QUESTIONS À EXAMINER. Atelier N 1 Développer la culture de l entreprise chez les femmes : éducation, formation et changement des mentalités

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1 LES FEMMES ENTREPRENEURS À LA TÊTE DE PME : Pour une participation dynamique à la mondialisation et à l économie fondée sur le savoir Paris, novembre 2000 QUESTIONS À EXAMINER Atelier N 1 Développer la culture de l entreprise chez les femmes : éducation, formation et changement des mentalités Préparé par le Secrétariat de l OCDE Organisation for Economic Co-operation and Development 2000 Organisation de Coopération et de Développement Economiques

2 FAITS SAILLANTS 1. Depuis quelques années, l entreprise au féminin a le vent en poupe : les entreprises détenues par des femmes, y compris les entreprises individuelles créées par des femmes, représentent une part importante de la population des entreprises dans un certain nombre de pays de l OCDE, ainsi que dans bon nombre de pays en développement et d économies en transition. On observe toutefois des disparités notables entre les pays : si le nombre d entreprises détenues par des femmes croît par exemple à un rythme très supérieur à celui du nombre global de créations d entreprises au Canada et aux Etats-Unis, dans bien des pays, ce sont encore des hommes qui assurent la plus grande partie des créations d entreprises. Cette situation a des répercussions non négligeables sur la croissance économique et l emploi (à la fois masculin et féminin) car les pays dans lesquels le taux de participation des femmes à l activité entrepreneuriale est faible sont souvent ceux qui enregistrent globalement les taux de création d entreprises les plus modestes. 2. Quelles sont les causes profondes de ces disparités entre les pays? Comment dans certains pays les femmes ont-elles réussi à rattraper les hommes sur le plan de la participation à l activité entrepreneuriale alors que dans d autres, l écart entre hommes et femmes subsiste? Les femmes bénéficient-elles plus largement des facteurs qui contribuent à la dynamique entrepreneuriale d un pays et contribuent-elles, elles-mêmes, à promouvoir ces facteurs? L esprit d entreprise est une notion complexe, difficile à définir et à appréhender en termes quantitatifs. Pour les besoins du présent document, on considérera toutefois que l esprit d entreprise fait référence à toute tentative visant à créer une entreprise ou à mener à bien un projet d entreprise, qu elle ait pour but de créer une entreprise individuelle, de créer d une entreprise nouvelle, de conduire un projet d expansion d une entreprise existante ou de mettre en pratique des conceptions novatrices des grandes fonctions de l entreprise. D après l OCDE, la vigueur de l esprit d entreprise dans un pays s apprécie au regard de trois aspects : les conditions d ensemble, les mentalités et les programmes gouvernementaux. 3. Le présent document sur les questions à examiner étudie l influence des différents facteurs qui favorisent le développement d une culture de l entreprise chez les femmes. Il traite principalement du rôle de l éducation, de la formation à la gestion et des réseaux, et analyse l incidence latente, sur ces facteurs et sur d autres déterminants de l initiative privée, des changements qui se produisent dans les attitudes dominantes au sein de la société et qui risquent de créer des obstacles à la volonté d entreprendre des femmes. Il a pour objet de soulever des questions pertinentes pour amorcer le débat qui s engagera durant l atelier organisé dans le cadre de la conférence ; enfin, il devrait déboucher, à l issue de l atelier, sur la formulation de recommandations. Questions de politiques à examiner Facteurs ayant une influence déterminante sur l esprit d entreprise. Quels sont les facteurs qui favorisent le développement d une culture de l entreprise? S agit-il des mêmes que ceux qui contribuent à dynamiser l esprit d entreprise chez les femmes? Et si tel n est pas le cas, quels sont les facteurs spécifiques à prendre en compte à propos des femmes? Education et formation. En quoi l éducation et la formation à la gestion peuvent-elles aider à mieux préparer les enfants et les adultes à devenir des entrepreneurs? Les femmes doivent-elles faire face à des difficultés particulières dans ce domaine? Mesures destinées à stimuler l esprit d entreprise chez les femmes. Quelles sont les mesures exemplaires dont il convient de s inspirer en ce qui concerne l éducation et la formation à l intention des femmes et comment peut-on affiner et faire connaître ces dispositifs? Doit-on avoir recours à d autres types d initiatives pour améliorer les conditions offertes aux femmes qui entreprennent? Les dispositifs en vigueur peuvent-ils être renforcés et améliorés? Comment les pouvoirs publics, le secteur privé et la société civile peuvent-ils contribuer aux efforts déployés pour stimuler l esprit d entreprise chez les femmes? 1

3 Facteurs ayant une influence sur l esprit d entreprise chez les femmes 4. La vigueur de l esprit d entreprise dans un pays ou une région subit l influence d un nombre considérable de facteurs ; et le nombre des facteurs qui ont des effets sur l esprit d entreprise chez les femmes est encore plus élevé. D après l OCDE, la capacité d entreprendre d un pays dépend de trois composantes : les conditions d ensemble, les mentalités et les programmes gouvernementaux. 5. Les conditions d ensemble constituent le terrain qui, s il est fertile, permettra le développement d une culture de l entreprise chez les femmes comme chez les hommes ; les systèmes institutionnels au sein desquels s organise l activité économique sont déterminés par des données historiques, politiques et économiques. L existence d un état d esprit favorable à l entreprise représente alors un atout supplémentaire. Toutes choses égales par ailleurs, une société valorisant l esprit d entreprise, qui, au lieu de stigmatiser un échec dans ce domaine, l envisage comme une expérience enrichissante, saura généralement créer un climat plus porteur pour les entrepreneurs. Aux Etats-Unis par exemple, le désir d entreprendre et de prendre des risques est en soi considéré comme une qualité, quelle que soit l issue du projet. Beaucoup d entreprises qui réussissent ont en fait été créées par des entrepreneurs ayant auparavant essuyé un ou plusieurs échec(s). Lorsqu une société porte un regard méprisant sur ceux qui échouent, on peut craindre que la frilosité ne l emporte, au risque d entraver l initiative individuelle. Pour les femmes, vient s ajouter à ce risque, dans certaines sociétés, une tendance à ne pas suffisamment valoriser ou respecter les compétences des femmes. 6. Donner une image positive de l entreprise est aussi une manière de contribuer au développement d une culture de l entreprise. Si l esprit d entreprise est une vertu reconnue dans beaucoup de sociétés, des connotations négatives s y attachent également dans certains pays. Or, une perception négative du monde de l entreprise peut dissuader certains candidats de s aventurer à créer leur propre affaire et il se trouve que ce frein agit encore plus fortement sur les femmes dans les nombreux pays où des obstacles culturels et religieux non négligeables s opposent à leur participation à des activités relevant de la sphère économique. 7. Pour encourager les femmes à devenir chefs d entreprise, il faut leur proposer des archétypes solides et positifs. C est dans ce but que certains pays ont lancé des initiatives, tant dans le secteur public que dans le secteur privé, afin d attirer l attention sur les aspects positifs des modèles de la femme entrepreneur et de leur conférer une crédibilité. On peut citer à cet égard la création dans certains pays d un prix et/ou d une récompense décernée à une femme élue patronne de l année, ainsi que des manifestations à fort retentissement médiatique, comme la semaine de la femme chef d entreprise, etc. 8. Lorsqu on cherche à analyser la culture de l entreprise chez les femmes, il convient de tenir compte des diverses motivations, économiques, sociales et personnelles, qui conduisent les femmes à entreprendre. Les femmes entrepreneurs se répartissent globalement en trois groupes. Le premier se compose de femmes qui ont été poussées à créer leur entreprise et ont en quelque sorte été amenées à exercer une activité indépendante davantage par nécessité que par choix : qu elles l exercent à temps partiel ou à temps plein, leur motivation est d éviter le chômage. Dans l ensemble, ces femmes ont peu d expérience dans le domaine des affaires et de la gestion, ce qui limite leurs perspectives de croissance. Le deuxième groupe réunit des femmes attirées par la création d entreprise qui ont décidé de créer leur entreprise pour des raisons positives, par exemple par désir d indépendance et d autonomie, ou parce ce qu elles estimaient qu elles atteignaient le plafond de verre dans l entreprise qui les employait et parce qu elles voyaient dans la création de leur propre entreprise un moyen de progresser sur le plan professionnel et personnel en valorisant leurs compétences. On peut dans plusieurs pays distinguer un troisième groupe de femmes qui ont pour ambition de réussir à concilier leurs responsabilités familiales et un emploi productif, et qui créent leur propre entreprise afin de se réaliser sur le plan professionnel tout en conservant une certaine souplesse afin d être en mesure d assumer leurs autres responsabilités. Ces trois groupes coexistent dans la plupart des pays, même si leur taille et leurs caractéristiques peuvent varier de l un à l autre. 2

4 9. Dans les économies en transition et les pays en développement, on observe parfois des variations plus sensibles par rapport à ces schémas. En Europe centrale, en Asie et en Amérique latine par exemple, les femmes participent souvent très activement aux tâches quotidiennes et à la prise de décision dans les entreprises familiales. Dans d autres économies en développement, la contribution des femmes non seulement à la production agricole, mais aussi aux activités de commercialisation, est traditionnellement très forte. Au fur et à mesure de l expansion des échanges, les femmes sont de plus en plus nombreuses à décider de mettre à profit leur connaissance des marchés locaux et des évolutions pour se lancer dans des activités d import-export. 10. On a tout lieu de penser que la diversité des conditions économiques et sociales a une incidence sur la manière dont les femmes abordent la création d entreprise et y sont préparées. 11. Il apparaît enfin que la structure démographique/familiale et le statut de la femme dans la société sont des éléments dont les conséquences sur l esprit d entreprise chez les femmes sont variables. Dans beaucoup de sociétés, les femmes cumulent responsabilités professionnelles et familiales et cet état de fait demeure une entrave au développement de l esprit d entreprise au féminin. Il arrive par exemple que des mères isolées recherchent en créant leur propre entreprise une souplesse qu elles ne peuvent trouver dans le salariat, mais elles se révèlent parfois plus timorées que les femmes qui peuvent compter sur le salaire d un conjoint, ce qui a des conséquences à la fois sur leur propension à créer une entreprise et sur la performance de l entreprise. La mise en place de services de soutien adaptés aux entrepreneurs, tenant compte des responsabilités quotidiennes incombant aux hommes et aux femmes, a donc toutes les chances d avoir des retombées sur la création d entreprises par des femmes et sur la réussite de ces entreprises. Quels sont les facteurs qui influent sur l instauration d un état d esprit favorable à la création d entreprise? Plus précisément, en quoi ces facteurs ont-ils une incidence particulière sur l esprit d entreprise chez les femmes? Comment les pouvoirs publics, le secteur privé et la société civile peuvent-ils contribuer aux efforts déployés pour stimuler l esprit d entreprise chez les femmes? En quoi des formules novatrices de partenariat entre les secteurs public et privé peuvent-elles faciliter la réalisation de cet objectif? Education 12. Il est capital d assurer une éducation et une formation adéquates pour développer un état d esprit favorable à l entreprise. De fait, les choix professionnels et les choix de vie sont largement tributaires de processus de socialisation dans lesquels le système scolaire joue un rôle essentiel. Bien que l accès à l éducation pour tous soit un instrument de choix pour promouvoir l égalité des chances, les systèmes scolaires ont une fâcheuse tendance à calquer les structures sociales existantes, y compris les stéréotypes de répartition des rôles entre les hommes et les femmes. Aussi constate-t-on que si les filles atteignent de plus en plus souvent un niveau d instruction équivalent ou supérieur à celui des garçons, le contenu de l enseignement qu elles reçoivent, voire qu elles choisissent de recevoir, est encore, dans certains pays, différent sur des points importants de celui dispensé aux garçons. 13. Le système éducatif peut être un instrument très efficace pour familiariser les filles aussi bien que les garçons à certains aspects de la vie des entreprises et à des disciplines telles que la stratégie d entreprise et les pratiques des entreprises, la gestion, la finance et le marketing. Or, partant du principe que plus les 3

5 compétences sont acquises tôt, plus elles ont de chances d être valorisées, ces choix éducatifs peuvent être mis en pratique dès les premiers stades du cursus scolaire. En fait, les enfants commencent à réfléchir à la profession et au métier qu ils souhaitent exercer avant même l entrée à l école. Les enfants dont les parents possèdent leur propre entreprise ou ont une vision positive de l entreprise seront plus que les autres prédisposés à avoir un état d esprit ouvert sur le monde de l entreprise. 14. La création de programmes d enseignement comportant des modules consacrés à l acquisition de compétences en gestion et d une certaine connaissance du monde de l entreprise, accessibles dans les mêmes conditions aux garçons et aux filles, peut favoriser le développement de l initiative privée. L égalité des chances doit être assurée au niveau du choix des options, notamment dans les disciplines scientifiques, et des voies de passage du système scolaire à la vie active. Parallèlement, il convient dans bien des cas de faire évoluer les méthodes d enseignement et la pédagogie de façon à mettre davantage l accent sur l épanouissement personnel et sur les qualités et les compétences grâce auxquelles filles et garçons pourront développer leur adaptabilité et leur créativité. Certaines méthodes d enseignement fondées notamment sur la prise de responsabilités, l apprentissage par la pratique, le travail en équipe, la résolution de problèmes et l acceptation de l erreur favorisent l initiative individuelle. Ce genre de démarche doit aller de pair avec une volonté de veiller à ce que les enseignants n aient pas d idée préconçue sur le rôle des femmes dans la société et de les former pour qu ils soient capables d encourager les filles à entreprendre. Ces différents moyens peuvent tous faciliter une évolution des mentalités et contribuer ainsi à développer l esprit d entreprise chez les femmes. 15. La coopération avec les entreprises et l industrie et/ou les techniques d aide aux enseignants ou de recyclage des enseignants peuvent également servir à inciter les femmes à entreprendre. En général, les pouvoirs publics jouent un rôle essentiel dans la refonte des systèmes d enseignement scolaire ; les entreprises pour leur part apportent une contribution essentielle dans le domaine de la formation des adultes et de l enseignement professionnel. Cette répartition des rôles a désormais tendance à s estomper au fur et à mesure que les partenariats entre les secteurs public et privé se multiplient dans le secteur de l éducation. 16. L acquisition, par les enfants et les adultes, de compétences utiles dans le monde de l entreprise, que ce soit dans le cadre ou en dehors du cadre du système scolaire proprement dit, passe par l assimilation de notions économiques, commerciales et financières de base et par une familiarisation avec les techniques de gestion et les technologies de l information. En outre, les systèmes d enseignement et de formation et les technologies utilisées doivent autoriser une souplesse suffisante pour répondre à l évolution des besoins et intégrer une stratégie globale dans l optique de l apprentissage tout au long de la vie. Il convient de mettre à profit l essor récent des technologies de l information et des communications (TIC) pour préparer les filles à la vie professionnelle et à une carrière dans le monde des affaires, et pour les aider à surmonter les obstacles liés au fait qu elles soient des femmes de sorte qu elles n hésitent plus à créer et diriger des entreprises. La maîtrise de l Internet et du commerce électronique et de l utilisation des TIC est sur le point de devenir une condition sine qua non du succès dans de nombreux domaines. Quelle contribution l éducation peut-elle apporter au développement de la capacité d entreprendre? Quels sont les défis à relever et les atouts à exploiter pour assurer l égalité des chances dans ce domaine? 4

6 Formation en gestion et formation technique 17. Une formation professionnelle adéquate en gestion et dans d autres domaines de l activité entrepreneuriale à divers stades du développement de l entreprise apporte les compétences requises pour créer, gérer et développer une entreprise. Pour qu une telle formation porte ses fruits, il faut qu il y ait une demande et une offre suffisantes. C est là une démarche globale qui favorise la création d entreprises en général. Si nombre de femmes entrepreneurs sont plus instruites que leurs homologues masculins, elles ont souvent moins d expérience de la gestion d une entreprise. Une formation dans ce domaine peut donc s avérer cruciale pour encourager les femmes à créer leur entreprise. Le «mentorat» s est révélé un moyen efficace de fournir aux femmes entrepreneurs une formation individuelle, des compétences et des conseils dont elles ont besoin pour réussir, souvent, qui plus est, dans des conditions souples et informelles. 18. Pour encourager la demande de formation chez les femmes, il faut que celle-ci soit facilement accessible, peu coûteuse et qu elle ne prenne pas trop de temps. Idéalement, elle devrait privilégier des formules souples, par exemple sous la forme de cours du soir, aux heures de déjeuner, ou via Internet, de façon à permettre aux femmes de mener de front leur formation et leurs autres responsabilités. L apprentissage électronique et les nouvelles technologies offrent des possibilités souples d acquisition de compétences. Il est indispensable pour les femmes comme pour les hommes de se former tout au long de la vie pour se tenir au courant des évolutions et acquérir les nouvelles connaissances qu impose la révolution constante de l information. La formation sur le tas des salariés leur donne des compétences qu ils peuvent exploiter ultérieurement s ils décident de se lancer dans des activités entrepreneuriales. La formation qui est le fruit d un mentorat réussi ou d un partenariat naturel peut permettre de répondre promptement aux besoins réels de l entreprise. Comment les programmes de formation professionnelle, technique et dans le domaine de la gestion peuvent-ils être conçus afin de permettre aux femmes d acquérir les compétences requises pour réussir en tant que chef d entreprise? Quelles innovations peut-on introduire pour améliorer la qualité et l accessibilité de ces programmes? Comment les expériences réussies peuvent-elles servir de catalyseur en matière de mentorat à l intention des femmes chefs d entreprise? Réseaux/partenariats 19. Les réseaux et les formules novatrices de partenariat ont également fait la preuve de leur utilité pour soutenir et encourager la création d entreprise. Les cadres hommes ont depuis toujours accès aux associations, réseaux et clubs (clubs professionnels, sociaux ou sportifs) où ils peuvent parler affaires et négocier des contrats. Les femmes chefs d entreprise, qui sont généralement exclues de ces réseaux influents «d anciens» et des réseaux professionnels informels, montent de plus en plus souvent leurs propres réseaux. 20. Les femmes apprennent progressivement à utiliser les différents types de réseaux, dont les objectifs, différents, sont complémentaires : les réseaux institutionnels, regroupant divers services gouvernementaux et ministères, dont la finalité est d aider à la création et au développement des entreprises ; les réseaux professionnels, qui relient les entreprises qui en aval et en amont permettent à une société de mener à bien ses activités, notamment les fournisseurs et les clients, et les autres sociétés avec 5

7 lesquelles des alliances sont nouées ; enfin, les réseaux d information, qui apportent une valeur ajoutée en intensifiant les échanges d informations entre entreprises et au sein même de l entreprise. 21. L expérience a montré que les associations de femmes entrepreneurs sont une source importante d informations et de soutien aux femmes propriétaires d entreprises naissantes, jeunes ou déjà bien établies. Plus particulièrement, les femmes créent des associations pour avoir davantage accès à la technologie, mieux connaître les cultures de l entreprise qui prévalent sur les marchés étrangers, et pénétrer plus efficacement ces marchés. Ces associations offrent aussi des possibilités de mentorat et de formation et catalysent les processus de mise en place de réseaux avec les responsables des approvisionnements du public et du privé. Les femmes chefs d entreprise sont également encouragées à se familiariser avec les procédures et méthodes à employer pour influer sur l action publique afin de sensibiliser leurs interlocuteurs à leurs problèmes et défendre leurs intérêts, que ce soit aux niveaux local, des États ou national, et sur le plan exécutif et législatif, ou dans un contexte multilatéral. Autant d atouts qui contribuent à promouvoir chez les femmes une culture de l entreprise tournée vers l avenir. En quoi les réseaux et les partenariats contribuent-ils à favoriser et à soutenir l entreprenariat féminin? Comment renforcer ou améliorer les réseaux existants ou en stimuler le plus efficacement la création lorsqu ils n existent pas? Quelles sont les possibilités de coopération internationale dans ce domaine, et comment la mettre en œuvre le plus efficacement? Pour aller de l avant : Recommandations de politiques 22. L atelier devrait aboutir à l élaboration de recommandations destinées à favoriser le développement d une culture de l entreprise chez les femmes. Quelles sont les responsabilités des gouvernements, du secteur privé et de la société civile pour stimuler davantage une culture de l entreprise chez les femmes? Comment aller plus loin dans la mise au point de pratiques exemplaires et les diffuser? Quelles initiatives concrètes peuvent être mises au point pour favoriser l instauration d un climat propice à la création d entreprises par les femmes? 6

8 BIBLIOGRAPHIE ET RÉFÉRENCES Duchénaut, B. (1997), «Women Entrepreneurs in SMEs», document de référence de l'ocde pour la 1ère Conférence de l'ocde sur les femmes entrepreneurs à la tête de petites et moyennes entreprises : Une nouvelle force pour l innovation et la création d emplois», Paris, France. Ministère néerlandais des affaires économiques (2000), The Entrepreneurial Society : More Opportunities and Fewer Obstacles for Entrepreneurship, Entrepreneurship and Small and Medium-Sized Business Department, La Haye. OCDE (1997), Women Entrepreneurs in Small and Medium Enterprises, OCDE, Paris. OCDE (1998), Stimuler l esprit d entreprise, OCDE, Paris. OCDE (2000a), «Women Entrepreneurs : Improving Knowledge and Statistics», document de référence de l'ocde pour la 2ème Conférence de l'ocde sur les femmes entrepreneurs à la tête de petites et moyennes entreprises : Pour une participation dynamique à la mondialisation et à l économie du savoir», Paris, France. OCDE (2000b), «Le financement des entreprises dirigées par les femmes : défis et opportunités», document de référence de l'ocde pour la 2ème Conférence de l'ocde sur les femmes entrepreneurs à la tête de petites et moyennes entreprises : Pour une participation dynamique à la mondialisation et à l économie du savoir», Paris, France. Reynolds, P., M. Hay et S.M. Camp (1999), Global Entrepreneurship Monitor : 1999 Executive Summary, Kauffman Center for Entrepreneurial Leadership, États-Unis. Reynolds, P., M. Hay, W.D. Bygrave, S.M. Camp et E. Autio (2000), Global Entrepreneurship Monitor : 2000 Executive Report, Kauffman Center for Entrepreneurial Leadership, États-Unis. 7

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