L éducation à la santé et la promotion du sport à l école Mens sana in corpore sano

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1 Fédération des Associations de Parents de l Enseignement Officiel L éducation à la santé et la promotion du sport à l école Mens sana in corpore sano Les Analyses de la FAPEO (juin 2008) Fédération des Associations de Parents de l Enseignement Officiel Avenue du Onze novembre, Bruxelles 02/ / secretariat@fapeo.be M:\FAPEO\EDUCA_PERM\2008\Analyses 1

2 L éducation à la santé et la promotion du sport à l école Mens sana in corpore sano Table des matières Table des matières... 2 Avant propos... 3 Sport, santé et bien-être... 4 Santé... 4 Sport... 5 Les bienfaits de l activité physique... 5 Egalité d accès à l activité sportive... 6 Les facteurs d adhésion à la pratique physique... 7 Education pour et par le sport... 9 L éducation à la santé, la promotion du sport... 9 à l école?... 9 Sport Alimentation-santé La FAPEO propose diverses pistes de réflexions Conclusion(s) ANNEXES BIBLIOGRAPHIE M:\FAPEO\EDUCA_PERM\2008\Analyses 2

3 Avant propos C est parallèlement à une démarche de recherche et d analyse sur le thème du sport chez les jeunes, que nous avons fait le choix de développer plus largement la question de la promotion du sport et de la santé à l école. En d autres termes, cette analyse promotion de la santé et du sport en englobe une autre qui se concentre davantage, elle, sur le sport chez les jeunes. Nous fixons dans un premier temps un cadre plus largement défini pour une analyse plus détaillée par la suite. A travers ce document, nous proposons un aperçu d un ensemble de considérations (d observations) relevant à la fois de la santé et du sport dans et hors du cadre de l école. Ainsi, au départ de notre rédaction, relatons en quelques mots ce constat : nous sommes actuellement face à une augmentation de l obésité chez les jeunes et les moins jeunes. Obésité et surpoids qui ne sont pas sans répercussions sur la santé générale de l individu. Autrement dit, dans notre mode de vie postmoderne où nous avons gagné en confort, où la voiture est omniprésente, où les tâches ont été automatisées, où le temps passé devant la télévision et/ou l ordinateur ne cesse de croître aux dépens de notre activité physique 1, nous nous détachons petit à petit de cette fameuse philosophie de vie Mens sana in corpore sano. Il semblerait que nous soyions, en effet, de plus en plus loin du compte : maladies diverses, obésité et surcharge pondérale, mal-être et repli sur soi, etc. Et, dans ce constat général de société, quel rôle doit jouer l école? Notre démarche de rédaction suivra un plan de promotion du sport pour une meilleure hygiène de vie, vers l acceptation et l engagement dans la pratique d activités physiques. Nous allons dans un premier temps poser une série de constats de société, de là nous revendiquerons un ensemble de bienfaits du sport. Nous allons aussi souligner l importance de l égalité d accès à l activité physique, ensuite nous tenterons de fournir des clés à l éveil à la motivation pour le sport et à la santé physique, mais également des pistes afin de veiller à la mise en place d une vraie démarche d adhésion et de persévérance au sport. Nous allons enfin souligner l importance de ne pas instaurer de mauvaises habitudes alimentaires dès le plus jeune âge. Tout ceci évidemment dans la perspective de conscientiser sur le rôle de l école dans ce domaine en particulier. 1 une rencontre avec les conseillers M:\FAPEO\EDUCA_PERM\2008\Analyses 3

4 Sport, santé et bien-être Santé Pour l OMS (Organisation Mondiale de la Santé), la santé est un état de bien-être mental, physique et social 2. Elle ne concerne donc pas uniquement le corps. Les bien-être mental, physique et social sont en effet liés les uns aux autres, nous pourrions dire qu ils sont interdépendants pour une bonne santé. Il y a lieu ici de prendre hâtivement connaissance d un phénomène d actualité, en tous cas d une condition de vie de plus en plus pointée du doigt : l obésité. Trop longtemps l impact de l obésité a été négligé et trop souvent elle n a pas été envisagée comme étant une entrave à une bonne forme générale Nous avons tous encore en tête cet état d esprit de l enfant bien potelé qui du coup était jugé en très bonne santé par nos grandsmères. Quoiqu il en soit, à l heure où les vertus de régimes miracle sont sans cesse promotionnées à l heure où nous faisons la course au kilo (voire au gramme) en trop une toute autre réalité est à mettre en avant : l ère sédentaire ; elle recouvre : augmentation du taux d obésité, diminution de la pratique du sport, et routine de la malbouffe. En effet, le taux relevé de personnes souffrant d obésité est en constante augmentation, si bien que le samedi 25 mai 2008 fut baptisée en Belgique la 1 ère journée nationale contre l obésité. Depuis les années 60, les cas d obésité se sont multipliés par 4 ou 5! 3. D autres chiffres? 44% de la population souffre actuellement de surpoids et un enfant sur 7 est obèse 4. Enfin, notons que la promotion de la santé en Communauté française est décrétée (décret du 17 juillet 1997 portant organisation de la promotion de la santé en Communauté française (complété et modifié en juillet 2003) : Article 1 er : Par promotion de la santé au sens du présent décret, il faut entendre le processus qui vise à permettre à l individu et à la collectivité d agir sur les facteurs déterminants de la santé et, ce faisant, d améliorer celle-ci, en privilégiant l engagement de la population dans une prise en charge collective et solidaire de la vie quotidienne, alliant choix personnel et responsabilité sociale. La promotion de la santé vise à améliorer le bien-être de la population en mobilisant de façon concertée l ensemble des politiques publiques [ ]. 2 une rencontre avec les conseillers 3 «L obésité chez les jeune : il y a urgence» 4 «Et samedi, la journée nationale contre l obésité» M:\FAPEO\EDUCA_PERM\2008\Analyses 4

5 Sport Les problèmes de poids des enfants européens ne proviennent pas tant d une consommation trop élevée de calories, que de l inactivité physique. Les enfants d aujourd hui ne mangent pas trop : ils ne bougent pas assez! Le sport compte au nombre des bonnes habitudes à prendre. Une activité physique régulière procure en effet des bénéfices psychologiques certains, notamment en matière d estime de soi et d intégration dans un groupe. 5 Il est plus que temps d agir et prévenir. Un des lieux de prévention de l obésité pouvant être le milieu scolaire. Le rôle positif dans la promotion du bien-être et de la santé tant physique que mentale est, en effet, maintenant largement accepté. Il s agit d une activité humaine qui repose sur des valeurs sociales éducatives et culturelles essentielles. Il est un facteur d insertion, de participation à la vie sociale, de tolérance, d acceptation des différences et de respect des règles 6. Dès lors, prenons le temps de vanter les bienfaits de la pratique d une activité physique régulière. Les bienfaits de l activité physique Effets corporels de la pratique physique : effets somatiques Remède à des maladies (affections : athérosclérose, ostéoporose, arthrose), Prévention de maladies coronariennes, maladies cardiovasculaires Elimination du cholestérol Effet bénéfique sur l hypertension artérielle Abandon d habitudes de vie telles que la consommation d alcool, de tabac, alimentation déséquilibrée Réduction de la dégradation du corps liée à l âge (équilibre postural, temps de réaction, vitesse de mouvement) Effets psychologiques de la pratique physique Modifications de l image de soi Réduction de l anxiété Amélioration du bien-être psychologique Effets sociologiques de la pratique physique Lieu de rencontre Moyen d insertion dans un groupe Lieu de rencontre Affirmation de soi Le sport joue un rôle de cohésion sociale dans la société parce que le sport implique la solidarité. Il implique également le respect des règles. 5 «Le sport à l école, la solution aux problèmes d obésité?» 6 Conseil européen de Nice, 2000 in CLOES, M & VINCKE, J. ; «Développer les liens, améliorer l accès. Une exploration de l impact social du sport», p. 14 M:\FAPEO\EDUCA_PERM\2008\Analyses 5

6 Effet protecteur contre le cancer Une bonne condition physique et l activité physique ont une influence bénéfique contre les maladies cardio-vasculaires, notamment par une meilleure régulation du poids corporel, de la pression artérielle et du métabolisme des graisses et des sucres et apportent une amélioration de l appareil locomoteur ainsi que du capital osseux 7. (Se base sur : Etre physiquement actif joue un rôle important dans les loisirs et les jeux et contribue au développement moteur et social ainsi qu au développement de la créativité 8. Nous venons d insister sur l importance de la pratique d un sport, sur les bienfaits tant physique, mental et social que ce type d activité peut avoir sur l individu ; mais Avons-nous tous les mêmes possibilités d accès au plaisir du sport? Egalité d accès à l activité sportive Remarquons que malgré ses objectifs égalitaires, force est de constater que, pour des raisons personnelles ou indépendantes de sa volonté, l ensemble de la population n a pas accès à la pratique des activités physiques et sportives. En Belgique comme à l étranger, nombre de publications soulignent ainsi l existence de disparités parfois criantes dans ce domaine entre différents groupes de la société contemporaine (Bodson et al ; De Knop & Elling, 2000 ; De Waele et al., 2001 ; Hillary Commission, 1999). Parmi ces groupes sont généralement répertoriés : - les immigrés ou les membres des minorités ethniques, - les femmes, - les handicapés, - les défavorisés, les personnes âgées, - les homosexuels, - les malades du Sida, - les adolescents, - les non-sportifs, - les travailleurs. 9 7 In 8 Plan National Nutrition Santé 9 CLOES, M & VINCKE, J. ; «Développer les liens, améliorer l accès. Une exploration de l impact social du sport», p. 48 M:\FAPEO\EDUCA_PERM\2008\Analyses 6

7 Pourtant, cet accès à l activité sportive doit être généralisé! Comment? Notamment en accordant plus de crédits (plus et mieux) aux cours de gymnastique à l école. Promouvoir réellement le sport à l école, c est selon nous sensibiliser à une hygiène de vie plus saine en tous cas, c est un bon début. Poursuivons ; nous voulons promouvoir le sport pour tous, qu il soit accessible à tout un chacun, c est une première chose ; mais ensuite, comment maximiser les chances pour que l enfant, l adolescent, l adulte adhère à la pratique d un sport? Quels sont les facteurs d adhésion à un sport? Les facteurs d adhésion à la pratique physique Se motiver Ou comment passer du «il faudrait que» à «j agis»? «Il faudrait bien que je fasse de l exercice, c est sûr que ça serait bon pour ma santé». Au conditionnel?! Evidemment, savoir que l exercice est bon pour la santé et en faire sont deux choses bien distinctes. Se motiver à bouger? Plus d excuses. Prenons un petit espace pour répondre aux meilleurs prétextes fournis à l inactivité physique 10. Passons en revue ces faux-fuyants qui empêchent de quitter la vie sédentaire. En d autres termes, nous allons procéder à une déconstruction d arguments régulièrement émis qui justifieraient (conditionnel) la non-pratique d une activité sportive. a. «Je n ai pas le temps» La recherche révèle qu il ne faut que 30 minutes d activités par jour pour sortir du clan des sédentaires. b. «Le temps est mauvais» Nous pouvons faire du sport à la maison, en salle, ou en club. Et si le lendemain il fait beau? Demandez-vous si vous trouverez une autre excuse? c. «Ma condition physique est trop mauvaise» Raison de plus! Commencez par des activités légères à durée réduite et augmentez progressivement. Retenez que les gens sédentaires sont plus souvent malades et se rendent plus souvent chez le médecin. d. «Ça prend trop de temps pour se mettre en forme» Les effets de l exercice se font sentir dès la première séance. A chaque retour d activité vous serez plus détendus, vous observerez des changements physiologiques. 10 A la base de la réflexion : «Forme physique. Se motiver et persévérer» M:\FAPEO\EDUCA_PERM\2008\Analyses 7

8 e. «Je suis trop fatigué» C est souvent le manque d exercice qui vous rend fatigué. f. «Ça coûte cher» Et la marche ou la course à pieds? De plus, une fois installé dans une activité physique régulière, dépenser pour acheter des vêtements ou des équipements de sport sera perçu non plus comme une dépense superflue mais comme un investissement dans votre santé. De plus, il s agirait d ouvrir les infrastructures scolaires pour des activités sportives pendant le week-end, pendant les congés scolaires, après l école, etc., c est-à-dire pendant le temps libre, pendant le temps extrascolaire. g. «Je déteste avoir chaud, suer, être essoufflé» Il y a des sports qui se font à un rythme lent, comme par exemple le yoga et qui sont tout aussi bénéfiques. h. «Je n ai pas assez de volonté pour persévérer» Une fois ressentie cette sensation de bien-être due à l activité physique, vous ne parlez plus en termes de volonté mais d envie. Et persévérer Connaître les vertus de la pratique régulière d une activité physique, se motiver et commencer, ce n est pas tout il faut encore persévérer et faire en sorte que le moment sport devienne une habitude installée dans une quotidienneté. Dès lors, il faut une adaptation maximale entre les besoins et attentes de pratiquants et la pratique. La première chose à faire est donc de clarifier les motivations incitant à la pratique d un sport (perte de poids? augmentation de la masse musculaire? accroissement de l endurance, amélioration des capacités psychomotrices?, etc.) Il faut aussi garder à l esprit que ces motivations peuvent s accrocher à des croyances irrationnelles sur les effets à court et long terme de l exercice. Plus l écart entre les bénéfices escomptés et les résultats réellement obtenus sera grand, plus grande sera la probabilité d abandon M:\FAPEO\EDUCA_PERM\2008\Analyses 8

9 Education pour et par le sport Le lien entre le sport et l éducation demeure fragile : c est pour réaffirmer et valoriser ce potentiel éducatif du sport que la Commission européenne a décrété l année 2004 «Année européenne de l éducation par le sport». 12 Voici pour information la circulaire (14 août 2003) reprenant les divers objectifs principaux (5) de cette initiative de l année européenne de l éducation par le sport : sensibiliser les organisations éducatives et les organisations sportives à la nécessité de la coopération pour développer l éducation par le sport dans sa dimension européenne ; mettre à profit les valeurs véhiculées par le sport pour développer les connaissances et les compétences qui permettent aux jeunes de développer leurs capacités physiques et leur disposition à l effort personnel ainsi que leurs capacités sociales telles que le travail en équipe, la solidarité, la tolérance et le fair-play dans leur cadre multiculturel ; promouvoir la valeur éducative de la mobilité et des échanges des élèves, notamment dans un milieu multiculturel par le biais de l organisation de rencontres sportives et culturelles dans le cadre des activités scolaires ; encourager l échange de bonnes pratiques en ce qui concerne le rôle que le sport peut jouer dans les systèmes éducatifs afin de promouvoir l inclusion sociale des groupes défavorisés ; créer un meilleur équilibre entre les activités intellectuelles et physiques durant la vie scolaire en encourageant le sport dans les activités scolaires. L éducation à la santé, la promotion du sport à l école? L enseignement doit promouvoir la confiance en soi et le développement de la personne de chacun de ses élèves. (article 6 du décret Missions de l école du 24 juillet 1997) Chaque établissement suscite le goût de la culture et de la créativité et favorise la participation à des activités culturelles et sportives par une collaboration avec les acteurs concernés. (article 8 du décret Missions de l école du 24 juillet 1997) 12 «Education par le sport» - M:\FAPEO\EDUCA_PERM\2008\Analyses 9

10 Sport Nous l avons déjà énoncé, les problèmes de surpoids affectent un nombre grandissant de belges et d européens, et, pour prévenir ce fléau, la pratique régulière du sport à l école pourrait s avérer être une piste non négligeable à suivre, mais à la condition d inverser la tendance actuelle allant vers la réduction du temps consacré à l éducation physique dans les programmes scolaires 13 le sport à l école est, en effet, une pratique en chute libre. Pour Claude Eerdekens, Ministre des Sports et de la Fonction Publique à la Communauté française (de 2004 à 2007), deux heures de gym par semaine à l école n est pas suffisant 14. Alors que les experts recommandent 60 minutes de sport quotidien pour les enfants et adolescents, le temps alloué aux activités sportives ne cessent de décroître depuis L éducation physique fait partie de l éducation globale de l enfant et doit contribuer au développement et à l épanouissement du jeune ainsi qu à son intégration progressive dans la société. Nous n avons pas terminé de vanter les mérites du sport : le sport n est pas que santé Parce qu il est mouvement, il incite au dépassement de soi, au dépassement des autres ; parce qu il incite au dépassement, il induit l expression corporelle ; parce qu il est expression, il est plaisir pour ceux qui le pratiquent, mais aussi spectacle et suspens pour ceux qui le regardent ; parce qu il est spectacle, il intègre la sphère économique. Parce qu il est intégré à la sphère économique, il est débat sur nos visions du monde. Tant comme pratique que comme spectacle, le sport s est considérablement développé au cours du siècle écoulé. Les grandes compétitions sportives détiennent les records d audience télévisée, nulle presse n envisagerait d être quotidiennement sans rubrique sportive, les champions sont les héros des épopées contemporaines, look et langage sportifs sont entrés dans les mœurs. 16 Alimentation-santé Nous allons nous concentrer ici sur un seul cas particulier : la collation de 10h. Quel est l avis des médecins? Est-elle utile? Est-ce que l école ne promeut pas par le biais de cette systématisation de la collation de 10 heures des mauvaises habitudes alimentaires? Quel modèle de consommation alimentaire est présenté à nos enfants? En tout état de cause, par sa composition, son horaire, son caractère systématique et indifférencié, la collation matinale actuellement proposée aux enfants en milieu scolaire ne peut constituer qu une réponse inadaptée à l absence de petit-déjeuner. Elle est superflue et néfaste pour la grande majorité des enfants de cet âge qui déjeunent le matin, et, dans tous les cas, pourrait favoriser la progression de l obésité 17. A ces considérations, nous ajouterons la remarque que, si l école doit s assurer que l enfant ait quelque chose dans le ventre pour commencer la journée, elle devrait orienter son attention et ses actions sur le petit-déjeuner plutôt que sur la collation de 10 heures. De la sorte, les enfants ne prennent pas l habitude du grignotage souvent extra-sucré de 10 heures. 13 «Le sport à l école, la solution aux problèmes d obésité?» 14 In 15 Ib. 16 VANBENBERG-LOBET, J ; «La place du sport dans l éducation physique à l école» 17 DEVRIESE, M. ; «Zéro pointé pour l alimentation à l école» ; groupe de pédiatres dans la revue française «Archives pédiatries» en 2003, sous le titre La collation de 10 heures en milieu scolaire : un apport alimentaire inadapté et superflu M:\FAPEO\EDUCA_PERM\2008\Analyses 10

11 La FAPEO propose diverses pistes de réflexions Si le sujet vous interpelle, nous vous renvoyons à l analyse intitulée : Sédentarité, obésité : pour une éducation à la santé dès le plus jeune âge ; Nous rappelons également que le prochain sujet étudié aura également à trait à ce cadre de problématique, plus précis : Le sport chez les jeunes. Très brièvement, dans l analyse Sédentarité et obésité (2007), nous mettons l accent sur le fait que des comportements et habitudes alimentaires peu favorables à la santé, sont à constater dans un lieu qui devrait servir d exemple aux jeunes citoyens à savoir l école. Dans le volet Le sport chez les jeunes, nous établirons un état des lieux de la (non)-pratique d une activité physique chez la jeunesse actuelle et en particulier chez les jeunes filles. Conclusion(s) L insouciance de la jeunesse, l inconscience de l adulte faut-il encore le rappeler? Notre santé est précieuse, il faut y veiller faisons en sorte que nos enfants acquièrent dès le plus jeune âge des attitudes saines et naturelles. Il est indispensable qu ils connaissent les bienfaits d une bonne nutrition, les bienfaits de la pratique du sport, en somme qu ils soient sensibilisés à l importance d adopter une bonne hygiène de vie. Nous voguons entre une vision du corps idéal frôlant ou prônant l anorexie, et une société illustrant une réalité de surpoids et d obésité, avec tous les troubles associés qu elle peut engendrer. Comment l enfant s y retrouve-t-il entre cette image véhiculée (médiatiquement) de l anorexie, et le constat de plus en plus probant de la surcharge pondérale? L impression est-elle que le bien est l anorexie et le mal le surpoids? Comment doit-il comprendre la nature du corps humain et ce qu il doit en faire? En somme, la promotion du sport doit se passer parallèlement à un ensemble de démarches soutenant l éducation à la santé. Les enfants doivent être informés, ils doivent apprendre à décoder les besoins de leur corps, mais également apprendre à comprendre ce qu ils voient à la télévision, en rue, dans les journaux et revues, etc. Soulignons que par promotion du sport, il est clair qu il ne s agit pas simplement de souscrire une argumentation en faveur de l activité. Il faut suivre et poursuivre la motivation de l enfant, de l adolescent car, c est une chose qu il adhère à la pratique, c en est une autre qu il la poursuive dans le long terme. Nous nous préoccupons du bien-être de nos enfants, développons chez eux cette valeur de respect de leur corps. Il est d une nécessité absolue d inculquer à nos enfants et à nos jeunes l importance d estimer le corps humain. Il faut qu ils apprennent à s y sentir bien physiquement, mentalement et socialement. Car en effet, le corps est le vecteur de toute sensation, perception et activité. Connaissons-le, apprécions-le et affirmons-le. M:\FAPEO\EDUCA_PERM\2008\Analyses 11

12 Eduquons à la santé, promouvons le sport. Et là, si l école est un lieu important d enseignements, le cercle familial a également un rôle à jouer. Chacun a son propre rôle à jouer en matière d éducation sportive et d habitudes nutritionnelles. Le sport à l école A retenir Plus et mieux Constatant ce taux grandissant d individus en surpoids (obésité), et connaissant les troubles de santé physique, mentale et sociale que cela peut engendrer, il est grand temps de repenser une éducation à la santé et la promotion du sport à l école. Par le biais de l éducation à la santé, l enfant doit apprendre à respecter son corps, à adopter une hygiène de vie lui permettant de se sentir et d être en bonne santé. La promotion du sport, doit quant à elle, être revue. Les heures de sport à l école (qui permettent notamment une égalité d accès à une pratique sportive) sont insuffisantes, trop souvent mal organisées, et ne suscitent que très rarement l envie de se maintenir dans l activité Vite se changer, enfiler une tenue loin des critères de mode du jeune, pratiquer vite fait une activité (dans des locaux souvent peu accueillants) très souvent peu en accord avec ses envies, ses intérêts, vite se re-changer (rarement des douches sont disponibles dans les établissements) et continuer le reste de la journée de cours dans des conditions physiques et psychologiques loin d être optimales. Nous sommes loin d une pratique bienfaisante du sport à l école. Il faut donc la repenser en termes de quantité et de qualité, celle-ci devant poursuivre un objectif général d éducation à la santé. Les parents Voyez si votre enfant manifeste le désir de pratiquer une activité physique, faites-lui des propositions. Veillez également à développer chez lui des attitudes alimentaires saines, n employez pas la voie de restriction, soyez éducateur à une bonne santé. Peut-être que vous aussi vous adopterez de nouvelles habitudes plus respectueuses de votre corps. Montrons-leur le bon exemple. V.S. M:\FAPEO\EDUCA_PERM\2008\Analyses 12

13 ANNEXES Pour un autre état des lieux D après le baromètre santé , le niveau habituel d activité physique pratiquée est un indicateur de santé publique indispensable à mesurer. Dans ce but, un groupe de consensus international a élaboré en 1998 un questionnaire : le IPAQ (International Physical Activity Questionnaire) Parmi personnes âgées de 18 à 65 ans interrogées sur leurs activités physiques (World Health Organisation, Organisation Mondiale de la Santé), 41.9% déclarent, au moment de l enquête (2002), ne pas avoir pratiqué dans la semaine précédente d activité physique intense. Ils sont 27.8% à en avoir fait au moins trois jours dans la semaine, les hommes étant, en proportion, près du double à être dans ce cas (36.1% vs 20%). On observe aussi une différence par sexe assez nette en ce qui concerne la durée de ces activités : parmi ceux qui ont pratiqué une activité intense dans les sept jours précédant l enquête, 72.2% des hommes contre 51.4% des femmes déclarent en avoir pratiqué plus d une heure un jour moyen. Concernant les activités physiques modérées (en dehors de la marche), 15.6% des adultes n en ont pas fait dans la semaine, mais près d un tiers (31.3%) en a fait au moins cinq jours dans la semaine. Plus d un sur cinq (27.1%) en a fait au moins cinq jours pendant au moins trente minutes, les femmes davantage que les hommes (30.8% vs 23.1%) et les jeunes moins que les adultes plus âgés. Enfin, pour la marche, une personne sur dix (10.6%) déclare ne pas avoir marché au moins dix minutes d affilée dans la semaine, mais 60.0% disent avoir marché au moins cinq jours et 48.7% tous les jours. Près de la moitié des adultes déclarent avoir marché, au moins cinq jours, pendant au moins trente minutes, sans différence selon le sexe. Les adultes de 45 ans et plus sont, en proportion, légèrement plus nombreux que leurs cadets (51.0% vs 46.5%) à être dans ce cas. 18 Baromètre santé Premiers résultats La pratique d activités physiques chez les adultes. M:\FAPEO\EDUCA_PERM\2008\Analyses 13

14 BIBLIOGRAPHIE CLOES, M & VINCKE, J. ; «Développer les liens, améliorer l accès. Une exploration de l impact social du sport» ; Fondation Roi Baudouin ; 2004 VANBENBERG-LOBET, J ; «La place du sport dans l éducation physique à l école» ; communication donnée par l Auteur le 30 novembre lors du 3 ème colloque Droit et Sport à Bruxelles par le Cabinet Van Eynde & Partners sur le thème de la «formation des jeunes sportifs» Plan National Nutrition Santé Décret du 17 juillet 1997 portant organisation de la promotion de la santé en Communauté française (complété et modifié en juillet 2003) Analyse FAPEO : «Sédentarité, obésité : pour une éducation à la santé dès le plus jeune âge» ; 2007 «L obésité chez les jeunes : il y a urgence» ; Education Santé, n 191 ; juin «Le sport à l école, la solution aux problèmes d obésité?» /default_fr.htm «Education par le sport» La Libre Belgique ; DEVRIESE, M. ; «Zéro pointé pour l alimentation à l école» ; 01/09/2004 Le Metro ; «Et samedi, la journée nationale contre l obésité» ; le 21/05/08 Conférence de presse du 12 septembre 2003 sur le lancement de la campagne de la promotion de l activité physique (Domaine provincial du Bois d Havré) - Intervention du Ministre Christian Dupont Circulaire n du 14 août 2003 ; objet : année européenne de l éducation par le sport Commission européenne ; structures sportives dans les Etats membres - Belgique M:\FAPEO\EDUCA_PERM\2008\Analyses 14

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