Les dossiers techniques du CRTA SAVEZ-VOUS CALCULER VOTRE TAUX DE RENDEMENT EN PRODUCTION?

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Les dossiers techniques du CRTA SAVEZ-VOUS CALCULER VOTRE TAUX DE RENDEMENT EN PRODUCTION?"

Transcription

1 Les dossiers techniques du CRTA SAVEZ-VOUS CALCULER VOTRE TAUX DE RENDEMENT EN PRODUCTION?

2 SAVEZ-VOUS CALCULER VOTRE TAUX DE RENDEMENT? Le TRS (taux de rendement synthétique) est un indicateur utilisé en production. Riche en informations, il permet de pointer les dysfonctionnements qui font diminuer la rentabilité de l entreprise 1) Définition des temps et taux Le taux de rendement d une production dépend de plusieurs facteurs dont les performances se combinent pour aboutir en sortie de production à un résultat plus ou moins proche de l objectif que l on s est fixé. Au-delà du résultat global, il est souvent intéressant d en connaître les composantes pour mieux cibler les actions correctives qui découlent des écarts constatés. Ainsi, le rendement global dépend : De la performance des machines De la performance du personnel de production De la performance de la maintenance De la performance des fournisseurs au travers de la qualité des matières et pièces De la performance de l organisation Le calcul du TRS (Taux de Rendement Synthétique) permet de cibler les entités à problèmes. Pour mieux comprendre, partons avec un exemple concret. 1. L entreprise X fabrique des tubes en PVC de divers diamètres, longueurs et épaisseurs. Tous les calculs se font sur la journée de travail. L horaire de travail habituel est : 3h à 19h, c est-à-dire 16 heures journalières To = 16h En considérant le produit fabriqué P, la capacité théorique de production horaire est de 400 tubes, c est à dire de 400x16 = 6400 pièces jour Co=6400 Nous dirons que To est le temps d ouverture correspondant à une capacité théorique Co (Co peut différer selon la référence du produit fabriqué) 2. L entreprise X décide faire du nettoyage ce jour. La durée prévue de cette opération est de 4h. Le temps de production est donc de 16 4 = 12h. Tr = 12h La capacité de production n est plus que de 6400*12/16 = Cr =4800 tubes/jour

3 Nous dirons que Tr est le temps requis correspondant à une capacité théorique Cr Pour obtenir le temps requis, il faut déduire tous les arrêts programmés (prévus) Tr = To arrêts prévus Sous charge prévue Arrêt pour maintenance préventive Personnel en formation Nettoyage ou entretien programmé. 3. La fabrication ayant été lancée, il s avère que des pannes machines provoquent un arrêt de 1,5h. Le temps de production est donc de 12 1,5 = 10,5h. Tf = 10,5h La capacité de production n est plus que de 6400*10,5/16 = Cf = 4200 tubes/jour Taux brut de fonctionnement = Tf/Tr = Cf/Cr = 10,5/12 = 87,5% Nous dirons que Tf est le temps de fonctionnement correspondant à une capacité théorique Cf Pour obtenir le temps de fonctionnement, il faut déduire tous les arrêts non prévus ou aléatoires Tf = Tr arrêts non souhaités Pannes machines Déficience d un opérateur Changement de série Rupture de stock Txb = Taux brut de fonctionnement = Tf/Tr = Cf/Cr Si on se limite aux arrêts dus aux pannes, ce taux devient un indicateur de disponibilité machine. Remarque : le changement de série (avec ses réglages) est généralement considéré comme du temps non productif (bien qu il soit nécessaire). Ce temps est souvent porteur de d améliorations potentielles et est relativement difficile à programmer à l avance. C est pourquoi il entre dans la rubrique des temps non désirés. 4. A l issue de la journée, le nombre de pièces fabriquées est compté. Il s avère que la production a généré Cn = 4000 pièces. Il manque = 200 pièces au compteur. Ces 200 pièces correspondent à un temps théorique perdu de 200*16/6400 = 0,5h C est comme si on avait produit pendant 10,5 0,5 = 10h au lieu de 10,5h.

4 Tn = 10h La production réelle est de 4000 tubes/jour On calcule le taux de marche performante ou taux de performance : Tn/Tf = Cn/Cf = 4000/4200 = 95,2% Nous dirons que Tn est le temps net correspondant à une production mesurée Cn Pour obtenir le temps net, il faut déduire le temps théoriquement perdu en fonction de l écart de cadence constaté. Tn = Tf temps perdu sur écarts de cadence Txp = Taux de performance = Tn/Tf = Cn/Cf Remarque : il se pourrait que la production mesurée soit supérieure à la capacité théorique. Il s agit alors de temps gagné et il faut l ajouter et non le soustraire. On est alors en droit de se demander si la capacité théorique calculée au départ est bien la bonne. 5. Parmi les 4000 pièces fabriquées, 100 sont de mauvaise qualité et sont refusées. La production effective est donc au final de Cu = 3900 tubes. Ces 100 pièces mauvaises correspondent à un temps théorique perdu de 100*16/6400 = 0,25h C est comme si on avait produit pendant 10 0,25 = 9,75h au lieu de 10h. Tu = 9,75h La production réelle est de 3900 tubes/jour On calcule le taux de qualité : Tu/Tn = Cu/Cn = 3900/4000 = 97,5% Nous dirons que Tu est le temps utile correspondant à une production réelle Cu Pour obtenir le temps utile, il faut déduire le temps théoriquement perdu en fonction de l écart dû à la non-qualité. Tu = Tn temps perdu sur rebuts Txq = Taux de qualité = Tu/Tn = Cu/Cn

5 2) Le calcul du TRS Le TRS (Taux de Rendement Synthétique) est défini comme : TRS = Tu/Tr = Cu/Cr TRS = (Tu/Tn) * (Tn/Tf) * (Tf/Tr) TRS = Txq * Txb * Txb Remarque : on calcule aussi parfois le TRG (Taux de Rendement Global) : TRG = Tu/To Dans l exemple précédent, TRS = 97,5%*95,2%*87,5% = 81,3% TRG = 9,75/16 = 60,9% 3) La récolte des données Bilan de l exemple : Temps Ecart Prod Ecart Taux Commentaire 1 Théorique Ouverture Mesuré 2 Théorique Nettoyage Mesuré Théorique Panne machine Mesuré 10,5 1,5 87,5% 4 Théorique 10 0,5 Mauvaise cadence Mesuré ,2% 5 Théorique 9,75 0,25 Rebuts Mesuré ,5% 81,3% TRS Les données qu il est nécessaire de récolter (en rouge dans le tableau) sont : Les durées des activités non productives programmées (ex : nettoyage) Les durées des activités productives (par exemple en faisant remplir une fiche sur laquelle l opérateur relève les heures de début et de fin de production des lots Les durées des arrêts non programmés (ex : pannes) Le nombre de pièces produites (bonnes et mauvaises) Le nombre de pièces mauvaises

6 Il faut donc mettre en place un système de fiches renouvelées à chaque période du calcul et renseignées par les opérateurs sur le terrain. Il est clair que la pertinence des indicateurs calculés dépend de la précision des relevés. Il est donc indispensable de former et motiver le personnel pour que celui-ci renseigne les documents avec soin. L implication du personnel dans la recherche de solutions d amélioration représente un degré de plus dans la démarche et mène l entreprise vers la mise en place de méthodes du type TPM (Totale Productive Maintenance), ou du moins de type 5S, où la recherche de l excellence à tous les niveaux constitue un objectif privilégié. Ces méthodes sont longues à mettre en place car la modification des comportements et mentalités n est pas chose aisée.

7 4) L exploitation des indicateurs Le TRS est un indicateur composé de 3 taux : Le taux brut de fonctionnement Il est essentiellement significatif du bon fonctionnement des équipements. Son amélioration passe par : La mise en place d un plan de maintenance préventive (quand c est possible) L amélioration du correctif (par exemple par des gammes de montage et démontage) La disponibilité d un stock de pièce de rechange ou d une possibilité d approvisionnement rapide L achat d équipements neufs à haute fiabilité Il faut également surveiller la disponibilité des stocks de matières ou de pièces pour la production et veiller à appliquer une politique sécurité efficace de nature à motiver le personnel et ainsi réduire l absentéisme. Le taux de performance Il est significatif de la capacité à produire dans les meilleures conditions : Réglage des équipements optimal pour une bonne régularité Compétence du personnel (à améliorer par la formation) Qualité des matières premières Organisation de la production adaptée au type de fabrication (réactivité améliorée) Le temps «perdu» sans raison apparente (dont le cumul sur une période peut ne pas être négligeable) contribue également à dégrader cet indicateur Le taux de qualité Il traduit la tendance à générer du rebut. Il peut être amélioré par La mise en place de contrôles (continus ou non) L utilisation de méthodes statistiques (par prélèvements) L instauration d une politique qualité L optimisation du procédé de fabrication Traçabilité

8 Une analyse fine de tous ces facteurs doit déboucher sur la mise en place d actions d amélioration (pouvant impliquer le personnel à tous les niveaux). Ces actions doivent être suivies et accompagnées d une bonne communication. 5) Consolidation du calcul des indicateurs L exemple ci-dessus montre un calcul pour la fabrication d un produit donné sur une période d une journée. La période de calcul peut être plus large (1 semaine, 2 semaines), mais elle fait alors perdre de la réactivité. L utilisation d un tableur facilite l automatisation des calculs, mais la saisie est quasi incontournable. Sur une période, le calcul doit être fait sur tous les produits fabriqués. Une sommation sur les différents temps théoriques ou mesurés pour chaque produit permet d extrapoler le TRS sur une période, tous produits confondus. To Tr Tf Tn Tu Txb Txp Txq TRS Produit ,5 10 9,75 87,5 95,2 97,5 81,3 Produit 2 Produit n TOTAL En consolidant de même les totaux, on peut calculer des TRS pour le mois, le trimestre, l année,

TPM Totale Productive Maintenance

TPM Totale Productive Maintenance T.P.M ou Topo Maintenance Méthodes de maintenance TPM Totale Productive Maintenance 1 T.P.M ou Topo Maintenance 1. CONTEXTE GENERAL La TPM (de l anglais Total Productive Maintenance) est un système global

Plus en détail

QUESTIONNAIRE DE PRE-AUDIT. Rubrique n 1 : Présentation de l entreprise

QUESTIONNAIRE DE PRE-AUDIT. Rubrique n 1 : Présentation de l entreprise QUESTIONNAIRE DE PRE-AUDIT MISE A NIVEAU DE L ENTREPRISE PAR LE GENIE INDUSTRIEL Pré-audit réalisé le... Rédacteur(s). Rubrique n 1 : Présentation de l entreprise Renseignements généraux - Identité de

Plus en détail

Indicateurs de Performance et Tableaux de Bord

Indicateurs de Performance et Tableaux de Bord -Consulting et Tableaux de Bord Patrick Lesauvage, -Consulting www.-consulting.com 1 en collaboration avec Pierre Legault (PLG-Consulting) DEMARCHE -Consulting Sommaire ROLE D UN INDICATEUR TABLEAUX DE

Plus en détail

Les quatre chantiers :

Les quatre chantiers : Tweet Voir aussi : Les programmes de performance, La méthode Kaizen, Le Lean en 10 points. Le Lean est une démarche systématique dont l'objectif est d'éliminer toutes les sources de gaspillages dans les

Plus en détail

!-.!#- $'( 1&) &) (,' &*- %,!

!-.!#- $'( 1&) &) (,' &*- %,! 0 $'( 1&) +&&/ ( &+&& &+&))&( -.#- 2& -.#- &) (,' %&,))& &)+&&) &- $ 3.#( %, (&&/ 0 ' Il existe plusieurs types de simulation de flux Statique ou dynamique Stochastique ou déterministe A événements discrets

Plus en détail

Magisoft. Progiciel de gestion intégré modulaire (Gestion de Production Gestion Commerciale CRM) Gestion de Production

Magisoft. Progiciel de gestion intégré modulaire (Gestion de Production Gestion Commerciale CRM) Gestion de Production Progiciel de gestion intégré modulaire Gestion de Production Fichiers Permanents Définition des : - familles et sous familles articles, familles et sous familles clients. - Produits finis, semi-finis,

Plus en détail

Mise en œuvre des filets de sécurité en grandes nappes

Mise en œuvre des filets de sécurité en grandes nappes RECOMMANDATION R 446 Recommandation adoptée par le comité technique national du bâtiment et des travaux publics lors de sa réunion du 14 mai 2009. Cette recommandation annule et remplace la recommandation

Plus en détail

CQP Plasturgie Opérateur spécialisé en assemblage, parachèvement finition. Référentiels d activités et de compétences Référentiel de certification

CQP Plasturgie Opérateur spécialisé en assemblage, parachèvement finition. Référentiels d activités et de compétences Référentiel de certification CQP Plasturgie Opérateur spécialisé en assemblage, parachèvement finition Référentiels d activités et de compétences Référentiel de certification Designation du métier ou des composantes du métier en lien

Plus en détail

CQP Plasturgie Assemblage parachèvement finitions. Référentiels d activités et de compétences Référentiel de certification

CQP Plasturgie Assemblage parachèvement finitions. Référentiels d activités et de compétences Référentiel de certification CQP Plasturgie Assemblage parachèvement finitions Référentiels d activités et de compétences Référentiel de certification DESIGNATION DU METIER OU DES COMPOSANTES DU METIER EN LIEN AVEC LE CQP Le titulaire

Plus en détail

CQP Inter-branches Technicien de Maintenance Industrielle

CQP Inter-branches Technicien de Maintenance Industrielle CQP Inter-branches Technicien de Maintenance Industrielle Guide de repérage des compétences du candidat Candidat Nom :... Prénom :........ Entreprise :... Le document original est conservé par l entreprise

Plus en détail

MIKRON CUSTOMER SERVICE. Un service client adapté à vos besoins

MIKRON CUSTOMER SERVICE. Un service client adapté à vos besoins MIKRON CUSTOMER SERVICE Un service client adapté à vos besoins 2-3 CUMULEZ LES OPTIONS DE SERVICES DE CHAQUE MODULE POUR AMéLIORER LA PRODUCTIVITé DE VOTRE SYSTÈME MIKRON CUSTOMER SERVICE FLEXIBLE, MODULAIRE,

Plus en détail

Automatismes. Quelles technologies et méthodes pour les automatismes de demain? Session D. Maîtrise de la performance de l'atelier

Automatismes. Quelles technologies et méthodes pour les automatismes de demain? Session D. Maîtrise de la performance de l'atelier Automatismes Quelles technologies et méthodes pour les automatismes de demain? Session D Maîtrise de la performance de l'atelier Introduction La maîtrise de la performance de l'atelier est devenue un enjeu

Plus en détail

ALLOCATIONS CHOMAGE. Effet au 01/07/2014

ALLOCATIONS CHOMAGE. Effet au 01/07/2014 Questions sociales Note d information n 14-15 du 6 août 2014 ALLOCATIONS CHOMAGE Effet au 01/07/2014 Références Arrêté du 25 juin 2014 portant agrément de la convention du 14 mai 2014 relative à l indemnisation

Plus en détail

Leçon 12. Le tableau de bord de la gestion des stocks

Leçon 12. Le tableau de bord de la gestion des stocks CANEGE Leçon 12 Le tableau de bord de la gestion des stocks Objectif : A l'issue de la leçon l'étudiant doit être capable de : s initier au suivi et au contrôle de la réalisation des objectifs fixés au

Plus en détail

Samuel Bassetto 04/2010

Samuel Bassetto 04/2010 Industrialisation Lean manufacturing 4.2 Réalisé avec V. FIGENWALD - SIEMENS Samuel Bassetto 04/2010 Plan de la partie 2 : Vers une production Lean 1. Valeur Ajoutée et Gaspillages Muda walk 2. Temps de

Plus en détail

1 - Le catalogue d états prêts à l emploi p.2

1 - Le catalogue d états prêts à l emploi p.2 Nouveau Sage 100 Gestion Commerciale Edition Pilotée Plus simple, plus riche, plus métier! Sage 100 Gestion Commerciale Edition Pilotée est la solution de référence pour vous accompagner dans votre gestion

Plus en détail

Améliorer la performance des ressources de la production par la TPM

Améliorer la performance des ressources de la production par la TPM Dossier paru dans la tribune de l'industrie des Editions WEKA N 29 Mars 2006 Améliorer la performance des ressources de la production par la TPM La mise en place d'une démarche TPM nécessite plusieurs

Plus en détail

CYLINDRE ET BÉQUILLE ÉLECTRONIQUES À BADGE Aperio E100 & C100

CYLINDRE ET BÉQUILLE ÉLECTRONIQUES À BADGE Aperio E100 & C100 SYSTÈMES D IDENTIFICATION CYLINDRE ET BÉQUILLE ÉLECTRONIQUES À BADGE Aperio E100 & C100 CONTRÔLE D ACCÈS SANS FIL RFID Contrôle des portes en temps réel. Fonctionnalités Aperio : le chaînon manquant grâce

Plus en détail

Jean-Philippe ROY Consultant PROCONSEIL

Jean-Philippe ROY Consultant PROCONSEIL Piloter la performance par les indicateurs de performance intégrés aux tableaux de bord de l entreprise Jean-Philippe ROY Consultant PROCONSEIL 40, boulevard Edgar Quinet - 75014 Paris - France - Tel +33(0)1

Plus en détail

Ce document est destiné à suivre le parcours de formation d un candidat au CQP «Conduite de ligne de conditionnement», en intégrant :

Ce document est destiné à suivre le parcours de formation d un candidat au CQP «Conduite de ligne de conditionnement», en intégrant : Commission Paritaire Nationale de l Emploi des Industries de Santé CQP «Conduite de ligne de conditionnement» Livret de suivi de la formation en contrat de professionnalisation Nom et prénom du candidat

Plus en détail

L allocation d aide au retour à l emploi (ARE)

L allocation d aide au retour à l emploi (ARE) indemnisation L allocation d aide au retour à l emploi (ARE) Pour les 50 ans et plus L allocation d aide au retour à l emploi (ARE) Pour les 50 ans et plus Pour qui? Pour vous si : vous n avez pas atteint

Plus en détail

Elaboration et Suivi des Budgets

Elaboration et Suivi des Budgets Elaboration et Suivi des Budgets 1 1- La Notion Du contrôle de Gestion 2- La Place du Contrôle de Gestion dans le système organisationnel 3- La Notion des Centres de responsabilité 4- La procédure budgétaire

Plus en détail

PERFORMANCE LC STAND BY. Sécurisez vos contrats commerciaux à l international

PERFORMANCE LC STAND BY. Sécurisez vos contrats commerciaux à l international ENTREPRISES COMMERCE INTERNATIONAL PERFORMANCE LC STAND BY Sécurisez vos contrats commerciaux à l international PERFORMANCE LC STAND BY Pour les partenaires qui se connaissent bien et traitent ensemble

Plus en détail

Mesures d antennes en TNT

Mesures d antennes en TNT Mesures d antennes en TNT Ce TP s intéresse aux techniques liées à l installation d un équipement de réception de télévision numérique terrestre. Pour les aspects théoriques, on pourra utilement se référer

Plus en détail

A. Le contrôle continu

A. Le contrôle continu L audit d achat est une action volontaire décidée par l entreprise avec pour objet d apprécier la qualité de l organisation de sa fonction achats et le niveau de performance de ses acheteurs. L audit achat

Plus en détail

Outsourcing : la sauvegarde en ligne des données de l entreprise.

Outsourcing : la sauvegarde en ligne des données de l entreprise. Outsourcing : la sauvegarde en ligne des données de l entreprise. Sur quels marchés votre entreprise de Sauvegarde en Ligne évolue t elle? Dans un contexte de montée en puissance de l insécurité, les solutions

Plus en détail

Chapitre Contenu Page. 14 Restauration du béton 383

Chapitre Contenu Page. 14 Restauration du béton 383 Chapitre Contenu Page 14 383 14 Principes De par ses propriétés particulières, le béton s est installé comme matériau dans tous les domaines de la construction. Partenaire important et fiable, il est

Plus en détail

REFERENTIEL DU CQPM. TITRE DU CQPM : Electricien maintenancier process 1 OBJECTIF PROFESSIONNEL DU CQPM

REFERENTIEL DU CQPM. TITRE DU CQPM : Electricien maintenancier process 1 OBJECTIF PROFESSIONNEL DU CQPM COMMISION PARITAIRE NATIONALE DE L EMPLOI DE LE METALLURGIE Qualification : Catégorie : B Dernière modification : 10/04/2008 REFERENTIEL DU CQPM TITRE DU CQPM : Electricien maintenancier process 1 I OBJECTIF

Plus en détail

Manuel Cartes ristournes

Manuel Cartes ristournes Manuel Cartes ristournes 26 octobre 2006 OmegaSoft Wallonie Rue Camille Hubert 23 5032 Les Isnes Tel. 081/40.70.00 Fax 081/40.70.70 information@omegasoft.be www.omegasoft.be Page 1/17 1. TABLE DES MATIÈRES

Plus en détail

Notice d utilisation. Présentation générale...p 2 à 3. Installation...P 3 à 6. Fonctionnement...P 9. Agréé une marque déposée par La Poste

Notice d utilisation. Présentation générale...p 2 à 3. Installation...P 3 à 6. Fonctionnement...P 9. Agréé une marque déposée par La Poste Notice d utilisation Agréé une marque déposée par La Poste Présentation générale...p 2 à 3 Installation...P 3 à 6 Fonctionnement...P 9 Présentation générale La centrale Vachette FACILY PASS propose une

Plus en détail

Location longue durée sans option d'achat N XXX

Location longue durée sans option d'achat N XXX www.maxiloclocationtp.fr Location longue durée sans option d'achat N XXX Entre, Maxiloc N 76, RD 312 Chemin de Lagnieu 69360 Ternay Dénommé Le Loueur d une part, et XXX adresse précise XXX N Client : XXX

Plus en détail

LES PERTES DE RENDEMENT PEUVENT ÊTRE ÉVITÉES

LES PERTES DE RENDEMENT PEUVENT ÊTRE ÉVITÉES MONITORING À DISTANCE LES INSTALLATIONS PHOTOVOLTAÏQUES LIVRENT DES RENDEMENTS OPTIMAUX UNIQUEMENT SI ELLES FONCTIONNENT CORRECTEMENT. LES DÉFAUTS TECHNIQUES OU LES PANNES DUES À L USURE NE PEUVENT PAS

Plus en détail

La méthode des scores, particulièrement de la Banque de France

La méthode des scores, particulièrement de la Banque de France La méthode des scores, particulièrement de la Banque de France Devant la multiplication des défaillances d entreprises au cours des années 80 et début des années 90, la Banque de France a produit des travaux

Plus en détail

Je découvre Lina Maintenance

Je découvre Lina Maintenance Je découvre Lina Maintenance Une interface simple et ergonomique pour optimiser la maintenance de vos équipements 1 Sommaire Présentation 4 La plateforme Lina 5 Référentiel 6 Agenda et données personnelles

Plus en détail

Norme comptable internationale 7 Tableau des flux de trésorerie

Norme comptable internationale 7 Tableau des flux de trésorerie Norme comptable internationale 7 Tableau des flux de trésorerie Objectif Les informations concernant les flux de trésorerie d une entité sont utiles aux utilisateurs des états financiers car elles leur

Plus en détail

NÉGOCE ET DISTRIBUTION

NÉGOCE ET DISTRIBUTION NÉGOCE ET DISTRIBUTION Cap vers une gestion simplifiée OPTIMISEZ VOS CYCLES D ACHAT ET DE VENTE. AMÉLIOREZ LA GESTION DE VOS APPROVISIONNEMENTS, LA GESTION DE VOS STOCKS ET EMPLACEMENTS. CONTRÔLEZ ET MAÎTRISEZ

Plus en détail

Formation Atmansoft :

Formation Atmansoft : La particularité de la mise en place d une gestion de trésorerie, c'est-à-dire afin de devancer ses engagements, de connaître ses besoins et de respecter ses lignes d autorisations de découvert est devenu

Plus en détail

Cylindre XS DORMA. Le contrôle d accès XS

Cylindre XS DORMA. Le contrôle d accès XS Cylindre XS DORMA Le contrôle d accès XS DORMA XS Une large famille de solutions DORMA XS est un système de contrôle d accès modulaire et évolutif qui répond à tous types de demandes, et offre des solutions

Plus en détail

des réseaux (ECS) Vanne d'équilibrage auto-nettoyante pour réseaux sanitaires w w w. s o g o b a. c o m

des réseaux (ECS) Vanne d'équilibrage auto-nettoyante pour réseaux sanitaires w w w. s o g o b a. c o m Equilibrage & Maintenance des réseaux (ECS) Vanne d'équilibrage auto-nettoyante pour réseaux sanitaires Vanne d'équilibrage auto-nettoyante pour réseaux sanitaires G R K N E T E v o l u t i o n La solution

Plus en détail

Gestion commerciale. Une réponse fonctionnelle quel que soit votre secteur d activité

Gestion commerciale. Une réponse fonctionnelle quel que soit votre secteur d activité Gestion commerciale La rentabilité d une entreprise passe par l augmentation du chiffre d affaires et la maîtrise des coûts de gestion. Avec Sage 100 Gestion Commerciale, vous contrôlez votre activité

Plus en détail

CRM MANAGER LES SOLUTIONS POUR BOOSTER VOTRE RELATION CLIENT

CRM MANAGER LES SOLUTIONS POUR BOOSTER VOTRE RELATION CLIENT CRM MANAGER S SOLUTIONS POUR BOOSTER VOTRE RELATION CLIENT CRM MANAGER plus que jamais, un outil d actualité et de conquête Votre connaissance du et de vos clients est fondamentale pour assurer vos succès.

Plus en détail

Associations Dossiers pratiques

Associations Dossiers pratiques Associations Dossiers pratiques Le tableau de bord, outil de pilotage de l association (Dossier réalisé par Laurent Simo, In Extenso Rhône-Alpes) Difficile d imaginer la conduite d un bateau sans boussole

Plus en détail

Permanences secrétariat : Sans rendez-vous : Du lundi au jeudi de 17h00 à 21h30. Sur rendez-vous : Les mercredi et vendredi après-midi.

Permanences secrétariat : Sans rendez-vous : Du lundi au jeudi de 17h00 à 21h30. Sur rendez-vous : Les mercredi et vendredi après-midi. Objectifs : Se former au métier de technicien apte à intervenir sur des installations automatisées industrielles. Etre capable de monter, modifier, régler ou entretenir des équipements automatisés à partir

Plus en détail

«Quick-Check Asset Management»

«Quick-Check Asset Management» 1 «Quick-Check Asset Management» Audit sur le positionnement des gestionnaires de réseau de distribution en matière de gestion d actifs Septembre 2012 D un régime actuel «Cost +» La plupart des GRD se

Plus en détail

Chapitre 14 Cours à terme et futures. Plan

Chapitre 14 Cours à terme et futures. Plan hapitre 14 ours à terme et futures Plan Différences entre contrat à terme et contrat de future Fonction économique des marchés de futures Rôle des spéculateurs Futures de matières premières Relation entre

Plus en détail

Article 2 : Conseils et meilleures pratiques pour gérer un cloud privé

Article 2 : Conseils et meilleures pratiques pour gérer un cloud privé Article 2 : Conseils et meilleures pratiques pour gérer un cloud privé Sponsored by Mentions relatives aux droits d'auteur 2011 Realtime Publishers. Tous droits réservés. Ce site contient des supports

Plus en détail

LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE

LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE TABLEAU DE BORD LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE DEFINITION Le tableau de bord est un support (papier ou informatique) qui sert à collecter de manière régulière des informations permettant de

Plus en détail

Réforme des cotisations sociales des TNS: Evolution ou révolution?

Réforme des cotisations sociales des TNS: Evolution ou révolution? Réforme des cotisations sociales des TNS: Evolution ou révolution? Constats LFSS 2014 : modification des taux obligatoires (TNS et salariés) Loi de finances 2013 : fiscalité des dividendes LFSS 2011 :

Plus en détail

Chapitre 6 : Consolidation par paliers et consolidation directe

Chapitre 6 : Consolidation par paliers et consolidation directe Chapitre 6 : Consolidation par paliers et consolidation directe I Principe général II- Consolidation par paliers III - Consolidation directe Cas de synthèse 1 Case de synthèse 2 I. Principe général Les

Plus en détail

Étude des résultats des investisseurs particuliers sur le trading de CFD et de Forex en France

Étude des résultats des investisseurs particuliers sur le trading de CFD et de Forex en France Étude des résultats des investisseurs particuliers sur le trading de CFD et de Forex en France Le 13 octobre 2014 Autorité des marchés financiers 17, place de la Bourse 75082 Paris cedex 02 Tél. : 01 53

Plus en détail

Information Equipment

Information Equipment PLM Information Equipment SOMMAIRE: DESCRIPTION ET CARACTERISTIQUES PRINCIPALES PLAN D INSTALLATION INFORMATIONS TECHNIQUES CONFIGURATION Sealed Air S.A.S. 53 rue St Denis Boîte Postale 9 F-28234 EPERNON

Plus en détail

SCPI Renovalys 3. Editorial. SCPI Malraux à capital fixe Bulletin trimestriel d information n 11 Mars 2014

SCPI Renovalys 3. Editorial. SCPI Malraux à capital fixe Bulletin trimestriel d information n 11 Mars 2014 SCPI Malraux à capital fixe Bulletin trimestriel d information n 11 Mars 2014 Editorial Les dernières données statistiques sur le marché locatif révèlent finalement que les loyers ont globalement augmenté

Plus en détail

Séance 4. Gestion de la capacité. Gestion des opérations et de la logistique 4-530-03

Séance 4. Gestion de la capacité. Gestion des opérations et de la logistique 4-530-03 Gestion des opérations et de la logistique Séance 4 4-530-03 Gestion de la capacité Points importants présentés au dernier cours Les principaux types d aménagement Étude du travail et l amélioration des

Plus en détail

PROTECTIONS COLLECTIVES

PROTECTIONS COLLECTIVES PROTECTIONS COLLECTIVES SOMMAIRE PROTECTIONS COLLECTIVES DE RIVES ET TOITURES presse rapide et ses consoles, protections avec poteaux, protection de rive par traversée de mur 3 CONSOLES POUR PLANCHERS

Plus en détail

Le suivi de la qualité. Méthode MSP : généralités

Le suivi de la qualité. Méthode MSP : généralités Le suivi de la qualité La politique qualité d une entreprise impose que celle maîtrise sa fabrication. Pour cela, elle doit être capable d évaluer la «qualité» de son processus de production et ceci parfois

Plus en détail

Complémentaire santé PQSR (Pas de Question Sans Réponse) Questions sur la négociation de l accord :

Complémentaire santé PQSR (Pas de Question Sans Réponse) Questions sur la négociation de l accord : Complémentaire santé PQSR (Pas de Question Sans Réponse) Date de création : 31/03/2014 Date de mise à jour : 25/09/2014 SOMMAIRE : Questions sur la négociation de l accord : LEGENDE : rouge : question

Plus en détail

Monia Amami Franck Brulhart Raymond Gambini Pierre-Xavier Meschi

Monia Amami Franck Brulhart Raymond Gambini Pierre-Xavier Meschi Version 4.7 Simulation d Entreprise «Artemis» Monia Amami Franck Brulhart Raymond Gambini Pierre-Xavier Meschi p. 1 1. Objectifs et Contexte Général L objectif de la simulation d entreprise «Artemis» est

Plus en détail

Installations de production d Eau Chaude Sanitaire Collective. La Garantie de Résultats Solaires (GRS)

Installations de production d Eau Chaude Sanitaire Collective. La Garantie de Résultats Solaires (GRS) Installations de production d Eau Chaude Sanitaire Collective La Garantie de Résultats Solaires (GRS) Document réalisé avec le soutien technique de la Introduction Les installations concernées par la Garantie

Plus en détail

BTS MUC E4 : MGUC code : MUMGUC-CORRIGÉ

BTS MUC E4 : MGUC code : MUMGUC-CORRIGÉ BTS MUC E4 : MGUC code : MUMGUC-CORRIGÉ Corrigé indicatif Cas CHRONODRIVE DOSSIER 1 : LES PERFORMANCES DU DRIVE 24pts 1.1 Construisez et complétez un tableau de bord pour les deux magasins CHRONODRIVE

Plus en détail

TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité 1

TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité 1 TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité I Loi uniforme sur ab ; ) Introduction Dans cette activité, on s intéresse à la modélisation du tirage au hasard d un nombre réel de l intervalle [0 ;], chacun

Plus en détail

Sage 100. pour les PME. Faites de votre gestion un levier de performance

Sage 100. pour les PME. Faites de votre gestion un levier de performance Sage 100 pour les PME Faites de votre gestion un levier de performance À propos de Sage Leader des éditeurs de logiciels de gestion sur le marché des PME dans le monde* Plus de 6 millions d entreprises

Plus en détail

MAITRISE DE LA CHAINE LOGISTIQUE GLOBALE (SUPPLY CHAIN MANAGEMENT) Dimensionnement et pilotage des flux de produits

MAITRISE DE LA CHAINE LOGISTIQUE GLOBALE (SUPPLY CHAIN MANAGEMENT) Dimensionnement et pilotage des flux de produits MAITRISE DE LA CHAINE LOGISTIQUE GLOBALE (SUPPLY CHAIN MANAGEMENT) Dimensionnement et pilotage des flux de produits Préambule La performance flux, quel que soit le vocable sous lequel on la désigne ( Juste

Plus en détail

Synthèse Contrat. d Objectifs. Diagnostic Les services de l automobile En Midi-Pyrénées. Réalisation Observatoire régional emploi, formation, métiers

Synthèse Contrat. d Objectifs. Diagnostic Les services de l automobile En Midi-Pyrénées. Réalisation Observatoire régional emploi, formation, métiers Synthèse Contrat d Objectifs Diagnostic Les services de l automobile En Midi-Pyrénées Réalisation Observatoire régional emploi, formation, métiers Rédaction Christiane LAGRIFFOUL () Nadine COUZY (DR ANFA

Plus en détail

Le processus de gestion des TI en fin de vie utile et les mesures de sécurité

Le processus de gestion des TI en fin de vie utile et les mesures de sécurité Le processus de gestion des TI en fin de vie utile et les mesures de sécurité Service des immeubles et Bureau de sécurité de l information Université Laval 17 mars 2011 Plan de la présentation La démarche

Plus en détail

L Edition Pilotée XL

L Edition Pilotée XL L Edition Pilotée XL Piloter son activité, une nécessité Processus décisionnel: «Exploiter les données de l entreprise dans le but de faciliter la prise de décision» Etre informé en permanence sur l état

Plus en détail

Serrure Motorisée Asservie - Mise en Applique

Serrure Motorisée Asservie - Mise en Applique ZD313357 Ve B MAJ le 21.03.13 Serrure Motorisée Asservie - Mise en Applique Notice d installation Verrouillage motorisé 1 / 2 point (s). Système à sécurité positive (rupture de courant) Conforme à la norme

Plus en détail

Solar Heating System Factsheet (SHSF) - Dossier guide

Solar Heating System Factsheet (SHSF) - Dossier guide Solar eating System Factsheet (SSF) - Dossier guide Les Factsheets (feuille de données) publiés sur la page Internet de SPF résument les résultats des tests des systèmes solaires pour la production d eau

Plus en détail

Les connexions. Multifonctions. Avantage. Forme ronde et non carrée :

Les connexions. Multifonctions. Avantage. Forme ronde et non carrée : Les connexions Multifonctions Avantage Forme ronde et non carrée : En plus d une esthétique agréable et assortie à la forme ronde des tubes et joints LeanTek, la forme arrondie des F-M Trilogiq permet

Plus en détail

Big Data et Smart Home, le bilan d étape 2013

Big Data et Smart Home, le bilan d étape 2013 Accueil Acteurs & marchés Entreprises Habitants Politiques énergétiques Territoires & projets Energystream Le blog Energie des consultants Solucom Accueil» Éclairage» Big Data et Smart Home, le bilan d

Plus en détail

- la mise en place du contrôle budgétaire est souvent mal vécue, car perçue comme une sanction par le personnel de l entreprise.

- la mise en place du contrôle budgétaire est souvent mal vécue, car perçue comme une sanction par le personnel de l entreprise. C H A P I T R E 7 Le contrôle budgétaire Objectifs Le contrôle budgétaire permet de comparer les réalisations avec les prévisions. Déceler les écarts significatifs, les analyser et prendre des mesures

Plus en détail

Formulaire n 1 : Identification de la structure

Formulaire n 1 : Identification de la structure FICHE TECHNIQUE 1 Formulaire n 1 : Identification de la structure Nom du gestionnaire Dans le cas d un gestionnaire gérant plusieurs structures, merci d indiquer le nom de l organismemère. Nom de la structure

Plus en détail

Etude statistique des données fournies par la CCIJP

Etude statistique des données fournies par la CCIJP Etude statistique des données fournies par la CCIJP Sommaire Introduction : Stagnation du nombre de cartes accordées en 2012... 4 1. Dans quels secteurs d activité les journalistes encartés travaillent-ils?

Plus en détail

Production électrique : la place de l énergie éolienne

Production électrique : la place de l énergie éolienne Production électrique : la place de l énergie éolienne I Production électrique : principes de base L énergie électrique n est pas un fluide que l on pourrait «mettre en conserve», l énergie électrique

Plus en détail

Member of. Design: EDMAX Ø 81 mm. EDCORE Ø 63 mmm. V u e généra. Page 1 / 10

Member of. Design: EDMAX Ø 81 mm. EDCORE Ø 63 mmm. V u e généra. Page 1 / 10 ACCESOIRES EDCOR E CATALOGUE DES ACCESSOIRES EDCORE Design: Verticale Fermée EDMAX Ø 81 mm EDCORE Ø 63 mmm V u e généra le cellull es EDCORE Avec un nouveau diamètre de Ø81mm, la nouvelle marque EDMAX

Plus en détail

Organisme de recherche et d information sur la logistique et le transport LES TECHNIQUES DE SUIVI DES ARTICLES ET DES STOCKS

Organisme de recherche et d information sur la logistique et le transport LES TECHNIQUES DE SUIVI DES ARTICLES ET DES STOCKS LES TECHNIQUES DE SUIVI DES ARTICLES ET DES STOCKS La gestion et la maîtrise des flux entrants et sortants du magasin nécessite la mise en œuvre d un dispositif à trois composantes : la classification

Plus en détail

L équilibre Ressources Emplois de biens et services schématisé par une balance

L équilibre Ressources Emplois de biens et services schématisé par une balance IV) l équilibre ressources - emplois et son interprétation Cet article fait suite à ceux du 19 janvier et du 18 février 2013. Il en est le complément logique sur les fondamentaux macro- économiques d un

Plus en détail

Partage des capitaux propres de F1 à la consolidation de N. Éléments Total Part du groupe 60 % Capitaux propres de F1 hors résultat N 1100 660 440

Partage des capitaux propres de F1 à la consolidation de N. Éléments Total Part du groupe 60 % Capitaux propres de F1 hors résultat N 1100 660 440 Partage des capitaux propres de F1 à la consolidation de N Éléments Total Part du groupe 60 % Capital 500 Réserves 600 Intérêts minoritaires 40 % Capitaux propres de F1 hors résultat N 1100 660 440 Élimination

Plus en détail

CONDITIONS GÉNÉRALES D ACCÈS ET D UTILISATION (C.G.A.U.) DU SERVICE BIXI PAR LES ABONNÉS 1 AN OU 30 JOURS ARTICLE 1 OBJET DU SERVICE BIXI

CONDITIONS GÉNÉRALES D ACCÈS ET D UTILISATION (C.G.A.U.) DU SERVICE BIXI PAR LES ABONNÉS 1 AN OU 30 JOURS ARTICLE 1 OBJET DU SERVICE BIXI CONDITIONS GÉNÉRALES D ACCÈS ET D UTILISATION (C.G.A.U.) DU SERVICE BIXI PAR LES ABONNÉS 1 AN OU 30 JOURS ARTICLE 1 OBJET DU SERVICE BIXI 1.1 BIXI est un système de vélos en libre-service (le «Service»).

Plus en détail

Comment réussir la mise en place d un ERP?

Comment réussir la mise en place d un ERP? 46 Jean-François Lange par Denis Molho consultant, DME Spécial Financium La mise en place d un ERP est souvent motivée par un constat d insuffisance dans la gestion des flux de l entreprise. Mais, si on

Plus en détail

L allocation d aide au retour à l emploi (ARE)

L allocation d aide au retour à l emploi (ARE) INDEMNISATION L allocation d aide au retour à l emploi (ARE) Pour les moins de 50 ans L allocation d aide au retour à l emploi (ARE) Pour les moins de 50 ans Pour qui? Pour vous si : vous avez travaillé

Plus en détail

Comment Utiliser son ERP pour Soutenir le Déploiement du Lean?

Comment Utiliser son ERP pour Soutenir le Déploiement du Lean? Comment Utiliser son ERP pour Soutenir le Déploiement du Lean? Philippe COURTY, CFPIM Dirigeant de CJP-Conseils www.cjp-conseils.com 1 Comment Utiliser son ERP pour Soutenir le Déploiement du Lean? Les

Plus en détail

Lean. Historique et Principes La réalité terrain La complémentarité Lean-MES. Francis MOUREY SPC consultants

Lean. Historique et Principes La réalité terrain La complémentarité Lean-MES. Francis MOUREY SPC consultants Lean Historique et Principes Francis MOUREY SPC consultants C. R. Allen, 1919 TWI, 1940 Jidoka Jidoka T. Ohno JIT Kaizen S. Shingo TPS House,, Cho, 70 s Méthodes japonaises J. Womack & D. Jones K. Ishikawa,

Plus en détail

RÉFÉRENTIEL DES ACTIVITÉS PROFESSIONNELLES. Présentation

RÉFÉRENTIEL DES ACTIVITÉS PROFESSIONNELLES. Présentation RÉFÉRENTIEL DES ACTIVITÉS PROFESSIONNELLES Présentation Les matériels agricoles, de travaux publics et de manutention, de parcs et jardins sont de plus en plus complexes et l'évolution de leurs technologies

Plus en détail

SYSTÈME DE MANAGEMENT DE LA QUALITÉ

SYSTÈME DE MANAGEMENT DE LA QUALITÉ SYSTÈME DE MANAGEMENT DE LA QUALITÉ Version Objet des modifications 30/10/2009 Conception initiale du manuel 10/02/2011 Amélioration n 1 du système 17/02/2012 Amélioration n 2 du système Etabli & Vérifié

Plus en détail

ITIL V2 Processus : La Gestion des Configurations

ITIL V2 Processus : La Gestion des Configurations ITIL V2 Processus : La Gestion des Configurations Auteur: Fabian PIAU, Master 2 MIAGE, Nantes La Gestion des Configurations est un processus issu d ITIL version 2 qui aide au soutien du service («Service

Plus en détail

Indicateur i 20. Manuel d utilisation

Indicateur i 20. Manuel d utilisation Indicateur i 20 WWW.PRECIAMOLEN.COM Manuel d utilisation 04-50-00-0 MU A / 12/2012 Sommaire 1. Avant-propos... 5 Conventions documentaires... 5 Pictogrammes... 5 Terminologie et abréviations... 5 Documentation

Plus en détail

Livre blanc. CRM: Quels sont les bénéfices pour votre entreprise?

Livre blanc. CRM: Quels sont les bénéfices pour votre entreprise? Livre blanc CRM: Quels sont les bénéfices pour votre entreprise? Longtemps considéré comme un outil de luxe exclusivement réservé aux grands groupes, le CRM a su démontrer au fil du temps, que son efficacité

Plus en détail

Des passionnés et des curieux avec un regard avisé et exigeant sur :

Des passionnés et des curieux avec un regard avisé et exigeant sur : Ivan Tancovich & Olivier Colle Co-Fondateurs & Associés de TANCO & CO : Des passionnés et des curieux avec un regard avisé et exigeant sur : Nouvelles technologies Maintenance logicielle & matérielle Sécurité

Plus en détail

Feuille 6 : Tests. Peut-on dire que l usine a respecté ses engagements? Faire un test d hypothèses pour y répondre.

Feuille 6 : Tests. Peut-on dire que l usine a respecté ses engagements? Faire un test d hypothèses pour y répondre. Université de Nantes Année 2013-2014 L3 Maths-Eco Feuille 6 : Tests Exercice 1 On cherche à connaître la température d ébullition µ, en degrés Celsius, d un certain liquide. On effectue 16 expériences

Plus en détail

LA CONDUITE D UNE MISSION D AUDIT INTERNE

LA CONDUITE D UNE MISSION D AUDIT INTERNE 1 LA CONDUITE D UNE MISSION D AUDIT INTERNE Toute mission d Audit est réalisée en trois étapes essentielles: 1 ère étape : La préparation de la mission 2 ème étape : La réalisation de la mission 3 ème

Plus en détail

QU EST-CE QUE LE DECISIONNEL?

QU EST-CE QUE LE DECISIONNEL? La plupart des entreprises disposent d une masse considérable d informations sur leurs clients, leurs produits, leurs ventes Toutefois ces données sont cloisonnées par les applications utilisées ou parce

Plus en détail

Manuel d utilisation

Manuel d utilisation F524 Energy IP data logger www.legrand.com Table des matières Energy IP data logger Introduction et fonctions de base 5. Concepts fondamentaux 5.2 Utilisation du Energy IP data logger avec pages Web 6.2.

Plus en détail

CASSES : Logiciel de prévision des casses des réseaux r d alimentation en eau potable

CASSES : Logiciel de prévision des casses des réseaux r d alimentation en eau potable CASSES : Logiciel de prévision des casses des réseaux r d alimentation en eau potable Eddy RENAUD Rencontre Technique ASCOMADE Besançon le 26 mai 2011 Le Cemagref - Sciences et technologies pour l environnement

Plus en détail

Mécanisme d'ouverture avec technique de coulissage éprouvé. Quadro avec push to open

Mécanisme d'ouverture avec technique de coulissage éprouvé. Quadro avec push to open Mécanisme d'ouverture avec technique de coulissage éprouvé. Quadro avec push to open Ouverture pratique pour des façades sans poignées Quadro avec push to open La toute nouvelle tendance est à un design

Plus en détail

A N N E X E 1. Introduction : référentiel d activités professionnelles page 7. Référentiel de certification page 21

A N N E X E 1. Introduction : référentiel d activités professionnelles page 7. Référentiel de certification page 21 A N N E X E 1 Introduction : référentiel d activités professionnelles page 7 Référentiel de certification page 21 - Compétences professionnelles page 21 - Connaissances associées page 55 - Unités constitutives

Plus en détail

Déclaration Sociale Nominative. Guide Acoss : comment déclarer les cotisations Urssaf en DSN Avril 2015 Version 1.3 avec mise à jour le 16.04.

Déclaration Sociale Nominative. Guide Acoss : comment déclarer les cotisations Urssaf en DSN Avril 2015 Version 1.3 avec mise à jour le 16.04. Déclaration Sociale Nominative Guide Acoss : comment déclarer les cotisations Urssaf en DSN Avril 2015 Version 1.3 avec mise à jour le 16.04.2015 Modification par rapport à la version précédente du 10

Plus en détail

GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE

GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE Distributeur exclusif de GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE INTRODUCTION...2 GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE...2 La température...2 Unités de mesure de température...3 Echelle de température...3

Plus en détail

GESTION LOGISTIQUE GESTION COMMERCIALE GESTION DE PRODUCTION

GESTION LOGISTIQUE GESTION COMMERCIALE GESTION DE PRODUCTION GESTION LOGISTIQUE GESTION COMMERCIALE GESTION DE PRODUCTION Votre contact : Pierre Larchères 06 30 35 96 46 18, rue de la Semm - 68000 COLMAR p.larcheres@agelis.fr PRESENTATION GENERALE LES PROGICIELS

Plus en détail

Nouveautés produits i7

Nouveautés produits i7 Nouveautés produits i7 1 - Nouveautés transverses A-Ergonomie B - La dimension Etendue C- Les éditions pilotées XL 2 - Gestion des Clients A - Sage 30 et Sage 100 Gestion Commerciale i7 1-1 La Gestion

Plus en détail