Evaluation des besoins en financement des maraichers à Potou (document de travail)

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1 Evaluation des besoins en financement des maraichers à Potou (document de travail) Juin 2015

2 La zone de Potou est située au nord de Louga dans la communauté rurale de Léona. Les activités dominantes sont le maraîchage (60% des ménages) et la pêche. Avec une production estimée à tonnes par an, Potou est considérée comme la deuxième zone de production d oignon après la Vallée du Fleuve Sénégal. Les wolofs, les peulhs, les maures et les sérères constituent les principes ethnies dominantes. L enquête a été effectuée auprès des maraîchers des villages de Keur Koura Djeri, Keur Koura Guedj, Borel Boyenne et au niveau du marché de Potou. Le ciblage de ces villages a été guidé par la capacité productive très importante de ces cuvettes tournées pour l essentiel vers la polyculture. Les principales enseignements 1. L oignon est la culture maraîchère dominante dans la zone de Potou, de l avis des producteurs interrogés celle-ci est très rentable. Pour l oignon, deux variétés sont cultivables annuellement à Potou : - Il s agit de la variété Orient F1 plus communément appelé «Ngagne Mbaye» qui peut être repiqué en Janvier et récolté au courant du mois de Mai et de Juin. Cette variété cultivée en précoce se révèle aussi particulièrement rentable car elle arrive à maturité au mois de Février et bénéficie d un prix à la vente très favorable, pouvant s établir en moyenne à 250 Fcfa le kilogramme. de la carotte, du chou pommé, de l aubergine amère, du poivron, de la pomme de terre et du persil. En polyculture, les associations suivantes ont été observées : Oignon-Carotte-tomate Oignon-tomate cerise-piment Tomate cerise-oignon Oignon-Tomate Oignon-choux 4. Les revenus des maraîchers proviennent aussi des activités comme l élevage et du commerce de l oignon (bana-bana). 5. Le mode d exploitation dans la zone de Potou est appelé «Mbaye Seddo»: le propriétaire de l exploitation contractualise (orale) avec un sourgha et à la fin de la campagne après déduction des charges engagées au niveau de la parcelle, la marge brute est divisée à part égale. 6. Le sourgha choisit de préférence les cultures à fortes valeur ajoutée comme la culture de l oignon ainsi au niveau de certaines cuvettes faire de la polyculture est difficile et pénible sans main d œuvre familiale. Il faut reconnaître que le plus souvent pouvoir disposer d un bon sourgha est extrêmement compliqué surtout en début de campagne. - Et de la variété «Sonsa» semée en pépinière en Mars-Avril et récoltée en Juillet-Août, c est la variété la moins rentable du point de vue agronomique. Cependant elle reste profitable du point de vue économique car elle bénéficie de l embellie des prix de l oignon importé (les mois de Juillet correspondent à la période précédant le dégel des importations, l oignon local se raréfie sur les marchés urbains et s aligne du coup sur les prix de l oignon importé. 2. Après l oignon, la tomate cerise avec ses variétés «Xewel» et «Xina» est aussi cultivée à Potou car très rentable elle aussi. Le chiffre d affaire pour une superficie de 0,25 Ha peut se chiffrer à plus de Fcfa. Il faut préciser que la tomate cerise peut se cultiver à n importe qu elle période de l année (son cycle végétatif n excède pas 3 mois), cependant les meilleurs prix sont observés au Juin. 3. Plusieurs autres cultures maraîchères essentiellement à cycle court sont cultivées en polyculture, il s agit 2

3 Les principales contraintes identifiées Typologie des maraîchers à Potou Les principales difficultés rencontrées par les maraîchers de Potou sont : 1. Les difficultés d accès à l eau En effet, certains des maraîchers de Potou n ont pas encore les moyens de réaliser un forage pour faciliter leur irrigation et diminuer ainsi les frais liés à la prise en charge des sourgha. Pour l instant certains se contentent de puits creusés d une profondeur variable liée au niveau de la nappe phréatique dans la cuvette concernée. Précisons que le coût d un forage s estime en moyenne à Fcfa (la main d oeuvre pour forer coûte Fcfa auquel s ajoute le prix de la motopompe qui peut aller jusqu à Fcfa, sans compter la construction des bassins et le tuyautage). 2. Le coût élevé du carburant pour les motopompes Les producteurs sont alors obligés de se rabattre sur le carburant des moteurs de pirogue qui coûte moins cher. Ce carburant inadapté endommage les motopompes et les producteurs sont obligés ainsi de renouveler leur équipement en moyenne tous les trois ans. 3. Les frais de prise en charge du sourgha sont très élevés (environ Fcfa/sourgha) En l absence de forage au niveau des parcelles pour l irrigation, la pénibilité de l irrigation s ajoute à celle de l entretien de la parcelle réduisant ainsi la superficie dont peut s occuper un sourgha. Il faut dès lors 2 fois plus de sourgha, ce qui augmente du coup considérablement les charges de campagne. 4. Les problèmes liés à la commercialisation de l oignon La spéculation sur les prix de l oignon et l absence d un schéma de commercialisation officiel accroissent le nombre d intermédiaires dans la filière oignon appâté par un arbitrage possible sur les prix. Cette situation complique la commercialisation de l oignon et les maraîchers de Potou se trouvent parfois dans l obligation de stocker et attendre de valoriser leur production à un meilleur prix au regard des charges engagées pour la culture. 5. En l absence source de financement, les commerçants financent à la limite de l usure Dans la zone d enquête peu de producteurs ont accès au crédit. Pour ceux qui y accèdent, il est insuffisant et arrive trop tard. Vue les charges élevées les maraîchers sont obligés de se rabattre sur les commerçants qui ont la possibilité de financer aussi les dépenses alimentaires du maraîcher et le rachat de la part qui revient de droit au Sourgha, ce qui fait en réalité leur force. 3

4 Calendrier cultural pour les principales cultures maraîchères de Potou Charges de Campagnes pour les différentes cultures maraîchères de la zone de Potou 4

5 Des produits de crédit différenciés pour les maraîchers de la zone de Potou 1- Le premier produit de crédit serait à proposer aux producteurs du groupe I, constitué de producteurs qui exploitent sur moins d un hectare (utilisent 4 sourgha) et ne disposent pas de forage. Ces producteurs font à majorité de la polyculture au même titre que les groupements des femmes. 2- Un produit de crédit adapté pour les producteurs du groupe II qui dispose de plus de moyens et qui cultivent les 2 variétés Sonsa et Orient F1 sur des parcelles différentes devra aussi être envisagée. Précisons qu en l absence de financement pour compléter les charges liées à la variété Sonsa, les producteurs sont obligés soit de brader une partie (moitié) de leur récolte d Orient F1 sur le marché ou de solliciter un crédit informel auprès de commerçants en échange d un remboursement en nature. Ce crédit informel permet aussi de racheter la part du sourgha qui souhaite s en aller en fin de récolte. De ce fait avoir un produit de crédit sur maximum 4 mois qui permettrait de racheter la part du sourgha en fin de récolte et de financer une partie de la culture du Sonsa peut être intéressant. Ainsi le producteur ne serait pas obligé de brader une partie de sa production. Précisons que bien que récoltée en Avril-Mai, la variété Orient F1 peut relativement bien se conserver au-delà du mois de Juillet (4 mois de conservation). La constatation du stock pourrait déclencher la procédure d instruction du dossier. Afin de sécuriser le stock, la sollicitation des magasins de stockage d oignon payante est possible. De ce fait le crédit pourra être remboursé soit avec la vente de la Variété Orient F1 ou du Sonsa. 3- Les producteurs du dernier groupe qui sont pour la plupart des bana-bana pourraient bénéficier d un produit de crédit pour l achat et la revente d oignon variété Orient F1 pour une période de 4 à 5 mois. 4- Enfin des produits de crédit adaptés au besoin d investissement des producteurs peuvent aussi être très intéressants. Les besoins exprimés sont l achat de motopompe, l installation de goutte-à goutte et le forage (+ bassin et tuyauterie). 5

6 Nous analysons pour vous Marcel Matar Diouf

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