV14

Plus en détail

Projet Optiperf : les ressources du calcul parallèle à destination des architectes navals

Projet Optiperf : les ressources du calcul parallèle à destination des architectes navals Projet Optiperf : les ressources du calcul parallèle à destination des architectes navals Pierre-Michel Guilcher, Olivier Payen, Aurélien Drouet, Erwan Jacquin Plan de l exposé Contexte général Définition

Plus en détail

Prédiction des effets des explosions et de réponse des structures pyrotechniques

Prédiction des effets des explosions et de réponse des structures pyrotechniques Prédiction des effets des explosions et de réponse des structures pyrotechniques Jean-Pierre Languy, TECHNIP 1. INTRODUCTION La prédiction des effets des explosifs intéresse en premier lieu le chimiste

Plus en détail

INFLUENCE de la TEMPERATURE. Transition ductile/fragile Choc Thermique Fluage

INFLUENCE de la TEMPERATURE. Transition ductile/fragile Choc Thermique Fluage INFLUENCE de la TEMPERATURE Transition ductile/fragile Choc Thermique Fluage Transition ductile/fragile Henry Bessemer (UK)! 1856 : production d'acier à grande échelle Pont des Trois-Rivières 31 janvier

Plus en détail

Douille expansibleécarteur

Douille expansibleécarteur 08/2011 Instructions de montage 999415003 fr Douille expansibleécarteur 15,0 Référence 581120000 Description La douille expansible écarteur 15,0 sert à l ancrage du coffrage une face dans le béton. Il

Plus en détail

Analyse statique d une pièce

Analyse statique d une pièce Analyse statique d une pièce Contrainte de Von Mises sur une chape taillée dans la masse 1 Comportement d un dynamomètre On considère le dynamomètre de forme globalement circulaire, excepté les bossages

Plus en détail

Monitoring et suivi du comportement des chaussées

Monitoring et suivi du comportement des chaussées Monitoring et suivi du comportement des chaussées Pierre Hornych Juliette Blanc IFSTTAR - LAMES 1/xx MONITORING ET SUIVI DU COMPORTEMENT DES CHAUSSÉES DÉVELOPPEMENTS RÉCENTS ET PERSPECTIVES Introduction

Plus en détail

Optimisation des performances d échangeurs de chaleur.

Optimisation des performances d échangeurs de chaleur. Journée d étude SFT 16/03/2011 Echangeurs thermiques et multi-fonctionnels : enjeux, applications et axes de recherche Optimisation des performances d échangeurs de chaleur. École des Mines de DOUAI 941

Plus en détail

MESURE DE LA TEMPERATURE

MESURE DE LA TEMPERATURE 145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les

Plus en détail

ICS Destiné à remplacer EN 926-1:1995. Version Française

ICS Destiné à remplacer EN 926-1:1995. Version Française NORME EUROPÉENNE EUROPÄISCHE NORM EUROPEAN STANDARD PROJET pren 926-1 Mars 2004 ICS Destiné à remplacer EN 926-1:1995 Version Française Equipement pour le parapente - Parapentes - Partie 1: Prescriptions

Plus en détail

Contribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension

Contribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension Contribution à la conception par la simulation en électronique de puissance : application à l onduleur basse tension Cyril BUTTAY CEGELY VALEO 30 novembre 2004 Cyril BUTTAY Contribution à la conception

Plus en détail

Manuel de validation Fascicule v4.25 : Thermique transitoire des structures volumiques

Manuel de validation Fascicule v4.25 : Thermique transitoire des structures volumiques Titre : TTLV100 - Choc thermique dans un tuyau avec condit[...] Date : 02/03/2010 Page : 1/10 Manuel de Validation Fascicule V4.25 : Thermique transitoire des structures volumiques Document : V4.25.100

Plus en détail

DÉVERSEMENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYMÉTRIQUE SOUMISE À DES MOMENTS D EXTRÉMITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE

DÉVERSEMENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYMÉTRIQUE SOUMISE À DES MOMENTS D EXTRÉMITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE Revue Construction étallique Référence DÉVERSEENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYÉTRIQUE SOUISE À DES OENTS D EXTRÉITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE par Y. GALÉA 1 1. INTRODUCTION Que ce

Plus en détail

Calcul matriciel. Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes.

Calcul matriciel. Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes. 1 Définitions, notations Calcul matriciel Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes. On utilise aussi la notation m n pour le

Plus en détail

Algorithmes pour la planification de mouvements en robotique non-holonome

Algorithmes pour la planification de mouvements en robotique non-holonome Algorithmes pour la planification de mouvements en robotique non-holonome Frédéric Jean Unité de Mathématiques Appliquées ENSTA Le 02 février 2006 Outline 1 2 3 Modélisation Géométrique d un Robot Robot

Plus en détail

Chapitre 7. Circuits Magnétiques et Inductance. 7.1 Introduction. 7.1.1 Production d un champ magnétique

Chapitre 7. Circuits Magnétiques et Inductance. 7.1 Introduction. 7.1.1 Production d un champ magnétique Chapitre 7 Circuits Magnétiques et Inductance 7.1 Introduction 7.1.1 Production d un champ magnétique Si on considère un conducteur cylindrique droit dans lequel circule un courant I (figure 7.1). Ce courant

Plus en détail

8.1 Généralités sur les fonctions de plusieurs variables réelles. f : R 2 R (x, y) 1 x 2 y 2

8.1 Généralités sur les fonctions de plusieurs variables réelles. f : R 2 R (x, y) 1 x 2 y 2 Chapitre 8 Fonctions de plusieurs variables 8.1 Généralités sur les fonctions de plusieurs variables réelles Définition. Une fonction réelle de n variables réelles est une application d une partie de R

Plus en détail

Trépier avec règle, ressort à boudin, chronomètre, 5 masses de 50 g.

Trépier avec règle, ressort à boudin, chronomètre, 5 masses de 50 g. PHYSQ 130: Hooke 1 LOI DE HOOKE: CAS DU RESSORT 1 Introduction La loi de Hooke est fondamentale dans l étude du mouvement oscillatoire. Elle est utilisée, entre autres, dans les théories décrivant les

Plus en détail

SOMMAIRE Thématique : Matériaux

SOMMAIRE Thématique : Matériaux SOMMAIRE Thématique : Matériaux Rubrique : Connaissances - Conception... 2 Rubrique : Essais... 7 Rubrique : Matériaux...11 1 SOMMAIRE Rubrique : Connaissances - Conception Connaître les matières plastiques...

Plus en détail

Projet de synthèse de l'électronique analogique : réalisation d'une balance à jauges de contrainte

Projet de synthèse de l'électronique analogique : réalisation d'une balance à jauges de contrainte J3eA, Journal sur l enseignement des sciences et technologies de l information et des systèmes, Volume 4, HorsSérie 2, 20 (2005) DOI : http://dx.doi.org/10.1051/bibj3ea:2005720 EDP Sciences, 2005 Projet

Plus en détail

Module d Electricité. 2 ème partie : Electrostatique. Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere

Module d Electricité. 2 ème partie : Electrostatique. Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere Module d Electricité 2 ème partie : Electrostatique Fabrice Sincère (version 3.0.1) http://pagesperso-orange.fr/fabrice.sincere 1 Introduction Principaux constituants de la matière : - protons : charge

Plus en détail

Systèmes de stockage et de manutention automatisés Ingénierie Logistique

Systèmes de stockage et de manutention automatisés Ingénierie Logistique Systèmes de stockage et de manutention automatisés Ingénierie Logistique ITALIE: Via dell Industria - 40064 Ozzano E. - Bo Italy Sede Legale - Uff.comm.italia e Servizio assitenza Via Bernardino verro,

Plus en détail

Projet SETHER Appel à projets 2008. Adrien Patenôtre, POWEO Adrien.patenotre@poweo.com

Projet SETHER Appel à projets 2008. Adrien Patenôtre, POWEO Adrien.patenotre@poweo.com Projet SETHER Appel à projets 2008 Adrien Patenôtre, POWEO Adrien.patenotre@poweo.com SETHER STOCKAGE D ELECTRICITÉ SOUS FORME THERMIQUE À HAUTE TEMPÉRATURE Partenaires : POWEO, SAIPEM, CEA, CNAM, GEMH,

Plus en détail

ESSAIS DE CHARGEMENT DYNAMIQUES ET STATIQUES POUR FONDATIONS PROFONDES A L INES

ESSAIS DE CHARGEMENT DYNAMIQUES ET STATIQUES POUR FONDATIONS PROFONDES A L INES ESSAIS DE CHAGEMENT DYNAMIQUES ET STATIQUES POU FONDATIONS POFONDES A L INES Dynamic load testing and static compression test on fondation pile at the INES Jérôme GIPPON 1, aphaël DE TOUY 2 1 FANKI FONDATION

Plus en détail

Rapport de suivi du système de télésurveillance de la carrière souterraine Nord Ouest de Saint- Sulpice-de-Cognac (I 6)

Rapport de suivi du système de télésurveillance de la carrière souterraine Nord Ouest de Saint- Sulpice-de-Cognac (I 6) Rapport de suivi du système de télésurveillance de la carrière souterraine Nord Ouest de Saint- Sulpice-de-Cognac (I 6) ler semestre 2002 Renault O. Juiilei ZOO2 Ri-51786 Rapport de suivi du système de

Plus en détail

FONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4)

FONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4) FONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4) Bernard Le Stum Université de Rennes 1 Version du 13 mars 2009 Table des matières 1 Fonctions partielles, courbes de niveau 1 2 Limites et continuité

Plus en détail

Exemple d application du EN 1993-1-2 : Poutre fléchie avec section tubulaire reconstituée

Exemple d application du EN 1993-1-2 : Poutre fléchie avec section tubulaire reconstituée Exemple d application du EN 1993-1-2 : Poutre fléchie avec section tubulaire reconstituée P. Schaumann, T. Trautmann University of Hannover Institute for Steel Construction, Hannover, Germany 1 OBJECTIF

Plus en détail

Cours de Mécanique du point matériel

Cours de Mécanique du point matériel Cours de Mécanique du point matériel SMPC1 Module 1 : Mécanique 1 Session : Automne 2014 Prof. M. EL BAZ Cours de Mécanique du Point matériel Chapitre 1 : Complément Mathématique SMPC1 Chapitre 1: Rappels

Plus en détail

Quantification Scalaire et Prédictive

Quantification Scalaire et Prédictive Quantification Scalaire et Prédictive Marco Cagnazzo Département Traitement du Signal et des Images TELECOM ParisTech 7 Décembre 2012 M. Cagnazzo Quantification Scalaire et Prédictive 1/64 Plan Introduction

Plus en détail

Géotechnique DYWIDAG Boulons en roche

Géotechnique DYWIDAG Boulons en roche Géotechnique DYWIDAG Boulons en roche Matériel d installation et de mise en tension Installation Adaptateur rotatif pour le processus de malaxage et d enfoncement des tiges dans les cartouches de résine,

Plus en détail

Déformabilité des sols. Tassements. Consolidation

Déformabilité des sols. Tassements. Consolidation Déformabilité des sols. Tassements. Consolidation par Jean-Pierre MAGNAN Ingénieur en chef des Ponts et Chaussées Directeur technique au Laboratoire Central des Ponts et Chaussées, Paris Professeur de

Plus en détail

Fermettes + tuiles terre cuite = totale fiabilité en cas de séisme

Fermettes + tuiles terre cuite = totale fiabilité en cas de séisme * Fermettes + tuiles terre cuite = totale fiabilité en cas de séisme Le programme, lancé en 2009** et coordonné par FCBA, a pour objet d affiner les connaissances sur le comportement au séisme des habitats

Plus en détail

CSMA 2013 11e Colloque National en Calcul des Structures 13-17 Mai 2013

CSMA 2013 11e Colloque National en Calcul des Structures 13-17 Mai 2013 CSMA 0 e Colloque National en Calcul des Structures -7 Mai 0 Simulation numérique par éléments finis de l écoulement dans un mélangeur bi-vis et l interaction mélange-mélangeur Hamza DJOUDI *, Jean-claude

Plus en détail

Contribution à l étude de l écoulement dans un milieu compressible

Contribution à l étude de l écoulement dans un milieu compressible Contribution à l étude de l écoulement dans un milieu compressible Infusion de résine dans un composite déformable Pierre CELLE *, Sylvain DRAPIER *, Jean-Michel BERGHEAU ** * MeM / SMS (CELLE), BioMM

Plus en détail

1.5 COMPOSANTS POUR INSTALLATIONS TELEPHONIQUES, TV/SAT ET CAT.5. Les matières premières. Section 1.5

1.5 COMPOSANTS POUR INSTALLATIONS TELEPHONIQUES, TV/SAT ET CAT.5. Les matières premières. Section 1.5 Section COMPOSANTS POUR INSTALLATIONS TELEPHONIQUES, TV/SAT ET CAT.5 Les matières premières Pour vous donner un produit de qualité, nous choisissons celles qui offrent les meilleures garanties. Série DATATEL

Plus en détail

WWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale

WWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale WWW.ELCON.SE Multichronomètre SA10 Présentation générale Le SA10 est un appareil portable destiné au test des disjoncteurs moyenne tension et haute tension. Quoiqu il soit conçu pour fonctionner couplé

Plus en détail

Mise en Forme des Matériaux Polymères Polymer Processing. Philippe Cassagnau

Mise en Forme des Matériaux Polymères Polymer Processing. Philippe Cassagnau Mise en Forme des Matériaux Polymères Polymer Processing Philippe Cassagnau Que dit Internet? http://mediamef.utt.fr Mise en forme des polymères: Approche thermomécanique de la plasturgie ANTEC, the plastic

Plus en détail

Colle époxydique multi usages, à 2 composants

Colle époxydique multi usages, à 2 composants Notice Produit Edition 20 01 2014 Numéro 9.11 Version n 2013-310 01 04 02 03 001 0 000144 Colle époxydique multi usages, à 2 composants Description est une colle structurale thixotrope à 2 composants,

Plus en détail

Exercices du Cours de la programmation linéaire donné par le Dr. Ali DERBALA

Exercices du Cours de la programmation linéaire donné par le Dr. Ali DERBALA 75. Un plombier connaît la disposition de trois tuyaux sous des dalles ( voir figure ci dessous ) et il lui suffit de découvrir une partie de chacun d eux pour pouvoir y poser les robinets. Il cherche

Plus en détail

Processus de rupture dans les roches fragiles : déformations, variations de perméabilité et émission acoustique

Processus de rupture dans les roches fragiles : déformations, variations de perméabilité et émission acoustique Processus de rupture dans les roches fragiles : déformations, variations de perméabilité et émission acoustique Mokhfi Takarli Laboratoire de Génie Civil et Génie Mécanique - INSA de Rennes - 20 Avenue

Plus en détail

Chapitre 2 Introduction aux objectifs des coûts. Pr. Zoubida SAMLAL-Doctorante en Risk Management MBA, CFA

Chapitre 2 Introduction aux objectifs des coûts. Pr. Zoubida SAMLAL-Doctorante en Risk Management MBA, CFA Chapitre 2 Introduction aux objectifs des coûts Pr. Zoubida SAMLAL-Doctorante en Risk Management MBA, CFA Objectif du chapitre Faire la différence entre les coûts et les charges Définir les inducteurs

Plus en détail

Mécanique des sols I. Chapitre I Propriétés physiques des sols. Chapitre II Hydraulique des sols. Chapitre III Déformations des sols

Mécanique des sols I. Chapitre I Propriétés physiques des sols. Chapitre II Hydraulique des sols. Chapitre III Déformations des sols Mécanique des sols I Chapitre I Propriétés physiques des sols Chapitre II Hydraulique des sols Chapitre III Déformations des sols Chapitre IV Résistance au cisaillement des sols Chapitre III Déformations

Plus en détail

Fonctions de plusieurs variables

Fonctions de plusieurs variables Module : Analyse 03 Chapitre 00 : Fonctions de plusieurs variables Généralités et Rappels des notions topologiques dans : Qu est- ce que?: Mathématiquement, n étant un entier non nul, on définit comme

Plus en détail

Mario Geiger octobre 08 ÉVAPORATION SOUS VIDE

Mario Geiger octobre 08 ÉVAPORATION SOUS VIDE ÉVAPORATION SOUS VIDE 1 I SOMMAIRE I Sommaire... 2 II Évaporation sous vide... 3 III Description de l installation... 5 IV Travail pratique... 6 But du travail... 6 Principe... 6 Matériel... 6 Méthodes...

Plus en détail

Adhésif structural pour le collage de renforts

Adhésif structural pour le collage de renforts Notice Produit Edition 18/07/2014 Numéro 3022 Version N 2014-253 N identification : 020206040010000001 Adhésif structural pour le collage de renforts Description est une colle structurale thixotrope à

Plus en détail

Formation à la C F D Computational Fluid Dynamics. Formation à la CFD, Ph Parnaudeau

Formation à la C F D Computational Fluid Dynamics. Formation à la CFD, Ph Parnaudeau Formation à la C F D Computational Fluid Dynamics Formation à la CFD, Ph Parnaudeau 1 Qu est-ce que la CFD? La simulation numérique d un écoulement fluide Considérer à présent comme une alternative «raisonnable»

Plus en détail

Calcul intégral élémentaire en plusieurs variables

Calcul intégral élémentaire en plusieurs variables Calcul intégral élémentaire en plusieurs variables PC*2 2 septembre 2009 Avant-propos À part le théorème de Fubini qui sera démontré dans le cours sur les intégrales à paramètres et qui ne semble pas explicitement

Plus en détail

de calibration Master 2: Calibration de modèles: présentation et simulation d

de calibration Master 2: Calibration de modèles: présentation et simulation d Master 2: Calibration de modèles: présentation et simulation de quelques problèmes de calibration Plan de la présentation 1. Présentation de quelques modèles à calibrer 1a. Reconstruction d une courbe

Plus en détail

Construction. Sarnavap 5000E SA. Pare-vapeur. Description du produit. Tests

Construction. Sarnavap 5000E SA. Pare-vapeur. Description du produit. Tests Notice Produit Edition 09.2012 Identification no4794 Version no. 2012-208 Sarnavap 5000E SA Pare-vapeur Description du produit Sarnavap 5000E SA est un pare-vapeur auto-adhésif pour système en adhérence

Plus en détail

Le turbo met les gaz. Les turbines en équation

Le turbo met les gaz. Les turbines en équation Le turbo met les gaz Les turbines en équation KWOK-KAI SO, BENT PHILLIPSEN, MAGNUS FISCHER La mécanique des fluides numérique CFD (Computational Fluid Dynamics) est aujourd hui un outil abouti de conception

Plus en détail

I Stabilité, Commandabilité et Observabilité 11. 1 Introduction 13 1.1 Un exemple emprunté à la robotique... 13 1.2 Le plan... 18 1.3 Problème...

I Stabilité, Commandabilité et Observabilité 11. 1 Introduction 13 1.1 Un exemple emprunté à la robotique... 13 1.2 Le plan... 18 1.3 Problème... TABLE DES MATIÈRES 5 Table des matières I Stabilité, Commandabilité et Observabilité 11 1 Introduction 13 1.1 Un exemple emprunté à la robotique................... 13 1.2 Le plan...................................

Plus en détail

3 Approximation de solutions d équations

3 Approximation de solutions d équations 3 Approximation de solutions d équations Une équation scalaire a la forme générale f(x) =0où f est une fonction de IR dans IR. Un système de n équations à n inconnues peut aussi se mettre sous une telle

Plus en détail

possibilités et limites des logiciels existants

possibilités et limites des logiciels existants possibilités et limites des logiciels existants Dominique Groleau CERMA, UMR CNRS 1563, Ecole d Architecture de Nantes Journée thématique SFT- IBPSA, Outils de simulation thermo-aéraulique du bâtiment.

Plus en détail

TRACER LE GRAPHE D'UNE FONCTION

TRACER LE GRAPHE D'UNE FONCTION TRACER LE GRAPHE D'UNE FONCTION Sommaire 1. Méthodologie : comment tracer le graphe d'une fonction... 1 En combinant les concepts de dérivée première et seconde, il est maintenant possible de tracer le

Plus en détail

Spécialité Sciences Mécaniques et Ingénierie

Spécialité Sciences Mécaniques et Ingénierie Master 2 Sciences, Technologies, Santé Mention Mécanique Spécialité Sciences Mécaniques et Ingénierie Parcours R&D en mécanique des fluides Parcours R&D en matériaux et structures Parcours Energétique

Plus en détail