Examen de mi-session n o 2 de Microbiologie Générale;
|
|
- Dominique Noël
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Examen de mi-session n o 2 de Microbiologie Générale; Instructions: Cet examen comporte 31 questions à choix multiple sur 8 pages, incluant celle-ci. S il vous plait, soumettre vos réponses sur la feuille de réponses. Cet examen est à livre fermé. Les calculatrices sont permises. Durée: 80 minutes Fournir l information suivante sur cette copie de l examen et sur la feuille de réponses : Nom complet (en lettre d imprimerie s.v.p.): Il est interdit de se servir de téléphones cellulaires, de dispositifs électroniques non autorisés ou de notes de cours (à moins qu il s agisse d un examen à livre ouvert). Les téléphones et les dispositifs doivent être fermés et rangés dans votre sac : vous ne pouvez pas les laisser dans vos poches ou sur votre personne. Sinon, on pourrait vous demander de quitter l examen immédiatement et des allégations de fraude scolaire pourraient être déposées dont le résultat pourrait être un 0 (zéro) pour l examen. En apposant votre signature, vous reconnaissez vous être assuré de respecter l énoncé ci-dessus. Formules : g = t/n N = No (2 n ) µ = ln2/g A = 2 b loga = log2 b loga = bloga Log (N/N 0 ) =-t/d -kt = ln (N o /N) -Z = (T 1 -T 2 )/(logd 1 -logd 2 )
2 Examen de mi-session n o 2 de Microbiologie Générale; Considérez le catabolisme en aérobie du glucose. Quel (s) intermédiaire (s) a (ont) un potentiel redox qui est (sont) plus élevé (s) que le NAD + /NADH, mais plus faible que l O 2 /H 2 0? A. Glucose. B. FAD + /FADH. C. Pyruvate. D. Glycéraldehyde-3-phosphate (PGAL). E. C et D. 2. Les microorganismes A et B utilisent la même source d électrons et des capteurs finaux d électrons organiques. L organisme A génère plus d énergie que l organisme B. Quel énoncé POURRAIT donc être VRAI? A. Le capteur final d électrons utilisé par A est plus réduit que celui utilisé par B. B. Le capteur final d électrons utilisé par A a un potentiel REDOX plus élevé que celui utilisé par B. C. Le capteur final d électrons utilisé par B est plus oxydé que celui utilisé par A. D. A fait la respiration aérobique tandis que B fait la fermentation. E. B fait la respiration anaérobique tandis qu A fait la respiration aérobique. 3. La croissance de deux microorganismes, X et Y, est examiné dans différents milieux, A et B. Les compositions des milieux sont les suivantes : Milieu A Lactose Sulfate d ammonium Phosphate de potassium Milieu B Glucose Extrait de jaune d œuf Le microorganisme X a bien cru dans les deux milieux, tandis que le microorganisme Y pouvait seulement croître dans le milieu B. Quelle (s) conclusion (s) peut (peuvent) être tirée (s) d après cette information? A. X à une capacité biosynthétique plus élevée qu Y. B. X a besoin d un milieu complexe pour croître tandis qu Y a besoin d un milieu défini. C. X doit avoir moins d enzymes biosynthétiques comparativement à Y. D. Y a des besoins nutritionnels plus élevés que X. E. A et D. 4. Les microorganismes A et B sont crus en présence ou en absence du bleu de méthylène, un capteur organique d électrons. Le microorganisme A génère de colonies blanches en présence ou en absence du bleu de méthylène. Le microorganisme B avait des colonies roses en présence du bleu de méthylène et des colonies blanches en son absence. Quelle conclusion peut être tirée d après cette information? A. Le bleu de méthylène rend ce milieu sélectif. B. Le bleu de méthylène rend ce milieu différentiel. C. Le bleu de méthylène est oxydé par B. D. B fait la respiration. E. A est incapable de faire la fermentation.
3 Examen de mi-session n o 2 de Microbiologie Générale; o C 58 o C 20% O 2 5% O 2 0% O 2 20% O 2 5% O 2 0% O 2 Microorganisme X : Croissance abondante ++: Croissance modérée + : Faible croissance - : Aucune croissance Quelle conclusion peut être tirée à propos du microorganisme X? A. C est un aérobie strict qui est thermotolérant. B. C est un aérobie strict qui est thermophilique. C. C est un microaérophile qui est mésophilique. D. C est un aérobie strict qui est mésophilique. E. C est un anaérobie facultatif qui est thermotolérant. 6. La photosynthèse par les cyanobactéries génère de l oxygène suite à la réduction de? A. L eau. B. Un pigment photosynthétique. C. Le glucose. D. Le H 2 SO 4. E. Aucun de ces composés. 7. Un antibiotique qui inhibe la synthèse de l ATP associée aux réactions d oxydoréductions de la chaine de transport d électrons (CTE) est ajouté à une culture d une bactérie strictement aérobique qui utilise le glucose comme source d énergie. Cette bactérie peut quand même faire la réduction de l oxygène par la CTE, mais sans la synthèse d ATP associée. Laquelle de ces conséquences serait attendue en présence de cet antibiotique? A. Éventuellement la glycolyse cesserait. B. Les intermédiaires du cycle de Krebs ne seraient pas synthétisés. C. Il y aurait un arrêt de croissance dû à un manque d ATP. D. Le rendement d ATP par molécule de glucose serait plus faible. E. La bactérie ferrait la fermentation du glucose. 8. Lequel (lesquels) de ces énoncés au sujet des moyens de générer de l énergie est (sont) VRAI (s)? A. Tous les moyens utilisés pour la génération d énergie impliquent la réduction d un composé avec un potentiel REDOX plus positif par un composé avec un potentiel REDOX plus négatif. B. Tous les moyens utilisés pour la génération d énergie impliquent la réduction d un composé avec un potentiel REDOX plus négatif par un composé avec un potentiel REDOX plus positif. C. Toutes les réactions d oxydoréductions génèrent l ATP. D. Seulement certains sentiers qui mènent à la génération d ATP impliquent des réactions d oxydoréductions. E. A et D.
4 Examen de mi-session n o 2 de Microbiologie Générale; Une bactérie qui peut croître dans lequel de ces environnements doit avoir l a w interne (à l intérieur de la cellule) le plus faible? A. L eau distillée. B. Le miel. C. Le sang humain. D. Une table en bois. E. L eau de mer. 10. Quel (s) microorganisme (s), s il y en a, NE pourrait PAS croître sur des tranches de melon d eau (aw approximatif 0.99)? A. Un halophile, tel que Vibrio cholera. B. Une levure, telle que Saccharomyces cerevisiae. C. Une bactérie, telle qu Escherichia coli, qu on retrouve dans les intestins des mammifères. D. Un organisme qui fait des spores, tel que Bacillus subtilis. E. Tous ces microorganismes pourraient croître sur des tranches de melon d eau. 11. Pour que la glycolyse procède normalement, elle doit avoir un apport continu de glucose et de quoi d autre? A. Pyruvate. B. NAD +. C. NADH. D. FAD +. E. O Lequel de ces énoncés décrit le plus précisément un procédé de fermentation? A. L oxydation du glucose au CO 2 et de l H 2 O. B. La réduction du glucose au pyruvate. C. La réduction du glucose à un sous produit organique tel que l acide lactique. D. L oxydation du pyruvate en absence d oxygène. E. La réduction du pyruvate en absence d oxygène. 13. Quel (s) groupe (s) d organismes pourrait (ent) utilisé (s) une source organique d électrons et un capteur final organique d électrons pour faire la photosynthèse? A. Les cyanobactéries. B. Les bactéries pourpres sulfureuses. C. Les bactéries pourpres non sulfureuses. D. Des pathogènes humains qui appartiennent au groupe des Protéobacteries. E. A et C. 14. Quel sentier métabolique implique l oxydation d un produit organique de la glycolyse par le NAD? A. La respiration aérobique. B. La respiration anaérobique C. La fermentation. D. La glycolyse. E. Le cycle de Krebs.
5 Examen de mi-session n o 2 de Microbiologie Générale; Durant quel (s) stade (s) de la fission binaire d une cellule bactérienne Gram positive est-ce que la pénicilline serait efficace? A. L élongation cellulaire. B. Formation du septum. C. Séparation des cellules. D. A et B. E. A, B et C. 16. Un compte viable est fait sur un échantillon de sang infecté par Neisseria gonorrhoeae. Chaque représente issue de. A. Cellule, une colonie, UFC B. Colonie, un UFC, 2 cellules C. UFC, 2 cellules, une colonie D. Colonie, une génération, une cellule E. UFC, 2 cellules, plusieurs générations 17. Un compte direct est fait sur une culture bactérienne qui contient 2 X cellules/ml. La lame d hématimètre utilisée avait une cellule de comptage avec les dimensions suivantes : 0.1 mm X 0.2 mm X 0.01 mm et un total de 50 carrés. Quel est le nombre moyen de cellules que vous prévoyez d observer dans un des carrés? A. 100 cellules. B. 80 cellules. C. 40 cellules. D. 250 cellules. E. Aucune de ces réponses n est exacte. 18. Durant quelle phase de croissance est-ce que le besoin de l intermédiaire métabolique, l alpha-kétoglutarate, serait le plus élevé? A. La phase de latence. B. La phase exponentielle. C. La phase stationnaire. D. La phase de mortalité. E. Il n y aurait pas de différences dans le besoin de cet intermédiaire dans les différentes phases de croissances. 19. Une culture bactérienne qui a un temps de doublement de 15 minutes contient X cellules à midi. Présumant une croissance exponentielle, à quelle heure est-ce que le nombre de cellules était 1/16 e de X? A. À 11h. B. À 11h30. C. À 10h. D. À 10h30. E. À 9h.
6 Nombre de cellules/ml (X 10 8 ) Examen de mi-session n o 2 de Microbiologie Générale; Consultez le graphique suivant pour répondre aux questions 20 et Quelle est la valeur n approximative pour les 280 premières minutes? A. 9. B. 5. C. 12. D. 7. E Un compte viable est fait sur un échantillon récolté à 160 minutes. Combien d UFC sont attendus pour un étalement de 0.1 ml d une dilution de 10-6? A B C D E Temps (Min.)
7 Examen de mi-session n o 2 de Microbiologie Générale; La densité optique d une culture de B. subtilis (un grand bacille, streptobacilli) est la même que celle d une culture d E.coli (un petit bacille, diplobacille). Puisque toutes les conditions étaient les mêmes, laquelle (lesquelles) de ces conclusions est correcte? A. Le nombre de cellules bactériennes dans les deux cultures est approximativement le même. B. La culture d E. coli doit contenir plus de cellules que la culture de B. subtilis. C. La culture de B. subtilis doit contenir plus de cellules que la culture d E.coli. D. Si des comptes viables étaient faits à partir des mêmes dilutions des deux cultures et que toutes les cellules sont vivantes, la culture de B. subtilis aurait moins d UFC que la culture d E. coli. E. B et D. 23. Une bactérie est cultivée en présence de soit 1g ou 2g d un nutriment limitant (cultures «A» et «B» respectivement). La culture «A» avait initialement 3 X 10 8 cellules et un temps de génération de 30 minutes. La culture «B» avait initialement 1 X 10 8 cellules et un temps de génération de 20 minutes. Les deux cultures ont atteint la phase stationnaire et épuisé le nutriment après 180 minutes de croissance. Quelle culture aurait l Yg le plus élevé sous les conditions de croissances décrites? A. La culture A. B. La culture B. C. Les valeurs d Yg seraient les mêmes pour les deux cultures. D. Cette information ne peut pas être déterminée à partir de l information donnée. 24. Une bactérie a un taux de croissance (µ) de 0.01 cellule/min. Avec approximativement combien de bactéries devriez vous inoculer une culture pour obtenir 9 x 10 7 bactéries après 24 heures? A. 9. B. 22. C. 50. D E Contre quel (s) microorganisme (s) est-ce que ces DEUX composés seraient efficaces? A. Des virus nus. B. Clostridium tetani. C. Escherichia coli. D. Les fungi. E. C et D. 26. Quel mode d action est commun aux deux composés illustrés dans la question précédente? A. Ils dénaturent les protéines. B. Ils dénaturent l ADN. C. Ils détruisent les bicouches lipidiques. D. Ils créent des liens croisés entre les protéines. E. A et C.
8 Examen de mi-session n o 2 de Microbiologie Générale; Pour une charge bactérienne de 10 5, quelle serait la valeur de l effet microbicide (E.M.) la plus faible d un désinfectant qui tuerait toutes les cellules (un compte de 1)? A. 6. B. 5. C. 4. D. 3. E Une dilution de phénol de 1/50 tue 10 4 cellules après 10 minutes (un compte de 1). Tandis qu une dilution de 1/30 d un désinfectant X permet d atteindre un E.M. de 4 en 10 minutes. Quelle conclusion peut être tirée de cette information? A. Le phénol est un désinfectant moins efficace. B. L E.M. d une dilution de 1/50 du phénol après 10 minutes est plus faible que celui d une dilution de 1/30 du désinfectant X. C. Le phénol est 3 fois plus efficace que le désinfectant X. D. Le pourcentage de mortalité après 10 minutes est le même pour les deux produits. E. Aucune de ces conclusions n est valide. 29. Un bouillon qui contient 1 X 10 2 cellules de B. stearothermophillus et 1 X cellules d E.coli est autoclavé à 120 o C. D après les paramètres ci-dessous, approximativement combien de temps serait requis pour stériliser le bouillon? D 120 de B. stearothermophilus: 0.5 minute D 110 d E. coli: 1.0 minute Z de B. stearothermophilus: 15 o C Z d E. coli = 10 o C A. 0.6 minutes. B. 1.6 minutes. C. 4 minutes. D. 5.6 minutes. E. 15 minutes. 30. Considérez l information dans la question précédente. Quel serait le taux de mortalité de B. stearothermophillus à 90 o C? A B C D E. Aucune de ces réponses n est correcte. 31. À une température donnée, 15 minutes sont requises pour réduire la population bactérienne de 10 5 à 10 2 dans des conserves de carottes. Quel est le DTM de cette bactérie? A. 25 minutes. B. 30 minutes. C. 60 minutes. D. 65 minutes. E. 130 minutes.
9 Examen de mi-session n o 2 de Microbiologie Générale; Q. Rép. Q. Rép. 1 B 16 B 2 B 17 B 3 E 18 B 4 B 19 A 5 C 20 D 6 B 21 B 7 D 22 E 8 A 23 B 9 D 24 C 10 A 25 E 11 B 26 E 12 E 27 B 13 C 28 D 14 E 29 C 15 D 30 E 31 A
3: Clonage d un gène dans un plasmide
3: Clonage d un gène dans un plasmide Le clonage moléculaire est une des bases du génie génétique. Il consiste à insérer un fragment d'adn (dénommé insert) dans un vecteur approprié comme un plasmide par
Plus en détailUtilisation des substrats énergétiques
Utilisation des substrats énergétiques Collège des Enseignants de Nutrition Date de création du document 2010-2011 Table des matières I Les organes et les substrats... 3 I.1 Les substrats énergétiques...
Plus en détailSTÉRILISATION. Réduction des populations. nonus 1
Réduction des populations nonus 1 nonus 2 Taux de survie N/No Taux de mortalité No-N /No No : nombre initial de cellules vivantes N : nombre de cellules vivantes après le cycle de stérilisation nonus 3
Plus en détailTEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY)
TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY) Lise Vézina, technicienne de laboratoire Michel Lacroix, agronome-phytopathologiste Direction de l innovation scientifique et technologique Au Laboratoire
Plus en détailTravaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015
Andrew Tolonen atolonen@genoscope.cns.fr Travaux dirigés de Microbiologie Master I Sciences des Génomes et des Organismes Janvier 2015 A- Généralités I- La vie sur terre telle que nous la connaissons ne
Plus en détailScience et technique. La température et la durée de stockage sont des facteurs déterminants. Viande bovine et micro-organisme pathogène
Science et technique Viande bovine et micro-organisme pathogène La température et la durée de stockage sont des facteurs déterminants La contamination des carcasses lors des opérations d abattage et la
Plus en détailPartie I Les constats actuels dans le secteur agroalimentaire
Partie I Les constats actuels dans le secteur agroalimentaire 1 Plantons le décor Les professionnels de l agroalimentaire doivent à leurs clients, les consommateurs que nous sommes tous, de préparer et
Plus en détailBASES DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE EN PLONGEE
BASES DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE EN PLONGEE І) INTRODUCTION II) BASES PHYSIOLOGIQUES III) PRINCIPES GENERAUX DE L ENTRAINEMENT PHYSIQUE IV) ENTRAINEMENT DANS LES DIFFERENTES FILIERES V) LA PLANIFICATION
Plus en détailDécrets, arrêtés, circulaires
Décrets, arrêtés, circulaires TEXTES GÉNÉRAUX MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SOLIDARITÉS Arrêté du 11 janvier 2007 relatif aux limites et références de qualité des eaux brutes et des eaux destinées à la
Plus en détailMaîtrise des phases critiques en élevage porcin : Comment améliorer la santé digestive du porcelet?
1. Introduction : Maîtrise des phases critiques en élevage porcin : Comment améliorer la santé digestive du porcelet? P. Rondia* et J. Wavreille** Centre wallon de recherches agronomiques *Unité Nutrition
Plus en détailTD de Biochimie 4 : Coloration.
TD de Biochimie 4 : Coloration. Synthèse de l expérience 2 Les questions posées durant l expérience 2 Exposé sur les méthodes de coloration des molécules : Générique Spécifique Autres Questions Pourquoi
Plus en détailBACCALAURÉAT TECHNOLOGIQUE
BACCALAURÉAT TECHNOLOGIQUE Série : Sciences et Technologies de Laboratoire Spécialité : Biotechnologies SESSION 2015 Sous-épreuve écrite de Biotechnologies Coefficient de la sous-épreuve : 4 Ce sujet est
Plus en détailBiochimie I. Extraction et quantification de l hexokinase dans Saccharomyces cerevisiae 1. Assistants : Tatjana Schwabe Marcy Taylor Gisèle Dewhurst
Biochimie I Extraction et quantification de l hexokinase dans Saccharomyces cerevisiae 1 Daniel Abegg Sarah Bayat Alexandra Belfanti Assistants : Tatjana Schwabe Marcy Taylor Gisèle Dewhurst Laboratoire
Plus en détail1. Principes de biochimie générale. A. Bioénergétique et dynamique. a) Intro: Les mitochondries passent leur temps à fabriquer de l énergie.
RESPIRATION MITOCHONDRIALE 1. Principes de biochimie générale. A. Bioénergétique et dynamique. a) Intro: Les mitochondries passent leur temps à fabriquer de l énergie. b) Rappels: L énergie chimique sert
Plus en détailIndicateur d'unité Voyant Marche/Arrêt
Notice MESURACOLOR Colorimètre à DEL Réf. 22020 Indicateur d'unité Voyant Marche/Arrêt Indicateur Etalonnage Bouton Marche/Arrêt Indicateur de sélection de la longueur d'onde Indicateur de mode chronomètre
Plus en détail4 : MÉTHODES D ANALYSE UTILISÉES EN ÉCOLOGIE MICROBIENNE
4 : MÉTHODES D ANALYSE UTILISÉES EN ÉCOLOGIE MICROBIENNE L écologie microbienne (ou étude des micro-organismes de l environnement) étudie : les relations entre les différentes populations de micro-organismes
Plus en détailVue d ensemble de la vie microbienne
Vue d ensemble de la vie microbienne C HAPITRE D EUX I Structure cellulaire et évolution 22 2.1 Les structures cellulaires et virales 22 2.2 L organisation de l ADN dans les cellules microbiennes 24 2.3
Plus en détailLes rôles de l oxygène en phase post fermentaire
CONTRIBUTION SCIENTIFIQUE Les rôles de l oxygène en phase post fermentaire De Dominique Delteil, consultant L article a été publié sur le site Internet de l Institut Coopératif du Vin- ww.icv.fr- Flash
Plus en détailÉcole secondaire Mont-Bleu Biologie générale 035-534
École secondaire Mont-Bleu Biologie générale 035-534 I. Rappel sur anatomie du système digestif Unité 3 La vie une question d adaptation 2 Unité 3 La vie une question d adaptation 3 Unité 3 La vie une
Plus en détailConférence technique internationale de la FAO
Décembre 2009 ABDC-10/7.2 F Conférence technique internationale de la FAO Biotechnologies agricoles dans les pays en développement: choix et perspectives pour les cultures, les forêts, l élevage, les pêches
Plus en détailAGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE
AGREGATION DE BIOCHIMIE GENIE BIOLOGIQUE CONCOURS EXTERNE Session 2005 TRAVAUX PRATIQUES DE BIOCHIMIE PHYSIOLOGIE ALCOOL ET FOIE L éthanol, psychotrope puissant, est absorbé passivement dans l intestin
Plus en détailAllégations relatives à la teneur nutritive
Allégations relatives à la teneur nutritive Mots utilisés dans les allégations relatives à la teneur nutritive Ce que le mot signifie Exemples Sans Faible Réduit Source de Léger Une quantité insignifiante
Plus en détailENSMIC ALIMENTATION HUMAINE Condensé de cours Annick Le Blanc 2007-2008 LA FERMENTATION PANAIRE
LA FERMENTATION PANAIRE 1 La levure La levure est un champignon microscopique unicellulaire de la famille des ascomycètes. La levure utilisée en boulangerie appartient au genre Saccharomyces, espèce cerevisiae.
Plus en détail2 C est quoi la chimie?
PARTIE 1 AVANT LA CHIMIE VERTE... 2 C est quoi la chimie? L inconnu étant source d angoisse, nous allons essayer de définir les grands domaines de la chimie pour mieux la connaître, l appréhender et donc
Plus en détailC. Magdo, Altis Semiconductor (Corbeil-Essonne) > NOTE D APPLICATION N 2
C. Magdo, Altis Semiconductor (Corbeil-Essonne) - JANVIER 2008 INTRODUCTION La fabrication de semi-conducteurs nécessite un environnement de production extrêmement stable en température et hygrométrie.
Plus en détailContexte réglementaire en hygiène alimentaire
Contexte réglementaire en hygiène alimentaire 1 Réforme de la législation communautaire pour la restauration collective Approche traditionnelle = obligation de moyens Réglementation Arrêté Ministériel
Plus en détailNiveau d assurance de stérilité (NAS) Hôpital Neuchâtelois Sylvie Schneider Novembre 2007
Niveau d assurance de stérilité (NAS) Hôpital Neuchâtelois Sylvie Schneider Novembre 2007 Plan Objectif de la stérilisation Rappel théorique Niveau d Assurance Stérilité Conséquence Destruction des micro-organismes
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détail------- SESSION 2013 ÉPREUVE À OPTION. (durée : 4 heures coefficient : 6 note éliminatoire 4 sur 20) CHIMIE
CNCURS SUR ÉPREUVES UVERT AUX CANDIDATS TITULAIRES D UN DIPLÔME U TITRE CNFÉRANT LE GRADE DE MASTER U D'UN DIPLÔME U TITRE HMLGUÉ U ENREGISTRÉ AU RÉPERTIRE NATINAL DES CERTIFICATINS PRFESSINNELLES AU NIVEAU
Plus en détailprésentée à l Institut National des Sciences Appliquées de Toulouse par Marlène COT
N ordre : 850 THESE présentée à l Institut National des Sciences Appliquées de Toulouse par Marlène COT en vue de l obtention du DOCTORAT De Sciences Ecologiques, Vétérinaires, Agronomiques et Bioingénieries
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailCapteur optique à dioxygène
Capteur optique à dioxygène Référence PS- 2196 Connectique de la sonde mini DIN Tête de la sonde Embout de protection et stockage Port mini DIN du capteur Eléments inclus 1. Capteur à dioxygène optique
Plus en détail4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4)
PHYSIQUE-CHIMIE 4 ème TRIMESTRE 1 PROGRAMME 2008 (v2.4) Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique Les Cours Pi e-mail : lescourspi@cours-pi.com site : http://www.cours-pi.com
Plus en détailANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES
L OUTIL IDEAL POUR TOUTES LES DETECTIONS IMMUNOCHIMIQUES pour toutes les techniques immunodosages (EIA/ELISA) dot/ westernblot immunohistochimie immunocytochimie cytométrie en flux quel que soit le système
Plus en détailRespiration Mitochondriale
Université Pierre et Marie Curie Respiration Mitochondriale Objectifs au cours de Révisions Biochimie PCEM2 Révisions Biochimie Métabolique 2004-2005 Pr. A. Raisonnier (alain.raisonnier@upmc.fr) Mise à
Plus en détailTâche : Comparer l étiquette de produits alimentaires afin de connaître leur valeur nutritive.
13 aliments pour une bonne santé Valeurs nutritives Grande compétence A Rechercher et utiliser de l information Groupe de tâches A2 : Interpréter des documents Grande compétence C Comprendre et utiliser
Plus en détailLa gestion des hypoglycémies au cours du sport : insuline ou diététique?
La gestion des hypoglycémies au cours du sport : insuline ou diététique? Confrontations d Endocrinologie-Diabétologie Les Vaux de Cernay L Fouquet, S. Franc 25 Mars 2010 1 Observation n 2, Mme. S 42 ans,
Plus en détailEXERCICE A PROPOS DE LA CULTURE DE CELLULES ANIMALES
EXERCICE A PROPOS DE LA CULTURE DE CELLULES ANIMALES Auteur : Marc Lesquir, lycée de la Plaine de l'ain, rue Léon Blum, 01500 AMBERIEU EN BUGEY Exercice établi à partir d'un sujet de concours général de
Plus en détail(ERWINIA PECTINOLYTIQUES)
TESTS BIOCHIMIQUES CLASSIQUES POUR L IDENTIFICATION DES PECTOBACTERIUM (ERWINIA PECTINOLYTIQUES) ET DES PSEUDOMONAS FLUORESCENTS Lise Vézina, technicienne de laboratoire Michel Lacroix, agronome-phytopathologiste
Plus en détailHygiène et capacité de charge
Hygiène et capacité de charge Plastique ou bois? Malgré un prix d acquisition plus élevé, les palettes plastiques offrent des avantages décisifs sur les palettes en bois. Il n existe aucune alternative
Plus en détailVERITAS TUNISIE CATALOGUE ANALYSES LABORATOIRE
VERITAS TUNISIE CATALOGUE ANALYSES LABORATOIRE Agro-alimentaire et Environnement SOMMAIRE Page Introduction 1 Analyses microbiologiques 5 Microbiologie des aliments 6 Microbiologie des eaux 7 Microbiologie
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailProblèmes de qualité du lait? Causes possibles et mesures à prendre
Problèmes de qualité du lait? Causes possibles et mesures à prendre 1 ère édition septembre 2003 Tables des matières 1) Généralités... 3 a) Sources de germes... 3 b) Laver et nettoyer dans les règles de
Plus en détailRÉPERTOIRE RELÈVE SCIENTIFIQUE AU SERVICE DES ENTREPRISES AGROALIMENTAIRES. 2 e édition
RELÈVE SCIENTIFIQUE AU SERVICE 2 e édition Juin 2011 Réalisé par : Partenaire financier du CQVB : Objectif : Ce répertoire vise à faciliter le maillage entre les étudiants-chercheurs universitaires et
Plus en détailChapitre 4 : cohabiter avec les micro-organismes. Contrat-élève 3 ème
Chapitre 4 : cohabiter avec les micro-organismes Mais, que dois-je savoir? Pour rattraper un cours manquant, retrouve-le sur le site du collège dans la rubrique «enseignements» : http://colleges.acrouen.fr/courbet/spipuser/
Plus en détailPROGRAMME RADAR DE RCA ROWING ATHLETE DEVELOPMENT AND RANKING (Développement et classement des athlètes d aviron) pour les athlètes de développement
PROGRAMME RADAR DE RCA ROWING ATHLETE DEVELOPMENT AND RANKING (Développement et classement des athlètes d aviron) pour les athlètes de développement olympiques et paralympiques Développé par Rowing Canada
Plus en détailATELIER IMAGEJ. Différentes applications vous sont proposées pour apprendre à utiliser quelques fonctions d ImageJ :
Différentes applications vous sont proposées pour apprendre à utiliser quelques fonctions d ImageJ : 1. ANALYSE QUANTITATIVE D UN GEL D ELECTROPHORESE... 2 2. NUMERATION DE COLONIES BACTERIENNES SUR UNE
Plus en détailCritères microbiologiques applicables aux denrées alimentaires Lignes directrices pour l interprétation
GRAND-DUCHE DE LUXEMBOURG MINISTÈRE DE LA SANTÉ DIRECTION DE LA SANTE SERVICE DE LA SECURITE ALIMENTAIRE Critères microbiologiques applicables aux denrées alimentaires Lignes directrices pour l interprétation
Plus en détailCHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules
CHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules I. La liaison covalente 1) Formation d une liaison covalente Les molécules sont des assemblages d atomes liés par des liaisons chimiques résultant d interactions
Plus en détailLes germes pathogènes dans l industrie agroalimentaire
Les germes pathogènes dans l industrie agroalimentaire VÉRONIQUE ZULIANI ET PASCAL GARRY CTSCCV, 7 avenue du Général de Gaulle, 94704 Maisons-Alfort Cedex Avec l aimable autorisation de la revue "Salles
Plus en détailLa simulation probabiliste avec Excel
La simulation probabiliste avec Ecel (2 e version) Emmanuel Grenier emmanuel.grenier@isab.fr Relu par Kathy Chapelain et Henry P. Aubert Incontournable lorsqu il s agit de gérer des phénomènes aléatoires
Plus en détailCODE D USAGES EN MATIÈRE D HYGIÈNE POUR LES ALIMENTS RÉFRIGÈRES CONDITIONNES DE DURÉE DE CONSERVATION PROLONGÉE CAC/RCP 46-1999
CAC/RCP 46 Page 1 of 22 CODE D USAGES EN MATIÈRE D HYGIÈNE POUR LES ALIMENTS RÉFRIGÈRES CONDITIONNES DE DURÉE DE CONSERVATION PROLONGÉE CAC/RCP 46-1999 TABLE DES MATIERES INTRODUCTION...2 1. OBJECTIFS...2
Plus en détailLe ph, c est c compliqué! Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc.
Le ph, c est c pas compliqué! Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc. Conseiller en serriculture Des réponses r aux questions C est quoi et pourquoi c est c important? Conséquences d un d débalancementd? Comment
Plus en détailChapitre II La régulation de la glycémie
Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique
Plus en détailBACCALAURÉAT GÉNÉRAL
BACCALAURÉAT GÉNÉRAL Session 2013 SCIENCES DE LA VIE ET DE LA TERRE Série S Durée de l épreuve : 3 heures 30 coefficient : 8 ENSEIGNEMENT DE SPÉCIALITÉ L usage de la calculatrice n est pas autorisé. Dès
Plus en détailLA A RESPIRATION CELLULAIRE
Instructions aux professeurs Domaine : 1.1 Le transport de substances, réaction chimique de la respiration cellulaire, p. 6 Travail à réaliser : Les élèves répondent aux questions. Matériel : Feuilles
Plus en détailProgramme Formations Vivelys
Programme Formations Vivelys Année 2011 FORMATION DUREE BORDEAUX NÎMES TAIN L HERMITAGE AIX EN PROVENCE TARIF HT (par pers. avec repas) PILOTAGE DE LA MICRO-OXYGÉNATION 1 journée 10/03/2011 Sur demande
Plus en détailRégime hypotoxique : aliments autorisé et/ou recommandés ainsi que ceux à éviter
Régime hypotoxique : aliments autorisé et/ou recommandés ainsi que ceux à éviter N.B.: Ne pas tenir compte des avertissements concernant des traces de noix, etc, à moins d être allergique précisément à
Plus en détailNote de Synthèse. FABRICATION DE CONSERVES ALIMENTAIRES Cadre législatif et réglementaire Descriptif du procédé de fabrication
Diplôme Universitaire Gardien de Refuge de Montagne Note de Synthèse FABRICATION DE CONSERVES ALIMENTAIRES Cadre législatif et réglementaire Descriptif du procédé de fabrication Laborde Paul DU Gardien
Plus en détailHACCP et hygiène. Titre du cours/durée Date N o groupe Lieu. 22 octobre 2011 5 mars 2012. La Pocatière. 22 et 29 octobre 2011 5 et 6 mars 2012
Hygiène et salubrité alimentaires pour manipulateurs d aliments 6 heures Cette formation mène à l obtention du certificat délivré par le MAPAQ. 22 octobre 2011 5 mars 2012 212024 212052 La Pocatière Hygiène
Plus en détailObjet : Critères microbiologiques applicables aux auto-contrôles sur les carcasses d'animaux de boucherie. Destinataires d'exécution
Ordre de méthode Direction générale de l'alimentation Sous-direction de la sécurité sanitaire des aliments Bureau des établissements d'abattage et de découpe 251 rue de Vaugirard 75 732 PARIS CEDEX 15
Plus en détailLES BASES PHYSIOLOGIQUES DE L EXERCICE MUSCULAIRE
LES BASES PHYSIOLOGIQUES DE L EXERCICE MUSCULAIRE Introduction Le joueur de tennis ou le lutteur réalise une multitude d actions individuelles ou combinées que l on peut résumer comme suit : il court,
Plus en détailMicro-organismes et parasites des viandes : les connaître pour les maîtriser, de l éleveur au consommateur. Avant-propos
Avant-propos Les Cahiers Sécurité des Aliments du Centre d Information des Viandes (CIV) ont pour objet de rendre plus facilement accessible l ensemble des données techniques, réglementaires et scientifiques
Plus en détailPrévenir la colonisation par Campylobacter chez les poulets de chair. Dr. Wael Abdelrahman Consultant technique, Probiotiques volailles
Prévenir la colonisation par Campylobacter chez les poulets de chair Dr. Wael Abdelrahman Consultant technique, Probiotiques volailles Prévenir la colonisation par Campylobacter chez les poulets de chair
Plus en détailSéquence 4. La nature du vivant. Sommaire. 1. L unité structurale et chimique du vivant. 2. L ADN, support de l information génétique
Séquence 4 La nature du vivant Sommaire 1. L unité structurale et chimique du vivant 2. L ADN, support de l information génétique 3. Synthèse de la séquence 4. Exercices Devoir autocorrectif n 2 Séquence
Plus en détail1 ère partie : Enzymologie et Métabolisme
SVI612 Biochimie-Immunologie Licence BGSTU Année 2007-2008 SVI612 Biochimie TD,TP 1 ère partie : Enzymologie et Métabolisme Enseignantes ichri Imène 05 57 12 25 72 ihichri@bordeaux.inra.fr Knoll-Gellida
Plus en détailDIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires.
Produits de thérapie cellulaire DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires. DIAPOSITIVE 2 La fabrication des thérapies cellulaires est examinée par la Division
Plus en détailFeuille 6 : Tests. Peut-on dire que l usine a respecté ses engagements? Faire un test d hypothèses pour y répondre.
Université de Nantes Année 2013-2014 L3 Maths-Eco Feuille 6 : Tests Exercice 1 On cherche à connaître la température d ébullition µ, en degrés Celsius, d un certain liquide. On effectue 16 expériences
Plus en détailDétermination de la sensibilité aux antibiotiques. Méthode EUCAST de diffusion en gélose
Détermination de la sensibilité aux antibiotiques Méthode EUCAST de diffusion en gélose Version Sommaire Page Modifications des documents Abréviations et terminologie 1 Introduction 4 2 Préparation des
Plus en détail1.3 Recherche de contaminants au cours de la production de Saccharomyces boulardii
Série STL Biochimie génie biologique EPREUVE PRATIQUE 1. CONTROLE MICROBIOLOGIQUE DE PROBIOTIQUES Les préparations de probiotiques sont utilisées préventivement comme additifs dans l alimentation humaine
Plus en détailProfesseur Diane GODIN-RIBUOT
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 5 : Mesure de la fonction rénale : la clairance rénale Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailCompétitivité des produits laitiers locaux: vers une standardisation du «fènè», un lait spontanément fermenté au Mali
Compétitivité des produits laitiers locaux: vers une standardisation du «fènè», un lait spontanément fermenté au Mali S. Wullschleger, B. Bonfoh; A. Sissoko, I. Traoré; S. Tembely, J. Zinsstag, C. Lacroix,
Plus en détailRAPID Salmonella/Gélose 356-3961 356-3963 356-4705
356-3961 356-3963 356-4705 DOMAINE D APPLICATION La gélose RAPID Salmonella est un milieu chromogénique utilisé pour la recherche des Salmonella spp. lors de l'analyse des produits d alimentation humaine
Plus en détailBaccalauréat épreuves anticipées annales zéros
éduscol Baccalauréat général Enseignement scientifique Épreuve anticipée séries L/ES Baccalauréat épreuves anticipées annales zéros Exemple de sujet n 2 partie 1 : thème «nourrir l humanité» (8 points)
Plus en détailMesure de la teneur en alcool
37 Mesure de la teneur en alcool 1 Rôle de l alcool dans les vins 285 1.1. Sur le plan organoleptique 285 1.2. Sur le plan biologique 285 1.3. Sur le plan réglementaire 285 1.4. Sur le plan commercial
Plus en détailGestion des épidémies en FAM et MAS. 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015
Gestion des épidémies en FAM et MAS 2 ère réunion annuelle FAM/MAS 20 mars 2015 Rappels En EMS, le risque infectieux est présent, avec cumul des différents aspects de ce risque: Infections communautaires:
Plus en détailLes Petites Toques PLAT CHAUD. STEAK HACHE PETIT MODELE Poids net pour une part : 80 g Ingrédients : Steak haché (origine Union Européenne).
Les Petites Toques PLAT CHAUD STEAK HACHE PETIT MODELE Poids net pour une part : 80 g Ingrédients : Steak haché (origine Union Européenne). PEPITES DE PLET PANE Poids net pour une part : 115 g Ingrédients
Plus en détailLa carie dentaire - Plaque dentaire prophylaxie de la carie
La carie dentaire - Plaque dentaire prophylaxie de la carie 2 Le fluide buccal 2.01. La salive Fonction de la salive 2.02. Origine de la salive La salive glande salivaire 2.03. Composition de la salive
Plus en détailTP N 3 La composition chimique du vivant
Thème 1 : La Terre dans l'univers, la vie et l'évolution du vivant : une planète habitée Chapitre II : La nature du vivant TP N 3 La composition chimique du vivant Les conditions qui règnent sur terre
Plus en détailCirculaire relative aux dispositions applicables aux banques alimentaires et associations caritatives
Agence fédérale pour la Sécurité de la Chaîne alimentaire Circulaire relative aux dispositions applicables aux banques alimentaires et associations caritatives Référence PCCB/S3/1092228 Date 02/08/2013
Plus en détailBIOLOGIE CLINIQUE ACTUALITES ET PERSPECTIVES D AVENIR
BIOLOGIE CLINIQUE ACTUALITES ET PERSPECTIVES D AVENIR Ph. Biol. Jean Darimont Pharmalouvain mars 2011 BIOLOGIE CLINIQUE 1. Technique 2. Organisation 3. Economique La Biologie Clinique est impliquée dans
Plus en détailLe Test d effort. A partir d un certain âge il est conseillé de faire un test tous les 3 ou quatre ans.
Le Test d effort L'épreuve du test d'effort est un examen effectué en général par un cardiologue ou un médecin du sport. Le test d'effort permet de mesurer le rythme cardiaque, la pression artérielle,
Plus en détailVisite à l ICV. En 2009, la création du GIE ICV-VVS permet de franchir un cap en regroupant toutes les ressources disponibles aux filiales ICV et VVS.
Visite à l ICV Cette entreprise analyse les échantillons que les viticulteurs leur transmettent de toute la région PACA (départements 13, 83, 84 et un peu du 06, ce sont en général des coopératives viticoles
Plus en détailL importance du suivi du dioxyde de carbone (CO 2. ) dans la production de dindes
FICHE D INFORMATION L importance du suivi du dioxyde de carbone (CO 2 ) dans la production de dindes info.hybrid@hendrix-genetics.com www.hybridturkeys.com Dans la production de dindes, la performance
Plus en détailCATALOGUE D'ESSAIS INTERLABORATOIRES AGLAE 2015 BIOLOGIE MEDICALE
Ensemble pour s'améliorer CATALOGUE D'ESSAIS INTERLABORATOIRES AGLAE 2015 BIOLOGIE MEDICALE Association AGLAE Parc des Pyramides 427 rue des Bourreliers 59320 Hallennes lez Haubourdin +33 (0)3 20 16 91
Plus en détailEnseignement secondaire
Enseignement secondaire Classe de IIIe Chimie 3e classique F - Musique Nombre de leçons: 1.5 Nombre minimal de devoirs: 4 devoirs par an Langue véhiculaire: Français I. Objectifs généraux Le cours de chimie
Plus en détailTransfusions sanguines, greffes et transplantations
Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222
Plus en détailLe trajet des aliments dans l appareil digestif.
La digestion. La digestion, c est la transformation des aliments en nutriments assimilables par l organisme. Dans le tube digestif, les aliments subissent une série de dégradations mécaniques et chimiques
Plus en détailDOSSIER SCIENTIFIQUE DE L'IFN "LES GLUCIDES" SOMMAIRE
DOSSIER SCIENTIFIQUE DE L'IFN "LES GLUCIDES" SOMMAIRE AVANT-PROPOS (P. LOUISOT) TOME 1 PARTIE I : PARTIE I I : PARTIE III : PARTIE IV : STRUCTURE ET PROPRIETES PHYSICO-CHIMIQUES (J.P. SICARD, R. CACAN,
Plus en détailFOURNITURES DE PATISSERIE ANNEE 2008
FOURNITURES DE PATISSERIE ANNEE 2008 Fournitures classées selon les lots suivants * Lot n 1 : MATIERES PREMIERES * Lot n 2 : CARTONNAGE Lot n 1 : MATIERES PREMIERES Designation de l'article conditionnement
Plus en détail«Boire un verre de vin par jour augmente la longévité.»
«Boire un verre de vin par jour augmente la longévité.» Boire peu pour boire longtemps. Marcel Aymé Le vin est dans notre pays synonyme de plaisir (gastronomique) ou de déchéance (alcoolique). Le débat
Plus en détailSport et alpha ANNEXES
Sport et alpha ANNEXES Edition 2013 TABLE DES MATIERES Table des matières 1 Alimentation 2 Boire, Boire, Boire... 2 Et à l approche des «20 km de Bruxelles»? 3 Et pendant l épreuve? 3 Stretching 4 Avant
Plus en détailCATALOGUE DE PRESTATIONS FORMATION ET CONSEILS
(1/30pages) CATALOGUE DE PRESTATIONS FORMATION ET CONSEILS ANNEE : 2015 Date de mise à jour : 09/03/2015 1 - Microbiologie des eaux - Microbiologie des aliments Formation technique de Microbiologie HYGIÈNE
Plus en détailALIMENTATION DE L IMMUNODEPRIME. I Rappel des risques liés à l alimentation de l immunodéprimé
Alimentation ALIMENTATION DE L IMMUNODEPRIME GARDES E, Toulouse Octobre 2009 Objectifs Fournir aux malades immunodeprimés une alimentation aussi dépourvue que possible de germes, de façon à ce qu'elle
Plus en détailSOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR
CPTF et CSC CYCLES COMBINES A GAZ (CCG) COGÉNÉRATION DÉVELOPPEMENT DES RENOUVELABLES SOLUTIONS DE STOCKAGE CPTF ET CSC Le parc thermique est un outil essentiel pour ajuster l offre et la demande, indispensable
Plus en détailFIOLAX. SCHOTT Instruments Solutions. Les solutions tampon dans les ampoules uniques à deux pointes offrent une haute sureté et précision.
SCHOTT Instruments Solutions Les solutions tampon dans les ampoules uniques à deux pointes offrent une haute sureté et précision. L exactitude de la mesure de ph dépend de l exactitude de l étalonnage.
Plus en détailPartie 1. Addition nucléophile suivie d élimination (A N + E) 1.1. Réactivité électrophile des acides carboxyliques et groupes dérivés
Molécules et matériaux organiques Partie 1. Addition nucléophile suivie d élimination (A N + E) 1.1. Réactivité électrophile des acides carboxyliques et groupes dérivés bjectifs du chapitre Notions à connaître
Plus en détailQuel sirop choisir pour le nourrissement d hiver.
Syndicat des apiculteurs de Thann et environs Quel sirop choisir pour le nourrissement d hiver. Auteurs : R.Hummel & M.Feltin Octobre 2014 Les sirops de nourrissement : La qualité des sirops utilisés pour
Plus en détailn 18ITINÉRAIRES ITINÉRAIRES
n 18ITINÉRAIRES ITINÉRAIRES n 18 Maîtrise des fermentations spontanées et dirigées FRANCE Institut Français de la Vigne et du Vin Sommaire Les levures : des champignons naturels et sélectionnés... page
Plus en détailFormation relative à la sécurité alimentaire en fromagerie
Formation relative à la sécurité alimentaire en fromagerie Chapitre 9: Système HACCP et Systèmes de gestion de la sécurité alimentaire Formation relative à la sécurité alimentaire en fromagerie Formation
Plus en détail