Profil de tolérance des analogues nucléos(t)idiques dans le traitement de l hépatite virale B chronique
|
|
- Victorien Bessette
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Virologie 2010, 14 (supplément 1) : S51-S5 Profil de tolérance des analogues nucléos(t)idiques dans le traitement de l hépatite virale B chronique Jean-Pierre Zarski CHU de Grenoble, Unité Inserm/UJF U823 IAPC, Clinique universitaire d hépatogastroentérologie, Institut Albert-Bonniot, BP 217, Grenoble cedex 09, France <jpzarski@chu-grenoble.fr> Résumé. Les analogues de nucléos(t)ides utilisés dans le traitement de l hépatite virale chronique B sont généralement bien tolérés. Ils entraînent peu d effets indésirables à court et moyen termes. La fonction rénale doit être surveillée et la posologie de la molécule adaptée à la clairance de la créatinine. Quelques observations ont été rapportées de myopathies, de neuropathies ou de syndrome de Fanconi, en particulier avec la telbivudine. Pendant la grossesse, seuls la telbivudine et le ténofovir (classés en catégorie B) peuvent être utilisés bien qu il n y ait pas d études prospectives chez l homme. Mots clés : analogue de nucléos(t)ide, tolérance, insuffisance rénale, grossesse Abstract. Nucléos(t)ide analogues used in the treatment of chronic hepatitis B, are usually well tolerated at short and long term. However, several observations have been reported of neuropathy, myopathy, and Fanconi syndrome especially under telbivudine. The main problem is the risk of renal failure requiring the follow-up of creatinine clairance under treatment. During pregnancy telbivudine and tenofovir can be used because of absence of teratogenicity in animals. However, there are no prospective study in human. Key words: Nucleos(t)ide analogue, safety, renal toxicity, pregnancy doi: /vir Les analogues de nucléosides et de nucléotides utilisés actuellement dans le traitement de l hépatite virale chronique B sont essentiellement la lamivudine, l adéfovir dipivoxil, l entécavir et le ténofovir. En effet, d autres analogues ont été retirés du marché en raison de leurs effets indésirables. Ainsi, le premier analogue de nucléosides utilisé était la vidarabine monophosphate ou vidarabine MP qui entraînait des effets indésirables en particulier une neuropathie périphérique dans plus de 20 % des cas. Plus récemment, le développement de la telbivudine a été freiné en raison de la survenue de mutations de résistance, mais aussi d une tolérance clinique insatisfaisante avec, en particulier, un certain nombre de myalgies et de neuropathies. De même, le développement de la clévudine a été arrêté en raison de la survenue d une toxicité cardiaque. Effets secondaires des analogues de nucléosides Ces effets secondaires sont présentés dans le tableau 1. Tirés à part : J.-P. Zarski Lamivudine La lamivudine a été le premier analogue de nucléosides commercialisé à grande échelle [1-3]. Elle est absorbée au niveau gastro-intestinal, et la biodisponibilité se situe normalement entre 80 et 85 % chez l adulte. Elle est éliminée par excrétion rénale sous forme inchangée. La possibilité d interaction métabolique médicamenteuse avec la lamivudine est faible en raison d un métabolisme hépatique limité (5 à 10 %) et d une faible liaison aux protéines plasmatiques. La majeure partie de la lamivudine est éliminée sous forme inchangée dans les urines après filtration glomérulaire et sécrétion active. La clairance rénale représente environ 70 % de l élimination de la lamivudine. Chez les patients ayant une insuffisance rénale, l élimination de la lamivudine est altérée. Il est donc nécessaire de réduire la posologie chez les patients ayant une clairance de la créatinine inférieure à 50 ml/min (50 mg/j ou 100 mg tous les deux jours) et de réduire encore cette posologie lorsque la clairance est inférieure à 30 ml/min (25 mg/j ou 100 mg tous les trois jours). En revanche, chez les malades ayant une insuffisance hépatique, la pharmacocinétique de la lamivudine est inchan- S51
2 Tableau 1. Principaux effets secondaires indésirables des analogues de nucléos(t)ides. Gastro-intestinaux CPK Neuropathie Créatinine Phosphore Nécrose tubulaire Lipase Lamivudine a X Entécavir a XXX XX Telbivudine XXX XX XX XXX Adéfovir XXX XX X Ténofovir a XXX XX X X a Quelques observations d acidose lactique ont été rapportées sous lamivudine, entécavir et ténofovir. gée. La lamivudine peut également être utilisée chez les patients VIH positif à la posologie de 300 mg/j. Après de longues années de pratique dans l ensemble des pays du monde, il est possible de dire que la lamivudine n entraîne pas d effets indésirables significatifs [3-12]. Ainsi, les essais randomisés contre placebo n ont pas montré de différence avec le groupe témoin en termes de symptômes cliniques et de quelques élévations isolées sur le plan biologique de la créatinine kinase, de la lipase ou de l amylase, mais surtout lorsque la dose utilisée était de 300 mg/j. De plus, les études menées chez le patient avec cirrhose [13] n ont pas montré non plus de différence avec le groupe témoin, en termes d effets indésirables graves ou d effets indésirables notifiables, sauf la toux qui était significativement supérieure dans le groupe lamivudine (14 %) par rapport au groupe placebo (7 %). De plus, quelques cas ont été rapportés de myopathie, de neuropathie, de pancréatite et de syndrome de Fanconi, toujours réversibles et survenant chez des patients coïnfectés par le VIH qui, à une dose plus élevée, pouvaient développer aussi des lipoatrophies et une macrocytose asymptomatique. La plupart de ces complications survenaient chez des patients recevant de multiples agents antirétroviraux, et le rôle spécifique de la lamivudine dans la survenue de ces effets indésirables restait mal précisé. Les études menées chez les patients traités cinq ans ou plus ont abouti aux mêmes résultats [6-10]. Au total, on peut dire qu après une longue pratique, la lamivudine n entraîne aucun effet indésirable sérieux. Adéfovir dipivoxil L adéfovir dipivoxil est une prosubstance orale de l adéfovir phosphonate acyclique de l adénosine monophosphate. La biodisponibilité orale de l adéfovir à partir de l adéfovir dipivoxil 10 mg est de 59 %. Après administration d une dose unique de 10 mg, la concentration plasmatique maximale est atteinte après une durée médiane de 1,75 heure. L adéfovir diffuse dans la plupart des tissus, mais les concentrations les plus élevées sont retrouvées dans le rein, le foie et les tissus intestinaux. Après administration orale, l adéfovir dipivoxil est rapidement transformé en adéfovir. Sur la base des données in vitro et des résultats cliniques, il est également possible de dire que le potentiel d interaction médié par le cytochrome P450 entre l adéfovir et d autres médicaments est faible. L adéfovir est éliminé par voie rénale, par un mécanisme associant une filtration glomérulaire et une sécrétion tubulaire active. En cas d insuffisance rénale, la posologie de l adéfovir dipivoxil doit être diminuée selon les données précédemment décrites avec la lamivudine, c est-à-dire un comprimé un jour sur deux lorsque la clairance est inférieure à 50 ml/min. L adéfovir dipivoxil n est pas recommandé chez les patients dont la clairance de la créatinine est inférieure à 30 ml/min et chez les patients sous hémodialyse. L adéfovir dipivoxil est une molécule n entraînant que peu d effets secondaires. Dans les études pivotales contre placebo [14, 15], il n existait pas de différence en termes d effets indésirables notifiables ou d effets indésirables sévères (grade III ou IV) entre les deux groupes. On pouvait simplement noter une augmentation des douleurs abdominales (15 vs 5 %) et des céphalées (24 vs 16 %) chez les patients traités par adéfovir dipivoxil. De plus, il n était pas noté de différence entre les deux groupes, en termes de modification de la créatininémie ou de la phosphorémie. À long terme [16], chez 171 patients traités pendant 240 semaines, on observait des effets indésirables considérés comme sévères dans 25 % des cas, avec en particulier des douleurs abdominales, des nausées, de la fièvre et une pharyngite. Une augmentation de la créatininémie était constatée dans 22 % des cas dans le groupe traité contre 12 % dans le groupe témoin, et l hypophosphorémie n était pas différente entre les deux groupes (3 %). Le mécanisme de néphrotoxicité de l adéfovir pourrait impliquer une altération de l expression de la protéine MDR4 et/ou une déplétion de l ADN mitochondrial provenant de l épithéliome tubulaire rénal. De nombreux patients ont, en effet, une augmentation modérée et réversible de la créatininémie sans hypophosphorémie associée qui s améliore en espaçant les doses ou se résout spontanément avec l arrêt de la molécule. Ainsi, dans une étude pilote, chez 12 patients ayant une résistance à la lamivudine et une insuffisance rénale, l adéfovir donné avec des intervalles de doses suffisants pendant une période de 15 mois S52
3 était efficace, mais la supplémentation au phosphore était nécessaire chez certains patients. De plus, en combinaison avec la lamivudine, voire l entécavir, on n observe pas d augmentation significative de la néphrotoxicité liée à l adéfovir, puisque la prévalence varie entre 8 à 11 %, mais elle oblige à espacer les doses. Au total, l adéfovir dipivoxil a un excellent profil de tolérance clinique et biologique à court et à long terme à la posologie de 10 mg/j. Entécavir L entécavir est un analogue nucléosidique de la guanosine, actif sur la polymérase du VHB et phosphorylé en forme triphosphate active. L entécavir triphosphate inhibe les trois fonctions de la polymérase virale : l amorce des polymérases du VHB, la transcription inverse du brin négatif d ADN à partir de l ARN messager prégénomique et la synthèse du brin positif d ADN du VHB. L entécavir triphosphate est un faible inhibiteur des ADN polymérases cellulaires. L entécavir est rapidement absorbé au niveau gastro-intestinal, mais la biodisponibilité absolue n a pas été déterminée. L entécavir n interagit pas avec le système enzymatique cytochrome P450. L entécavir est principalement éliminé par le rein par un mécanisme associant une filtration glomérulaire et une sécrétion tubulaire franche. En cas d insuffisance rénale, il est donc important d adapter la dose à la clairance de la créatinine et, comme pour les molécules précédentes, de baisser à un comprimé un jour sur deux, lorsque la clairance est inférieure à 50 ml/min. Le profil de tolérance est maintenant connu avec un recul d environ six ans. Dans les études pivotales [17, 18], chez les patients antigène HBe (+) et antigène HBe ( ), la tolérance était excellente et non différente avec le groupe témoin. Les effets indésirables les plus fréquemment constatés étaient les céphalées, une infection du tractus respiratoire supérieur, une pharyngite, une toux, de la fièvre, une douleur abdominale, la fatigue et la diarrhée, mais tous ces effets étaient le plus souvent considérés comme modérés. La fréquence des effets indésirables sévères était également similaire dans les deux groupes. Sur le plan biologique, aucune anomalie particulière n était constatée. Des résultats identiques étaient constatés dans les études testant l efficacité et la tolérance de l entécavir chez les patients ayant un virus lamivudine-résistant [19, 20]. Dans les données dont on dispose, sur une cohorte de patients suivis pendant cinq ans [21], aucun effet indésirable majeur n a été constaté. Durant le développement préclinique, une administration prolongée d entécavir à haute dose était associée avec une augmentation de l incidence des tumeurs solides chez l animal en comparaison à un placebo. Toutefois, jusqu à présent, chez l homme, il n a pas été constaté une augmentation de l incidence des tumeurs malignes malgré une utilisation importante chez maintenant plus de malades. Il a été rapporté cinq observations d acidose lactique dans une série de 16 malades ayant une cirrhose posthépatitique B traités par entécavir à la posologie de 0,5-1 mg/j [22]. Dans quatre cas sur cinq, l acidose lactique était réversible après l arrêt du traitement, mais chez un malade, elle a été suivie du décès. Chez les cinq patients, la fonction hépatique était altérée. Ces résultats suggèrent qu une surveillance accrue des malades sous entécavir ayant une cirrhose avec insuffisance hépatocellulaire est absolument nécessaire. Telbivudine La telbivudine est un analogue de nucléoside approuvé en 2006 à la posologie de 600 mg/j dans le traitement de l hépatite virale chronique B. Les études multicentriques internationales ont montré, après deux ans de traitement, un profil de tolérance identique à celui de la lamivudine [23-26] et de l adéfovir [27]. Cependant, une incidence plus élevée d augmentation du sérum créatinine phosphokinase (CPK) était constatée chez les patients traités par telbivudine par rapport à ceux traités par lamivudine (12,9 vs 4,1 %). De plus, deux patients traités développaient une myopathie symptomatique résolutive après l arrêt du traitement. Il a été également rapporté une neuropathie périphérique sévère dans 17 % des cas chez les patients traités par combinaison d interféron pégylé alpha-2a et de telbivudine ; pour cette raison, la telbivudine ne doit pas être utilisée en combinaison avec le Peg-interféron. On ne dispose pas, en revanche, d un recul suffisant pour décrire le profil de tolérance à long terme, de même que celui observé chez les patients ayant une cirrhose, une transplantation ou une insuffisance rénale. Au total, compte tenu des effets indésirables décrits, la créatininémie et les CPK doivent être dosés avant traitement et tous les trois à six mois pendant le traitement ou bien évidemment si des symptômes musculosquelettiques apparaissent. Ténofovir disoproxil Le ténofovir disoproxil est une prosubstance et un ester hydrosoluble rapidement transformé in vivo, en ténofovir et en formaldéhyde. Le ténofovir subit une transformation intracellulaire en ténofovir monophosphate et en ténofovir diphosphate, la substance active. Après administration orale, il est rapidement absorbé et transformé en ténofovir. L administration avec un repas riche en graisses augmente sa biodisponibilité orale. Après administration orale, le ténofovir diffuse dans la plupart des tissus en particulier dans les reins, le foie et l intestin. Il n est pas un substrat pour les enzymes du cytochrome P450 et donc n inhibe pas les médicaments métabolisés par chacune des principales isoenzymes du cytochrome P450 humain. Il est éliminé par voie rénale à la fois par filtration et par un système de transport tubulaire actif, 70 à 80 % environ de la dose S53
4 excrétée se retrouvant sous forme inchangée dans l urine. En cas d insuffisance rénale, il est donc recommandé de modifier la posologie du ténofovir disoproxil, soit un comprimé un jour sur deux lorsque la clairance est inférieure à 50 ml/min, voire un comprimé un jour sur trois lorsqu elle est inférieure à 30 ml/min. En revanche, en cas d insuffisance hépatique, il n a pas été montré d altération de la pharmacocinétique du ténofovir. L efficacité et la tolérance du ténofovir sont actuellement moins connues chez les sujets mono-infectés par le virus de l hépatite B. L étude pivotale ayant testé le ténofovir disoproxil fumarate vs adéfovir dipivoxil, et montrant une efficacité supérieure du ténofovir, a toutefois permis de constater l absence de différence entre les deux molécules en dehors de la nausée, plus fréquente chez les patients traités par ténofovir (9 %) que chez ceux traités par adéfovir dipivoxil (3 %) [28]. Le nombre d effets indésirables graves (grades III à IV) était également identique ainsi que les anomalies biologiques. En particulier, il n était pas constaté d augmentation de la créatininémie ni de modification significative de la clairance de la créatinine dans le groupe traité par ténofovir disoproxil fumarate par rapport à celui traité par adéfovir dipivoxil. Chez le patient VIH, il a été constaté la survenue d une néphrotoxicité dans environ 4 % des cas, mais la majorité des patients pouvaient poursuivre le traitement en réduisant les doses. Une hypophosphorémie était également constatée dans 4 % des cas, mais peu de malades nécessitaient une supplémentation en phosphore. En revanche, plusieurs observations ont été rapportées de syndrome de Fanconi, de diabète insipide et plus exceptionnellement d insuffisance rénale aiguë chez le patient VIH positif. Cette néphrotoxicité connue chez le patient VIH, oblige en pratique clinique à surveiller la créatininémie, le phosphore et l ionogramme urinaire tous les trois mois pendant le traitement par ténofovir, particulièrement chez les malades connus comme ayant une insuffisance rénale ou prédisposés à celle-ci. D ailleurs, Von Boemmel et al. [29] ont étudié la clairance de la créatinine en pratique courante à l aide des formules MDRD et Cockroft. Après 60 mois de traitement chez 34 patients, ils observaient une baisse respective de 10,3 ml/min, soit 11 % selon MDRD, et de 16 ml/min, soit 13 % selon Cockroft. La différence était, quelle que soit la formule, statistiquement significative. Récemment, quelques cas de réduction de la densité osseuse ainsi que d ostéomalacie ont été également rapportés chez le patient VIH recevant un traitement au long cours par le ténofovir. Cependant, la réduction de la densité osseuse pendant les 48 premières semaines de traitement était ensuite stable et non associée à des symptômes. Une mesure régulière de la densitométrie osseuse et l utilisation de calcium ainsi que de vitamine D est donc recommandée chez le patient infecté par le VIH et recevant un traitement prolongé par le ténofovir ; ce risque, en termes de coût/bénéfice, doit également être bien étudié chez l enfant. D autres effets indésirables ont également été rapportés chez le patient VIH, en particulier une redistribution des graisses, mais sans lipoatrophie avérée. Grossesse La transmission verticale du virus de l hépatite B, à partir d une mère virémique à l enfant, est bien établie et nécessite une sérovaccination à la naissance. Cependant, il existe des facteurs de risque de transmission incluant une mauvaise compliance avec le traitement prophylactique et surtout un taux élevé d ADN du VHB durant le troisième trimestre de la grossesse. Plusieurs études rétrospectives ont montré que la lamivudine, administrée pendant le troisième trimestre de la grossesse chez des femmes sélectionnées ayant une forte charge virale, réduisait le risque de transmission. Sur les cinq agents oraux disponibles, la telbivudine et le ténofovir sont classés en catégorie B (n ont pas un effet tératogène ou embryotoxique connu chez l animal, mais il n y a pas d étude chez l homme), alors que les trois autres agents (lamivudine, entécavir et adéfovir) sont en catégorie C (embryotoxique ou tératogène chez l animal, mais absence d études chez l homme) [30]. Au total, il est possible, durant le troisième trimestre de la grossesse, lorsque l organogenèse est terminée, d administrer un analogue de nucléoside ou de nucléotide s il n est pas possible de l éviter. Il n y a pas d étude prospective comparant l efficacité et la tolérance d un agent vis-à-vis de l autre, mais il est préférable d utiliser un médicament de catégorie B durant le troisième trimestre si cela est possible et s il faut switcher ou ajouter une autre substance, le rapport coût/bénéfice doit alors être envisagé. Les études de registre de grossesses sous antirétroviraux effectuées chez les femmes traitées depuis 1989 aux États-Unis ont montré que la prévalence sous exposition à la lamivudine durant le premier trimestre était de 3,1 % alors que sous ténofovir elle était de 2,2 % sans différence avec une population témoin [31]. On manque par ailleurs de données avec l entécavir, l adéfovir et la telbivudine. Il est donc actuellement recommandé de plutôt utiliser la lamivudine, ou mieux, le ténofovir durant la grossesse chez ces patientes. Conclusion Les analogues de nucléosides et de nucléotides ont un excellent profil de tolérance clinique et biologique à court et moyen termes. Si on dispose actuellement d un recul important pour la lamivudine et l adéfovir dipivoxil avec un grand nombre de malades traités, ces informations sont encore parcellaires pour l entécavir et le ténofovir. La S54
5 prudence reste donc de mise avec en particulier une surveillance biochimique attentive effectuée tous les trois mois et permettant également de tester la compliance du patient. Conflits d intérêts : J.-P. Zarski est consultant pour les laboratoires BMS, Gilead, Novartis, Schering-Plough, Roche et Janssen. Références 1. Dienstag JL, Perrillo RP, Schiff ER, Bartholomew M, Vicary C, Rubin M. A preliminary trial of lamivudine for chronic hepatitis B infection. N Engl J Med 1995 ; 333 : Dienstag JL, Schiff ER, Wright TL, et al. Lamivudine as initial treatment for chronic hepatitis B in the United States. N Engl J Med 1999 ; 341 : Lai CL, Chien RN, Leung NW, et al. A one-year trial of lamivudine for chronic hepatitis B. N Engl J Med 1998 ; 339 : Chang TT, Lai CL, Chien RN, et al. Four-year of lamivudine treatment in Chinese patients with chronic hepatitis B. J Gastroenterol Hepatol 2004 ; 19 : Leung NW, Lai CL, Chang TT, et al. Extended lamivudine treatment in patients with chronic hepatitis B enhances hepatitis B e antigen seroconversion rates: results after 3-year of therapy. Hepatology 2001 ; 33 : Hadziyannis SJ, Papatheodoridis GV, Dimou E, Laras A Papaioannou CEfficacy of long-term lamivudine monotherapy in patients with hepatitis B e antigen-negative chronic hepatitis B. Hepatology 2000 ; 32 : Liaw YF, Leung NW, Chang TT, et al. Effects of extended lamivudine therapy in Asian patients with chronic hepatitis B. Gastroenterology 2000 ; 119 : Lau DT, Khokhar MF, Doo E, et al. Long-term therapy of chronic hepatitis B with lamivudine. Hepatology 2000 ; 32 : Lok AS, Lai CL, Leung N, et al. Long-term safety of lamivudine treatment in patients with chronic hepatitis B. Gastroenterology 2003 ; 125 : Papatheodoridis GV, Dimou E, Dimakopoulos K, et al. Outcome of hepatitis B e antigen-negative chronic hepatitis B on long-term nucleos(t) ide analog therapy starting with lamivudine. Hepatology 2005 ; 42 : Santantonio T, Mazzola M, Iacovazzi T, Miglietta A, Guastadisegni A, Pastore G. Long-term follow-up of patients with anti-hbe/hbv DNA-positive chronic hepatitis B treated for 12 months with lamivudine. J Hepatol 2000 ; 32 : Tassopoulos NC, Volpes R, Pastore G, et al. Efficacy of lamivudine in patients with hepatitis Be antigen-negative/hepatitis B virus DNApositive (precore mutant) chronic hepatitis B. Hepatology 1999 ; 29 : Liaw YF, Sung JJ, Chow WC, et al. Lamivudine for patients with chronic hepatitis B and advanced liver disease. N Engl J Med 2004 ; 351 : Hadziyannis SJ, Tassopoulos NC, Heathcote EJ, et al. Adefovir dipivoxil for the treatment of hepatitis Be antigen-negative chronic hepatitis B. N Engl J Med 2003 ; 348 : Marcellin P, Chang TT, Lim SG, et al. Adéfovir dipivoxil for the treatment of hepatitis B e antigen-positive chronic hepatitis B. N Engl J Med 2003 ; 348 : Hadziyannis SJ, Tassopoulos NC, Heathcote EJ, et al. Long-term therapy with adefovir dipivoxil for HBeAg-negative chronic hepatitis B for up to 5-year. Gastroenterology 2006 ; 131 : Chang TT, Gish RG, de Man R, et al. A comparison of entecavir and lamivudine for HBeAg-positive chronic hepatitis B. N Engl J Med 2006 ; 354 : Lai CL, Shouval D, Lok AS, et al. Entecavir versus lamivudine for patients with HBeAg-negative chronic hepatitis B. N Engl J Med 2006 ; 354 : Chang TT, Gish RG, Hadziyannis SJ, et al. A dose-ranging study of the efficacy and tolerability of entecavir in lamivudine-refractory chronic hepatitis B patients. Gastroenterology 2005 ; 129 : Sherman M, Yurdaydin C, Sollano J, et al. Entecavir for treatment of lamivudine-refractory, HBeAg-positive chronic hepatitis B. Gastroenterology 2006 ; 130 : Chang TT, Lai CL, Yoon SK, et al. Entecavir treatment for up to 5-year in patients with hepatitis Be antigen-positive chronic hepatitis B. Hepatology 2010 ; 51 (in press). 22. Lange CM, Bojunga J, Hofmann WP, et al. Severe lactic acidosis during treatment of chronic hepatitis B with entecavir in patients with impaired liver function. Hepatology 2009 ; 50 : Hou J, Yin YK, Xu D, et al. Telbivudine versus lamivudine in Chinese patients with chronic hepatitis B: results at 1-year of a randomized, double-blind trial. Hepatology 2008 ; 47 : Lai CL, Leung N, Teo EK, et al. A 1-year trial of telbivudine, lamivudine and the combination in patients with hepatitis Be antigenpositive chronic hepatitis B. Gastroenterology 2005 ; 129 : Lai CL, Gane E, Liaw YF, et al. Telbivudine versus lamivudine in patients with chronic hepatitis B. N Engl J Med 2007 ; 357 : Liaw YF, Gane E, Leung N, et al. 2-year Globe trial results: telbivudine is superior to lamivudine in patients with chronic hepatitis B. Gastroenterology 2009 ; 136 : Chan HL, Heathcote EJ, Marcellin P, et al. Treatment of hepatitis B e antigen positive chronic hepatitis with telbivudine or adefovir: a randomized trial. Ann Intern Med 2007 ; 147 : Marcellin P, Heathcote EJ, Buti M, et al. Tenofovir disoproxil fumarate versus adefovir dipivoxil for chronic hepatitis B. N Engl J Med 2008 ; 359 : Von Boemmel F, De Man RA, Ferenci P, et al. Long-term follow-up evaluation of the efficacy and safety of tenofovir disoproxil fumarate (TDF) in a european multicenter (nucleos(t)ide experienced) hepatitis B virus HBV-infected cohort. Hepatology 2009 ; 50 : 409A. 30. Fontana RJ. Side effects of long-term oral antiviral therapy for hepatitis B. Hepatology 2009 ; 49 : S Brown RS, Buti M, Goodwin D, Zhang S, Fagan E. Hepatitis B virus (HBV) drugs in pregnancy: findings from the antiretroviral pregnancy registry. J Hepatol 2009 ; 50 : S4. S55
Virus de l hépatite B
Virus de l hépatite B Virus de l hépatite B Hépatite aiguë B Virus de l hépatite B Hépatite aiguë B Persistance de l antigène HBs 10% - 90% Virus de l hépatite B Hépatite aiguë B faible ou absente Persistance
Plus en détailTRAITEMENT DE L HÉPATITE B
TRAITEMENT DE L HÉPATITE B P Mathurin Service d Hépatogastroentérologie Pr Paris Hôpital Claude Hurriez CHRU Lille CRITERES VIROLOGIQUES ET HISTOIRE NATURELLE 1 OBJECTIF THERAPEUTIQUE: Séroconversion HBe
Plus en détailTraitements de l hépatite B
Traitements de l hépatite B S Matheron Service des maladies infectieuses et tropicales A Hôpital Bichat-Claude Bernard Virus de l hépatite B: histoire naturelle Contage Hépatite aigüe 70% asymptomatique
Plus en détailF ZOULIM. Traitement du VHB : Interféron ou anti-viraux
F ZOULIM Traitement du VHB : Interféron ou anti-viraux - Connaître les objectifs du traitement - Connaître les résultats immédiats et à long terme des traitements - Savoir choisir une option thérapeutique
Plus en détailPlace de l interféron dans le traitement de l hépatite B chez le patient co-infecté VIH
Place de l interféron dans le traitement de l hépatite B chez le patient co-infecté VIH Lionel PIROTH CHU Dijon, Université de Bourgogne Tours juin 2012 Un problème? VIH-VHB Piroth L et al, J Hepatol,
Plus en détailTraitement des hépatites h chroniques virales B et C
Traitement des hépatites h chroniques virales B et C Dr Joanna POFELSKI Service d hépatod pato-gastroentérologierologie CH d Annecyd Particularités? Virus hépatotropes / cytopathogènes : lésions hépatiques
Plus en détailTraitement de l hépatite C: données récentes
Traitement de l hépatite C: données récentes J.-P. BRONOWICKI (Vandœuvre-lès-Nancy) Tirés à part : Jean-Pierre Bronowicki Service d Hépatogastroentérologie, CHU de Nancy, 54500 Vandœuvre-lès-Nancy. Le
Plus en détailHépatite chronique B Moyens thérapeutiques
Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Dr Olfa BAHRI Laboratoire de Virologie Clinique Institut Pasteur de Tunis INTRODUCTION Plus de 300. 10 6 porteurs chroniques de VHB dans le monde Hépatite chronique
Plus en détailTraitement des hépatites virales B et C
Traitement des hépatites virales B et C GFMER Yaoundé 26 Novembre 2007 Dr José M Bengoa foie cirrhotique foie normal Vitesse de développement de la fibrose fibrose VHD VHB VHC années Indications au traitement
Plus en détailTraitement de l hépatite B : dernière heure
Traitement de l hépatite B : dernière heure Patrick Marcellin, Service d'hépatologie et INSERM U481 Hôpital Beaujon, Clichy. Traitement actuel Trois médicaments sont actuellement disponibles pour le traitement
Plus en détailChristian TREPO, MD, PhD
PEG INTERFERON MONOTHERAPI E Christian TREPO, MD, PhD Unmet medical needs in chronic HBV infection Inhibition of viral replication Normalisation of ALT Improvement in liver necroinflammation Improvement
Plus en détailHVC CHRONIQUE MOYENS THERAPEUTIQUES ET BILAN PRE-THERAPEUTIQUE CHAKIB MARRAKCHI. http://www.infectiologie.org.tn
HVC CHRONIQUE MOYENS THERAPEUTIQUES ET BILAN PRE-THERAPEUTIQUE CHAKIB MARRAKCHI LES MOYENS THERAPEUTIQUES Les interférons La ribavirine Les nouveaux produits INTERFERONS 1957: activité antivirale Interférence
Plus en détailQuantification de l AgHBs Pouquoi? Quand?
Quantification de l AgHBs Pouquoi? Quand? Michelle Martinot-Peignoux Service d Hépatologie Hôpital Beaujon Université Paris-Diderot INSERM U-773/CRB3 Clichy-France Plan Introduction Applications Cliniques
Plus en détailL hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015
L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 Objectifs de la présentation Décrire l évolution clinique et la prise en charge d
Plus en détailLe titrage de l AgHBs: un témoin du statut du patient et de la réponse au traitement. Denis Ouzan Institut Arnault Tzanck, Saint-Laurent-du-Var
Le titrage de l AgHBs: un témoin du statut du patient et de la réponse au traitement Denis Ouzan Institut Arnault Tzanck, Saint-Laurent-du-Var Objectifs pédagogiques Connaitre les problèmes pratiques posés
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailY a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin
Y a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin Objectifs thérapeutiques Inhibition de la réplication virale Négativation
Plus en détailGuide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B
Guide du parcours de soins Titre ACTES ET PRESTATIONS AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Février 2015 Ce document est téléchargeable sur : www.has-sante.fr Haute Autorité de Santé Service des
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. 10 décembre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 décembre 2008 VIRAFERONPEG 50 µg/ 0.5 ml, poudre et solvant pour solution injectable B/1 : code CIP 355 189.3 B/4 : code CIP 355 191.8 VIRAFERONPEG, stylo pré-rempli
Plus en détailLES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES. Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris
LES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris 8 Avant l introduction des traitements antirétroviraux hautement actifs (HAART), la majorité des patients
Plus en détailHépatite B. Le virus Structure et caractéristiques 07/02/2013
Hépatite B Le virus Structure et caractéristiques o o o Famille des Hepadnaviridae Genre orthohepadnavirus Enveloppé, capside icosaédrique, 42 nm 1 Le virus Structure et caractéristiques En microscopie
Plus en détailCommuniqué de presse. Direction Communication Externe/Interne Sylvie Nectoux TEL : 01 44 34 65 73 Email : sylvie.nectoux@boehringeringelheim.
Les données des études pivots de phase III STARTVerso démontrent l'efficacité du faldaprevir * dans des populations de patients difficiles à guérir telles que celles co-infectées par le VIH et celles avec
Plus en détailConcepts cliniques et intervention efficaces
Concepts cliniques et intervention efficaces Traitement de l hépatite B chronique: Pourquoi, quand et comment? Pr Jean-Michel Pawlotsky Université Paris XII Créteil, France Cas clinique: Les choix en matière
Plus en détailLISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B
LISTE DES ACTES ET PRESTATIONS - AFFECTION DE LONGUE DURÉE HÉPATITE CHRONIQUE B Actualisation février 2009 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailBonne lecture!! et si vous souhaitez consulter le document de l AFEF dans son intégralité, c est ici
Un résumé des recommandations éditées par l AFEF le 1 er juin 2015 Les recommandations de l AFEF vont plus loin que celles de l EASL. Le Pr Victor De Lédinghen, du CHU de Bordeaux, et secrétaire général
Plus en détailProfesseur Diane GODIN-RIBUOT
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 5 : Mesure de la fonction rénale : la clairance rénale Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailLe RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire
Le RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire Dr Florence Parent Service de Pneumologie et Soins Intensifs de Pneumologie Hôpital Bicêtre, AP-HP Inserm U999. Université Paris-Sud Traitement anticoagulant
Plus en détailMarseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique
Marseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique Dominique Larrey Service d Hépatogastroenterologie et transplantation Hôpital Saint Eloi CHU Montpellier
Plus en détailCo-infection HVB HVC CO-infection VIH HVB et HVC
Co-infection HVB HVC CO-infection VIH HVB et HVC Abdelfattah CHAKIB Faculté de médecine et de pharmacie de Casablanca Service des maladies infectieuses, CHU Ibn Rochd 06 61 42 91 64 afchakib@gmail.com
Plus en détailL ABC DES HÉPATITES VIRALES
2008, 63, n 1 Journal de Pharmacie de Belgique 15 F. Van Bambeke L ABC DES HÉPATITES VIRALES PharmD, PhD, Maître de recherches du FRS, Unité de Pharmacologie cellulaire et moléculaire, Université Catholique
Plus en détailOrdonnance collective
Centre de Santé et de Services sociaux de Québec-Nord NUMÉRO DE L ORDONNANCE: OC-31 Ordonnance collective Nom de l ordonnance: Initier des analyses de laboratoire pour le suivi de la clientèle présentant
Plus en détailVHB, quantification, génotype, mutations de résistance, HBV : Clinical relevance of the new assays
Michelle Martinot-Peignoux *, Bach-Nga Pham **, Patrick Marcellin * VHB : implications cliniques des nouveaux tests ADN VHB RÉSUMÉ Les tests de laboratoire basés sur des techniques de biologie moléculaire
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailPathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013
Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode
Plus en détailPRISE EN CHARGE DE L HEPATITE CHRONIQUE C EN 2009
PRISE EN CHARGE DE L HEPATITE CHRONIQUE C EN 2009 CHU BAB EL OUED DR OSMANE DR MAHIOU PR NAKMOUCHE Evolution du traitement de hépatite c Découverte du génome de l HVC 1989 1989 1989 Evolution du traitement
Plus en détailTraitement des hépatites virales chroniques Treatment of chronic viral hepatitis
Réanimation (2007) 16, 618 625 Disponible en ligne sur www.sciencedirect.com journal homepage: http://france.elsevier.com/direct/reaurg/ MISE AU POINT Traitement des hépatites virales chroniques Treatment
Plus en détailRésistance du virus de l hépatite C aux nouveaux traitements anti-viraux
14 ème forum SOS Hépatites, Lyon Résistance du virus de l hépatite C aux nouveaux traitements anti-viraux Dr. Sylvie LARRAT Laboratoire de Virologie CHU Grenoble Hépatite C chronique 180 millions de porteurs
Plus en détailGUIDE AFFECTION DE LONGUE DURÉE. Hépatite chronique B
GUIDE AFFECTION DE LONGUE DURÉE Hépatite chronique B Octobre 2006 Ce guide médecin est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication 2 avenue du Stade de France F 93218
Plus en détailLes hépatites virales chroniques B et C
Les hépatites virales chroniques B et C www.aqodad.ma Service d hépato-gastroentérologie CHU HASSAN II; Fès 6èmes journées médicales d Al Hoceima; Le 28 09 2013 1 Introduction Problème majeur de santé
Plus en détailFrench Version. Aciclovir Labatec 250 mg (For Intravenous Use Only) 02/2010. Product Information Leaflet for Aciclovir Labatec i.v.
Product Information Leaflet for Aciclovir Labatec i.v. 250 mg French Version Aciclovir Labatec i.v. Composition Principe actif: Aciclovirum ut Acicloviri natricum (Praeparatio cryodesiccata). Excipients:
Plus en détailHépatite C une maladie silencieuse..
Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle
Plus en détailMonographie de produit
Pr COMPLERA MD (emtricitabine/rilpivirine/ fumarate de ténofovir disoproxil) en comprimé 200 mg d emtricitabine 25 mg de rilpivirine comme chlorhydrate de rilpivirine 300 mg de fumarate de ténofovir disoproxil
Plus en détailTraitement des hépatites virales
Traitement des hépatites virales Philippe Sogni Hépato-gatroentérologie gatroentérologie,, Hôpital Cochin et Faculté de Médecine Paris 5 Sogni 1 Hépatite chronique C Sogni 2 Prévalence en France des Ac..
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailHépatite C, les nouveaux traitements
Hépatite C, les nouveaux traitements Dr Ghassan Riachi CHU de Rouen QDN 2014 Revue de presse p L hépatite C est une maladie curable Peginterferon + DAAs 2011 Standard Interferon 1991 + Ribavirin 1998 2001
Plus en détailINTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES
INTERET PRATIQUE DU MDRD AU CHU DE RENNES QU EST-CE QUE LE MDRD? Il s agit d une formule permettant d estimer le débit de filtration glomérulaire et donc la fonction rénale La formule est la suivante :
Plus en détailHépatite = inflammation du foie. Pr Bronowicki CHU Nancy - 17.11.2011 Conférence mensuelle - section de Forbach
Hépatite = inflammation du foie Pr Bronowicki CHU Nancy - 17.11.2011 Conférence mensuelle - section de Forbach 1 Hépatites virales chroniques 2 Histoire naturelle Hépatite aiguë Guérison Hépatite chronique
Plus en détailTraitement des hépatites virales
Traitement des hépatites virales IFMT Séminaire hépatites mai 2006. IFMT-MS-Sémin Hépatites-2006 1 Principes de base 1. Hépatites aigues : on ne traite pas! (VHA, VHE, VHB aigue) aucun traitement n a fait
Plus en détailLe VIH et votre foie
Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)
Plus en détailACTUALITES THERAPEUTIQUES. Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012
ACTUALITES THERAPEUTIQUES Dr Sophie PITTION (CHU Nancy) Metz, le 2 Juin 2012 Traitement de fond Objectifs: Réduire le nombre de poussées Arrêter ou freiner la progression du handicap Les traitements disponibles
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détail1. Différentes hépatites/ différents traitements
III. Traitements 55 1. Différentes hépatites/ différents traitements Se faire soigner 1.1 Traitements des hépatites virales D après les expériences pratiques et la littérature scientifique, le traitement
Plus en détailCours de Mme Ollivier. Le 17.12.2008
Pharmacologie de la pathologie VIH : Les anti-rétroviraux Rôle infirmier dans la prise en charge du patient sous ARTV : éducation, prévention et gestion des effets secondaires Cours de Mme Ollivier Le
Plus en détailTraitement des Hépatites Chroniques Virales B et C
Réunion Tunisienne de Consensus Organisée par La Société Tunisienne de Gastro-entérologie Sous l égide de La Société Tunisienne des Sciences Médicales Traitement des Hépatites Chroniques Virales B et C
Plus en détailESMO 14. L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie
ESMO 14 L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie Cancer du SEIN Taxotere hebdo pas mieux et plus toxique Perrone F et al Ann Oncol 2014 Phase III : CMF vs Taxotere hebdo
Plus en détailVers la guérison de l hépatite B? les pistes
Vers la guérison de l hépatite B? les pistes Pr Tarik Asselah MD, PhD Service d Hépatologie INSERM U773, CRB3 University Paris Diderot Hôpital Beaujon, Clichy tarik.asselah@bjn.aphp.fr Guérir l hépatite
Plus en détailActualités sur le Virus de l'hépatite C
CBP CHRU Lille Actualités sur le Virus de l'hépatite C 2.0 ANNE GOFFARD UNIVERSITÉ LILLE 2 DROIT ET SANTÉ FACULTÉ DES SCIENCES PHARMACEUTIQUES ET BIOLOGIQUES DE LILLE 2012 Table des matières I - Épidémiologie
Plus en détailDiagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux
Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055
Plus en détailAvis 29 mai 2013. XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA.
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 29 mai 2013 XYZALL 5 mg, comprimé B/14 (CIP : 34009 358 502 4-9) B/28 (CIP : 34009 358 505 3-9) Laboratoire UCB PHARMA SA DCI Code ATC (2012) Motif de l examen Liste
Plus en détailDiagnostic et suivi virologique des hépatites virales B et C. Marie-Laure Chaix Virologie Necker
Diagnostic et suivi virologique des hépatites virales B et C Marie-Laure Chaix Virologie Necker OUTILS DIAGNOSTIQUES VHC Transaminases Recherche des Anticorps! Tests indirects - Anticorps! ELISA! RIBA
Plus en détailRELPAX. hydrobromure d élétriptan
RELPAX hydrobromure d élétriptan * Pharmacocinétique * Toxicologie * Formulation galénique * Essais cliniques * Conclusion * Pharmacocinétique * Toxicologie * Formulation galénique * Essais cliniques *
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailLES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS
LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines
Plus en détailNouveaux Anti-thrombotiques. Prof. Emmanuel OGER Pharmacovigilance Pharmaco-épidémiologie Faculté de Médecine Université de Rennes 1
Nouveaux Anti-thrombotiques Prof. Emmanuel OGER Pharmacovigilance Pharmaco-épidémiologie Faculté de Médecine Université de Rennes 1 Classification Antithrombines directes o Ximélagatran EXANTA o Désirudine
Plus en détailArthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes
Arthralgies persistantes après une infection à chikungunya: évolution après plus d un an chez 88 patients adultes G Borgherini 1, A Gouix 1, F Paganin 1, A Jossaume 1, L Cotte 2, C Arvin-Berod 1, A Michault
Plus en détailSuivi Biologique des Nouveaux Anticoagulants
Suivi Biologique des Nouveaux Anticoagulants M.M. Samama, M-H. Horellou, C. Flaujac, J. Conard Groupe Hémostase-Thrombose Hôtel-Dieu L. Le Flem, C. Guinet, F. Depasse Biomnis - Ivry sur Seine TFPI TFPI
Plus en détailMme BORGHI Monique Infirmière ETP Mme ALEXIS Françoise Hopital Archet I Infectiologie/Virologie Clinique
Mme BORGHI Monique Infirmière ETP Mme ALEXIS Françoise Hopital Archet I Infectiologie/Virologie Clinique Une hépatite est une inflammation du foie causée soit par des substances toxiques (médicaments,
Plus en détailPlan. Introduction. Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé. Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or
Plan Introduction Les Nouveaux Anticoagulants Oraux et le sujet âgé Audit de prescription au Centre Hospitalier Geriatrique du Mont d Or Introduction NACO: une actualité brûlante! AVK: Plus forte incidence
Plus en détailchronique La maladie rénale Un risque pour bon nombre de vos patients Document destiné aux professionnels de santé
Document destiné aux professionnels de santé Agence relevant du ministère de la santé La maladie rénale chronique Un risque pour bon nombre de vos patients Clés pour la dépister et ralentir sa progression
Plus en détailTraitement de l hépatite C chez le sujet infecté par le VIH Actualités 2004
Traitement de l hépatite C chez le sujet infecté par le VIH Actualités 2004 Pr C. PERRONNE Service des Maladies Infectieuses et Tropicales Hôpital Raymond Poincaré Faculté de Médecine Paris - Ile de France
Plus en détailPrise en charge du. Dr FERNANE.Arezki Hôpital André Grégoire Montreuil
Prise en charge du nouveau-né de mère m HIV Dr FERNANE.Arezki Hôpital André Grégoire Montreuil GROSSESSE Chez une femme infecté par le VIH,la grossesse est a risque = prise en charge multidisciplinaire
Plus en détailHépatite B. Risques, prévention et traitement. Prof. Dr méd. Stefan Zeuzem. European Liver Patients Association
Prof. Dr méd. Stefan Zeuzem Hépatite B Risques, prévention et traitement European Liver Patients Association F. De Renesselaan, 57 B - 3800 Sint-Truiden, Belgium email: contact@elpa-info.org Chère patiente,
Plus en détailRapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa
Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa Au titre de son initiative de transparence, le CEPMB publie les résultats des examens des prix des nouveaux médicaments brevetés effectués par les membres
Plus en détailABL and Evivar Medical for Strategic Partnership and Alliance in HIV and Hepatitis
ABL and Evivar Medical for Strategic Partnership and Alliance in HIV and Hepatitis Conférence de Presse ABL SA - Chambre de Commerce de Luxembourg - Mardi 29 Septembre 2009, 18h Annonce de Presse ABL and
Plus en détailDocument de synthèse : Hépatite B et hépatite C. Sommaire :
Document de synthèse : Hépatite B et hépatite C Sommaire : Au Canada, l hépatite B et l hépatite C demeurent de graves enjeux de santé publique en raison de taux de prévalence élevés, de coûts élevés pour
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants dans la Fibrillation atriale en pratique
Conflits d intd intérêts (en rapport avec le thème de la conférence) Les nouveaux anticoagulants dans la Fibrillation atriale en pratique Oratrice lors de journées de formation sur les nouveaux anticoagulants
Plus en détailLettre à l éditeur. Résistance du VIH aux Antirétroviraux : Quoi de neuf au Mali? Quelles. perspectives?
Lettre à l éditeur Résistance du VIH aux Antirétroviraux : Quoi de neuf au Mali? Quelles perspectives? HIV Antiretroviral Drug Resistance: What s new in Mali? What is the future? Maiga AI 1,2, Sangare
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailInnovations thérapeutiques en transplantation
Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010
Plus en détailThérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin
Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailLe Comité Scientifique a traité les questions suivantes : «Association reconnue d utilité publique» - 1 -
- 1 - Prise de position de l'association Française pour l'etude du Foie (AFEF) sur les trithérapies (Peg-IFN + ribavirine + inhibiteur de protéase) dans la prise en charge des malades atteints d'hépatite
Plus en détailObservation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas
Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie
Plus en détailALK et cancers broncho-pulmonaires. Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse
ALK et cancers broncho-pulmonaires Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse Toulouse, le 19 Février 2013 Adénocarcinomes : Lung Cancer Mutation Consortium Identification
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants en 2012
Les nouveaux anticoagulants en 2012 Actualités thérapeutiques 1 er décembre 2012 Dr Jérôme CONNAULT Service de Médecine Interne Hôtel-Dieu CHU de Nantes jerome.connault@chu-nantes.fr Pourquoi de nouveaux
Plus en détailEssais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire
Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire Sylvie CHABAUD Direction de la Recherche Clinique et de l Innovation : Centre Léon Bérard - Lyon Unité de Biostatistique
Plus en détailNouveaux Anticoagulants. Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV
Nouveaux Anticoagulants Dr JF Lambert Service d hématologie CHUV Plan Petit rappel d hémostase Anticoagulant oraux classiques Les nouveaux anticoagulants (NAC) Dosage? Comment passer de l'un à l'autre
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 1 er octobre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 1 er octobre 2008 Examen dans le cadre de la réévaluation du service médical rendu de la classe des IMAO B, en application de l article R 163-21 du code de la sécurité
Plus en détailLes triptans. quel casse-tête! Kim Messier et Michel Lapierre. Vous voulez prescrire des triptans? Lisez ce qui suit!
Fédération des médecins omnipraticiens du Québec Les triptans quel casse-tête! Kim Messier et Michel Lapierre Vous voulez prescrire des triptans? Lisez ce qui suit! Les triptans, des agonistes sélectifs
Plus en détailE04a - Héparines de bas poids moléculaire
E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique
Plus en détailL investigation chez la personne infectée par le VIH
P O U R Q U O I P A R L E R D U V I H E N 2 0 0 4? 2 L investigation chez la personne infectée par le VIH quand et comment utiliser les différents tests de laboratoire? par Harold Dion Paul, un homme de
Plus en détailASUD et Principes Actifs. L utilisation du cannabis en addictologie et pour les pathologies liées à l usage de drogues
ASUD et Principes Actifs L utilisation du cannabis en addictologie et pour les pathologies liées à l usage de drogues Présentation F.A. Juin 2014 Modérateur: Laurent APPEL -Asud- Application thérapeutique
Plus en détailPlace du médecin généraliste dans la gestion du traitement de l hépatite C C. Buffet*
Entretiens de Bichat 26 sept. 2013 Salle 352 A 17 h 30 18 h 30 Place du médecin généraliste dans la gestion du traitement de l hépatite C C. Buffet* * Hépatologue, Université Paris XI, Centre de compétence
Plus en détailNouveaux anticoagulants oraux (NOAC)
Nouveaux anticoagulants oraux (NOAC) Mécanisme d action Suivi biologique: comment et quand? A.Demulder IRIS-Lab 15/05/2013 1 Anticoagulants «traditionnels»: HNF Parentéral Suivi biologique avec ajustement
Plus en détailjournées chalonnaises de la thrombose
Nos connaissances certaines et notre pratique journalière : Les Nouveaux Anticoagulants dans la thromboprophylaxie de la chirurgie prothétique du MI Benoit Cots et Jean Marc Royer le 29/11/12-1 Recommandations
Plus en détailLe dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence
Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence On pose fréquemment le diagnostic de migraine sévère à l urgence. Bien que ce soit un diagnostic commun,
Plus en détailPoint d information Avril 2012. Les nouveaux anticoagulants oraux (dabigatran et rivaroxaban) dans la fibrillation auriculaire : ce qu il faut savoir
Point d information Avril 2012 Les nouveaux anticoagulants oraux (dabigatran et rivaroxaban) dans la fibrillation auriculaire : ce qu il faut savoir Le dabigatran (PRADAXA), inhibiteur direct de la thrombine,
Plus en détailVaccinations pour les professionnels : actualités
Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???
Plus en détailMONOGRAPHIE. Pr PEGASYS. peginterféron alfa-2a injectable. Seringues préremplies : 180 µg/0,5 ml. Flacons à usage unique : 180 µg/1 ml
MONOGRAPHIE Pr PEGASYS peginterféron alfa2a injectable Seringues préremplies : 180 µg/0,5 ml Flacons à usage unique : 180 µg/1 ml Autoinjecteur ProClick : 180 µg/0,5 ml Modificateur de la réponse biologique
Plus en détail