Destinataires. Les établissements SSR FEHAP d Ile de France. Campagne SSR 2009
|
|
- Alizée St-Amand
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Compte-Rendu Réunion du 15/04/09 Le 15/04/09 Origine : Ludivine PICHOT Kévin MARCOMBE Destinataires Les établissements SSR FEHAP d Ile de France Objet : Campagne SSR 2009 Ordre du jour Présentation de la méthodologie nationale de modulation IVA 2009 (MT2A) Bilan de la campagne tarifaire 2008 et de la modulation régionale et Mise en œuvre régionale de la modulation 2009 (ARHIF) Typologie SSR 2009 Questions diverses Introduction Jacques Métais indique que les informations diffusées au cours de cette réunion concernent plus directement les établissements publics et PSPH financés par dotation globale. Les établissements privés connaissent déjà des tarifs différenciés selon leur activité de SS et/ou de RF. Le taux d augmentation des prix de journées qui leur sera appliqué en 2009 n est pas encore connu à ce jour. Ce retard est lié à un problème d arbitrage définitif sur la campagne 2009 sur le champ ex OQN. Au niveau national, le taux d évolution des tarifs serait de l ordre de 1.5%. La région IDF, compte tenu de la péréquation, devrait connaître une évolution moindre - de l ordre de 1.42% voire 1.43% sous réserve de la parution de l arrêté et des chiffres définitifs et officiels. NB / La question des prix de journées applicables aux établissements IDF a fait l objet d une étude diligentée par la FHP, laquelle révèle un surcoût de 20% environ pour les cliniques franciliennes par rapport au reste des établissements privés français. Tout effort national de péréquation augure des difficultés pour l avenir. Cependant la FHP estime que les différences de coûts du personnel et de l immobilier font apparaître un différentiel de charges de 13%
2 I/ Présentation de la méthodologie nationale de modulation IVA 2009 (MT2A) Martine Aoustin présente le modèle de financement SSR 2009 basé sur l IVA et prenant en compte les résultats de l enquête «plateaux techniques spécialisés». La modulation proposée au niveau national s élève à 2%. Le modèle intermédiaire, testé dans trois régions (dont l Ile de France), est donc conçu sur les deux compartiments Activité et Plateaux techniques. Le compartiment PT a été isolé, puis réintégré dans l ensemble de la dotation. Les données recensées ont permis d identifier les discordances (notamment concernant les déclarations PTS) et les établissements très spécifiques. Enfin, compte tenu du taux relativement faible de l application de la modulation, et du manque de finesse des études menées sur les postes MIGAC et MO, ces deux compartiments sont inclus dans la DAF. Il reste cependant envisageable de voir le modèle évoluer dans le cours de l année 2009 dans la mesure où les informations collectées via l ENC seront disponibles et fiables. L ATIH travaille toujours à l évolution du modèle intermédiaire dont l application devrait courir jusqu en Calendrier 2009 Retours d expériences organisés par la MT2A Réflexions sur les ajustements du modèle intermédiaire Démarrage de l ENCC SSR Application du nouveau recueil PMSI SSR Recueil des données de l ENCC SSR 2009 Calendrier 2010 Retraitements comptables et constitution des fichiers de données dans les établissements (été) Validation définitive des données (fin 2010) Option définitive sur le modèle cible Calendrier Analyse des données et publication de l ENC SSR en mars 2011 Simulation et expérimentation du modèle cible Calendrier 2012 Mise en œuvre du modèle cible et suivi de la montée en charge II / Bilan de la campagne tarifaire et de la modulation régionale Mise en œuvre régionale de la modulation 2009 (ARHIF) DAF régionale (données hors AP HP) = 680 millions d euros environ 49 établissements publics (280 millions) 64 établissements PSPH (400 millions) - 2-2
3 DAF SSR AP HP : 450 millions d euros Tendances budgétaires sur les 4 années précédentes Mesures nouvelles reconductibles = +/- 20 millions par an (dont mesures salariales, et sur certaines années, effet prix et/ou effort d économie). Montant de reconduction = 1.1% à 1.2% ces 3 dernières années ; 1.36% en Par ailleurs, depuis 2005, l ARHIF consacre 1.3 million d euros au financement des Molécules Onéreuses SSR - non encore intégrées dans le modèle de financement actuel. Pour 2009, 1.5 million a été provisionné (crédits non reconductibles). Mesures nouvelles (représentant 1à 2% de la DAF) Le développement de l activité SSR a été favorisé par l Agence Ile de France ces dernières années. L ARH précise qu elle a donné la priorité au financement de projets effectivement prêts à être mis en œuvre. Elle a également contribué à financer des opérations de reconversion lourdes (cette année encore, ces aménagements seront nécessaires). Année 2005 : 5.4 millions d euros en mesures nouvelles o dont 83% pour les PSPH Création de 60 lits et 24 places en 2005 (Paris et Yvelines favorisés) Année 2006 : 7.5 millions euros o dont 60% pour les PSPH Création de 82 lits et 23 places (départements 92, 95 et 93 ont eu la priorité) Année 2007 : 9.8 Millions euros o dont 49% pour les PSPH Création de 170 lits et 15 places (département 77 très largement soutenu) Année 2008 : 10 millions d euros en mesures nouvelles o dont 77% pour les PSPH Création de 78 lits et 15 places (Paris très largement soutenu, 91 et 95 soutenus à la marge) Résultats financiers 2007 et 2008 Présentation des résultats des établissements mono-activité SSR uniquement Etablissements publics (10) : excédent de 4.7 millions d euros en 2008 en légère baisse entre 2007 et 2008 Etablissements PSPH : déficit de 4.7 millions en 2008 en légère hausse entre 2007 et 2008 La situation financière des établissements SSR franciliens est donc globalement équilibrée. Modulation SSR 2008 mise en place sur la base d une étude de coûts Dès 2008, l ARHIF a mis en place une modulation tenant compte des indicateurs d efficience. Début 2008, les dotations SSR des établissements les plus «coûteux» (coût à la journée calculé dans le cadre d une typologie, i.e. entre établissements comparables) ont fait l objet d un prélèvement de 3.1 millions d euros. En fin d année, les points IVA disponibles (calculés sur les données 2006) ont permis une redistribution de cette enveloppe entre établissements dits efficients au vu du modèle IVA
4 Les prélèvements 2008 sont annulés en La modulation 2009 est issue de l application de l outil national adapté à l Ile de France. Modulation 2009 L année 2009 est marquée par la mise en place d un nouveau modèle d allocation des ressources tenant compte de l activité des établissements (modulation des DAF en fonction de l IVA). Pour chaque établissement, une ressource théorique est estimée en multipliant son nombre de points accumulés par la valeur nationale du point, à laquelle ont été ajoutés les montants relatifs à des activités pouvant faire l objet d un financement spécifique dans le modèle cible (MIG, MO et PTS). Au niveau national, et selon les chiffres transmis par l ATIH, l ensemble des établissements s est vu appliqué un taux de modulation de 2% de leur écart à la moyenne régionale. Cette modulation nationale joue entre les régions. L Ile de France est plus chère que la moyenne nationale : elle apparait comme étant surdotée à hauteur de 8% - hors 7% coefficient géographique ce qui se traduit par une réfaction de la DAF SSR d un million d euros. Ce million est «rendu» aux autres régions. La région IDF, pour ses établissements SSR, perd 0.15% de sa DAF. Sur 111 établissements SSR, 46 sont en dessous de la moyenne nationale pour un écart global de 40 millions d euros (soit un reversement de l ordre de euros) et 65 au dessous pour un écart de 90 millions (soit un reversement en 2009 de 1.8 million d euros). L ARHIF a choisi d adapter le modèle national en lui donnant un contenu plus significativement redistributif afin de redonner aux établissements les plus efficients (ou sous dotés) un peu plus de 2% (en allant jusqu à 6%). Les écarts entre dotations théoriques et dotations réelles varient entre -40% (établissements sous-dotés) et +100% (établissements surdotés). L ARH a donc construit un modèle basé sur la même méthodologie que la méthodologie nationale. Elle a choisi d appliquer un coefficient multiplicateur qui substitue l effet de la modulation nationale de 2% par un autre pourcentage appliqué selon les tranches d écart entre ressources théoriques et ressources réelles. Pour les établissements très spécifiques, l Agence a saisi la MT2A afin qu elle observe plus finement leur activité de médecine au regard de leurs coûts globaux pour tenter d expliquer leur situation jugée particulière (Les établissements de Margency et Forcilles ont été cités). Nota bene : Les crédits non reconductibles attribués dans les CPOM pourront être renégociés avec l ARHIF sur la base du modèle IVA, en fonction des spécificités des établissements. III / Typologie SSR
5 La typologie 2009 est basée sur les données PMSI 2007 et ne sera utile qu à la révision du SROS SSR. L algorithme 2006 a été adapté en fonction des dispositions des décrets SSR et des activités réelles des établissements (introduction de nouveaux codes de diagnostic en gériatrie, cancérologie dissociée de l hématologie et sortie de l algorithme, introduction des codes Grands Brûles et VIH, élargissement des codes Cardiologie et Pneumologie, algorithme «bis» en pédiatrie pour identifier les prises en charge spécifiques au sein de cette activité, identification de l activité Hospitalisation de jour, identification de la néphrologie, EVC/EPR,...) L enquête devait être rendue ce jour. Les résultats seront finalement restitués fin mai dans les territoires de santé, à condition que les établissements aient effectivement renseigné l enquête. Le questionnaire est en ligne sur le site Parhtage. Sur 213 établissements, 183 réponses ont été reçues à ce jour. Les établissements n ayant pas encore répondu sont invités à le faire dans les meilleurs délais. Questions diverses L ARHIF souhaite encourager les établissements franciliens à implanter et faire usage du logiciel Trajectoire développé par l ARH Rhône Alpes (logiciel de suivi en temps réel des capacités SSR)
ET DE LA STRATEGIE. Note de Synthèse. Domaine : Financement Version : 1 Mise à jour : 04/03/2012
DIRECTION DES AFFAIRES INSTITUTIONNELLES ET DE LA STRATEGIE Note de Synthèse CAMPAGNE TARIFAIRE 2012 : ENVELOPPE MIGAC Domaine : Financement Version : 1 Mise à jour : 04/03/2012 Diffusion: Vos contacts
Plus en détailet ATIH Diapositive n 1 Direction générale de l offre de soins - DGOS
et ATIH Diapositive n 1 Quel financement pour les SSR? Un modèle innovant Hélène de Faverges mission SSR - DGOS Dr Joëlle Dubois - ATIH FHF Rhône-Alpes Conférence SSR : vers une organisation coordonnée
Plus en détailLes campagnes budgétaires dans le secteur médico-social
Les campagnes budgétaires dans le secteur médico-social 4 juin 2013 1 Déroulement des campagnes PA-PH dans un cadre préservé Progression de l ONDAM médico-social 2013 : Taux le plus élevé des sous objectifs
Plus en détailAssurance Maladie. Le développement de la Chirurgie ambulatoire par la MSAP et les incitations tarifaires
Assurance Maladie Le développement de la Chirurgie ambulatoire par la MSAP et les incitations tarifaires 1. LA MSAP Principe Les textes Les gestes retenus Bilan MSAP 2011 2. LES MESURES TARIFAIRES INCITATIVES
Plus en détailProgramme de développement. Comité plénier du 10 janvier 2012
Programme de développement des soins palliatifs (2008-2012) Comité plénier du 10 janvier 2012 Axe 1: Poursuivre le développement de l offre hospitalière et favoriser l essor des dispositifs extrahospitaliers
Plus en détailLe nouveau tableau de bord de gestion
Formation Rencontre thématique CTC Conseil 2013 Le nouveau tableau de bord de gestion Contrôler Décider Communiquer CTC Conseil a été créé en 1992, à l initiative de Claude CHEZAUD, son Directeur Général,
Plus en détailPilotage de la masse salariale Déploiement de l outil de budgétisation
Pilotage de la masse salariale Déploiement de l outil de budgétisation par Jean-Michel de Guerdavid, expert pour l AFRITAC de l Ouest 1 Présentation de l outil de budgétisation 1. Utilisation de l outil
Plus en détailINTITULE DU POSTE (1) EXPERT MEDICAL évolution des modèles de financement des établissements de santé (MCO et SSR)
Ministère des affaires sociales et de la santé Ministère de l'éducation nationale, de la jeunesse et de la vie associative Ministère des solidarités et de la cohésion sociale Ministère de la ville Ministère
Plus en détailOUVRIR LES PORTES DE LA BANQUE AUX JEUNES ENTREPRENEURS
Contexte général de lancement de l expérimentation Pour des raisons indépendantes de notre volonté et de notre implication, la convention avec le Ministère a été signée à la fin du mois de décembre 2010.
Plus en détailIndicateur n 13 : Evolution des effectifs et des dépenses de personnel des établissements de santé
Programme «Maladie» 47 Indicateur n 13 : Evolution des effectifs et des dépenses de personnel des établissements de santé Sous-indicateur n 13-1 : Évolution des effectifs (en équivalent temps plein) de
Plus en détailLe salaire des internes en DES de Médecine Générale
Le salaire des internes en DES de Médecine Générale *************** «Le salaire est la contrepartie du travail fourni» Guide pratique du droit au travail, La Documentation Française. **************** (I)
Plus en détailFiscalité du Grand Paris
Fiscalité du Grand Paris Afin de financer le projet du métro automatique du Grand Paris Express et le plan de mobilisation pour les transports d IdF, l Etat a décidé de prélever de nouvelles recettes fiscales
Plus en détailLes coûts des prises en charge à l hôpital en médecine, chirurgie et obstétrique
Les coûts des prises en charge à l hôpital en médecine, chirurgie et obstétrique 2012 Sommaire Introduction 3 Notes de lecture 4 1. L ENC : objectifs et modalités de l étude 6 1.1. Qu est-ce que l Etude
Plus en détailLe prêt travaux copropriétés
Le prêt travaux copropriétés Banque SOLFEA Confidentiel 1 La BANQUE Solfea votre partenaire financier des travaux écoefficaces et de confort dans le logement Répartition du capital Une longue expérience
Plus en détailCAHIER DES CLAUSES ADMINISTRATIVES PARTICULIERES (CCAP) COMMUN AUX 5 LOTS
CAHIER DES CLAUSES ADMINISTRATIVES PARTICULIERES (CCAP) COMMUN AUX 5 LOTS Commune de Maincy Hôtel de Ville 3, rue Alfred et Edme Sommier 77950 Maincy Tél : 01 60 68 17 12 Fax : 01 60 68 60 04 E-mail :
Plus en détailLes temps forts de l année 2000. Les grandes masses budgétaires 1995-2000. Les résultats de la politique financière. La dette régionale et le bilan
S O M M A I R E Les temps forts de l année 2000 Les grandes masses budgétaires 1995-2000 L équilibre financier 2000 et les dépenses par secteurs d intervention Les résultats de la politique financière
Plus en détailCPOM 2013-2018. Guide méthodologique d élaboration et de suivi des contrats pluriannuels d objectifs et de moyens en Ile-de-France
CPOM 2013-2018 Guide méthodologique d élaboration et de suivi des contrats pluriannuels d objectifs et de moyens en Ile-de-France FICHE D AIDE AU DIAGNOSTIC ET A LA NEGOCIATION Annexe 2 Moyens Volet 3
Plus en détailProgramme «financement» - Partie I Données de cadrage
Programme «financement» - Partie I Données de cadrage Indicateur n 4 : Évolution de la structure des recettes du régime général et des régimes d assurances sociales des administrations de sécurité sociale
Plus en détailEn collaboration avec GROUPE ACTICONSEIL. Epargne salariale, assurances, retraite collective Quelles opportunités pour votre activité?
HSBC Intervention du 18 janvier 2011 En collaboration avec GROUPE ACTICONSEIL Epargne salariale, assurances, retraite collective Quelles opportunités pour votre activité? Les enjeux sociaux et patrimoniaux
Plus en détailVers une approche managériale des tarifs T2A
Vers une approche managériale des tarifs T2A Contribution de CAHPP Consultant Juin 2013 Page 1 sur 35 SOMMAIRE SOMMAIRE... Page 2 PRÉAMBULE... Page 3 PARTIE I : MÉTHODOLOGIE... Page 5 PARTIE II : IMPACT
Plus en détailRAPPORT FINANCIER DE L EXERCICE 2014 1. LES CREDITS VOTES EN 2014
RAPPORT FINANCIER DE L EXERCICE 2014 1. LES CREDITS VOTES EN 2014 L équilibre général du budget primitif 2014 s est établi à 3 822,6 M, dont 2 790,9 M au titre de la section de fonctionnement et 1 031,7
Plus en détailSimulation d application des règles CNAV AGIRC ARRCO sur des carrières type de fonctionnaires d Etat
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 10 avril 2014 à 9 h 30 «Carrières salariales et retraites dans les secteurs et public» Document N 9 Document de travail, n engage pas le Conseil Simulation
Plus en détailLe 15 décembre 2014 ADOPTION DE LA LOI FAVORISANT LA SANTÉ FINANCIÈRE ET LA SUIVEZ RETRAITESAI SUR. Numéro 14-22
SOMMAIRE Restructuration obligatoire pour tous les régimes Processus de restructuration Autres dispositions Tableau des principaux amendements depuis le 12 juin 2014 ADOPTION DE LA LOI FAVORISANT LA SANTÉ
Plus en détailProgramme de développement. Comité national de suivi du développement des soins palliatifs et de l accompagnement du 18 septembre 2012
Programme de développement des soins palliatifs (2008-2012) Comité national de suivi du développement des soins palliatifs et de l accompagnement du 18 septembre 2012 Axe 1: Poursuivre le développement
Plus en détailNouveau Barème W.B.F. de points de victoire 4 à 48 donnes
Nouveau Barème W.B.F. de points de victoire 4 à 48 donnes Pages 4 à 48 barèmes 4 à 48 donnes Condensé en une page: Page 2 barèmes 4 à 32 ( nombre pair de donnes ) Page 3 Tous les autres barèmes ( PV de
Plus en détailGHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu. Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND
GHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND PREAMBULE - Déçisions du directoire de l APHP : 1) le site de l HTD ne serait pas fermé 2) le site de l HTD ne serait pas
Plus en détailOuvrage conçu et coordonné par HERVÉ HUTIN TOUTE LA FINANCE. Éditions d Organisation, 1998, 2002, 2005 ISBN : 2-7081-3239-3
Ouvrage conçu et coordonné par HERVÉ HUTIN TOUTE LA FINANCE, 1998, 2002, 2005 ISBN : 2-7081-3239-3 SOMMAIRE DÉTAILLÉ INTRODUCTION : L évolution de l environnement a transformé les métiers de la finance
Plus en détailBaromètre France générosités- CerPhi Evolution des dons des particuliers et du profil des donateurs - 2010 & 2011
Baromètre France générosités- CerPhi Evolution des dons des particuliers et du profil des donateurs - 2010 & 2011 Baromètre établi à partir des sources suivantes: 2010 - Données transmises par la Direction
Plus en détailEpargne, Retraite, Prévoyance et Santé
L offre FOBA Des outils d aide à la vente Budget Retraite Augmenter la vente des différentes solutions retraite ANI Générer des rendez-vous qualifiés et réduire le délai de décision pour la souscription
Plus en détailProgramme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention
Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention Indicateur n 2-3 : Indicateurs sur le dépistage du cancer 1 er sous-indicateur : taux de participation au
Plus en détailRapport pour la commission permanente du conseil régional
Rapport pour la commission permanente du conseil régional NOVEMBRE 2012 Présenté par Jean-Paul Huchon Président du conseil régional d'ile-de-france ATTRIBUTIONS DE SUBVENTIONS DANS LE CADRE
Plus en détailANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE
ANNEXE VII, PJ n 2, page 1 ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE ANNEXE VII, PJ n 2, page 2 Les simulations
Plus en détailE-ASSURÉS RECHERCHE LE PROFIL DES PERSONNES ASSURANCE SANTÉ DES A LA SUR INTERNET D UNE PUBLIÉ PAR. 23 e ÉDITION
L OBSERVATOIRE PUBLIÉ PAR LE PROFIL DES PERSONNES A LA RECHERCHE DES D UNE E-ASSURÉS 23 e ÉDITION SEPTEMBRE NOVEMBRE ASSURANCE SANTÉ SUR INTERNET QUI SOMMES-NOUS? PRÉSENTATION DE cmonassurance est un e-courtier,
Plus en détailUn coût, des coûts, quels coûts?
Un coût, des coûts, quels coûts? Robert LAUNOIS (1-2) Journal d Economie Médicale 1999, T. 17, n 1, 77-82 (1) REES France - 28, rue d Assas - 75 006 Paris Email : reesfrance@wanadoo.fr - Site Internet
Plus en détailCONTRAT DE PRESENCE POSTALE TERRITORIALE 2014-2016
Département Administration Paris, le 3 mars 2014 et Gestion Communales VP/AH/Note 11 Affaire suivie par Véronique PICARD CONTRAT DE PRESENCE POSTALE TERRITORIALE 2014-2016 La continuité - maintien du montant
Plus en détailPAYS BEAUME-DROBIE FINANCES INTERCOMMUNALES COMMUNAUTÉ DE COMMUNES
COMMUNAUTÉ DE COMMUNES PAYS BEAUME-DROBIE FINANCES INTERCOMMUNALES contact : Sophie Blanc - responsable administrative 04 75 89 80 80 - fax : 04 75 89 80 98 - La Chastelanne 07260 Joyeuse administration@pays-beaumedrobiefr
Plus en détailprojet d établissement
projet d établissement Juin 2010 2010-2014 Synthèse générale du projet d établissement C est dans le contexte nouveau créé, d une part, par la loi HPST qui doit permettre de mettre en place une offre de
Plus en détailMarchés immobiliers : conjoncture et perspectives
Marchés immobiliers : conjoncture et perspectives CB Richard Ellis 16 septembre 2008 Contexte économique Environnement international o L économie mondiale tourne au ralenti (incertitudes financières, inflation,
Plus en détailL Observatoire Crédit Logement / CSA Observatoire du Financement des Marchés Résidentiels. Note de méthode
L Observatoire Crédit Logement / CSA Observatoire du Financement des Marchés Résidentiels Note de méthode La place qu occupe Crédit Logement dans le marché des crédits immobiliers (hors les rachats de
Plus en détailE-ASSURÉS RECHERCHE LE PROFIL DES PERSONNES ASSURANCE SANTÉ DES A LA SUR INTERNET D UNE PUBLIÉ PAR. 23 e ÉDITION
L OBSERVATOIRE PUBLIÉ PAR LE PROFIL DES PERSONNES A LA RECHERCHE DES D UNE E-ASSURÉS 23 e ÉDITION SEPTEMBRE NOVEMBRE 2014 ASSURANCE SANTÉ SUR INTERNET QUI SOMMES-NOUS? PRÉSENTATION DE cmonassurance est
Plus en détailLes questions relatives aux finances publiques, longtemps réservées aux spécialistes, sont
CHAPITRE 1 LES FACTEURS STRUCTURELS DE LA HAUSSE DE L ENDETTEMENT PUBLIC DANS LES PAYS AVANCÉS Les questions relatives aux finances publiques, longtemps réservées aux spécialistes, sont revenues au cœur
Plus en détailasah alpha consulting Prog o ram a m m e e de d e fo f r o mat a i t on o n 2 01 0 5
AUDIT 1 1.1 Evaluation et appréciation du contrôle Auditeurs internes, contrôleurs de gestion Responsables administratifs et financiers ; Durée : 03 jours Maitriser la démarche d évaluation interne Mettre
Plus en détailSystème de bonus-malus Assurance contre les accidents professionnels
Système de bonus-malus Assurance contre les accidents professionnels Principes de base et application Le système de bonus-malus pour l assurance contre les accidents professionnels (SBM 03) détermine le
Plus en détailAnalyse trimestrielle du marché des jeux en ligne en France. Autorité de régulation des jeux en ligne Données T3 2013
1 Analyse trimestrielle du marché des jeux en ligne en France 3 ème trimestre 2013 2 Synthèse des données d activité Les éléments suivants ont été constitués sur la base des données transmises par les
Plus en détailDOCUMENT DE TRAVAIL : ENQUÊTE ANNUELLE SUR LES DANS LES PME DE SEINE-SAINT SAINT DENIS (Données 2012)
Février 2014 DOCUMENT DE TRAVAIL : ENQUÊTE ANNUELLE SUR LES MOUVEMENTS D EMPLOI D DANS LES PME DE SEINE-SAINT SAINT DENIS (Données 2012) Délégation au DéveloppementD Économique, à l Emploi, à la Formation
Plus en détailIndicateur n 1.3 : Ecart entre le taux d intérêt des emprunts de la Sécurité sociale et le taux du marché
82 Partie II Objectifs / Résultats Objectif 1 Garantir la viabilité financière des régimes de Indicateur n 1.3 : Ecart entre le taux d intérêt des emprunts de la Sécurité sociale et le taux du marché 1er
Plus en détailBILANS REGIONAUX DE L EMPLOI
BILANS REGIONAUX DE L EMPLOI DANS L ECONOMIE SOCIALE EN 2013 Cécile BAZIN Marie DUROS Amadou BA Jacques MALET Octobre 2014 INTRODUCTION Pour la septième année consécutive, l Association des Régions de
Plus en détailBilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011. Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie
Bilan d activité des Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) Année 2011 Caisse Nationale de Solidarité pour l Autonomie Préambule : Les Groupes d Entraide Mutuelle (GEM), régis par les articles L. 114-1-1 et
Plus en détailANNEXE N 1 A LA DELIBERATION
CONSEIL REGIONAL D ILE DE FRANCE 3 CP 10-999 ANNEXE N 1 A LA DELIBERATION @BCL@6C0B642B 02/11/10 12:11:00 4 ANNEXE N o 1 : DEFINITION DES CARACTERISTIQUES D EMPLOIS MOTIF DU RECRUTEMENT NATURE DES FONCTIONS
Plus en détailCouverture de la responsabilité civile professionnelle des gynécologues obstétriciens libéraux
Couverture de la responsabilité civile professionnelle des gynécologues obstétriciens libéraux Les pouvoirs publics préfèrent une formule compliquée, inefficace et onéreuse à une solution simple, efficace
Plus en détailÉtude sur les taux de revalorisation des contrats individuels d assurance vie au titre de 2013 n 26 mai 2014
n 26 mai 2014 Étude sur les taux de revalorisation des contrats individuels d assurance vie au titre de 2013 Sommaire 1.INTRODUCTION 4 2.LE MARCHÉ DE L ASSURANCE VIE INDIVIDUELLE 6 2.1.La bancassurance
Plus en détailRéunions publiques janvier 2013. Présentation du Débat d Orientation Budgétaire
Réunions publiques janvier 2013 Présentation du Débat d Orientation Budgétaire 7 février 2011 LE CONTEXTE Une économie mondiale très ralentie En zone Euro : des incertitudes autour de la crise de la dette
Plus en détailCOMMUNICATION PREPAREE PAR M. BRUNO ROBINE AU NOM DE LA COMMISSION DE L EMPLOI ET DU DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE
COMMUNICATION PREPAREE PAR M. BRUNO ROBINE AU NOM DE LA COMMISSION DE L EMPLOI ET DU DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE 4 MAI 2004 LA SITUATION DE L EMPLOI ET DE LA CONJONCTURE ECONOMIQUE EN REGION D ILE-DE-FRANCE
Plus en détailFidéliser ses clients, Pourquoi? Comment? 17 AVRIL 2014
Fidéliser ses clients, Pourquoi? Comment? 17 AVRIL 2014 1 FIDELISER, POURQUOI? Les actions de promotion/communication peuvent être classées en deux grandes catégories. LA CONQUETE S adresse à un large
Plus en détailDélibération 1/8. Molène et Sein. 1 Corse, DOM, Saint-Martin, Saint-Barthélemy, Saint-Pierre et Miquelon et îles bretonnes des Glénans, Ouessant,
Délibération Délibération de la Commission de régulation de l énergie du 9 octobre 2013 portant proposition relative aux charges de service public de l électricité et à la contribution unitaire pour 2014
Plus en détailVisite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015
Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015 CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE RENNES Le CHU de Rennes Etablissement MCO, SSR, SLD de 1860 lits et places
Plus en détailCode du Travail, Art. L6222-23 à L6222-33
F I C H E P R A T I Q U E N 2 R E M U N E R A T I O N E T A I D E S L I E E S A U C O N T R A T D A P P R E N T I S S A G E L apprenti est titulaire d un contrat de travail de type particulier : il est
Plus en détailIntervenants. Philippe SORIA. Gilles GOURMAND. Direction Technique GAN ASSURANCE VIE. Expert-Comptable
Intervenants Philippe SORIA Direction Technique GAN ASSURANCE VIE Gilles GOURMAND Expert-Comptable SOMMAIRE 1- Intérêt d une opération de changement de statut 2- Faisabilité 3- Régime social du dirigeant
Plus en détailCOMPTE RENDU. Atelier-débat avec les futurs clients éligibles. 25 septembre 2002
Paris, le 17 octobre 2002 COMPTE RENDU Atelier-débat avec les futurs clients éligibles 25 septembre 2002 *** I La fourniture d électricité... 2 Les clients éligibles peuvent-ils acheter leur électricité
Plus en détail2.4. Les médicaments de la «liste en sus»
2.4. Les médicaments de la «liste en sus» Dans le cadre de la tarification à l activité (T2A), le financement des médicaments administrés au cours d un séjour hospitalier est assuré selon plusieurs modalités.
Plus en détailFédération des collèges de médecine d urgence Marseille Novembre 2008. 24/10/2008 ROR-IF Dr F. Dolveck
Fédération des collèges de médecine d urgence Marseille Novembre 2008 Dr F. Dolveck 1 Premiers éléments de réflexion Des expériences localisés non concertés (92-91) : Mauvaise connaissance de l offre de
Plus en détailPréparation des programmes européens 2007-2013
Préparation des programmes européens 2007-2013 Présentation AGILE 9h30-10h30 8 Préparation des programmes européens 2007-2013 Le contexte La méthode de travail État d avancement des travaux : bilan, diagnostic
Plus en détailA-QU EST-CE QUE L ORIE? Intervention ADI
A-QU EST-CE QUE L ORIE? 1 A-QU EST-CE QUE L ORIE? Observatoire Régional de l Immobilier d Entreprise en Ile-de-France créé en 1986 dans un contexte de tertiarisation de l économie ; Pour accompagner les
Plus en détailAnalyse trimestrielle du marché des jeux en ligne en France
Analyse trimestrielle du marché des jeux en ligne en France 1 er trimestre 2013 2 Synthèse des données d activité Les éléments suivants ont été constitués sur la base des données transmises par les opérateurs
Plus en détail672ZA Auxiliaires d'assurances
STATISTIQUES PROFESSIONNELLES 23 672ZA Auxiliaires d'assurances EVOLUTION ANNEES 23 / 22 / 21 23 22 21 CHIFFRE D'AFFAIRES 88 62 Nombre d'entreprises 53 8 Ratios Ratios Ratios CHIFFRE D'AFFAIRES 1,, 1,
Plus en détailRapport financier - Exercice 2013
Rapport financier - Exercice 2013 Sommaire Le budget réalisé en 2013 // Résultat de l'exercice 2013 page 4 // Origine des recettes page 4 // Destination des dépenses page 4 Les grands équilibres financiers
Plus en détailAssociations Dossiers pratiques
Associations Dossiers pratiques Optimisez la gestion financière de votre association (Dossier réalisé par Laurent Simo, In Extenso Rhône Alpes) Les associations vivent et se développent dans un contexte
Plus en détailL emploi des jeunes dans les entreprises de l économie sociale et solidaire
L emploi des jeunes dans les entreprises de l économie sociale et solidaire Contexte régional Créé en 2010 par l Atelier Centre de ressources régional de l économie sociale et solidaire et la Chambre régionale
Plus en détailProgramme «financement» - Partie I Données de cadrage
Programme «financement» - Partie I Données de cadrage Indicateur n 4 : Évolution de la structure des recettes du régime général et des régimes d assurance sociale des administrations de sécurité sociale
Plus en détailCrédit à la consommation, un bon outil pour la rentrée?
Crédit à la consommation, un bon outil pour la rentrée? Contexte Empruntis intervient sur le crédit depuis 15 ans 370 000 ménages nous sollicitent chaque année pour leur besoin en crédit à la consommation
Plus en détailAnalyse trimestrielle du marché des jeux en ligne en France. Autorité de régulation des jeux en ligne Données T2 2013
1 Analyse trimestrielle du marché des jeux en ligne en France 2 ème trimestre 2013 2 Synthèse des données d activité Les éléments suivants ont été constitués sur la base des données transmises par les
Plus en détailAnnée propédeutique santé Présentation générale du programme
Année propédeutique Sante 2014-2015 DCA/sbe révision Août 2014 Année propédeutique santé s Présentation générale du programme Introduction et finalités de l année propédeutique santés L objectif de cette
Plus en détailDirection générale de l offre de soins. Guide d élaboration TAC et COMPT EX
Direction générale de l offre de soins Guide d élaboration TAC et COMPT EX Sommaire 1. PREAMBULE... 4 1.1. DEPLOYER LES OUTILS DE LA COMPTABILITE ANALYTIQUE HOSPITALIERE DANS LES ETABLISSEMENTS... 4 1.2.
Plus en détailSimulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé
Simulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé L augmentation des salaires du personnel de l administration publique
Plus en détailEmploi et Formation Secteur Publicité
Rapport statistique Emploi et Formation Secteur Publicité 2009-2010 AFDAS / R&D - Septembre 2012 Sommaire 1. DONNEES SUR L EMPLOI 3 1.1. POINT METHODOLOGIQUE ET PRECAUTIONS D USAGE 4 1.2. LES ENTREPRISES
Plus en détailOBSERVATOIRE DES TARIFS BANCAIRES IEOM
ÉDITION 2013 OBSERVATOIRE DES TARIFS BANCAIRES IEOM RAPPORT D ACTIVITÉ 2012 INSTITUT D ÉMISSION D OUTRE-MER Siège social 164, rue de Rivoli - 75001 Paris Tél. +33 1 53 44 41 41 Fax +33 1 44 87 99 62 Rapport
Plus en détailBilan du programme national de développement des soins palliatifs
Bilan du programme national de développement des soins palliatifs 2008 2012 Juin 2013 2 SOMMAIRE Introduction.5 Rappel des mesures du programme 7 Le développement d une offre de soins palliatifs intégrée
Plus en détailMon calendrier budgétaire
LES FICHES PRATIQUES DE FINANCES & PÉDAGOGIE Mon calendrier budgétaire Sommaire Tableau des recettes-dépenses mensuelles...2-4 Calendrier Mode d emploi...5-6 Janvier Février revenus revenus Juillet Août
Plus en détailDEMANDE DE SOUTIEN - RAVIV. Fonds de Soutien à l Initiative et à la Recherche
DEMANDE DE SOUTIEN - RAVIV Fonds de Soutien à l Initiative et à la Recherche 2015 1 PRESENTATION DE LA STRUCTURE RAViV est un réseau solidaire de compagnies et structures franciliennes de spectacle vivant
Plus en détailDernière mise à jour le 11/09/15 1
Libellé de l UE Libellé de l EC CM Résumés Intervenants SEMESTRE 3 UE 1 : Les politiques publiques sociales (6c) Politiques sociales (3c) Evaluation des politiques publiques des secteurs 18 h Par ce cours,
Plus en détailAvis relatif au projet de loi de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2014
Paris, le 12 juin 2014 Avis relatif au projet de loi de financement rectificative de la sécurité sociale pour 2014 Délibération n CONS. 13 12 juin 2014 Projet de loi de financement rectificative de la
Plus en détailBientôt plus d'1 Français sur 10 client d'une banque en ligne.
www.audirep.fr Bientôt plus d'1 Français sur 10 client d'une banque en ligne. Restitution des résultats d une étude menée par internet sur un échantillon de 1 001 personnes représentatives de la population
Plus en détailNouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Position adoptée par Conseil national de l Ordre des infirmiers le 14 septembre 2010 Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Plus en détailFICHE D IMPACT PROJET DE TEXTE REGLEMENTAIRE
FICHE D IMPACT PROJET DE TEXTE REGLEMENTAIRE NOR : FCPT 1414214 D Intitulé du texte : projet de décret relatif aux modalités de calcul du taux annuel effectif de l assurance Ministère à l origine de la
Plus en détaildossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s
dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours lat ransplantation hépatique p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s Contact presse Anne-Karen Nancey - Direction de la communication
Plus en détailLa rémunération de l apprenti :
F I C H E P R A T I Q U E N 2 R E M U N E R A T I O N E T A I D E S L I E E S A U C O N T R A T D A P P R E N T I S S A G E L apprenti est titulaire d un contrat de travail de type particulier : il est
Plus en détailDélibération 1/10. 3 Cet article n existe pas et doit être regardé comme étant l article L.121-19-1 du code de l énergie.
Délibération Délibération de la Commission de régulation de l énergie du 15 octobre 2014 portant proposition relative aux charges de service public de l électricité et à la contribution unitaire pour 2015
Plus en détailLe partenaire des directions financières
Le partenaire des directions financières IFRS due diligences transaction services direction financière fast close reporting controlling évaluation externalisation CSP business plan consolidation Notre
Plus en détailAppel à projets 5,2. Se déplacer Se nourrir Se loger Le reste
Appel à projets " Plan Climat Régional» Soutien de l investissement participatif dans les énergies renouvelables et la maîtrise de l énergie au bénéfice des territoires 1 Contexte : Les grands objectifs
Plus en détailUE 4 Comptabilité et Audit. Le programme
UE 4 Comptabilité et Audit Le programme Légende : Modifications de l arrêté du 8 mars 2010 Suppressions de l arrêté du 8 mars 2010 Partie inchangée par rapport au programme antérieur 1. Information comptable
Plus en détailActivité au 31 décembre 2014. Conférence téléphonique du 3 février 2015
Activité au 31 décembre 2014 Conférence téléphonique du 3 février 2015 Stabilité de l activité en 2014 T4 dynamique CA hors IFRIC 12 au 31 décembre 2014 : 436,6 M vs. 444,0 M soit -1,5% à taux de change
Plus en détailConseil Spécialisé Horticole
Conseil Spécialisé Horticole Observatoire économique et financier des exploitations horticoles et pépinières CER France 6 juin 2014 Observatoire économique des exploitations Horticoles et pépinières exercice
Plus en détailÉtablissement des taux d actualisation fondés sur la meilleure estimation aux fins des évaluations de provisionnement sur base de continuité
Ébauche de note éducative Établissement des taux d actualisation fondés sur la meilleure estimation aux fins des évaluations de provisionnement sur base de continuité Commission des rapports financiers
Plus en détailL IMPACT DE LA MUTUALISATION SUR LES RESSOURCES HUMAINES
ANNEXES L ISTE DES ANNEXES ANNEXE I : ANNEXE II : ANNEXE III : ANNEXE IV : ÉVOLUTION DES DEPENSES DES COMMUNES ET DES EPCI DE 2006 A 2013 OUTILS JURIDIQUES DE MUTUALISATION A DISPOSITION DES ACTEURS LOCAUX
Plus en détailRetraite 83 euro. Retraite 83 euro. La retraite supplémentaire des salariés en toute sécurité
Retraite 83 euro La retraite supplémentaire des salariés en toute sécurité Retraite 83 euro Les contrats de retraite article 83 sont désormais ouverts aux versements individuels et facultatifs des salariés.
Plus en détailLe baromètre. Dauphine-Crédit Foncier. de l immobilier résidentiel. Tendance globale
Le baromètre Dauphine-Crédit Foncier de l immobilier résidentiel Tendance globale N. 3 Juin 2011 Kevin Beaubrun-Diant, co-responsable de la chaire «Ville et Immobilier», Université Paris-Dauphine. Cette
Plus en détailI. Les entreprises concernées et l opération
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Décision n 10-DCC-172 du 29 novembre 2010 relative à la prise de contrôle exclusif de la société Crédit Foncier et Communal d Alsace et de Lorraine Banque par la société Crédit Mutuel
Plus en détailLa Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes. Le Ministre des finances et des comptes publics
Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Direction Générale de l Offre de Soins Sous-direction du pilotage de la performance des acteurs de l offre de soins Bureau de l efficience
Plus en détailSECTEUR SANITAIRE ET SOCIAL
SECTEUR SANITAIRE ET SOCIAL Etat du tissu associatif et bilan de l emploi du secteur non lucratif en 2013 En bref Le Centre de ressources DLA (CRDLA) du champ social, médico-social et santé poursuit son
Plus en détail