ENVIRONNEMENT ÉCONOMIQUE, POLITIQUE ET SOCIAL 23
|
|
- Christian Boutin
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Sommaire Remerciements Informations pratiques Abréviations Avant-propos ENVIRONNEMENT ÉCONOMIQUE, POLITIQUE ET SOCIAL 23 A. Intérêt du pays pour les investisseurs B. Positionnement stratégique du pays Histoire de la Hongrie Présentation générale de la Hongrie a. Données géographiques et humaines b. Les disparités régionales Politique intérieure a. Présentation du système politique hongrois b. Composition du Parlement c. Les principaux membres du gouvernement La participation de la Hongrie aux organisations internationales La Hongrie et l adhésion à l UE a. Référendum sur l adhésion b. Les avantages et les enjeux pour la Hongrie
2 6. Une économie dynamique a. Description macroéconomique b. Les enjeux immédiats : la mise en œuvre du plan d austérité c. La politique monétaire C. Une économie ouverte et internationalisée Commerce extérieur a. Commerce extérieur en 2005 et b. La concentration sectorielle des échanges c. Les partenaires principaux commerciaux de la Hongrie L ouverture aux investissements étrangers a. Présentation générale des IDE b. Une structure nouvelle pour les IDE c. Répartition géographique des IDE Les relations économiques franco-hongroises a. Les échanges commerciaux b. La présence française en Hongrie Témoignages Madame Edit BÁTORFI, Directeur général au Département des relations internationales du ministère de l Économie et des Transports (GKM) Monsieur István BOROS, Président de la CCIFH ENVIRONNEMENT JURIDIQUE ET DÉMARCHES ADMINISTRATIVES 51 A. Engagements internationaux en faveur des investissements étrangers Le CIRDI (Centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements) L AMGI (Agence multilatérale de garantie des investissements) Autres accords internationaux B. Les divers régimes d incitation Principe des subventions octroyées en Hongrie Fonds communautaires pour la période (projets inférieurs à 10 millions d EUR) a. La politique de cohésion repose sur trois fonds de développement b. Les administrations compétentes en matière de fonds communautaires
3 3. Aides gouvernementales aux investissements étrangers les plus importants (projets supérieurs à 10 millions d EUR) a. La structure des incitations gouvernementales pour ces investissements b. La carte régionale des subventions gouvernementales en c. Procédure d obtention d une aide gouvernementale spécifique en faveur de grands projets d investissements d. Frais d investissement éligibles à la décision gouvernementale spécifique Les avantages fiscaux pour les investissements en R & D a. Les administrations compétentes en matière d investissements bénéficiant des aides gouvernementales b. ITDH (Société hongroise d utilité publique pour l investissement et la promotion du commerce) Les parcs industriels en Hongrie C. La propriété immobilière D. Contacts utiles Témoignage Monsieur Sándor FARAGO, correspondant français à l ITDH IMPLANTATION DES INVESTISSEURS ÉTRANGERS EN HONGRIE 81 A. Les formes d implantation pour un investisseur étranger en Hongrie Structures sans personnalité morale propre a. Les bureaux de représentation b. Les succursales Structures dotées de la personnalité morale a. Les sociétés de personnes b. Formes de sociétés privilégiées par les investisseurs étrangers : les sociétés de capitaux c. La société européenne d. Régime fiscal Les groupes B. Les modalités pratiques de l implantation d un investisseur étranger en Hongrie Constitution d une société a. Les statuts b. Les apports c. Demande d immatriculation de la société et procédure de l enregistrement d. Frais d immatriculation Création d un bureau de représentation ou d une succursale
4 C. Contacts utiles Témoignage Maître Jacques de SERVIGNY, Cabinet d avocats Gide Loyrette Nouel FINANCEMENT ET GESTION DE LA SOCIÉTÉ 97 A. Les financements multilatéraux La Banque européenne d investissement (BEI) a. La BEI propose les instruments de financements suivants : b. Projets récents subventionnés par la BEI en Hongrie : La Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD) La Banque de développement du Conseil de l Europe (CEB) B. Système bancaire et environnement financier en Hongrie Le système bancaire a. Caractéristiques du marché bancaire hongrois b. Principaux acteurs, présence française et étrangère c. La présence française d. Rentabilité du secteur bancaire e. Évolution des prêts en devises f. Une institution à part : la Banque hongroise de développement (MFB) Monnaie locale et adoption de l euro a. La fluctuation du forint b. L adoption de l euro La bourse hongroise a. Les indices de la bourse hongroise b. Capitalisation de la bourse de Budapest Protection des investisseurs a. Rapport b. Obligations d information concernant des faits particuliers c. L Autorité de surveillance des marchés financiers (PSZAF) C. La lutte contre le blanchiment d argent D. L environnement comptable Le formalisme a. Spécificités de la refacturation d un service b. Spécificités d une facture
5 2. Points particuliers a. Remises de fin d année (RFA) b. Provisions Situation nette minimum Présentation au bilan spécifique à la Hongrie a. Capitaux propres b. Dividendes Obligations et contrôles E. La politique hongroise de la concurrence Interdiction de constituer des ententes Contrôle des opérations de concentration Interdiction des abus de position dominante F. Prévention et règlement des différends Règlement national Règlement international G. Droit des marchés publics H. Contacts utiles Institutions internationales Institutions hongroises Banques commerciales hongroises Témoignage Monsieur François RÉGNIER, Directeur général de la succursale de BNP-Paribas en Hongrie LA FISCALITÉ DES ENTREPRISES ET DES PERSONNES PHYSIQUES 129 A. Fiscalité directe des sociétés : imposition locale des revenus Impôts à la charge des entreprises a. Impôt sur le revenu des sociétés (IS) b. Nouvel impôt minimum sur les sociétés c. L impôt sur les dividendes d. Taxe locale (taxe professionnelle) e. L impôt simplifié (EVA) f. EKHO g. Suppression du régime des sociétés off-shore Régime fiscal des prix de transfert
6 B. Fiscalité des personnes physiques : Impôt sur le revenu Régime général Régime de l impôt pour les expatriés ou les non-résidents a. Les expatriés b. Les non-résidents C. Fiscalité indirecte : TVA Législation La TVA a. Enregistrement b. Régime d imposition c. Identifiant TVA d. Représentation fiscale e. Déclaration f. Le remboursement de la TVA g. Taux de TVA h. Importations et exportations i. L exigibilité Les accises D. Contact utile Témoignage Monsieur François MONVILLE, dirigeant du cabinet d audit et d expertise comptable Mazars Metrum Kft DROIT SOCIAL 147 A. Droit du travail Le contrat de travail Autres obligations en cas d embauche Durée du travail a. Le régime des horaires de travail de «nuit» et «d après-midi» b. Majoration supplémentaire pour le travail continu c. Les heures supplémentaires : organisation et rémunération d. Le temps de repos e. Les congés Rupture du contrat de travail a. Résiliation par consentement mutuel b. Rupture dite «ordinaire» avec préavis
7 c. Rupture dite «extraordinaire» sans préavis d. Licenciement collectif e. Indemnités de licenciement Équivalence des diplômes Gestion des relations sociales a. La représentation du personnel b. Les conventions collectives c. L adhésion aux conventions collectives d. Le comité d entreprise (littéralement le «conseil d usine») e. Les syndicats f. Le droit de grève B. Coûts salariaux et charges sociales Rémunérations a. Salaires moyens hongrois b. Le paiement des temps de transport en cas de détachement d un employé sur le territoire de la Hongrie Protection sociale : obligations et coûts a. Les charges patronales b. Les charges salariales en C. Gestion des expatriés, permis de travail, permis de résidence (titre de séjour) a. Formalités à l arrivée b. Pour les membres de la famille c. Permis de travail d. Immatriculation au consulat de France à Budapest e. Sécurité sociale : la Caisse des Français de l étranger (CFE) f. Autres contacts D. Le volontariat international en entreprise (VIE) E. Contacts utiles Témoignages Monsieur Franck MOULIN, Directeur du cabinet de recrutement AKTIVA EDIECOH Kft Monsieur Gilles HUART, Regional Consultant CEE - TARGET HUNGARIA
8 PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE 173 A. Adhésions aux accords multilatéraux B. Protection des droits de propriété intellectuelle L Office hongrois des brevets (OHB) Le système hongrois des brevets a. Législation applicable b. Les inventions brevetables c. La protection des brevets d. Procédure et exigences légales e. Le droit de priorité (Convention de Paris de 1883) f. Les sources internationales du droit des brevets La protection des marques et des indications géographiques a. Législation applicable b. Les principes d enregistrement La protection des marques a. Déchéance de la marque pour défaut d exploitation b. Procédure d opposition c. Procédure d enregistrement La protection des dessins et modèles a. Législation b. Modalités de protection des dessins ou modèles c. Droit à la protection et droits conférés par la protection d. Établissement, durée et expiration de la protection d un dessin La protection des modèles d utilité a. Législation b. Modèles d utilité c. Droits conférés par la protection des modèles d utilité, étendue, effet, durée La protection des variétés végétales La protection des indications géographiques a. Législation applicable b. Modalités d application des indications géographiques à la Hongrie La protection des droits d auteur C. Atteintes aux droits de la propriété intellectuelle La contrefaçon Sanctions et répressions de la contrefaçon Perspectives de progrès dans la lutte contre la contrefaçon
9 D. Contacts utiles Institution Cabinets d avocats spécialisés Témoignages Madame Johanna STADLER, Office hongrois des brevets Madame Éva GÁBRISNÉ BARANYI, Danubia Patent and Law Office L EXPÉRIENCE DE LA MISSION ÉCONOMIQUE 203 A. Appréciation de l environnement juridique et administratif B. Les spécificités culturelles C. La pratique des affaires COÛTS D APPROCHE ET D IMPLANTATION 209 A. Coûts d approche Coûts d une mission en Hongrie La Mission économique de Budapest B. Coûts d implantation Location d immobilier à Budapest a. Location de bureaux b. Location d entrepôts c. Location d immeubles résidentiels Main-d œuvre Protection sociale Coûts administratifs Impôts C. La vie courante à Budapest a. Circuler à Budapest b. Location de voiture c. Les transports en commun D. Informations pratiques Calendrier des jours fériés Décalage horaire Horaires d ouvertures des administrations, des magasins et des banques
10 4. Télécommunications Poste Médias Autres CONTACTS 219 A. Structures d appui en France B. Structures d appui en Hongrie Les institutions françaises Les milieux d affaires français a. En France b. En Hongrie C. Les structures d appui hongroises en Hongrie Les institutions hongroises Expertise juridique Expertise comptable Recrutement et ressources humaines
11 DROIT SOCIAL Témoignages Monsieur Franck MOULIN, Directeur du cabinet de recrutement AKTIVA EDIECOH Kft. 6 Quels sont les atouts de la Hongrie en termes de ressources humaines? De façon classique, on avance pour la Hongrie un bon niveau de formation, un bon niveau de langues, le niveau de salaires Pourtant, sur tous ces points, si on regarde dans le temps et par rapport aux pays voisins, les atouts sont aujourd hui loin d être évidents. Par ailleurs, la taille de la population combinée avec les fondamentaux (niveau de formation, langues ) fait que pour certains postes précis (pas simplement en informatique ou dans les centres de services et d appels, notre secteur) il y a peu de candidats potentiels. La Hongrie est donc une destination pour des entreprises qui recherchent des profils plutôt génériques. À moyen ou long terme, la Pologne, la Roumanie voire l Ukraine représenteront des menaces certaines. Sans parler des niveaux de salaire (voir question 2). Dans le temps : les formations supérieures sont plus en adéquation avec les standards européens. Mais c est loin d être le cas pour les formations intermédiaires, voire pour les formations techniques spécialisées. Les formations (même techniques) restent encore très théoriques. Il subsiste aussi un sérieux problème de langue. Il est très difficile de trouver des personnes possédant un diplôme d enseignement supérieur (technique, financier ) et la maîtrise à un niveau professionnel d une langue étrangère autre que l anglais. Le problème est vrai pour le français, mais encore davantage pour l espagnol, l italien et, malgré les a priori, l allemand aussi. Dans l espace : la situation est différente selon que l on est à Budapest ou en province. À Budapest le bassin d emploi est plus large, mais la fluctuation (mobilité) plus importante. En province, il est très difficile et plus long de recruter la bonne personne. À Budapest il faut faire plus d efforts (financiers surtout) pour conserver son personnel. Par rapport aux pays voisins, et même si le message officiel est différent, la Hongrie ne présente pas d avantage significatif. La main-d œuvre hongroise est-elle toujours bon marché? La réponse est claire : non. Dans le temps : quels que soient les secteurs, les niveaux de compétences et de salaire, la Hongrie perd en compétitivité. La pression fiscale est responsable de cette situation. Dans la mesure où le bassin d emploi est limité, voire à saturation, où les niveaux de formation, de langues, ne sont pas significativement avantageux par rapport aux pays voisins, le critère «coût» de la main-d œuvre devient important. Or, sur ce point la Hongrie est plutôt désavantagée. Quels sont les points forts et les points faibles de la formation supérieure en Hongrie? Le niveau de formation académique : les gens sont formés pour intégrer le principe de «life long learning». Ce qui n est pas négligeable. Attention, toutefois au phénomène de «sur diplôme». 168
12 DROIT SOCIAL Mais la formation est souvent considérée comme très théorique. Les étudiants devaient autrefois tous travailler pour financer leurs études. Maintenant c est sensiblement moins le cas. On le constate dans les CV. Ces emplois venaient compléter les formations. Sans eux et avec des stages plus ou moins sérieux, il manque la dimension pratique de la formation. Les niveaux et surtout la variété des langues enseignées. Un diplôme en langue (moyen ou supérieur) est une obligation et considéré comme tel par les étudiants. Très peu vont plus loin, si ce n est pas nécessaire. Il y a un décalage énorme entre les places d études proposées et la réalité du marché du travail. (Par exemple, de mémoire, il y a 3 ou 4 fois plus de places de professeurs de musique que de professeurs d informatique ouvertes chaque année). Plutôt que de se focaliser sur l enseignement supérieur, je voudrais attirer l attention sur les formations de niveau intermédiaire (avec éventuellement des passerelles vers le supérieur) qui intégreraient de solides formations en langue (anglais, bien sûr, mais aussi allemand, français ou des langues nordiques). Et je donne 2 exemples : en informatique, on manque de testeurs qui parlent français (les étudiants d université parlant français veulent tous un poste élevé) ; en centres d appels ou de services on manque cruellement de personnel possédant une formation de base en comptabilité et un niveau de langue supérieur (des centaines de poste chaque année). Ces postes sont occupés en France par des étudiants diplômés de BTS ou d IUT. Attention, ce sont aussi les entreprises qui créent cette situation en déclarant vouloir recruter en école de commerce ou à l université. Le résultat est que l on voit beaucoup d étudiants, pas forcément dans les bonnes filières, avoir des problèmes pour trouver un emploi. Cela implique un profond changement des mentalités. Il faut comprendre que la maîtrise d une langue étrangère, et pas forcément de l anglais, est plus qu un avantage. C est une obligation, quel que soit l emploi occupé (principalement dans les services). Quelles recommandations feriez-vous à une société française qui souhaite s implanter? Ne pas rechercher à tout prix quelqu un parlant français. Le choix sera forcément plus limité ; bien réfléchir avant de s installer en province si la taille de l entreprise est conséquente et si la représentation des diplômés de l enseignement supérieur dans l effectif est significative ; préférer la province mais bien choisir son implantation, si on recherche avant tout une main-d œuvre qualifiée relativement stable et un niveau de salaire encore compétitif ; bien intégrer les contraintes salariales et notamment fiscales (raisonner salarié coût entreprise et pas simplement salaire brut) lors de l établissement de son Business Plan
MESURES INCITATIVES À L INVESTISSEMENT 1
1/9 1. Fonds de promotion de l investissement «FPI» 2 Investissement égal ou supérieur à 200 Millions Dh Création d au moins 250 emplois stables Installation dans une des provinces ou préfectures «prioritaires»
Plus en détailZones franches et places financières offshore au Maroc
Zones franches et places financières offshore au Maroc Actualisation au 1 mai 2002 MINEFI DREE/TRÉSOR Soucieux de consolider sa politique d ouverture commerciale, d améliorer ses capacités d exportation
Plus en détailLa mobilité des travailleurs européens : du détachement à l expatriation. Atelier de la Profession
La mobilité des travailleurs européens : du détachement à l expatriation Atelier de la Profession INTERVENANTS Pierre FAUCHER Expert-Comptable Rapporteur en charge du social Henri SCHMELTZ Expert-Comptable
Plus en détailModules de formation H R S E R V I C E S
Modules de formation H R S E R V I C E S C est en s inspirant de la collaboration avec ses partenaires professionnels que Securex a conçu ce catalogue de formations dédié aux différents aspects de la gestion
Plus en détailRégime des Entreprises Totalement Exportatrices (Articles 10 à 20)
Régime des Entreprises Totalement Exportatrices (Articles 10 à 20) I. Définition des entreprises totalement exportatrices (art 10) : L article 10 du code d incitation aux investissements a défini les entreprises
Plus en détailEnquête de 2004 auprès des intermédiaires financiers de dépôts : banques à charte, sociétés de fiducie, caisses populaires et coopératives de crédit
Enquête unifiée auprès des entreprises - annuelle Enquête de 2004 auprès des intermédiaires financiers de dépôts : banques à charte, sociétés de fiducie, caisses populaires et coopératives de crédit Guide
Plus en détailÉdition du 4 mars 2011 Annule et remplace l édition précédente
1 Édition du 4 mars 2011 Annule et remplace l édition précédente TOUT SAVOIR SUR LE CONTRAT D APPRENTISSAGE 2 TOUT SAVOIR SUR LE CONTRAT D APPRENTISSAGE SOMMAIRE Qui peut embaucher un apprenti et quelles
Plus en détailLA LOI DE FINANCES RECTIFICATIVE POUR 2012
LA LOI DE FINANCES RECTIFICATIVE POUR 2012 CONSEIL La loi 2012-958 du 16 août 2012 consistant en la deuxième loi de finances rectificative pour 2012 a été publiée au JO du 17 août 2012. C est la première
Plus en détailMaster Audit Contrôle Finance d Entreprise en apprentissage. Organisation de la formation
Master Audit Contrôle Finance d Entreprise en apprentissage Organisation de la formation Ce document a pour objet de présenter le contenu des cours des deux années du Master Audit Contrôle Finance d entreprise
Plus en détailNécessité d un «électrochoc» fiscal
Les Analyses du Centre Jean Gol Nécessité d un «électrochoc» fiscal Janvier 2014 Administrateur délégué : Richard Miller Directrice : Laurence Glautier Directeur scientifique : Corentin de Salle Les analyses
Plus en détailEsarc - Pôle formations à distance
MASTER EUROPEEN EN MANAGEMENT DES RESSOURCES HUMAINES - BAC+5 - MRH Le Master Européen est un diplôme Bac+5, délivré par la FEDE (Fédération Européenne des Écoles). La FEDE est une association à but non
Plus en détailRESUME ENTREPRISE FRANCHE D EXPORTATION ET DISPOSITIFS INCITATIFS DU CGI
RESUME ENTREPRISE FRANCHE D EXPORTATION ET DISPOSITIFS INCITATIFS DU CGI Révision : 26/02/13 Impression : 23/04/13 RESUME ENTREPRISE FRANCHE D EXPORTATON ET DISPOSITIFS INCITATIFS DU CGI Révision : 26/02/13
Plus en détailÀ TITRE D INFORMATION SEULEMENT
Enquête unifiée auprès des entreprises annuelle Enquête de 2007 auprès des intermédiaires financiers de dépôts : banques à charte, sociétés de fiducie, caisses populaires et coopératives de crédit If you
Plus en détail013 2 luxembourg : fiscalité des personnes physiques F R
2013 LUXEMBOURG : FISCALITé des personnes physiques F R Classe d impôts sans enfant Avec enfant(s) à charge Âgé d au moins 64 ans au 1 er janvier Célibataire 1 1a 1a Marié/ Partenaire 2 2 2 Séparé 1 1a
Plus en détailLes missions de l expert-comptable
Les modalités d exercice de la profession 85 Les missions de l expert-comptable Missions comptables Missions d assurance sur les comptes complets historiques Audit d états financiers contractuel Examen
Plus en détailGuide pratique et juridique de l expatrié
Yannick AUBRY Guide pratique et juridique de l expatrié Quatrième édition Éditions d'organisation, 1999, 2001, 2003, 2004 ISBN : 2-7081-3157-5 III SOMMAIRE INTRODUCTION... 1 Partie 1 - LA CHECK-LIST DE
Plus en détailSommaire. ENVIRONNEMENT économique, POLITIQUE ET SOCIAL 19. Remerciements...3 Avant-propos...5. A. Environnement politique et social...
Sommaire Sommaire Remerciements...3 Avant-propos.........................................................................................5 ENVIRONNEMENT économique, POLITIQUE ET SOCIAL 19 A. Environnement
Plus en détailRédaction d un Plan d affaires
Rédaction d un Plan d affaires Catherine Raymond 2001 INTRODUCTION Raisons qui ont motivé la rédaction du plan d affaires Personnes ou organismes qui ont collaboré à l élaboration du plan d affaires Sommaire
Plus en détailVotre fiduciaire de confiance au Luxembourg EXPERTISE COMPTABLE ET FISCALE CONSEIL ECONOMIQUE GESTION DES SALAIRES
Votre fiduciaire de confiance au Luxembourg EXPERTISE COMPTABLE ET FISCALE CONSEIL ECONOMIQUE GESTION DES SALAIRES ORDRE DES EXPERTS-COMPTABLES Membre inscrit I. Définitions Loi du 11 mai 2007 relative
Plus en détailGuide pratique de l investisseur étranger au Maroc
Guide pratique de l investisseur étranger au Maroc A- Implantation d une société au Maroc : 1. Aspects juridiques - Implantation sous forme de société commerciale (les formes les plus courantes) : Société
Plus en détailLoi de finances rectificative pour 2010 et Loi de finances pour 2011. Loi de finances pour 2011
Loi de finances rectificative pour 2010 et Loi de finances pour 2011 Loi de finances pour 2011 La loi de finances pour 2011 ne bouleverse pas notre fiscalité. Les principales dispositions sont relatives
Plus en détailRépertoire des instruments juridiques nationaux En rapport avec le fonctionnement des ONG en République Démocratique du Congo
Répertoire des instruments juridiques nationaux En rapport avec le fonctionnement des ONG en République Démocratique du Congo Par G. KAHASHA ka NASHI Avocat Avec l assistance d une équipe du Cabinet KAHASHA
Plus en détailIMPÔT SUR LES SOCIÉTÉS ET IMPÔT SUR LE REVENU DES PERSONNES PHYSIQUES
13. Système fiscal Le système fiscal tchèque, décrit ci-après en conformité avec la législation tchèque en vigueur, peut être modifié par un traité destiné à éviter la double imposition. Le système fiscal
Plus en détailCONTRAT DE TRAVAIL DU SALARIÉ FRANÇAIS DANS LE CADRE D'UN DÉTACHEMENT OU D'UNE EXPATRIATION. Généralités
I MAJ.05-2015 SOMMAIRE A - CONTRAT DE TRAVAIL INTERNATIONAL CONTRAT DE TRAVAIL DU SALARIÉ FRANÇAIS DANS LE CADRE D'UN DÉTACHEMENT OU D'UNE EXPATRIATION A10 A10 CRITÈRES DE DISTINCTION ENTRE LA SITUATION
Plus en détailLes principales dispositions du projet de loi de finances pour 2014 adopté en première lecture à l Assemblée nationale du 19 novembre 2013
Les principales dispositions du projet de loi de finances pour adopté en première lecture à l Assemblée nationale du 19 novembre 2013 IMPÔT SUR LE REVENU Barème CGI. art.197 Décote CGI. art. 197 Barème
Plus en détailBANQUE - FINANCE ASSURANCE Niveau Bac+3
BANQUE - FINANCE ASSURANCE Niveau Bac+3 Fonction Langue d enseignement : Français Savoir équiper la clientèle de produit d épargne, de prévoyance, d assurance, de services et de crédit; pouvoir gérer un
Plus en détailFlash News. Mesures de politique sociale et nouvel impôt pour les personnes physiques en 2015
www.pwc.lu/hrs Flash News Mesures de politique sociale et nouvel impôt pour les personnes physiques en 2015 24 mars 2015 Le 19 décembre dernier a été voté le premier volet des mesures retenues dans le
Plus en détailuni-emploi au service des entreprises
uni-emploi au service des entreprises Faire connaître Rencontrer Recruter Etudiants et jeunes diplômés UNI-EMPLOI LA CONNEXION ENTRePRISEs-UNIVERSITé Département de l instruction publique, de la culture
Plus en détailDE MÉTIERS ET DE L ARTISANAT DE LA HAUTE-MARNE 9, - CS 12053-52902 CHAUMONT CEDEX
L apprentissage est une forme d éducation alternée. Il a pour but de donner à des jeunes travailleurs ayant satisfait à l obligation scolaire une formation générale, théorique et pratique, en vue de l
Plus en détailPlan comptable des associations et fondations
Plan comptable des associations et fondations Classe 1 - Comptes de capitaux Classe 2 Comptes d immobilisations Classe 3 Comptes de stocks Classe 4 Comptes de tiers Classe 5 Comptes financiers Classe 6
Plus en détailAtelier CCI Innovation TECHNIQUE CONTRACTUELLE ET RECHERCHE-DÉVELOPPEMENT LA COMMUNICATION DU SAVOIR-FAIRE
TECHNIQUE CONTRACTUELLE ET RECHERCHE-DÉVELOPPEMENT LA COMMUNICATION DU SAVOIR-FAIRE Jeudi 25 juin 2015 Agnès Robin Maître de conférences à la Faculté de Droit de Montpellier Equipe de Recherche Créations
Plus en détailFORUM PROFESSIONNEL. Fédération Nationale des Enseignants de Yoga. Syndicat National des Professeurs de Yoga
FORUM PROFESSIONNEL Fédération Nationale des Enseignants de Yoga Syndicat National des Professeurs de Yoga Divers statuts : I - Salarié (Association, Comité d entreprise, Société de portage, Entreprise
Plus en détailAspects fiscaux des placements en société
Aspects fiscaux des placements en société Sommaire 1. Généralités 2. Exploiter d abord l épargne fiscale 2.1. L engagement individuel de pension via une assurance externe (EIP) 2.2. Une pension libre complémentaire
Plus en détailDOSSIER DE CREATION D'ENTREPRISE
DOSSIER DE CREATION D'ENTREPRISE BUSINESS PLAN Partie 1 : Présentation de votre projet 1 Vous êtes prêt à créer votre entreprise? Ce dossier va vous permettre de préciser et de mettre en forme votre projet
Plus en détailLe Volontariat International en Entreprise: Simplifiez-vous les Ressources Humaines en Chine
Le Volontariat International en Entreprise: Simplifiez-vous les Ressources Humaines en Chine Contacts: Matthieu.garcia@ubifrance.fr Bertrand.jimenez@ubifrance.fr QU EST-CE QUE LE V.I.E? UNE FORMULE FLEXIBLE
Plus en détailPacte de responsabilité et de solidarité. Réunion du 17/06/2014 Angoulême
Pacte de responsabilité et de solidarité Réunion du 17/06/2014 Angoulême 1 Le Pacte : quel contexte? Contexte national: la reprise économique se dessine, mais le chômage frappe encore trop fort notre pays.
Plus en détailDISPOSITIONS FISCALES DE LA LOI DE FINANCES 2015
DISPOSITIONS FISCALES DE LA LOI DE FINANCES 2015 Abdellatif ZAGHNOUN Directeur Général des Impôts OEC, 22 janvier 2015 Contexte d élaboration de la LF 2015 Recommandations des Assises Nationales sur la
Plus en détailFISCALITE DES PARTICULIERS ET DU PATRIMOINE
FISCALITE DES PARTICULIERS ET DU PATRIMOINE BAREME TRAITEMENTS ET SALAIRES PEA Fin du gel du barème : Revalorisation de 0,8% de l ensemble des tranches applicables aux revenus de 2013. Plafonnement du
Plus en détailChambre de métiers et de l artisanat de la Haute-Garonne LIVRET DU MAITRE D APPRENTISSAGE. Les clés pour réussir votre mission
Chambre de métiers et de l artisanat de la Haute-Garonne LIVRET DU MAITRE D APPRENTISSAGE Les clés pour réussir votre mission 2 L APPRENTISSAGE, UN PARCOURS «GAGNANT - GAGNANT» Côté entreprise : C est
Plus en détailItalie IMPOSITION DES RESIDENTS ITALIENS
Italie IMPOSITION DES RESIDENTS ITALIENS Déductions et crédits d impôt Réductions d impôts Imposition des plus-values Imposition des revenus financiers Régimes spéciaux concernant les expatriés L impôt
Plus en détailPlus-values immobilières des particuliers
> Fiscalité patrimoniale Fiscalité personnelle Plus-values immobilières des particuliers Abattement pour durée de détention Abattement identique pour tous les biens >> Abattement pour durée de détention
Plus en détailCharte de vacation. ENTRE LES SOUSSIGNES: D une part : L Ecole Supérieure de Technologie de Meknès, représentée par Monsieur le Directeur.
Charte de vacation ENTRE LES SOUSSIGNES: D une part : L Ecole Supérieure de Technologie de Meknès, représentée par Monsieur le Directeur... Et D autre part «L ENSEIGNANT Vacataire» - Monsieur (Madame):
Plus en détailMesures patrimoniales de la loi de finances 2014, de la loi de finances rectificatives pour 2013
Sources : Mesures patrimoniales de la loi de finances 2014, de la loi de finances rectificatives pour 2013 Loi de finances 2014 : http://www.assembleenationale.fr/14/ta/ta0267.asp Loi de finances rectificatives
Plus en détailI - Le contrat d apprentissage II - Les droits et devoirs apprenti/entreprise, III Le rôle du CFA et de l Université IV - La taxe d apprentissage
I - Le contrat d apprentissage II - Les droits et devoirs apprenti/entreprise, III Le rôle du CFA et de l Université IV - La taxe d apprentissage Mise à jour : Avril 2009 SOMMAIRE I - Le contrat d apprentissage
Plus en détailLes principales dispositions de la loi de finances pour 2014 publiée au Journal officiel le 30 décembre 2013
Les principales dispositions de la loi de finances pour publiée au Journal officiel le 30 décembre 2013 IMPÔT SUR LE REVENU Barème CGI. art.197 Décote CGI. art. 197 Barème non revalorisé en 2012 et 2013
Plus en détailLE COURTAGE D ASSURANCE
Programme 1ère conférence : l éthique du courtier 2ème conférence : la profession du courtier Courtage et environnement concurrentiel Le cadre de l activité L activité La responsabilité des courtiers d
Plus en détailLISTE DES DOCUMENTS A FOURNIR A L APPUI DE VOTRE DEMANDE DE BOURSE
2015-1 - 1 Cette liste n'est pas exhaustive. L'Administration se réserve le droit de demander tout document complémentaire qui lui apparaîtrait nécessaire lors de l'instruction du dossier. Aucun document
Plus en détailHong Kong: Sociétés offshore à Hong Kong :
Hong Kong: Le territoire de Hong Kong est situé sur les côtes Sud Est de la Chine et regroupe un grand nombre d îles. Ce territoire compte, à ce jour, près de sept millions d habitants. Hong Kong est revenu
Plus en détailLISTE DES DOCUMENTS A FOURNIR A L APPUI DE VOTRE DEMANDE DE BOURSE
LISTE DES DOCUMENTS A FOURNIR Documents à fournir quelle que soit votre situation : Formulaire de demande de bourse dûment complété et signé Livret de famille Carte d inscription au registre des Français
Plus en détailDiplôme Européen d Etudes Supérieures Niveau «bac +3» S a in t P a u l B o u r d o n B la n c. Sommaire
S a in t P a u l B o u r d o n B la n c Éta b lisse m e n t C a th o liq u e d En se ig n e m e n t Diplôme Européen d Etudes Supérieures Niveau «bac +3» Sommaire 1. Le DEES ARH 2. Public visé par la formation
Plus en détailAlternance et Handicap L APPRENTISSAGE
Alternance et Handicap L APPRENTISSAGE Voie professionnelle : Lycée versus Cfa Le Lycée Pro Le CFA (Centre Formation Apprentis) UN diplôme IDENTIQUE : CAP, Bac Pro, BTS, Licence pro, etc.. En cours ou
Plus en détailINVESTIR AU TCHAD. Le Tchad est un pays d agriculture et d élevage, un pays dont le peuple est laborieux, un pays dont le sous sol est promoteur.
INVESTIR AU TCHAD POURQUOI INVESTIR AU TCHAD Des Potentialités Economiques Enormes Un Environnement Politique et Economique Favorable Une Activité Economique Réglementée Un Cadre Indicatif Favorable. DES
Plus en détailLe Parlement jeunesse du Québec PARLEMENT JEUNESSE DU QUÉBEC 64 E LÉGISLATURE. Projet de loi n 1
Le Parlement jeunesse du Québec PARLEMENT JEUNESSE DU QUÉBEC 64 E LÉGISLATURE Projet de loi n 1 Loi sur la représentativité des sexes sur le marché du travail Présenté par Mme Jade Boivin Ministre du Travail
Plus en détailFiche info-financière Assurance-vie pour une combinaison des branches 21 et 23. Top Rendement 1. Type d assurance-vie
Fiche info-financière Assurance-vie pour une combinaison des branches 21 et 23 Top Rendement 1 Type d assurance-vie Assurance-vie individuelle avec taux d intérêt garanti (branche 21). En ce qui concerne
Plus en détail2015/16. Autoentrepreneur. Bénédicte Deleporte
Autoentrepreneur 2015/16 Bénédicte Deleporte Avocat au Barreau de Paris Chargée d enseignement à l Univeristé Paris Est Créteil (UPEC, ex Paris 12) Deleporte Wentz Avocat www.deleporte-wentz-avocat.com
Plus en détailLE VIE VOLONTARIAT INTERNATIONAL EN ENTREPRISE >>>
>>> LE VIE VOLONTARIAT INTERNATIONAL EN ENTREPRISE SERVICE COMMUN UNIVERSITAIRE D INSERTION ET D ORIENTATION Campus centre-ville Site Ste Marthe 74 rue Louis Pasteur 84029 AVIGNON CEDEX 1 Tél. + 33 (0)4
Plus en détailDépenses garanties en Assurance prospection
NOTICE EXPLICATIVE Dépenses garanties en Assurance prospection Les dépenses garanties en Assurance prospection sont des frais spécifiques et doivent correspondre à des dépenses nouvelles (par opposition
Plus en détailSommet pleines voiles / Groupe de travail sur l autosuffisance : domaines d intérêt communs
Sommet pleines voiles / Groupe de travail sur l autosuffisance : domaines d intérêt communs Lors du Sommet pleines voiles en janvier 2007, la Commission des valeurs mobilières du Nouveau-Brunswick a publié
Plus en détailmode d emploi(s) , source de ressources twitter.com/dtalents
mode d emploi(s) twitter.com/dtalents, source de ressources 2 MODES D EMPLOI(S) 1. Sans Dtalents 2. Avec Dtalents Les 4 atouts principaux de Dtalents : Un engagement social total : garantie et paiement
Plus en détailQuelles sont les conditions de travail de l apprenti?
Quelles sont les conditions de travail de l apprenti? L apprenti est un salarié à part entière. À ce titre, les lois, les règlements et la convention collective de la branche professionnelle ou de l entreprise
Plus en détailTOUT SAVOIR SUR LE COMPTE ÉPARGNE TEMPS
CET épargne salariale TOUT SAVOIR SUR LE COMPTE ÉPARGNE TEMPS Sommaire Compte épargne temps 3 Historique 4 Mise en place 6 Alimentation 8 Utilisation 10 Optimiser le CET 14 COMPTE ÉPAR- GNE TEMPS Le Compte
Plus en détailTableau comparatif des contrats d apprentissage et de professionnalisation
Tableau comparatif des contrats d apprentissage et de professionnalisation Attention : Ce document a été établit en juin 2015. Les informations qu il contient peuvent avoir évoluées en fonction des lois
Plus en détailLe contrat de professionnalisation à l Université Paul Sabatier GUIDE DES STAGIAIRES DE LA FORMATION CONTINUE MISSION FORMATION «POLE ALTERNANCE»
GUIDE DES STAGIAIRES DE LA FORMATION CONTINUE Le contrat de professionnalisation à l Université Paul Sabatier MISSION FORMATION CONTINUE ET APPRENTISSAGE «POLE ALTERNANCE» LE CONTRAT DE PROFESSIONNALISATION
Plus en détailTarif des principales opérations sur titres
Tarif des principales opérations sur titres 01 janvier 2015 Ordres Euronext... 2 Bourse étrangère... 3 Euro-obligations... 4 Fonds de placement KBC (1)... 4 Produits d investissement KBC émis par KBC AM...
Plus en détailLe contrat d apprentissage
Mai 2009 contrats et mesures Le contrat d apprentissage Vous recrutez un jeune tout en bénéficiant d avantages financiers. Vous le préparez à un métier de votre entreprise et à une qualification professionnelle
Plus en détailL action du gouvernement espagnol et de l Institut de la jeunesse concernant le Pacte européen pour la jeunesse
L action du gouvernement espagnol et de l Institut de la jeunesse concernant le Pacte européen pour la jeunesse Institut de la jeunesse Madrid Les débuts de toute chose sont toujours petits. Cicéron La
Plus en détailRedressement et stabilisation du cadre. Reformes structurelles de l économie Reformes des finances publiques Bonne gouvernance
Avant - Économie congolaise caractérisée par un tissu industriel délabré - Infrastructures socio-économiques de base détruites - Inflation galopante - Monnaie chancelante Après - Ambitieux programme de
Plus en détailcréation oseo.fr Pour financer et accompagner les PME
création oseo.fr OSEO Document non contractuel Réf. : 6522-02 Janvier 2007 Pour financer et accompagner les PME création oser pour gagner! Que la création porte sur une activité traditionnelle avec un
Plus en détailA Absence lors de la journée de solidarité... 3
Partie 1 - L actualité 2011.... 1 A Absence lors de la journée de solidarité... 3 Absence pour maladie sans justification... 9 Absences répétées pour maladie et évolution professionnelle.... 10 Accident
Plus en détailRencontres Gouvernement Secteur Privé 2013 Actualité Juridique 2012-2013
Présenté par : Pierre ABADIE Auteur d ouvrages juridiques Expert comptable Conseil juridique pierre@abadie.bf 1 Impôt sur les sociétés (IS) : suppression de la limite de déductibilité des rémunérations
Plus en détailLes avantages de la charte de l investissement
Les avantages de la charte de l investissement La charte de l investissement a pour objectif de fixer l action de l Etat en matière de promotion des investissements pour les dix années à venir. Elle remplace
Plus en détailImplantée sur TOULOUGES, dans les Pyrénées Orientales, la société ACTIV PORTAGE vous apporte :
1/9 Implantée sur TOULOUGES, dans les Pyrénées Orientales, la société ACTIV PORTAGE vous apporte : - Pour vous tous : Devenez indépendant avec un statut salarié : Saisissez toutes les opportunités de mission
Plus en détailRAPPEL DE COURS. L embauche. I. Le placement. II. Les filières de recrutement. 1. Le service public de l emploi CHAPITRE
1 CHAPITRE I. Le placement RAPPEL DE COURS L activité de placement consiste à fournir à titre habituel des services visant à rapprocher offres et demandes d emploi sans que la personne assurant cette activité
Plus en détailLatham & Watkins Département Tax. des investisseurs
Numéro 360 14 Janvier 2004 Client Alert Latham & Watkins Département Tax La loi de finances pour 2004 ainsi que la loi pour l Initiative Economique votée l été dernier prévoient de nombreuses mesures en
Plus en détailMASTER EUROPEEN EN MANAGEMENT ET STRATEGIE D ENTREPRISE MSE. Diplôme Européen reconnu par la Fédération Européenne des Ecoles ; www.fede.
MASTER EUROPEEN EN MANAGEMENT ET STRATEGIE D ENTREPRISE MSE Diplôme Européen reconnu par la Fédération Européenne des Ecoles ; www.fede.org - BAC+5 Présentation Ce programme de formation interdisciplinaire
Plus en détailLe Bulletin de salaire
Le Bulletin de salaire Mentions obligatoires : Le bulletin de salaire doit mentionner les éléments suivants : - Les coordonnés du Syndicat de copropriétaires dont dépend le salarié - Le numéro de SIRET
Plus en détailService Public Fédéral Finances Diminuer la pression fiscale sur les revenus de brevets, un incitant à l innovation 2013 Cellule Fiscalité des Investissements Etrangers Michela Ritondo Personnel Dispense
Plus en détailBACHELOR Chargé(e) de Gestion Administrative et Ressources Humaines
BACHELOR Chargé(e) de Gestion Administrative et Ressources Humaines Titre enregistré par le Ministre au Répertoire National des Certifications Professionnelles par arrêté publié au journal officiel de
Plus en détailOBJETS D ETUDE EN ECONOMIE-DROIT
ACADEMIE DE CRETEIL OBJETS EN ECONOMIE-DROIT Liste de problématiques classées Enseignants en économie-gestion Tertiaire administratif 2012-2013 Ce document présente une liste de pistes de problématiques
Plus en détailCREATION D ENTREPRISE EN AUTRICHE. Document rédigé par l étude d avocats. pour AUSTRIAN BUSINESS AGENCY. Invest in Austria.
Invest in Austria CREATION D ENTREPRISE EN AUTRICHE Document rédigé par l étude d avocats pour AUSTRIAN BUSINESS AGENCY CMS_LawTax_CMYK_from101.eps Janvier 2013 www.investinaustria.at Mentions légales
Plus en détailIMPOTS DIRECTS AU SENEGAL
IMPOTS DIRECTS AU SENEGAL 1. La Contribution Globale Unique (CGU) Régime de fiscalité global représentant les impôts suivants : impôt sur le revenu assis sur les bénéfices industriels et commerciaux, impôt
Plus en détailEuropimmo LFP. SCPI d entreprise, immobilier européen AVERTISSEMENT
LFP Europimmo SCPI d entreprise, immobilier européen AVERTISSEMENT Les parts de SCPI sont des supports de placement à long terme et doivent être acquises dans une optique de diversification de votre patrimoine.
Plus en détailTypologies sur la fraude fiscale
Typologies sur la fraude fiscale Les transactions suspectes et les anomalies dans le fonctionnement des comptes peuvent révéler des infractions sous-jacentes relevant tant de la fraude fiscale que d autres
Plus en détailConvention de Portage d Entrepreneurs
Groupe LABELVIE Siège social : 8, rue de la Justice, 68100, Mulhouse R.C.S. Mulhouse 420 137 747 Convention de Portage d Entrepreneurs ENTRE LES SOUSIGNES : La société Labelvie, Sarl au capital de 50 000,
Plus en détailLE REFINANCEMENT PAR LE MARCHE HYPOTHECAIRE
LE REFINANCEMENT PAR LE MARCHE HYPOTHECAIRE J O U R N É E S A J B E F N I A M E Y M A I 2 0 1 2 P R É S E N T É P A R M R D A O B A B A ( F G H M. S A / M A L I ) Préambule L objectif de la présente communication
Plus en détailDispositions de la loi de finances 2014 relatives à la contribution libératoire
Groupement Professionnel des Banques du Maroc Dispositions de la loi de finances 2014 relatives à la contribution libératoire Guide pratique de place 0 Préambule I- CONTEXTE GENERAL Le Maroc a adhéré le
Plus en détailROYAUME DU MAROC OFFICE DES CHANGES GUIDE DES MAROCAINS RESIDANT A L'ETRANGER EN MATIERE DE CHANGE. Juillet 2012 www.oc.gov.ma
ROYAUME DU MAROC OFFICE DES CHANGES GUIDE DES MAROCAINS RESIDANT A L'ETRANGER EN MATIERE DE CHANGE Juillet 2012 www.oc.gov.ma S O M M A I R E INTRODUCTION ---------------------------------------------------------------3
Plus en détailCédants et Repreneurs d Affaires 22 juin 2010. Rémunération du repreneur en LBO : Optimisations fiscale et sociale
Cédants et Repreneurs d Affaires 22 juin 2010 Rémunération du repreneur en LBO : Optimisations fiscale et sociale Optimisation fiscale : Maître Sylvie Lérat, avocat associé spécialiste en droit fiscal
Plus en détailDexia Employee Benefits Une politique de rémunération efficace et sur mesure pour votre entreprise
Dexia Employee Benefits Une politique de rémunération efficace et sur mesure pour votre entreprise CORPORATE BANKING 2 3 L importance d une politique de rémunération efficace Le succès de votre entreprise
Plus en détailLOI DE FINANCES POUR 2011 Loi du 15 décembre 2010 QUELQUES ASPECTS FISCAUX FISCALITÉ DES ENTREPRISES
FR 52-09 LOI DE FINANCES POUR 2011 Loi du 15 décembre 2010 QUELQUES ASPECTS FISCAUX FISCALITÉ DES ENTREPRISES GROUPE DE SOCIÉTÉS : RÉGIME DES SOCIÉTÉS MÈRES ET FILIALES Suppression de la possibilité de
Plus en détailSCPI GEMMEO COMMERCE. L immobilier de commerce français en portefeuille
SCPI GEMMEO COMMERCE L immobilier de commerce français en portefeuille AVERTISSEMENT Facteurs de risques Avant d investir dans une société civile de placement immobilier (ci-après «SCPI»), vous devez tenir
Plus en détailGuide de création d une entreprise de travail temporaire
Guide de création d une entreprise de travail temporaire I préambule... p.3 II L objet d une entreprise de travail temporaire... p.4 Une définition contractuelle Une définition légale Modèle d objet social
Plus en détailLes Politiques macro-économiques
Politique Financière Politique Monétaire Politique Fiscale Les Politiques macro-économiques Politique Budgétaire Politique de Crédit Politique Commerciale Politique d Investissement Jocelerme PRIVERT POLITIQUE
Plus en détailChiffres-clés relatifs à la place financière suisse Mis à jour en décembre 2008
Chiffres-clés relatifs à la place financière suisse Mis à jour en décembre 2008 O:\Ifw-daten\IFW-FF\14 FinMaerkte_FinPlatzPolitik\143.2 FM CH Statistik\Publ Kennzahlen\Kennzahlen_Dezember08\Internet\Kennzahlen_CD-
Plus en détailAUTO-ENTREPRENEUR ET PORTAGE SALARIAL L AUTO-ENTREPRENEUR
AUTO-ENTREPRENEUR ET PORTAGE SALARIAL L AUTO-ENTREPRENEUR 1 LE REGIME C est un nouveau régime plus simplifié pour exercer une activité indépendante Ce n est pas un nouveau statut juridique car un auto-entrepreneur
Plus en détailInvestissement immobilier: la fin des SCPI?
Investissement immobilier: la fin des SCPI? La SCPI figure comme le premier véhicule structuré d investissement en immobilier. A l origine de ces investissements, des sociétés civiles se sont développées
Plus en détailDURÉE DE CONSERVATION DES DOCUMENTS EN DROIT LUXEMBOURGEOIS DESTINE AUX ENTREPRISES COMMERCIALES
In colaboration with DES DOCUMENTS EN DROIT LUXEMBOURGEOIS DESTINE AUX ENTREPRISES COMMERCIALES Vous trouverez ci-dessous un guide consacré aux durées de conservation des documents en vertu du droit luxembourgeois
Plus en détailAvertissement : ceci est un corrigé indicatif qui n engage que son auteur
DCG UE4 DROIT FISCAL - session 2014 Proposition de CORRIGÉ 2014 dcg-lyon.fr Avertissement : ceci est un corrigé indicatif qui n engage que son auteur DOSSIER 1 TAXE SUR LA VALEUR AJOUTÉE - 5 points 1.
Plus en détailNouveautés législatives russes. CMS, Russie Février 2010
Nouveautés législatives russes CMS, Russie Février 2010 Nouveautés législatives russes Sommaire Nouveautés dans le domaine juridique Financement Immobilier Commerce Environnement Nouveautés dans le domaine
Plus en détailwww.cma13.fr b[i iebkj_edi 9C7 ')
www.cma13.fr b[i iebkj_edi 9C7 ') Permettre à des jeunes de devenir apprentis, c est leur offrir une vraie chance de réussite professionnelle et c est apporter de la richesse à votre entreprise. La Chambre
Plus en détail