S U P P O R T pour projets de promotion de la santé par et pour les migrant-e-s

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1 Formulaire de projet Version 2007 S U P P O R T pour projets de promotion de la santé par et pour les migrant-e-s Nom du projet Passerelle prévention et santé pour les immigré-e-s d Afrique (Région de Bâle) Organisme responsable Nom de l organisation Projet «Gesundheit und Migration» (GuM), Aids-Hilfe beider Basel / Aide Sida Bâle Rue Clarastrasse 4 Localité 4058 Basel Téléphone info@ahbb.ch Courte description de l organisation, de l association ou du groupe responsable du projet GuM (AHbB) : Sous la coordination de Mme Carmen Rahm, co-directrice du volet prévention à l Aide Sida Bâle, le Projet «Santé et migration» (GuM) engage des médiateurs interculturels auprès des différentes communautés linguistiques et culturelles résidant en région bâloise. Récemment GuM est passé sous la direction de M. Felice Alloca. Responsable : M. Mohomodou Houssouba est originaire du Mali et vit en Suisse depuis 5 ans. Depuis 2003, il travaille dans la prévention VIH-Sida avec les hommes originaires d Afrique subsaharienne dans le projet «Santé et migration» de l Aide Sida Bâle. Thèmes centraux de travail dans le cadre de ce projet : Planification de rencontres ponctuelles pour discuter des questions de santé et les défis spécifiques concernant les Africain-e-s Mise en réseau des différents regroupements nationaux pour arrêter et appliquer quelques activités choisies Collecte d informations et d idées pour une publication compréhensive et accessible sur les problèmes actuels et ressources en matière de santé Mise en place d appuis communautaires pour rendre les messages de prévention (infections, troubles mentaux et violence) plus accessibles aux jeunes adultes, aux personnes âgées ou non-scolarisées Création d opportunités pour thématiser les sujets émotionnels ou tabous affectant les communautés africaines : excition (mutilations sexuelles féminines), troubles mentaux, violence conjugale, violence commise contre ou par les jeunes Renforcement des capacités des parents à faire face à la nutrition et à l exercice physique des enfants, adolesents et jeunes adultes SUPPORT Formulaire de projet Version

2 Co-responsable: Mme Rosa Anaba Hanseler est camerounaise d origine et détient un Master en communication interculturelle. Elle travaille depuis fin 2003 dans le projet «Santé et migration» de l Aide Sida Bâle auprès des femmes d origine africaine. Elle s implique régulièrement dans les manifestations organisées par les associations féminines (dont Oyili-Association des Camerounaises à Bâle) pour contacter le maximum de gens et également profiter des occasions favorisant la compagnie mère-fille pour passer de messages spécifiques. Personne de contact Monsieur Nom Houssouba Prénom Mohomodou Formation/Profession Enseignant/Ecrivain Rue Kannenfeldstrasse 23 Localité 4056 Basel Téléphone mh@bollag-areal.ch Demande de soutien Remplir cette colonne, lors de la présentation de votre demande de financement. 1A Situation initiale Quelle est la situation de départ? Rapport final Remplir cette colonne, lorsque votre projet est terminé. 1B Situation actuelle La situation a-t-elle changé? Qu est-ce qui s est amélioré de façon durable? Aperçu global : Depuis la fermeture du Centre africain de Bâle (opérationnel entre 2001 et 2002), aucun point de rencontre n existe plus pour rassembler, même de façon épisodique, les différentes communautés immgrées d Afrique subsaharienne. En vérité, si l on considère que seulement six associations africaines sont officiellement enregistrées pour plus du millier d immigré-e-s sans compter les personnes naturalisées et purgées des statistiques du Bureau de la population et de la migration la situation est pratiquement bloquée. Les associations elles- SUPPORT Avec les contacts réguliers engagés pour mobiliser les individus, associations et institutions concernés par le programme, la période entre avril et septembre 2007 a été marquée par un effort soutenu d information et de communication auprès de la communauté africaine en premier lieu. Auparavant, on peut retenir quelques rencontres épisodiques telles que la réunion entre la police et les Africain-e-s de Bâle en octobre 2005 et le lancement du numéro spécial du magazine communautaire Africa Link en collaboration avec «Integration Basel» en Formulaire de projet Version

3 mêmes sont très variées dans leurs compositions et leurs activités, mais elles sont largement formées de ressortissant-e-s d une province ou d un pays. Les activités sont ainsi dominées par les problèmes du lieu de provenance et les urgences et besoins ponctuels des membres. Dans ce contexte, la santé personnelle joue un rôle principal, détermine l afflux des urgences évoquées suite aux maladies, accidents ou décès, mais l expérience montre qu elle reste souvent à l arrière-plan, surtout durant la première phase de l immigration, tant que les circonstances ne forcent une attention inévitable. Le stress lié à la précarité et à certaines conditions de travail physique, l incapacité à adopter un régime alimentaire adéquat dans le pays d accueil où la consommation excessive de produits peu sains est à la portée de tous les budgets, le recours tardif au conseil psychologique, souvent assimilé au traitement de la «folie», sont des réalités du bulletin de santé de beaucoup de personnes immigrées d Afrique subsaharienne. Le manque d orientation de bon nombre d individus par rapport aux symptomes d aliénation sociale, de dépendance vis à vis de l alcool ou de substances prohibées, de désordre nutritionnel, d épuisement physique ou psychique, expose le groupe concerné davantage aux maladies compliquées et coûteuses dans leur prise en charge. Il va donc de l intérêt collectif de faciliter la rencontre des gens et leur implication dans les échanges et initiatives autour de la santé dans un cadre social et convivial. Notre projet commence avant tout par la prise de parole des participante-s pour exprimer la santé, la maladie, la nourriture, la faim, le bien-être, le malaise dans leurs propres langues, explorer les idées de leur environnement d origine sur les produits alimentaires de base, leurs vertus et lacunes par rapport à la santé, exprimer le vide de certains produits manquants ici, les substitutions opérées et nouvelles habitudes développées durant leurs parcours de migration, à la fin parler de sujets émotionnels comme le désordre psychique, la blessure intime de rites comme l excision des filles pratiquées par plusieurs sociétés africaines, pratiques qui persistent à l étranger, y compris en Suisse. novembre En dépit de leur utilité, ces rencontres n ont pas généré une dynamique interne de collaboration autour de thèmes sociaux au sein d une «communauté africaine», naturellement très diverse et répartie sur toute la région sans zone de concentration particulière. Le projet «Passerelles» a apporté un élément important dans ce sens. Il a facilité les rencontres périodiques entre des personnes concernées et mobilisables pour répondre à certains défis collectifs à l avenir. La volonté d une partie des participant-e-s à poursuivre la discussion de thèmes jugés prioritaires comme le stress, l excision et ses effets physiques et psychologiques et la dépendance envers les substances illustre le nouveau potentiel à mettre en valeur. C est un début modeste qui a le potentiel de maintenir un réseau d échange qui faciliterait la mobilisation des Africain-e-s pour d autres activités à venir. Pourtant, la mobilisation massive, hormis pour une activité ponctuelle appuyée par de moyens importants, reste une tâche extrêmement difficile. Les conditions de vie et de travail des personnes immigrées, la surabondance de programmes «extracurriculaires» qui entrent en compétition avec la vie familiale, les cours de langues et autres offres d intégration, rendent la programmation des programmes difficile et la fréquentation imprévisible. Malgré l intensité de la campagne d information utilisant tous les canaux disponibles, il n y a pas eu d afflux massif aux activités. Le délai d exécution relativement court ne permet pas non plus à certains d assister régulièrement aux séances formelles. Dans ce sens, une période de rencontres sociales pourrait faciliter la coopération entre les bénévoles et le mûrissement de la réflexion sur quelques sujets urgents pour de futures activités associatives ou communautaires. La formation en cours d un groupe de volontaires pour lancer une émission africaine hebdomadaire à Radio X ( en fin 2007-début 2008 prépare un terrain plus propices aux futures activités initiées par les ressortissant-e-s d Afrique subsaharienne à Bâle. Engagements personnels par rapport au thème : M. Mohomodou Houssouba : Ecrivain d origine malienne, il a fait une formation pédagogique (PhD, Etudes anglaises) avec un accent sur la diaspora africaine et une formation en traduction interculturelle (allemand, français, anglais, songhaï). Il travaille depuis 4 ans dans la prévention VIH-Sida auprès des hommes immigrés de l Afrique subsaharienne et a collaboré à des travaux de recherche sur la santé au sein des communautés africaines en Suisse. Mme Rosa Anaba Hanseler : Originaire du Cameroun et formée en communication interculturelle, elle vit en Suisse depuis près de 11 ans et travaille comme médiatrice interculturelle à l Aide SUPPORT Formulaire de projet Version

4 Sida Bâle depuis 4 ans, chargée de la prévention VIH-Sida auprès des femmes africaines. Au temps du Centre africain de Bâle ( ), nous deux avons fait partie du groupe de travail sur la santé qui a rédigé et distribué un premier questionnaire en trois langues (allemand, anglais et français) aux visiteurs et usagers du centre sur plusieurs mois. Le questionnaire était conçu pour enquêter sur plusieurs aspects de la santé. Le premier questionnaire portait sur la nutrition des Africain-e-s de régions différentes du continent et les réponses récoltées étaient très instructives sur l impact de la migration sur le changement de régime (en termes de valeur nutritive des ingrédients), les conséquences des produits consommés et surtout sur le «conflit de goût» au sein des familles, entre les plus jeunes et les adultes. Avec l arrêt des activités du centre, le deuxième volet prévu sur la dépendance et les troubles mentaux n a pu être poursuivi. Nous comptons partir des enseignements de cette première initiative pour planifer les activités du projet actuel. 2A Vision/Etat souhaité Comment devrait être la situation? Avec votre projet, que voulez-vous obtenir? La relance de sessions d information et d échange sur des thèmes d intérêt pour les Africain-e-s de la région devra créer une nouvelle dynamique de prise en compte de la santé comme droit, ressource et défi dans la vie quotidienne, amoindrir les insécurités par rapport au système de santé public et réduire le recours aux services d urgence (surtout pour les hommes qui subissent moins de contrôles médicaux périodiques). Informer les participant-e-s sur le système public à l aide de présentations professionnelles et sur les programmes de vulgarisation des stratégies de gestion personnelle/familiale de la santé (Projet Gsünder Basel) Encourager la participation de la population africaine aux nouvelles enquêtes sur les besoins spécifiques de leur communauté à fin que ceux-ci soient thématisés et mis à la disposition des responsables du secteur de la santé 2B Effets du projet Quels effets le projet a-t-il produits? Comment a-t-il contribué à améliorer la situation? L effet immédiat s est manifesté à travers tous les appels, SMS et courriers électroniques échangés à partir de points d émission différents. Donc, il s est passé quelque chose de nouveau, différent de l expérience préalable de référence le Centre africain de Bâle. Les canaux de communication ont été très variés cette foisci : certains consultent le site Web rudimentaire pour se mettre à jour, d autres s attendent à un rappel par SMS, alors que le courrier postal maintient le lien traditionnel avec les individus et groupes concernés. Le lancement de nouveaux réseaux comme le Swiss-African-Center à base d alertes combinant s, SMS et annonces via Africa Link a permis de dégager une synergie productive entre les différents moyens de communication au quotidien. Favoriser la collaboration avec les chercheurs qui travaillent déjà sur les questions de santé concernant les communautés africaines en Suisse (Silvia Büchi, «Rester sain dans la migration», etc.) pour la présentation de résultats préliminaires de leurs recherches Réaliser un guide précis et fonctionnel sur la santé avec les Africain-e-s à Bâle 3A Objectifs 3B Atteinte des objectifs SUPPORT Formulaire de projet Version

5 Quels objectifs concrets voulez-vous atteindre avec ce projet? Veuillez formuler les objectifs de manière à ce que, à la fin du projet, vous puissiez contrôler si ces objectifs ont été atteints. Le projet vise à créer un espace d échanges qui permettra aux Africain-e-s de la région bâloise de discuter ensemble des questions de santé et prendre des initiatives pour combler les lacunes et se frayer davantage d accès aux services disponibles de la médecine clinique aux alternatives agréées. Cadre d échanges naturels, francs et objectifs (sur de bases scientifiques) autour de la prévention du sida, de la violence et des mutilations génitales Formation de noyaux solidaires autour de la prévention des dépendances Constitution d une passerelle entre la population africaine et les professionnels de la santé dans la région (médecins, infirmières-infirmiers, personnel de centre de test psychologique / psychiatrique, de dépistage VIH-Sida) Relance de la solidarité avec les familles africaines avec des malades mentaux à leur charge en discussion dans le passé ( ) Cadre pour thématiser certaines questions spécifiques concernant la jeunesse hors des cadres institutionnels : troubles identitaires, tentations suicidaires, délinquance juvénile et ostracisme en retour, perte de repères et absence de modèles positifs pour plusieurs jeunes issus de familles déstabilisées ou précaires Avez-vous pu atteindre les objectifs fixés? Formulez, pour chaque objectif, le résultat concret qui a été atteint. Si l absence de réseau intra-communautaire fonctionnel est le constat de départ, la situation conforte l idée que de nouvelles initiatives privées sont entrain d occuper le terrain et pourront servir de tremplin pour les futures campagnes de mobilisation thématique. Mais, le tissu de ce réseau manque encore de densité. En plus de l existence d un réseau d échange, il faudrait un noyau de personnes actives qui attirent d autres personnes à une activité. Le nombre de gens, en tant que tel, n est pas le facteur le plus déterminant. Plus tard, nous parlerons des groupes d intérêt avec lesquels il semblerait possible de continuer certaines discussions. Ces groupes se sont formés à la suite de deux rencontres restreintes qui se sont prolongées de près de deux (2) heures sur l horaire prévu et ont permis à certains participants, «vétérans» du Centre africain ou nouveaux aux échanges entre Africain-e-s, à s engager à continuer l initiative au moins sur un thème spécifique. Trois thèmes importants ont intéressé les gens pour un approfondissement ultérieur : la gestion du stress et la prévention de la violence, la campagne d information sur l excision et le secours professionnel en cas de dépendance. La presque totalité des institutions contactées ont collaboré activement et dans certains cas au moins un représentant a animé ou assisté à une séance : Aide Sida Bâle (AHbB), Gsünder Basel, Centre universitaire d Etudes africaines Bâle (ZASB), Integration Basel, Caritas. D autres personnes se sont excusées suite à des empêchements, mais ont largement diffusé l information : Institut tropical suisse, Résidence de jeunes réquérant-e-s d asile (WUMA). Mais la participation des jeunes reste un défi à relever à travers de nouvelles initiatives. Malgré la présence de quelques jeunes participants à certaines séances (projection débat sur l excision, stress et violence), il est évident qu un cadre spécifiquement pensé en collaboration avec des parents serait nécessaire pour les attirer à une séance d information sur la santé. L implication du canal de l église a fait espérer que la visite guidée du centre de dépistage intéresserait les jeunes. Ce qui n a pas été le cas. Les discussions sur ce point ont fait ressortir deux aspects : 1) l offre à l école pour les jeunes en formation, 2) la situation précaire des autres, par exemples, les jeunes réquérants d asile, dont un travaille souvent dans l équipe de voirie sur la rue de la rencontre à l heure des rencontres. Dans ce cas, des rencontres organisées à WUMA avec les responsables du centre seront plus aptes à toucher ces jeunes. Dans un autre cadre, l Aide Sida Bâle (Projet Santé et migration) organise des séances périodiques d information dans le domaine de la prévention dans différentes résidences. Un tel effort n est pourtant pas à la portée d un petit projet temporaire. 4A Activités 4B Réalisation des activités SUPPORT Formulaire de projet Version

6 Avec quelles activités voulez-vous atteindre les objectifs? Indiquez, pour chaque activité, son début et sa fin ainsi que le lieu de sa réalisation. Rencontres d information et d échange Avril 2007 Exploration des mots sur la nourriture, la santé, la maladie du corps ou de l esprit. Comment les langues africaines désignent-elles la santé et la maladie : échanges, exercices de réflexion sur les manifestations? Apéro de lancement du projet : distribution du programme schématique de rencontres d avril à septembre, programme détaillé pour avril, mai et juin Rédaction, traduction et distribution de nouveaux questionnaires sur les habitudes alimentaires et la nutrition Mai 2007 Sessions d information approfondie sur la nutrition dans la migration, la prévention des troubles alimentaires, l hypertension et leurs effets sur les adultes et les enfants Intervention de spécialiste de la nutrittion dans le contexte de la migration Distribution du programme détaillé pour les mois de juillet, août et septembre Juin 2007 Sessions d information sur la prévention des maladies sexuellement transmissibles dont le VIH-Sida. Ces sessions seront étroitement organisées avec le personnel du volet éducation sexuelle (Sexualpädagogik) de l Aide Sida Bâle, mais tenues dans les locaux du collectif des associations interculturelles (TIPI). Programme d information générale sur the VIH-Sida et le travail du Projet «Santé et migration» de l Aide Sida Bâle auprès des migrant-e-s africain-e-s Session pour les parents d enfants et d adolescents Session pour les jeunes entre ans Visite du centre de dépistage nouvellement ouvert dans les locaux de l Aide Sida Juillet 2007 Sessions d information sur le stress, l épuisement émotionel et la violence domestique Intervention de spéclaliste sur le stress et l épuisement émotionnel Information sur la violence domestique vue par les autorités scolaires et médicales, de la police, des services sociaux Août 2007 «Lumière d août» : série sur l excision. Projection du film thématique d Ousmane Sembène Mooladé, discussions modérées et contributions de spécialistes sur leurs expériences avec les Africaines dans la région de Bâle Avez-vous pu réaliser les activités planifiées? Quelles expériences avez-vous faites? Une prochaine fois, que feriez-vous différemment? Déroulement des activités Avril mai 2007 Durant cette période, une succession de contacts avec les institutions et les personnes ressources ont permis d établir une base de données à jour pour l envoi par la poste et par courrier électronique du programme global et des annonces ponctuelles des activités. Nous aurons pu profiter des sites de préparation et de déroulement du grand festival «Nordtangente Fest» et le «Cortège GloBâle» (7-10 juin 2007, à l occasion de l inauguration de la ligne de TGV Paris-Bâle) pour diffuser l information et surtout parler vis à vis avec des centaines de festivaliers à travers la ville. Le 16 juin, la Journée des réfugié-e-s à Münsterplatz a aussi permis de rencontrer les gens aux stands, sur l aire de concert et de restauration a facilité ou renouvelé bon nombre de rencontres personnelles. A ces occasions, les adresses à jour et numéros de téléphone mobile ont été collectés pour les annonces ponctuelles (p.ex, les SMS se sont prouvés d une grande utilité pour alerter les personnes 1-2 jours avant la rencontre, recevoir des confirmations ou excuses). Les différents points de rencontre des Africain-e-s ont été contactés et les affiches du programme distribuées sur place ou placées aux comptoirs en service libre. Plusieurs gérant-e-s ont accepté de présenter activement le matériel et de motiver les visiteurs et clients à prendre part aux rencontres. Des échos sont parvenus d une gérante qui a fait les annonces auprès de sa congrégation pendant les messes. Rencontres formelles soirées d information thématiques * Sauf indiqué, lieu: Salle commune, Aide Sida Bâle, Clarastrasse 4, 4058 Bâle 15 juin 2007 Apéro : Présentation du programme, *TIPI Basel, Klybeckstrasse 58, 4057 Bâle Cette première séance formelle a servi de lancement officiel des activités. Elle a débuté à 19 h dans les locaux du Collectif des associations interculturelles (TIPI). Les personnes présentes ont pris connaissance de l agenda détaillé du programme d information. La rencontre s est terminée après 20 h juin 2007 Nutrition et Mouvement : Pia Steinmann, Gsünder Basel Préparée en collaboration avec Gsünder Basel, cette séance a été dirigée par Pia Steinmann qui venait de prendre la tête du volet éducation de l institution de promotion de la santé. Sa présentation formelle a été axée, en premier lieu, sur les SUPPORT Formulaire de projet Version

7 Sessions en collaboration avec le bureau «Integration Basel» qui a exprimé un intérêt pour une thématisation non-stigmatisante du problème Echanges autour de la littérature et du cinéma africains sur le thème Echanges sous forme de personnes engagées dans la lutte contre l excision Echange autour des expériences du personnel de santé confronté au problème Septembre 2007 Conseil psychologique avec PAR Session sur les dépendances acquises dans le processus de la migration avec MUSUB Evaluation finale du projet Les activités ainsi résumées seront discutées avec des membres groupe-cible pour agencer les priorités. Les modifications dans la séquence ressortiront dans le rapport final. notions de base de la santé et du rôle de la bonne santé dans la détermination d une qualité de vie convenable. La deuxième partie de la communication a mis l accent sur les enjeux de la bonne nutrition et les défis auxquels les familles immigrées doivent faire face. A l aide de graphiques et de brochures, la présentatrice a illustré les bonnes pratiques dont Gsünder Basel fait la promotion en matière de nutrition et d exercice physique (plutôt l habitude du mouvement que le sport). La séance formelle a duré de 19 h à 20 h 30 mais les échanges informels ont continué jusqu à 21 h juillet 2007 Visite guidée du poste de dépistage VIH : Carla Schuler, Aids Hilfe beider Basel Le programme est conçu pour présenter le centre de dépistage accéléré «de proximité» ouvert récemment en mai 2007 à l Aide Sida Bâle. Le tour organisé par Carla Schuler, responsable du service de formation et de support de l Aide Sida Bâle a permis au visiteurs de voir les locaux, l équipement et la procédure : rendezvous, conseil psychologique avant le test, mécanisme de garantie de l anonymat, prise de sang et d analyse, présentation du résultat, test de suivi en laboratoire en cas de doute ou de résultat positif. La visite vise à placer le test de dépistage au centre du dispositif de prévention et de prise en charge ; c est une occasion concrète pour découvrir un aspect de la réalité du travail de prévention, de poser des questions avec les outils les plus récents sous les yeux, dans un espace apparemment anodin, à Claraplatz, le carrefour central de Petit-Bâle. Il s agit de désamorcer le caractère dramatique de l information sur le VIH-Sida et d établir un lien entre les différentes mesures de précaution. Un point d intérêt particulier est l usage des rapports périodiques émis par les institutions de lutte contre le sida. Les récent rapports ONUSIDA et de l Office fédéral de la santé ont été abordés en filigrane pour examiner l évolution de la situation globale, des tendances en Suisse et des informations disponibles sur la population immigrée d origine subsaharienne depuis les alertes alarmantes de début août 2007 Projet-débat sur l excision : Moolaadé (film d Ousmane Sembène, 2004) Cette soirée a rassemblé peut-être le groupe le plus diversifiié venu assister à la projection et prendre part au débat. La projection a commencé sitôt après 19 h et duré jusqu à 21 h. Le débat formel a pris une demi-heure supplémentaire, mais les discussions informelles suivront jusqu après 22 h. Une palette de brochures multilingues envoyées par Caritas (Lucerne) et une bibliographie thématique sur l excision dans la littérature africaine (préparée par Mohomodou Houssouba) ont été mises à la disposition des participant-e-s. SUPPORT Formulaire de projet Version

8 7 septembre 2007 Stress et violence : Rosa Hänseler Anaba, Master en Communication interculturelle Au départ, Rosa Hänseler Anaba a mis en avant l aspect existentiel du stress et des manifestations de la violence dans la vie contemporaine. Elle a ensuite focalisé sa présentation sur le contexte de la migration qui produit des conditions sociales et professionnelles très variées, souvent marquées par l insécurité, la précarité ou même la marginalité. Dans le contexte suisse, la classification des immigré-e-s selon les pays ou régions d origine intensifie une stratification dont les Africain-e-s souffrent fréquemment dans leur corps et psyché. Après ce diagnostic, elle a présenté les possibilités de résistance à discuter : la préservation de l estime de soi et de valeurs culturelles de son milieu d origine, la faculté de récupération des effets d une épreuve traumatisante, la capacité de résistance aux effets pervers des clichés et signes d hostilité véhiculés au quotidien. Ses propositions ont stimulé un débat contradictoire intense, qui a aussi permis de dégager des points communs. Plusieurs personnes comptent continuer la discussion sur le thème plus large de la santé mentale des immigré-e-s d Afrique et surtout de celle de leurs enfants : maîtrise et perpétuation des langues africaines chez les jeunes, meilleure connaissances de la littérature africaine La prochaine présentation sur les dépendances a été jugée comme une suite logique pour récolter des stratégies d une spécialiste (psychologue) en contact direct avec les personnes concernées. 21 septembre 2007 Immigration et dépendance : Mara Hermann-Aïta, Multikulturelle Suchtberatungsstelle beider Basel (MUSUB) Cette dernière séance formelle a duré entre 19 h et 22 h. A cause d un empêchement de la spécialiste invitée, la rencontre a été utilisée pour discuter la reprogrammation de l activité et passer en revue les programmes réalisés pour entrevoir les nouvelles possibilités de rencontres informelles autour de questions de santé, de culture ou de société. (La spécialiste empêchée propose la tenue ultérieure de sa communication sans frais au projet.) * 28 septembre 2007 La rencontre formelle de clôture et dévaluation a dû changer de format. Vu la pression du temps et les complications pour plusieurs participants réguliers qui observent le mois de Ramadan (jeûne diurne musulman prenant fin au coucher du soleil), nous avons préféré effectuer un tour d échanges individuels pour recenser les forces, faiblesses, suggestions et souhaits des participant-e-s. Pour la prochaine fois, nous serons davantage présents au milieu des gens concernés, dans leurs réunions et espaces privés pour choisir les thèmes, noter SUPPORT Formulaire de projet Version

9 5A Groupe concerné Qui voulez-vous atteindre avec les activités envisagées? Veuillez indiquer l âge, le genre et le pays (la communauté) d origine du groupe ciblé. Combien de personnes voulez-vous atteindre? Les Africaines et Africains vivant en région bâloise sont globalement concernés. Quelques centaines escomptées avec un effet de multiplication au sein des communautés africaines. Un accent particulier est mis sur le groupe d âge entre ans pour la prévention VIH-Sida. Au besoin, des groupes unisexes seront constitués pour des sessions d information et d échange spéciales. Les supports d information seront distribués dans les boutiques, salons de coiffure et autres points de rencontre africains. Les animateurs de boîte de nuit (DJ) et de radio communautaire (RadioX) seront également mis à contribution. Les bureaux de l intégration de Bâle-Ville et Bâle-Campagne seront sollicités pour atteindre certains groupes par le canal officiel (correspondance). 6A Participation Comment le groupe concerné est-il intégré lors de la planification et de la réalisation du projet? Le groupe concerné sera intégré dans la planification et la réalisation du projet à travers les individus volontaires et les représentants d associations et collectifs africains de la région. Ces personnes serviront de relais dans la diffusion de l information, de la conception à l exécution du projet : collecte des idées, adoption d un agenda de manifestations ciblées, évaluation interne et externe des activités, diffusion des programmes pour les manifestations suivantes. 7A Collaboration Avec quel-le-s institutions, services spécialisés, autorités, etc., collaborez-vous pour la réalisation de ce projet? leurs avis et recommandations sur l approche avant même d organiser l activité en question. 5B Effet auprès de la population ciblée Avez-vous pu atteindre les groupes concernés? Indiquez le nombre de personnes touchées. La population ciblée a-t-elle été satisfaite par les activités? Quels furent les effets du projet pour le groupe concerné. Si la population d origine africaine à Bâle est estimée à un peu plus d un millier de résidents, une grande partie aurait dû être atteinte par le programme et les annonces ponctuelles des rencontres. En tout 70 personnes ont fait le déplacement pour les soirées d information organisées les vendredi soir de 19 h à 20 h 30, mais qui s étendent d habitude à 22 h. Le prolongement des échanges informels témoignent de la motivation des participant-e-s et de la nécessité de former des noyaux de bénévoles motivés avant d envisager de grandes rencontres. Les annonces sont faites en français, anglais et allemand. La traduction serait assurée si des participants en exprimaient le besoin. La participation est multilingue mais les personnes présentes parlent le français en général à un certain degré. Cette «francophonie» dominante reflète à la fois la situation linguistique de Bâle et l effet des contacts personnels. Les Africain-e-s qui ont répondu aux appels sont majoritairement francophones. 6B Participation Quelles expériences avez-vous faites en impliquant le groupe ciblé? Comment l implication du groupe concerné a-t-elle influencé le projet? Une prochaine fois, que feriez-vous différemment? Une grande partie du travail entre avril et mai a consisté en réunions de travail avec des personnes clés pour établir plusieurs points d accès pour les Africain-e-s : associations nationales, groupes de femmes, congrégations religieuses, boutiques, salons et alimentations. Globalement, chaque activité a donné lieu à un échange sur la stratégie à adopter pour attirer les Africain-e-s aux séances d information. Les propositions sont parfois contradictoires, mais il est important de les considérer ensemble et de bâtir sur le réseau rudimentaire qui existe à la fin du projet. La prochaine fois, une seule activité sera préparée par étapes sur plusieurs mois et tenue dans un espace public ou associatif proposé par un groupe qui supporte activement l activité. L accent sera également mis sur la mobilisation des pairs (associations et groupes de travail) qui fut timide cette fois. 7B Collaboration En collaborant avec des institutions, services spécialisés, autorités, etc., quelles expériences avez-vous faites? Une prochaine fois, que feriez-vous différemment? SUPPORT Formulaire de projet Version

10 Par divers canaux, le projet s intègre dans le réseau d accompagnement en la matière : Aids-Hilfe beider Basel / Aide Sida Bâle (AHbB), Aide Sida Suisse, Gsünder Basel, Multikulturelle Suchtberatung (MUSUB), Psychologische Antirassistische Beratung (PAR), Afrika in Basel Basel in Afrika (ABSA), Treffpunkt für interkulturelle, Integration (TIPI Basel), Integration Basel, Stabstelle für Integrationsfragen Kanton Basel-Landschaft, KIS, Sozialhilfe der Stadt Basel, Kantonales Sozialamt BL, Bundesamt für Gesundheit, les associations africaines, IAMANEH La collaboration avec les organisations suivantes a été des plus dynamiques et fructueuses : Aids Hilfe beider Basel (Aide Sida Bâle) : AHbB a offert un lieu de rencontre central et bien équipé pour les présentations et discussions informelles. Afrika in Basel Basel in Afrika (ABSA) : ABSA a porté l agenda sur le calendrier d événements de son site Web. Swiss African Center (S-A-C) : S-A-C a inséré le programme dans sa campagne d information active (site Web, liste d adresses «PostOffice», SMS). Centre africain d études africaines (ZASB) : L Institut universitaire a porté le programme d activtiés sur la page agenda de son site. Integration Basel : via l envoi des annonces aux nombreuses listes intégrées et ciblées. Caritas Schweiz : Le réseau sur l excision a été particulièrement mobilisé. Gsünder Basel : Collaboration étroite sur le volet nutrition et mouvement. Radio X : La diffusion d informations sur les rencontres. Africa Link Magazine : Publication du calendrier des rencontres. Autres institutions : l Institut tropical suisse (ITS) a diffusé l information largement auprès des chercheurs africains en stage ou séjour de thèse en médecine à Bâle, le Séminaire d histoire avec un accent sur l Afrique australe a également touché un grand nombre d universitaires et le Centre culturel de conseil anti-dépendances (MUSUB) a permis de contacter les personnes directement concernées et d établir un lien continu pour de prochaines rencontres à envisager autour des questions de vulnérabilité et de dépendance dans le cadre de la migration des Africain-e-s. Pour la prochaine fois, je ferais tout pour passer directement dans les institutions pour faire des annonces aux étudiant-e-s ou aux clients de certains centres dans la mesure du possible. Je convaincrais davantage les intervenant-e-s à inviter leurs collègues à venir aux activités pour profiter des interactions avec les participant-e-s. 8A Soutien financier A combien s élèvent les frais budgétés du projet? CHF A combien s élève le montant souhaité de SUPPORT (au max. CHF 5'000.-)? CHF Sur quel compte pouvons-nous verser le montant attribué? PC (Titutaire du compte: Mohomodou Houssouba, Kannenfeldstrasse 23, 4056 Basel) 8B Décompte A combien les frais effectifs du projet se sont-ils élevés? CHF Joignez SVP le «Décompte SUPPORT» du projet, dûment rempli. Veuillez voir «Décompte» en pièce jointe. Prière de joindre le «Budget SUPPORT» du projet, dûment rempli. Veuillez voir en pièce jointe. 9A Soutien professionnel 9B Durabilité SUPPORT Formulaire de projet Version

11 Nous vous communiquons le nom de professionnel-le-s qui vous aideront gratuitement lors de la planification, la réalisation et l évaluation de votre projet. Un soutien professionnel vous intéresse-t-il? Oui, nous utiliserons volontiers ces ressources à toutes les étapes d exécution. 10A Planning A quelle date commence le projet? Avril 2007 A quelle date se termine le projet (au plus tard jusqu au 30 septembre 2007)? Septembre 2007 Veuillez nous envoyer le rapport final, au plus tard jusqu au 31 octobre Si le rapport final nous parvient après cette date, le solde alloué au projet ne pourra pas être payé. Le rapport final sera rédigé et promptement transmis à Radix après l évaluation finale courant octobre Le projet se poursuivra-t-il? Le projet a-t-il permis à des développements de se poursuivre après sa clôture? Allez-vous réaliser d autres projets de promotion de la santé? Le projet se poursuivra, dans un premier temps, sur la base de deux groupes d intérêt qui se sont dégagés lors des rencontres : (1) un groupe mixte, multiculturel autour de la problématique de l excision (mutilitations génitales féminines), (2) un groupe composé surtout de femmes et d hommes d origine africaine, la plupart avec une expérience des activités du Centre africain de Bâle ( ), qui comptent se retrouver pour organiser de futures rencontres particulièrement sur la nutrition, le stress et les crises identitaires et troubles de comportement afférents. Pour ce groupe, les questions de santé doivent être davantage abordées sous l angle culturel : la place des langues africaines dans l éducation et l éveil intellectuel des enfants issus de l immigration subsaharienne en Suisse, surtout du groupe importants d enfants binationaux (couples mixtes). Il a été question de maintenir le site Web provisoire à condition que SUPPORT/RADIX donnent la permission de garder le nom de domaine acheté avec les fonds alloués par Radix. Le site servirait à maintenir un espace de publication de données de santé publique d intérêt pour la communauté africaine, comme discuté, en collaboration avec le Groupe Radio Africa Basel (Radio X). 10B Evaluation Prière de répondre à toutes les questions suivantes : oui non Etes-vous satisfait-e de l offre SUPPORT? Le temps nécessaire pour la Demande de soutien et le Rapport final X est-il adapté? Auriez-vous aussi pu réaliser votre projet sans SUPPORT? X Remarques : Le temps de remise du rapport ayant été écourté, le délai réel est très serré, mais les conditions particulières de son rapprochement sont également compréhensibles. Prière de répondre aux questions suivantes, si vous avez bénéficié d un soutien professionnel : N/A oui non Etes-vous satisfait-e du soutien professionnel? Le soutien professionnel a-t-il fait avancer votre projet? Par le soutien professionnel, avez-vous personnellement appris quelque chose? Remarques : Nous exprimons ici notre reconnaissance envers RADIX pour cet appui crucial qui a SUPPORT Formulaire de projet Version

12 permis de reconstituer les bases d un réseau d échange intra-communautaire sur les questions de santé. Ce réseau a davantage de chance d initier de nouvelles activités sur le long terme et de façon autonome. Date de la demande : 31 janvier 2007 Date du rapport final : 30 septembre 2007 SUPPORT Formulaire de projet Version

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