LES DEUX TYPES DE DIU :

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "LES DEUX TYPES DE DIU :"

Transcription

1 GENESIS DIU chez les nullipares : avantages/risques Depuis 2004, les dispositifs intra-utérins peuvent être utilisés chez l adolescente et la nullipare : les avantages en terme d efficacité contraceptive l emportent largement sur les risques, notamment de stérilité tubaire ou de grossesse extra-utérine. Le risque d infections sexuellement transmissibles est surtout lié au comportement sexuel de cette classe d âge plus jeune. Les dispositifs intra-utérins (DIU) font partie des contraceptions de longue durée d action, réversible, (LARC en anglais pour Long-Acting Reversible Contraception). Ils sont considérés comme très efficaces, sans aucun risque cancéreux ou cardio-vasculaire établi et permettent de s exonérer des contraintes liées à l observance de la prise. LES DEUX TYPES DE DIU : 1) Le DIU au cuivre Ce type de DIU est inséré dans la cavité utérine et assure une contraception à long terme réversible. Un DIU au cuivre se compose d un support en plastique radio-opaque, à bras latéraux flexibles, autour duquel s enroule un fil de cuivre. La surface de cuivre est de 375 ou 380 mm2 en fonction des dispositifs. Un fil de nylon attaché au support permet le contrôle de la présence du dispositif et le retrait. Plusieurs tailles sont disponibles afin de s adapter à la hauteur de la cavité utérine. La durée maximale d efficacité varie de 4 à 10 ans en fonction des dispositifs. Le mode d action principal du DIU au cuivre est un effet cytotoxique du cuivre sur les gamètes à l origine d une altération des spermatozoïdes, entrainant ainsi une inhibition de la fécondation. Le DIU agit également en provoquant une inflammation locale de l endomètre qui empêche l implantation dans l utérus de l ovocyte fécondé. 2) Le DIU au lévonorgestrel Deux DIU au lévonorgestrel sont actuellement disponibles : MIRENA (dosage en lévonorgestrel 52,00 mg) et JAYDESS (dosage en lévonorgestrel 13,5 mg). Ces dispositifs sont insérés dans la cavité utérine et assurent une contraception à long terme réversible. La durée maximale d efficacité varie de 3 à 5 ans. Le mécanisme d action des DIU au lévonorgestrel repose principalement sur l épaississement de la glaire cervicale prévenant le passage cervical des spermatozoïdes ; et l effet local du DIU sur l endomètre et prévention de la prolifération de l endomètre pouvant constituer un terrain hostile aux nombreux phénomènes qui interviennent dans le mécanisme de reproduction. Les 2 indications du MIRENA sont la contraception intra-utérine et les ménorragies fonctionnelles (après recherche et élimination de causes organiques décelables). Les RCP (résumés des caractéristiques du produit) de MIRENA et de JAYDESS précisent que ces DIU ne sont pas des méthodes contraceptives de première intention chez les femmes nullipares. La Commission de la Transparence a, quant à elle, situé MIRENA et JAYDESS en deuxième intention, après les DIU au cuivre (1). Efficacité des DIU : l indice de Pearl en utilisation correcte et régulière est de 0,6% pour le DIU au cuivre et de 0.2% pour MIRENA, 0.41% pour JAYDESS. Il passe à 0,8 % en utilisation courante. Pour comparaison, l indice de Pearl des pilules œstroprogestatives ou progestatives seules est de 0.3% en utilisation correcte et régulière et passe à 9% en utilisation courante (2). Risques liés au DIU : le DIU expose à des problèmes liés à l insertion (douleurs, contractions utérines et saignements), à des risques d expulsion, de perforation utérine et de migration ; et de manière plus fréquente, à des modifications du cycle menstruel (ménorragies, saignements irréguliers, douleurs et crampes au moment des règles avec le DIU au cuivre ; spotting, oligoménorrhée ou aménorrhée avec le DIU au lévonorgestrel). Les risques de maladie inflammatoire pelvienne (MIP) et de grossesse extra-utérine (GEU) sont rares. [caption id="attachment_3197" align="aligncenter" width="506"]

2 Schéma représentant un DIU dans la cavité utérine[/caption] PROBLÉMATIQUE CHEZ LES NULLIPARES : En France, le DIU n a reçu l autorisation de mise sur le marché pour les nullipares que depuis Dans ses recommandations de 2016, la HAS (Haute Autorité de Santé) précise bien que les DIU doivent être proposés à toutes les femmes, quelle que soit la parité (nullipares comprises), dès lors que les contre-indications à la pose, les risques infectieux, le risque de GEU et les situations à risque ont été écartés. En outre, l OMS (Organisation Mondiale de la Santé) considère que chez les femmes de moins de 20 ans, les avantages de cette méthode de contraception l emportent sur les risques théoriques ou avérés, tout en rappelant les risques d expulsion chez les nullipares et les risques d infections sexuellement transmissibles dus au comportement sexuel des classes d âge plus jeunes, avec notamment des risques de salpingites pouvant être responsables de stérilité tubaire (2). Pour autant, 10 ans après son autorisation de mise sur le marché en France, seulement 3% des nullipares portent un DIU d après l enquête FECOND publiée en En parallèle, le taux d IVG reste le plus élevé dans la tranche d âge des femmes de moins de 30 ans (3). De plus, on observe une demande de nouveaux modes de contraception de la part des jeunes depuis le scandale des pilules de troisième et quatrième génération en [caption id="attachment_3199" align="aligncenter" width="724"]

3 Évolution du taux de recours a l'ivg selon l'âge entre 1990 et 2013.[/caption] Force est de constater que les pratiques ont du mal à évoluer tant la norme contraceptive française est bien ancrée : recours aux préservatifs en début de vie sexuelle, utilisation de la pilule dès que la vie sexuelle se régularise puis adoption du DIU après avoir eu des enfants. Le groupe FECOND a montré, en 2013, que 41 % des gynécologues et 43% des médecins généralistes considèrent que le DIU est contre-indiqué chez les femmes nullipares, et que 56% des femmes interrogées pensent que cette méthode contraceptive n est pas adaptée aux femmes n ayant pas eu d enfants. Parmi les raisons évoquées par les médecins, on retrouve la crainte des GEU et des infections pelviennes. [caption id="attachment_3198" align="aligncenter" width="721"]

4 Méthodes de contraception utilisées en France en 2013 selon l'âge des femmes.[/caption]?vrai ou FAUX? Plus d infections génitales hautes chez les nullipares? La revue de Carr et al. en 2013 (4) conclut qu aucune étude n a démontré une association entre l utilisation des DIU et les infections génitales hautes, sauf pendant les 20 premiers jours après l insertion. C est le contact sexuel avec une personne porteuse d une infection sexuellement transmissible (IST) qui est responsable de l infection, que la femme soit porteuse d un DIU ou pas et qu elle soit nullipare ou pas. Ainsi, l examen clinique et un interrogatoire à la recherche de facteurs de risque d IST : âge inférieur à 25 ans et sexuellement active, nouveau partenaire sexuel dans les trois derniers mois, plus d un partenaire sexuel dans l année, avoir un partenaire sexuel qui a d autres partenaires sexuels, avoir des antécédents d IST, être en contact avec une personne atteinte d IST, prise d alcool ou de drogue et la mauvaise utilisation du préservatif, doivent orienter vers un dépistage de Chlamydiae Trachomatis et Gonocoque à réaliser avant ou au moment de la pose. Selon la HAS, le risque de MIP lié à la pose est avéré, sa survenue étant essentiellement limitée aux 3 semaines qui suivent l insertion

5 (niveau de preuve 2). Il pourrait être plus élevé pour les femmes ayant des facteurs de risque infectieux (notamment certaines IST, infection génitale haute en cours ou récente, âge < 25 ans, partenaires multiples) (niveau de preuve 4). Cet aspect souligne la nécessité de réaliser son insertion en respectant des conditions d hygiène rigoureuses et après évaluation du risque infectieux. CRAINTE VIS-À-VISDE LA FERTILITÉ ULTÉRIEURE? Dans l étude FECOND de 2010, 18% des femmes interrogées pensent que le DIU altère la fertilité. Nous constatons une diminution de la probabilité de son utilisation chez les femmes qui craignent que le DIU pourrait poser des problèmes de fertilité (OR = 0.3[ ]). L étude de Hubacher et al. de 2001 (5) comparant le taux d utilisation d un DIU chez une population de femmes nullipares infertiles avec occlusion tubaire et chez une population de femmes enceintes primipares retrouve des taux équivalents. L étude de Stoddard et al. en 2015 (6) portant sur 69 des femmes sexuellement actives de 18 à 35 ans n a pas mis en évidence de différence dans les taux de grossesse à 12 mois et le temps pour être enceinte après le retrait du DIU et l'arrêt des autres méthodes de contraception. Selon la HAS, aucun risque de stérilité tubaire n a été démontré, y compris chez les nullipares (niveau de preuve 3). Les délais de recouvrement de la fertilité ou de conception suite au retrait du DIU sont plus élevés que pour l utilisation des seules méthodes barrières, mais semblent comparables à ceux observés pour la contraception orale, y compris chez les nullipares (niveau de preuve 2). Risque de GEU augmenté? La méta-analyse de Xiong et al. de 1995 (7) portant sur 16 études cas témoin conclut à un risque de grossesse ectopique lors de l utilisation en cours de DIU équivalent à celui des femmes non enceintes en âge de procréer (RR : 1.06 ([0.91, 1.24]). Par contre, lorsque l on prend comme population témoin des femmes enceintes, le risque est fortement augmenté chez les patientes porteuses de DIU (RR : 10.6 [ ]). On pourrait donc en déduire que le DIU est un facteur de risque de GEU mais ces résultats mettent simplement en évidence le fait que le DIU prévient mieux des grossesses intrautérines qu extra-utérines. Une étude plus récente de 2014 faite à Shanghai par l équipe de Li et al. (8) nuance un peu ces premiers résultats car elle trouve un léger sur-risque de GEU chez les femmes ayant eu par le passé un DIU (OR : 1.87 [ ]) et ce quel que soit le groupe témoin (femmes enceintes ou non enceintes). Néanmoins, cette différence ne devient signifi cative que lorsque l utilisation du DIU a été supérieure à 8 ans. Par ailleurs, cette étude démontre également que l utilisation du DIU réduit le risque de GEU par rapport aux femmes sans aucune contraception (OR : 0.17 [ ]) mais lorsqu il y a échec du DIU et qu une grossesse survient alors le risque d avoir une grossesse ectopique est 21 fois plus élevé que chez les femmes sans contraception (21.08 [ ]). Pour Guillebaud (9), l hypothèse selon laquelle le DIU augmenterait le risque de GEU est un mythe étant donné l e cacité du DIU. En effet, si l on considère que sur 1000 femmes sans contraception qui ont des relations sexuelles, au bout d un an, il y a 800 grossesses (taux de fécondité de la population) et que la fréquence des GEU est spontanément de 2% en l absence de contraception : il y aura parmi les 800 grossesses 16 GEU. Sur 1000 femmes porteuses d un DIU, il y aura chaque année 20 grossesses. Parmi les 20 grossesses 10% seront des GEU, soit 2 grossesses. Par conséquent, une femme susceptible de souffrir d une GEU court 8 fois moins de risque en se faisant poser un DIU qu en n ayant pas de contraception. La HAS conclut également dans ce sens : étant donné la grande effcacité contraceptive des DIU, le risque de GEU est extrêmement faible et inférieur d un facteur 10 à celui associé à l absence de contraception. La littérature ne permet pas de conclure si le risque de GEU en cours d utilisation d un DIU est augmenté par comparaison aux autres méthodes contraceptives (niveau de preuve 3). Parmi les facteurs pronostiques accessibles au médecin avant la pose, les antécédents de GEU et de chirurgie tubaire sont associés au risque de GEU chez les femmes ayant un DIU (niveau de preuve 3). PLUS DE DIFFICULTÉS ET DE DOULEUR À LA POSE? La peur de la douleur lors de l insertion du DIU est un obstacle à l utilisation de cette méthode. La plupart des études s accordent à dire que la douleur est plus importante chez les nullipares que chez les multipares (10) (11). Néanmoins, aucune étude n a prouvé l efficacité des di érentes méthodes antalgiques utilisées, que ce soit les AINS (10), le misoprostol (12) ou le bloc paracervical de lidocaïne (13). En outre, il convient d utiliser des DIU de petite taille dont la pose semblerait plus facile et moins douloureuse.

6 Les malaises vagaux quant à eux ne semblent pas être plus fréquents chez les nullipares (14). Selon la HAS, l administration d antalgiques avant la pose doit être proposée, notamment chez une femme nullipare, dans la mesure où son risque de douleur est décrit comme plus élevé (niveau de preuve 2). PLUS D ÉCHEC DE POSE? Selon une étude américaine parue en 2015, le taux de succès lors de la première tentative de pose dew DIU est le même chez les nullipares et les femmes pares (95.8% versus 96.7%, p = 0.45) (15). PLUS D EXPULSION? Le risque d expulsion après la pose d un DIU chez les patientes nullipares est un sujet controversé. Une expulsion se produit pour environ 1 femme sur 20, et est plus courante dans la première année d utilisation et particulièrement dans les 3 mois suivant la pose. L étude de Tessa et al. en 2015 portant sur 5403 femmes retrouve un taux moyen d expulsion de 10.2% à 3 ans. Ce taux est moindre chez les femmes nullipares (8.4% versus 11.4% p < 0.001) mais uniquement pour les DIU au Levonorgestrel (16). Certaines études plus anciennes retrouvent au contraire un risque accru d expulsion chez les nullipares (17). PLUS DE RETRAIT POUR MAUVAISE TOLÉRANCE? La demande de retrait du DIU au cours des 12 premiers mois d utilisation est la même quel que soit l âge de la patiente. Par contre, sur une période de suivi de 37 mois, les jeunes fi lles âgées de 13 à 19 ans sont plus susceptibles de demander le retrait du DIU que les femmes âgées de 25 à 35 ans (18). EN PRATIQUE, VOICI CE QUE PRÉCONISE LA HAS DANS SES RECOMMANDATIONS DE 2016 CONCERNANT LA POSE D UN DIU, ET CE QUELLE QUE SOIT LA PARITÉ DES PATIENTES : Lorsque la pose d un DIU est envisagée, une grossesse, une MIP et une GEU doivent être écartées. En présence de facteurs de risque infectieux (IST ou pratique sexuelle à risque d IST à savoir patientes < 25 ans, patientes ayant eu plus d un partenaire durant les 12 derniers mois, patiente ayant un nouveau partenaire, patiente dont le partenaire habituel a d autres partenaires), des tests diagnostiques portant sur C. trachomatis et N. gonorrhoea sont recommandés avant la pose (19). Si les résultats ne sont pas disponibles avant la pose, une antibiothérapie prophylactique peut être envisagée (au moins pour couvrir C. trachomatis). La patiente devrait recevoir une documentation appropriée sur les conseils pré et post-pose, la procédure de pose et le type de dispositif inséré. La pose est également précédée d un examen gynécologique afin d estimer la taille, la forme et la position de l utérus, et si possible d une hystérométrie, afin d évaluer la hauteur de l utérus. Il est nécessaire de réaliser l insertion en respectant des conditions d hygiène rigoureuses. Il est recommandé d effectuer l insertion en première partie de cycle afin d éviter d insérer un DIU chez une femme qui pourrait être enceinte. Néanmoins, un DIU au cuivre peut être inséré à n importe quel moment du cycle menstruel si l on est raisonnablement certain que la femme n est pas enceinte. S il s agit d un DIU au lévonorgestrel, il peut être posé à tout moment dans les 7 jours qui suivent le début des règles et aucun autre moyen de contraception n est nécessaire. Néanmoins, il est possible de poser le DIU- LNG à tout moment du cycle si l on a de bonnes raisons de considérer qu elle n est pas enceinte. Si les règles remontent à plus de 7 jours, elle devra s abstenir de rapport sexuel ou avoir recours à un autre moyen de contraception pendant les 7 jours qui suivent. L administration d une antibioprophylaxie en relation avec la pose d un DIU n est pas recommandée en raison de l absence d efficacité des spécialités pharmaceutiques testées (20) (19). En revanche, l administration d antalgiques avant la pose peut être proposée, notamment chez une femme nullipare dans la mesure où son risque de douleur est décrit comme plus élevé que chez la femme multipare (19). Les consultations de suivi gynécologique sont programmées 1 à 3 mois après la pose puis 1 fois par

7 an, indépendamment d une demande particulière de la femme. L objectif de la première consultation de suivi est de s assurer que le DIU est bien toléré, qu il n a pas été expulsé et que sa pose n a pas provoqué d inflammation pelvienne. L auteur déclare ne pas avoir de liens d intérêt pour cet article 1.Haute Autorité de Santé. MIRENA 52mg (20 microgrammes/24 heures), dispositif intra-utérin B/1 dispositif (CIP: ). Avis de la commission de la transparence du 6 février Saint-Denis La Plaine: HAS; Organisation mondiale de la santé. Critères de recevabilité pour l adoption et l utilisation continue de méthodes contraceptives, 4e édition, Guide essentiel OMS de planification familiale. Genève: OMS; whqlibdoc.who.int/publications/2011/ _ fre.pdf. 3. Source DRESS 4. Carr S, Espey E.Intrauterine devices and pelvic inflammatory disease among adolescents. J Adolesc Health Off Publ Soc Adolesc Med Apr;52(4 Suppl):S Hubacher D, Lara-Ricalde R, Taylor DJ, Guerra-Infante F, Guzmán-Rodríguez R. Use of copper intrauterine devices and the risk of tubal infertility among nulligravid women. N Engl J Med Aug 23;345(8): Stoddard AM, Xu H, Madden T, Allsworth JE, Peipert JF. Fertility after intrauterine device removal: a pilot study. Eur J Contracept Reprod Health Care Off J Eur Soc Contracept Jun;20(3): Xiong X, Buekens P, Wollast E. IUD use and the risk of ectopic pregnancy: a meta-analysis of case-control studies. Contraception Jul;52(1): Li C, Zhao W-H, Meng C-X, Ping H, Qin G-J, Cao S-J, et al. Contraceptive Use and the Risk of Ectopic Pregnancy: A Multi-Center Case-Control Study. PloS One. 2014;9(12):e Guillebaud J, MacGregor A. Intrauterine devices. In: Contraception Your Questions Answered. 6th Edition. Churchill Livingstone; Hubacher D, Reyes V, Lillo S, Zepeda A, Chen P-L, Croxatto H. Pain from copper intrauterine device insertion: randomized trial of prophylactic ibuprofen. Am J Obstet Gynecol Nov;195(5): Bednarek PH, Creinin MD, Reeves MF, Cwiak C, Espey E, Jensen JT, et al. Prophylactic ibuprofen does not improve pain with IUD insertion: a randomized trial. Contraception Mar;91(3): Waddington A, Reid R. More harm than good: the lack of evidence for administering misoprostol prior to IUD insertion. J Obstet Gynaecol Can JOGC J Obstet Gynecol Can JOGC Dec;34(12): Mody SK, Kiley J, Rademaker A, Gawron L, Stika C, Hammond C. Pain control for intrauterine device insertion: a randomized trial of 1% lidocaine paracervical block. Contraception Dec;86(6): Aznar R, Reynoso L, Ley E, Gámez R, De León MD. Electrocardiographic changes induced by insertion of an intrauterine device and other uterine manipulations. Fertil Steril Jan;27(1): Teal SB, Romer SE, Goldthwaite LM, Peters MG, Kaplan DW, Sheeder J. Insertion characteristics of intrauterine devices in adolescents and young women: success, ancillary measures, and complications. Am J Obstet Gynecol Oct;213(4):515.e Madden T, McNicholas C, Zhao Q, Secura GM, Eisenberg DL, Peipert JF. Association of age and parity with intrauterine device expulsion. Obstet Gynecol Oct;124(4): Hubacher D. Copper intrauterine device use by nulliparous women: review of side effects. Contraception Jun;75(6 Suppl):S Aoun J, Dines VA, Stovall DW, Mete M, Nelson CB, Gomez-Lobo V. Effects of age, parity, and device type on complications and discontinuation of intrauterine devices. Obstet Gynecol Mar;123(3):

8 19. Agence nationale d accréditation et d évaluation en santé, Agence de sécurité sanitaire des produits de santé, Institut national de prévention et d éducation en santé. Stratégies de choix des méthodes contraceptives chez la femme. Recommandations pour la pratique clinique. Argumentaire. Saint-Denis La Plaine: ANAES; www. hassante.fr/portail/upload/ docs/application/pdf/ recommandations_ contraception_ vvd-2006.pdf. 20. Grimes DA, Schulz KF. Antibiotic prophylaxis for intrauterine contraceptive device insertion. Cochrane Database Syst Rev. 2001;(2):CD

ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG. Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité

ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG. Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité Hôpitaux Universitaires de Genève ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité Introduction (1) L IVG chirurgicale est

Plus en détail

Dispositif intra-utérin du postpartum (DIUPP) intégré aux services de santé maternelle Expérience programmatique de plusieurs pays

Dispositif intra-utérin du postpartum (DIUPP) intégré aux services de santé maternelle Expérience programmatique de plusieurs pays Dispositif intra-utérin du postpartum (DIUPP) intégré aux services de santé maternelle Expérience programmatique de plusieurs pays Qui trouvera ce document utile? Les décideurs politiques Les gestionnaires

Plus en détail

LA CONTRACEPTION SUR L INFORMATION REÇUE EN

LA CONTRACEPTION SUR L INFORMATION REÇUE EN LA CONTRACEPTION 1 SATISFACTION DES PATENTES SUR L INFORMATION REÇUE EN POST PARTUM INTRODUCTION Contexte : 2 Élargissement des compétences de SF (contraception & gynécologie de prévention) (1) Rôle dans

Plus en détail

Contraception après 40 ans

Contraception après 40 ans Contraception après 40 ans Stratégies de choix des méthodes contraceptives chez la femme. Recommandations pour la pratique clinique Décembre 2004. ANAES/AFSSAPS Un vaste choix contraceptif Contraception

Plus en détail

NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. JAYDESS 13,5 mg, système de diffusion intra-utérin. Lévonorgestrel

NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. JAYDESS 13,5 mg, système de diffusion intra-utérin. Lévonorgestrel NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR JAYDESS 13,5 mg, système de diffusion intra-utérin Lévonorgestrel Ce médicament fait l objet d une surveillance supplémentaire qui permettra l identification rapide

Plus en détail

LA RECHERCHE EN REVUE

LA RECHERCHE EN REVUE LA CONTRACEPTION AU CANADA : DES PREMIÈRES MÉTHODES AUX POSSIBILITÉS FUTURES La disponibilité de méthodes contraceptives sûres et efficaces a toujours été une question importante pour les Canadiens. Cependant,

Plus en détail

Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer

Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer DOCUMENT D INFORMATION POUR LES PROFESSIONNELS Projet de grossesse : informations, messages de prévention, examens à proposer Septembre 2009 DÉFINITION ET OBJECTIF Dès lors qu ils expriment un projet de

Plus en détail

SUTURE D EPISIOTOMIE ET PRISE EN CHARGE DE LA CICATRICE; RECOMMANDATIONS AUX PATIENTES

SUTURE D EPISIOTOMIE ET PRISE EN CHARGE DE LA CICATRICE; RECOMMANDATIONS AUX PATIENTES SUTURE D EPISIOTOMIE ET PRISE EN CHARGE DE LA CICATRICE; RECOMMANDATIONS AUX PATIENTES M. BERLAND Université Claude Bernard Lyon 1 Faculté de Médecine et de Maïeutique Lyon Sud Charles Mérieux 1 METHODES

Plus en détail

Effets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux

Effets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux Effets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux PF Plouin, ESH Hypertension Excellence Center, Hôpital Européen Georges Pompidou, Paris La prise en charge de l hypertendu l concerne

Plus en détail

info ROACCUTANE Brochure d'information sur la contraception destinée aux patientes traitées par Roaccutane Roaccutane

info ROACCUTANE Brochure d'information sur la contraception destinée aux patientes traitées par Roaccutane Roaccutane Roaccutane isotrétinoïne Brochure d'information sur la contraception destinée aux patientes traitées par Roaccutane info ROACCUTANE RM SM MANAGEMENT Programme de prévention de la grossesse SOMMAIRE 3.

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

Un avantage décisif pour la résection des polypes et des myomes. Système

Un avantage décisif pour la résection des polypes et des myomes. Système Un avantage décisif pour la résection des polypes et des myomes Système Nouvelle norme en résection hystéroscopique Truclear apporte une précision, une clarté et une efficacité sans précédents pour réséquer

Plus en détail

La déchirure. Les risques. Troubles périnéaux du post-partum. La déchirure

La déchirure. Les risques. Troubles périnéaux du post-partum. La déchirure Troubles périnéaux du post-partum La déchirure T. Linet La déchirure Les risques Entre 2 et 6 % de périnée complet mais TRES sous diagnostiqué car ± rupture du sphincter interne sur périnée semblant intact

Plus en détail

Communiqué de presse. Direction Communication Externe/Interne Sylvie Nectoux TEL : 01 44 34 65 73 Email : sylvie.nectoux@boehringeringelheim.

Communiqué de presse. Direction Communication Externe/Interne Sylvie Nectoux TEL : 01 44 34 65 73 Email : sylvie.nectoux@boehringeringelheim. Les données des études pivots de phase III STARTVerso démontrent l'efficacité du faldaprevir * dans des populations de patients difficiles à guérir telles que celles co-infectées par le VIH et celles avec

Plus en détail

La planification familiale pour les femmes et couples après une réparation de la fistule

La planification familiale pour les femmes et couples après une réparation de la fistule La planification familiale pour les femmes et couples après une réparation de la fistule Fistula Care à EngenderHealth 440 Ninth Avenue, 13th Floor New York, NY, USA 10001 Tel: 212-561-8000 E-mail: fistulacare@engenderhealth.org

Plus en détail

Contraception hormonale en périménopause l antidote à bien des maux

Contraception hormonale en périménopause l antidote à bien des maux L A C O N T R A C E P T I O N E N É V O L U T I O N Contraception hormonale en périménopause l antidote à bien des maux par Chantal Marquis «J ai 48 ans, j ai des chaleurs, je dors peu et j ai des saignements

Plus en détail

La mienne est. La mienne est. en comprimés

La mienne est. La mienne est. en comprimés La mienne est dans mon bras La mienne est au cuivre La mienne est en latex La mienne est sans ordonnance La mienne dure 3 ans La mienne n est pas contraignante La mienne est remboursée La mienne est en

Plus en détail

La planification familiale

La planification familiale La planification familiale après l avortement spontané ou provoqué Introduction Les grossesses non désirées sont l une des principales raisons pour lesquelles les femmes choisissent d avorter. Beaucoup

Plus en détail

Des soins après avortement : Amis des Jeunes. Cartes à conseils 1-6

Des soins après avortement : Amis des Jeunes. Cartes à conseils 1-6 Des soins après avortement : Amis des Jeunes Cartes à conseils 1-6 SAA: Avant l intervention Accueillir cordialement la cliente et la mettre à l aise Garantir la confidentialité et l intimité Prendre les

Plus en détail

L Incontinence Urinaire au FEMININ. Examen paraclinique. Résidu Post Mictionnel. Examen pelvien

L Incontinence Urinaire au FEMININ. Examen paraclinique. Résidu Post Mictionnel. Examen pelvien L Incontinence Urinaire au FEMININ Dr Isabelle Kaelin-Gambirasio Erika Vögele Dr Johanna Sommer Examen pelvien Inspection : Atrophie vulvovaginale Inflammation vaginale Pertes d urines à la toux Prolapsus

Plus en détail

Faut-il faire une corticothérapie prophylactique avant une césarienne élective pratiquée à 38 SA?

Faut-il faire une corticothérapie prophylactique avant une césarienne élective pratiquée à 38 SA? Faut-il faire une corticothérapie prophylactique avant une césarienne élective pratiquée à 38 SA? (césarienne élective = césarienne pratiquée "à froid", en dehors du travail) C Dageville réanimation néonatale,

Plus en détail

PRISE EN CHARGE DES LESIONS SPINCTERIENNES ANALES DU POST-PARTUM : DU CURATIF AU PREVENTIF

PRISE EN CHARGE DES LESIONS SPINCTERIENNES ANALES DU POST-PARTUM : DU CURATIF AU PREVENTIF PRISE EN CHARGE DES LESIONS SPINCTERIENNES ANALES DU POST-PARTUM : DU CURATIF AU PREVENTIF Laurent ABRAMOWITZ Unité de proctologie médico-chirurgicale Hôpital Bichat Claude Bernard 95, Rue de Passy 75016

Plus en détail

INTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE

INTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE INTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE Informations générales pour la convalescence Pour vous, pour la vie Ce feuillet est destiné à mieux vous renseigner sur les points à observer après une opération

Plus en détail

P.S.E. 1 ère situation d évaluation

P.S.E. 1 ère situation d évaluation Lycée X Ville Session 201 P.S.E. 1 ère situation d évaluation Première Bac Professionnel Spécialité du diplôme Académie de Nancy-Metz Durée : 55 minutes NOM :. Prénom :. NOTE : / 18 NOTE : / 09 FOLIO :

Plus en détail

Mais pourquoi je ne suis pas enceinte?

Mais pourquoi je ne suis pas enceinte? Mais pourquoi je ne suis pas? On a beau vouloir très fort un bébé, la nature ne nous obéit pas toujours au doigt et à l œil Ce qu il faut savoir pour être au top de sa fertilité et tomber plus facilement!...

Plus en détail

Directive clinique de consensus sur la dysménorrhée primaire

Directive clinique de consensus sur la dysménorrhée primaire DIRECTIVES CLINIQUES DE LA SOGC N o 169, décembre 2005 Directive clinique de consensus sur la dysménorrhée primaire CO-PRÉSIDENTES Guylaine Lefebvre, MD, FRCSC, Ottawa (Ont.) Odette Pinsonneault, MD, FRCSC,

Plus en détail

Migraines, céphalées et statut hormonal

Migraines, céphalées et statut hormonal Migraines, céphalées et statut hormonal Vincent Cahagne, service de neurologie et équipe mobile d accompagnement et de soins palliatifs, Chu Rennes Migraine et puberté Le début de la migraine Le début

Plus en détail

LA PROPOSITION DE LA VACCINATION ANTI-PAPILLOMAVIRUS: INFORMATIONS TRANSMISES ET VECU DE LA PROPOSITION

LA PROPOSITION DE LA VACCINATION ANTI-PAPILLOMAVIRUS: INFORMATIONS TRANSMISES ET VECU DE LA PROPOSITION LA PROPOSITION DE LA VACCINATION ANTI-PAPILLOMAVIRUS: INFORMATIONS TRANSMISES ET VECU DE LA PROPOSITION ETUDE QUALITATIVE REALISEE AUPRES DE MEDECINS GENERALISTES DU JURA ET DE COUPLES ADOLESCENTES/ REPRESENTANTS

Plus en détail

COMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE

COMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE COMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE D APRES «THROMBOTIC COMPLICATIONS OF MYELOPROLIFERATIVE NEOPLASMS : RISK ASSESSMENT AND RISK-GUIDED MANAGEMENT

Plus en détail

Impact de la publicité sur les professionnels

Impact de la publicité sur les professionnels Suivi pharmaceutique, Approche critique de l information, publicité et conflits d intérêts, 2 ème année MUP Impact de la publicité sur les professionnels Prof. Pascal BONNABRY Pharmacien-chef Pharmacie

Plus en détail

La mienne est. en comprimés

La mienne est. en comprimés La mienne est dans mon bras La mienne est au cuivre La mienne est en latex La mienne est La mienne sans ordonnance dure 3 ans La mienne n est La mienne est pas contraignante hebdomadaire La mienne est

Plus en détail

Réunion publique/téléconférence

Réunion publique/téléconférence Réunion publique/téléconférence Dorval Cornwall Kingston Watertown Oswego Burlington Rochester Kingston/Oswego Téléconférence: 1-877-413-4814 486 9841 (français) 447 9980 (anglais) Appeler entre 18h45-18h55

Plus en détail

Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire

Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire Sylvie CHABAUD Direction de la Recherche Clinique et de l Innovation : Centre Léon Bérard - Lyon Unité de Biostatistique

Plus en détail

Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon

Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice

Plus en détail

_GUIDE À L ATTENTION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ_

_GUIDE À L ATTENTION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ_ _GUIDE À L ATTENTION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ_ INTRODUCTION L accès à la contraception, sans autorisation parentale, est un droit pour les mineur(e)s. Néanmoins, dans la réalité, les jeunes ayant besoin

Plus en détail

PROTOCOLES DE SERVICES DE SR AU SENEGAL

PROTOCOLES DE SERVICES DE SR AU SENEGAL PROTOCOLES DE SERVICES DE SR AU SENEGAL PREFACE Le Sénégal, à l instar des autres pays de la communauté internationale, vise à atteindre les objectifs du millénaire pour le développement (OMD) surtout,

Plus en détail

Traiter la Fausse Couche avec des pilules: ce que vous devez savoir

Traiter la Fausse Couche avec des pilules: ce que vous devez savoir Traiter la Fausse Couche avec des pilules: ce que vous devez savoir Ce pamphlet contient des informations générales que vous devriez connaître avant de traiter une fausse couche avec du misoprostol. Quand

Plus en détail

Un test Pap pourrait vous sauver la vie

Un test Pap pourrait vous sauver la vie Un test Pap pourrait vous sauver la vie Un test Pap pourrait vous sauver la vie Vous avez 21 ans ou plus et êtes sexuellement active? Passez un test Pap! Si vous saviez qu un test Pap, qui prend 5 minutes,

Plus en détail

Les jeunes non mariés

Les jeunes non mariés Les jeunes non mariés et les grossesses non désirées Introduction Il est important de veiller à ce que les jeunes non mariés disposent d informations et de services de contraception. Les grossesses non

Plus en détail

Vertiges et étourdissements :

Vertiges et étourdissements : : comment être à la hauteur? Anthony Zeitouni, MD, FRCSC Présenté à la 71 e édition du Programme scientifique de l Association des médecins de langue française du Canada. Est-ce bien des vertiges? Il n

Plus en détail

Qu avez-vous appris pendant cet exposé?

Qu avez-vous appris pendant cet exposé? Qu avez-vous appris pendant cet exposé? Karl VINCENT, DC IFEC 2010 Diplôme Universitaire de Méthodes en Recherche Clinique Institut de Santé Publique d Epidémiologie et de développement ISPED Bordeaux

Plus en détail

Traitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse

Traitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt

Plus en détail

Lasik Xtra: Résultats cliniques. Dr Philippe Charvier Dr David Donate Thaëron Rozenn (optometriste) Lyon, France

Lasik Xtra: Résultats cliniques. Dr Philippe Charvier Dr David Donate Thaëron Rozenn (optometriste) Lyon, France Lasik Xtra: Résultats cliniques Dr Philippe Charvier Dr David Donate Thaëron Rozenn (optometriste) Lyon, France Introduction Lasik Xtra : Lasik combiné à un cross-linking cornéen accéléré Traitement de

Plus en détail

Équivalence et Non-infériorité

Équivalence et Non-infériorité Équivalence et Non-infériorité Éléments d Introduction Lionel RIOU FRANÇA INSERM U669 Mars 2009 Essais cliniques de supériorité Exemple d Introduction Données tirées de Brinkhaus B et al. Arch Intern Med.

Plus en détail

Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC)

Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Dr Jean-Marie Vailloud Cardiologue libéral/ salarié (CHU/clinique) Pas de lien d'intérêt avec une entreprise pharmaceutique Adhérent à l'association Mieux Prescrire

Plus en détail

Exploration et Prise en charge d un couple infertile

Exploration et Prise en charge d un couple infertile Exploration et Prise en charge d un couple infertile Florence LESOURD Pôle d Obstétrique, Gynécologie et Médecine de la Reproduction CHU Paule de Viguier - Toulouse DIU de Médecine de la Reproduction-Gynécologie

Plus en détail

La réadaptation professionnelle des travailleurs lombalgiques : Présentation d'un modèle canadien

La réadaptation professionnelle des travailleurs lombalgiques : Présentation d'un modèle canadien Hôpital Cochin Samedi 1 er avril 2006 Forum Saint Jacques La réadaptation professionnelle des travailleurs lombalgiques : Présentation d'un modèle canadien Dr Jean-Baptiste Fassier 1,2 Centre d Etude et

Plus en détail

La recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique

La recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique 2 èmes Assises de l Innovation Thérapeutique Paris, 05-11-2014 La recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique Pr. Jean-François DHAINAUT Président du Groupement Inter-régional de la Recherche Clinique

Plus en détail

41% LA PRISE DE DÉCISION DES MÉNAGES ET L UTILISATION DE LA CONTRACEPTION EN ZAMBIE. Note de recherche

41% LA PRISE DE DÉCISION DES MÉNAGES ET L UTILISATION DE LA CONTRACEPTION EN ZAMBIE. Note de recherche Note de recherche NOVEMBRE 2013 PAR KATE BELOHLAV ET MAHESH KARRA LA PRISE DE DÉCISION DES MÉNAGES ET L UTILISATION DE LA CONTRACEPTION EN ZAMBIE Les besoins non satisfaits en planification familiale correspondent

Plus en détail

Indications de la césarienne programmée à terme

Indications de la césarienne programmée à terme Indications de la césarienne programmée à terme Janvier 2012 Quelles sont les indications de la césarienne programmée? Utérus cicatriciel Transmissions mère-enfant d infections maternelles Grossesse gémellaire

Plus en détail

Estimations définitives des prix pour les bobines d acier laminé à chaud européens, reconnues par le secteur

Estimations définitives des prix pour les bobines d acier laminé à chaud européens, reconnues par le secteur Estimations définitives des prix pour les bobines d acier laminé à chaud européens, reconnues par le secteur Marchés concernés Rejoignez la tendance Si vous êtes activement impliqué sur le marché des tôles

Plus en détail

Modèle de budget mensuel

Modèle de budget mensuel Modèle de budget mensuel Ce modèle de budget a été créé pour vous aider à vous fixer un budget adapté à votre situation. Que vous épargniez en vue de votre mariage ou de l arrivée d un enfant, établir

Plus en détail

QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE?

QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE? QU EST-CE QUE LA PROPHYLAXIE? TABLES DES MATIÈRES Publié par la Fédération mondiale de l hémophilie (FMH) Fédération mondiale de l hémophilie, 2014 La FMH encourage la traduction et la redistribution de

Plus en détail

Une étude de différentes analyses réalisées par le BIT

Une étude de différentes analyses réalisées par le BIT Association internationale de la sécurité sociale Quinzième Conférence internationale des actuaires et statisticiens de la sécurité sociale Helsinki, Finlande, 23-25 mai 2007 Comparaison des hypothèses

Plus en détail

Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères. Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D.

Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères. Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D. Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D. Introduction Incidence : 0,5 à 3 % Importance de la reconnaissance et d un traitement

Plus en détail

Nouveaux Anticoagulants. Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV

Nouveaux Anticoagulants. Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV Nouveaux Anticoagulants Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV Plan Petit rappel d hémostase Anticoagulant oraux classiques Les nouveaux anticoagulants (NAC) Dosage? Comment passer de l'un à l'autre

Plus en détail

NAVELBINE voie orale

NAVELBINE voie orale DENOMINATION DU MEDICAMENT & FORME PHARMACEUTIQUE NAVELBINE voie orale CARACTERISTIQUES Dénomination commune : vinorelbine Composition qualitative et quantitative : Statut : A.M.M. A.T.U. Classe ATC :

Plus en détail

DIU DE REEDUCATION PELVI-PERINEALE. Responsables de l enseignement :

DIU DE REEDUCATION PELVI-PERINEALE. Responsables de l enseignement : DIU de rééducation pelvi-périnéale DIU DE REEDUCATION PELVI-PERINEALE Responsables de l enseignement : Pr. Gérard AMARENCO (UPMC), Pr. Michel COSSON (CHU Lille), Pr. Gilberte ROBAIN (UPMC) 1. Cible La

Plus en détail

Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014

Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes

Plus en détail

LE RÉSEAU INTERNATIONAL D IMPLANTATION D ENTREPRISES. Philippe CHAMPEMOND Directeur Adjoint Erai Chine S IMPLANTER EN CHINE STRATEGIES & SOLUTIONS

LE RÉSEAU INTERNATIONAL D IMPLANTATION D ENTREPRISES. Philippe CHAMPEMOND Directeur Adjoint Erai Chine S IMPLANTER EN CHINE STRATEGIES & SOLUTIONS LE RÉSEAU INTERNATIONAL D IMPLANTATION D ENTREPRISES Philippe CHAMPEMOND Directeur Adjoint Erai Chine S IMPLANTER EN CHINE STRATEGIES & SOLUTIONS PEKIN TOKYO SHANGHAI NEW DELHI AHMEDABAD BANGALORE SHENZHEN

Plus en détail

Cas clinique n 1. Y-a-t-il plusieurs diagnostics possibles? Son HTA a t elle favorisé ce problème?

Cas clinique n 1. Y-a-t-il plusieurs diagnostics possibles? Son HTA a t elle favorisé ce problème? Cas clinique n 1 Michel que vous suivez de longue date a l impression depuis quelques jours, d entendre des battements irréguliers le soir en se couchant ; il va parfaitement bien par ailleurs et rapporte

Plus en détail

Revue des données probantes l utilité et les limites des différentes approches

Revue des données probantes l utilité et les limites des différentes approches Revue des données probantes l utilité et les limites des différentes approches LES REVUES SYSTÉMATIQUES Projet financé par l Agence de la santé publique du Canada Affilié à l Université McMaster Donna

Plus en détail

Impact on revenue requirements no Description (000$)

Impact on revenue requirements no Description (000$) IMPACT OF THE CHANGE IN COST OF GAS ON THE REVENUE REQUIREMENT RESULTING FROM THE 2010 VOLUMES COMPONENTS: Transportation, load balancing and commodity 2010 RATE CASE Impact on revenue Line requirements

Plus en détail

Extrait des Mises à jour en Gynécologie Médicale

Extrait des Mises à jour en Gynécologie Médicale COLLÈGE NATIONAL DES GYNÉCOLOGUES ET OBSTÉTRICIENS FRANÇAIS Président : Professeur J. Lansac Extrait des Mises à jour en Gynécologie Médicale Volume 2006 publié le 29.11.2006 TRENTIÈMES JOURNÉES NATIONALES

Plus en détail

IST et SIDA : s'informer pour se protéger!

IST et SIDA : s'informer pour se protéger! IST et SIDA : s'informer pour se protéger! Tous concernés! De quoi s agit-il? Les Infections Sexuellement Transmissibles (IST) sont des infections dues à des virus, des bactéries, des parasites ou des

Plus en détail

Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire

Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence

Plus en détail

Le dispositif de la maladie imputable au service

Le dispositif de la maladie imputable au service LA QUESTION DE L IMPUTABILITÉ AU SERVICE DES MALADIES RÉSULTANT DE LA FRAGILITÉ PSYCHOLOGIQUE D UN FONCTIONNAIRE EN DEHORS DE TOUTE FAUTE DE L EMPLOYEUR PUBLIC Le dispositif de la maladie imputable au

Plus en détail

F us u ses c ouc u he h s s po p nt n a t né n es J. L J. an sac CHU H T ou

F us u ses c ouc u he h s s po p nt n a t né n es J. L J. an sac CHU H T ou Fausses couches spontanées J Lansac CHU Tours Définition Avortement : expulsion produit de conception avant 22SA ou enfant

Plus en détail

Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :

Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé

Plus en détail

Les grandes études de télémédecine en France

Les grandes études de télémédecine en France Les grandes études de télémédecine en France Optimisation de la Surveillance ambulatoire des Insuffisants CArdiaques par Télécardiologie De Midi-Pyrénées au Sud de la France M Galinier, A Pathak Pôle Cardio-Vasculaire

Plus en détail

«Quelle information aux patients en recherche biomédicale? Quels enseignements en retirer pour la pratique quotidienne?»

«Quelle information aux patients en recherche biomédicale? Quels enseignements en retirer pour la pratique quotidienne?» «Quelle information aux patients en recherche biomédicale? Quels enseignements en retirer pour la pratique quotidienne?» Dr Adeline Paris Unité de Pharmacologie Clinique Centre d Investigation Clinique

Plus en détail

ÉVALUATION ET AMÉLIORATION DES PRATIQUES. Développement professionnel continu. Simulation en santé. Fiche technique méthode

ÉVALUATION ET AMÉLIORATION DES PRATIQUES. Développement professionnel continu. Simulation en santé. Fiche technique méthode ÉVALUATION ET AMÉLIORATION DES PRATIQUES Développement professionnel continu Simulation en santé Fiche technique méthode Cette fiche technique décrit la participation des professionnels à une session de

Plus en détail

ETUDE DE MARCHE : LA CONTRACEPTION

ETUDE DE MARCHE : LA CONTRACEPTION ETUDE DE MARCHE : LA CONTRACEPTION INTRODUCTION Autrefois, l'avortement était prohibé par l'apanage des familles nombreuses et par l'influence de l'église qui classaient la contraception au rang de délit.

Plus en détail

Sommeil et sport Dr. Arnaud PRIGENT (Pneumologue à St LAURENT) sport et sommeil 01/06/2010

Sommeil et sport Dr. Arnaud PRIGENT (Pneumologue à St LAURENT) sport et sommeil 01/06/2010 Sommeil et sport Structure du sommeil Au cours du sommeil, on repère 2 principaux types de sommeil : Le sommeil lent. Le sommeil paradoxal. Processus de régulation 3 processus: - circadienne (processus

Plus en détail

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes

Plus en détail

DÉTERMINANTS COMPORTEMENTAUX DE LA SANTÉ SEXUELLE ET REPRODUCTIVE DES JEUNES EN MILIEU URBAIN

DÉTERMINANTS COMPORTEMENTAUX DE LA SANTÉ SEXUELLE ET REPRODUCTIVE DES JEUNES EN MILIEU URBAIN DÉTERMINANTS COMPORTEMENTAUX DE LA SANTÉ SEXUELLE ET REPRODUCTIVE DES JEUNES EN MILIEU URBAIN Analyse secondaire des données des enquêtes démographiques et de santé réalisées au Bénin et à Madagascar Avril

Plus en détail

Césarienne pour toutes

Césarienne pour toutes Césarienne pour toutes Méthodologie Revue de la littérature : - PUBMED de 2003 à nos jours - Mots clefs: urinary incontinence AND cesarean section (210 publications) fecal incontinence AND cesarean section

Plus en détail

Evidence-based medicine en français

Evidence-based medicine en français Evidence-based medicine en français MÉDECINE FACTUELLE (Office de la langue française) Médecine fondée sur des faits démontrés Médecine fondée sur des preuves Médecine fondée sur des données probantes

Plus en détail

TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES

TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES Classement NABM : non inscrit code : non codé DÉCEMBRE 2006 Service évaluation des actes professionnels

Plus en détail

ÉVOLUTION DE L'ACCIDENTALITÉ ROUTIÈRE DANS LE DÉPARTEMENT DE LA HAUTE-VIENNE Valeurs cumulées sur les 12 derniers mois avec courbe de tendance

ÉVOLUTION DE L'ACCIDENTALITÉ ROUTIÈRE DANS LE DÉPARTEMENT DE LA HAUTE-VIENNE Valeurs cumulées sur les 12 derniers mois avec courbe de tendance ÉVOLUTION DE L'ACCIDENTALITÉ ROUTIÈRE DANS LE DÉPARTEMENT DE LA HAUTE-VIENNE Valeurs cumulées sur les 12 derniers mois avec courbe de tendance Définition Un accident corporel (mortel ou non mortel) de

Plus en détail

CEPHALEES POST-BRECHE DURALE. Post Dural Puncture Headache (PDPH)

CEPHALEES POST-BRECHE DURALE. Post Dural Puncture Headache (PDPH) CEPHALEES POST-BRECHE DURALE Post Dural Puncture Headache (PDPH) G. Buzançais Dr E. Morau 6 Mars 2013 Plan Introduction Physiopathologie Traitements Conclusion Définitions Brèche durale Ponction de dure-mère

Plus en détail

LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS

LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines

Plus en détail

Votre Réseau est-il prêt?

Votre Réseau est-il prêt? Adapter les Infrastructures à la Convergence Voix Données Votre Réseau est-il prêt? Conférence IDG Communications Joseph SAOUMA Responsable Offre ToIP Rappel - Définition Voix sur IP (VoIP) Technologie

Plus en détail

L addictologue et la cigarette électronique

L addictologue et la cigarette électronique L addictologue et la cigarette électronique Dr Anne BORGNE Groupe HUPSSD RESPADD THS 2013 Biarritz UN PRODUIT Fonctionnement du «vapoteur personnel» Evolution des matériels Les e-liquides Liquide vaporisé

Plus en détail

Révision des descriptions génériques Comment monter un dossier?

Révision des descriptions génériques Comment monter un dossier? DISPOSITIFS MEDICAUX Révision des descriptions génériques Comment monter un dossier? Guide pour le dossier déposé par les fabricants/distributeurs Adopté en séance de la CEPP* le 13 juillet 2005 *CEPP

Plus en détail

Tests de comparaison de moyennes. Dr Sahar BAYAT MASTER 1 année 2009-2010 UE «Introduction à la biostatistique»

Tests de comparaison de moyennes. Dr Sahar BAYAT MASTER 1 année 2009-2010 UE «Introduction à la biostatistique» Tests de comparaison de moyennes Dr Sahar BAYAT MASTER 1 année 2009-2010 UE «Introduction à la biostatistique» Test de Z ou de l écart réduit Le test de Z : comparer des paramètres en testant leurs différences

Plus en détail

1 ère manche Questions fermées

1 ère manche Questions fermées Quiz VIH 2011 1 ère manche Questions fermées Crips Ile-de-France / Mise à jour : août 2015 Thème : Dépistage Un test VIH négatif indique toujours que la personne qui a fait le test n est pas contaminée

Plus en détail

Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes

Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données

Plus en détail

Comment devenir référent? Comment le rester?

Comment devenir référent? Comment le rester? Comment devenir référent? Comment le rester? Patrick CHOUTET Service des Maladies infectieuses CHU Bretonneau Tours RICAI décembre 2005 Quels enjeux? autres que le pouvoir Total Outpatient antibiotic use

Plus en détail

L endométriose. souvent méconnue. Brochure d information destinée aux femmes atteintes et aux personnes

L endométriose. souvent méconnue. Brochure d information destinée aux femmes atteintes et aux personnes L endométriose une maladie gynécologique évolutive, souvent méconnue Brochure d information destinée aux femmes atteintes et aux personnes intéressées Groupe d experts de l endométriose de la Société d

Plus en détail

La raison d être des systèmes d information

La raison d être des systèmes d information La raison d être des systèmes d information 23 ème Séminaire en sciences pharmaceutiques Pourrait-on vivre sans? 1 Enjeux Processus de soins très complexes et fortement basés sur la fiabilité humaine Suivi

Plus en détail

Vaccination contre la grippe : enjeux pour les infirmières et les infirmiers

Vaccination contre la grippe : enjeux pour les infirmières et les infirmiers Série de Webinaires de l AIIC : Progrès de la pratique Vaccination contre la grippe : enjeux pour les infirmières et les infirmiers Caroline Quach Pédiatre microbiologiste-infectiologue, Hôpital de Montréal

Plus en détail

Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence

Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence On pose fréquemment le diagnostic de migraine sévère à l urgence. Bien que ce soit un diagnostic commun,

Plus en détail

Déclenchement du travail

Déclenchement du travail N 296, septembre 2013 (remplace n 107, août 2001) Déclenchement du travail La présente directive clinique a été rédigée par le comité de pratique clinique - obstétrique, analysée par les comités consultatifs

Plus en détail

J. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1)

J. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1) J. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1) (1) Pôle d Imagerie, service de Radiologie, CHU Caen (2) Pôle Cardio-thoracique, service de Chirurgie

Plus en détail

Controverse UDM télésurveillée Pour. P. Simon Association Nationale de Télémédecine

Controverse UDM télésurveillée Pour. P. Simon Association Nationale de Télémédecine Controverse UDM télésurveillée Pour P. Simon Association Nationale de Télémédecine Controverse Peut-on être en 2013 opposé au développement de la télémédecine? Pourquoi les patients en insuffisance rénale

Plus en détail

19 thèmes dans 10 villes

19 thèmes dans 10 villes SATISFAIRE À VOS OBLIGATION DE DPC FACILEMENT GRÂCE AU CNGOF DPC réalisés par le CNGOF et financée par l Agrément CNGOF : 11 75 32 07 175 - FMC 100 098 Indemnité de 345 par jour et prise en charge hôtellerie

Plus en détail

PLANIFICATION FAMILIALE 5

PLANIFICATION FAMILIALE 5 PLANIFICATION FAMILIALE 5 El-Arbi Housni Le Programme National de Planification Familiale a été établi au Maroc sous l'entière responsabilité du ministère de la Santé en 1966. Ce programme a gagné beaucoup

Plus en détail

Modalités d évaluation en Simulation

Modalités d évaluation en Simulation Modalités d évaluation en Simulation Définition de l évaluation n Evaluation en pédagogie = «analyse systémique de la qualité de l enseignement et de l apprentissage» (Mac Dougall 2010) Le cercle vertueux

Plus en détail