Les probabilités d une autre hausse de taux directeurs canadiens dès octobre ont diminué

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Les probabilités d une autre hausse de taux directeurs canadiens dès octobre ont diminué"

Transcription

1 GAGNANT DU TITRE DU MEILLEUR PRÉVISIONNISTE - COMMUNIQUÉ HEBDOMADAIRE Les probabilités d une autre hausse de taux directeurs canadiens dès octobre ont diminué # BEST OVERALL FORECASTER - FAITS SAILLANTS ff États-Unis : la consommation réelle a diminué en août. ff La confiance des ménages américains a diminué en septembre selon l indice du Conference Board. ff Canada : le PIB réel par industrie est demeuré pratiquement inchangé en juillet. À SURVEILLER ff Les ouragans Harvey et Irma ont probablement affecté la création d emplois. ff Canada : le solde commercial pourrait légèrement s améliorer en août. ff Canada : la tendance haussière de l emploi devrait se poursuivre en septembre. MARCHÉS FINANCIERS ff Les propositions de réforme fiscale aux États-Unis relancent l optimisme. ff Stephen Poloz refroidit les anticipations de hausse de taux en octobre. ff Le dollar canadien est affaibli par les doutes quant aux prochaines hausses de taux directeurs. TABLE DES MATIÈRES Statistiques clés de la semaine... 2 États-Unis, Canada À surveiller cette semaine... 4 États Unis, Canada, Outre-mer Marchés financiers... 3 Indicateurs économiques de la semaine... 6 Tableaux Indicateurs économiques... 8 Principaux indicateurs financiers...0 François Dupuis, vice-président et économiste en chef Mathieu D Anjou, économiste principal Benoit P. Durocher, économiste principal Francis Généreux, économiste principal Jimmy Jean, économiste principal Hendrix Vachon, économiste principal, Études économiques : ou , poste desjardins.economie@desjardins.com desjardins.com/economie NOTE AUX LEC TEURS : Pour respecter l usage recommandé par l Office québécois de la langue française, nous employons dans les textes et les tableaux les symboles k, M et G pour désigner respectivement les milliers, les millions et les milliards. MISE EN GARDE : Ce document s appuie sur des informations publiques, obtenues de sources jugées fiables. Le Mouvement des caisses ne garantit d aucune manière que ces informations sont exactes ou complètes. Ce document est communiqué à titre informatif uniquement et ne constitue pas une offre ou une sollicitation d achat ou de vente. En aucun cas, il ne peut être considéré comme un engagement du Mouvement des caisses et celui-ci n est pas responsable des conséquences d une quelconque décision prise à partir des renseignements contenus dans le présent document. Les prix et les taux présentés sont indicatifs seulement parce qu ils peuvent varier en tout temps, en fonction des conditions de marchés. Les rendements passés ne garantissent pas les performances futures, et les Études économiques du Mouvement des caisses n assument aucune prestation de conseil en matière d investissement. Les opinions et les prévisions figurant dans le document sont, sauf indication contraire, celles des auteurs et ne représentent pas la position officielle du Mouvement des caisses. C opyright 207, Mouvement des caisses. Tous droits réservés.

2 Statistiques clés de la semaine ÉTATS-UNIS ff La consommation réelle a diminué de 0, % en août après une hausse de % en juillet. C est la première baisse mensuelle de la consommation réelle depuis janvier. Une partie de cette faiblesse provient de l impact du passage de l ouragan Harvey au Texas. On remarque ainsi une chute de % de la consommation de biens durables, incluant une baisse de 2,8 % du côté du secteur automobile. Les biens non durables ont enregistré une diminution de %, tandis que la consommation de services a augmenté de 0, %. Le déflateur des dépenses de consommation a augmenté de %. En variation annuelle, il est demeuré à,4 %. La progression du déflateur qui exclut les aliments et l énergie a cependant ralenti de,4 % à %. ff Le PIB réel par industrie affiche une croissance mensuelle de % en juillet, après des hausses de % en mai et de % en juin. Même si le troisième trimestre commence sur une note décevante, la forte progression du PIB réel par industrie au cours des mois précédents confère un acquis de croissance appréciable pour la période. Si l on tient compte en plus de gains potentiels d environ % pour les mois d août et de septembre, l ensemble du troisième trimestre pourrait se solder par une croissance entre % et 2,5 %. Il s agit certes d un pronostic un peu plus faible que nous le pensions initialement, mais cela demeure un résultat très satisfaisant. ff La confiance des consommateurs s est détériorée en septembre selon l indice du Conference Board après une légère hausse en août. L indice est passé de 2 en juillet à 2 en août puis à 9,8 en septembre. ff Pour la première fois depuis la mi 206, les ventes de maisons individuelles neuves ont diminué pendant deux mois consécutifs. Après une baisse de 5,5 % en juillet, elles ont reculé de 3,4 % en août. Le niveau est tombé à unités, le plus bas en 207. À part une stagnation observée dans le Midwest, toutes les régions affichent une baisse des ventes. Toutefois, avec une contraction de 4,7 %, il semble que le sud des États-Unis ait subi les effets du passage de l ouragan Harvey au Texas. ff Le nombre de salariés a augmenté de 0, % en juillet, ce qui correspond à un gain de postes. Il s agit d un résultat similaire à celui de l enquête effectuée auprès de la population active, qui affichait une hausse de emplois (en excluant les travailleurs autonomes et le secteur agricole) durant le mois. La variation annuelle de la rémunération hebdomadaire moyenne est passée de % à,8 %. Exprimée en termes réels, la croissance annuelle de la rémunération s élève à %, soit un niveau inégalé depuis juin 205. Benoit P. Durocher, économiste principal ff L indice S&P/Case-Shiller du prix des maisons existantes dans les 20 principales villes a affiché une variation mensuelle plus forte que prévu en juillet. Le gain a été de 5 %. Au cours des mois de juillet des années précédentes, les gains tournaient davantage autour de %. La variation annuelle de l indice est passée de 5,65 % à 5,8 %. ff Comme prévu, les nouvelles commandes de biens durables ont augmenté de,7 % en août. Elles ont été appuyées par un gain de 44,8 % du côté de l aviation civile. On observe aussi une croissance de % du côté de l automobile. Excluant les transports, une hausse de % a été enregistrée en août. Les nouvelles commandes de biens d investissement excluant la défense et l aviation ont augmenté de 0,9 %. ff La troisième estimation des comptes nationaux a amené la croissance trimestrielle annualisée du PIB réel à passer de 3,0 % à 3, %. Rappelons que la première estimation était de 2,6 %. Francis Généreux, économiste principal L acquis de croissance s élève à près de % pour le troisième trimestre de 207 PIB réel par industrie En G$ de Moyennes trimestrielles JANV. 205 AVR. JUIL. OCT. JANV. 206 AVR. JUIL. OCT. JANV. 207 AVR. JUIL. Sources : Statistique Canada et, Études économiques 2

3 Marchés financiers Stephen Poloz signale des hausses de taux «prudentes» La poursuite de l affrontement verbal entre la Corée du Nord et les États Unis s est jumelée à l incertitude politique en pour nuire aux Bourses mondiales lundi. Toutefois, la Bourse américaine a répertorié des gains à presque chaque séance à partir de mardi. Le S&P 500 a ainsi établi un nouveau sommet, à 2 55 points. Donald Trump et le parti républicain ont effectué une nouvelle annonce quant au projet de réforme budgétaire. Même si plusieurs détails importants demeurent vagues, le simple fait que la réforme budgétaire revienne à l avant-scène est vu d un bon œil par les marchés. Au Canada, le S&P/TSX a connu une autre bonne semaine, la Bourse canadienne semblant revitalisée par l ascension du prix du pétrole, qui s est poursuivie jusqu à jeudi. GRAPHIQUE Marchés boursiers Indice Indice S&P 500 (gauche) Le regain d optimisme sur les marchés boursiers s est jumelé au discours de la présidente de la Réserve fédérale (Fed), Janet Yellen, pour entraîner les taux obligataires américains vers le haut. Janet Yellen a réitéré que la Fed étudiait de près les causes expliquant la faiblesse de l inflation, mais elle a aussi mis en garde contre les risques qu impliquerait une approche trop attentiste. Au Canada, le discours de Stephen Poloz a fortement refroidi les ardeurs des investisseurs qui s attendaient à une autre hausse de taux de la Banque du Canada (BdC) en octobre. Il a indiqué que la BdC s attendait à ce que le momentum économique canadien ralentisse, et qu elle ajusterait sa politique monétaire de manière prudente. Les marchés ont décalé leurs anticipations à décembre pour la prochaine hausse des taux directeurs canadiens. Les données décevantes du PIB ont consolidé le mouvement vendredi. Le dollar américain est demeuré sur une bonne lancée en début de semaine, aidé par le discours de Yellen et le projet de réforme budgétaire. Les résultats décevants du parti d Angela Merkel aux élections allemandes, avec la montée de l extrême droite, ont pesé sur l euro en début de semaine. La devise commune valait environ,8 $US vendredi après s être approchée de,7 $ US les jours précédents. La remontée des prix du pétrole a limité la dépréciation du dollar canadien contre la devise américaine en début de semaine. Le discours tenu par le gouverneur de la BdC mercredi a néanmoins pesé plus lourd sur la devise, ce qui a ramené le taux de change aux environs de 0 $ US (,25 $ CAN/$). S&P/TSX (droite) Sources : Datastream et, Études économiques GRAPHIQUE 2 Marchés obligataires Taux de dix ans En points de % En % 2,4 2,3-0, - 2, , Écart (gauche) États-Unis (droite) Canada (droite) Sources : Datastream et, Études économiques GRAPHIQUE 3 Marchés des devises $ US/$ CAN $ US/ 3,2 2,20,9 Jimmy Jean, CFA, économiste principal Hendrix Vachon, économiste principal 0,8 0,79 0, , Dollar canadien (gauche) Euro (droite) Sources : Datastream et, Études économiques 3

4 À surveiller ÉTATS-UNIS LUNDI 2 oct. - Septembre MERCREDI 4 oct. - Septembre JEUDI 5 oct. - Juillet 58,0 57,7 58,8 55,5 55,3 55,3 G$ US -42,8-42,6-43,7 VENDREDI 6 oct. - Septembre Indice ISM manufacturier (septembre) L ISM manufacturier a atteint en août son plus haut niveau depuis avril 20. Il est ainsi passé de 56,3 à 58,8. Après un tel bond, on s attend à une légère baisse pour le mois de septembre. Les niveaux des indices manufacturiers régionaux suggèrent que l ISM pourrait passer sous la barre de 58,0. De plus, il n est pas exclu que les ouragans qui ont frappé le sud des États-Unis aient un effet négatif temporaire sur l indice. Ainsi, l indice devrait passer à 57,7, ce qui demeure au-dessus de la moyenne observée jusqu à maintenant en 207. Indice ISM non manufacturier (septembre) L ISM non manufacturier a aussi connu une bonne amélioration au cours du mois d août. Il est passé d un récent creux de 53,9 à 55,3. Cela reste en dessous de la tendance récente. On s attend à ce que l indice demeure essentiellement au même niveau en septembre. Il y a cependant un risque à la baisse amené par le passage des ouragans. Balance commerciale (août) À cause d une baisse un peu plus prononcée des exportations que des importations, la balance commerciale américaine s est légèrement détériorée en juillet. Une amélioration est cependant attendue pour le mois d août. Les données préliminaires du commerce de biens font état d une hausse de % des exportations alors que les importations ont diminué de %. Le déficit devrait donc passer de 43,7 G$ US à 42,6 G$ US. Création d emplois selon les entreprises (septembre) Après une moyenne de embauches en juin et en juillet, la création d emplois a ralenti en août, passant à Cette baisse de cadence survient souvent au cours des mois d août, mais comme dans les années passées, les révisions pourraient relever ce résultat. On s attend cependant à une autre diminution pour le mois de septembre. Le passage de l ouragan Harvey au Texas, après que l enquête du mois d août sur l emploi ait été réalisée, aura probablement des conséquences négatives sur les embauches de septembre. De plus, puisque le passage d Irma en Floride s est effectué au cours du week end précédant l enquête de septembre, les données concernant cet État risquent aussi d être lourdement affectées. On a aussi pu remarquer un niveau plus élevé des demandes hebdomadaires d assurancechômage tout au long du mois ainsi qu une baisse de la confiance des ménages envers le marché du travail. En 2005, Katrina et les autres ouragans qui l ont suivie avaient amené les embauches à passer d une moyenne de au cours des trois mois précédents à en septembre et à en octobre. Pour septembre 207, on s attend à ce que la création d emplois ralentisse à Vu les circonstances, la marge d erreur sur cette prévision est particulièrement grande. De son côté, le taux de chômage pourrait passer à 4,3 %. 4

5 JEUDI 5 oct. - Juillet VENDREDI 6 oct. - Septembre G$ ,85-3, Commerce international de marchandises (août) Une fois corrigés des fluctuations saisonnières et exprimés en dollars canadiens, les prix des matières premières ont augmenté de % en août grâce à un gain de 2, % au sein des biens énergétiques. Cela devrait gonfler la valeur des exportations durant le mois. De plus, les données américaines indiquent que la production du secteur de l automobile a rebondi de 2 % en août. Si l on tient compte de la tendance haussière observée dans la plupart des autres secteurs, l ensemble des exportations de marchandises devrait augmenter. Par contre, les importations devraient reprendre le chemin de la croissance en raison des effets positifs de la vitalité de la demande intérieure. Il est toutefois prévu que la progression des importations sera légèrement inférieure à celle des exportations, ce qui favorisera une certaine amélioration du solde commercial. Enquête sur la population active (septembre) Considérant la progression soutenue de l économie canadienne au cours des derniers mois, la tendance du marché du travail devrait demeurer assez forte pour le mois de septembre. Un gain d environ emplois est donc prévu pour le mois, ce qui permettrait à la moyenne mobile sur six mois de rester aux alentours postes, soit un niveau relativement élevé. Le taux de chômage pourrait toutefois augmenter à 6,3 %, contre 6,2 % le mois précédent. OUTRE-MER DURANT LA SEMAINE : Indicateurs économiques Parmi les indicateurs à être publiés en zone euro au cours de la semaine, il y aura lundi le taux de chômage du mois d août; il se situait à 9, % en juillet. Les versions finales des indices PMI seront également publiées lundi (manufacturier) et mercredi (services et composite). De bonnes améliorations ont généralement été affichées par les versions préliminaires. Les ventes au détail d août seront publiées mercredi. Une baisse de % a eu lieu en juillet. Cette première contraction mensuelle en 207 faisait suite à un gain de % en juin. 5

6 Indicateurs économiques Semaine du 2 au 6 octobre 207 Données Jour Heure Indicateur Période précédentes ÉTATS-UNIS LUNDI 2 4:00 MARDI 3 Dépenses de construction (m/m) Indice ISM manufacturier Discours du président de la Fed de Dallas, R. Kaplan % 58,0 % 57,7 - % 58,8 Ventes d automobiles (taux ann.) ,5 55,3 55, , , ,7 0,9 % % -3,3 % ,4 % 34,4 % ,3 % 34,3 % ,4 % 34,4 0, % % % % 5,5 2 8,5 MERCREDI 4 5:5 Indice ISM non manufacturier Discours de la présidente de la Réserve fédérale, J. Yellen JEUDI 5 9:5 6:30 Demandes initiales d assurance-chômage sept. Balance commerciale biens et services (G$ US) Discours du président de la Fed de San Francisco, J. Williams Discours du président de la Fed de Philadelphie, P. Harker Nouvelles commandes manufacturières (m/m) Discours de la président de la Fed de Kansas City, E. George 9:5 2:5 2:45 3:00 5:00 Création d emplois non agricoles Taux de chômage Heures hebdomadaires travaillées Salaire horaire moyen (m/m) Discours du président de la Fed d Atlanta, R. Bostic Stocks des grossistes final (m/m) Discours du président de la Fed de New York, W. Dudley Discours du président de la Fed de Dallas, R. Kaplan Discours du président de la Fed de Saint-Louis, J. Bullard Crédit à la consommation (G$ US) VENDREDI 6 LUNDI 2 MARDI 3 2:45 MERCREDI 4 --Discours du sous-gouverneur de la Banque du Canada, S. Leduc JEUDI 5 Balance commerciale (G$) -2,65-2,85-3,04 VENDREDI 6 Création d emplois Taux de chômage Indice PMI-Ivey ,3 % nd ,3 % 58, ,2 % 56,3 Note :, Études économiques participent à toutes les semaines au sondage de la maison Bloomberg pour le Canada et les États-Unis. Environ 5 économistes sont consultés pour le sondage au Canada et près d une centaine du côté américain. Les simplifications m/m, t/t et a/a correspondent respectivement à des variations mensuelles, trimestrielles et annuelles. À la suite du trimestre, les simplifications p, d et t correspondent respectivement à première estimation, deuxième estimation et troisième estimation. Les heures indiquées sont à l heure avancée de l Est (GMT - 4 heures). Prévisions de, Études économiques du Mouvement des caisses. 6

7 Indicateurs économiques Semaine du 2 au 6 octobre 207 Pays Heure Indicateur Période m/m (t/t) a/a Données précédentes m/m (t/t) a/a OUTRE-MER DIMANCHE 9:50 Indice Tankan des grands manufacturiers LUNDI 2 Italie France Italie Royaume-Uni Royaume-Uni Australie :00 3:45 3:50 3:55 4:00 4:00 4:30 4:30 5:00 23:30 Ventes de véhicules Indice PMI manufacturier Indice PMI manufacturier final Indice PMI manufacturier final Indice PMI manufacturier final Taux de chômage Indice PMI construction Indice PMI manufacturier Taux de chômage Réunion de la Banque de réserve d Australie nd 56,8 56,3 56,0 56, ,2 58,2,2 % 5, 5, 56,2 56,9 9,0 % 9, % Oct. 0 % 0 % MARDI 3 :00 5:00 Confiance des consommateurs Indice des prix à la production MERCREDI 4 Italie Italie France France Royaume-Uni Royaume-Uni Inde 3:45 3:45 3:50 3:50 3:55 3:55 4:00 4:00 4:30 4:30 5:00 5:00 Indice PMI composite Indice PMI services Indice PMI composite final Indice PMI services final Indice PMI composite final Indice PMI services final Indice PMI composite final Indice PMI services final Indice PMI composite Indice PMI services Ventes au détail Réunion de la Banque de réserve d Inde Oct. JEUDI 5 3:30 7:30 Indice PMI construction Publication du compte rendu de la réunion de la Banque centrale européenne VENDREDI 6 France France Italie :00 :00 2:00 2:45 2:45 4:00 Indicateur avancé préliminaire Indicateur coïncident préliminaire Commandes manufacturières Balance commerciale (M ) Compte courant (G ) Ventes au détail T3 8 43,5 0, % 7 2,3 % 43,3 % 55,9 55,0 57,2 57, 57,8 55,6 56,7 55,6 53,8 53,2 % 2,6 % 6,00 % 55,8 55, 57,2 57, 57,8 55,6 56,7 55,6 54,0 53,2 - % 6,00 % nd 54,9 07,2 7,5 0,7 % 4,7 % nd % % 05,2 5,7-0,7 % ,2 - % 4,7 % % 2,6 % 5,0 % % Note : Contrairement au Canada et aux États-Unis, la divulgation des chiffres économiques outre-mer se fait de façon beaucoup plus approximative. La journée de publication des statistiques est donc indicative seulement. Les simplifications m/m, t/t et a/a correspondent respectivement à des variations mensuelles, trimestrielles et annuelles. (SA) : ajusté pour les saisonnalités, (NSA) : non ajusté pour les saisonnalités. Les heures indiquées sont à l heure avancée de l Est (GMT - 4 heures). 7

8 ÉTATS-UNIS Indicateurs économiques trimestriels TRIM. DE RÉF. Produit intérieur brut (G$ 2009) Consommation (G$ 2009) Dépenses gouvernementales (G$ 2009) Investissements résidentiels (G$ 2009) Investissements non résidentiels (G$ 2009) Changement des stocks (G$ 2009) Exportations (G$ 2009) Importations (G$ 2009) Demande intérieure finale (G$ 2009) Déflateur du PIB (2009 = 00) Productivité du travail (2009 = 00) Coût unitaire de main-d'œuvre (2009 = 00) Indice du coût de l'emploi (déc = 00) Solde du compte courant (G$) VARIATION (%) NIVEAU VARIATION ANNUELLE (%) Trim. ann. an , 3,3 - -7,3 6,7 --3,5 2,7 2,7 4,3 --3,2 4, 2,4,6-2,4 2,7 5,5-33,4-2,, -45,7 2,9 3,6,4 2,3 0 5,0 3,3,,2,8 2, -434,6 2,6 2,9-3,5 6,9 67,8 4,3 4,5 2,7,8-373, , , ,0 08, 08,8 29,7-23, Statistique représentant le niveau au cours de la période; * Nouvelle statistique par rapport à la semaine précédente. ÉTATS-UNIS Indicateurs économiques mensuels MOIS DE RÉF. Indicateur avancé (200 = 00) Indice ISM manufacturier Indice ISM non manufacturier Confiance cons. Conference Board (985 = 00) Dépenses de consommation (G$ 2009) Revenu personnel disponible (G$ 2009) Crédit à la consommation (G$) Ventes au détail (M$) Excluant automobiles (M$) Production industrielle (2007 = 00) Taux d'utilis. capacité de production (%) Nouv. commandes manufacturières (M$) Nouv. commandes biens durables (M$) Stocks des entreprises (G$) Mises en chantier résidentielles (k) VARIATION (%) NIVEAU 28,8 58,8 - mois -3 mois -6 mois -2 mois 56,3 54,9 2,3 57,7 4,4 49,4 55,3 53,9 56,9 57,6 5,7 * * * 9, , -0, - 7,3 24,9,4 2,6 03,5 2,5,2 5,9 3, ,6 * 04,7 76, ,9 76,9-3,3, , ,8, 2, ,8 4,9 5, 3,0 64 Permis de bâtir résidentiels (k) * ,0 65,0 567,0 Ventes de maisons neuves (k) Ventes de maisons existantes (k) Surplus commercial (M$) Emplois non agricoles (k) ,0 555,0 957, Taux de chômage (%) Prix à la consommation ( = 00) 4,4 245,0 4,3 4,3 4,7 4,9,7 Excluant aliments et énergie Déflateur des dépenses de cons. (2009 = 00) Excluant aliments et énergie Prix à la production (2009 = 00) Prix des exportations (2000 = 00) Prix des importations (2000 = 00) 252,5 * 2,6,4 * 3,2 0, 2,9 22,9 23,0 0,7 2,4 2,3 2, Statistique représentant le niveau du mois de la colonne; 2 Statistique représentant la variation depuis le mois de référence; * Nouvelle statistique par rapport à la semaine précédente. 8

9 Indicateurs économiques trimestriels TRIM. DE RÉF. Produit intérieur brut (M$ 2007) Cons. des ménages (M$ 2007) Cons. des gouvernements (M$ 2007) Investissements résidentiels (M$ 2007) Investissements non résidentiels (M$ 2007) VARIATION (%) NIVEAU VARIATION ANNUELLE (%) Trim. ann. an Solde du compte courant (M$) ,0 09,5 4, ,5 4,6 2,5-4,7 7, --9,6 7,4 3,5 -,4 - -3, 3,7 3,8 --5,2 3,5 2,6 2,5 2,9 -,6 2,4 3,0-8,6-45,0-0,9 0, ,9 3, , ,6 2,8 2,7 3, ,8 2,6 0, Taux d'utilis. capacité de production (%) Revenu personnel disponible (M$) Excédent d'expl. net des sociétés (M$ 2007) 85, ,8-7,5 --5,3 38,5 8 3,7-4,5 8 4,4-9,5 82,4 3,2 8,2 Changement des stocks (M$ 2007) Exportations (M$ 2007) Importations (M$ 2007) Demande intérieure finale (M$ 2007) Déflateur du PIB (2007 = 00) Productivité du travail (2007 = 00) Coût unitaire de main-d'œuvre (2007 = 00) Statistique représentant le niveau au cours de la période; * Nouvelle statistique par rapport à la semaine précédente. Indicateurs économiques mensuels MOIS DE RÉF. Produit intérieur brut (M$ 2007) Production industrielle (M$ 2007) Ventes des manufacturiers (M$) Mises en chantier (k) Permis de bâtir (M$) Ventes au détail (M$) * * VARIATION (%) NIVEAU - mois -3 mois -6 mois -2 mois , ,6 22-3,5 0,9 2, -3, 94,0 0,9 3,0 -,6 2 3,7 3,8 7,3 3,4 83,7 2,4 7,8 Excluant automobiles (M$) ,5 Ventes des grossistes (M$) ,9 26, ,9-6,0-7,0-2,8-5,3,6 4, , 25,9 3,2 * * 6, ,3-0, 8,6 0, 6,6 48,9 6,6 34,2 7,0,8 25,0,4 25,6 29,7 0, 0,9 * * 2, 96, ,4-3,5 - -5, 4,2 6, Surplus commercial (M$) Exportations (M$) Importations (M$) Emplois (k)2 Taux de chômage (%) Rémunération hebdomadaire moyenne ($) Nombre de salariés (k)2 Prix à la consommation (2002 = 00) Excluant aliments et énergie Excluant huit éléments volatils Prix des produits industriels (2002 = 00) Prix des matières premières (2002 = 00) Masse monétaire M+ (M$) Statistique représentant le niveau du mois de la colonne; 2 Statistique représentant la variation depuis le mois de référence; * Nouvelle statistique par rapport à la semaine précédente. 9

10 ÉTATS-UNIS,, OUTRE-MER Principaux indicateurs financiers DONNÉES PRÉCÉDENTES ACTUEL DERNIÈRES 52 SEMAINES 29 sept. 22 sept. - mois -3 mois -6 mois -2 mois Haut Moyenne Bas,25 5,47 2,32 2, ,68 5,42,25,44,87 6 2, ,57 53,25 0 4,74 2,6 2, ,95 47,32,25 7,88 2,30 2, ,78 46,02 0 0,75,24 2 2,40 3, , ,76,5,6 2, ,32 48,,25,6,47 2,3 2,6 3, ,4 54,48 0,9 0,74,22,79 7 2, ,38 49,29 9 0,79,8,62 2, ,50 42,48 0 0,74 9 2,48 0 0,60,82 2, 2,45 0, ,30 0,7,0,40,77 2,5 2 0,75,2,62 2, ,66 0,6,82 2,3 2, ,7, ,68 Écart de taux par rapport aux États-Unis (points de %) Fonds à un jour - - Bons du Trésor 3 mois -5 - Obligations 2 ans 4 Obligations 5 ans -0,7-6 Obligations 0 ans -3 - Obligations 30 ans , ,77-0, , EN % (SAUF SI INDIQUÉ) États-Unis Fonds fédéraux cible Bons du Trésor 3 mois Obligations 2 ans Obligations 5 ans Obligations 0 ans Obligations 30 ans Indice S&P 500 (niveau) Indice DJIA (niveau) Cours de l'or ($ US/once) Indice CRB (niveau) Pétrole WTI ($ US/baril) Canada Fonds à un jour cible Bons du Trésor 3 mois Obligations 2 ans Obligations 5 ans Obligations 0 ans Obligations 30 ans Indice S&P/TSX (niveau) Taux de change ($ CAN/$ US) Taux de change ($ CAN/ ) 5 662,2508, ,2338, ,2396, ,2965, , , , , Outre-mer BCE taux de refinancement Taux de change ($ US/ ),82,954,859, ,24,2035, Royaume-Uni BoE taux de base Obligations 0 ans Indice FTSE (niveau) Taux de change ($ US/ ) , , 7 439,295, ,2550 0, , , ,2674 0, ,2049 Obligations 0 ans Indice DAX (niveau) , , BoJ taux à un jour Indice Nikkei (niveau) Taux de change ($ US/ ) , , , , CRB : Commodity Research Bureau ; WTI : West Texas Intermediate ; BCE : Banque centrale européenne; BoE : Banque d'angleterre; BoJ : Banque du Note : Données prises à la fermeture des marchés, à l'exeption de la journée courante qui ont été prises à h. 0

La Banque nationale suisse surprend les marchés

La Banque nationale suisse surprend les marchés La Banque nationale suisse surprend les marchés 16 janvier 2015 Faits saillants États-Unis : baisse décevante des ventes au détail en décembre. États-Unis : les prix de l essence font diminuer l inflation,

Plus en détail

La dette des ménages canadiens demeure très élevée

La dette des ménages canadiens demeure très élevée 12 septembre 2014 La dette des ménages canadiens demeure très élevée Faits saillants États Unis : accélération bienvenue des ventes au détail. Forte hausse du crédit à la consommation en juillet aux États

Plus en détail

Les difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues à moins que les tensions financières s amplifient

Les difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues à moins que les tensions financières s amplifient PRÉSENTATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE Association des économistes québécois de l Outaouais 5 à 7 sur la conjoncture économique 3 avril Les difficultés économiques actuelles devraient demeurer contenues

Plus en détail

Les perspectives économiques

Les perspectives économiques Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois

Plus en détail

Économie américaine : est-ce grave?

Économie américaine : est-ce grave? Université d été 28 - CÉRIUM Montréal, 4 juillet 28 Économie américaine : est-ce grave? Francis Généreux Économiste senior L économie gâche la fête! 1. Un portrait de l économie américaine I. Structure

Plus en détail

Investissements des entreprises au Québec et en Ontario : amélioration en vue?

Investissements des entreprises au Québec et en Ontario : amélioration en vue? 28 avril 2015 Investissements des entreprises au Québec et en Ontario : amélioration en vue? Beaucoup d espoir repose sur les entreprises du centre du pays pour permettre à la croissance économique de

Plus en détail

COMPRENDRE LA BOURSE

COMPRENDRE LA BOURSE COMPRENDRE LA BOURSE Les principaux indicateurs économiques Ce document pédagogique n est pas un document de conseils pour investir en bourse. Les informations données dans ce document sont à titre informatif.

Plus en détail

Boussole. Divergence des indicateurs avancés. Actions - bon marché ou trop chères? Marchés boursiers - tout dépend du point de vue!

Boussole. Divergence des indicateurs avancés. Actions - bon marché ou trop chères? Marchés boursiers - tout dépend du point de vue! Boussole Juin 2015 Divergence des indicateurs avancés Actions - bon marché ou trop chères? Marchés boursiers - tout dépend du point de vue! Les règles du placement financier - Partie III Votre patrimoine,

Plus en détail

Le poids de la consommation dans le Pib atteint des niveaux

Le poids de la consommation dans le Pib atteint des niveaux AMBASSADE DE FRANCE AUX ETATS-UNIS MISSION FINANCIÈRE FRENCH TREASURY OFFICE 11 RESERVOIR ROAD, NW WASHINGTON D.C. 7 TEL : () 9-33, FAX : () 9-39 E - M A I L : afny@missioneco.org 1 SEVENTH AVENUE, 3 TH

Plus en détail

Perspectives économiques 2013-2014

Perspectives économiques 2013-2014 Carlos Leitao Économiste en chef Courriel : LeitaoC@vmbl.ca Twitter : @vmbleconomie Perspectives économiques 2013-2014 L amélioration de l économie atténuée par l incertitude politique Prix du pétrole:

Plus en détail

Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés

Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés POUR DIFFUSION : À Washington : 9h00, le 9 juillet 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À DIFFUSION Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés La croissance

Plus en détail

Perspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord

Perspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord Perspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord Mise à jour - Janvier 2015 Giorgia Albertin Représentante Résidente pour la Tunisie Fonds Monétaire International Plan de l exposé

Plus en détail

Les politiques de réduction du coût salarial en Belgique

Les politiques de réduction du coût salarial en Belgique Les politiques de réduction du coût salarial en Belgique Mars 2015 Luc Masure Plan de la présentation 1. Le Bureau fédéral du Plan 2. Cadre historique de la politique salariale et des dispositifs d exonération

Plus en détail

[ les éco_fiches ] Situation en France :

[ les éco_fiches ] Situation en France : Des fiches pour mieux comprendre l'actualité éco- nomique et les enjeux pour les PME Sortie de crise? Depuis le 2ème trimestre la France est «techniquement» sortie de crise. Cependant, celle-ci a été d

Plus en détail

BASE DE DONNEES - MONDE

BASE DE DONNEES - MONDE BASE DE DONNEES - MONDE SOMMAIRE Partie I Monnaies Partie II Epargne/Finances Partie III Démographie Partie IV Finances publiques Partie V Matières premières Partie I - Monnaies Cours de change euro/dollar

Plus en détail

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1

Eco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit

Plus en détail

RAPPORT ANNUEL DE LA BANQUE DE FRANCE

RAPPORT ANNUEL DE LA BANQUE DE FRANCE 2014 RAPPORT ANNUEL DE LA BANQUE DE FRANCE Rapport adressé à Monsieur le Président de la République et au Parlement par Christian Noyer, gouverneur Sommaire La Banque de France a fait appel à des métiers

Plus en détail

Le FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc

Le FMI conclut les consultations de 2008 au titre de l article IV avec le Maroc Note d information au public (NIP) n 08/91 POUR DIFFUSION IMMÉDIATE Le 23 juillet 2008 Fonds monétaire international 700 19 e rue, NW Washington, D. C. 20431 USA Le FMI conclut les consultations de 2008

Plus en détail

Situation financière des ménages au Québec et en Ontario

Situation financière des ménages au Québec et en Ontario avril Situation financière des ménages au et en Au cours des cinq dernières années, les Études économiques ont publié quelques analyses approfondies sur l endettement des ménages au. Un diagnostic sur

Plus en détail

mai COMMENTAIRE DE MARCHÉ

mai COMMENTAIRE DE MARCHÉ mai 2014 COMMENTAIRE DE MARCHÉ SOMMAIRE Introduction 2 En bref 3 INTRODUCTION L heure semble au découplage entre les Etats-Unis et l Europe. Alors que de l autre côté de l Atlantique, certains plaident

Plus en détail

Présentation Macro-économique. Mai 2013

Présentation Macro-économique. Mai 2013 Présentation Macro-économique Mai 2013 1 Rendement réel des grandes catégories d actifs Janvier 2013 : le «sans risque» n était pas une option, il l est moins que jamais Rendement réel instantané 2,68%

Plus en détail

À Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 JUSQU À PUBLICATION. Courants contraires

À Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 JUSQU À PUBLICATION. Courants contraires POUR DIFFUSION : À Pékin (heure de Pékin) : 11h00, 20 janvier 2015 À Washington (heure de Washington) : 22h00, 19 janvier 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À PUBLICATION Courants contraires La baisse

Plus en détail

Le CAC vu de Nouillorque (Sem 10, 6 mars. 15) Hemve 31

Le CAC vu de Nouillorque (Sem 10, 6 mars. 15) Hemve 31 Le CAC vu de Nouillorque (Sem 10, 6 mars. 15) Hemve 31 Le bulletin hebdomadaire, sur votre site http://hemve.eklablog.com/ La BCE et l emploi US font chuter l euro, Le Cac peut-il s affranchir de Wall

Plus en détail

DES PAROLES ET DES ACTES : LES 4 MENSONGES DE MONSIEUR LENGLET

DES PAROLES ET DES ACTES : LES 4 MENSONGES DE MONSIEUR LENGLET Cette fiche élaborée par la commission économie du Parti de Gauche révèle les 4 "erreurs" fondamentales issues de l'argumentaire que Monsieur Lenglet a opposé à Jean-Luc Mélenchon lors de l'émission des

Plus en détail

L économie ouverte. Un modèle de petite économie ouverte. V2.0 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile. Quelques définitions

L économie ouverte. Un modèle de petite économie ouverte. V2.0 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile. Quelques définitions L économie ouverte Un modèle de petite économie ouverte V2.0 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile Quelques définitions Économie fermée Économie ouverte Exportations et importations Exportations nettes

Plus en détail

Annexe 1. Stratégie de gestion de la dette 2014 2015. Objectif

Annexe 1. Stratégie de gestion de la dette 2014 2015. Objectif Annexe 1 Stratégie de gestion de la dette 2014 2015 Objectif La Stratégie de gestion de la dette énonce les objectifs, la stratégie et les plans du gouvernement du Canada au chapitre de la gestion de ses

Plus en détail

La faiblesse du huard va persister

La faiblesse du huard va persister Septembre 215 La faiblesse du huard va persister L élargissement de la bande de flottement du yuan et la dévaluation subséquente d autres monnaies des marchés émergents ont propulsé l USD pondéré des échanges

Plus en détail

TABLE DES MATIERES. iii

TABLE DES MATIERES. iii RAPPORT DU COMITE DE POLITIQUE MONETAIRE N 1/2014 ii TABLE DES MATIERES LISTE DES ACRONYMES... iv RESUME ANALYTIQUE... v 1. ENVIRONNEMENT ECONOMIQUE INTERNATIONAL... 1 1.1. Croissance du PIB mondial...

Plus en détail

Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI

Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI Présentation à l Association des économistes québécois Le 19 mai 25 Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI Kevin G. Lynch Administrateur Fonds

Plus en détail

COMPTE DU RÉGIME DE PENSION DE LA GENDARMERIE ROYALE DU CANADA. Comptables agréés Toronto (Ontario) Le 29 avril 2005

COMPTE DU RÉGIME DE PENSION DE LA GENDARMERIE ROYALE DU CANADA. Comptables agréés Toronto (Ontario) Le 29 avril 2005 Rapport des vérificateurs Au conseil d administration de l Office d investissement des régimes de pensions du secteur public Compte du régime de pension de la Gendarmerie royale du Canada Nous avons vérifié

Plus en détail

LE COMITÉ D INVESTISSEMENT DE LA GESTION PRIVÉE

LE COMITÉ D INVESTISSEMENT DE LA GESTION PRIVÉE DE LA GESTION PRIVÉE COMPTE RENDU DAVID DESOLNEUX DIRECTEUR DE LA GESTION SCÉNARIO ÉCONOMIQUE ACTIVITÉS La croissance économique redémarre, portée par les pays développés. Aux Etats-Unis, après une croissance

Plus en détail

Pacte de responsabilité et de solidarité. Réunions des 16, 19 et 26 juin 2014 à Digne-les-Bains, Castellane, Barcelonnette et Forcalquier

Pacte de responsabilité et de solidarité. Réunions des 16, 19 et 26 juin 2014 à Digne-les-Bains, Castellane, Barcelonnette et Forcalquier Pacte de responsabilité et de solidarité Réunions des 16, 19 et 26 juin 2014 à Digne-les-Bains, Castellane, Barcelonnette et Forcalquier 1 2 INTERVENTION DE MONSIEUR MICHEL JOUVENOT DIRECTEUR DE LA BANQUE

Plus en détail

Automne 2014 LE POINT SUR LA SITUATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DU QUÉBEC

Automne 2014 LE POINT SUR LA SITUATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DU QUÉBEC Automne 2014 LE POINT SUR LA SITUATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DU QUÉBEC Automne 2014 Le point sur la situation économique et financière du québec NOTE La forme masculine utilisée dans le texte désigne

Plus en détail

Revue des Marchés. Charles Gagné 2015-04-16

Revue des Marchés. Charles Gagné 2015-04-16 9. Revue des Marchés Charles Gagné 2015-04-16 Les faits saillants 1. Inventaires de porcs aux É.-U. ( Hogs & Pigs) Croissance de 2 % du troupeau reproducteur 2. Baisse des exportations américaines Valeur

Plus en détail

75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-2010

75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-2010 75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-21 L économie canadienne depuis la fondation de la Banque du Canada Première édition : le 11 mars 21 Mise à jour : le 16 decembre 21 1 La Banque du Canada, fondée en

Plus en détail

Perspectives de l industrie suisse Pierres et Terres

Perspectives de l industrie suisse Pierres et Terres Perspectives de l industrie suisse Pierres et Terres Session d hiver 2008 de l ASGB Association suisse de l industrie des Graviers et du Béton Jongny, le 20 février 2008 Christoph Koellreuter, Fondateur

Plus en détail

Septembre 2013. Baromètre bancaire 2013 L évolution conjoncturelle des banques en Suisse

Septembre 2013. Baromètre bancaire 2013 L évolution conjoncturelle des banques en Suisse Septembre 2013 Baromètre bancaire 2013 L évolution conjoncturelle des banques en Suisse Baromètre bancaire 2013 Executive summary 3 1 Evolution économique globale 1.1 Economie internationale 1.2 Suisse

Plus en détail

Épargne et investissement. L épargne...

Épargne et investissement. L épargne... Épargne et investissement Les marchés financiers en économie fermée V2.2 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile L épargne... Une personne désire se lancer en affaires (bureau de services comptables)

Plus en détail

BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE

BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE BANQUE NATIONALE DE ROUMANIE 1 La crise actuelle est caractéris risée e par le grand nombre de marchés affectés s et par la diversité des canaux de contagion Les principaux canaux de contagion pour l ECE: Canal informationnel (sentiment

Plus en détail

Perspective des marchés financiers en 2014

Perspective des marchés financiers en 2014 Perspective des marchés financiers en 2014 21/01/2014 13 ième édition 1 Outil d aide à la décision : The Screener OUTIL D AIDE À LA DÉCISION : THESCREENER Des analyses sur les valeurs boursières Disponible

Plus en détail

L incidence des hausses de prix des produits de base sur la balance commerciale du Canada 1

L incidence des hausses de prix des produits de base sur la balance commerciale du Canada 1 Affaires étrangè et Commerce International Canada Le Bureau de l économiste en chef Série de papiers analytiques L incidence des hausses de prix des produits de base sur la balance commerciale du Canada

Plus en détail

Pourquoi la croissance du commerce international s est-elle essoufflée? Beaucoup d espoir repose sur la libéralisation des échanges commerciaux

Pourquoi la croissance du commerce international s est-elle essoufflée? Beaucoup d espoir repose sur la libéralisation des échanges commerciaux 7 avril Pourquoi la croissance du commerce international s est-elle essoufflée? Beaucoup d espoir repose sur la libéralisation des échanges commerciaux La crise de 9 a eu des conséquences néfastes pour

Plus en détail

A PLUS FINANCE FONDS DE FONDS

A PLUS FINANCE FONDS DE FONDS FINANCE FONDS DE FONDS A PLUS DYNAMIQUE A PLUS PATRIMOINE A PLUS TALENTS A PLUS OBLIGATIONS RAPPORT DE AU 30-06-2015 COMMENTAIRE DE 1 er SEMESTRE 2015 Le premier semestre 2015 a été caractérisé par le

Plus en détail

Marché mondial de l automobile

Marché mondial de l automobile Carlos Gomes 1..73 carlos.gomes@scotiabank.com En route vers des ventes mondiales records en 1 Les marchés développés mènent le bal Les ventes mondiales de voitures ont progressé de % pendant le premier

Plus en détail

Le nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien

Le nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien Le nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien Janone Ong, département des Marchés financiers La Banque du Canada a créé un nouvel indice de taux de change effectif du dollar canadien,

Plus en détail

Conférence téléphonique

Conférence téléphonique Conférence téléphonique T2-2015 Énoncés prospectifs et mesure non établie selon les IFRS Mise en garde concernant les déclarations prospectives Cette présentation peut contenir des énoncés prospectifs

Plus en détail

Épargne et investissement. L épargne...

Épargne et investissement. L épargne... Épargne et investissement Les marchés financiers en économie fermée V2.3 Adaptépar JFB des notes de Germain Belzile L épargne... Une personne désire se lancer en affaires (bureau de services comptables)

Plus en détail

INSTITUT DE LA STATISTIQUE DU QUÉBEC ÉCONOMIE. Comptes économiques des revenus et dépenses du Québec

INSTITUT DE LA STATISTIQUE DU QUÉBEC ÉCONOMIE. Comptes économiques des revenus et dépenses du Québec INSTITUT DE LA STATISTIQUE DU QUÉBEC ÉCONOMIE Comptes économiques des revenus et dépenses du Québec Édition 2013 Pour tout renseignement concernant l ISQ et les données statistiques dont il dispose, s

Plus en détail

Pouvoir d achat - 124. Revenu mensuel en Autriche. Tableau: Revenu mensuel en Autriche Valide au 31 mars 2009

Pouvoir d achat - 124. Revenu mensuel en Autriche. Tableau: Revenu mensuel en Autriche Valide au 31 mars 2009 Revenu mensuel en Autriche ans d expérience, a) célibataire et b) marié et père de 2 enfants c) et d) sans revenir chaque jour à la maison et preste 5 heures supplémentaires Tableau: Revenu mensuel en

Plus en détail

Les avantages des projections budgétaires à long terme : l exemple belge

Les avantages des projections budgétaires à long terme : l exemple belge Les avantages des projections budgétaires à long terme : l exemple belge Par : Geert Langenus (Département Études, Banque nationale de Belgique, geert.langenus@nbb.be) 4 e réunion annuelle des responsables

Plus en détail

Épargne et investissement. L épargne...

Épargne et investissement. L épargne... Épargne et investissement Les marchés financiers en économie fermée Basé sur les notes de Germain Belzile L épargne... Une personne désire se lancer en affaires (bureau de services comptables) Elle fait

Plus en détail

2015 et l investissement en actions : la prise de risque est-elle justifiée?

2015 et l investissement en actions : la prise de risque est-elle justifiée? Flash Stratégie Janvier 2015 2015 et l investissement en actions : la prise de risque est-elle justifiée? Jean Borjeix Paris, le 20 janvier 2015 Dans ce document nous allons tout d abord rapprocher nos

Plus en détail

ATTIJARI MARKET RESEARCH FX & COMMODITIES TEAM

ATTIJARI MARKET RESEARCH FX & COMMODITIES TEAM 29 juin 2009 Forex Weekly Highlights I. Evénements clés et statistiques de la semaine du 22 juin 2009 Le retour de l aversion au risque a permis au billet vert d effacer un peu les pertes accumulées face

Plus en détail

Quels sont les risques sous-jacents liés au trading sur indice boursier?

Quels sont les risques sous-jacents liés au trading sur indice boursier? Indices boursiers Factsheet Introduction Trading sur indice boursier Les indices boursiers proposés sur les plateformes eforex de Swissquote sont des contrats sur dérivés de gré à gré (OTC) dont le sous-jacent

Plus en détail

Table des matières. Le long terme... 45. Partie II. Introduction... 1. Liste des figures... Liste des tableaux...

Table des matières. Le long terme... 45. Partie II. Introduction... 1. Liste des figures... Liste des tableaux... Liste des figures... Liste des tableaux... XI XV Liste des encadrés.... XVII Préface à l édition française... XIX Partie I Introduction... 1 Chapitre 1 Un tour du monde.... 1 1.1 La crise.... 1 1.2 Les

Plus en détail

Le marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 2014. Accelerating success.

Le marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 2014. Accelerating success. Le marché immobilier de bureaux en Ile-de-France 4 ème trimestre 214 Accelerating success. PERSPECTIVES Une année 215 dans la continuité > Après le creux de 213, l activité sur le marché des bureaux francilien

Plus en détail

Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique

Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique BANQUE NATIONALE DE BELGIQUE ENQUETES SUR LA CONJONCTURE Baromètre de conjoncture de la Banque Nationale de Belgique Janvier 211 15 1 5-5 -1-15 -2 - -3-35 21 22 23 24 26 27 28 29 21 211 Série dessaisonalisée

Plus en détail

Canada-Inde Profil et perspective

Canada-Inde Profil et perspective Canada-Inde Profil et perspective Mars 2009 0 L Inde et le Canada : un bref profil Vancouver Calgary Montréal Toronto INDE 3 287 263 km² 1,12 milliard 1 181 milliards $US 1 051 $US Source : Fiche d information

Plus en détail

La lettre de l IMSEPP

La lettre de l IMSEPP La lettre de l IMSEPP N 22 05 décembre 2013 La trésorerie des entreprises en novembre : Les difficultés d accès au financement s atténuent. Novembre 2013 : ce document présente l analyse détaillée des

Plus en détail

Compte rendu Cogefi Rendement Conférence téléphonique du 13/03/15 avec Lucile Combe (gérant)

Compte rendu Cogefi Rendement Conférence téléphonique du 13/03/15 avec Lucile Combe (gérant) Compte rendu Cogefi Rendement Conférence téléphonique du 13/03/15 avec Lucile Combe (gérant) Présentation Cogefi Gestion est la société de gestion, filiale à 100% de la maison mère Cogefi. Elle fait partie

Plus en détail

Royaume du Maroc. La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers

Royaume du Maroc. La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers Royaume du Maroc La masse salariale et ses impacts sur les équilibres économiques et financiers Table des Matières 1. Données sur la masse salariale...2 1.1. Importance de la masse salariale...2 1.2. Aggravation

Plus en détail

Letko, Brosseau & Associés Inc.

Letko, Brosseau & Associés Inc. Letko, Brosseau & Associés Inc. Perspectives sur la conjoncture économique et les marchés financiers Sommaire L amélioration progressive de la conjoncture économique dans les pays développés, menée par

Plus en détail

Banque nationale suisse Résultat de l exercice 2014

Banque nationale suisse Résultat de l exercice 2014 Communication Case postale, CH-8022 Zurich Téléphone +41 44 631 31 11 communications@snb.ch Zurich, le 6 mars 2015 Banque nationale suisse Résultat de l exercice 2014 La Banque nationale suisse (BNS) a

Plus en détail

ECONOMIE. DATE: 16 Juin 2011

ECONOMIE. DATE: 16 Juin 2011 BACCALAUREAT EUROPEEN 2011 ECONOMIE DATE: 16 Juin 2011 DUREE DE L'EPREUVE : 3 heures (180 minutes) MATERIEL AUTORISE Calculatrice non programmable et non graphique REMARQUES PARTICULIERES Les candidats

Plus en détail

Les échanges Internationaux. L environnement monétaire international

Les échanges Internationaux. L environnement monétaire international Les échanges Internationaux L environnement monétaire international Caractéristiques du système monétaire international (SMI) SMI : structure mondiale de relations commerciales et financières au sein desquelles

Plus en détail

Hausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada

Hausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada Hausse du crédit bancaire aux entreprises au Canada Juillet 3 Aperçu Des données récemment publiées, recueillies par Prêts bancaires aux entreprises Autorisations et en-cours (Figure ), l Association des

Plus en détail

Secteur de la construction au Canada

Secteur de la construction au Canada PIB en G$ CAD Survol des tendances de l industrie Secteur de la construction au Canada Principaux développements T2/214 214 Le PIB réel a atteint un sommet de 1 69 millions de dollars canadiens en novembre

Plus en détail

Faits saillants. Septembre 2015. Krishen Rangasamy krishen.rangasamy@bnc.ca

Faits saillants. Septembre 2015. Krishen Rangasamy krishen.rangasamy@bnc.ca Faits saillants Septembre 215 L effondrement des prix des matières premières n a rien d accidentel. Il reflète la faiblesse de la croissance mondiale, ce qui est d autant plus inquiétant que les politiques

Plus en détail

Revue des grandes tendances macroéconomiques pour le secteur de l'assurance au Québec en 2013

Revue des grandes tendances macroéconomiques pour le secteur de l'assurance au Québec en 2013 Revue des grandes tendances macroéconomiques pour le secteur de l'assurance au Québec en 2013 Daniel Denis kpmg.ca L environnement externe ÉCONOMIE CONSOMMATEUR TECHNOLOGIE DÉMOGRAPHIE Secteur de l assurance

Plus en détail

RAPPORT TECHNIQUE CCE 2014-2415

RAPPORT TECHNIQUE CCE 2014-2415 RAPPORT TECHNIQUE CCE 2014-2415 CCE 2014-2415 Rapport technique 2014 22 décembre 2014 2 CCE 2014-2415 3 CCE 2014-2415 Le tableau 1 présente les principaux indicateurs du contexte macro-économique belge

Plus en détail

ANANTA PATRIMOINE PRESENTATION

ANANTA PATRIMOINE PRESENTATION ANANTA PATRIMOINE PRESENTATION ANNEE 2011 1 ANANTA PATRIMOINE S.A. (Genève) est une société de gestion affiliée à l O.A.R.G. (Organisme d Autorégulation des Gérants de patrimoine) sous le numéro d agrément

Plus en détail

Tendances récentes dans les industries automobiles canadiennes

Tendances récentes dans les industries automobiles canadiennes N o 11 626 X au catalogue N o 26 ISSN 1927-548 ISBN 978--66-2984-5 Document analytique Aperçus économiques Tendances récentes dans les industries automobiles canadiennes par André Bernard Direction des

Plus en détail

Point d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015

Point d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015 Conseil Economique, Social & Environnemental Régional Point d actualité Séance plénière 2 février 2015 Rapporteur général : Jean-Jacques FRANCOIS, au nom du Comité de Conjoncture CONTEXTE GÉNÉRAL A la

Plus en détail

En direct des Marchés

En direct des Marchés Bruxelles, le mercredi 8 juillet 2015 Madame, Monsieur, La réunion de la dernière chance hier est donc devenue celle de l avant-dernière chance et il faudra attendre dimanche pour connaitre la véritable

Plus en détail

Conférence téléphonique. Tél.: (+33) 1 42 60 06 06 Fax: (+33) 1 42 60 06 22 www.prigest.com

Conférence téléphonique. Tél.: (+33) 1 42 60 06 06 Fax: (+33) 1 42 60 06 22 www.prigest.com Conférence téléphonique mercredi 6 octobre 2010 11 heures 223, rue Saint honoré 75001 PARIS Tél.: (+33) 1 42 60 06 06 Fax: (+33) 1 42 60 06 22 www.prigest.com THEMES DE LA CONFERENCE TELEPHONIQUE 1 ère

Plus en détail

Baromètre PME Wallonie Bruxelles : Quatrième trimestre 2013

Baromètre PME Wallonie Bruxelles : Quatrième trimestre 2013 Baromètre PME Wallonie Bruxelles : Quatrième trimestre 2013 L UCM a créé un indicateur de conjoncture pour les PME wallonnes et bruxelloises. Ce "baromètre" est réalisé chaque trimestre, sur base des réponses

Plus en détail

LES NOUVEAUX INDICATEURS STATISTIQUES DU FMI

LES NOUVEAUX INDICATEURS STATISTIQUES DU FMI LES NOUVEAUX INDICAEURS SAISIQUES DU FI À la fin de 1994 et au début de l année 1995, la répétition et la sévérité des désordres sur les marchés de capitaux, et récemment la crise financière du exique

Plus en détail

Le crédit bancaire au secteur privé

Le crédit bancaire au secteur privé Le crédit bancaire au secteur privé en Belgique M. Hradisky * Après des taux de croissance de plus de 1 p.c. en rythme annuel au cours de l année, la progression des crédits au secteur privé en Belgique

Plus en détail

LE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE?

LE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE? LE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE? Françoise Lemoine & Deniz Ünal CEPII Quel impact de l expansion chinoise sur l économie mondiale? Rencontres économiques, 18 septembre

Plus en détail

La finance internationale : quel impact sur l'économie marocaine? 20 Novembre 2012

La finance internationale : quel impact sur l'économie marocaine? 20 Novembre 2012 La finance internationale : quel impact sur l'économie marocaine? 20 Novembre 2012 Sommaire I - Le rôle prépondérant des marchés financiers I.1 - Financiarisation de l'économie mondiale I.2 Lien avec l'entreprise

Plus en détail

et Financier International

et Financier International MACROECONOMIE 2 Dynamiques Economiques Internationales PARTIE 2 : Le Système Monétaire et Financier International UCP LEI L2-S4: PARCOURS COMMERCE INTERNATIONAL PLAN DU COURS I - LE SYSTEME MONETAIRE INTERNATIONAL

Plus en détail

Choc pétrolier et pause conjoncturelle en France

Choc pétrolier et pause conjoncturelle en France Choc pétrolier et pause conjoncturelle en France Direction des Études Économiques http://kiosque-eco.credit-agricole.fr Juillet 8 1 Sommaire 1. Environnement international 1.1. La crise financière reléguée

Plus en détail

2 analyses. Encadré 2.1 : Répartition géographique des investissements de portefeuille du luxembourg 106. bulletin bcl 2010 3 97

2 analyses. Encadré 2.1 : Répartition géographique des investissements de portefeuille du luxembourg 106. bulletin bcl 2010 3 97 analyses 2 2 analyses 1 La position extérieure globale du Luxembourg 98 1.1 Introduction 98 1.2 La position nette par catégorie d actifs : vue d ensemble 99 1.3 La position d investissements directs 11

Plus en détail

La situation économique et financière

La situation économique et financière Bulletin Institutionnel de SMA Gestion DOCUMENT RESERVE EXCLUSIVEMENT AUX CLIENTS PROFESSIONNELS AU SENS DE LA DIRECTIVE MIF La situation économique et financière «Un certain nombre de participants ont

Plus en détail

FONDS DE PLACEMENTS IMMOBILIERS SUISSES

FONDS DE PLACEMENTS IMMOBILIERS SUISSES FONDS DE PLACEMENTS IMMOBILIERS SUISSES Octobre 2011 Gabriela TURCATTI Jordi GUILLO SOMMAIRE IMMOBILIER SUISSE 3 CATÉGORIES L immobilier résidentiel 4 L immobilier commercial 5 L immobilier de bureau 5

Plus en détail

OUESSANT. Vivienne investissement. Printemps-été 2015. Rapport de gestion. L analyse quantitative au service de la gestion active

OUESSANT. Vivienne investissement. Printemps-été 2015. Rapport de gestion. L analyse quantitative au service de la gestion active Ce document est destiné à des investisseurs professionnels uniquement Vivienne investissement L analyse quantitative au service de la gestion active OUESSANT Rapport de gestion Printemps-été 2015 Vivienne

Plus en détail

LES PRESTATIONS D ASSURANCE TRAITEMENT (Pour une invalidité de 104 semaines et moins)

LES PRESTATIONS D ASSURANCE TRAITEMENT (Pour une invalidité de 104 semaines et moins) FÉDÉRATION DU PERSONNEL DE SOUTIEN DE L ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR GUIDE POUR LES MEMBRES DU PERSONNEL DE SOUTIEN DES COLLEGES LES PRESTATIONS D ASSURANCE TRAITEMENT (Pour une invalidité de 104 semaines et

Plus en détail

Estimations définitives des prix pour les bobines d acier laminé à chaud européens, reconnues par le secteur

Estimations définitives des prix pour les bobines d acier laminé à chaud européens, reconnues par le secteur Estimations définitives des prix pour les bobines d acier laminé à chaud européens, reconnues par le secteur Marchés concernés Rejoignez la tendance Si vous êtes activement impliqué sur le marché des tôles

Plus en détail

Réunions publiques janvier 2013. Présentation du Débat d Orientation Budgétaire

Réunions publiques janvier 2013. Présentation du Débat d Orientation Budgétaire Réunions publiques janvier 2013 Présentation du Débat d Orientation Budgétaire 7 février 2011 LE CONTEXTE Une économie mondiale très ralentie En zone Euro : des incertitudes autour de la crise de la dette

Plus en détail

SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE

SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE pour l année 2014 Janvier 2014 1/12 Situation financière de l Assurance chômage pour l année 2014 14 janvier 2014 Cette note présente la prévision de la situation

Plus en détail

AGIRFINANCES. Votre partenaire Budget. Son objectif est de vous permettre d établir votre budget.

AGIRFINANCES. Votre partenaire Budget. Son objectif est de vous permettre d établir votre budget. Votre partenaire Budget Ce guide vous est offert Son objectif est de vous permettre d établir votre budget. Pourquoi? Parce que sans cette étape, il n est pas possible de bien gérer son compte bancaire

Plus en détail

Letko, Brosseau & Associés Inc.

Letko, Brosseau & Associés Inc. Letko, Brosseau & Associés Inc. Perspectives sur la conjoncture économique et les marchés financiers Letko, Brosseau & Associés Inc. 1800 avenue McGill College Bureau 2510 Montréal, Québec H3A 3J6 Canada

Plus en détail

Crédit hypothécaire : croissance durable

Crédit hypothécaire : croissance durable Union Professionnelle du Crédit Communiqué de presse Crédit hypothécaire : croissance durable Bruxelles, le 6 mai 2011 Au cours du premier trimestre de 2011, 24 % de crédits hypothécaires de plus ont été

Plus en détail

Chapitre 6. Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique. Objectifs d apprentissage. Objectifs d apprentissage (suite)

Chapitre 6. Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique. Objectifs d apprentissage. Objectifs d apprentissage (suite) Chapitre 6 Le calcul du PIB, de l inflation et de la croissance économique 1 Objectifs d apprentissage Faire la distinction entre le stock de capital et de la richesse et le flux de production, de revenu,

Plus en détail

Investir à long terme

Investir à long terme BMO Gestion mondiale d actifs Fonds d investissement Investir à long terme Conservez vos placements et réalisez vos objectifs Concentrez-vous sur l ENSEMBLE de la situation Le choix des bons placements

Plus en détail

Les crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 2014

Les crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 2014 Les crédits nouveaux à l habitat des ménages : les tendances à mi 214 Gwenaëlle FEGAR Direction des Statistiques monétaires et financières Service d Analyse des financements nationaux Après une forte progression

Plus en détail

Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010. Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC

Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010. Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC Institut National de la Statistique - Annuaire Statistique du Cameroun 2010 Chapitre 26 : LE CAMEROUN DANS LA ZONE CEMAC 1. Présentation... 328 2. Méthodologie... 328 3. Définitions... 328 4. Sources de

Plus en détail