PLAN DE SURVEILLANCE Concept général

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1 PLAN DE SURVEILLANCE Concept général 1 Concept de surveillance - Généralités Concept général En cas de crue importante sur le Rhône avec une montée en puissance du risque, un plan de surveillance est mis en place à différents points représentatifs et/ou critiques. Cette surveillance doit permettre de déceler, à court terme, les évolutions et les phénomènes de danger laissant prévoir une rupture des et/ou un débordement depuis le Rhône et/ou encore un risque d embâcle. La surveillance permet ainsi d affiner l évaluation de la situation et l appréciation du danger. De manière pratique pour le concept de surveillance, les points critiques et les zones sensibles sont répertoriés en différents postes sur un plan. Ces postes font chacun l objet d une fiche technique sous forme d un ordre de mission avec la description du secteur concerné ainsi que du phénomène attendu. Le plan des points critiques sert notamment à connaître les scénarios potentiels et à faciliter la surveillance du Rhône en cas de crue. Il peut ultérieurement être complété par un plan représentant les points de gestion énumérant les interventions possibles lors d un débordement. Mise en place de la surveillance Dans le cadre du plan d alarme (PAI-R-VD), la mise en place et l application du plan de surveillance le long des du Rhône est déclenchée par le seuil de préalerte correspondant à un débit de 700 m 3 /s. Avec la préalerte, un plan de surveillance de degré 1 (surveillance partielle) est mis en place aux points les plus critiques du linéaire. A partir de m 3 /s, soit en alerte, le plan complet (degré 2) est appliqué sur tout le linéaire vaudois. La surveillance in-situ, à savoir le long et aux pieds des est maintenue jusqu à la cote de m 3 /s maximum. Lorsque le Rhône atteint ce débit, la sécurité des personnes chargées de la surveillance n est plus garantie car le risque de rupture des devient trop important (risque très élevé de rupture de digue). Dès cet instant, l observation du Rhône doit se faire à la jumelle depuis des points stratégiques (sur les versants latéraux par exemple) garantissant la sécurité des chargés de surveillance. Objets et secteurs prioritaires à protéger L ensemble du linéaire du Rhône sur le canton de Vaud fait 30 km de long pour 7 communes riveraines (Lavey-Morcles, Bex, Ollon, Aigle, Yvorne, Chessel, Noville).Cela fait une moyenne de 4 à 5 km par commune. En termes de dommages, les objets les plus importants sont les suivants : En termes de danger et de risque, la zone la plus critique est la zone industrielle qui se situe sur la commune d Aigle. Cette zone est occupée par des industries avec une forte densité d occupation. La zone de Lavey risque d être inondée en cas de montée des eaux. L autoroute sur le tronçon compris entre l échangeur de St-Triphon et l aérodrome de Bex est également fortement menacée par une rupture de digue. Les axes prioritaires intercantonaux Ollon-Collombey et Aigle-Vionnaz risquent d être inondés en cas de débordement et/ou rupture de digue. PLAN DE SURVEILLANCE CONCEPT GENERAL PAGE 1/10

2 Points critiques mis en surveillance durant la montée en puissance du Rhône Les zones sensibles à surveiller sont les suivantes : 1. Les ponts et passerelles enjambant le Rhône ; 2. Les embouchures des principaux cours d eau latéraux ; 3. Les points faibles au niveau de l état géotechnique des ; 4. Les points faibles au niveau capacité hydraulique ; 5. Les points faibles sur les principaux cours d eau latéraux en crue. Les secteurs et les points sensibles décrits ci-dessus sont listés à titre indicatif, dans le but de faciliter la surveillance du Rhône en cas de crue. Il faut cependant être conscient qu étant donné la mauvaise qualité géotechnique des matériaux constituant les, une rupture de ces dernières peut survenir n importe où, et ce surtout aux points où le niveau de l eau atteint lors de la crue est supérieur à l altitude du terrain naturel. Il conviendra donc, lors de la mise en application du plan de surveillance, de suivre l évolution de l événement le long de tout le linéaire du cours d eau afin d éviter de mauvaises surprises aux endroits où l on s y attendait le moins. Processus généraux à surveiller Les processus possibles sur le Rhône sont les suivants : Rupture de digue sans débordement préalable ; Débordement par-dessus les suivi ou non par une rupture de digue ; Création d un embâcle au droit d un pont. PLAN DE SURVEILLANCE CONCEPT GENERAL PAGE 2/10

3 2 Description des points et secteurs sensibles 2.1. Les ponts et passerelles Problématique Les ouvrages de franchissement comme les ponts peuvent présenter des points faibles importants sur le cours d eau par leur capacité hydraulique limitée. La submersion et/ou l obstruction même partielle de l ouvrage peut entrainer des phénomènes d érosion sur les berges avec un risque de rupture des et/ou de débordement. Inventaire des ponts et passerelles 17 ponts et passerelles existent sur le Rhône entre Lavey et le Bouveret. Les ouvrages sont référencés ci-dessous par rapport à l'axe du Rhône. Km abscisse curviligne Nom du pont Capacité hydraulique [m 3 /s] Passerelle du Bouveret 2200 >EHQ Pont de la Porte du Scex 1450 >HQ Pont de Vionnaz 2100 >EHQ Passerelle Aigle-Illarsaz >1800 EHQ Passerelle à gaz Passerelle raffineries Pont de Collombey - St-Triphon 1350 HQ Passerelle CIMO 1300 HQ Pont RC de Massongex 2200 >EHQ Passerelle de Massongex 1700 >HQ Pont CFF de Massongex 2300 >EHQ Pont de St-Maurice Pont RC de St-Maurice Pont St-Maurice A9 - VS >2500 >EHQ Pont St-Maurice A9 - VD >2500 >EHQ Pont St-Maurice - Lavey 1250 HQ Pont de Lavey-les-Bains 1550 >HQ100 Temps de retour Priorités / Objets soumis à une surveillance Lors de la tournée de surveillance, il est proposé de surveiller à priori les ponts ayant une capacité hydraulique égale ou inférieure au débit centennal (HQ100), soit 4 objets (en gras). Sous certains de ces ouvrages se trouvent des conduites d alimentation importantes. Les plus importantes sont citées ci-dessous : Au pont CIMO, une conduite d'eau salée, deux conduites de gaz (5 bars et 25 bars) et une conduite d'électricité traversent le Rhône sous le pont. A Collombey-Muraz, une canalisation de pétrole passe sur la passerelle reliant la raffinerie de Collombey à la gare de chargement sur la rive vaudoise. A Vouvry, une conduite d'eau potable traverse le pont de la Porte du Scex avec d'autres canalisations de services. PLAN DE SURVEILLANCE CONCEPT GENERAL PAGE 3/10

4 Phénomènes à observer Les processus et les phénomènes à observer au niveau des ponts sont les suivants : Le niveau d eau réel sous l ouvrage en cas de crue ; Le risque d embâcle par flottants ; Le risque de dégâts sur l ouvrage (important surtout si conduites présentes sous l ouvrage) suite par exemple aux chocs sur l ouvrage par des objets flottants. Alarme Lorsque le niveau d eau se situe à moins de 1m sous le pont. Lors de la rétention de flottants à l amont et/ou sous l ouvrage, permettant par là la création d un embâcle. Lors du constat de phénomènes d érosion sur les (aux piles du pont). Lors du constat de dégâts sur l ouvrage. PLAN DE SURVEILLANCE CONCEPT GENERAL PAGE 4/10

5 2.2 Les affluents du Rhône Problématique L arrivée d un cours d eau latéral important en crue dans le Rhône peut créer des phénomènes hydrauliques complexes. La création d un «bouchon hydraulique» peut par exemple induire une érosion et/ou une submersion partielle des avec un risque de rupture des et/ou de débordement. Inventaire des affluents principaux Il a, sur le tronçon compris entre St-Maurice et le lac Léman, 4 cours d eau importants qui se jettent dans le Rhône. Ci-dessous, les affluents sont référencés par rapport à l'axe du Rhône. Km abscisse curviligne Affluent Secteur L Avançon Bex La Vièze Monthey La Gryonne Monthey La Grande Eau Aigle Priorités / Objets soumis à une surveillance Il est proposé de surveiller l embouchure directe de ces 4 cours d eau dans le Rhône afin de vérifier les phénomènes hydrauliques potentiels induits par le contact des débits liquides. Phénomènes à observer Les processus et les phénomènes à observer au niveau des embouchures sont les suivants : Phénomène de «bouchon hydraulique» sur le Rhône par l arrivée du débit latéral permettant une érosion des et/ou un débordement depuis le Rhône. Phénomène de débordement et d inondation depuis le cours d eau latéral. Alarme En cas de débordements depuis le Rhône. En cas de débordement à l amont de la confluence du cours d eau avec le Rhône. En cas d érosion avérée des berges du Rhône. PLAN DE SURVEILLANCE CONCEPT GENERAL PAGE 5/10

6 2.3. Les points faibles géotechniques Problématique Le principal danger sur le Rhône n est pas le débordement par sous-capacité hydraulique de la section mais les ruptures de. En effet, les analyses effectuées à ce jour à propos de la géométrie et de la nature des endiguements (mauvaises qualités géotechniques) révèlent un manque de stabilité de ces ouvrages en cas de saturation lors de hautes eaux prolongées. Les ruptures de sont possibles même pour des hauteurs d eau qui n atteindraient par la cote de couronnement. Le principal processus de rupture est dû à l effet de renard, qui est le résultat d une érosion interne par l eau des matériaux de la digue. Il peut aussi se produire par la fondation, lorsqu une couche plus perméable favorise les circulations d eau entre le lit et les terrains situés à l aval de la digue. Ce mécanisme d érosion peut aller jusqu à la création d une brèche si l alimentation en débit ne s interrompt pas entre temps. Inventaire des points faibles géotechniques Les points faibles géotechniques définis dans l étude STUCKY SA 2007 sont définis sur la base d une modélisation hydraulique et géotechnique incluant à la fois la nouvelle géométrie des différents tronçons du Rhône de même que les informations récentes à propos de la qualité géotechnique et de la composition des (étude Karakas & Français SA 2006). Les points faibles les plus importants sont présentés ci-dessous : Priorités / Objets soumis à une surveillance Km abscisse curviligne Lieu (de à) Débits de danger [m3/s] Temps de retour ZI Aigle à AOMC >1200 HQ AOMC à Gryonne >1200 HQ Embouchure Vièze >HQ Vièze Avançon >HQ100 De manière générale, en vue de diminuer le risque sur la zone construite où la densité des aménagements urbains est la plus importante, il est proposé de surveiller le tronçon du Rhône compris entre L Avançon et La Grande-Eau, soit sur un linéaire de 12 km (communes de Bex, Ollon et Aigle). Les points faibles se situent entre le km 13 et la Gryonne (ZI d Aigle) avec un hot spot entre le km 15 et 16 (ZI d Aigle amont). Phénomènes à observer Alarme Les processus et les phénomènes à observer au niveau des sont les suivants : Signes de faiblesses des : venues d eau, percolations sur les parements extérieurs et/ou bouillonnements en pieds des talus extérieurs. Signes d instabilité des : érosion et/ou niches d arrachement à l intérieur des. Lorsque l un et/ou plusieurs phénomènes énumérés ci-dessus est observé. Lorsque les niveaux d eau se situent à 0.5 mètre environ par rapport au couronnement de la digue. PLAN DE SURVEILLANCE CONCEPT GENERAL PAGE 6/10

7 4. Les points faibles hydrauliques Problématique En l état actuel, la capacité du Rhône est insuffisante pour garantir le transit des débits égaux et supérieurs à 1'600 m 3 /s sur 30 à 50% de son parcours. Les débordements sont principalement localisés dans le secteur de l usine électrique de Lavey et sur le linéaire compris entre Bex et la zone industrielle d Aigle (ZI Aigle). Pour le débit de 1'400 m 3 /s, la capacité hydraulique du Rhône est pratiquement vérifiée sur plus de 90% de son tronçon et cette valeur constitue le débit limite qui peut transiter dans le Rhône dans sa configuration actuelle. Pour des débits inférieurs à 1'400 m 3 /s, des débordements importants sont possibles dans le secteur de Lavey dès 800 à 900 m 3 /s. Pour des débits supérieurs à 1'400 m 3 /s, le secteur le plus critique est celui compris entre la Grande-Eau et la Gryonne, avec des débordements à partir de 1'600 m 3 /s (le pire entre km 17 et km 15, à l amont de la zone industrielle d Aigle). Le secteur en amont de la Gryonne est moins critique, avec des débordements à partir de 1'800 m 3 /s. A l aval de la Grande Eau, les capacités augmentent et atteignent près de m 3 /s à m 3 /s, ce qui permet le transit de la crue extrême EHQ. Inventaire des points faibles hydrauliques Les points faibles hydrauliques sont issus des études de STUCKY SA ( ) et sont définis sur la base d une modélisation hydraulique HEC-RAS incluant la nouvelle géométrie des différents tronçons du Rhône. Les points faibles les plus importants sont présentés ci-dessous : Km abscisse curviligne Lieu (de à) Débits de danger [m3/s] Temps de retour 1 26 St-Maurice à Lavey > HQ ZI Aigle St-Triphon >1 600 >HQ100 Priorités / Objets soumis à une surveillance Les tronçons prioritaires à mettre en surveillance sont les suivants : Le secteur de Lavey, en rive droite entre les ponts de Lavey (km 27) et de St-Maurice-Lavey (km ), où la capacité est de l ordre de 800 à 900 m 3 /s. Le secteur de la jonction d autoroute Ollon-Monthey-Collombey (au niveau des km 15 et le km 17), où le transit d un débit de l ordre de m 3 /s n est pas assuré. Phénomènes à observer Les processus et les phénomènes à observer au niveau des sont les suivants : Niveaux d eau par rapport à la hauteur des (revanche). Alarme Lorsque le niveau d eau se situe à moins de 1m du niveau des. En cas de débordements depuis le Rhône. PLAN DE SURVEILLANCE CONCEPT GENERAL PAGE 7/10

8 3 Définition des postes et des missions Postes & Mission Sur la base des points faibles énumérés en 2, selon leur degré d importance et selon leur situation (proximité géographique), il a été défini 12 postes clés sur tout le linéaire vaudois. Poste Priorité Délimitation du secteur Mission / Contrôle 1 Lavey Degré 1 2 Bex Degré Embouchure Gryonne Pont de St- Triphon Grandes Iles d Aval Degré 2 Degré 2 Degré 2 6 Raffineries Degré 2 7 Duzillet Degré Gétaz Romang Centre mondial du cyclisme UCI Degré 2 Degré 2 10 Chessel Degré 3 Amont : Pont de Lavey-les- Bains Aval : Pont de St-Maurice Lavey-Village Amont : Embouchure Avançon Rhône Aval : Embouchure Vièze Rhône Amont : Embouchure Vièze Rhône Aval : Embouchure Gryonne Rhône Amont : Embouchure Gryonne Rhône Aval : Pont de Collombey St- Triphon Amont : Pont de Collombey St-Triphon Aval : Chemin depuis St- Triphon Amont : Chemin depuis St- Triphon Aval : Passerelle des raffineries Amont : Passerelle des raffineries Aval : Sentier équestre Amont : Sentier équestre Aval : Passerelle Aigle-Illarsaz Amont : Passerelle Aigle- Illarsaz Aval : Embouchure Grande Eau Rhône Amont : Embouchure Grande Eau Rhône Aval : Pont Porte-du-Scex Prioritaire : Capacité hydraulique du linéaire Secondaire : Pont de Lavey-Village Secondaire : Embouchure Vièze et Embouchure Vièze. Secondaire : Embouchure Gryonne et Passerelle CIMO Secondaire : Pont de Collombey St- Triphon Secondaire : Embouchure Grande-Eau 11 Porte-du- Scex Degré 1 Amont : Pont Porte-du-Scex Aval : Pont Porte-du-Scex Prioritaire : Pont Porte-du-Scex 12 Léman Degré 3 Amont : Pont Porte-du-Scex Aval : Embouchure Lac Léman PLAN DE SURVEILLANCE CONCEPT GENERAL PAGE 8/10

9 4 Mise en application du plan surveillance Mise en place du plan surveillance Le service de surveillance est assuré par les sapeurs-pompiers. La gestion logistique des besoins en hommes et en matériel (disponibilité, service de piquet, relèves, etc.), selon les postes, est assurée par les services de défense incendie et secours engagés. Sur le terrain, la mission d observation, selon les différents postes définis, sera assurée par les services de défense incendie et secours engagés par le CTA (centre de traitement des alarmes. Conseil : Pendant la mise en place du dispositif de surveillance, il conviendra de ne pas faire intervenir tous les hommes d un même corps sur le Rhône car il faudra peut être s attendre à d autres événements de dangers sur les torrents latéraux! Positionnement des personnes chargées de la surveillance Dès la préalerte (700 m 3 /s) et ce jusqu à 1'400 m 3 /s : Sur la voie le long du couronnement des : contrôle du niveau d eau et des érosions sur les parements intérieurs des. Sur les ponts : contrôle du niveau d eau, des phénomènes d érosion sur les parements intérieurs des et aux piles des ouvrages. Aux pieds des : contrôle des éventuelles venues d eau sur le parement extérieur des et des sorties d eau et/ou bouillonnements aux pieds des. A partir de 1'300 m 3 /s : Prise de position d un nouveau service de piquet en des points stratégiques (hors de l emprise des du Rhône) permettant une observation à distance et garantissant la sécurité des chargés de surveillance. Dès 1'400 m 3 /s : Retrait des services de piquet le long et aux pieds des et application de la surveillance à distance des points critiques jusqu au message de fin de danger. Mission La mission des personnes chargées de la surveillance est décrite sur une fiche technique (ordre de mission) définie pour chaque poste (12 postes au total). La fiche technique / ordre de mission décrit tous les éléments se rapportant au poste soit : Délimitation géographique du poste Besoins en hommes et en matériel Les spécificités du poste La mission Les éléments permettant de déclencher l alerte Un plan de situation Des photos et éventuellement des schémas PLAN DE SURVEILLANCE CONCEPT GENERAL PAGE 9/10

10 Transmission de l information PREALERTE : Le CTA mobilise le personnel nécessaire à la surveillance des postes avec le degré de priorité 1. Les services de défense incendie et secours mobilisés mettent en application les consignes de surveillance du degré 1 (surveillance partielle) ALERTE : Le CTA mobilise le personnel nécessaire à la surveillance des postes avec les degrés de priorités 1 et 2 (surveillance totale) Les services de défense incendie et secours mobilisés mettent en application les consignes de surveillance des degrés 1 et 2 (surveillance totale) Services de piquet terrain : Contrôle aux points stratégiques selon dispositif d engagement du plan surveillance ; En cas d alarme, le(s) chargé(s) de surveillance informent par radio le CTA Le CTA informe ensuite le piquet EMCC et le SESA. Levée du dispositif de surveillance : Le SESA et (ou) l'emcc avise le CTA de l'ordre de levée du dispositif ou le passage du degré 2 (surveillance totale) au degré 1 (surveillance partielle). Information / Coordination Vaud - Valais En cas d application du plan de surveillance le long du Rhône, une coordination intercantonale Vaud Valais est à mener afin de garantir la cohérence des informations et une coordination au niveau de l intervention. Dans ce cadre, il serait alors bon de coordonner les aspects de suivi de terrain (points faibles ponctuels et/ou linéaires, méthodes de diagnostic, supervision de la rive opposée) entre les deux cantons. Autre? PLAN DE SURVEILLANCE CONCEPT GENERAL PAGE 10/10

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