GiP-MiE Roubaix Wattrelos Leers

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1 GiP-MiE Roubaix Wattrelos Leers

2 1- Les chiffres de la Métropole lilloise 2- Le bassin d emploi Roubaix-Tourcoing-Vallée de la Lys 3- Le territoire de Roubaix 4- Le pôle de proximité Wattrelos-Leers 1- Le plan d actions mutualisées du bassin d emploi Roubaix Tourcoing Vallée de la Lys 2- La cellule de reclassement interprofessionnelle ARRMEL : 1- Rapport détaillé 2- Bilan synthétique par axe de la convention pluriannuelle 3- Le point de vue des partenaires : quelques témoignages sur la plus-value après un an de fonctionnement 4- Perspectives : : 1- Le poids de l emploi par MDE du bassin et l évolution en un an 2- Statistiques de fréquentation des services du pôle information conseil 3- Procédure de recrutement en nombre (CA du 4 juillet 2007) 4- Logigramme d impact des actions «accès et retour à l emploi» 5- Tableau objectifs / résultats de différents dispositifs 6- Actions de communication

3 La convention de la Maison de l Initiative et de l Emploi a été signée le 22 décembre Les retards enregistrés dans la réalisation du chantier, n ont permis son ouverture qu en décembre La MIE a pour vocation de faire face aux grands enjeux du territoire et de répondre à la demande des entreprises locales, les PME en particulier, de la zone transfrontalière, de la zone de l Union et aux objectifs de l ANRU. La MiE doit adapter les plans d action nationaux aux besoins des populations locales, et coordonner sur son territoire les différents dispositifs de la politique de l emploi. Elle apporte ainsi aux décideurs une connaissance de terrain et démontre sa complémentarité d intervention avec le nouvel opérateur commun issu de la fusion ANPE /ASSEDIC, afin d optimiser le retour à l emploi des habitants et de favoriser l anticipation des besoins des entreprises en ressources humaines. Les maisons de l emploi constituent Le lieu de concertation entre élus et décideurs de la politique emploi formation sur un territoire. Cette première année de fonctionnement a permis de formaliser les partenariats et de mettre sur pied le plan d actions, résolument orienté vers l emploi et la qualification du public. Notre action a été optimisée grâce à un travail important de «décloisonnement» des équipes constituées des 180 salariés issus des différentes structures composant la MIE. Il a fallu, ensuite, construire le projet collectif avec les équipes, développer les complémentarités des différents acteurs notamment par un accueil tout public commun, la constitution du pôle emploi et le lancement de l espace info-formation tout au long de la vie. Cela a permis de rendre plus lisible et plus accessible l offre de services au public. Ainsi, la MiE a conduit certains partenaires à «se poser les bonnes questions sur leur propre projet», dans un contexte difficile de réduction budgétaire, de rationalisation des fonds publics et surtout de réforme des politiques nationales de l emploi et de la formation professionnelle. Après une fin d année 2007 incertaine quant à leur avenir, les maisons de l emploi sont aujourd hui présentes au Conseil National de l Emploi et au Conseil Régional de l Emploi du nouvel opérateur unique. Dans ce contexte de réorganisation nationale, de nouveaux élus ont été désignés pour travailler aux côtés du service public de l emploi et afin d améliorer l offre de services des structures locales comme les PLIEs et les Missions Locales. Les nouvelles politiques à l échelle métropolitaine devront également apporter leur plus-value aux opérateurs. La MiE n est pas la maison du chômage, mais elle se doit d apporter une ingénierie complémentaire aux intermédiaires publics et privés de l emploi oeuvrant au profit des personnes les plus en difficulté particulièrement présentes sur notre territoire. Au terme de sa première année de fonctionnement, notre MiE a été désignée pour mettre en œuvre la méthode d auto-évaluation à titre expérimental pour Cette méthode sera généralisée à l ensemble des maisons de l emploi les années suivantes. Cette action mobilise l ensemble des partenaires, y compris les opérateurs de quartier, pour évaluer et améliorer collectivement le projet dès sa 2 ème année. La réussite du projet collectif de la MiE ne pourra se réaliser sans cette synergie et cette dynamique de l ensemble des partenaires. Malgré les difficultés importantes, le niveau de formation de la population s est amélioré depuis Notre territoire demeure attractif et dynamique (+ 44% de déclarations d embauches en 2007) et créateur d emplois qualifiés. Dans ce cadre, la MiE détient un rôle essentiel pour continuer d adapter les compétences de la population active aux besoins des entreprises notamment par la formation tout au long de la vie.

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5 (source Agence de Développement et d Urbanisme - avril 2008 UNEDIC) Accélération de la croissance du nombre d emplois salariés dans la métropole lilloise Au 31 décembre 2006, l arrondissement de Lille compte salariés privés ( (69,3%) dans la zone d emploi de Lille ; (30,7%) dans celle de Roubaix-Tourcoing). L augmentation observée depuis 2005 ( emplois) s est effectuée en quasi-totalité dans la zone d emploi de Lille. La reprise de la croissance de l emploi métropolitain, engagée à partir de 2004, s accélère fortement: le taux de croissance de l emploi était de 0,2% entre 2004 et 2005 (+0,5% dans la zone d emploi de Lille, -0,7% dans celle de Roubaix-Tourcoing) ; il est de 1,4% entre 2005 et 2006 (+1,9% dans la zone d emploi de Lille, +0,2% dans celle de Roubaix-Tourcoing). Ce rythme de progression est très proche de celui observé en France et dans la région (+1,5% entre 2005 et 2006). La métropole concentre 37,5% de l emploi salarié régional.

6 (source cbertvl) Nombre d employeurs avec salariés (1) Nombre d emplois salariés (1) Nombre de recrutements en un an (hors intérim) (1) Nombre de recrutements en intérim en 1 an (1) Nombre d offres ANPE durables en 1 an (3) Taux de chômage (4) 13.2 % Nombre demandeurs d emploi (cat 1) (2) dont nombre de jeunes D.E. (2) dont nombre d inscrits ANPE depuis 3 ans Nombre d allocataires du RMI (3) (1) au 31 décembre 2006 (source ASSEDIC ou ANPE) - (2) au 31 décembre 2007 (source ANPE) - (3) au 30 juin 2007 (source ANPE - Conseil Général) - (4) au 31 mars 2007 (source ANPE) Territoire Évolutions Roubaix % Bassin RTVL % Région % Malgré une situation de l emploi nettement défavorable en raison de l impact des pertes d emplois industriels (-5 pts depuis 2002 contre - 1 pt en région en base 100), le territoire obtient plutôt de bons résultats dans la lutte contre le chômage. Il enregistre une évolution récente du chômage, certes en augmentation, mais meilleure que celle en région (+ 1 pt depuis 2002 contre + 5 pts en région en base 100). Évolution de l emploi salarié BASSIN - RÉGION Évolution de la demande d emploi salarié BASSIN - RÉGION B A S S IN - R E G ION BASSIN REGION BASSIN REGION Source : ASSEDIC décembre 2006 Source : ANPE décembre 2006 > une baisse du nombre d emplois salariés existants > une évolution plus difficile qu en région depuis 2002 > une aggravation du chômage depuis 2002 > l écart avec la région se réduit

7 La majeure partie des indicateurs converge pour indiquer les activités et métiers créant de l emploi, y compris dans un contexte économique difficile et même si on observe actuellement de moins bonnes évolutions dans des métiers porteurs. Les activités du bâtiment, du commerce, de l hôtellerie restauration, du nettoyage, de l aide à domicile sont autant de secteurs offrant des débouchés, même si plusieurs métiers présentent une médiocre attractivité et qualité des emplois. Nombre d Emplois Situation Evolution en Secteurs Fin Vente à distance Hyper-supermarchés Commerce Habillement Centres d Appel (2) Hôtel - restaurant Nettoyage Aide à domicile (1) Santé Bâtiment Source : ASSEDIC (1) Hors gré à gré - (2) centres d appels «indépendants» En dépit de la baisse du nombre d emplois salariés présents sur le territoire et très certainement en lien avec le remplacement des départs à la retraite, il demeure de nombreuses possibilités d accès à l emploi, sur ou à proximité du bassin d emploi, aujourd hui comme demain. des marchés du travail plus dynamiques vers Lille ou la Belgique une progression des déclarations d embauche Nombre d embauches Situation Evolution en Secteurs fin Commerce de détail Santé - Social Bâtiment Hôtel - restaurant Services entreprises Tous secteurs Source : déclaration unique d embauche (tous contrats hors intérim toutes durées) En 2007, stagnation des embauches de + 0 % sur le bassin (+ 11 % en région % à Lille) Les 10 plus fortes progressions des embauches en 2007 pour les activités de ciné-vidéo-télé ( ); poste et courrier (+ 791) ; créatif et artistique (+ 694) ; hébergement médico/social (+ 674) ; social sans hébergement (+ 500) ; commerce de gros (+ 598) puis de détail (+ 528); enquêtes et sécurité (+ 441) ; santé (+ 390) ; services personnels (+330) Des opérations d aménagement

8 qui ont des répercutions sur des activités où les recrutements se font difficilement, à savoir le bâtiment, le commerce et des activités de service. Les opérations de réhabilitation urbaine et de rénovation urbaine (ANRU) vont également générer des opportunités, de chantiers d insertion mais pas seulement, dans le bâtiment Opération Contenu Impacts emploi Echéance Zone de l Union et pôle Image Grand Cottignies Wasquehal Centre Ville de Tourcoing Promenade de Flandres») Roncq Neuville Tourcoing Bureaux Ateliers Services - Espaces verts Bureaux Commerce logements Centre Nautique - Centre Commercia emplois Ouv. Pôle Image en 2008 Tx Union en emplois à terme 40 emplois emplois Commerce (maison) 750 emplois Engagé en Ouv en 2008 Ouv. fin 2009 début métiers ayant le plus de projets de recrutements 5 métiers ayant les % plus importants de recrutements juges difficiles Metiers 2008 metiers 2008 Agents de securite 454 agents de securite (449) 99 % Representants vrp 383 menuisiers qualifies (90) 94 % Animateurs sports - loisirs 359 maçons qualifies (177) 91 % Ingenieurs cadre informatique 240 ouvriers qualifies industrie (80) 89 % Employes de maison 231 employes de maison (203) 88 % Source : ASSEDIC enquête auprès des employeurs projets de recrutement pour 2008 (permanents et saiasonniers) Compétences «comportementales» Compétences «transversales» Motivation Aptitude au travail en équipe Capacité de réaction aux imprévus et d adaptation Capacité d initiative et autonomie Respect des consignes, de la hiérarchie, des horaires Lire Ecrire - Compter Relation client Informatique Langue Ces critères sont essentiels en raison des évolutions des marchés et postes de travail, y compris pour des recrutements de premier niveau de qualification. Les publics sont à sensibiliser à ces aspects et les actions d insertion et de formation ont à en tenir compte. 43,3 % des intentions d embauche sont jugées difficiles par les employeurs sur la Métropole lilloise ; ce pourcentage est plus élevé dans le bassin RTVL, (47,3%), et se renforce (+10,3 points comparé à 2006), alors qu elles se réduisent sur le bassin de Lille (-2,8 pts). (source agence de développement et d urbanisme sur la base des sources assedic des Pays du Nord) Néanmoins, l assedic des Pays du Nord a recensé 6419 projets de recrutements sur le bassin en 2007 (enquête BMObesoin de main d œuvre) Source Assedic des Pays du Nord

9 Source La Gazette Nord-Pas-de-calais mars 2008 L offre d emploi La croissance de l emploi structurel belge est passé de 1.7% en 2006 à 3.7 % en 2007 (source SD Worx). L emploi hors travail intérimaire et jobs étudiant se traduit par un doublement de la création de nouveaux postes de travail. La plus forte croissance a été enregistrée dans les PME de 29 à 49 salariés (+3.7%), et dans les PME comptant moins de 20 employés (3.6%). Trois PME sur quatre doivent ralentir voire freiner leur croissance car elles parviennent très rarement à trouver des candidats qui correspondent aux profils recherchés. Ce problème concerne surtout l industrie, (32% des offres) et les services (20.9%). Le potentiel de DE transfrontaliers Selon une enquête de l Assedic des pays du Nord en 2007, le nombre des «éventuels» travailleurs transfrontaliers est compris entre et , soit 55 à 60% des demandeurs d emploi habitant la zone transfrontalière. 56% d entre eux habitent Lille et Roubaix Tourcoing (18% Dunkerque et Flandres Lys). L industrie, le commerce, le transport et les activités de services forment la plus grande part des secteurs d activités recherchés. Gare de Roubaix Av. Jean Lebas MAIRIE TOURCOING Rue de l Alma Av. des Nations Unies Mobilité! Travailler en Europe : Les opportunités d emploi Bien préparer son départ Mardi 26 juin 2007 d e 9 h 3 0 à 1 7 h Rencontre avec des structures spécialisées pour vous aider dans votre projet Trouver des offres d emploi en Europe Comment postuler dans un pays membre A 10 h, Conférence / Débat sur l Europe : Un Espace d emplois A 16h, Débat / Questions-Réponses sur le Volontariat International en Entreprise (V.I.E.) Rue de l Alma Parking Blanch le 150 rue du Fontenoy Alma-Gare ROUBAIX Rue de Fontenoy Rue de Fontenoy ENTRÉE LIBRE Métro : Station Gare Jean Lebas Bus : Lignes 25, 27, 21 Voiture : Parking Blanch le. Déposez impérativement votre véhicule au LUNDI de 14h à 17h30 MARDI, MERCREDI et JEUDI de 9h30 à 17h30 VENDREDI de 9h30 à 13h Parking Blanch le 3H GRATUITES (Ticket à valider à l accueil MiE) Photo: Communauté européenne, 2007

10 La population roubaisienne : quelques indicateurs Nombre d habitants : , soit 23% de la population du bassin d emploi RTVL Roubaix compte parmi les 2000 communes de plus de habitants les plus pauvres de France compte tenu du niveau moyen de revenus des ménages (source INSEE) ménages ne sont pas assujettis à l impôt, soit les 2/3 des ménages Près d un quart des familles sont monoparentales, ce qui renforce à la fois le besoin d emplois en comparaison à d autres territoires, et les contraintes liées à l accès à l emploi (mobilité, garde d enfants) 49% de la population bénéficient de la CMU complémentaire au La CAF reverse à Roubaix le taux le plus fort d aides par habitant : 1600 euros / habitant en 1999, l INSEE recensait 8000 logements sans aucun confort dans la communauté urbaine de Lille dont 16% à Roubaix 76% de la population habitent en zone urbaine sensible, soit personnes, de même pour 96% des publics PLIE en 2007, et 96% des jeunes inscrits à la Mission locale. une population d origine diversifiée : selon l INSEE 33.5 % des habitants de Roubaix sont d origine étrangère, plaçant ainsi la question de l égalité au cœur des politiques emploi. Ce pourcentage représente la population des ménages roubaisiens dont la personne de référence est soit de nationalité étrangère, soit naturalisée, demandeurs d emploi toutes catégories au 31 décembre 2007, dont inscrits à l ANPE à durée indéterminée et à temps plein (catégorie 1). Parmi les DE de catégorie 1: demandeurs d emploi de longue durée, soit 32,5 % ont un niveau de qualification inférieur ou égal à V, soit 69,6%. Toutes catégories Dont catégorie 1 Dont femmes dont -25 ans dont 50 ans et+ Dont DELD (+1 an) Dont DETLD (+3 ans) REGION BASSIN ROUBAIX Source : DRTEFP et ANPE Les jeunes jeunes de moins de 25 ans inscrits à l ANPE, dont ont un niveau de qualification inférieur ou égal à V, soit 80,6% des jeunes inscrits (soit +11 points par rapport au total des demandeurs d emploi de catégorie 1). Ces jeunes représentent un tiers des jeunes du bassin d emploi RTVL jeunes accompagnés par la Mission Locale dont 75% étaient d un niveau de qualification inférieur ou égal à V, et rencontraient des difficultés pour accéder à l emploi. Une plus forte proportion de demandeurs d emploi de niveau 6/5bis (29 %, soit + 4 pts / bassin et + 8 pts / région) et de ceux recherchant un travail d employé peu qualifié (28 %, soit + 3 pts / bassin et + 5 pts / région) Les allocataires du RMI : 7261 allocataires du RMI au 30 juin 2007 (les allocataires roubaisiens représentent la moitié de ceux du bassin), dont 34 % sont inscrits à l ANPE. 27% des allocataires du RMI, soit environ 2000 personnes sont sans suivi (ni ANPE, ni contrats d insertion).

11 Nombre total allocataires RMI Allocataires inscrits à l ANPE Non inscrits ANPE RMI avec Contrats Sans contrats TOTAL 7260 au 30 juin au 31 décembre Source ANPE En 2006, sur 2340 contrats signés, 40.4 % des allocataires signataires n avaient pas travaillé depuis 3 ans et plus, et 16.3 % n avaient jamais travaillé. (source Département du Nord) Poids et analyse des DELD, TH et + 50 ans DELD 12 mois et + 50 ans et + TH Évolution - 8.8% % - 27% La DES a baissé de 0.4% en cumul sur2007; ce sont les DELD et les TH qui sortent le moins du chômage. La tendance se poursuit en La demande d emploi selon le risque de chômage estimé à l inscription DE Catégorie 1 (indéterminé et temps plein) Parcours 1 : recherche accélérée (retour à l emploi estimé dans les 3 mois suivant l inscription) Parcours 2 : Recherche active Suivi mensuel Parcours 3 : Recherche accompagnée (prestations) Créateurs d entreprises % 0,38% 55% 41% 4% DE Cat 1 Bassin Roubaix-Tourcoing- Vallée de la Lys % 0.38% 56% 39% 4% 97% des publics sont inscrits en parcours 1, 2 ou 3 ou autres accompagnements. Peu de DE proches de l emploi : 0.38%, une majorité des DE sont inscrits en suivi mensuel. Les proportions d inscrits en parcours 1,2 et 3 à Roubaix sont pratiquement identiques à celles du bassin Néanmoins, compte tenu des difficultés du public, le nombre de roubaisiens inscrits en parcours 3 devrait être plus important (+2 pts comparé au bassin). Des constats concernant les demandeurs d emploi longue durée : Un tiers des bénéficiaires PLIE (DELD longue durée) qui obtiennent un contrat de travail abandonnent dans les 6 premiers mois. Il faut effectuer en moyenne 8 mises en relation avec l entreprise pour obtenir 1 contrat de travail avec le public PLIE. Un nombre insuffisant de prescriptions par les partenaires en 2007, suite aux réorientations de l offre de services du PLIE du fait de l arrêt des financements de parcours en amont du PLIE (en conséquence de la baisse des fonds européens) ; de plus, seulement un dossier sur 4 orienté vers le PLIE est recevable au regard des objectifs de placements et de qualification, ainsi que des critères administratifs. Un nombre insuffisant de bénéficiaires du RMI prescrits dans le PLIE par le réseau local.

12 (source CBERTVL) Évolution de l emploi salarié ROUBAIX BASSIN - RÉGION R O UB AIX - B AS S IN - R E G ION BASSIN ROUBAIX REGION Évolution de la demande d emploi R OUB A ROUBAIX IX - B A S BASSIN S IN - R - E RÉGION G ION BASSIN ROUBAIX REGION > Une dégradation contenue de l emploi Source ASSEDIC et ANPE base 100 en décembre > Évolution favorable de la demande d emploi Évolution de l emploi (salarié) de 2000 à 2006 Territoire Evolutions Roubaix ,0% Bassin RTVL ,9% Région ,5% Demande d emploi Territoire Evolutions Roubaix ,3% Bassin RTVL ,2% Région ,3% E v o l u t i o n c o m p a r é e d e l ' i n d i c a t e u r d e c h ô m a g e a u 3 1 d é c e m b r e s u r R o u b a i x - l e b a s s i n e t l a r é g i o n ( D E c a t. 1 ) 26,0% 23,0% 2 2, 5 % 2 2, 9 % 2 2, 7 % 2 2, 0 % 2 2, 2 % 2 2, 3 % 20,0% ROUBAIX BASSIN 2 0, 9 % 1 9, 2 % 17,0% REGION 14,0% 1 2, 9 % 1 3, 3 % 1 3, 8 % 1 3, 9 % 1 4, 1 % 1 3, 9 % 1 2, 7 % 11,0% 1 1, 9 % 1 1, 9 % 1 1, 8 % 1 2, 2 % 1 2, 5 % 1 2, 3 % 1 1, 1 % 1 1, 5 % 1 0, 2 % 8,0%

13 Les évolutions de la demande d emploi depuis 2000 (DE de catégorie 1) Ensemble catégorie 1 Dont femmes dont -25 ans dont 50 ans et+ Dont DELD (+1 an) Dont DETLD (+3 ans) ROUBAIX Les demandeurs d emploi roubaisiens représentent 36% des demandeurs d emploi du bassin (alors que la population roubaisienne pèse pour 23% sur celle du bassin). Le nombre de demandeurs d emploi roubaisiens a suivi la même évolution que sur la région Nord-Pas-de- Calais, mais la baisse a été plus importante à Roubaix. Territoire Evolutions Roubaix % Bassin RTVL % Région % Les évolutions de la demande d emploi des jeunes depuis 2000 (jeunes de 25 ans) Un tiers des jeunes demandeurs d emploi inscrits à l ANPE du bassin habitent Roubaix en 2007 (37% en 2000). Comme pour les DE de catégorie 1, la baisse du nombre de DE jeunes inscrits à l ANPE s est effectuée dans les mêmes proportions qu en Région, alors que le bassin n a connu aucune évolution de la demande d emploi des jeunes. En 2007, la demande d emploi à Roubaix est composée de 21 % de moins de 25 ans (20 % en 2000), de 68 % d adultes (67 % en 2000) et de 11 % de plus de 50 ans (13 % en 2000). Jeunes demandeurs d emploi (- 25 ans) Territoire Évolutions Part Roubaix % 21 % Bassin RTVL % 23 % Région % 26 % Les évolutions du chômage des femmes Roubaix pèse au sein du bassin d emploi 33 % des femmes DE (36 % en 2000) Le chômage des femmes a fortement reculé, tout particulièrement à Roubaix. En 2007, 38 % des demandeurs d emploi sont des femmes (42 % en 2000). Demandeurs d emploi femmes Territoire Évolutions Part Roubaix % 38 % Bassin RTVL % 42 % Région % 44 % Les évolutions du chômage de longue durée Roubaix pèse au sein du bassin d emploi 35 % des DE inscrits depuis plus d un an (39 % en 2000) comme depuis plus de trois ans (38 % en 2000) Le chômage de longue durée a fortement reculé, tout particulièrement à Roubaix. En 2007, 32 % des demandeurs d emploi sont inscrits depuis plus d un an à l ANPE (40 % en 2000). Demandeurs d emploi inscrits depuis plus d un an Territoire Évolutions Part Roubaix % 32 % Bassin RTVL % 33 % Région % 32 %

14 Les évolutions du niveau de formation et de qualification de la demande d emploi Roubaix pèse au sein du bassin d emploi : - 42 % des DE du bassin ayant un très faible niveau de formation (41 % en 2000) - 35 % des DE ayant un CAP BEP (37 % en 2000) - 36 % des DE recherchant un emploi comme manœuvre / ouvrier spécialisé (41 % en 2000) - 40 % des DE recherchant un emploi d employé peu qualifié (39 % en 2000) Les évolutions constatées sont : - La forte baisse de la demande d emploi de très faible niveau de formation, baisse un peu moins accentuée sur Roubaix (- 40 %) - La forte baisse de la demande d emploi recherchant des emplois de manœuvre et ouvrier spécialisé, baisse plus accentuée sur Roubaix (- 47 %) En 2007, à Roubaix, les demandeurs d emploi sont à : - 29 % de niveau inférieur au CAP/BEP (42 % en 2000) % à la recherche d un emploi peu qualifié (53 % en 2000). Ces évolutions sont le fruit de : - l amélioration du niveau de formation de la population, - des départs à la retraite des demandeurs d emploi âgés (plus de 5o ans : - 27 % entre 2000 et 2007 à Roubaix) - de l orientation des publics vers le tertiaire (DE d employé peu qualifié : + 29 % entre 2000 et 2007 à Roubaix). Demandeurs d emploi de niveau 6 et 5 bis (inférieur au CAP BEP) Territoire Évolutions Part Roubaix % 29 % Bassin RTVL % 25 % Région % 21 % Demandeurs d emploi de niveau 5 (CAP BEP) Territoire Évolutions Part Roubaix % 40 % Bassin RTVL % 41 % Région % 44 % Demandeurs d emploi «manœuvres et ouvriers spécialisés» (peu qualifiés) Territoire Évolutions Part Roubaix % 22 % Bassin RTVL % 21 % Région % 44 % Demandeurs d emploi «employés non qualifiés» Territoire Évolutions Part Roubaix % 28 % Bassin RTVL % 25 % Région % 23 % Quelques caractéristiques : L importance localement du commerce, avec notamment la vente à distance, Une tendance au développement de l emploi tertiaire et féminin, avec un accroissement du besoin de compétences nécessaires à l exercice de métiers tournés vers le client. Des perspectives de développement essentiellement dans le tertiaire: m 2 de bureaux sont prévus d ici 2 ans, permettant de développer des emplois indirects dans le secteur du nettoyage et du gardiennage. Des niches d activité et d emploi à forte valeur ajoutée dans l industrie (1 emploi sur 4), y compris textile, avec une nécessaire maîtrise des savoirs de base et de compétences polyvalentes ou transversales, L importance des flux d embauche notamment au niveau des entreprises de 10 à 49 salariés, soit autant d opportunités à saisir via des dispositifs de mise à l emploi, Un recours à l interim en baisse générale, mais plus important à Roubaix que sur le reste du bassin. En 2008, la reprise du secteur de l interim se constate à Lille et à Tourcoing, mais pas à Roubaix.

15 Des dynamiques positives dans l artisanat (notamment construction et services) Des évolutions de l emploi, le plus souvent positives, pour plusieurs secteurs : commerce, nettoyage, aide à domicile, hôtellerie restauration, transport, bâtiment, ingénierie/conseil/informatique, dont les métiers font l objet de difficultés de recrutement et sont touchés par les départs à la retraite, La faiblesse des offres d entreprises en matière de formation par alternance, le territoire pouvant toutefois valoriser une concentration de centres d apprentissage. Environ entreprises dont sont situées dans la zone franche urbaine, et employeurs avec salariés (source Assedic au 31 décembre 2006). Elles représentent emplois, dont salariés (autres : emplois publics et professions libérales) Comparé à 2006, une augmentation des déclarations d embauche de identique à celle du bassin, mais essentiellement dans le tertiaire sur des offres qualifiées et le bâtiment. DPAE Roubaix 2006 Roubaix 2007 % Bassin 2006 Bassin 2007 % NR Agriculture % Industrie % % BTP % % tertiaire % % Total % % Une baisse moyenne des offres enregistrées par l ANPE, sauf dans le bâtiment (Roubaix Sud +18%) sur l agglomération roubaisienne, mais en hausse sur le bassin (+0.4%). Sur offres d emploi enregistrées en 2007 à Roubaix par l ANPE, 12% correspondent à des offres de bas niveau de qualification, 42% en CDI et 37% d offres non qualifiées. Nombre d offres d emploi récoltées par l ANPE et par type de contrat de travail à Roubaix en 2007 CDD CDI Travail intérimaire Autres Total % 42% 15% 8% 100% Les entreprises roubaisiennes créent majoritairement des emplois qualifiés. Par voie de conséquence, les emplois roubaisiens sont occupés pour d entre eux par des non roubaisiens. Mobilité professionnelle : - A Roubaix, de plus en plus d offres sont satisfaites par des demandeurs d emploi non inscrits, salariés ou non (+5 à 15% en 2007 selon les agences de l agglomération) - 57% des demandeurs d emploi qui satisfont les offres ne correspondent pas au code «ROME» d inscription, i.e. au métier dans lequel ils étaient référencés à l inscription. La clef d entrée «métier de référence» n est plus pertinente pour le placement des demandeurs d emploi. Conclusion sur l adéquation avec la demande d emploi : Environ demandeurs d emploi roubaisiens peuvent potentiellement se reclasser sur offres d emploi roubaisiennes. La concurrence de candidatures hors De et hors territoire sur les offres roubaisiennes est plus importante. Ceux-ci doivent donc se tourner en dehors du bassin d emploi vers des secteurs plus dynamiques en termes d emploi comme la Belgique, le bassin de Lille, le bassin de Douai (+ 16% d offres) et ainsi être mobiles, à la fois géographiquement, mais également professionnellement.

16 (Souce CBERTVL) Nombre d employeurs avec salariés (1) 590 Nombre d emplois salariés (1) Indicateur de chômage (2) 11.2% Nombre de demandeurs d emploi (cat 1) (2) Nombre de Jeunes demandeurs d emploi (2) 539 Nombre de demandeurs d emploi de très longue durée (2) 262 Nombre d allocataires du RMI (3) (1) au 31 décembre 2005 (source ASSEDIC) (2) au 30 juin 2006 (source ANPE) (3) au 30 juin 2006 (source Conseil Général) Un indicateur du chômage inférieur au bassin (- 1,6 pts) et supérieur à la région (+ 0,3 pts) Une baisse de l emploi salarié moins forte que sur le bassin Une évolution de la demande d emploi qui s améliore après une stabilisation Un chômage de longue et très longue durée plus marqué qu en région et sur le bassin d emploi Une plus forte présence des demandeurs d emploi de plus de 50 ans et de niveau de formation Cap-Bep Des évolutions moins bonnes sur un an pour les chômeurs de très longue durée Source ASSEDIC et ANPE base 100 en 2000 Évolution de l emploi salarié WATTRELOS-LEERS - BASSIN - RÉGION Évolution de la demande d emploi WATTRELOS-LEERS - BASSIN - RÉGION BASSIN 100 WATTRELOS - LEERS REGION BASSIN WATTRELOS - LEERS REGION > Une dégradation du chômage contenue > Évolution négative de l emploi Demande d Emploi Publics PLIE Demande d emploi Nombre Part Evolution 05 / 06 Nombre Part Evolution 05/06 de longue durée % - 97 % jeune % - 11 % de plus de 50 ans % - 99 % formation < ou = au CAP / BEP % % femme % - 44 % Source : ANPE > Améliorations sur un an mais dégradation du chômage de très longue durée (voir ci-dessous) Ces données ne témoignent pas de l importance des demandeurs d emploi en difficulté face à la sélectivité du marché du travail, au regard de situations discriminatoires (origine, âge ) et sociales (précarité - monoparentalité santé).

17 Communes Femmes Âge Durée de chômage Formation < ou = CAP - BEP - 25 ans ans 50 ans et + + d 1 an + de 3 ans Leers 44 % 15 % 62 % 23 % 43 % 14 % 61 % Wattrelos 44 % 21 % 63 % 15 % 40 % 10 % 71 % Wattrelos - Leers 44 % 21 % 63 % 16 % 40 % 10 % 70 % BASSIN 42 % 20 % 66 % 14 % 39 % 9 % 66 % REGION 45 % 22 % 64 % 14 % 37 % 8 % 65 % Source : ANPE Communes Femmes Âge Durée de chômage Formation < ou = CAP - BEP - 25 ans ans 50 ans et + + d 1 an + de 3 ans Leers - 12 % - 25 % + 2 % - 16 % - 8 % + 46 % - 2 % Wattrelos - 2 % - 9 % - 7 % - 20 % - 8 % + 15 % - 10 % Wattrelos - Leers - 4 % - 11 % - 6 % - 19 % - 8 % + 19 % - 12 % BASSIN -6 % - 7 % - 8 % - 11 % - 5 % + 9 % - 8 % REGION - 6 % - 10 % - 7 % - 5 % - 2 % + 7 % - 7 % Source : ANPE Femmes Wattrelos Leers Bassin Région Jeunes Wattrelos Leers Bassin Région ans et plus Wattrelos Leers Bassin Région DELD Wattrelos Leers Bassin Région Niveau < ou = CAP - BEP Wattrelos Leers Bassin Région

18 Le bassin d emploi est le 2ème territoire le mieux placé dans la région : en 2006, il représente 15% des créations pures régionales. Territoires Stock d entreprises au 01/01/2006 Bassin de Lille (+ 9 % depuis 2002) Bassin de Roubaix- Tourcoing (+ 8 % depuis 2002) Nord Pas de Calais (+ 6 % depuis 2002) France (+ 7 % depuis 2002) Nbre de créations pures en (+ 25 % depuis 2002) (+ 45 % depuis 2002) (+ 28 % depuis 2002) (+ 20% depuis 2002) Taux de créations pures en ,0 % (+2,4 pts depuis 02) 11,0 % (+4,1pts depuis 02) 8,8 % (+2,6pts depuis 02) 8,8 % (+1,6pts depuis 02) N o mb r e d 'e n tre p ris e s cr é é e s s u r le B a s s in Une progression de la création d entreprises (voir graphique ci-dessus), en relation étroite avec le chômage et les restructurations sur le territoire. Faute de trouver ce qui leur convient sur le marché du travail, les personnes créent leur propre emploi. par ailleurs, l idée de création et la prise de risque afférente s imposent plus spontanément lors de situations de rupture comme la perte de son emploi. Si le bassin d emploi tend à créer moins d entreprises «personnes physiques», il compte plus de créations «sans salariés» au démarrage. + 9 % de créations pures sur Roubaix-Tourcoing pour les 11 premiers mois de 2007 (comparé à 2006), soit la 3ème meilleure évolution en Nord-Pas-de-Calais, mais baisse des créations d entreprises artisanales (- 4,9 %, soit la 10ème évolution sur 15 territoires en région). Les 4 premiers secteurs d activité où le nombre de créations est le plus important : 1/ Le commerce (425, dont 255 commerces de détail) 2/ Les services aux entreprises (321) 3/ La construction (230) 4/ L éducation / santé (113) 12 % des établissements employant au moins un salarié ont été «créés» dans l année Evolution des effectifs pour les établissements «créés» en 2006 Répartition par secteurs des 1100 établissements «créés» en 2006 Commerce de détail, réparations Commerce de détail, réparations 183 Services opérationnels (nettoyage..) Construction 166 Commerce de gros Conseil et assistance 126 Conseil et assistance Hôtels et restaurants 108 Construction Commerce de gros 84 NB : comprend les créations d entreprises mais aussi les transferts d entreprises Analyse : Relativement bonne situation sur le bassin d emploi qui bénéficie du dispositif «zone franche» Potentiels d emploi dans le renouvellement du tissu des entreprises Enjeux : Développer les actions ciblant les salariés, par l intermédiaire notamment des syndicats de salariés Améliorer l accompagnement des créateurs d entreprises en difficulté Professionaliser dans les formations les porteurs de projet de création sur la phase de recrutement

19 (source Chambre de métiers et de l artisanat 2007) Au 7 février 2008, l artisanat de Roubaix Wattrelos Leers représentait 1637 entreprises (dont 1217 sur Roubaix, soit 74%). Les créations : ROUBAIX : 202 nouvelles installations artisanales au total, soit + 14% par rapport à 2006 (177), dont créations pures : 189 (153 en 2006), dont reprises et assimilés : 13 (24 en 2006), WATTRELOS : 42 nouvelles installations artisanales au total, soit + 13% par rapport à 2006 (37), dont créations pures : 39 (34 en 2006), dont reprises et assimilés : 3 (3 en 2006) LEERS : 17 nouvelles installations artisanales au total, soit + 325% par rapport à 2006 (4), dont créations pures : 15 (2 en 2006), dont reprises et assimilés : 2 (2 en 2006) Les mouvements 2007 de créations artisanales (243 / + 28 %) sont plus importants sur le territoire de la MIE que sur la métropole (+ 13%) ou le département (+ 8%). La baisse des reprises y est, par contre, plus inquiétante (18 / - 37%) que sur la métropole (- 31%) ou le département (- 23%). Quelques constats des partenaires du pôle création sur le territoire roubaisien : ADIE : un taux de transformation du contact au prêt inférieur de 20% à la moyenne régionale 0% de créateurs de niveau de formation < CAP, alors qu en région, ils représentent 25% des clients de l ADIE un taux de création par les femmes inférieur à 10% de la moyenne régionale BG ESPACE Environ 1000 personnes accueillies en 2007, soit un flux beaucoup plus important que sur le reste du bassin, Mais un taux de création plus faible qu ailleurs. Des accompagnements plus longs en moyenne, un public moins autonome.

20

21 L association intercommunale des maisons de l emploi du versant nord est de la métropole lilloise a été créée en décembre Elle a été souhaitée par la Préfecture du Nord et les élus locaux pour favoriser la coopération entre les 4 maisons de l emploi créées sur le bassin d emploi. Elle a ainsi pour objet de construire des actions mutualisées entre les Maisons de l Emploi du versant nord est. Son territoire est celui des 24 communes du bassin d emploi et des 4 maisons de l emploi de Lys Nord Métropole, de Roubaix-Wattrelos-Leers, de Tourcoing, et de la Vallée de la Marque. Ce réseau de maisons de l emploi concerne employeurs, demandeurs d emploi et salariés. Elle rassemble au sein de son conseil d administration les Maisons de l Emploi, l ANPE, l Assedic et l Etat. D autres partenaires sont associés à ce conseil. Elle est présidée par M. René VANDIERENDONCK, Maire de Roubaix et Président de la Maison de l Initiative et de l Emploi de Roubaix-Wattrelos-Leers. L association compte également 2 vice- présidents : M. Francis VER- CAMER, Député Maire d Hem et Président de la Maison de la Vallée de la Marque, et M. Karim KHETIB, Directeur de l Assedic des Pays du Nord. Le bureau est aussi composé d un secrétaire, Mme Fabienne MOUQUET, Directrice Déléguée de l ANPE, et un trésorier, M. Jacques REMORY, Maire de Linselles, Président du Syndicat Intercommunal et de la Maison de l Emploi de Lys Nord Métropole. La convention entre l Etat et le GIP MiE - Maison de l Initiative et de L Emploi de Roubaix-Wattrelos-Leers indique que le plan d action intercommunal s appuiera sur des moyens spécifiques permettant : - la coordination des MDE, - l observation (recours à de l expertise ; réalisation de rapports ; séminaires), - la gestion des compétences - la formation, notamment des professionnels de l emploi. Les statuts de l association intercommunale ont inscrits en 2006 son action dans 4 domaines d intervention : - observation, anticipation et adaptation du territoire - accès et retour à l emploi - formation professionnelle - développement de l emploi et création d entreprises. L année 2007, et plus précisément les réunions du bureau du 11 avril et du conseil d administration du 11 juillet 2007, ont permis de préciser les orientations du plan d actions de l association intercommunale des MDE sur la base des 3 domaines d intervention des maisons de l emploi : Observation, anticipation et adaptation au Territoire. - se donner une lisibilité sur les possibles d ici agir en faveur de l évolution professionnelle des salariés Accès et retour à l emploi. - aider au reclassement et aller vers le préventif - développer l emploi transfrontalier - mettre en place les moyens d une véritable lutte contre les discriminations - mettre en œuvre de manière coordonnée la clause d insertion sur le territoire Développement de l emploi et création d entreprises - disposer d outils cohérents au service du développement de l emploi et de la création d entreprises - développer l attractivité : valoriser les compétences du Territoire - constituer une cellule emploi permanente à l échelle du territoire

22 Le conseil d administration a fait le choix de mettre en place une coordination qui s appuie sur la mobilisation d une compétence existante sur le territoire plutôt que sur le recrutement d une nouvelle personne. Ce choix a permis de mettre en place la fonction dès la mi septembre et d éviter que des questions «logistiques» (locaux, secrétariat ) prennent le pas sur la mise en place du plan d actions. Il facilite l adaptation à l évolution possible de la fonction de coordination : progression ou stabilisation du temps à y consacrer. Plus globalement, l association tend à privilégier le recours à des prestataires (consultant, organismes de formation ) ou à des mises à disposition de temps, plutôt que de se doter de moyens propres, puisqu il s agit plus de fédérer l action que de développer une nouvelle structure sur le territoire. Ainsi, la coordination et l observation s appuient sur les compétences mobilisables au sein du Comité de Bassin d Emploi. La mission de coordination a pour objectifs de : - organiser les réunions de l association intercommunale - animer le conseil d orientation de l association intercommunale - appuyer les MDE du bassin d emploi dans la mise en œuvre de leurs actions - soutenir les actions communes et transferts d expériences entre les MDE du bassin - assurer la mise en place du plan d action intercommunal - construire des actions nouvelles et mobiliser des moyens au bénéfice du territoire - favoriser l efficacité de l action des professionnels de l emploi et des structures locales La coordination est assurée par Eric Vanhuysse dans le cadre d une mission portée par le Comité de Bassin d Emploi Roubaix-Tourcoing-Vallée de la Lys. Plus d un tiers temps a été consacré à cette fonction. Une quinzaine de personnes ont été rencontrées en septembre et octobre pour préciser les attentes et les réponses à mettre en œuvre. Ces entretiens ont montré l importance à la fois de la coordination de l action sur le territoire et de l implication des maisons de l emploi. Ils ont par conséquent relativisé le besoin de mise en place d actions supplémentaires. La mise en place de l action intercommunale doit s effectuer dans un calendrier tenant compte de la capacité d implication des mde et de leurs partenaires. Le conseil d orientation, équipe technique locale, s est réuni à 4 reprises entre octobre et décembre. Il permet de coordonner l action des MDE mais aussi de l ensemble des dispositifs d emploi formation-insertion à l œuvre sur le territoire. Le conseil d orientation s est centré fin 2007 sur les actions des MDE et l action intercommunale des MDE, de façon à mobiliser les MDE dans cet espace de travail en commun. Les ordres du jour laisseront plus de place en 2008 à la déclinaison sur le territoire des programmes territoriaux d emploi, de formation et d insertion. La mise en place d outils communs de visibilité des actions des MDE a été engagée. Un calendrier des réunions des instances des différentes MDE est régulièrement produit. Un calendrier des manifestations est aussi élaboré, mais plus difficilement verra la construction d un tableau de bord des actions des différentes MDE pour favoriser leur lisibilité et les collaborations.

23 Les premières initiatives faisant l objet d un financement de l association intercommunale des MDE ont été examinées par le bureau du 17 décembre Elles portaient sur les axes : observation transfrontalier clause d insertion - reclassement médiation emploi GPEC et salariés. L action d observation, confiée au Comité de Bassin d Emploi, a été engagée : - constitution d un groupe de travail inter-mde (avec Val de Marque et Tourcoing), - mobilisation des MDE sur le diagnostic territorial, - maquette de tableau de bord en lien avec l évaluation, - publication sur la demande d emploi dans les ZUS - implication des MDE dans l étude prospective économique du CBE verra se développer les travaux dans 3 directions : - structuration du plan d action territorial autour de priorités partagées - capacité locale d information des publics sur les évolutions locales de l emploi - contrat d étude prospective Un plan d action sur l emploi transfrontalier, coordonné par l Assedic et l Anpe, est mis en oeuvre : - Financement d une action de formation au flamand par Assedic - Passage d 1 à 2 agences Anpe traitant les offres d emploi belges - Contacts avec les agences d intérim belges par Assedic et Anpe - Organisation d une visite des MDE destinée à Anpe International / Eures - Engagement d une action de communication visant à mobiliser les publics sur les offres d emplois repérées Le cabinet de communication Fosfor est financé pour réaliser cette campagne de communication qui sera effective en 2008 au sein des MDE. L association s est impliquée dans le dispositif de mise en place des clauses d insertion dans le cadre de l ANRU : L Association Intercommunale a été signataire en 2007 de la charte cadre métropolitaine pour l insertion et l emploi. L anticipation des potentiels d emploi ANRU a été abordée en réunion de conseil d orientation. Cette anticipation est jugée indispensable pour mobiliser et préparer les publics. Ce besoin a fait l objet d une fiche de proposition d étude. La réponse sera mise en place sous l animation du GIP. Une proposition de mise en place dès le début 2008 des ateliers d orientation pour mobiliser et former les publics de nos territoires face aux potentiels d emplois dans les Travaux Publics a été élaborée par l animation bassin de la clause. L association intercommunale assurera son financement, compte tenu de la difficulté à mobiliser les financements de droit commun dans les délais et de façon à éviter de devoir additionner le financement de plusieurs PLIE. Le conseil d orientation sera mobilisé en 2008 pour la mise en œuvre d un plan d action. L association apportera son soutien à l animation territoriale de la clause d insertion. Une contribution au fonctionnement de la cellule interprofessionnelle de reclassement a été apporté : Le dispositif Arrmel est intégré au sein du plan d actions du GIP de la MIE (voir la partie correspondante dans le bilan du GIP). Celui-ci finance des postes de travail du dispositif Arrmel. Le budget de l action intercommunale des MDE a été mobilisé pour les dépenses de fonctionnement 2007 de l équipe située à la MIE. La médiation emploi et les cellules emploi : Une réunion de partage d expérience sur l efficacité des dispositifs emploi a eu lieu le 6 décembre. La construction de réponses partagées se fera en 2008 autour de 2 dossiers : - l anticipation des potentiels d emploi issus de la zone de l Union - la mise en place d une cellule emplois sur les services aux personnes - la formation des professionnels de l emploi à la lutte contre les discriminations La GPEC et l accompagnement de l évolution professionnelle des salariés : La coordination suit l évolution du projet de plateforme territoriale GPEC dans le cadre du contrat de projet Etat / Région, qui devrait se concrétiser en 2008 (portage CCI ou Medef) Par ailleurs, un groupe de travail entre les MDE et le CBE s est réuni en fin d année pour développer les actions à destination des salariés, et, ainsi poursuivre le travail de réflexion engagé par le CBE en 2007 sur la mobilité professionnelle des salariés. Les MDE ont contribué à cette étude à travers l organisation de temps d écoute de salariés et la participation à la construction d outils de communication.

24 La DDTEFP Nord Lille a mis en place avec le Conseil Général du Nord et l ANPE en 2003 le dispositif ARRMEL destiné à accompagner les entreprises de la Métropole Lilloise de plus de 50 salariés et moins de 1000 salariées placées en redressement ou liquidation judiciaire. Les licenciés économiques de ces entreprises ont la possibilité d adhérer au dispositif. Faciliter le retour à l emploi et/ou l accès à un parcours de formation permettant d améliorer leurs compétences et acquis vis-à-vis du marché de l emploi. La coordination ARRMEL est assurée depuis la création du dispositif par l ANPE de Roubaix en lien avec les Maisons de l emploi et la DDTEFP Dès lors que les licenciements sont prononcés, l ANPE anime au sein de l entreprise avec la cellule de reclassement choisie par l entreprise (après consultation de la DDTEFP) des informations collectives auprès des personnes licenciées pour leur proposer différents types de prestations : - un accompagnement par la Cellule de Reclassement sur un parcours maximum de 18 mois, - un parcours de formation (financement du projet de l adhérent pris en charge principalement par l Assedic ou la Région, après validation de l ANPE et de la cellule de reclassement), - un appui social et psychologique si nécessaire, (la possibilité d accès à la CRP est également proposée lors de ces réunions). Depuis 2008, les 2 conseillers faisant partie du dispositif sont pris en charge : l un par le GIP MiE pour l Intercommunalité du bassin Roubaix-Tourcoing-Vallée de la Lys, l autre par la Maison de l Emploi de Lille. Ces 2 conseillers suivent les adhérents et assurent le lien entre les différentes actions, le contrôle du travail de la cellule de reclassement et l optimisation de la mise en oeuvre des moyens des différents partenaires et acteurs du dispositif en faveur des adhérents. 8 entreprises sont entrées en 2007 dans le dispositif dont 4 sur le VNE : Eurindus/Roubaix : 24 personnes licenciées / 13 adhérents au dispositif Façonnage Mercure/roubaix : 44 personnes licenciées /23 adhérents au dispositif SAS Plasty/Roubaix : 92 personnes licenciées/63 adhérents au dispositif Buro com/roubaix : 65 personnes licenciées/20 adhérents au dispositif Ces 8 entreprises représentent 403 personnes licenciées, dont 210 ont adhéré à ARRMEL. Un portefeuille de 575 adhérents était en parcours en 2007 (en raison du nombre important d entrées en 2006). Pour les entreprises entrées en 2006 et dont le suivi s est arrêté en majorité en 2007, le taux de solutions identifiées (majoritairement du retour à l emploi) est de 72 %. Pour les entreprises entrées en 2007 et dont le suivi va se poursuivre en 2008, ce taux est déjà de 59 %, ce qui laisse augurer une amélioration de la performance, compte tenu des mois de suivi encore à courir. Les formations suivies par les adhérents concernent majoritairement des formations courtes d approfondissement dans leur métier de base. Environ 1/3 des formations concernent des évolutions et reconversions dans un nouveau métier. La création du dispositif textile en 2007 qui a repris le suivi des licenciés économiques issus du textile ont diminué la charge d ARRMEL en Les conditions de poursuite du dispositif vont dépendre à la fois du nombre d adhérents entrés en 2008 et d une évolution probable du dispositif en fonction de l évolution légale sur les licenciements économiques.

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