Infection par les virus non-b / non-m validité des tests de tropisme et données de la région
|
|
- Josselin Lépine
- il y a 5 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Pôle de Biologie Laboratoire de Virologie Hôpital C. Nicolle CHU Rouen Groupe de Recherche Antimicrobiens et Microorganismes (GRAM) / EA2656 Faculté de Médecine-Pharmacie Université de Rouen Infection par les virus non-b / non-m validité des tests de tropisme et données de la région JC Plantier Laboratoire associé au Centre National de Référence du VIH
2 Préambule pas de conflit d intérêt
3 Je n aborde pas : la comparaison ADN / ARN l efficacité du Maraviroc la résistance au Maraviroc les populations minoritaires les compartiments la prévalence R5/X4 en fonction des sous-types
4 Mécanisme d entrée
5 Mécanisme d entrée
6 Mécanisme d entrée
7 Mécanisme d entrée Boucle V3
8 Tropisme et co-récepteurs Coreceptor Usage of HIV-1 Variants X4 X4/R5 Dual R5 CD4 CXCR4 CCR5 T-cell lines Primary lymphocytes Monocyte/macrophages
9 Intérêt du tropisme histoire naturelle (progression de la maladie) - prédominance de R5 en phase initiale -émergence de virus X4 en phase tardive thérapeutique : inhibiteur d entrée anti-ccr5 = Maraviroc
10 Comment déterminer le tropisme? Phénotypique = phénotropisme -sur cellules : CD4 + CCR5 + et CD4 + CXCR4 + techniquement lourd, reproductibilité difficile, sensibilité limitée,. -technique «virus recombinant»: -amplification par PCR de région de env(boucle V3) -insertion dans un vecteur d expression de l enveloppe : production de pseudotypes -infection de cellules indicatrices : CD4 + CCR5 + et CD4 + CXCR4 + techniques commerciale (Trofile Esta), recherche (TTT) assez lourde, coûteuse
11 Recombinant Phenotypic Assay: Defining X4 Virus HIV Genomic Luciferase Vector (patient sample) + HIV Envelope Expression Vector (wild type) CD4 CXCR4 X4 Virus Luciferase Read Out Present in the CXCR4-Cell Line Infection Tropism Confirmation: CXCR4 Antagonist Reduces Signal Pseudovirus No Read Out in the CCR5-Cell Line Transfection CD4 CCR5 Petropoulos CJ, et al. Antimicrob Agents Chemother. 2000;44: Coakley E, et al. Curr Opin Infect Dis. 2005;18:9-15.
12 Recombinant Phenotypic Assay: Defining R5 Virus HIV Genomic Luciferase Vector (patient sample) + HIV Envelope Expression Vector (wild type) CD4 CXCR4 No Read Out in the CXCR4-Cell Line Pseudovirus Infection R5 Virus Luciferase Read Out Present in the CCR5-Cell Line Transfection CD4 CCR5 Tropism Confirmation: CCR5 Antagonist Reduces Signal Petropoulos CJ, et al. Antimicrob Agents Chemother. 2000;44: Coakley E, et al. Curr Opin Infect Dis. 2005;18:9-15.
13 Comment déterminer le tropisme? génotypique = génotropisme prédiction à partir de la séquence de la boucle V3 gp 120 C1 V1 V C2 V3 V4 V5 gp 41
14 Comment déterminer le tropisme? génotypique = génotropisme Interprétation par régles : Etude GenoTropism ANRS -algorithmes de prédiction basés sur corrélations génotype-phénotype (geno2pheno, PSSM ) -règle 11/25 -charge globale nette = charges positives (R/K) charges négatives (E/D) sensibilité : X4 correctement prédit spécificité : R5 correctement prédit
15 Diversité VIH génétique actuelle VIH-1 groupe M (major) 35 M PVVIH 2 types Groupe P 2 cas sous-types CRFs (formes recombinantes circulantes) M VIH-1 groupe O (outlier) 1% PVVIH groupe N (non-m/non-o) 15 cas +1 PI en France - VIH-2: 8 groupes A-H à 1 M
16 Diversité VIH génétique actuelle
17 Épidémiologie moléculaire Monde Taylor et al., NEJM, 2008
18 proportion de non-b 30% 25% 20% 15% 10% 5% 0% période Evolution de la proportion de virus non-b parmi les primo-infections en France Épidémiologie moléculaire population générale France CRF13CRF18 CRF27 CRF09 URFs CRF11 A D CRF05 J U CRF06 CRF01 G F C CRF02 62,3% Distribution des différentes formes non-b sur la période [ ] Données ANRS FHDH (French Hospital Databaseon HIV) et ANRS PRIMO publiées par ML Chaix et al., AIDS 2009 Sous-type B majoritaire mais augmentation des non-b (~ 45% des DO) CRF02 = forme non-b la plus prévalente
19 Conséquences de la diversité non-b sur la prédiction du tropisme - outils bioinformatiques construits à partir de données de corrélation génotypique-phénotypique d échantillons de sous-type B -validité pour les autres non-b en question (Garrido et coll., J Clin Microbiol, 2008), mais non-b«poolés» - peu d études de comparaison génotropisme-phénotropisme sous-type CRF02_AG sous-type C sous-type D
20 VIH-1 non-b sous-type CRF02_AG N = 52 Comparaison phénotypique (recombinant TTT) versus génotypique : -11 / 25 + charge nette X4 si11r/ket/ou25k ou si25r+chargenette +5 ou sichargenette +6 - geno2pheno -PSSM sensibilité : X4 correctement prédit spécificité : R5 correctement prédit Raymond et coll., J Clin Microbiol, /25 + charge nette = meilleure spécificité et bonne sensibilité, trèsbonneppvetnpv
21 VIH-1 non-b sous-type C N = 52 Comparaison phénotypique (recombinant TTT) versusgénotypique : 11 / 25 + charge nette geno2pheno PSSM + Raymondetcoll,JAIDS,2010
22 VIH-1 non-b sous-type D N=32 Comparaison phénotypique(ttt) versus génotropisme(geno2pheno) Nouvellerègle:X4si11R/Kou25Retchargenette +5ouchargenette +6
23 VIH-1 non-b sous-type D Nouvelle règle validation sur genbank N = 67 Résultats très différents!!!
24 Diversité non-m VIH-2: - résistance naturelle à INNTI, enfuvirtide - sensibiblité réduite à amprenavir atazanavir tipranavir VIH-O: - résistance naturelle à INNTI - discordance géno-phéno à enfuvirtide - impact polymorphisme +++ IP =? VIH-P: - résistance naturelle génotypique à enfuvirtide - polymorphisme RT et protéase ++, proche du VIH-O VIH-N: -peudedonnées,pasderésistancenaturelle génotypique anti-ccr5 : classe supplémentaire indispensable
25 VIH-O - phénotropisme: peu de données in vitro, peu d échantillons (en cours) -génotropisme: -1 étude (Rupp, J AIDS, 2010) sur 7 souches, 4 algorithmes spécificité X4 = 0% à 28% -mise au point en cours à Rouen amplification possible région C2 V3 séquençage difficile (nombreuses populations mixtes, analyse «clonale» par SGA/SGS) validation géno-phéno nécessaire
26 VIH-N et VIH-P VIH-P : - phénotropisme: test recombinant (Tours) = tropisme R5 - génotropisme : geno2pheno/pssm = tropisme X4 discordance géno-phénotypique VIH-N : - pas de données phénotypiques -analyse génotypique des séquences de la Genbank et du virus de primo-infection (Delaugerre et coll., Lancet 2011) : PSSM = X4 geno2pheno = R5/X4 validité? comparaison à phénotropisme indispensable
27 VIH-2 - mécanisme entrée identique à VIH-1 : gp 105/CD4 - V3/CCR5/CXCR4 - efficacité maraviroc comparable à VIH-1 (Visseaux, AAC, 2012) - comparaison phénotropisme/génotropisme (Visseaux, JID, 2012) N = 53 isolats N = 37 (70%) groupe A N = 15 (28%) groupe B N = 1 (2%) groupe H + HIV-2 ROD prototype groupe A = dual -phénotropisme: cellule GHOST (3) = CD4 + / -CCR5 ou CXCR4 -génotropisme : -gp105 (1000 pb), 1 ml ARN d isolats - déterminants génotypiques par comparaison séq./phéno
28 VIH-2 - phénotropisme: R5 : N = 34 (64%) X 4 : N = 7 (13%) dual/m :N = 12 (23%) -génotropisme: 4 déterminants génotypiques X4(groupe indépendant) : 100 % spécificité -70 % sensibilité -L18 (quelle que soit la mutation) -V19 K/R -V3 nette charge > +6 - insertion 24 association de 2 déterminants = VPP = 100 % -validation par données littérature et banque LANL : 65 % sensibilité 100 % spécificité
29 Données régionales (Rouen) geno2pheno + PSSM concordant = R5 ou X4 discordant = indéterminé = X4 100% 80% 60% 40% Non-B B Tropisme B/non-B Rouen 0% 14; 10% 0% R5 X4 Indéterminé 20% 22; 16% 100; 74% R5 X4 Indéterminé Indéterminé X4 R5 «nombreux indéterminés»
30 Données régionales Non-B / Lille ; 11% ; 15% 34; 74% R5 X4 R5/X R5/X4 X4 R5 0 10; 17% Non-B / Rouen 9; 15% 40; 68% R5 X4 Indéterminé Indéterminé X4 R5
31 Données régionales Non-B / Lille N=46 5; 11% 7; 15% 34; 74% R5 X4 R5/X4 Non-B / Rouen N=59 Non-B / Amiens N=31 1; 3% 10; 17% 9; 15% 40; 68% R5 5; 16% X4 Indéterminé 25; 81% R5 X4 Discordant
32 Conclusion génotropisme impacté par diversité génétique - résultats différents en fonction des algorithmes pour soustype D et CRF02_AG (surestimation ou sousestimation X4) - résultats indéterminés pour d autres sous-types (à explorer) - génotropisme impacté par diversité génétique - pas d analyse de réponse moins sensible que phénotropisme pour les populations minoritaires réalisable pour VIH-2 et efficacité du maraviroc en cours pour les VIH-O, à faire pour VIH-N et VIH-P en cas de non-réponse avec un sous-type non-b, revoir interprétation du tropisme avec règles alternatives
33 merci de votre attention
Détection et prise en charge de la résistance aux antirétroviraux
Détection et prise en charge de la résistance aux antirétroviraux Jean Ruelle, PhD AIDS Reference Laboratory, UCLouvain, Bruxelles Corata 2011, Namur, 10 juin 2011 Laboratoires de référence SIDA (Belgique)
Plus en détailRésistance du VIH-1 aux antirétroviraux dans les compartiments anatomiques et cellulaires
Résistance du VIH-1 aux antirétroviraux dans les compartiments anatomiques et cellulaires Jade GHOSN Laboratoire de Virologie CHU Necker-Enfants Malades EA MRT 3620 Paris 5 Réservoirs anatomiques du VIH:
Plus en détailLettre à l éditeur. Résistance du VIH aux Antirétroviraux : Quoi de neuf au Mali? Quelles. perspectives?
Lettre à l éditeur Résistance du VIH aux Antirétroviraux : Quoi de neuf au Mali? Quelles perspectives? HIV Antiretroviral Drug Resistance: What s new in Mali? What is the future? Maiga AI 1,2, Sangare
Plus en détailCharges virales basses sous traitement: définition impact virologique. Laurence Bocket Virologie CHRU de Lille
XVIIe Journée Régionale de Pathologie Infectieuse 12 octobre 2010 Charges virales basses sous traitement: définition impact virologique Laurence Bocket Virologie CHRU de Lille conflits d intérêts subventions,
Plus en détail13 Résistance du VIH-1 aux antirétroviraux
13 Résistance du VIH-1 aux antirétroviraux La résistance aux antirétroviraux est liée à la sélection de quasi-espèces virales comportant des mutations dans les gènes de la transcriptase inverse, de la
Plus en détailLecture historique et prospective du rôle de la barrière génétique
Lecture historique et prospective du rôle de la barrière génétique Clotilde Allavena NANTES Symposium JANSSEN JNI 2011, Toulouse Jusqu en 1996, la montée en puissance Bithérapie 2 NUCs Trithérapie 2 NUCs
Plus en détailComment mesurer la résistance aux antiviraux???
Comment mesurer la résistance aux antiviraux??? Dr Marie-Laure Chaix Laboratoire de Virologie Hôpital Necker DIU de physiopathologie et thérapeutique des maladies infectieuses et tropicales (Module 1)
Plus en détailSeuils d'indétectabilité chez les patients traités par ARV le point du vue du clinicien
14 15 octobre 2010 Seuils d'indétectabilité chez les patients traités par ARV le point du vue du clinicien Bruno Hoen 1 Plan de la discussion Quelle(s) définition(s)? Quelle réalité épidémiologique? Quelle
Plus en détailAnnales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale
Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale ARN du virus de l hépatite C : ARN-VHC ARN-VHC 03VHC1 Novembre 2003 Edité : mars 2006 Annales ARN-VHC 03VHC1 1 / 8 ARN-VHC 03VHC1
Plus en détailLes charges virales basses: constat et gestion
Les charges virales basses: constat et gestion Symposium inter-régional viro-clinique Hardelot 25-26 Mai 2011 Laurence Bocket --- Laboratoire de Virologie --- CHRU Lille conflits d intérêts subventions,
Plus en détailes tests de détermination du tropisme viral du VIH-1
Avril 2012 es tests de détermination du tropisme viral du VIH-1 Guide pour les professionnels de la santé du Québec Édition : La Direction des communications du ministère de la Santé et des Services sociaux
Plus en détailApport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses
Apport de la biologie moléculaire au diagnostic des parasitoses M-H H BESSIERES,, S. CASSAING, A. BERRY, R. FABRE, J-F.. MAGNAVAL Service de Parasitologie-Mycologie Diagnostic biologique d une d parasitose
Plus en détail9 Résistance du VIH-1 aux antirétroviraux
9 Résistance du VIH-1 aux antirétroviraux La résistance aux antirétroviraux est liée à la sélection de quasi-espèces virales comportant des mutations dans les gènes de la transcriptase inverse, de la protéase,
Plus en détailLaurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE
Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Service Régional Universitaires des Maladies Infectieuses et du Voyageur, Hôpital Gustave Dron 59208 TOURCOING
Plus en détailLES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES. Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris
LES CO-INFECTIONS VIH-VHC. EPIDEMIOLOGIE, INTERFERENCES Patrice CACOUB La Pitié Salpêtrière, Paris 8 Avant l introduction des traitements antirétroviraux hautement actifs (HAART), la majorité des patients
Plus en détailNotes sur les technologies de la santé
Notes sur les technologies de la santé numéro 110 décembre 2007 Sommaire Le maraviroc (Celsentri ) contre le virus de l immunodéficience humaine (VIH)-1 multirésistant Contexte Le maraviroc appartient
Plus en détailRésistance du virus de l hépatite C aux nouveaux traitements anti-viraux
14 ème forum SOS Hépatites, Lyon Résistance du virus de l hépatite C aux nouveaux traitements anti-viraux Dr. Sylvie LARRAT Laboratoire de Virologie CHU Grenoble Hépatite C chronique 180 millions de porteurs
Plus en détailde résistances aux antirétroviraux
Résistance aux nouveaux antirétroviraux HIV-1 resistance to new antiretroviral drugs Constance Delaugerre* de résistances aux antirétroviraux les plus anciens a stimulé la recherche L apparition de nouvelles
Plus en détailLES SOUCHES VIH-1 ET LA TRANSMISSION DE LA PHARMACORÉSISTANCE AU CANADA RAPPORT DE SURVEILLANCE EN DATE DU 31 DÉCEMBRE 2008
LES SOUCHES VIH-1 ET LA TRANSMISSION DE LA PHARMACORÉSISTANCE AU CANADA Promouvoir et protéger la santé des Canadiens grâce au leadership, aux partenariats, à l innovation et aux interventions en matière
Plus en détailMABioVis. Bio-informatique et la
MABioVis Modèles et Algorithmes pour la Bio-informatique et la Visualisation Visite ENS Cachan 5 janvier 2011 MABioVis G GUY MELANÇON (PR UFR Maths Info / EPI GRAVITE) (là, maintenant) - MABioVis DAVID
Plus en détailLes souches VIH-1 et la pharmacorésistance primaire au Canada
Agence de santé publique du Canada Public Health Agency of Canada Les souches VIH-1 et la pharmacorésistance primaire au Canada Rapport de surveillance en date du 31 mars 2004 mai 2005 Les souches VIH-1
Plus en détailLecture critique d article ou comment briller en société sans en avoir trop l air
Lecture critique d article ou comment briller en société sans en avoir trop l air Réunion Inter-Corevih Basse Normandie - Bretagne Mont Saint-Michel Février 2014 Jean-Marc Chapplain Plan Actualité Dissection
Plus en détailTRAITEMENT DE L HÉPATITE B
TRAITEMENT DE L HÉPATITE B P Mathurin Service d Hépatogastroentérologie Pr Paris Hôpital Claude Hurriez CHRU Lille CRITERES VIROLOGIQUES ET HISTOIRE NATURELLE 1 OBJECTIF THERAPEUTIQUE: Séroconversion HBe
Plus en détailPlace de l interféron dans le traitement de l hépatite B chez le patient co-infecté VIH
Place de l interféron dans le traitement de l hépatite B chez le patient co-infecté VIH Lionel PIROTH CHU Dijon, Université de Bourgogne Tours juin 2012 Un problème? VIH-VHB Piroth L et al, J Hepatol,
Plus en détailL investigation chez la personne infectée par le VIH
P O U R Q U O I P A R L E R D U V I H E N 2 0 0 4? 2 L investigation chez la personne infectée par le VIH quand et comment utiliser les différents tests de laboratoire? par Harold Dion Paul, un homme de
Plus en détailTraitement de l hépatite C: données récentes
Traitement de l hépatite C: données récentes J.-P. BRONOWICKI (Vandœuvre-lès-Nancy) Tirés à part : Jean-Pierre Bronowicki Service d Hépatogastroentérologie, CHU de Nancy, 54500 Vandœuvre-lès-Nancy. Le
Plus en détailBig data et sciences du Vivant L'exemple du séquençage haut débit
Big data et sciences du Vivant L'exemple du séquençage haut débit C. Gaspin, C. Hoede, C. Klopp, D. Laborie, J. Mariette, C. Noirot, MS. Trotard bioinfo@genopole.toulouse.inra.fr INRA - MIAT - Plate-forme
Plus en détailRésistance aux antirétroviraux chez les enfants et adolescents infectés par le VIH, suivis au service de pédiatrie du CHU GABRIEL TOURE.
Ministère de l Enseignement Supérieur, Et de la Recherche Scientifique République du Mali Un Peuple Un But Une Foi ***************** ***************** Année Universitaire 2013 2014 ****************** Thèse
Plus en détailTEST GENOTYPIQUE DE RESISTANCE AUX INHIBITEURS DE L INTEGRASE
TEST GENOTYPIQUE DE RESISTANCE AUX INHIBITEURS DE L INTEGRASE RAPPORT D EVALUATION Avril 2010 Service évaluation des actes professionnels 2 avenue du Stade de France 93218 Saint-Denis La Plaine CEDEX Tél.
Plus en détailAvis 6 novembre 2013
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 6 novembre 2013 ISENTRESS, comprimé à croquer 25 mg Flacon de 60 comprimés (CIP : 3400926992408) ISENTRESS, comprimé à croquer sécable 100 mg Flacon de 60 comprimés (CIP
Plus en détailContribution des protéines régulatrices Vif et Vpr du VIH-1 dans la résistance aux antirétroviraux chez des patients en échec virologique
Contribution des protéines régulatrices Vif et Vpr du VIH-1 dans la résistance aux antirétroviraux chez des patients en échec virologique Slim Fourati To cite this version: Slim Fourati. Contribution des
Plus en détailHépatite chronique B Moyens thérapeutiques
Hépatite chronique B Moyens thérapeutiques Dr Olfa BAHRI Laboratoire de Virologie Clinique Institut Pasteur de Tunis INTRODUCTION Plus de 300. 10 6 porteurs chroniques de VHB dans le monde Hépatite chronique
Plus en détailAoût 2010. a thérapie. antirétrovirale. pour les adultes infectés par le VIH. Guide pour les professionnels de la santé du Québec
Août 2010 a thérapie antirétrovirale pour les adultes infectés par le VIH Guide pour les professionnels de la santé du Québec Août 2010 a thérapie antirétrovirale pour les adultes infectés par le VIH
Plus en détailPathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013
Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode
Plus en détailACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL. Dr David Bruley Service de Maladies Infectieuses CHU Grenoble
ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Dr David Bruley Service de Maladies Infectieuses CHU Grenoble Définition d un AES Sang ou liquide biologique potentiellement contaminant Sécrétions vaginales / sperme
Plus en détailLE MALI L HÔPITAL GABRIEL TOURE L HÔPITAL DU POINT G INTRODUCTION 2 INTRODUCTION 1 DISPENSATION DES ARV DANS LES HÔPITAUX DU POINT G ET GABRIEL TOURE
DISPENSATION DES ARV DANS LES HÔPITAUX DU POINT G ET GABRIEL TOURE KALLE A.D A (1), BENGALY L (2)., KONE D ( 1), COULIBALY S.M (2). DIAKITE A.S. (2) DIAMOUTENE A (2) (1) Service de Pharmacie Hôpital Gabriel
Plus en détailMise en place d une plateforme de gestion de matériels biologiques : quels avantages pour les chercheurs?
Mise en place d une plateforme de gestion de matériels biologiques : quels avantages pour les chercheurs? Dr Xavier Manival, Laboratoire IMoPA, CR, CNRS Françoise Tisserand-Bedri, Documentaliste, Inist-CNRS
Plus en détailDiagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux
Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055
Plus en détailY a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin
Y a-t-il une place pour un vaccin thérapeutique contre l hépatite B? H. Fontaine, Unité d Hépatologie Médicale, Hôpital Cochin Objectifs thérapeutiques Inhibition de la réplication virale Négativation
Plus en détailL axe 5 du Cancéropole Nord Ouest
L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société
Plus en détailBIG DATA une évolution, une révolution, une promesse pour le diagnostic
Journées One Health d Ile-de-France BIG DATA une évolution, une révolution, une promesse pour le diagnostic 27 novembre 2014 de 13h30 à 17h30 Amphithéâtre 3 du Campus Centre UPEC Le séminaire sera suivi
Plus en détailHépatite C une maladie silencieuse..
Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle
Plus en détailVIRUS DE L'IMMUNODEFICIENCE HUMAINE (HIV)
VIRUS DE L'IMMUNODEFICIENCE HUMAINE (HIV) En 1999, dans le monde, plus de 33 millions de sujets dont 43% de femmes étaient infectés par le virus de l'immunodéficience humaine ou HIV. L'épidémie progresse
Plus en détailCo-infection HVB HVC CO-infection VIH HVB et HVC
Co-infection HVB HVC CO-infection VIH HVB et HVC Abdelfattah CHAKIB Faculté de médecine et de pharmacie de Casablanca Service des maladies infectieuses, CHU Ibn Rochd 06 61 42 91 64 afchakib@gmail.com
Plus en détailTRAITEMENTS ANTI-VIRAUX
UE de l Agent Infectieux à l Hôte Mars 2012 TRAITEMENTS ANTI-VIRAUX Dr Isabelle GARRIGUE UMR CNRS MFP Microbiologie Fondamentale et Pathogénicité isabelle.garrigue@chu-bordeaux.fr La lutte antivirale Mesures
Plus en détailLES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention
LES ACCIDENTS D EXPOSITION AU RISQUE VIRAL Prise en charge & Prévention Evaluation du risque après AEV Selon le type d'accident Virus Percutanée Cutanéomuqueux Morsure VHB 2 à 40% >HCV>VIH Documentée VHC
Plus en détailCONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD?
CONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD? Hélène MANGEARD François MALADRY Tuberculose : infection mycobactérienne Infection mycobactérienne chronique (M. Tuberculosis ++ ou bacille
Plus en détailAnalyse de la dynamique de l infection VIH Sensibilité aux traitements
71 Prépublication n 16 Fascicule n 2 Analyse de la dynamique de l infection VIH Sensibilité aux traitements Marie-José Mhawej IRCCyN Institut de recherche en communication et cybernétique de Nantes, UMR-CNRS
Plus en détailHépatite B. Le virus Structure et caractéristiques 07/02/2013
Hépatite B Le virus Structure et caractéristiques o o o Famille des Hepadnaviridae Genre orthohepadnavirus Enveloppé, capside icosaédrique, 42 nm 1 Le virus Structure et caractéristiques En microscopie
Plus en détailPrésentation des intervenants et modérateurs
«NOSOPICARD 2015», 20 ème Rencontre d Hygiène Hospitalière, de Prévention et de Lutte contre les Infections Associées aux Soins Présentation des intervenants et modérateurs Roland GORI est : Professeur
Plus en détailLa biologie médicale en France : présent et avenir. Académie Nationale de Pharmacie Mercredi 4 Février 2015
La biologie médicale en France : présent et avenir Académie Nationale de Pharmacie Mercredi 4 Février 2015 Les fondamentaux de la biologie médicale en France Une discipline jeune, apparue dans les années
Plus en détailSIDA, limites et perspectives de la trithérapie.
PSIR SEPA (2014) Projet Scientifique d Initiation à la Recherche (PSIR) SIDA, limites et perspectives de la trithérapie. E. Bouissière, A. Lesebos, A. Rouillé, M. Sanson, M. Collette* Groupe esaip 18 rue
Plus en détailActualités sur le Virus de l'hépatite C
CBP CHRU Lille Actualités sur le Virus de l'hépatite C 2.0 ANNE GOFFARD UNIVERSITÉ LILLE 2 DROIT ET SANTÉ FACULTÉ DES SCIENCES PHARMACEUTIQUES ET BIOLOGIQUES DE LILLE 2012 Table des matières I - Épidémiologie
Plus en détailMALI MEDICAL. Echec virologique aux antirétroviraux
ETUDE DE DEUX CAS D ECHEC VIROLOGIQUE AUX ANTIRETROVIRAUX A L INSTITUT D HYGIENE SOCIALE (IHS) DE DAKAR Study of two cases of virological failure of the antiretroviral in the Institute of Social Hygiene(ISH)
Plus en détailIMMUNOLOGIE. La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T. Informations scientifiques
IMMUNOLOGIE La spécificité des immunoglobulines et des récepteurs T Informations scientifiques L infection par le VIH entraîne des réactions immunitaires de l organisme qui se traduisent par la production
Plus en détailTUBERCULOSE Nouveautés 2009
TUBERCULOSE Nouveautés 2009 Dr Grégoire Gex Rencontres Genevoises de Pneumologie Avril 2010 Introduction 6044 articles dans PubMed avec Tuberculose dans titre en 2009 Stratégie de recherche : Sélections
Plus en détailHépatite C, les nouveaux traitements
Hépatite C, les nouveaux traitements Dr Ghassan Riachi CHU de Rouen QDN 2014 Revue de presse p L hépatite C est une maladie curable Peginterferon + DAAs 2011 Standard Interferon 1991 + Ribavirin 1998 2001
Plus en détailStreptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions.
Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Exemple d une étude prospective sur la place d un test de détection rapide du SGB. HONORAT Raphaële 1, ASSOULINE Corinne 1,
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron
Plus en détailNOUVELLES APPROCHES GENOTYPIQUES POUR LE MONITORING DE RESISTANCE DU VIH AUX ARV DANS LES PAYS A RESSOURCES LIMITEES : CAS DU TCHAD
Université de Liège Faculté de Médecine Laboratoire de Référence Sida NOUVELLES APPROCHES GENOTYPIQUES POUR LE MONITORING DE RESISTANCE DU VIH AUX ARV DANS LES PAYS A RESSOURCES LIMITEES : CAS DU TCHAD
Plus en détailF ZOULIM. Traitement du VHB : Interféron ou anti-viraux
F ZOULIM Traitement du VHB : Interféron ou anti-viraux - Connaître les objectifs du traitement - Connaître les résultats immédiats et à long terme des traitements - Savoir choisir une option thérapeutique
Plus en détailTests au Gamma Interferon et Tuberculose
Tests au Gamma Interferon et Tuberculose Jean Pierre Zellweger Propriétés des tests Gamma Interferon (IGRAs= Interferon Gamma Release Assays) Dépistent la présence de lymphocytes T sensibilisés àdeux antigènes
Plus en détailMaster de Bioinformatique et Biologie des Systèmes Toulouse http://m2pbioinfo.biotoul.fr Responsable : Pr. Gwennaele Fichant
Master de Bioinformatique et Biologie des Systèmes Toulouse http://m2pbioinfo.biotoul.fr Responsable : Pr. Gwennaele Fichant Parcours: Master 1 : Bioinformatique et biologie des Systèmes dans le Master
Plus en détailPr Vincent CALVEZ CHU Pitié-Salpêtrière INSERM U 943 ANRS AC11 Resistance
Réplication résiduelle Pr Vincent CALVEZ CHU Pitié-Salpêtrière INSERM U 943 ANRS AC11 Resistance ART bloque la réplication virale avec persistance de ADN viral intégré Taille du réservoir est établie avant
Plus en détailMarseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique
Marseille 25 octobre 2012 Accompagnement du traitement chez les co-infectés VHC-VIH en pratique Dominique Larrey Service d Hépatogastroenterologie et transplantation Hôpital Saint Eloi CHU Montpellier
Plus en détail«Résistance du VIH aux antirétroviraux : conséquences pour les pays à faibles revenus»
Article «Résistance du VIH aux antirétroviraux : conséquences pour les pays à faibles revenus» Florence Doualla-Bell, Dan Turner, Hugues Loemba, Marco Petrella, Bluma Brenner et Mark A. Wainberg M/S :
Plus en détailTraitement des hépatites h chroniques virales B et C
Traitement des hépatites h chroniques virales B et C Dr Joanna POFELSKI Service d hépatod pato-gastroentérologierologie CH d Annecyd Particularités? Virus hépatotropes / cytopathogènes : lésions hépatiques
Plus en détailQuantification de l AgHBs Pouquoi? Quand?
Quantification de l AgHBs Pouquoi? Quand? Michelle Martinot-Peignoux Service d Hépatologie Hôpital Beaujon Université Paris-Diderot INSERM U-773/CRB3 Clichy-France Plan Introduction Applications Cliniques
Plus en détailCours de Mme Ollivier. Le 17.12.2008
Pharmacologie de la pathologie VIH : Les anti-rétroviraux Rôle infirmier dans la prise en charge du patient sous ARTV : éducation, prévention et gestion des effets secondaires Cours de Mme Ollivier Le
Plus en détailStratégies de dépistage des bactéries multirésistantes. Qui? Pourquoi? Comment? Après? L exemple des MRSA
Stratégies de dépistage des bactéries multirésistantes à l hôpital et en MRS: Qui? Pourquoi? Comment? Après? L exemple des MRSA Prof. Dr. Youri Glupczynski Unité d Hygiène hospitalière & Laboratoire de
Plus en détailLes plateformes de génétique
Thérapies ciblées : de l anatomopathologie th l à la biothérapie i Les plateformes de génétique moléculaire PO Schischmanoff UF Génétique moléculaire et oncogénétique CHU Avicenne ACP FHF 29 mars 2012
Plus en détailInfection VIH et Grossesse Rédigée par : Laurichesse Hélène, C Jacomet
Procédure qualité : «VIH et grossesse» Page 1 sur 6 CHU de Clermont-Ferrand Service de Gynécologie-obstétrique Pôle Gynécologie-Obstétrique biologie de la reproduction Procédure médicale Infection VIH
Plus en détailBases de données des mutations
Bases de données des mutations CFMDB CFTR2 CFTR-France / Registre Corinne THEZE, Corinne BAREIL Laboratoire de génétique moléculaire Montpellier Atelier Muco, Lille, 25-27 septembre 2014 Accès libre http://www.genet.sickkids.on.ca/app
Plus en détailAspects virologiques de l infection l. à VIH
CHU Saint Louis Paris Aspects virologiques de l infection l à VIH Constance Delaugerre SFLS Mars 2010 2008 Inhibiteur de corécepteur Inhibiteurs de TI INTI 1985 INNTI 1998 2008 Inhibiteurs d intégrase
Plus en détailMyron S. Cohen, MD (Président) Ouverture de la séance
Myron S. Cohen, MD (Président) Ouverture de la séance Bienvenue à tous, je m appelle Myron (Mike) Cohen; je suis le directeur du centre des maladies infectieuses à l Université de Caroline du Nord à Chapel
Plus en détailPrise en charge thérapeutique des personnes infectées par le VIH
Prise en charge thérapeutique des personnes infectées par le VIH 2004 Prise en charge thérapeutique des personnes infectées par le VIH Rapport 2004 Recommandations du groupe d experts Sous la direction
Plus en détailLes analyses virologiques pour le diagnostic et la prise en charge thérapeutique de l infection au VHC
Les analyses virologiques pour le diagnostic et la prise en charge thérapeutique de l infection au VHC Donald Murphy, PhD Laboratoire de santé publique du Québec PNMVS, Montréal, 15 octobre 2013 Plan de
Plus en détailLaboratoire d Informatique, de Traitement de l Information et des Systèmes EA 4108. 3 établissements T. Paquet D. Olivier T. Lecroq A.
Laboratoire d Informatique, de Traitement de l Information et des Systèmes EA 4108 3 établissements T. Paquet D. Olivier T. Lecroq A. Benshrair 7 équipes Disciplines 27-61, 25-26-43-64 L. Heutte DocApp
Plus en détailComité d organisation
Workshop Comité d organisation Khadija Akarid Abdelkrim Benbouzid Abdellah Badou Nadia Bouhaddioui Zakaria Chraïbi Hassan Fellah Jamal Hafid Fouad Seghrouchni Faculté polydisciplinaire de Safi Laboratoire
Plus en détailChristian TREPO, MD, PhD
PEG INTERFERON MONOTHERAPI E Christian TREPO, MD, PhD Unmet medical needs in chronic HBV infection Inhibition of viral replication Normalisation of ALT Improvement in liver necroinflammation Improvement
Plus en détailIngénieur R&D en bio-informatique
Ingénieur R&D en bio-informatique Spécialisé Bases De Données 33 ans, Célibataire. Biologie & Informatique gabriel.chandesris[at]laposte.net {06 56 41 97 37} Use the bipper! http://gabriel.chandesris.free.fr/
Plus en détailLes OGM. 5 décembre 2008. Nicole Mounier
Les OGM 5 décembre 2008 Nicole Mounier Université Claude Bernard Lyon 1 CGMC, bâtiment Gregor Mendel 43, boulevard du 11 Novembre 1918 69622 Villeurbanne Cedex OGM Organismes Génétiquement Modifiés Transfert
Plus en détailCréation et développement d une base de données sur le VIH
Création et développement d une base de données sur le VIH Stage de Licence de Biologie-Informatique Par Stéphanie Pérot Sous la direction d Anne Vanet Année 2005-2006 Atelier de BioInformatique rattaché
Plus en détailGènes Diffusion - EPIC 2010
Gènes Diffusion - EPIC 2010 1. Contexte. 2. Notion de génétique animale. 3. Profil de l équipe plateforme. 4. Type et gestion des données biologiques. 5. Environnement Matériel et Logiciel. 6. Analyses
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. 10 décembre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 décembre 2008 VIRAFERONPEG 50 µg/ 0.5 ml, poudre et solvant pour solution injectable B/1 : code CIP 355 189.3 B/4 : code CIP 355 191.8 VIRAFERONPEG, stylo pré-rempli
Plus en détailPSDP et usage des pénicillines - ESAC
Plan National d alerte sur les Antibiotiques 2011/2016 Déclinaison régionale Pr Pierre DELLAMONICA CHU de Nice ARS 29/11/12 1 Plans précédents 2001/2005 et 2007/2010 «Menace de santé publique majeure»
Plus en détailSemestre 2 Spécialité «Analyse in silico des complexes macromolécules biologiques-médicaments»
Master In silico Drug Design Semestre 2 Spécialité «Analyse in silico des complexes macromolécules biologiques-médicaments» 30NU01IS INITIATION A LA PROGRAMMATION (6 ECTS) Responsables : D. MESTIVIER,
Plus en détailIntérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée
Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux
Plus en détailPRISE EN CHARGE DE L HEPATITE CHRONIQUE C EN 2009
PRISE EN CHARGE DE L HEPATITE CHRONIQUE C EN 2009 CHU BAB EL OUED DR OSMANE DR MAHIOU PR NAKMOUCHE Evolution du traitement de hépatite c Découverte du génome de l HVC 1989 1989 1989 Evolution du traitement
Plus en détailLa surveillance biologique des salariés Surveiller pour prévenir
Evaluer et prévenir le risque radiologique professionnel dans les opérations de radiographie industrielle La surveillance biologique des salariés Surveiller pour prévenir Dr Irène Sari-Minodier Service
Plus en détailRestitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME
Restitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME Modérateur : Dr Didier Koumavi Ekouevi INSERM U-897, Université Bordeaux Segalen, PACCI, Abidjan et Université de Lomé
Plus en détail- 2 - faire industriel dans la mise au point des produits biologiques. L Institut Roche de Recherche et Médecine Translationnelle (IRRMT, basé à
Information presse Roche, l Agence Nationale de Recherches sur le Sida et les hépatites virales (ANRS), le Baylor Research Institute (BRI) et Inserm Transfert mettent en place une coopération stratégique
Plus en détailUniversité Saint-Joseph
Université Saint-Joseph Faculté de pharmacie Actuellement, le métier de pharmacien est un métier polyvalent, ouvert à plusieurs activités dans le domaine de la santé individuelle et publique. Mis à part
Plus en détailDiplôme d Études Approfondies en Biochimie/Biologie Moléculaire. Spécialité : Biologie Moléculaire
UNIVERSITE DE OUAGADOUGOU Unité de Formation et de Recherche en Sciences de la Vie et de la Terre (UFR/SVT) BURKINA FASO UNITE - PROGRES - JUSTICE 3678 THESETH Département de Biochimie-Microbiologie Mémoire
Plus en détailPerspectives en sciences sociales et santé publique. Bernard Taverne (CRCF/IRD)
Perspectives en sciences sociales et santé publique Bernard Taverne (CRCF/IRD) Journée scientifique ANRS, Dakar 25 juin 2010 Le devenir des patients au delà d un processus de recherche clinique, Organisation
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux sont arrivé! Faut il une surveillance biologique?
Les nouveaux anticoagulants oraux sont arrivé! Faut il une surveillance biologique? Références : Pr Samama Journée de Biologie Praticienne Décembre 2011 I. Gouin-Thibault Journée de Biologie Clinique 2012
Plus en détailLa lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.
Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium
Plus en détailPlan d action mondial de l OMS pour le confinement des poliovirus sauvages en laboratoire
ORIGINAL : ANGLAIS DISTR. : GÉNÉRALE Plan d action mondial de l OMS pour le confinement des poliovirus sauvages en laboratoire DÉPARTEMENT VACCINS ET PRODUITS BIOLOGIQUES Organisation mondiale de la Santé
Plus en détailGénétique et génomique Pierre Martin
Génétique et génomique Pierre Martin Principe de la sélections Repérage des animaux intéressants X Accouplements Programmés Sélection des meilleurs mâles pour la diffusion Index diffusés Indexation simultanée
Plus en détailDevenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb. Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger
Devenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger Contexte Hépatite B = risque professionnel pour les soignants Passé futur
Plus en détail