1. ASPECTS GENERAUX DE L AMENAGEMENT ACTUEL OBJECTIFS DU PROJET DE SURELEVATION DE LA RETENUE CONDUITE DES ETUDES DE PROJET...
|
|
- Brian Falardeau
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 BARRAGE DE SAINT PIERRE MANZO PROJET DE SURELEVATION DE LA RETENUE NOTE DE SYNTHESE 1. ASPECTS GENERAUX DE L AMENAGEMENT ACTUEL OBJECTIFS DU PROJET DE SURELEVATION DE LA RETENUE CONDUITE DES ETUDES DE PROJET PROJET ENVISAGE... 5
2 1 BARRAGE DE SAINT PIERRE MANZO PROJET DE SURELEVATION DE LA RETENUE NOTE DE SYNTHESE 1. ASPECTS GENERAUX DE L AMENAGEMENT ACTUEL Le barrage de Saint-Pierre Manzo, sur la rivière «La Manche», est situé à 6 km environ à l Est de l aérodrome de Fort-de-France- Lamentin, dans la partie centrale de l Ile de la Martinique. Le barrage présente une hauteur maximum de 27 m au-dessus du terrain naturel et la capacité de la retenue est de 7,94 millions de m 3. L aménagement est destiné à créer une réserve d eau en dérivation sur l adduction de la prise de la Lézarde pour l irrigation du Sud-Est de la Martinique. Le barrage proprement dit est du type mixte, terre enrochements, avec noyau étanche. L argile plastique provenant de zones d emprunt ouvertes dans la retenue, à proximité du barrage, constitue le noyau étanche alors que les recharges sont construites avec des enrochements de carrière. Des filtres et des enrochements de transition sont prévus entre les recharges et la fondation d une part, les recharges et le noyau étanche d autre part. Les fonctions de prise d eau et de vidange de la retenue sont remplies par le même ouvrage constitué d une galerie en béton armé située sous la digue et faisant suite à une structure implantée à l amont. Une conduite de 1,30 m de diamètre installée dans la galerie, sert à la fois de vidange et d adduction des eaux d irrigation ; ces fonctions sont différenciées dans un ouvrage d extrémité situé au pied de la digue. L ouvrage de tête de la galerie est doté d un entonnement permettant la dérivation provisoire de la rivière dans la galerie pendant la construction du barrage. L extrémité aval est pourvue d un bassin de dissipation d énergie pour le fonctionnement en dérivation provisoire et pour la réception des débits de vidange de la retenue. Un ouvrage d évacuation des crues en extrémité rive droite du barrage. Il s agit d un déversoir bétonné de 15 m de longueur prolongé par un coursier en béton canalisant le débit évacué dans un bassin de dissipation d énergie qui débouche sur la rivière. Compte tenu de la très faible superficie du bassin versant (2,23 km 2 ) et des apports propres du bassin (3,4 Mm 3 ), le remplissage essentiel de la retenue est assuré par une dérivation effectuée sur la rivière Lézarde.
3 2 La prise d eau, d un débit maximum de 1000 l/s est d abord constituée d un pompage sur une hauteur de 40 m et sur une longueur de 700 m vers un réservoir. Un tronc commun de 4800 m permet de conduire l eau prélevée jusqu au lieu-dit Directoire où un débit de 200 l/s est envoyé vers une station de traitement pour l alimentation en eau potable du Syndicat Intercommunal des Communes du Sud de la Martinique. Une canalisation de m (φ 800 débit 800 l/s) permet ensuite d acheminer l eau vers la retenue de la Manzo. 2. OBJECTIFS DU PROJET DE SURELEVATION DE LA RETENUE Les ressources en eau disponibles au droit de la retenue, malgré l existence d une dérivation depuis la rivière Lézarde, sont très sensibles aux situations hydrologiques et particulièrement lors d années sèches successives ne permettant pas un bon renouvellement du stock dans la retenue. Pour mieux sécuriser la satisfaction des besoins futurs, il est donc nécessaire d accroître la ressource nécessaire au niveau de la retenue. En effet les besoins actuels, pour une superficie équipée de 3900 ha, une superficie souscrite de 3100 ha et une superficie effectivement irriguée de 2000 ha, sont de 10 Mm 3 /an environ en année moyenne, mais sont susceptibles d atteindre 15 Mm 3 /an après extension future des réseaux portant la superficie équipée à 5000 ha et la superficie réellement irriguée à 2550 ha. Encore ces chiffres ne sont-ils que des valeurs de besoins en année «normale» susceptibles d être fortement majorés en année sèche (+ 60 % en année sèche de fréquence quinquennale, + 80 % en année sèche de fréquence décennale). Par ailleurs, au cours de ces mêmes années sèches, dont un certain nombre ont été subies au cours de la récente période (1998 et 2001 par exemple), les ressources disponibles au fil de l eau sur la rivière Lézarde et transférables vers le barrage subissent aussi des abattements importants, compromettant le remplissage complet de la retenue et la satisfaction des besoins à l aval. Pour augmenter les ressources disponibles au niveau de la retenue, deux solutions complémentaires sont envisagées : Accroître la capacité de stockage du barrage par surélévation de la cote de retenue normale au moyen d une vanne-clapet (c est l objet du projet ici proposé), Accroître le volume dérivé depuis la Lézarde, par réalisation d une prise gravitaire, à l amont de la prise actuelle et par augmentation du diamètre de l adducteur. Le projet analysé ici concerne la 1 ère de ces deux solutions.
4 3 3. CONDUITE DES ETUDES DE PROJET Le projet de surélévation de la retenue envisagé par le Conseil Général de la Martinique consiste à installer une vanne-clapet de 1 m de hauteur et 15 m de longueur sur le seuil déversoir actuel (à la cote 52 NGM) de manière à porter le niveau de retenue normale du plan d eau à la cote 53 NGM. Une telle installation constitue une modification importance du fonctionnement de l ouvrage et impose à ce titre une présentation du dossier de surélévation devant le C.T.P.B. (Comité Technique Permanent des Barrages). Pour la constitution du dossier de présentation au C.T.P.B. plusieurs études complémentaires ont du être préalablement établies. Il s agit d études sur : La stabilité du barrage, réalisée par la Société Terrasol, La stabilité des berges, réalisée par la société CFEG, L hydrologie au droit du site, réalisée par la société BRL. Stabilité de la digue La première étude a montré que les coefficients de sécurité quant à la stabilité de la digue restaient suffisants après surélévation de la retenue (F = 1,13 en tenant compte d un séisme avec une accélération maximale de référence An = 4,5 m 2 /s F = 1,05 avec le même séisme et la conjonction d une crue millénale). Stabilité des berges La 2 ème étude ne fait pas apparaître d aggravation généralisée de la stabilité des berges mais préconise localement une protection en enrochement pour éviter l incidence des glissements superficiels régressifs dans la frange de battement des eaux. Étude hydrologique La 3 ème étude avait pour objet de réactualiser l étude de 1976 pour tenir compte des observations hydro-pluviométriques réalisées depuis et prendre en compte l occurrence d une crue déca-millénale (période de retour T = ans). Cette étude s est en outre attachée à faire une analyse saisonnière du risque tenant compte des différentes périodes clefs de l exploitation de la retenue. Les principaux résultats en sont donnés ci-après.
5 4 L année hydrologique peut être découpée en 4 saisons homogènes auxquelles correspondent les risques et états de remplissage ci-après : Saison Tableau 1 : Découpage en saisons homogènes Mois Qualification de l'aléa État de remplissage de la réserve 1 août à octobre très fort Moyen Début de remplissage 2 novembre décembre fort Élevé Fin de remplissage 3 janvier à mars moyen Élevé Début d'utilisation 4 avril à juillet moyen Faible Fin d'utilisation intensive L aléa maximal est associé à la saison cyclonique allant d Août à Octobre. Analysées à partir des informations pluviographiques disponibles à Fort de France, Ducos-usine et Ducos-Manzo, les précipitations maximales en 24 h au droit du barrage pour différentes fréquences et pour chacune des saisons sont les suivantes : Tableau 2 : Précipitations maximales en 24 h à Ducos-Manzo (en mm) Période de retour Saison 1 Saison 2 Saison 3 Saison 4 10 ans ans ans ans Pour la crue déca-millénale (Période de retour T = ans Fréquence F = 1/10 000) les débits de pointe au barrage sont les suivants (débits entrants) : Saison 1 Saison 2 Saison 3 Saison m 3 /s 149 m 3 /s 124 m 3 /s 130 m 3 /s Pour cette même crue, les apports au barrage, comprenant les apports pluviométriques directs sur le plan d eau, sont les suivants : Saison 1 Saison 2 Saison 3 Saison 4 1,768 Mm 3 0,707 Mm 3 0,443 Mm 3 0,498 Mm 3 Un calcul de vérification de la revanche à permis de voir que celle-ci pouvait être limitée à 1,68 m pour le barrage actuel et à 1,74 m pour une retenue surélevée d un mètre.
6 5 Une vérification des calculs hydrauliques relatifs au fonctionnement des ouvrages d évacuation des crues a permis de confirmer le bon dimensionnement des ouvrages existants. Le débit de 15 m 3 /s correspondant à une crue millénale écrêtée par la retenue et arrivant alors que le plan d eau est à la cote de retenue normale, est évacué sans influence aval du coursier. Pour un débit après laminage de 30 m 3 /s, correspondant à un niveau du plan d eau amont de 54,19 NGM, celui-ci, malgré la forte influence aval, serait évacué avec une revanche suffisante dans le coursier. 4. PROJET ENVISAGE Des nouveaux calculs de la revanche, il est ressorti que la retenue pouvait faire l objet d une surélévation partielle n affectant pas le niveau d arase actuel de la digue (54,85 NGM après tassement de 10 cm depuis l'origine) à condition de respecter pour chaque saison un niveau maximum de plan d eau de retenue normale. Celui-ci est calculé de telle manière que l occurrence d une crue décamillennale annuelle (composition des probabilités d'obtention du niveau maximum de 53,10 NGM en chacune des saisons) se traduise par une montée maximale du plan d eau (Plus Hautes Eaux Exceptionnelles) à la cote 53,10 NGM qui réserve ainsi une revanche de 1,75 m par rapport à la cote d arase de la digue actuelle (54,85 NGM). Par saison ces cotes maximales du plan d eau de retenue normale sont les suivantes : Tableau 3 : Niveau maxima du plan d eau en période normale hors crues. Valeurs retenues (NGM) pour le barrage actuel (Digue à la cote NGM) Saison 1 1 er Août 31 Oct. Saison 2 1 er Nov. 31 Déc. Saison 3 1 er Janv. 31 Mars Saison 4 1 er Avril 31 Juin Le volume maximal stocké lors de la saison 3 et correspondant à la cote de retenue normale 52,67 NGM est de 8,54 Mm 3, soit une augmentation de 0,60 Mm 3 par rapport à la retenue actuelle sous la cote de retenue normale 52,00 NGM. Préalablement à l établissement du dossier de présentation au CTPB ont été examinées les variantes possibles à la solution de vanne-clapet installée sur le seuil déversoir actuel. A notamment été analysée la solution consistant à disposer l organe vanné en tête du coursier avant que celui-ci ne plonge vers le pied aval du barrage. Le radier du coursier dans cette partie située à l aval de la boite de réception du déversoir de surface, est calé à la cote 50 NGM et la largeur du coursier est de 3 m. Les dimensions du vannage nécessaire seraient donc de 3 x 3 m, ce qui en ferait un ouvrage plus modeste que celui prévu sur le seuil actuel (15 x 1).
7 6 Pour les 3 saisons les plus contraignantes (saison 1 à 3) on obtient les valeurs ci-après des niveaux maxima initiaux, avec la valeur associée des volumes stockés initiaux : Niveau Maximal Initial (NGM) Volume stocké (Mm 3 ) Saison Saison Saison Par rapport à la vanne-clapet disposée vers le seuil à la cote 52 NGM, la vanne-clapet disposée en tête de coursier induit une perte de volume stocké de m 3 environ. Malgré un coût moins important, son inconvénient majeur et sans doute rédhibitoire réside toutefois dans le report du plan d eau dans la partie aval de la digue en un endroit où le coursier se trouve en dehors du noyau étanche et où il n est par ailleurs pas certain que les dispositions constructives des bajoyers et du radier aient été prises pour assurer l étanchéité nécessaire pour contenir un plan d eau permanent. Plusieurs types de gestion de la vanne-clapet (solution proposée de vanne-clapet sur le seuil actuel à 52 NGM) ont été analysés : 1. Gestion en «tout ou rien» 2. Gestion «anticipée de crise» 3. Gestion «dynamique» La gestion en «tout ou rien» qui consiste à fermer la vanne en début de saison 2 (1 er novembre) et à la laisser fermée à sa cote de consigne (52.40 NGF) jusqu à la fin de cette saison, puis à passer à la cote de consigne (52,55 NGF) en début de saison 3 (1 er janvier), est la gestion la plus sécurisante. Elle n exige aucune manœuvre de vanne, ni anticipée ni pendant une crue, y compris la plus forte. Elle se traduirait simplement par un moindre volume affecté à l irrigation (0,4 Mm 3 ) une année sur cinq et lorsque les niveaux de demande auront atteint des valeurs importantes (15 Mm 3 en année normale). On sait cependant que lorsque ce niveau de demande sera prêt d être atteint des solutions complémentaires pour renforcer la ressource auront été mises en places (surélévation de la retenue jusqu à la cote 53 NGM Déplacement de la prise d eau sur la rivière Lézarde et renforcement de l adduction jusqu au barrage de la Manzo). Les progrès alors réalisés dans la prévision météorologiques permettront sans doute d assouplir la gestion en «tout ou rien» proposée en lui adjoignant une gestion «anticipée de crise». En résumé, l aménagement proposé consiste à installer une vanne-clapet de 1 m de hauteur et de 15 m de longueur sur le seuil fixe actuel à la cote 52 NGM.
8 7 Dans un premier temps, jusqu à augmentation sensible des besoins et renforcement de l adduction depuis la rivière Lézarde, la vanne-clapet sera gérée, à niveaux fixes par saison, à des cotes inférieures à celles permise par la vanne (53 NGM). Ces niveaux seront respectivement de NGM et 52,67 NGM en saison 2 (1 er novembre 31 octobre) et 3 (1 er janvier 31 mars). Au cours des 2 autres saisons (1 et 4 soit la période allant du 1 er avril au 31 octobre) le niveau maximum du plan d eau en conditions normales d exploitation sera fixé à 51,00 NGM. Il ne sera alors plus contrôlé par la vanne-clapet mais par les ouvrages de vidange de fond. Le coût total de l aménagement est estimé à Hors Taxes (valeur septembre 2001).
LA GESTION DES EVENEMENTS PLUVIEUX
SMART WATER NETWORKS LA GESTION DES EVENEMENTS PLUVIEUX Les défis posés au gestionnaire du système d assainissement La sécurité des biens et des personnes Anticiper et limiter les risques de débordements
Plus en détailLa gestion des écoulements dans les Wateringues du Nord - Pas de Calais Incidence prévisible des changements climatiques
La gestion des écoulements dans les Wateringues du Nord - Pas de Calais Incidence prévisible des changements climatiques Par Philippe PARENT Institution des Wateringues Par Philippe PARENT Institution
Plus en détailmesure des débits et des volumes dérivés par les canaux gravitaires
mesures limnimétriques 2009 Depuis la loi sur l Eau de 1992, précisée par celle de 2006, tous les volumes d eau prélevés dans le milieu naturel doivent être mesurés, et ce, pour permettre une meilleure
Plus en détailLe bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose
Le bac à graisses Schéma de principe Lorsqu on a une longueur de canalisation importante entre la sortie des eaux de cuisine et la fosse septique toutes eaux, il est fortement conseillé d intercaler un
Plus en détailUne onzième machine pour 200 mégawatts supplémentaires de courant de pointe
«Société Électrique de l Our» Une onzième machine pour 200 mégawatts supplémentaires de courant de pointe Pour un meilleur équilibre entre production d électricité et pointes de consommation Afin d'augmenter
Plus en détailGUIDE PRATIQUE. Branchement. d eau potable
GUIDE PRATIQUE Branchement d eau potable Édition 2015 1 1 - L ESSENTIEL Vous souhaitez réaliser un branchement d eau potable SOMMAIRE Bienvenue chez Eau de Paris! 1 L essentiel Qui sont vos interlocuteurs
Plus en détailEtude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013
Etude de diagnostic hydrogéologique du sous sol de Clamart Quartiers Schneider et Centre ville MAI 2013 Zones d étude et problématiques Quartiers concernés par l étude 1. Centre ville 2. Schneider Quartier
Plus en détailSystèmes de stockage simples à installer et économiques
Systèmes de stockage simples à installer et économiques Parallèlement à l accroissement et à l ampleur des événements pluviométriques, l accélération et l augmentation des débits de pointe accentuent de
Plus en détailSolution de stockage par benne mobile
Solution de stockage par benne mobile Le système de stockage par benne mobile est une solution innovante pour le stockage du bois déchiqueté. Amovible et interchangeable, ce système dispose de nombreux
Plus en détailRapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau
Rapport annuel de monitoring automatisé de la qualité de l eau 2009 La rivière Sainte Croix au barrage de Forest City Figure 1 : Rivière Sainte Croix, à la hauteur de la station de monitoring durant l
Plus en détailGlossaire : définitions des termes utilisés dans les fiches sur les indicateurs de performance
Glossaire : définitions des termes utilisés dans les fiches sur les indicateurs de performance Au sens des fiches de définition des indicateurs de performance : 1. Parties prenantes Autorité organisatrice
Plus en détailEquipement d un forage d eau potable
Equipement d un d eau potable Mise en situation La Société des Sources de Soultzmatt est une Société d Economie Mixte (SEM) dont l activité est l extraction et l embouteillage d eau de source en vue de
Plus en détailRAPPORT ANNUEL SUR LE PRIX ET LA QUALITE DU SERVICE PUBLIC D ASSAINISSEMENT COLLECTIF
RAPPORT ANNUEL SUR LE PRIX ET LA QUALITE DU SERVICE PUBLIC D ASSAINISSEMENT COLLECTIF Exercice 2008 1 Conformément au décret n 95-635 du 06 mai 1995 mod ifié. Les données techniques contenues dans ce rapport
Plus en détailConcevoir et organiser son aire de remplissage, de lavage et de stockage des effluents
Concevoir et organiser son aire de remplissage, de lavage et de stockage des effluents 1 Ce document a été rédigé fin 009, dans le cadre du groupe de travail ECOPULVI, animé par l Institut Français de
Plus en détailJournée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau
Journée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau Etude Volumes Prélevables sur les Usses 2010-2012 5 avril 2013 SMECRU Syndicat Mixte d Etude du Contrat de Rivières des Usses Le bassin
Plus en détailETUDE COMPARATIVE DES MODELISATIONS NUMERIQUE ET PHYSIQUE DE DIFFERENTS OUVRAGES D EVACUATION DES CRUES
ETUDE COMPARATIVE DES MODELISATIONS NUMERIQUE ET PHYSIQUE DE DIFFERENTS OUVRAGES D EVACUATION DES CRUES P.E. LOISEL, J. SCHAGUENE, O. BERTRAND, C. GUILBAUD ARTELIA EAU ET ENVIRONNEMENT Symposium du CFBR
Plus en détailNOMENCLATURE DES OPERATIONS SOUMISES A AUTORISATION OU A DECLARATION EN APPLICATION DES ARTICLES L. 214-1 A L. 214-3 DU CODE DE L ENVIRONNEMENT
NOMENCLTURE ES OPERTIONS SOUMISES UTORISTION OU ECLRTION EN PPLICTION ES RTICLES L. 214-1 L. 214-3 U COE E L ENVIRONNEMENT TBLEU E L RTICLE R. 214-1 U COE E L ENVIRONNEMENT (PRTIE REGLEMENTIRE) Consolidée
Plus en détailDIAGNOSTIC DU RESEAU D ALIMENTATION EN EAU POTABLE SCHEMA DIRECTEUR
COMMUNE DE LA VALLA EN GIER Le Bourg 42131 La Valla-en-Gier DIAGNOSTIC DU RESEAU D ALIMENTATION EN EAU POTABLE SCHEMA DIRECTEUR Rapport de Phase III Juin 2012 ICA ENVIRONNEMENT 6 Rue Emile Noirot - 42300
Plus en détailOrganisme de recherche et d information sur la logistique et le transport LES TECHNIQUES DE SUIVI DES ARTICLES ET DES STOCKS
LES TECHNIQUES DE SUIVI DES ARTICLES ET DES STOCKS La gestion et la maîtrise des flux entrants et sortants du magasin nécessite la mise en œuvre d un dispositif à trois composantes : la classification
Plus en détailDemande préalable pour un projet de création ou de modification d'un plan d'eau
Demande préalable pour un projet de création ou de modification d'un plan d'eau Les plans d'eau peuvent avoir des usages différents à savoir agrément, défense contre l'incendie, élevage de poissons, irrigation,
Plus en détailM. GUILLAUME ^ Alimentation en eau potable /} ( de la Ville de Metz Implantation de nouvelles stations de pompage dans la région de La Maxe-Thur;y
M. GUILLAUME ^ Alimentation en eau potable /} ( de la Ville de Metz Implantation de nouvelles stations de pompage dans la région de La Maxe-Thur;y 15 Octobre 1954 BUREAU DE RECHERCHES GEOLOGIQUES GEOPHYSIQUES
Plus en détailCREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE SOUTERRAIN
REPUBLIQUE FRANCAISE - PREFECTURE DE LA DROME A retourner à : DDT/Service Eau Forêt Espaces Naturels 4 place Laënnec BP 1013 26015 VALENCE CEDEX 04.81.66.81.90 CREATION DE FORAGE, PUITS, SONDAGE OU OUVRAGE
Plus en détailConstruisons durable et écologique avec la Région Martinique! Les aides régionales pour l habitat
Construisons durable et écologique avec la Région Martinique! Les aides régionales pour l habitat 2012 Construction éco-citoyenne : l intérêt de chacun, un bienfait pour tous! La Région Martinique a renforcé
Plus en détailComité de suivi collège Galilée du 08 octobre 2014
Comité de suivi collège Galilée du 08 octobre 2014 Comité de suivi collège Galilée du 8 octobre 2014 1. Historique 1995 2014 2. Diagnostic structure : rapport intermédiaire octobre 2014 3. Gestion de la
Plus en détailSommaire 3.4. CRUE SUR UN PETIT BASSIN VERSANT... 19 3.6. INTUMESCENCE - DYSFONCTIONNEMENT D OUVRAGES HYDRAULIQUES...22
Préambule La collection des guides de l ASN regroupe les documents à destination des professionnels intéressés par la réglementation en matière de sûreté nucléaire et de radioprotection (exploitants, utilisateurs
Plus en détailModélisation intégrée des écoulements pour la gestion en temps réel d'un bassin versant anthropisé
1 TGR Modélisation intégrée des écoulements pour la gestion en temps réel d'un bassin versant anthropisé Simon Munier Institut des Sciences et Industries du Vivant et de l'environnement (AgroParisTech)
Plus en détailGuide d entretien. de votre assainissement non collectif
juillet 2009 Guide d entretien de votre assainissement non collectif Votre système d assainissement n est pas raccordé au «tout à l égout». Il est dit «non-collectif», «autonome» ou encore «individuel».
Plus en détailInstallations de plomberie
Service de l urbanisme, des biens et de l aménagement Installations de plomberie Guide à l intention des propriétaires pour l interprétation des règlements municipaux de la ville de Winnipeg concernant
Plus en détailPLAN DE LA PRESENTATION
Présenté par: MAILELE Djibril Amadou, Directeur Production & Transport - NIGELEC PLAN DE LA PRESENTATION 1. CONTEXTE 2. AVENNEMENT DE LA PANNE 3. CONSEQUENCES DE LA PANNE 4. SOLUTION DU DEPANNAGE DEFINITIF
Plus en détailBÂTIMENTS / TRAVAUX PUBLICS TRANSPORT, SERVICES ET COMMERCE INTERNATIONAL
BÂTIMENTS / TRAVAUX PUBLICS TRANSPORT, SERVICES ET COMMERCE INTERNATIONAL A. PRÉSENTATION : BEST ENTREPRISE SARL est une société de droit sénégalais qui intervient dans les Bâtiments/Travaux Publics, le
Plus en détailRéunion publique/téléconférence
Réunion publique/téléconférence Dorval Cornwall Kingston Watertown Oswego Burlington Rochester Kingston/Oswego Téléconférence: 1-877-413-4814 486 9841 (français) 447 9980 (anglais) Appeler entre 18h45-18h55
Plus en détailSITUATION GENERALE Description du phénomène
BULLETIN N 007 REPOBLIKAN I MADAGASIKARA Fitiavana Tanindrazana Fandrosoana ------------------- MINISTERE DE L INTERIEUR ------------------ BUREAU NATIONAL DE GESTION DES RISQUES ET DES CATASTROPHES -----------------
Plus en détailSystème à débit variable T.One
C H A U F F A G E E T R A F R A I C H I S S E M E N T Système à débit variable T.One Pompe à chaleur Air/Air Habitat Système T.One Chauffage thermodynamique individ Une source d énergie renouvelable Une
Plus en détailOrganisation de la gestion de crise à Mayotte. Préfecture de Mayotte- SIDPC Mise à jour août 2011
Organisation de la gestion de crise à Mayotte Préfecture de Mayotte- SIDPC Mise à jour août 2011 SOMMAIRE INTRODUCTION AVANT LA CRISE PENDANT LA CRISE APRES LA CRISE 2 Service interministériel de défense
Plus en détailCommune d Aillevillers et Lyaumont CC du Val de Semouse
Commune d Aillevillers et Lyaumont CC du Val de Semouse Département de la Haute Saône Zonage d assainissement Renaud LADAME Chargé d Affaires Géoprotech Agence Franche Comté Hôtel dentreprises ZA les Charrières
Plus en détailConception et construction des ouvrages gaz. Club de la Performance Immobilière
Conception et construction des ouvrages gaz Club de la Performance Immobilière Novembre 2014 RT2012 et arrêté 2 Aout 77 Arrêté du 26 octobre 2010 relatif aux caractéristiques thermiques et aux exigences
Plus en détailLe littoral des Bas-Champs (Picardie, France) soumis aux risques perpétuels d inondation
Le littoral des Bas-Champs (Picardie, France) soumis aux risques perpétuels d inondation JULIA BASTIDE 1, EDWARD ANTHONY 1, FRANCK DOLIQUE 2 1 GéoDal, EA 35 99-Université du Littoral Côte d Opale, 59 140
Plus en détailFABRICATION FRANÇAISE ET NORMES PMR
Limiance Dimensions extérieures : 2206 X 1667 mm (habillage extérieur compris, hors prestation hva-concept) Largeur porte : 830 mm Surface utile : 2,95 m² Poids : 920 kg (+/- 5 %) Présentation avec finition
Plus en détailRAPPORT DU COMMISSAIRE ENQUÊTEUR
1 Tome 1 REPUBLIQUE FRANÇAISE PREFECTURE DE LA CHARENTE-MARITIME COMMUNE DE SAINTE-SOULLE ENQUETE PUBLIQUE relative au projet d aménagement d une retenue d eau du bassin versant de SAINTE-SOULLE, sur la
Plus en détailAssurances de biens et de responsabilité
Enquête Juin 2011 Assurances de biens et de responsabilité Inondations du Var des 15 et 16 juin 2010 Bilan chiffré au 31 mai 2011 1 LES INONDATIONS DU VAR DES 15 ET 16 JUIN 2010 SYNTHESE Les conséquences
Plus en détailComment concevoir son lit biologique
santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique
Plus en détailLa valorisation des terres excavées
La valorisation des terres excavées Matinée "Matières premières et matériaux du BTP " Céline Blanc c.blanc@brgm.fr BRGM / Direction Eau, Environnement et Ecotechnologies Lundi 2 décembre, 2013 Contexte
Plus en détailCommune de la Tène Viabilisation de la zone du casino
Commune de la Tène Viabilisation de la zone du casino RAPPORT TECHNIQUE Evacuation des eaux et alimentation en eau potable Dossier 10N026 Version 001 26 novembre 2010 RWB Holding SA Aménagement du territoire
Plus en détailCISSE INF EAU N 13. Edito du vice -président. Dans ce numéro
CISSE INF EAU N 13 Bulletin d information du bassin de la Cisse 1er trimestre 2015 Votre Cisse Inf eau change de style Après 2 ans et demi d existence, et pour anticiper l évolution de la chartre graphique
Plus en détailSYTEPOL Syndicat de Transport d Eau Potable de l Ouest de Limoges
SYTEPOL Syndicat de Transport d Eau Potable de l Ouest de Limoges Origine du projet et création du SYTEPOL Face à des difficultés d approvisionnement en eau potable constatées sur le Sud- Ouest du Département
Plus en détailComptes rendus d Activités Techniques et Financières du Service de l Eau Potable Année 2004
Service de l Eau Potable Année 2004 1 Ville de VENELLES Comptes rendus d activités Techniques et financières du Service de l Eau Potable Destinataire : Monsieur le Maire de la commune de VENELLES (13770)
Plus en détail5. Matériaux en contact avec l eau
Monitoring de la qualité Microbiologique de l eau potable dans les réseaux de distributions Intérêt de l utilisation d un kit de mesure rapide de la flore totale UTLISATIONS 1. Surveillance de Réseau mixte
Plus en détailLe Plan Départemental de l Eau
de l Eau CG1/PIADDT/DAE/MD-LS-9/05/009 de l Eau Son organisation schématique va s appuyer sur : 1. Les infrastructures existantes d intérêt départemental,. Les schémas directeurs territoriaux, 3. Des maillages
Plus en détailBLUBOX Système de récupération des eaux de pluie
BLUBOX Système de récupération des eaux de pluie La gestion responsable des eaux pluviales : UNE SOLUTION ACTUELLE POUR UN AVENIR DURABLE L eau est une ressource essentielle à toute forme de vie sur Terre.
Plus en détailRèglement du Service Public Communal de l Assainissement Commune de Vitry sur Seine 1
Commune de Vitry sur Seine 1 SOMMAIRE Préambule 5 Chapitre 1- Dispositions générales 6 Article 1 : Objet du règlement 6 Article 2 : Autres prescriptions 6 Article 3 : Catégories d eaux admises au déversement
Plus en détailFORD C-MAX + FORD GRAND C-MAX CMAX_Main_Cover_2013_V3.indd 1-3 22/08/2012 15:12
1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 12,999,976 km 9,136,765 km 1,276,765 km 499,892 km 245,066 km 112,907 km 36,765 km 24,159 km 7899 km 2408 km 76 km 12 14 16 1 12 7 3 1 6 2 5 4 3 11 9 10 8 18 20 21 22 23 24 26 28 30
Plus en détailPrésenté par : Dr Asmae Nouira. Novembre Hanoi -2007. Journées Scientifiques Inter-Réseaux AUF
Efficacité du semis direct à contrer l érosion hydrique en milieu agricole : mise en évidence à l'aide des techniques de radioéléments, de modélisation et de mesures aux champs (MAROC-CANADA) Présenté
Plus en détailSTOCKAGE DES BOUES DE STATIONS D EPURATION URBAINES Bassin Artois Picardie
PREFECTURE REGION NORD PAS DE CALAIS Direction Régionale de l Environnement Nord - Pas de Calais Service Eau, Milieux Aquatiques et Risques Naturels Cellule Réglementation et Gestion Territoriale de l'eau
Plus en détaileat recovery system Metos Traitement de Déchets Solus Eco Flex Waste La solution compacte à vos dechets! www.metos.com
eat recovery system Metos Traitement de Déchets Solus Eco Flex Waste La solution compacte à vos dechets! www.metos.com Traitement de Déchets Solus Eco Flex Waste De plus en plus, le traitement des biodéchets
Plus en détailLe contexte global. La ressource. I.1 Particularités de la ressource en eau. Superficie : 41 526Km 2
Le contexte global Superficie : 41 526Km 2 Population: 16,34M.(89,6% urbaine: / 10,4% rurale:) 2006 PIB/hab 2007: 35 576 USD Divisions administratives: 12 provinces et 467 communes en nombre variable Régime:
Plus en détailDEMANDE D'AUTORISATION D'EXPLOITATION D'UNE INSTALLATION DE STOCKAGE DE DÉCHETS INERTES. Au titre de l'article L.541-30-1 du Code de l'environnement
DEMANDE D'AUTORISATION D'EXPLOITATION D'UNE INSTALLATION DE STOCKAGE DE DÉCHETS INERTES Au titre de l'article L.541-30-1 du Code de l'environnement Liieu--diitt «lle Cognett» Commune de VAUX--SUR--SEULLES
Plus en détailRègles et prescriptions à respecter pour les permis de construire
Collecte et valorisation des déchets dans le pays de Gex Permis de construire Édition 2013 Règles et prescriptions à respecter pour les permis de construire Prévoir la voirie, les équipements et les zones
Plus en détailAPPROCHES SIMPLIFIÉES POUR L ÉVALUATION DES PARAMÈTRES DE CONCEPTION POUR LES BASSINS DE FAIBLES DIMENSIONS. Gilles Rivard, ing. M. Sc.
APPROCHES SIMPLIFIÉES POUR L ÉVALUATION DES PARAMÈTRES DE CONCEPTION POUR LES BASSINS DE FAIBLES DIMENSIONS Gilles Rivard, ing. M. Sc. Québec 15 mars 2012 PRÉSENTATION Particularités des petits bassins
Plus en détailERDF au service de la Transition Energétique en NPDC
ERDF au service de la Transition Energétique en NPDC Organisation territoriale Eléments clés du réseau de distribution du Nord-Pas de Calais (31/12/2012) Calais Saint Martin Boulogne Boulogne-sur-Mer Saint
Plus en détailMon installation d assainissement non collectif PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU ET RESPECTER LES MILIEUX AQUATIQUES. Guide.
Mon installation d assainissement non collectif PRÉSERVER LA RESSOURCE EN EAU ET RESPECTER LES MILIEUX AQUATIQUES Guide d entretien Aillevans - Athesans Etroitefontaine - Autrey Le Vay - Beveuge - Bonnal
Plus en détailSAUVEGARDE DES PERSONNES ET LUTTE CONTRE L INCENDIE DANS LES BATIMENTS D HABITATION DE LA 3ème FAMILLE INC/HAB COL 3/1986-2
1. CLASSEMENT ET GENERALITES : 1.1. Classement Sont classées dans la 3ème famille les habitations collectives dont le plancher bas du logement le plus haut est situé à 28 mètres au plus au-dessus du sol
Plus en détailRÉSUMÉ DES PRINCIPALES RÈGLES CONCERNANT LE RACCORDEMENT D UNE RÉSIDENCE AU NOUVEAU RÉSEAU D AQUEDUC ET D ÉGOUT DU VILLAGE
RÉSUMÉ DES PRINCIPALES RÈGLES CONCERNANT LE RACCORDEMENT D UNE RÉSIDENCE AU NOUVEAU RÉSEAU D AQUEDUC ET D ÉGOUT DU VILLAGE Des règles différentes peuvent s appliquer dans le cas d un commerce. Informez-vous
Plus en détailLA MUNICIPALITE DE FROIDEVILLE AU CONSEIL COMMUNAL
Préavis de la Municipalité concernant une demande de crédit extrabudgétaire pour financer les travaux de construction et d aménagement d une déchèterie sur le territoire communal. No 105/2010 LA MUNICIPALITE
Plus en détailPROJET D INVERSION DE LA CANALISATION 9B ET D ACCROISSEMENT DE LA CAPACITÉ DE LA CANALISATION 9
Page 1 of 7 PROJET D INVERSION DE LA CANALISATION 9B ET D ACCROISSEMENT DE LA CAPACITÉ DE LA CANALISATION 9 RAPPORT SOMMAIRE DE L ANALYSE DES TRANSITOIRES SUR LE RÉSEAU PRINCIPAL Préparé par : Enbridge
Plus en détailALERTE ET GESTION DES CRUES ÉCLAIRS SUR LES PETITS BASSINS VERSANTS URBAINS
ALERTE ET GESTION DES CRUES ÉCLAIRS SUR LES PETITS BASSINS VERSANTS URBAINS Utilisation du radar HYDRIX et de la plateforme RAINPOL sur la commune d ANTIBES JUAN-LES-PINS European Local Authorities Rencontres
Plus en détailGuide d installation Agrément n 2010-018
Filtres EPURFIX COMPACT COCO PEHD 5 et 7E.H. C.P. (Série «Compact») Guide d installation Agrément n 2010-018 Ce GUIDE D INSTALLATION contient l information nécessaire à la préparation et à la réalisation
Plus en détailAdaptation Aux changements climatiques. Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso
Adaptation Aux changements climatiques Agriculture et sécurité alimentaire: Cas du Burkina Faso Sommaire Le Le contexte Notion Notion d adaptation Stratégies Stratégies et techniques d adaptation Les Les
Plus en détailLe point de vue du contrôleur technique
Le point de vue du contrôleur technique mars 2010 P-E Thévenin Contrôle technique en zone sismique le contrôle technique missions et finalité contrôle technique obligatoire les attestations PS de contrôle
Plus en détailmise à jour: septembre 2015 COMMENTAIRES
mise à jour: septembre 215 rrouvez le dail de toutes ces annonces sur notre prix/ GRENAY ZI GRENAY TERRAIN INDUSTRIEL ancienne gare d'heyrieux A3848 5 ST PIERRE DE CHANDIEU TERRAIN INDUSTRIEL A BATIR ENTREE
Plus en détailPrincipe d assemblage Structure modulaire CAPENA bassin rectangulaire avec escalier Hauteur panneaux 1,2 ou 1,5 mètres Montage sur pieds
Principe d assemblage Structure modulaire CAPENA bassin rectangulaire avec escalier Hauteur panneaux 1,2 ou 1,5 mètres Montage sur pieds CAPENA GmbH - PISCINES - Gruber Strasse 6-85551 KIRCHHEIM Allemagne
Plus en détailLA SURVEILLANCE DES PHÉNOMÈNES MÉTÉOROLOGIQUES POUR PRODUIRE DE L ÉLECTRICITÉ EN TOUTE SÉCURITÉ
avril 2013 NOTE D INFORMATION LA SURVEILLANCE DES PHÉNOMÈNES MÉTÉOROLOGIQUES POUR PRODUIRE DE L ÉLECTRICITÉ EN TOUTE SÉCURITÉ En tant qu exploitant des centrales de production d électricité, EDF met en
Plus en détailLES PIÈCES A SCELLER
COORDINATION SYNDICALE DES INDUSTRIES DE LA PISCINE 9, RUE LA PÉROUSE - 75784 PARIS CEDEX 16 - TÉL. : 01 40 69 53 25 - FAX : 01 47 20 43 25 DIRECTIVES TECHNIQUES PISCINES LES PIÈCES A SCELLER DTP n 8 Janvier
Plus en détailRecommandations pour la surveillance de la température de l eau chaude sanitaire
Délégation territoriale du Val-d Oise Recommandations pour la surveillance de la température de l eau chaude sanitaire Maîtriser la température de l eau chaude sanitaire L exploitant d un réseau d eau
Plus en détailLES FINANCES COMMUNAUTAIRES. Le fonctionnement financier d une communauté de communes. Les ressources fiscales votées par l assemblée chaque année
1 LES FINANCES COMMUNAUTAIRES Le fonctionnement financier d une communauté de communes Le cycle budgétaire de la collectivité est le même que pour une commune, il est rythmé par la prise de nombreuses
Plus en détailETABLISSEMENT PUBLIC A CARACTERE INDUSTRIEL ET COMMERCIAL Rue Félix CHABAUD 13770 VENELLES N SIRET : 493 587 471 00019 Code APE : 410 Z
REGIE DES EAUX DE VENELLES ETABLISSEMENT PUBLIC A CARACTERE INDUSTRIEL ET COMMERCIAL Rue Félix CHABAUD 13770 VENELLES N SIRET : 493 587 471 00019 Code APE : 410 Z Service de l Eau Potable Année 2007 RAPPORT
Plus en détailEPLEFPA "LES SARDIERES" 79 AVENUE DE JASSERON 01 000 BOURG EN BRESSE Tel : 04.74.45.50.80
Maître d'ouvrage : EPLEFPA "LES SARDIERES" 79 AVENUE DE JASSERON 01 000 BOURG EN BRESSE Tel : 04.74.45.50.80 Objet : Récupération des eaux pluviales pour le jardin partagé des Sardières CAHIER DES CHARGES
Plus en détailProduits préfabriqués lourds
Fiche Prévention - E4 F 13 14 Produits préfabriqués lourds Manutention, stockage et transport Les produits préfabriqués lourds sont nombreux et communément utilisés sur les chantiers de gros œuvre. Parmi
Plus en détaildescription du système
description du système a. conception technique système constructif Le projet proposé est un système modulaire industrialisé d'assemblage d'éléments préfabriqués tridimensionnels. Il est basé sur un module
Plus en détailSALON ENEO 15/02/2011 Retour d expd du quartier de la Caserne de Bonne E. HUARD, S. ORAIN, T. HEIMO
SALON ENEO 15/02/2011 Retour d expd expérience sur les cogénérations du quartier de la Caserne de Bonne E. HUARD, S. ORAIN, T. HEIMO GEG Profil d entreprise Une société anonyme d économie mixte locale
Plus en détailRéservoirs d eau potable LES SOLUTIONS ETANCHEITE RENOLIT RENOLIT ALKORGEO MEMBRANES RENOLIT ALKORPLAN
Réservoirs d eau potable LES SOLUTIONS ETANCHEITE RENOLIT RENOLIT ALKORGEO MEMBRANES RENOLIT ALKORPLAN RENOLIT ALKORGEO Géomembranes RENOLIT Alkorplan Avec attestation de conformité sanitaire pour être
Plus en détailDirection des Services Techniques. Phase I : DIAGNOSTIC. de type «R, X, L» : Ile Fanac
Direction des Services Techniques Phase I : DIAGNOSTIC de type «R, X, L» : Ile Fanac Commission Communale d Accessibilité pour les Personnes Handicapées (CCAPH) Réunion n 4 du 13 février 2008 1 ère partie
Plus en détailLes prélèvements d eau en France en 2009 et leurs évolutions depuis dix ans
COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 29 Février 212 Les prélèvements d eau en France en 29 et leurs évolutions depuis dix ans OBSERVATION ET STATISTIQUES ENVIRONNEMENT En 29, 33,4 milliards
Plus en détailSTRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE
STRATEGIES DE CONDUITE DE L IRRIGATION DU MAÏS ET DU SORGHO DANS LES SITUATIONS DE RESSOURCE EN EAU RESTRICTIVE JM.DEUMIER, B.LACROIX, A.BOUTHIER, JL.VERDIER, M.MANGIN Les cultures irriguées bénéficient
Plus en détailInvitation à soumissionner n PTD/10/056. Annexe I Cahier des charges
Invitation à soumissionner n PTD/10/056 Annexe I Cahier des charges Sommaire : I II III IV Introduction générale Descriptif des bâtiments à libérer (P&G et CAM) Descriptif du bâtiment à occuper (Nouveau
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE VOYAGE DE PRESSE NANTES. Mercredi 23 juin 2010
DOSSIER DE PRESSE VOYAGE DE PRESSE NANTES Mercredi 23 juin 2010 La régie de l eau de Nantes Métropole gère tous ses équipements techniques et son usine de Traitement d eau avec le logiciel GMAO CARL Master.
Plus en détailVITICULTURE 2012 V 12 / PACA 02 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE
VITICULTURE 212 V 12 / PACA 2 STRATEGIE D APPLICATION DU CUIVRE EN VITICULTURE Silvère DEVEZE Chambre d Agriculture de Vaucluse 1- Identification de l action a. Responsables techniques et partenaires :
Plus en détailL art de surveiller la température
L art de surveiller la température Suivez et analysez vos relevés de température directement sur votre smartphone Surveillez vos zones de stockage, vos équipements réfrigérés ou vos colis en transit dans
Plus en détailRégionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique
Régionalisation des régimes de perturbations et implications pour l aménagement dans un contexte de changement climatique Sylvie Gauthier, Chercheuse scientifique, successions forestières RNCan-SCF-CFL
Plus en détailInfrastructures de recharge pour véhicules électriques
Infrastructures de recharge pour véhicules électriques (irve) recueil pratique éditorial Ce recueil a été rédigé par les professionnels de la filière électrique, pour aider les installateurs à proposer
Plus en détailANNEXE 8b. Fig. 1 Les symboles utilisés dans l'analyse de susceptibilité des suivantes paragraphes
RÉSULTATS ET CRITICITÉS MENACE GLISSEMENT SUR LES TROIS COMMUNES Dans les suivantes paragraphes sont présentés les résultats pour chaque communes et une liste des zones plus critiques surtout concernant
Plus en détailSUIVEUR SOLAIRE : Informations complémentaires
SUIVEUR SOLAIRE : Informations complémentaires IMPORTANT : L objectif de la présente note technique n est pas de se substituer à l ouvrage «Alimentation électrique de sites isolés» mais de fournir des
Plus en détailOptimisation de l équilibre offre-demande, rôle des interconnexions et impact de l arrêt du nucléaire allemand pour EDF
Optimisation de l équilibre offre-demande, rôle des interconnexions et impact de l arrêt du nucléaire allemand pour EDF 07 juin 2011 Philippe TORRION Directeur Optimisation Amont/Aval et Trading Sommaire
Plus en détailPARTICIPATIONS FINANCIERES H.T. DES ADHERENTS POUR L ANNEE 2010 ADOPTEES PAR LE COMITE SYNDICAL DU 19 FEVRIER
ANNEXE COMPETENCES A LA CARTE DE LA BRANCHE EAU PARTICIPATIONS FINANCIERES H.T. DES ADHERENTS POUR L ANNEE 2010 ADOPTEES PAR LE COMITE SYNDICAL DU 19 FEVRIER 2010 Page 1 /14 26/02/2010 OPTION MAINTENANCE
Plus en détailSurveillance et Detection des Anomalies. Diagnostic d une digue: rappel méthodologique
Surveillance et Detection des Anomalies Diagnostic d une digue: rappel méthodologique issu de l expérience d EDF Jean-Paul BLAIS Service Géologie - Géotechnique EDF 1 La méthodologie utilisée par EDF,
Plus en détailGUIDE DE SOUTIEN TECHNIQUE POUR LA CLIENTÈLE
GUIDE DE SOUTIEN TECHNIQUE POUR LA CLIENTÈLE RÈGLEMENT SUR LA DÉCLARATION DES PRÉLÈVEMENTS D EAU ÉDITION SEPTEMBRE 2011 DIRECTION DES POLITIQUES DE L EAU SERVICE DE LA GESTION INTÉGRÉE DE L EAU Dépôt légal
Plus en détailLa surveillance appliquée à la gestion des risques géotechniques miniers
Symposium on Innovation and Technology in The Phosphate Industry - SYMPHOS May 6-10, 2013 Agadir, Marocco La surveillance appliquée à la gestion des risques géotechniques miniers Méthodes et Technologies
Plus en détailPrésentation : A. A. TOSSA
LA BANQUE DE DONNEES INTEGREE (BDI) DE LA DIRECTION GENERALE DE L HYDRAULIQUE Un Outil pour la Gestion des ressources en eau Présentation : A. A. TOSSA 1- Le Service de la Banque de Données Intégrée (SBDI)
Plus en détailCOMMUNE DE GORGIER. Madame la Présidente, Mesdames et Messieurs, 1. Préambule
COMMUNE DE GORGIER RAPPORT DU CONSEIL COMMUNAL AU CONSEIL GENERAL CONCERNANT LA DEMANDE DE CREDIT DE Fr. 32'700.- POUR LE REMPLACEMENT D'UN COLLECTEUR D'EAUX USEES AU CHEMIN DE LA PAYAZ Madame la Présidente,
Plus en détailSOMMAIRE DES DELIBERATIONS DU COMITE DU 13 SEPTEMBRE 2006
SOMMAIRE DES DELIBERATIONS DU COMITE DU 13 SEPTEMBRE 2006 1- Marché de services pour l entretien courant des cours d eau du Boulonnais (2007-2009)... page 2 2- Etude de définition des aménagements de prévention
Plus en détail