Forte dynamiquedes installations /conversions entre 2014 et 2015 sur la zone massif central : +26% des exploitations certifiées ou en conversion (227
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- Aurélien Boivin
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2 Forte dynamiquedes installations /conversions entre 2014 et 2015 sur la zone massif central : +26% des exploitations certifiées ou en conversion (227 en 2014, 285 en 2015) avec une activité caprine 2
3 Entre 2014et 2015, 2 changements dans les exploitations suivies : 1 exploitation en transformation fromagère n est pas plus suivie en 2015 (point vert sur la carte), 1 exploitation en livraison supplémentaire est suivie en 2015 (point orange sur la carte) Sur le graphique, les points violets représentent la moyenne pour chaque variable et chaque groupe. Forte variabilité dans les 2 groupes : - Chez les fromagers, la SAU varie de 2 à 175 ha, le nombre de chèvres de 39 à 83 chèvres, le volume transformé de à litres ; 3 exploitations ont des autres UGB et les autres UGB dans ces cas là varient de 3 UGB à 120 UGB. - Chez les livreurs, la SAU varie de 15 à 93 ha, le nombre de chèvres de 89 à 406 chèvres, le volume produit de à litres ; 1 seule exploitation est spécialisée. 4 exploitations valorisent des surfaces pastorales. 3
4 Pour les livreurs: cas particulier du lycée de St Genest où le passage en bio n est pas lié à la crise mais une demande du Conseil régional 4
5 A titrede comparaison, chiffres du dispositif InosysRéseaux d élevage élevages conventionnels : LIVREURS CENTRE OUEST ET SUD-OUEST - Lait /chèvre : 870 litres - Concentrés et déshydratés : 433 kg/chèvre - Fourrages distribués : 809 kg MS/chèvre FROMAGERS SUD-OUEST/RHONE-ALPES/CENTRE - Lait /chèvre : 695 litres - Concentrés et déshydratés : 365 kg/chèvre - Fourrages distribués : 838 kg MS/chèvre Une exploitation en livraison a eu un gros problème sanitaire en 2015 (forte mortalité des chevrettes) et a vu son volume produit chuté 5
6 La part du pâturage dans la ration est estimée sur la base d une ingestion estimée à 1,1 TMS/chèvre/an 6
7 Chiffres du dispositif InosysRéseaux d élevage élevages conventionnels centre ouest et sud-ouest : LIVREURS CENTRE OUEST ET SUD-OUEST - Prix du lait : 700 /1000 L - Charges opérationnelles : 276 /chèvre - Marge brute : 387 /chèvre (ou 446 /1000 L) FROMAGERS SUD-OUEST/RHONE-ALPES/CENTRE - Prix du lait : 2016 /1000 L - Charges opérationnelles : 353 /chèvre - Marge brute : 1075 /chèvre (1599 /1000 L) Chez les livreurs, une marge brute pénalisée par la hausse conséquente descharges opérationnelles Chez les fromagers, une marge brute en progression mais qui reste limitée en /chèvre compte tenu de la productivité laitière limitée 7
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9 Bande jaune (exemple sur les fromagers) : pour un lait produit par chèvre entre 400 et 500litres par chèvre, la marge brute varie de 620 à 870 /chèvre. 9
10 Chez les fromagers, une exploitation à la structure très différente (trèsgrande structure, gros atelier BL en transformation fromagère) est écartée de la moyenne pour ce qui concerne les résultats de l exploitation. (NB : cette exploitation est incluse dans l analyse atelier) Attention pour les aides, résultat à considérer avec prudence : la notification des aides 2015 étant arrivée très tardivement (fin décembre 2016), certains n ont pas pu être vérifié. Le revenu disponible progresse pour les fromagers (hausse du produit brut et effet positif de la réforme de la PAC sur les aides). Pour les livreurs, la forte hausse des charges opérationnelles en 2015 n est pas compensé par le prix du lait. Chiffres du dispositif InosysRéseaux d élevage élevages conventionnels centre ouest et sud-ouest : LIVREURS CENTRE OUEST ET SUD-OUEST - Revenu disponible /UMO : FROMAGERS SUD-OUEST/RHONE-ALPES/CENTRE - Revenu disponible /UMO :
11 Le travail correspondau coût des salariés + la rémunération des exploitants à hauteur d un forfait fixé à 1,5 SMIC brut /UMO. Le prix de revient correspond auprix auquel il faudrait vendre le lait pour rémunérer les salariés et dégager un revenu de 1,5 SMIC /exploitant 11
12 Le travail correspondau coût des salariés + la rémunération des exploitants à hauteur d un forfait fixé à 1,5 SMIC brut /UMO. Le prix de revient correspond auprix auquel il faudrait vendre le lait pour rémunérer les salariés et dégager un revenu de 1,5 SMIC /exploitant 12
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