«Si l air m était compté...?»

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1 > N 7 > Janvier 2006 > ] «Si l air m était compté...?» Manqerions-nos d air pr à ce point por oser ne telle qestion? Osons! Sans omettre ne atre interrogation indissociable : "Qe pis-je faire, por ma part, afin d agir por le préserver?" A la fois "compter et conter" de la qalité de l'air, l'aspa en collaboration avec ses partenaires de la Compagnie de l Air, consacre ce nméro de Report'Air à chacn d'entre nos, pollé et poller, en qête d'n air meiller. Il était ne fois Hges Geiger Président de l ASPA Président de la Fédération Nationale ATMO L air est capital... à chacn de le préserver! «Un eff o rt collectif drable qi re q i e rt assi l implication de chacn» P. 3 Porqoi pas vos?... L Alsace s engage De l obligation réglementaire à l action Tos concernés!... P. 4/5 Une approche transversale qi sppose n dialoge entre les acters sociax Une réalité difficile à appréhender Un prix à payer L impact des comportements individels dans le cycle de la Qalité de l air Trafic et polltion P. 6/7 atmosphériqe Pls q n enje local, ne problématiqe mondiale. L A S PA donne la mesre. Des progrès constants... > POSTER : CHANGEONS DE CAP! Le salt est dans l économie P. 8/9 et la diversification éclairée Les énergies non renovelables et renovelables Ne comptons pas P. 10/11 selement sr les atres Responsabilité collective, responsabilité individelle Exposition individelle, l air intérier assi! Qels pollants nos entorent? Zone Test por le climat Des intentions à l action. P. 2 P.12 Ce nméro a été labellisé par la Compagnie de l Air dans le cadre de la Charte por ne meillere qalité de l air en Alsace.

2 La qalité de l air à la croisée des chemins ] L'air est capital A chacn de le préserver! Une approche patrimoniale des biens commns, comme l'ea o l'air, condit à distinger le côté "ressorce" de l'air (por la respiration, la photosynthèse, le climat, ) et l'aspect "capital" à maintenir. Nos sommes tos collectivement titlaires d "capital air", afin d'en tirer des bénéfices et en spporter les éventels préjdices por notre santé et notre environnement. Cependant, nos en sommes également les co-gestionnaires. Et c'est parce qe nos sommes tos collectivement, mais assi individellement, "comptables" de la polltion de l'air q'il y a nécessité, afin d'y remédier, de conjger actions collectives et actions individelles. L'ASPA, COMPTABLE D'UN AIR MEILLEUR A fil des ans et a fil de l'air, l'aspa vos rend compte de la polltion de l'air respiré (mesre et modélisation) et de la "contribtion" locale à sa dégradation (inventaire des émissions) por l'ensemble d terr i t o i re alsacien. Les (banqes de) données ainsi receillies sont valorisées par l'information diffsée, q'elle soit qotidienne, épisodiqe et à pls long terme. Nos diagnostics et conseils accompagnent les politiqes locales de dépolltion. En partenariat avec ses membres et a sein de la "Compagnie de l'air", l'aspa exploite de pls en pls cette mine d ' i n f o rmations et d'expertise por p romovoir les actions individelles indispensables à ne moindre polltion et ne moindre exposition por tos et por chacn. 1 - La Taxe Générale sr les Activités Pollantes (TGAP) concerne les oxydes de sofre, les oxydes d azote, l acide chlorhydriqe, les composés organiqes volatils et les particles. 2 - Union Eropéenne. 3 - Programmes internationax de rédction des émissions sr le long terme : Clean Air for Erope, Protocole de Kyoto por les gaz à effets de serre. D'aillers l'ambition de la Loi sr l'air de décembre 1996 est, por "l'etat les collectivités territoriales ainsi qe les personnes privées" de concorir, "chacn dans le domaine de sa compétence et dans les limites de sa responsabilité, à ne politiqe dont l'objectif est la mise en oevre d droit reconn à chacn à respirer n air qi ne nise pas à sa santé". A la croisée des émissions atmosphériqes de nombreses activités hmaines, qelle part de ce capital air relève de nos actions individelles? Répondre à cette qestion constite l'objet et l'objectif de ce nméro spécial. Le rôle des instittions Qalité de l'air : Les instittions s'impliqent! Les normes de qalité de l air et le contrôle des rejets - avec à la clef ler taxation 1 - sont d re s s o rt de l UE 2 et de ses Etats membres. Ces normes sont édifiées dans le prolongement d'étdes sr l impact environnemental et sanitaire, conform é- ment ax engagements internationax 3 et arrêtés préfectorax d exploitation des installations indstrielles en France. L ensemble des instittions met l'accent sr l information des pblics, q'il s'agisse de ler donner accès ax mesres de qalité de l air o de les inciter à changer de comport e m e n t s de consommation et de déplacement, a bénéfice d ne gestion pls jdiciese de l atmosphère. Ces mesres pevent être localement accompagnées d'incitations financière s *. Ce rôle de sensibilisation est re n f o rcé si les part e n a i res, et en p a rticlier les collectivités locales, sont exemplaires et ont e n t repris des démarches por maîtriser lers pro p res émissions. Ainsi, le bilan carbone d Conseil Général d Bas-Rhin, o encore la Charte d Engagement por la Qalité de l Air de la "Compagnie de l Air" (membres d PRQA*) participent de cette exemplarité en concordance avec l article 6 de la Chart e de l Environnement intégrée dans la Constittion française**. ( * Voir encarts Page 3 -** A rticle 6 : Les politiqes pbliqes doivent promovoir n développement drable. A cet effet, elles concilient la protection et la mise en valer de l environnement, le développement économiqe et le progrès social.)

3 ] "Un effort collectif drable qi reqiert assi l'implication de chacn" Lors des 2 è m e R e n c o n t res Alsaciennes de l ' E n v i ronnement, organisées en jin dernier par la Région Alsace, l'n des part i c i- pants, s'inqiétant de la polltion de l'air, exprimait sa lassitde d'entendre tojors les mêmes discors sr ce q'il conviendrait de f a i re. Est-ce selement ne impression? Par aillers, les eff o rts indispensables demandés ax citoyens pevent apparaître trop coûtex en temps, en c o n f o rt, en liberté voire en argent, alors même q'ils pevent se sentir individellement pe concernés o impissants. Comment, dès lors, obtenir l'adhésion indispensable de chacn? Dans ne interview croisée, nos avons demandé à n él : > Gilbert SCHOLLY, Vice-Président de la Commission «Agricltre, Forêts, Enviro n n e m e n t» et Président de la commission d sivi d Plan Régional por la Qalité de l'air et à n expert : > Alain TARGET, Directer de l'aspa, d'apporter qelqes réponses à ces qestions. Alain TARGET : La polltion est tojors d'actalité. En Alsace comme aillers - les étdes épidémiologiqes démontrent incontestablement son effet sr la santé - même si dans la drée elle change de natre avec notamment l'émergence des particles fines et de l'ozone. Certes, les normes eropéennes sr les véhicles et les indstries favorisent et favoriseront sa rédction. Mais cela ne sffira pas. Des modifications comportementales individelles devront se faire por ltter efficacement contre la polltion de l'air et le réchaffement climatiqe. Gilbert SCHOLLY : Le Plan Régional por la Qalité de l'air en Alsace (PRQA), dont la compétence a été décentralisée ax Régions, liste n grand nombre d'actions dont certaines exigent certes ne volonté politiqe, mais assi l'adhésion indispensable de la poplation : n résea performant de transport pblic ne servirait à rien s'il était bodé par les sagers. C'est por cela qe le comité commnication d PRQA, piloté par la Région, a mis a point n plan de sensibilisation. Il s'agit d'abord de montrer l'exemple a sein de la "Compagnie de l'air" regropant les membres d PRQA : Région, ASPA, CUS, Conseils Générax, Directions de l Indstrie, de l'eqipement, de la Santé, etc... Tos appliqent ne charte de l'environnement. Il s'agit ensite de responsabiliser l'ensemble de la poplation ax gestes écocitoyens propices à ne meillere qalité de l'air. Alain TARGET : La répétition de l'information et sa pertinence s'avèrent essentielles ; c est la raison por laqelle l'aspa engage ses forces vives, afin de démontrer, chiffres validés à l'appi, d'abord la nécessité d'agir et q'à terme chacn y gagnera : moins d'impact sr la santé et l'environnement, mais assi des économies d'énergie et donc des gains por chacn. Gilbert SCHOLLY : Le renovellement d'n parc atomobile moins pollant et l'aménagement pls drable d territoire aront n effet étalé dans le temps. De même, la pratiqe des gestes écocitoyens par l'ensemble de la poplation prendra d temps, avec des effets mesrables selement sr le long terme. Par aillers, le "prix à payer" ajord'hi se tradit pls en termes de changements de comportements q'en coût d'investissement. Ce changement por ne meillere qalité de l'air est déjà en partie prom par les collectivités. Des formles existent por les capters solaires et le comité commnication d PRQA va réfléchir à des campagnes d'information afin d'accélérer ce changement. Les dispositifs por la qalité de l'air De l obligation réglementaire à l action L'Alsace s'engage! La loi définit trois plans complémentaires : le Plan Régional por la Qalité de l air (PRQA) assre la c o h é rence des dispositions régionales ; le Plan de P rotection de l Atmosphère (PPA) vise à limiter les concentrations dans les zones où les normes de qalité de l air sont dépassées ; le Plan de Déplacement Urbain (PDU) promet des transports moins pollants dans les agglomérations de pls de habitants. Par aillers, les Plans Climat Te rritoriax pro p o s e n t des actions locales por respecter l objectif national d protocole de Kyoto. De son côté, l'alsace s'est engagée dans ne Chart e de la qalité de l'air à travers 9 actions concrètes mises en oevre par 25 str c t res pbliqes et associatives de la région ( salariés). Un bilan sera réalisé en décembre POUR EN SAVOIR PLUS SUR CES DIFFÉRENTS DISPOSI- T I F S, CONSULTEZ LES SITES : commniqes_prqa.htm Lien vers le PDU de la CUS h t t p : / / t r a n s n o r d. s c h i l i c k. f r e e. f r / p d / d o c / POURQUOI PAS VOUS? Incitations financières et énergies renovelables Des aides existent por encorager les Alsaciens à recorir ax énergies renovelables, installations s o l a i res, chafferies a bois, diagnostics énergétiqes. Chacn est concerné et pet en bénéficier : part i c l i e r s, c o p ro p r i é t a i res, collectivités, associations, entre p r i s e s, p rofessionnels d torisme et de l agricltre, etc. POUR EN SAVOIR PLUS : des conseillers énergie sont à votre disposition a n vert (appel gratit). Consltez également le site énergivie >P.3<

4 Qalité de l air et citoyenneté ] Tos concernés! Les povoirs pblics s'engagent dans la ltte contre la polltion atmosphériqe. Cependant, ces mesres essentielles peventelles, à elles seles, la rédire significativement? La réponse est, clairement, non! Nos ne gagnerons pas cette bataille sans implication individelle, car le rôle de chaqe citoyen y est prépondérant. Même si cela n'est pas tojors facile à appréhender concrètement, ne partie de la responsabilité de la qalité de l air, d ajord hi et de demain, incombe à chacn d'entre nos. E x p e rt, sociologe o él nos expliqent ici porq o i "Les représentations collectives de la polltion atmosphériqe oscillent entre refs, inqiétde, incompréhension, repli et déni..." l Représentations collectives et polltion atmosphériqe "Une réalité difficile à appréhender" De Lionel CHARLES, Sociologe, membre d Comité scientifiqe d programme de re c h e rche français sr la qalité de l air PRIMEQUAL Il est très délicat de parler de façon générale de représentations sociales, car celles-ci sont tojors liées à n contexte. La notion de représentations sociales s est imposée depis ne trentaine d années, en particlier dans le domaine de l environnement. La constrction de nos représentations sociales repose notamment sr nos perceptions sensitives, spport d action. O r, la polltion à laqelle on est ajord hi massivement confronté, rbaine et diffse, y échappe por ne large part. Son identification et les risqes qi y sont liés dépendent de recherches scientifiqes, prolongées de dispositifs de srveillance et de commnication. Cette approche scientifiqe comporte d importantes marges d incertitde, en particlier a plan sanitaire et reste difficile d accès. De ce fait, la polltion se présente comme n objet négatif, sorce de controverses et de projections fantasmatiqes. Les politiqes pbliqes et les initiatives individelles dans le domaine de la qalité d e l air portent le poids de ces incertitdes et de l ampler des mises en œvre nécessaires por obtenir des améliorations notables. 4 - Evalation contingente des bénéfices de santé d ne amélioration de la qalité de l air dans la région : l exemple d ne région transfrontalière de Strasborg - Kehl - Anne ROZAN, Maître de Conférence a BETA >P.4< - Université Lois Paster de Strasborg. Cycle de la polltion athmosphériqe LE COÛT SANITAIRE DE LA POLLUTION ATMOSPHÉRIQUE La relation entre la polltion atmosphériqe et la santé a été mise en évidence dans de nombreses étdes épidémiologiqes. La majorité de la poplation soffre réglièrement de symptômes bénins. Les effets de cette polltion préoccpent les povoirs pblics qi doivent mettre en place des politiqes de ltte contre la polltion et maîtriser les dépenses de santé. Afin d évaler le coût relatif à ne amélioration de la qalité de l air, on s intéresse à la fois a coût social c o rrespondant ax soins médicax (médicaments, visites, hospitalisation), à la perte de salaire o de prodctivité et a coût privé spporté par l individ (soffrance, atomédication, atteinte a bien être). Le coût privé est évalé selon le prix qe chacn est prêt à payer por l éviter : c est le consentement à payer (CAP). En 1999, ne étde a été menée por déterminer le CAP moyen 4 sr l agglomération strasb o rgeoise et à Kehl de l atre coté d Rhin 4.Ilen re s s o rt qe le CAP d n français est de 43 par an contre 71 por son voisin allemand.

5 ] Qalitédel airetcitoyenneté l L'impact des comportements individels dans le cycle de la qalité de l air A travers nos activités qotidiennes, chacn d entre-nos est à l origine de nombreses polltions, dont celle de notre atmosphère. En France, le comportement qotidien des particliers est directement responsable de près de 50% des émissions de gaz à effet de serre. Ces derniers proviennent essentiellement des déplacements atomobiles, d chaffage domestiqe et des prodits consommés car consommaters d énergie encore pollante por ler fabrication, ler transport et ler élimination. L ensemble de ces émissions pollantes a des conséqences inqiétantes sr notre environnement mais assi notre santé : aggravation des pathologies respiratoires et agmentation d risqe de mortalité. Face à cette polltion, nos povons tos agir, et diminer nos émissions de pollants atmosphériqes. Chaqe geste individel d économie d énergie dans notre vie qotidienne compte et contribe à l amélioration de la qalité de l air. Ces actions simples et citoyennes contribent à préserver notre environnement, notre santé et notre porte-feille. l Le développement drable " Une appro c h e transversale qi sppose n dialoge entre les acters sociax" D après Christian BRODHAG, D i recter de re c h e rche à l école des Mines de Saint-Étienne, Délégé interministériel a Développement Drable. Le développement drable est n mode de vie qi répond à la satisfaction de nos besoins, sans détrire les ressorces planétaires, et donc sans léser les générations qi nos sivront. Assi, le développement drable ne pet-il être envisagé qe sr le long terme. Il impliqe ne approche transversale qi tient compte à la fois des aspects environnementax, économiqes, cltrels et sociax. Cette approche sppose également qe s'ovre n dialoge entre les différents acters, tant de la commnaté scientifiqe qe de la société tot entière. Cette forme de "governance" est n processs de décision collectif n'imposant pas systématiqement ne sitation d'atorité. En effet dans n système complexe et incertain, por leqel différents enjex sont liés, acn des acters ne dispose de tote l'information ni de tote l'atorité por mener à bien ne stratégie d'ensemble inscrite dans le long terme. Une telle stratégie ne pet donc émerger qe d'ne coopération entre les instittions et les différentes parties intéressées. Le développement drable place l homme a centre d développement alliant la démocratie, l éqité sociale, la solidarité entre les peples comme entre les générations. éqitable économie social vivable développement drable viable environnement Le développement drable et ses composantes. "Le développement drable est n développement qi répond ax besoins d présent sans compromettre la capacité des générations ftres de répondre ax lers." N o t re avenir à tos - Extrait d "rapport Br n d t l a n d " Commission Environnement des Nations Unies Le classement des pays selon l'indice de développement hmain (PIB + espérance de vie + scolarisation) et l'empreinte écologiqe (pression de l'homme sr la natre) pose la qestion d prix à payer por converger vers le développement drable. Besoins des générations actelles Amériqe d Nord Amériqe d Sd et Asie Afriqe d Nord Pays en voie de d é v e l o p p e m e n t Besoins des générations ftres Empreinte écologiqe (nbr. d éqivalent terres tilisées) Etats Chemin d développement «classiqe» Chemin d développement drable "Un prix à payer" La performance des nations en matière de coopération, environnement et de développement hmain améne la recherche de noveax chemins por n développement drable. Par Philippe RICHERT, Vice-Président d Sénat et Président d Conseil Général d Bas-Rhin, Président d Conseil National de l'air répond à la qestion sr le prix à payer por converger vers le développement drable. " Le développement drable a por objectif de préserver les ressorces natrelles et j'ajoterais hmaines por les générations ftres. Mais cela reste n objectif, qe certains appellent d'aillers le "développement désirable". Car por cela, n vaste chantier de réformes collectives et de changements de comportements individels nos attend por rédire nos impacts sr l'environnement, protéger les personnes exposées et restarer les miliex dégradés sans compromettre ne croissance économiqe et sociale drable qi sele donnera les moyens techniqes et hmains por y parvenir. Il y a donc bien n prix à payer par notre génération. La démarche "Hommes et Territoires" d Conseil Général d Bas-Rhin y contribe por sa part. En optimisant les actions de notre collectivité, l objectif est de faire miex encore por l'épanoissement des citoyens, tot en limitant l impact de nos choix sr le milie natrel et en préservant l avenir. " >P.5< POUR EN SAVOIR PLUS :

6 Je marche o je role à vélo por les petits trajets Je préfére les axes rotiers moins fréqentés Je prends les tranports en commn Je fais d co-voitrage o de l ato-partage Je privilégie les prodits de ma région et isss de l'agricltre biologiqe Je préfère les articles avec n emballage minimm Je trie mes déchets J éteins ma télévision Je régle mon chaffage à 19 J achéte de l électro-ménager à faible consommation d énergie et d ea J tilise des ampoles basse consommation J isole ma maison Je m éqipe d n systéme tilisant ne énergie renovelable J aére ma maison J tilise des prodits ménagers écologiqes En cas de pic de polltion Je laisse ma voitre a garage Je rédis mon activité physiqe en jornée Je m'informe sr l'évoltion de la polltion atmosphériqe

7 Les transports ] Trafic et polltion atmosphériqe Le trafic rotier est ne sorce importante d'émissions de pollants atmosphériqes. Ils est à l'origine de polltions locales (particles, oxydes d'azote, Composés Organiqes Volatils ) et contribe por pls d n qart ax émissions de gaz à effet de serre. Le développement de modes de transport pls propres et pls économes en énergie, ainsi qe l organisation des déplacements doivent encore progresser. l Un enje local, ne problématiqe mondiale Le trafic rotier est à l origine de polltions locales qi pevent avoir n effet nocif sr notre organisme (particles, benzène). Il contribe également a réchaffement de la planète par l émission importante de gaz à effet de serre. L impact sanitaire de la polltion locale engendrée par le trafic rotier est difficile à appréhender, car pe de données sr le long terme sont disponibles. Totefois, de nombreses étdes ont mis en évidence ne relation entre les pollants principalement d origine atomobile et certaines pathologies respiratoires, cardiovasclaires. Pa r exemple, les particles, vecters de métax lords et de HAP 5, ainsi qe certains composés organiqes volatils, comme le benzène, sont inqiétants en raison de ler povoir cancérogène. D atre part le trafic rotier est n acter majer dans la prodction de gaz à effet de serre. En France et dans le monde, la part des émissions de dioxyde de carbone de a trafic s élève à environ 25%. Une prise de conscience de ces impacts a condit à la mise en place de nombrex programmes (AUTO-OIL, Protocole de Kyoto - Voir encart) por rédire les émissions d trafic rotier assi bien a nivea local qe mondial en agissant soit sr la technicité des véhicles o la formlation des carbrants, soit sr le comportement c i t o y e n. l L'ASPA donne la mesre L A S PA dispose de nombrex otils por mesrer l impact d trafic rotier sr la qalité de l air. L A S PA assre, à proximité d axes à forte circlation, ne srveillance contine de ces polltions à l aide de stations de mesres permanentes o temporaires grâce à ses campagnes de mesres ponctelles (camion laboratoire, tbe à diffsion,...). Cette srveillance permet de mesrer l impact réel d trafic atomobile sr la qalité de l air. L A S PA dispose également de moyens de calcl et de spatialisation des émissions afin de caractériser la part d trafic dans les rejets de pollants en Alsace. Ces modèles permettent de simler des sitations de polltion atmosphériqe passées, présentes o ftres à partir de nombrex paramètres comme la météorologie o les émissions pollantes. Les niveax les pls élevés de dioxyde d azote se trovent sr les axes de circlation importants La réponse "politiqe" Le programme "AUTO-OIL" mis en place en 1992 a nivea eropéen, a engendré dex directives prescrivant la composition des carbrants et fixant les émissions de pollants des véhicles nefs. Cette dern i è re a donné lie à 2 normes : EURO 3 - entrée en viger le 1 e r janvier qi abaisse les émissions de 15 à 40% par rapport ax normes précédentes ; EURO 4 - qi s'appliqera à partir d 1 e r janvier permettra de diviser par dex les rejets des véhicles nefs par rapport à la norme "EURO 3". A nivea mondial, le protocole de Kyoto met en place des objectifs et des délais de rédction des émissions de gaz à effet de serre des pays indstrialisés. Cet accord international a por conséqence directe d amener les c o n s t rcters à faire baisser la consommation des véhicles, ce qi reste por le moment le sel moyen techniqe de diminer les émissions de CO 2 (principal gaz à effet de serre) dans le secter des transport s. >P.6< 5 - Hydrocarbres Aromatiqes Polycycliqes

8 ] Alternatives et soltions techniqes Des progrès constants La moyenne annelle de monoxyde et dioxyde d azote et de benzène en µg parm 3 à Strasborg Les émissions ro t i è res sont tribtaires d type de motorisation, des systèmes de dépolltion associés et d carbrant. Dans les années 90, les travax s attachaient pls p a rt i c l i è rement à la dépolltion des gaz d échappement pisàlarédctiondelaconsommation.lesétdes actelles sont tornées vers la re c h e rche de carbrants et de motorisations moins pollantes. l Les systèmes de dépolltion La première préoccpation ft d éprer les gaz d échappement en généralisant les pots catalytiqes qi rédisent les gaz nocifs résltant de la combstion : monoxyde de carbone, hydrocarbres et oxydes d azote. Pis ne gestion électroniqe de l injection a permis d obtenir ne consommation optimale accompagnée d ne rédction des émissions de CO 2. Enfin, por résodre la problématiqe des particles et des oxydes d azote (NOx), de novelles technologies comme le filtre à particles voirelecatalyser DéNOx 6 porraient se démocratiser dans les années à venir. l Les noveax carbrants Une atre voie possible consiste à joer sr la formlation des carbrants en sbstitant ne fraction par des biocarbrants d origine végétale (éthanol, diméthyléther ). De noveax combstibles moins pollants (gaz natrel, GPL, GNV 7 ) sont également arrivés sr le marché por compléter le gazole et l essence. l Les motorisations d ftr La technologie actelle a déjà permis de voir émerger de novelles motorisations comme le moter électriqe. Le problème d atonomie de la voitre électriqe a été contorné par certains constrcters qi y ont associé n moter thermiqe. Ce moter hybride est moins gormand en essence et donc moins pollant. Une des voies les pls prometteses se site dans la technologie des piles à combstibles consommant de l hydrogène. Cette motorisation n émet qe de la vaper d ea avec totefois ne efficacité environnementale dépendante d mode de fabrication de l hydrogène. Emission en fonction de la vitesse de circlation por 1000 véhicles Por le parc de véhicles, la vitesse détermine les émissions pollantes 6 - Techniqe visant à éliminer o à stocker les oxydes d azote des pots d échappements en particlier dans les moters Diesel 7 - GPL : Gaz de Pétrole Liqéfié - GNV : Gaz Natrel Véhicle PLACE KLÉBER BD. CLEMENCEAU La dose de polltion sr les bolevards est pls importante qe sr les zones rbaines calmes Emissions par Consommation Dioxyde de Benzène Oxydes Particles personne en g carbone en g en mg d azote en mg (PM 10 )enmg Moto/Mobylette/Scooter Véhicle diesel Véhicle essence Véhicle GPL Bs Urbain (20 pers) , Les véhicles et 2 roes motorisés circlent avec n moter froid Le bs circle avec n moter chad avec 20 personnes Le trajet est de 5 km en ville Mode moins pollant ET vos Qe povez vos faire? Mode pls pollant Des gestes simples vos perm e t t ront d améliorer votre santé et de solager votre portefeille (la voitre est la 2 è m e s o rce de dépense des ménages). De pls, vos c o n t r i b e rez à la dimintion de l effet de serre et à l amélioration de la qalité de l air. Alternatives a déplacement atomobile Les petits trajets en voitre de moins de 5 km sont les pls pollants. Por ces déplacements, le vélo o la marche, modes de déplacement gratits, n engendrant acne émission pollante, sont globalement ne bonne soltion alliant la pratiqe d ne activité physiqe et l amélioration de la qalité de l air. Des réseax efficaces de bs et trams permettent des déplacements aisés dans les grandes agglomérations en adéqation avec l attente des sagers. Por de pls longs trajets, le train offre n bon compromis entre temps et argent tot en contribant à l amélioration de la qalité de l air. Si vraiment, l tilisation de la voitre vos est indispensable La consommation de carbrant agmente de 5% à 40% avec ne condite agressive par rapport à ne éco-condite consistant à éviter le sr-régime en passant rapidement les rapports de vitesse. C'est en ville qe la srconsommation est la pls marqée. Les voies rapides ne sont pas en reste pisqe passer de 130 à 110 km/h entraîne ne baisse de la consommation de pls de 20% et donc ne baisse des émissions pollantes. La climatisation contribe à doble titre à la dégradation de la qalité de l air par ne srconsommation (33% en ville et 18% sr atorote) et par des pertes en flide frigorigène, 1300 fois pls actif qe le CO 2 en terme d effet de serre : ovrir les fenêtres a démarrage, limiter l écart >P.7< de températre avec l extérier, l entretenir réglièrement sont des réflexes simples à adopter.

9 Qelles énergies tiliser? ] Le salt est dans l économie et la diversification éclairée L épisement progressif des énergies classiqes (pétrole, charbon, ) et la ltte contre le réchaffement climatiqe place l hmanité face à n doble défi : développer les énergies renovelables économes en gaz à effet de serre tot en porsivant la ltte contre la polltion de l air. Mais, l énergie propre existe-t-elle vraiment? En tot état de case, la polltion évitée et l énergie économisée sont celles qe l on ne prodit pas. Tor d horizon des sorces d énergies à l ane de la polltion atmosphériqe l Les énergies non renovelables Les prodits pétroliers, tilisés por pls de 90% par les transports des biens et des personnes, engagent ler responsabilité dans bon nombre de problématiqes de polltion de l air. Le benzène et les particles - à l échelle rbaine - ont n impact sr la santé, les NOx et les COV 8 - à l échelle régionale - sont des précrsers d ozone et le CO 2 - à l échelle mondiale - est le principal gaz à effet de serre. L tilisation d gaz natrel limite les émissions de composés dangerex por la santé et avec les technologies actelles permet n contrôle des émissions de précrsers d ozone (NOx et COV 8 ). Cependant, son tilisation ne règle pas les problèmes d effet de serre : CO 2,CH 4,N 2 O liés à sa combstion, CH 4 liés à sa distribtion contribent à 15 % environ d PRG global en Alsace en L incinération des déchets permet ne valorisation énergétiqe (thermiqe et électriqe) des déchets non triés. Les rejets atmosphériqes nécessitent des systèmes d épration et de récpération des pollants comme les dioxines et frannes (60 % des émissions en Alsace) o les métax lords dont les émissions représentent n risqe sanitaire à forte dose. Répartition de la consommation d ' é n e rgie en Alsace en 2001 L tilisation des CMS (charbon) ne semble pls d actalité en France. Mais por combien de temps? Avec la hasse des cors d pétrole et les besoins énergétiqes croissants, les CMS tendent à réapparaître dans le panel énergétiqe français. Rappelons qe dans les années 80-90, la désaffection d charbon en Alsace a contribé à la dimintion des rejets de SO 2. L énergie ncléaire représente 80 % de la prodction électriqe en France. Cette sorce d énergie a pe d inflence sr la qalité de l air a nivea local et sr le réchaffement climatiqe. La controverse vis-à-vis de cette énergie concerne pls le traitement des déchets et la sécrité des installations. Répartition des consommations énergétiqes par combstible en Alsace (Sorce : Inventaire ASPA, année Version 2003) >P.8< 8 - C O V : Composés Organiqes Volatils / 9 - GES : Gaz à Effet de Serre Le bois absorbe d CO 2 pendant sa croissance / HAP : Hydrocarbres Aromatiqes Polycycliqes Global

10 ] Alternatives et soltions techniqes La France face à ses engagements Le parallèle est fait entre politiqe énergétiqe et dimintion des émissions. A-delà d protocole de Kyoto, la France a pris des engagements forts de ltte contre le réchaffement climatiqe porsivant n objectif de division par 4 de ces émissions de G E S 8 d ici à La dimintion des consommations d énerg i e e n g e n d rera ne dimintion des rejets de tos les pollants : ce qi semble nécessaire à la ve de l ensemble des engagements pris par la France a travers des diff é rents protocoles intern a t i o- n a x 12 et directives ero p é e n n e s. Les immebles collectifs avec chaffe-ea solaire POUR EN SAVOIR PLUS : h t t p : / / w w w. c i t e p a. o r g / e m i s s i o n s / f r a n c e _ o b j e c t i f s / i n d e x. h t m 12 - NEC : National Emissions Celling, Programme CAFE (Clean Air For Erope) l Les énergies renovelables Le bois - énergie représente pls de 10% de la consommation de chaler en Alsace. Faiblement exploitée en France, cette énergie est ne alternative intéressante à l tilisation des combstibles fossiles 10 concernant les GES 9. Utilisé dans de mavaises conditions (bois hmide, éqipement vétste), le bois émet totefois davantage de Benzo-a-pyrène, HAP 11 cancérogène. En Alsace en 2001, la combstion d bois a émis 1,7 tonnes de Benzo-a-pyrène (97% des émissions totales). An nivea national, l h y d r a l i q e prodit 12% de l électricité, en Alsace, ne dizaine de centrales fonctionnent le long d Rhin prodisant l éqivalent de 60% de la consommation alsacienne. L éolien est ne énergie sans rejets dans l atmosphère, mais son potentiel reste limité à qelqes zones en Alsace. Le soleil permet de prodire de l électricité o de la chaler. Le photovoltaïqe (prodction d électricité par le soleil) reste limité à des applications rédites (borne d arrêt d rgence, parcmètres ) à qelqes exceptions près comme la centrale d Illkirch (complexe sportif de Lixenbhl) qi prodit kwh. Le solaire thermiqe se développe en Alsace et est tilisé por la prodction d ea chade. La géothermie de srface et de profonder permet d exploiter la chaler de la terre en l injectant dans les systèmes de chaffages (logement, piscines ). Dans certains cas, elle permettra de prodire de l électricité (Soltz-sos-Forêts). Cogénération Optimisation des rendements énerg é t i q e s La cogénération (prodction simltanée d ea chade et d électricité) se développe. Cette techniqe représente n moindre mal par rapport ax chadières traditionnelles pisq elle optimise le rendement énergétiqe de la combstion. Elle ne spprime pas por atant les problèmes de polltion atmosphériqe. ET vos Savez vos économiser l énergie? > Dans votre cisine Vos povez économiser 40% d énergie avec n réfrigérater de classe A par rapport à n classe C! Saviez-vos qe dans ne pièce de 23 C, votre réfrigérater c o n s o m m e 38% de pls qe si il était sité dans ne pièce à 18 C? Privilégiez les réfrigératers classiqes ; les réfrigératers de type américain consomment 3 fois pls d électricité. Pensez à entretenir votre congélater : 4 cm de givre doble sa consommation électriqe! Installer n système solaire combiné (ea chade + chaffage) assrera 20 à 60 % des besoins annels de votre maison (en fonction des régions). > Dans votre salle de bain Votre lave-linge consomme 3 fois moins pendant n cycle à 30 C qe pendant n cycle à cycle à 90 C! Utiliser les toches "Eco" de votre lave linge vos permettra d économiser 25 % de consommation d énergie. > Dans votre salon Eteignez votre télé : vos économiserez jsq à 70 % de d énergie. Saviez-vos q ne ampole "basse consommation" consomme 5 fois moins, et dre 8 fois pls longtemps, q ne ampole classiqe? Utilisez votre halogène avec modération : il consomme atant qe 22 ampoles classiqes rénies o qe 115 lampes basse consommations rénies! Climatisation : rédire la températre de 3 C par rapport à l extérier vos sffit à rafraîchir l intérier. > Dans votre maison Si vos diminez de 1 C la températre dans votre logement : c est 7% d économie d énergie! Entretenez réglièrement votre chadière, vos allongerez sa drée de vie de 2 à 3 fois, diminerez le nombre de pannes (jsq à 5 fois!) et économiserez de 8 à 12 % d économie annelle d énergie. Attention! Une toitre et des mrs mal isolés : c est jsq à 55% de perte d énergie. >P.9<

11 Mode de vie et exposition individelle ] Ne comptons pas selement sr les atres Nos en voilà tos bien convaincs : changer nos comportements pet rédire la polltion de l air a bénéfice de tos A point de passer à terme sos les normes de polltion. Mais voilà, nos ne sommes pas tos égax devant la polltion. Selon notre âge, notre état de santé, les particlarités de notre organisme, nos y sommes pls o moins sensibles. Par aillers, les expositions cmlées ne sont pas les mêmes selon nos modes de vie. Et nos savons ajord hi qe tote polltion, assi faible soit-elle, pet avoir à terme n e ffet sr la santé. Alors qe faire? Par nos comportements, nos povons limiter notre exposition individelle. Qelqes éclaircissements por miex compre n d re et qelqes conseils simples à sivre l Responsabilité collective et responsabilité individelle La manière d appréhender les risqes liés à la polltion de l air a changé et ce por plsiers raisons. D abord, chacn est pls o moins sensible à la polltion. Cela se comprend si l on pense ax jenes enfants, ax personnes âgées o ax insffisants respiratoires. Cependant, c est également vrai por les adltes bien portants qi, en fonction de ler constittion physiqe, sont pls o moins résistants. Ensite, selon son mode de vie, chacn traverse qotidiennement des ambiances et des espaces pls o moins pollés - domicile, trajets, lie de travail o de loisir - avec ne dose de pollants cmlée qotidienne très variable d n individ à l atre. Enfin, les "épidémiologistes" ont démontré q il n y avait pas de seil en-dessos dqel tot le monde serait protégé. Reste donc à la société de définir qel risqe résidel est jgé collectivement acceptable, risqe a-delà dqel, les atorités concernées ont obligation de mettre en œvre des mesres pbliqes visant à limiter la polltion. Cependant, en marge de cette responsabilité collective, d n Etat garant d respect de normes, s ovre assi le vaste champ d ne responsabilité individelle, invitant chacn à diminer, par sa vigilance et sa propre action, son exposition individelle à la polltion de l air. Encore fat-il prendre conscience des sitations et d nivea de notre exposition individelle l Exposition individelle : Q e n t e n d o n s-nos exactement par "exposition individelle"? Selon l O M S 1 3, l exposition est définie comme le contact entre n individ et n pollant (physiqe, chimiqe, biologiqe) à n nivea donné pendant ne période donnée. Estimer son exposition personnelle jornalière revient à faire la somme, por les différents environnements fréqentés a cors de la jornée, d prodit "concentrations en pollants" par le "temps passé". A l extérier - notamment en milie rbain - les sorces contaminantes sont mltiples (trafic, indstries). Les doses de polltion axqelles nos sommes exposées sont variables et inégales : elles dépendent de nos parcors qotidiens et de nos modes de transport. En effet, sr le même trajet, n atomobiliste sera pls exposé q n cycliste, li-même pls exposé q n piéton. Cependant, il ne fat pas oblier qe nos passons la majorité de notre temps - et c est encore pls vrai por les jenes enfants et les personnes âgées! - à l intérier des locax, qe ce soit dans notre logement, sr le lie de travail, dans les écoles, les transports, les espaces de loisirs Or, le risqe y est parfois pls élevé q à l'extérier! A l'intérier, les sorces contaminantes - qand elles ne viennent pas d milie extérier - sont liées à l activité, voire a comportement des occpants, mais assi ax bâtiments ex-mêmes, ax éqipements et ax mobiliers qi le composent. Devant la mltiplicité des sitations, l évalation fine de l exposition individelle n est pas aisée. Totefois si nos volons agir sr notre propre risqe individel, il est important de cerner en fonction de notre mode de vie qels sont les pollants rencontrés et comment il nos serait possible de limiter notre exposition. > P. 10 < Qe dit le ministère de l écologie? En cas d n dépassement o risqe de dépassement d seil de recommandation, il est préconisé por les sjets sensibles (enfants, adolescents et personnes âgées) d éviter les pro m e n a d e s et les activités à l extérier ; por les adltes, il n est pas nécessaire de modifier les déplacements habitels ni les activités sportives. En cas de dépassement d seil d alerte ces re c o m- mandations sont généralisées à l ensemble de la poplation OMS : Organisation Mondiale de la Santé

12 ] Alternatives et soltions techniqes Mesres de la polltion intériere Echantillonners à diffsion passive Analyser monoxyde de carbone A l'intérier, comme à l'extérier, qels pollants nos entorent? Monoxyde et dioxyde de carbone, dioxyde de sofre, ozone, pesticides et composés o rganiqes volatils - dont benzène et tolène - sont les pollants chimiqes les pls fréqents à l extérier. Plomb et certains composés org a- niqes - formaldéhyde et éther de glycol - sont davantage observés en milie intérier. Lers sorces spécifiqes principales sont les p rodits de traitement des bois, les pro d i t s d e n t retien ménager, la fmée de tabac. Parm i les pollants physiqes, on re t rove l hmidité, le radon, les fibres - notamment l amiante -, les p a rticles, sans oblier les bio-contaminants isss des animax domestiqes, des végétax et des moisissre s. Le saviez-vos? - L intoxication a monoxyde de carbone reste la 1 ère case de mortalité accidentelle domestiqe en France. - M a rcher le long d n axe de circ l a t i o n i m p o rtant (comme l avene des Vosges à Strasborg) vos expose en moyenne de 15% à 25% de dioxyde d azote en pls qe sr des axes adjacents pls calmes et éloignés de qelqes dizaine de mètres selement. - Un parking sos-terrain (milie confiné) pet présenter des teners en particles jsq à 8 fois spérieres qe dans n sqare à 4000 sbstances chimiqes diff é re n t e s sont contenes dans la fmée de cigare t t e s. - Il existe des mebles garantis sans émission de f o rm a l d é h y d e. Contribtion des différents miliex à l exposition d n individ ax pollants. EN PRATIQUE... Comment se protéger? Nos avons tos la possibilité, dans notre vie de tos les jors, de rédire notre exposition ax pollants, intériers comme extériers. L effet cmlé d ne mltitde de choix et de petits gestes qotidiens pet permettre de rédire de manière significative les doses d exposition. Certains de ces comportements ont également n impact collectif positif et contribent a développement drable. Qelles sont ces actions saltaires? Les premiers pas commencent à la maison : il est nécessaire de s assrer d bon fonctionnement des appareils à combstion et de garantir ne aération sffisante, en agissant par ventilation natrelle, voire mécaniqe. Il est également possible de limiter les sorces pollantes en exclant le tabagisme de l habitat, en faisant le choix de matériax de constrction pls "écologiqes", en étant vigilant sr la composition des prodits ménagers et phytosanitaires tilisés, et sr les doses associées Dans les espaces intériers, certaines plantes contriberaient à la dépolltion de certaines sbstances chimiqes. A l extérier, on veillera à ne pas s exposer intilement, en étant attentif à l itinéraire choisi lorsq on se déplace : éviter les grands axes de circlation. En période de pic de polltion, il convient également de respecter rigoresement les recommandations sanitaires et les commniqés d alerte. >P.11<

13 NEUDORF ] PORTRAIT D UN ECO-CITOYEN Des intentions à l'action Des intentions à l action, certains ont déjà franchi le pas. De l Homo Sapiens vers "l Homo Eco Sapiens", portrait d n éco-citoyen : Meriem Lelong, 30 ans, habitante de Nedorf à Strasborg figre parmi les 40 volontaires qi mesrent lers émissions por les rédire. REPORT AIR : Qe faites vos concrètement por rédire vos émissions de gaz à effet de serre? Me r i e m L E LONG : D abord, j ai réfléchi à mon mode de vie. Je privilégie maintenant le vélo à la voitre por les petits trajets (moins de 5 km) et le train por les grands. Dans les pièces de vie, j ai installé des ampoles "basse consommation" ; la températre de mon appartement est à 18 C : le pll remplace le thermostat. Zone Test por le climat Le changement climatiqe lié ax gaz à e ffet de serre est ajord hi sff i s a m m e n t démontré et préoccpant por opérer le pls rapidement possible n changement de nos comportements. C est sr ce constat qe l Association des Résidents et Amis de N e d o rf (ARAN) met ajord hi en œvre ne opération pilote appelée "Nedorf Zone C l i m a t e s t 14 ". Cette initiative vise à encorager les habitants d Nedorf (qartier de Strasborg) à dépasser les intentions et à agir concrètement por rédire lers émissions dans qatre domaines : l énergie (l habitat), les transports, l alimentation et les déchets. L'ARAN mène por cela des actions de sensibilisation (jornal, conférences-débats, exposition, animations ) permettant de réfléchir à nos comportements et proposant des soltions por rédire nos émissions. Parallèlement, l'aran anime n grope pilote de 40 volontaires. Chacn d ex mesre trimestriellement ses émissions. La Terre ne povant absorber pls de kg éq. CO 2 par an et par personne, chacn pet estimer les efforts à réaliser por ne pas dépasser cette limite "N e d o rf Zone Climatest" est notamment sotene par l'ademe et le Conseil Général d Bas-Rhin La mesre des différents gaz à effet de serre émis par nos activités est r a p p o rtée en "kilogrammes éqivalents CO 2 " - Sorce : «L avenir climatiqe, qel temps ferons nos?» Seil REPORT AIR : N est ce pas trop contraignant? Me r i e m L E LONG : Non, j agis sr mes émissions de gaz à effet de serre dans l habitat, les transports, l alimentation et les déchets. Totes ces actions sont devenes atomatiqes et font partie à présent de mon style de vie. Je n y pense pls. Et à la fin de chaqe trimestre, je fais mon bilan personnalisé d émissions de gaz à effet de s e r r e. REPORT AIR : Avec qels résltats? Me r i e m L E LONG : J ai réssi à diviser par dex mes émissions de GES liées ax transports économisant 650 kg de CO 2 sr l année. REPORT AIR : Q est ce qe ça a changé por vos a qotidien? Me r i e m L E LONG : Un résltat inattend est le plaisir lié à l tilisation d vélo. il fat dire qe Strasborg fait la part belle a vélo! Sans compter la dimintion d stress de la condite en ville. REPORT AIR : Por vos, c est qoi n éco-citoyen? Me r i e m L E LONG : Un éco-citoyen est ne personne qi réfléchit à l environnement a qotidien et adopte, en s informant, ne attitde le respectant. Ce n est pas revenir a mode de vie de nos grands parents, c est a contraire ne démarche de progrès! DIRECTEUR DE LA PUBLICATION : Alain Target RÉDACTEUR EN CHEF : Cyril Pallarès MEMBRES DU COMITÉ DE RÉDACTION : Lare Werlé, Joseph Kleinpeter, Gy Class, Gilbert Fiegel, Christine Haberer, Eric Herber, Christel Kohler, Sébastien Cibick, Agnès Bertrand, Yannick Sander, Charles Schillinger, Philippe Levy. MAQUETTE ET FABRICATION : Bernadette Bayle Commnication IMPRIMEUR : Gyss Imprimer Obernai CRÉDIT PHOTOS ET ILLUSTRATIONS : ASPA - Région Alsace - Conseil Général d Bas-Rhin - Bayle Commnication - ALME Mlhose - Sivom Région Mlhosienne - ARAN. N ISSN X ASPA Strasborg - Espace Eropéen de l Entreprise 5 re de Madrid Schiltigheim Tel : / Fax ASPA Mlhose - Antenne techniqe Maison d Technopôle 40, re Marc Segin BP Mlhose cedex Internet : aspa@atmo-alsace.net [Docment imprimé sr papier recyclé

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