Monitorage de la température.
|
|
- Marie-Jeanne Chabot
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Module 1: Soins intensifs de base Prise en charge spécifique et monitorage Ferron Fred Température centrale: doit tjrs rester constante. Assure l homéostasie physiologique. Organismes homéothermes: capable de réguler leur propre température corporelle. Organismes poïkilothermes: absorbent la température de leur environnement. La température corporelle interne de l homme oscille entre 36 C et 37,5 C: normothermie température centrale La température des structures environnantes est appelée température périphérique. Température centrale et périphérique. 2 1
2 La température corporelle doit être constante afin de garantir l activité optimale du système physiologique enzymatique et son traitement dans notre corps. La production de chaleur et ses déperditions doivent être équilibrées. Froid Chaud Température centrale et périphérique. 3 Le cerveau est doté d un thermostat qui permet à l activité neuronale de s autoréguler. Emet et reçoit des signaux des parties du corps qui influencent la température: la moelle osseuse les muscles les vaisseaux sanguins le système endocrinien la peau. Température centrale et périphérique. 4 2
3 Les thermorécepteurs périphériques transmettent les variations de la température périphérique au corps: thermorécepteurs au chaud: réparties sur: la surface de de la peau des mains, du visage. les muqueuses de l œsophage, la bouche, la cavité nasale: corpuscules de Ruffini terminaisons nerveuses libres dans le derme stimulés par l augmentation de la température. Thermorécepteur. 5 thermorécepteurs au froid: situés plus près de la surface ( épithélium ) oropharynx cornée. corpuscules de Krause. stimulés par la baisse de la température. 25 récepteurs au froid et 3 récepteurs à la chaleur pour 50 points tactiles. Thermorécepteur. 6 3
4 Les thermorécepteurs permettent d adapter la température: stimuli transmis par les nerfs sensitifs au centre de régulation de la température: partie rostrale de l hypothalamus ( en direction du nez ) Thermorécepteur. 7 Partie caudale de l hypothalamus: contrôle les glandes sudoripares et les muscles par l intermédiaire du tronc cérébral, de la moelle osseuse, des fibres nerveuses efférentes. Thermorécepteurs centraux: informations transmises par le sang récepteurs au niveau de la peau info transmise vers la partie rostrale de l hypothalamus traitée par la partie caudale Augmentation locale de la T : vasodilatation, sudation Baisse locale de la T : vasoconstriction, frissons. Thermorécepteur. 8 4
5 Différences de température dans le corps, dépendant: de l activité métabolique locale du niveau de perfusion, des changements physiologiques: effort: la T augmente proportionnellement à l effort fourni l ovulation: la T varie d un demi-degré le Rythme circadien: variation de la T d un demi-degré. Température induites par les mécanismes corporels. 9 Lorsque la production et les déperditions caloriques sont équilibrées, la température corporelle reste constante. Si déséquilibre = variation de la T corporelle: / La régulation se faite au moyen du système physique: essaie de limiter au minimum les variations de la t : vasodilatation, transpiration, vasoconstriction, frissons. système chimique peuvent agir indépendamment. Régulation de la chaleur. 10 5
6 radiation convection évaporation conduction Régulation de la température: système physique. 11 La radiation: tout corps qui se trouve à proximité d un objet froid perd sa chaleur au profit de cet objet par l intermédiaire de sa propre radiation par infrarouges. La quantité de chaleur perdue dépend de la surface corporelle et du gradient de t entre le corps et son environnement. représente 50% de la perte calorique totale. Régulation de la température: système physique. 12 6
7 La convection: La chaleur est transférée à un courant d air circulant. facteurs influençants: la t ambiante, le débit de l air, la taille de la surface exposée. Attribution de 25 % de la déperdition calorique. Régulation de la température: système physique. 13 L évaporation: perte de chaleur par l évaporation des liquides: sueur, voies aériennes, muqueuses. Représente 22 % de la déperdition calorique totale. Régulation de la température: système physique. 14 7
8 La conduction: Déperdition calorique par le transfert de la chaleur aux objets qui sont en contact direct avec le corps. La quantité de chaleur transférée dépend: de la surface de contact, du gradient de t entre la peau et l objet, la conductivité de l objet. Représente 3% de la déperdition cal.tot Régulation de la température: système physique. 15 Lorsque la production de chaleur est inférieure à la perte de chaleur: stimulation du métabolisme augmentation de la production de chaleur. Initiation de différentes activités par le centre de régulation de la t. Les muscles constituent une importante source de chaleur. fournissent 20% - 30% de la chaleur au repos. 98% lors d un activité physique intense. Régulation de la température: système chimique. Thermogenèse 16 8
9 Augmentation de la température du corps, par: vasoconstriction périphérique activité accrue du système sympathique: ì catabolisme par ì adrénaline ( surrénale ) et ì Glucagon ( transformation glycogène en glucose ) stimulation de la formation réticulaire é tonus musculaire contraction volontaire des muscles ( bras sur poitrine, taper des pieds ) frissons et claquement des dents réaction reflexe par stimulation des thermorécepteurs au froid é activité thyroide: thyroid stimulating hormone é métabolisme de base Régulation de la température: système chimique. Thermogenèse 17 Rôle de la graisse: inhibe le transport passif de la chaleur de l intérieur du corps vers la peau. Rôle de vêtements: inhibe le transfert de la chaleur de la surface de la peau à son environnement. Régulation de la température: système chimique. Thermogenèse 18 9
10 Le corps est protégé par la température excessive par la thermolyse, qui se fait à travers la peau par les mécanismes d échanges de chaleur : irradiation, conduction, convection et évaporation (transpiration). Quand la température centrale augmente, il se produit simultanément : inhibition du centre de thermogenèse et activation du centre de thermolyse Régulation de la température: système chimique. Thermolyse 19 Vasodilatation artérielle cutanée : Par interruption des influx sympathiques. Les vaisseaux cutanés sont gorgés de sang chaud, ce qui entraîne une perte de chaleur à la surface de la peau par rayonnement, conduction, convection. Augmentation de la transpiration : si nécessaire : Les glandes sudoripares sont stimulées par les neurofibres du sympathique. Elles excrètent la sueur en grandes quantités, débarrassant ainsi le corps de son excès de chaleur, pourvu que l air soit sec. Si l air est très humide, l évaporation se ralenti et s arrête pour un taux d humidité de 60% è mécanisme inefficace Modifications comportementales : Rechercher un endroit frais, port de vêts larges et claires qui réfléchissent l énergie radiante. Régulation de la température: système chimique. Thermolyse 20 10
11 21 La T normale est quasi constante à 37 C La fièvre est une mauvaise chose et supprimer la fièvre élimine les effets négatives. La fièvre doit être traitée car elle est source d incomfort chez le patient. La fièvre devrait être traitée de façon empirique au moyen d antibiotiques. Réduire la température centrale chez un patient fièvreux n a pas d effet sur la maladie. Les atélectasies sont les causes les plus communes de fièvre dans les premiers jrs post-op. Barone J. Fever: fact and fiction. J Trauma. 2009;67: Fièvre en soins intensifs: fausses idées et fables 22 11
12 Comme fièvre on définit une température corporelle de 38.3 C ou plus, nécessitant une recherche causale (O Grady NP, Barie PS, Bartlett JG, et al. Guidelines for evaluation of new fever in critically ill adult patients: 2008 update from the American College of Critical Care Medicine and the Infectious Diseases Society of America. Crit Care Med. 2008;36: ). Fièvre est rapportée pour 70% des patients de soins intensifs, dont la moitié d origine infectieuse et l autre moitié d origine non-infectieuse. Circiumaru B, Baldock G, Cohen J, et al. A prospective study of fever in the intensive care unit. Intensive Care Med. 1999;25: Laupland indique que 44% des patients de soins intensifs développe de la fièvre, seul 17% ont une culture positive. (Laupland KB, Shahpori R, Kirkpatrick AW, et al. Occurrence and outcome of fever in critically ill adults. Crit Care Med. 2008;36: ) La mesure de la t corporelle doit être fiable et reproductible, afin de détecter la fièvre et identifier en temps réel les changements. Fièvre en soins intensifs: définition et contexte 23 Les endotoxines et autres toxines bactériennes stimulent les monocytes, macrophages et les cellules de Kupfer à produire des cytokines pyrogènes endogènes. Les cytokines IL-1ß, IL-6, ß-IFN, ɣ-ifn et TNF-α semblent pouvoir agir indépendemment pour induire de la fièvre. Ne traversent pas la barrière hémato-encéphalique ( polypeptides ), mais agissent sur l OVLT activent l air préoptique de l hypothalamus. Les cellules du SNC produisent aussi des cytokines lors d une stimulation par une infection: agissent directement sur les centres thermorégulateurs récepteurs cytokine activent la phospholipase A2 sécrétion d acide arachidonique ( substance du la voie cyclooxygenase ) Certaines cytokines augmentent directement la cyclooxygenase avec libération de prostaglandine E2 (PGE2) Fièvre en soins intensifs: pathogenèse
13 Fièvre en soins intensifs: pathogenèse. 25 La fièvre apparaît comme réponse à l agression par des microorganismes. L expérimentation animale montre une capacité de défense accrue lors de l augmentation de la t corporelle. L augmentation de la t accroît différents paramètres immunologiques incluant la production d anticorps, activation des cellules T, production de cytokines et augmente la fonction des macrophages et neutrophiles. La fièvre inhibe certains germes pathogènes telles le Streptococcus pneumoniae. Fièvre en soins intensifs: pathogenèse
14 Différentes études semblent indiquées que la survie des patients avec hyperthermie est améliorée, si aucun traitement agressif n est mis en place ( en comparaison avec un groupe sous traitement antipyrétique et matelat refroidissant) Exceptions: patients avec une réserve cardio-respiratoire limitée, si la t atteint 40 C, les traumas crâniens. Schulman CI, Namias N, Doherty J, et al. The effect of antipyretic therapy upon outcomes in critically ill patients: a randomized, prospective study. Surg Infect. 2005;6: Doran TF, De AC, Baumgardner RA, et al. Acetaminophen: more harm than good for chickenpox? J Pediatr. 1989;114: WeinsteinMP, Iannini PB, Stratton CW, et al. Spontaneous bacterial peritonitis. A review of 28 cases with emphasis on improved survival and factors influencing prognosis. Am J Med. 1978;64: Lenhardt R, Negishi C, Sessler DI, et al. The effects of physical treatment on induced fever in humans. Am J Med. 1999;106: Fièvre en soins intensifs: fièvre et outcome. 27 Tout processus pathogène induisant la libération de cytokines conduit à de la fièvre. Mais: bcp de situation non-infectieux mais inflammatoires induisent également une réponse fébrile. Tout patient avec une infection n est pas nécessairement fébrile. Patients septiques: 10% sont hypothermes 35% sont normothermes Fièvre en soins intensifs: Les causes
15 Une grande partie des causes non-infectieuses résultent en une lésion tissulaire avec inflammation. La t lors d une cause non-infectieuse ne dépasse pas 38.9 C. Une t dépassant les 39 C est à considérer d origine infectieuse. MAIS: une fièvre d origine médicamenteuse peut induire une t > à 39 C! ( idem fièvre post-transfusionnelle ) Fièvre en soins intensifs: Les causes non infectieuses. 29 Drug fever ( voir tableau slide suivant ) Fièvre post-transfusionnelle Neurologique ( hémorraghie intra-cranienne, infarct cérébral, hémorraghie sub-arachnoidale,avc,) Origine endocrinienne ( hyperthyroidie, Pheochromocytome, insuffisance surrénale) Origine rhumatismale ( vasculite, maladie collagène ) Origine hématologique ( phlebite, hématome) Origine gastrointestinale / hépatique ( cholécsytite, cirrhose, hépatite, pancréatite,..) Origine pulmonaire ( aspiration, ARDS, embolie pulmonaire ) Origine cardiaque ( infarctus du myocarde, péricardite ) Origine oncologique Fièvre en soins intensifs: Les causes non infectieuses
16 31 Des pyrogènes ( protéines productrices de température ) activent des récepteurs de cytokines ( substances solubles de signalisation cellulaire synthétisées par les cellules du système immunitaire ou par d autres cellules et / ou tissus, agissant à distance sur d autres cellules pour en réguler l activité et la fonction ) ( parties des paroies de bactéries / virus, le TNF-α ou les interleukines ) et Tool-like (récepteurs présents à la surface de certains types cellulaires chez l'homme et les mammifères, et jouent un rôle important dans l'immunité innée et notamment dans les défenses contre les microorganismes ) au niveau de l hypothalamus. L activation conduit à la production de Cyclooxygenase 2 et puis de la Prostaglandin E2 réaction fièvreuse. En résumé: L origine de l hyperthermie
17 La fièvre active le système immunitaire avec une activation des mouvements des granulocytes et macrophages augmentation de la phagocytose. activation des cellules B accroissement des lymphocytes T. Effet positif identifiable jusqu à 41 C. La fièvre a un effet bactériostatique, par blocage de la synthèse de la paroi bactérienne diminution de la production de Chelate liant le fer. Fièvre réaction immunitaire rapide, non spécifique. permet à l organisme de gagner du temps pour développer une réaction immunitaire spécifique. En résumé: Les bien-faits de la fièvre. 33 La fièvre constitue un effort métabolique substantielle pour le patient de soins intensif. augmentation du besoin énergétique augmentation du besoin en =2 augmentation du travail respiratoire tachycardie augmentation du besoin en énergie et liquidien. augmentation du besoin en O2 du cerveau avec perméabilité accrue de la barrière hémato-encéphalique. œdème cérébral vasogène En résumé: Les aspects négatifs de la fièvre
18 Inventé en 1724 par le physicien allemand Daniel Gabriel Fahrenheit Principe physique: Thermomètre à dilatation de liquide. La dilatation de ce corps liquide contenu dans un tube en verre permet d augmenter la taille de la colonne mercure. Inconvénients: Blessures des muqueuses. Problème de toxicité pour l environnement ++++ Problème de toxicité pour l organisme lors de bris +++ Interdit depuis 1998 Les moyens: Le thermomètre à mercure. 35 La nouvelle génération a abandonné la colonne de mercure au profit d un liquide métallique non toxique: le Galinstan. Le Galinstan est un composé alliant du gallium, de l indium et de l étain. Ses caractéristiques de mesure sont analoguesà celles du mercure. Les moyens: Le thermomètre à mercure
19 Utilisent la variation d orientation et donc de couleur de certains cristaux sous l effet de la chaleur. Mesure de la température cutanée. Déplacement d un index coloré. Inconvénients: réponse lente peu précise Les moyens: Thermométrie à cristaux liquides. 37 A small flat chemical thermometer with 50 dots thats change colour at specific temperatures. single-use Fast maximizing efficient patient care Oral reading are obtained in 60 seconds Axillary and rectal readings are available in just threee minutes Les moyens: Tempa-DOT 38 19
20 Principe physique: Tout corps chaud émet un flux radiant détectable dans l infrarouge. Ces IR sont captés par un transducteur puis convertis en température. Permet de mesurer la t tympanique sans contact avec le tympan. Avantages de l IR tympanique: Reflet de la t centrale. Risque infectieux faible. Site de mesure d accès facile. Mesure rapide. Les moyens: Thermométrie infra-rouge 39 Mesure du rayonnement IR chez des volontaires sains au bloc opératoire. A. Sans réchauffement. B. Effet d une couverture soufflante à 43 C Les moyens: Thermométrie infra-rouge 40 20
21 Limites de l IR tympanique: Lectures erronées Manque de précision. Les moyens: Thermométrie infra-rouge Représentation du gradient de température dans l oreille externe 41 Les moyens: Thermométrie infra-rouge 42 21
22 Les moyens: Thermométrie infra-rouge
23 Mesure de la température artérielle temporale. Technique à infrarouge. Plus précis que l IR tympanique. Reste une méthode accessoire, Fiabilité approximative des valeurs mesurées Les moyens: Temporal scanner thermometry 45 Les moyens: Temporal scanner thermometry 46 23
24 Scott Med J Feb;50(1):15-8. Temporal scanner thermometry: a new method of core temperature estimation in ICU patients. Myny D1, De Waele J, Defloor T, Blot S, Colardyn F. We can conclude that the temporal scanner has a relatively good reliability with an acceptable accuracy and variability in patients with normothermia. The results are comparable to those of the AT, but they do not seem to be sufficient to prove any substantial benefit compared to rectal, oral or bladder thermometry. Les moyens: Temporal scanner thermometry 47 Les moyens: Temporal scanner thermometry 48 24
25 Thermistance ( ou thermistor ) Principe = Mesure de la variation de la résistance d un filament métallique en fonction de la température. matériel semi-conducteur Réponse rapide, fiable Thermocouple: Principe = 2 conducteurs en métaux de caractéristiques différentes, soudés en un point, produisent une tension de sortie qui est fonction : de la température de la jonction du type des métaux qui composent les fils du thermocouple. Les méthodes électroniques: Thermistances ou thermocouples. 49 Les méthodes électroniques: Thermistances ou thermocouples
26 Thermomètre digital: thermomètre électronique, individuel, pour le publique. Utilisation par voie rectale ou sublinguale. Thermomètre à affichage digital. Structure en PVC. Alimentation réalisée par une pile. a préférer à la t tympanique IR alternative pour patients stables Les méthodes électroniques: Thermistances ou thermocouples. 51 La température cutanée peut être mesurée au niveau de: Creux axillaire Creux inguinal Doigts ou orteils Mollet Thorax Cuisse Bras Les méthodes: Température cutanée 52 26
27 De l écorce ( thorax, mollet, creux axillaire,..) = autrefois proposé comme site de température centrale, MAIS: dépend d un gradient entre écorce et noyau, totalement inconstant +++: augmente avec vasoconstriction ( froid, collapsus,) A l inverse de la température centrale, la température cutanée varie d un point à l autre. Des extrémités ( doigts, orteils) = calcul de l index de vasomotricité. La mesure de la température cutanée est actuellement principalement utilisée en réanimation pédiatrique et néonatale. Les méthodes: Température cutanée 53 Les méthodes: Température cutanée 54 27
28 Une température centrale peut être mesurée au niveau de: artère pulmonaire Œsophage Tympan Vessie Rectum Bouche Les méthodes: Température centrale 55 Température de l artère pulmonaire. «Gold standard» de la mesure de la température centrale en réanimation. L utilisation de la thermistance d une sonde de Swan-ganz, permet de connaître la température de l artère pulmonaire. Extrémité distale munie d une thermistance et d un ballonnet gonflable. Elément proximal de raccordement entre la thermistance et le calculateur de débit cardiaque. Les méthodes: Température centrale 56 28
29 Température oesophagienne: Température voisine du cœur Avantages: Fiabilité +++ Inertie thermique minimale Simplicité d utilisation Inconvénients: Fausses routes ( sous-muqueuse ou bronchique) Ulcération oesophagienne Fiabilité / bonne position +++ = rétro cardiaque (35 40 cm des dents. Les méthodes: Température centrale 57 Température oesophagienne: Mesure de la T Oesophagien et rectal Stéthoscope oesophagien muni d une thermistance Les méthodes: Température centrale 58 29
30 59 Température vésicale: Sondes vésicales munies d une thermistance. Taille = 8 à 18 ch Bon reflet de la température centrale. Dépendante de la diurèse ( > 50 ml / hrs ) Les méthodes: Température centrale 60 30
31 Les méthodes: Température centrale 61 Température rectale: Dépend de la profondeur d insertion: introduction > 7 cm = rarement en bonne position. Inertie Thermique très importante. Pelvis: part faible du débit cardiaque ( rectum: vascularisation par les A. hémor.) Plaies muqueuse ( hémorraghie, abcès ) et risque de contamination par des germes fécaux. Les méthodes: Température centrale 62 31
32
33 Traitement de l Hyperthermie. Paracétamol 65 33
Monitorage de la température. Dr Th. DEPRET Clinique d Anesthésie réanimation Hôpital Jeanne de Flandre
Monitorage de la température Dr Th. DEPRET Clinique d Anesthésie réanimation Hôpital Jeanne de Flandre Galilée, 1597 - Thermoscope. Santorio de padoue, 1612 - Thermomètre. Fahrenheit, 1717 Premier thermomètre
Plus en détailL eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 %
24 L eau est le principal constituant du corps humain. La quantité moyenne d eau contenue dans un organisme adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres d eau pour une personne de 70 kilogrammes.
Plus en détailTableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline
Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailTHEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE
THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE Introduction générale : L Homme, pour vivre, a besoin de se nourrir. La nutrition fait appel à différentes fonctions que sont l alimentation, la respiration
Plus en détailQUI PEUT CONTRACTER LA FA?
MODULE 1 : COMPRENDRE LA FIBRILLATION AURICULAIRE 16 QUI PEUT CONTRACTER LA FA? La FA est plus fréquente chez les personnes âgées. Par contre, la FA dite «isolée» (c.-à-d. sans qu il y ait de maladie du
Plus en détailChapitre II La régulation de la glycémie
Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique
Plus en détailLe cœur est compliqué et il est aussi un organe que travaille très fort (Heart Attack,
Le cœur est compliqué et il est aussi un organe que travaille très fort (Heart Attack, 2003), et c est la seule sorte de muscle qui peut se contracter régulièrement sans fatigue; tandis que les autres
Plus en détailGENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE
Distributeur exclusif de GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE INTRODUCTION...2 GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE...2 La température...2 Unités de mesure de température...3 Echelle de température...3
Plus en détailAMINES BIOGENIQUES. Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine
AMINES BIOGENIQUES Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine Effets physiologiques des bioamines via le systeme nerveux autonome Cardiovasculaire: Augmentation du
Plus en détailLe don de moelle osseuse :
DON DE MOELLE OSSEUSE Le don de moelle osseuse : se décider aujourd hui, s engager pour longtemps LA MOELLE OSSEUSE ET SA GREFFE La moelle osseuse C est le tissu mou dans le centre du corps des os qui
Plus en détailLa filtration glomérulaire et sa régulation
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 4 : La filtration glomérulaire et sa régulation Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailLa pompe cardiaque, le débit cardiaque et son contrôle
UEMPSfO - Physiologie Chapitre 4 : La pompe cardiaque, le débit cardiaque et son contrôle Professeur Christophe RIBUOT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailL APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.
1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises
Plus en détailCONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD?
CONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD? Hélène MANGEARD François MALADRY Tuberculose : infection mycobactérienne Infection mycobactérienne chronique (M. Tuberculosis ++ ou bacille
Plus en détailFonctions non ventilatoires
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 11 : Fonctions non ventilatoires Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailTransfusions sanguines, greffes et transplantations
Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222
Plus en détail*smith&nephew IV3000 Pansement pour cathéters réactif à l'humidité. Le pansement idéal pour cathéters
Le pansement idéal pour cathéters IV3000 diminue sensiblement le risque d infection en maintenant sec le site de ponction. IV3000 est jusqu à 8 fois plus efficace en terme d évaporation d humidité que
Plus en détailLe sens du goût. Une infinité de saveurs.
Le sens du goût. Que serait le goût sans la vue, la mémoire, la senteur, le plaisir? Lorsqu on parle du goût, on ne pense pas toujours à l ensemble des sensations qui permettent d identifier ce que l on
Plus en détailLivret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation
Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT
Plus en détailLASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.
LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus
Plus en détailGUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG
GUIDE DE BONNES PRATIQUES POUR LA COLLECTE DE PILES ET ACCUMULATEURS AU LUXEMBOURG Version 1.0 1 Avant-propos Ce guide de bonnes pratiques a été préparé pour fournir des informations concernant la collecte
Plus en détailLA VIE APRES VOTRE INFARCTUS
Hôpital Privé d Antony LA VIE APRES VOTRE INFARCTUS Livret d information Hôpital Privé d Antony - OPC/KINE/268 Page 1 sur 5 Intervenants Rédigé par : C.DUPUY M.CERISIER Masseur Kinésithérapeute Masseur
Plus en détailSéquence maladie: insuffisance cardiaque. Mieux connaître l insuffisance cardiaque Vivre avec un DAI
Séquence maladie: insuffisance cardiaque Mieux connaître l insuffisance cardiaque Vivre avec un DAI Janvier 2012 Finalité de l atelier: Présentation de la séance Cette séance a pour buts de vous permettre
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailNotre système. Immunitaire
Notre système Immunitaire Notre système Immunitaire Edito L association I.R.I.S. salue l initiative de Sara Lebien, qui en écrivant cet ouvrage et en proposant une illustration gaie et coloré a rendu l
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailUn environnement sans fumée pour vos enfants. Comment y parvenir?
Un environnement sans fumée pour vos enfants. Comment y parvenir? Renseignements sur la fumée secondaire et tertiaire Qu est-ce que la fumée secondaire? La fumée secondaire est une combinaison de fumée
Plus en détailPremière partie: Restitution + Compréhension (08 points)
Lycée M hamdia Année scolaire : 2011/2012 Prof : Saïd Mounir Date : 17/05/2012 Première partie: Restitution + Compréhension (08 points) EXERCIE N O 1: (4 points) : 1 : a-b 2 : b 3 : a-b 4 : d 5 : d 6 :
Plus en détailPARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement
PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?
Plus en détailCompléments - Chapitre 5 Spectroscopie
ompléments - hapitre 5 Spectroscopie Spectroscopie par résonance magnétique nucléaire (RMN 13 ) Tandis que la spectroscopie RMN 1 H fournit des données sur la disposition des atomes d'hydrogène dans une
Plus en détailDossier d information sur les bêtabloquants
Dossier d information sur les bêtabloquants Septembre 2014 I. Rappel sur les récepteurs bêta-adrénergiques Il y a actuellement 3 sortes de récepteurs bêta-adrénergiques connus: - Les récepteurs 1 qui sont
Plus en détailLes différentes maladies du coeur
Auteur : Dr Pascal AMEDRO Les différentes maladies du coeur 1. Le cœur normal L oxygène capté dans l air va dans les poumons, où le sang «bleu» est alors oxygéné et devient «rouge». Il est conduit par
Plus en détailLes nouveaux traitements du psoriasis
Les nouveaux traitements du psoriasis Ci-après, vous trouverez 3 articles, parus récemment, parmi d'autres tout aussi intéressants, dans notre bulletin trimestriel Pso Magazine: - un extrait de l'exposé
Plus en détailNOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Immukine 100 microgrammes/0,5 ml solution injectable (Interféron gamma-1b recombinant humain)
NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR Immukine 100 microgrammes/0,5 ml solution injectable (Interféron gamma-1b recombinant humain) Veuillez lire attentivement l'intégralité de cette notice avant d'utiliser
Plus en détailLes tests thyroïdiens
Les tests thyroïdiens Mise à jour de juin 2007 par S. Fatio Réf: les images et les graphiques sont tirés de www.endotext.org (textbook d endocrinologie online et libre d accès) QuickTime et un décompresseur
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailContenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif)
Contenu de la formation PSE1et PSE2 (Horaires à titre indicatif) Contenu de la formation PSE1 LE SECOURISTE : 1 h 30 Indiquer le rôle et les responsabilités d un secouriste. Indiquer les connaissances
Plus en détailConseils aux patients* Lutter activement. *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou
Conseils aux patients* Lutter activement contre la thrombose *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou 2 Mentions légales Directeur de la publication : Bayer
Plus en détailwww.dondemoelleosseuse.fr
Agence relevant du ministère de la santé www.dondemoelleosseuse.fr 01 Pourquoi devenir Veilleur de Vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies. Chaque année, des milliers de personnes - enfants
Plus en détailMaladies neuromusculaires
Ministère de la Santé et des Solidarités Direction Générale de la Santé Informations et conseils Maladies neuromusculaires Lisez attentivement ce document et conservez-le soigneusement avec la carte de
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailProtégeons-nous ensemble!
Grippe saisonnière. Protégeons-nous ensemble! Informations importantes pour vous et votre famille. www.sevaccinercontrelagrippe.ch www.ofsp.admin.ch B C Qu est-ce que la grippe saisonnière et quels en
Plus en détailUtilisation des substrats énergétiques
Utilisation des substrats énergétiques Collège des Enseignants de Nutrition Date de création du document 2010-2011 Table des matières I Les organes et les substrats... 3 I.1 Les substrats énergétiques...
Plus en détailTuberculose bovine. Situation actuelle
Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier
Plus en détailDiabète Type 2. Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques
Diabète Type 2 Épidémiologie Aspects physiques Aspects physiologiques Épidémiologie 90% de tous les cas de diabètes Environ 1 personne sur 20 est atteinte Diabète gras Facteur de risque majeur pour les
Plus en détailParasites externes du chat et du chien
Parasites externes du chat et du chien Identification, prévention et traitement Les tiques Les tiques transmettent des maladies parfois mortelles. La prévention est la meilleure arme. 1 - Où les trouve-t-on?
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailPrincipales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus
Module 2 Exercice 1: Cellules souches hématopoïétiques 1. Causes de décès en Suisse (2010) La figure suivante montre les causes de décès les plus fréquentes en Suisse en 2010, telles qu elles ont été relevées
Plus en détailAUTOUR DE LA MISE BAS
AUTOUR DE LA MISE BAS Un vêlage ou un agnelage est une des périodes les plus importantes dans la conduite d un élevage. De sa réussite dépendra l entrée d argent quelques mois plus tard. Il est donc impératif
Plus en détailComment évaluer. la fonction contractile?
Comment évaluer la fonction contractile? Pr Xavier MONNET Service de réanimation médicale Hôpital de Bicêtre Assistance publique Hôpitaux de Paris Conflit d intérêt Pulsion Medical Systems CAP PiCCO Echocardiographie
Plus en détailActualité sur la prise en charge de l arrêt cardiaque
Actualité sur la prise en charge de l arrêt cardiaque 24 ème Congrès de la Coordination des Infirmiers Anesthésistes et de Réanimation de Caen et sa Région Dr Buléon Clément Pôle Réanimation-Anesthésie-SAMU,
Plus en détailSommaire de la séquence 8
Sommaire de la séquence 8 Nous avons découvert dans la séquence 7 que les micro-organismes sont présents partout dans notre environnement et qu à la faveur d une lésion, ils sont capables de franchir nos
Plus en détailL ALCOOL ET LE CORPS HUMAIN
L ALCOOL ET LE CORPS HUMAIN TABLE DES MATIÈRES Présentation 1 L alcool, différent des autres aliments 2 Différent au moment de l absorption 3 Différent au moment de l élimination 4 Différent dans les conséquences
Plus en détailLe Test d effort. A partir d un certain âge il est conseillé de faire un test tous les 3 ou quatre ans.
Le Test d effort L'épreuve du test d'effort est un examen effectué en général par un cardiologue ou un médecin du sport. Le test d'effort permet de mesurer le rythme cardiaque, la pression artérielle,
Plus en détailL AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS
L AUTOGREFFE QUELQUES EXPLICATIONS Le traitement de votre maladie nécessite une Chimiothérapie intensive. Cette chimiothérapie qui utilise de fortes doses de médicaments antimitotiques est plus efficace
Plus en détailMieux informé sur la maladie de reflux
Information destinée aux patients Mieux informé sur la maladie de reflux Les médicaments à l arc-en-ciel Mise à jour de l'information: septembre 2013 «Maladie de reflux» Maladie de reflux La maladie de
Plus en détailAprès chirurgie bariatrique, quel type de tissu adipeux est perdu? Dr Emilie Montastier Hôpital Larrey, Toulouse
Après chirurgie bariatrique, quel type de tissu adipeux est perdu? Dr Emilie Montastier Hôpital Larrey, Toulouse Généralités / Contexte La chirurgie bariatrique: pas de relation quantitative claire entre
Plus en détailRecommandations pour la surveillance de la température de l eau chaude sanitaire
Délégation territoriale du Val-d Oise Recommandations pour la surveillance de la température de l eau chaude sanitaire Maîtriser la température de l eau chaude sanitaire L exploitant d un réseau d eau
Plus en détailDon de moelle osseuse. pour. la vie. Agence relevant du ministère de la santé. Agence relevant du ministère de la santé
Don de moelle osseuse Engagez-VOUS pour la vie 1 Pourquoi devenir veilleur de vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison
Plus en détailPrépration cutanée de l opéré
Prépration cutanée de l opéré Xème Journée d Hygiène Hospitalière de Bizerte. Bizerte le 3 décembre 2005 Conférence de Consensus de la Société Française d Hygiène Hospitalière 1 Définition: Ensemble de
Plus en détailPseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).
Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».
Plus en détailLa prise en charge de votre cardiopathie valvulaire
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre cardiopathie valvulaire Vivre avec une cardiopathie valvulaire Décembre 2008 En cas de cardiopathie valvulaire opérée
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailP.L.E.A.S.E. Painless Laser Epidermal System Needle-free drug delivery. Arne Heinrich arne.heinrich@pantec-biosolutions.com
P.L.E.A.S.E. Painless Laser Epidermal System Needle-free drug delivery Arne Heinrich arne.heinrich@pantec-biosolutions.com Groupe Pantec: 19 ans de tradition en ingénierie avec spécialisation en mécatronique
Plus en détailActivité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme
Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin
Plus en détailglycémique en réanimation
Les techniques de surveillance glycémique en réanimation M. Kopff-Uberall, M. Hasselmann Service de Réanimation Médicale, Hôpitaux Universitaires Université Louis Pasteur - Strasbourg Les Hôpitaux Universitaires
Plus en détailINSUFFISANCE HÉPATIQUE
INSUFFISANCE HÉPATIQUE EXISTE-T-IL DES TRAITEMENTS À BASE DE CELLULES SOUCHES POUR L INSUFFISANCE HÉPATIQUE? Bien qu aucun traitement à base de cellules souches pour l insuffisance hépatique ne soit approuvé
Plus en détailPrise en charge du patient porteur d un dispositif implantable. Dr Philippe Gilbert Cardiologue CHU pavillon Enfant-Jésus
Prise en charge du patient porteur d un dispositif implantable Dr Philippe Gilbert Cardiologue CHU pavillon Enfant-Jésus Objectifs Expliquer le fonctionnement des stimulateurs et défibrillateurs Identifier
Plus en détailFormation à l utilisation du défibrillateur semi-automatique (DSA)
Formation à l utilisation du défibrillateur semi-automatique (DSA) Que devons nous savoir? Utiliser en toute sécurité un défibrillateur semi-automatique au cours de la réanimation cardio-pulmonaire Durée
Plus en détailChapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie
Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie Le phénotype immunitaire d un individu caractérise sa capacité à répondre, grâce aux effecteurs de l immunité adaptative, aux différents agents
Plus en détailLE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie
Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7
Plus en détailConsensus Scientifique sur. les. Champs statiques
page 1/8 Consensus Scientifique sur Source : OMS (2006) les Champs statiques Résumé & Détails: GreenFacts Contexte - Les équipements d imagerie médicale par résonance magnétique (IRM), les trains et les
Plus en détailLE SPORT POUR CHACUN! Docteur CASCUA Stéphane Médecin du sport
LE SPORT POUR CHACUN! Docteur CASCUA Stéphane Médecin du sport LES FEMMES ET LE SPORT LES FEMMES ONT LE CŒUR MOINS SENSIBLE Moins de maladie cardiovasculaire protection hormonale sauf tabac + pilule LES
Plus en détailChapitre 2 : Respiration, santé et environnement.
Chapitre 2 : Respiration, santé et environnement. Rappels : L air qui nous entoure contient 3 gaz principaux: 71% d azote, 21% d oxygène, 0,03 % de CO2 et quelques gaz rares. L eau de chaux se trouble
Plus en détailL influence du sport sur le traitement du diabète de type 1
L influence du sport sur le traitement du diabète de type 1 Contenu 1. Bénéfice du sport pour patients avec diabète de type 1 2. Aspects physiologiques du sport en rapport avec la glycémie en général 3.
Plus en détailVaccins du futur Atelier «Croisière dans l archipel des nouveaux vaccins»
Vaccins du futur Atelier «Croisière dans l archipel des nouveaux vaccins» Bernard Duval Institut National de Santé Publique du Québec 18 avril 2002 Objectifs Grands axes de la réponse immunitaire Conjugaison
Plus en détailMode d emploi du kit de mesure
Conseil en maîtrise de l énergie et énergies renouvelables Mode d emploi du kit de mesure Présentation Dans le cadre du défi «Familles à Energie positive», ce kit est remis au capitaine de chaque équipe.
Plus en détailCARDIOLOGIE LA MÉDICATION POUR L'INSUFFISANCE CARDIAQUE
CARDIOLOGIE LA MÉDICATION POUR L'INSUFFISANCE CARDIAQUE La médication est importante, elle aidera à améliorer le travail du cœur et à éliminer le surplus d'eau. Il est important de prendre la médication
Plus en détailPour une prise en charge efficace de la température
Pour une prise en charge efficace de la température Comment prévenir et soigner l hypothermie Auteur: S.D.J. van Beek, CRNA Pour une prise en charge efficace de la température Comment prévenir et soigner
Plus en détailLe don de moelle osseuse
Le don de moelle osseuse Enfant, je rêvais de sauver des vies. Aujourd hui, je le fais. Grande cause nationale 2009 Olivier, 4 ans Olivier, 32 ans Établissement relevant du ministère de la santé Le don
Plus en détailSommeil et sport Dr. Arnaud PRIGENT (Pneumologue à St LAURENT) sport et sommeil 01/06/2010
Sommeil et sport Structure du sommeil Au cours du sommeil, on repère 2 principaux types de sommeil : Le sommeil lent. Le sommeil paradoxal. Processus de régulation 3 processus: - circadienne (processus
Plus en détailRéception du tissus documentation examens sérologiques inspection préparation façonnage
Déroulement du processus Tutoplast Don de tissus accord du patient questionnaire au patient (don vivant) questionnaire aux proches du défunt (don mort) prélèvement du tissus sur le patient (ou en pathologie)
Plus en détailComment se déroule le prélèvement? Il existe 2 modes de prélèvements des cellules souches de la moelle osseuse:
La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison pour de nombreuses personnes atteintes de maladies graves du sang. Le don de moelle osseuse est un acte volontaire, anonyme et gratuit
Plus en détailLa drépanocytose. Sikkelcelziekte (Frans)
La drépanocytose Sikkelcelziekte (Frans) Qu est-ce que la drépanocytose? La drépanocytose est une maladie causée par un changement héréditaire du pigment rouge dans les globules rouges : l hémoglobine.
Plus en détailAnticorps, vaccins, immunothérapies allergéniques tout savoir sur les progrès de l immunothérapie en 20 questions
Anticorps, vaccins, immunothérapies allergéniques tout savoir sur les progrès de l immunothérapie en 20 questions De quoi se compose le système immunitaire? Chaque jour, des substances étrangères, appelées
Plus en détailBACTÉRIE PARTICULE D ARGENT
Tissu High-tech BACTÉRIE FIBRE MEDICAL STYLE FIBRE NORMALE PARTICULE D ARGENT FIBRE MEDICAL STYLE FIBRE NORMALE La partie interne des tissus Medical Style contient des particules d argent à l action biocide
Plus en détailURGENCES MEDICO- CHIRURGICALES. Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor
URGENCES MEDICO- CHIRURGICALES Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor Coup d envoi Définition de l urgence Fonction des personnes : Pour les patients : «ça ne va pas», «il n est pas comme d habitude», «il
Plus en détailAssociation lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détailTest d immunofluorescence (IF)
Test d immunofluorescence (IF) 1.1 Prélèvement du cerveau et échantillonnage Avant toute manipulation, il est fondamental de s assurer que tout le personnel en contact avec un échantillon suspect soit
Plus en détailREPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Plus en détailLa fonction respiratoire
La fonction respiratoire Introduction Fonction vitale : Au-delà de 3 min = atteintes graves Après 5 min = très altérés On parle de 3 phénomènes : Ventilation : respiration visible, échanges aériens intérieur
Plus en détailVous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à
Vous intervenez en équipage SMUR sur un accident de la voie publique : à votre arrivée sur les lieux, vous trouvez un homme d environ 30 ans au sol à plat dos, inconscient Glasgow 3, à 20 mètres d une
Plus en détail.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203 .(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3 .( @.*" '!%2"+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!
!"#! $ %#&' (!"#$!% & % ' (!%' ) )''! *)+* *! %#"+, ' ( ', -) " *.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203.(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3.( -.* %)!(2"+ %#(30! &' 4!!%.+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!%(%' 0.(89.*
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailBien vous soigner. avec des médicaments disponibles sans ordonnance. juin 2008. Douleur. de l adulte
Bien vous soigner avec des médicaments disponibles sans ordonnance juin 2008 Douleur de l adulte Douleur de l adulte Ce qu il faut savoir La douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable,
Plus en détailAcides et bases. Acides et bases Page 1 sur 6
Acides et bases Acides et bases Page 1 sur 6 Introduction Sont réputés acides et bases au sens des règles de sécurité en vigueur en Suisse, les solides ou liquides qui ont une réaction acide ou alcaline
Plus en détailvaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé)
EMA/90006/2015 EMEA/H/C/001104 Résumé EPAR à l intention du public vaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé) Le présent document est un résumé du rapport européen public d évaluation
Plus en détailSoins Inrmiers aux brûlés
Soins Inrmiers aux brûlés Le 29/04/2009 1 Intro La gravité d'une brûlure dépend essentiellement de sa profondeur, de sa supercie de sa localisation et du ASA. Sa prise en charge doit être rapide pour limiter
Plus en détail