CORRIGÉ F O R M U L A I R E D E R É P O N S E S. Contrôle N 1. du 28 septembre de 8h45 à 10h20 GÉNIE DES MATÉRIAUX. NOM (en majuscules):
|
|
- Alexandre Ratté
- il y a 5 ans
- Total affichages :
Transcription
1 GÉNIE DES MATÉRIAUX Note finale: /5 NOM (en majuscules): PRÉNOM : SIGNATURE : MATRICULE : SECTION : COURS ING105 - MATÉRIAUX Contrôle N 1 du 8 septembre 001 de 8h45 à 10h0 F O R M U L A I R E D E R É P O N S E S NOTES : Aucune documentation permise. Moyen de calcul : calculatrices autorisées seulement. Les nombres en marge de droite indiquent le nombre de points accordés à la question. Le total est de 5 points. Pour les questions nécessitant des calculs, aucun point ne sera accordé à la bonne réponse si le développement n est pas écrit. Utilisez les espaces prévus ou la page opposée pour vos calculs Le questionnaire comprend 6 pages, incluant les annexes (si mentionnés) et le formulaire général. Le formulaire de réponses comprend 7 pages. Vérifiez le nombre de pages de votre questionnaire et de votre formulaire de réponse.
2 Cours ING105 MATÉRIAUX Page de 7 1. EXERCICE n 1 1.a) Module d Young E du magnésium Par définition E σ/ε dans le domaine élastique. Ici la déformation est élastique jusqu à une force F 7 40 N, donc pour une contrainte σ F/S 0, S 0 étant la section droite de l éprouvette. S 0 (,x19,1) mm 61,1x10-6 m Donc σ (7 40/(61,1x10-6 )) MPa 11,5x10 6 MPa. 11,5 MPa La déformation ε correspondant à cette contrainte est égale à l/l 0, avec l 0 6,5 mm. Ici l (6,7 6,5) mm 0, mm. Donc ε 0,0015 Valeur du module E σ/ε (11,5x10 6 MPa)/(,15x10 - ) 8,6 GPa E 8,6 1.b) Limite proportionnelle d élasticité R e du magnésium R e est la contrainte correspondant à 0, % de déformation plastique permanente, donc celle qui correspond à la force F 7 40 N. R e F/S 0, S 0 étant la section droite de l éprouvette. S 0 (,x19,1) mm 61,1x10-6 m Valeur de R e (7 40/(61,1x10-6 )) MPa 11,5x10 6 MPa. 11,5 MPa R e 11,5 MPa 1.c) Limite proportionnelle d élasticité R e0, du magnésium. R e0, est la contrainte où apparaît la déformation plastique permanente, donc celle qui correspond à la force F N, pour laquelle est apparu un allongement permanent de 0,17 mm, donc une déformation ε 0,17/6,5 0,00 0, % Valeur de R e0, (9 100/(61,1x10-6 )) MPa 148,8x10 6 MPa. 148,8 MPa R e0, 148,8 MPa 1.d) Résistance à la traction R m du magnésium R m est la contrainte maximale atteinte durant l essai de traction ; elle correspond à la force maximale F max N. Valeur de R m F max /S 0 [14 40/(61,1x10-6 )] MPa 6,1x10 6 MPa. 6,1 MPa R m 6,1 MPa 1.e) Allongement permanent A après rupture L allongement permanent après rupture A est égal à la déformation totale At de l éprouvette à laquelle on retranche la déformation élastique A e qui existait juste avant la rupture et qui disparaît après rupture, puisque la déformation élastique est réversible et disparaît si la contrainte est supprimée. Ici, A t 9,9/6,5 0, ,59 %. La déformation élastique A e est donnée par la loi de Hooke : A e σ/e, où σ est la contrainte à la rupture de l éprouvette, donc celle correspondant à une force F N. A e [1 500/(61,1x10-6 )]/[8,6x10 9 ] 0,005 0,5 % Valeur de A (A t A e ) (15,59 0,5) % 15,06 % A 15,06 Sous-total 5 pts
3 Cours ING105 MATÉRIAUX Page de 7 1.f) Énergie élastique w él emmagasinée dans l éprouvette à R e0, Quand la limite conventionnelle d élasticité est atteinte, l énergie élastique, emmagasinée par unité de volume du matériau, est égale par définition à : W él ½σε σε ½ R e0, ε ½( R e0, ) 6 1 ( 148,8x10 ) /E 9 ( 8,6x10 ) 86,6 kj/m Dans l éprouvette de traction de volume V 0 l 0 S 0 (61,1x10-6 )x(6,5x10 - ),881x10-6 m, l énergie élastique w él emmagasinée est égale à : w él V 0 W él w él 1,11 J 1.g) Propriétés améliorables Cochez les cases appropriées et justifiez vos choix : E R e0, R m A X X Une fois le matériau choisi, le module d Young en est fixé puisque ce module dépend de la nature des atomes et des liaisons atomiques qui s établissent. On ne peut donc modifier le module d Young d un matériau donné. Ici, comme le magnésium est polycristallin, on peut améliorer sa limite conventionnelle d élasticité R e0, et sa résistance à la traction R m en ayant des grains plus fins. C est la méthode d affinement des grains. On peut aussi améliorer la limite conventionnelle d élasticité R e0, et la résistance à la traction R m en faisant une déformation plastique préalable( par laminage par ex.). C est la méthode d écrouissage. Toutefois, cette méthode entraîne une diminution de la ductilité, donc de l allongement A après rupture.. Exercice n.a) Rayon de courbure du micro-défaut le plus sévère. La résistance théorique à la traction R th du verre est approximativement égale à E/10, R th 70/10 GPa 7 GPa MPa. Si K t est le facteur de concentration de contrainte associé au défaut le plus sévère, on a la relation suivante : K t R th /R m (1) où R m est la résistance réelle à la traction du verre. a Le micro-défaut étant de forme semi-elliptique, la valeur de K t qui lui est associée est égale à : 1+ () r En combinant les équations (1) et (), on obtient ainsi la valeur du rayon de courbure r du défaut le plus sévère qui a une profondeur a 1 µm : r R R m 1 th a 0,98 nm 0, nm r 0, nm Sous-total pts
4 Cours ING105 MATÉRIAUX Page 4 de 7.b) Force de rupture et endroit de celle-ci. Selon le plan donné, on peut en déduire le diamètre d de la pièce : d D - h (50-10) mm 40 mm. Le coefficient de concentration de contrainte K t, associé au changement de section (d D) est trouvé sur le graphique fourni en annexe pour les valeurs : r/d 4/40 0,1 et h/r 5/4 1,5. En faisant une extrapolation linéaire entre les courbes h/r 1 et h/r, on trouve K t 1,66 Dans le changement de section (région B), la contrainte locale σ loc atteint la résistance à la traction du verre R m au moment de la rupture de la pièce; on peut donc écrire les relations suivantes : σ K σ R et loc t nom En combinant ces deux relations, on obtient : R m S F K 166, t 6 ( 60x10 ) π( 0x10 ) 45,4 kn m σ nom F S F N Endroit : B ( pts).c) Famille de systèmes de glissement de l aluminium. Le glissement cristallographique se produit sur les plans de plus forte densité atomique et selon les directions de plus forte densité atomique contenues dans ces plans. Dans le cas de la structure cristalline cubique à faces centrées (CFC), ce sont donc les plans de type { 111 } et les directions de type 110. { 111} 110.d) Système particulier de glissement de l aluminium. Identifiez bien les éléments de ce système : z Voici un exemple de système particulier de glissement, constitué du plan ( ) 111 et de la direction [ ] y.e) Endroit où débute la déformation plastique. x La déformation plastique débutera à l endroit où la contrainte locale est la plus élevée, c est-à-dire dans la région de concentration de contrainte B où il ay changement de section d D. B Sous-total 6 pts
5 Cours ING105 MATÉRIAUX Page 5 de 7.f) Force pour laquelle apparaît le glissement cristallographique du monocristal. Justification Quand : la déformation plastique apparaît dans la région B, la cission locale τ loc agissant sur le système de glissement activé est alors égale à la cission critique τ*. D après la loi de Schmid, on en déduit que : τ loc τ* σ loc cosθcosχ 0,5 MPa (1) 1 11, où les directions Il faut déterminer la valeur des angles θ et χ associés aux systèmes de glissement du plan ( ) possibles de glissement sont les directions [ 011 ] ou [ 01] 1. Par des relations géométriques simples, on montre que : cos χ 1 et cos θ 1. En portant ces valeurs dans l équation (1) ci-dessus, on en déduit la contrainte locale : σ loc τ*/cosθcosχ 0, 5 MPa 1,5 MPa Puisque la contrainte nominale σ nom σ loc /K t F/S, on en déduit la force F σ nom S σ loc S/K t F 96,8 N ( pts).g) Force pour laquelle apparaît la déformation plastique irréversible du polycristal. Si la pièce est faite d aluminium polycristallin, la contrainte locale dans la région B entraînant l apparition de la déformation plastique irréversible est égale à : σ loc R e τ* 1 MPa Puisque la contrainte nominale σ nom σ loc /K t R e /K t F/S 0, on en déduit la force F σ nom S 0 R e S 0 /K t Avec les valeurs connues des variables, on obtient F 756,6 N F 756,6 N ( pts). Exercice n.a) Réseau de Bravais du composé Le réseau de Bravais est défini par les atomes d or (Au). C est donc un réseau cubique simple (CS). Réseau Cubique simple.b) Motif associé au réseau de Bravais du composé Encerclez d un seul trait l ensemble des atomes constitutifs du motif et justifiez votre réponse : Le nombre d atomes en propre à la maille est le suivant : Au : 8x(1/8) 1 Cu : 6x(½) Le motif doit refléter dette proportion des atomes en propre. Il est donc constitué de un (1) atome d or et de trois () atomes de cuivre. Ci-contre, un groupe d atomes constituant le motif est encerclé x z y Au Cu Sous-total 6 pts
6 Cours ING105 MATÉRIAUX Page 6 de 7.c) Plan ( 1 10) Tracez le plan dans la maille ci-contre Le plan est tracé en bleu clair sur la figure ci-contre z [11] y Au Cu.d) Densité surfacique de Cu et de Au dans le plan ( 1 10) D après la figure ci-dessus, on en déduit le nombre d atomes en propres appartenant à la maille plane élémentaire du plan.: Au : 4x(¼) 1 Cu : x(½) 1 La surface de la maille S est égale à a. a a Il faut déterminer le paramètre a de la maille sachant que les atomes d or et de cuivre se touchent selon les directions de type 110, diagonales des faces de la maille. On a donc : ( r ) a Cu + r Au (0,18 + 0,144) 0,544 nm Le paramètre a de la maille est égal à : a 0, 544 0,847 nm La densité d s surfacique d atomes d or ou de celle d atomes de cuivre est donc égale à : d ( ) s 1 a 1 0, 847 4,78 at/nm x Densité (at/nm ) Cu 4,78 Au 4,78.e) Densité linéique de Cu et de Au le long de la direction 11 La direction <11> est représentée à la figure ci-dessus (question.c). La disposition des atomes le long de cette direction est représentée ci-contre. La longueur de référence l est telle que l ( a) + ( a ) 6a Donc l a 6 Comme il y a un atome en propre d or et un atome en propre de cuivre appartenant à cette longueur l de référence, la densité linéique d l d atomes est égale à : d l 1 a 6 1,06 at/nm Densité (at/nm) Cu 1,06 Au 1,06 Sous-total pts
7 Cours ING105 MATÉRIAUX Page 7 de 7.f) Compacité C du composé Nombre d atomes appartenant en propre à la maille : Au : 8x(1/8) 1 atome Cu : 6x(½) atomes Par définition, la compacité C est le rapport du volume V at des atomes en propre au volume V de la maille : ( rau + r ) 4 Cu π( 0144, + x0, 18 ) 4 V + π Au VCu C Vat V V a 0,847 0,686 68,6 % C 68,6 %.g) Masse volumique théorique ρ du composé Nombre d atomes appartenant en propre à la maille : Au : 8x(1/8) 1 atome Cu : 6x(½) atomes Par définition, la masse volumique théorique ρ est le rapport de la masse M des atomes en propre au volume V de la maille : mau + mcu AAu + A Cu x6, 54 C M V V N a 6,0x10 x A -7 ( 0,847x10 ) 11,7 g/cm ρ 11,7 g/cm Sous-total pts Total : 5 pts
INFLUENCE de la TEMPERATURE. Transition ductile/fragile Choc Thermique Fluage
INFLUENCE de la TEMPERATURE Transition ductile/fragile Choc Thermique Fluage Transition ductile/fragile Henry Bessemer (UK)! 1856 : production d'acier à grande échelle Pont des Trois-Rivières 31 janvier
Plus en détailDISQUE DUR. Figure 1 Disque dur ouvert
DISQUE DUR Le sujet est composé de 8 pages et d une feuille format A3 de dessins de détails, la réponse à toutes les questions sera rédigée sur les feuilles de réponses jointes au sujet. Toutes les questions
Plus en détailSSNL126 - Flambement élastoplastique d'une poutre droite. Deux modélisations permettent de tester le critère de flambement en élastoplasticité :
Titre : SSNL16 - Flambement élastoplastique d'une poutre [...] Date : 15/1/011 Page : 1/6 Responsable : Nicolas GREFFET Clé : V6.0.16 Révision : 8101 SSNL16 - Flambement élastoplastique d'une poutre droite
Plus en détailÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE
ÉTUDE DE L EFFICACITÉ DE GÉOGRILLES POUR PRÉVENIR L EFFONDREMENT LOCAL D UNE CHAUSSÉE ANALYSIS OF THE EFFICIENCY OF GEOGRIDS TO PREVENT A LOCAL COLLAPSE OF A ROAD Céline BOURDEAU et Daniel BILLAUX Itasca
Plus en détailChapitre 7. Circuits Magnétiques et Inductance. 7.1 Introduction. 7.1.1 Production d un champ magnétique
Chapitre 7 Circuits Magnétiques et Inductance 7.1 Introduction 7.1.1 Production d un champ magnétique Si on considère un conducteur cylindrique droit dans lequel circule un courant I (figure 7.1). Ce courant
Plus en détailChapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE. par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ
Chapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ Les propriétés mécaniques des métaux et alliages sont d un grand intérêt puisqu elles conditionnent
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailCours de Résistance des Matériaux (RDM)
Solides déformables Cours de Résistance des Matériau (RDM) Structure du toit de la Fondation Louis Vuitton Paris, architecte F.Gehry Contenu 1 POSITIONNEMENT DE CE COURS... 2 2 INTRODUCTION... 3 2.1 DEFINITION
Plus en détailVis à billes de précision à filets rectifiés
sommaire Calculs : - Capacités de charges / Durée de vie - Vitesse et charges moyennes 26 - Rendement / Puissance motrice - Vitesse critique / Flambage 27 - Précharge / Rigidité 28 Exemples de calcul 29
Plus en détail- I - Fonctionnement d'un détecteur γ de scintillation
U t i l i s a t i o n d u n s c i n t i l l a t e u r N a I M e s u r e d e c o e ffi c i e n t s d a t t é n u a t i o n Objectifs : Le but de ce TP est d étudier les performances d un scintillateur pour
Plus en détailEPFL 2010. TP n 3 Essai oedomètrique. Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilias Nafaï Weil Florian
1 EPFL 2010 Moncef Radi Sehaqui Hamza - Nguyen Ha-Phong - Ilia Nafaï Weil Florian 11 Table de matière Ø Introduction 3 Ø Objectif 3 Ø Déroulement de l eai 4 Ø Exécution de deux palier de charge 6 Ø Calcul
Plus en détailJean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER. Laure Delaporte ConstruirAcier. Jérémy Trouart Union des Métalliers
Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER Laure Delaporte ConstruirAcier Jérémy Trouart Union des Métalliers Jean-Marc SCHAFFNER des Ateliers SCHAFFNER chef de file du GT4 Jérémy TROUART de l Union des Métalliers
Plus en détailPHYSIQUE-CHIMIE. Partie I - Spectrophotomètre à réseau
PHYSIQUE-CHIMIE L absorption des radiations lumineuses par la matière dans le domaine s étendant du proche ultraviolet au très proche infrarouge a beaucoup d applications en analyse chimique quantitative
Plus en détailCompte rendu de LA37 B, TP numéro 1. Evolution de la température et du degrée d'hydratation
4 6 8 2 4 8 22 26 3 34 38 42 46 5 54 58 62 66 7 74 78 83 89 96 8 44 Bertin Morgan Compte rendu de LA37 B, TP numéro. Les essais effectués par le laboratoire des ponts et chaussés nous ont fournis la température
Plus en détailSujet. calculatrice: autorisée durée: 4 heures
DS SCIENCES PHYSIQUES MATHSPÉ calculatrice: autorisée durée: 4 heures Sujet Spectrophotomètre à réseau...2 I.Loi de Beer et Lambert... 2 II.Diffraction par une, puis par deux fentes rectangulaires... 3
Plus en détailTUTORIAL 1 ETUDE D UN MODELE SIMPLIFIE DE PORTIQUE PLAN ARTICULE
TUTORIAL 1 ETUDE D UN MODELE SIMPLIFIE DE PORTIQUE PLAN ARTICULE L'objectif de ce tutorial est de décrire les différentes étapes dans CASTOR Concept / FEM permettant d'effectuer l'analyse statique d'une
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailAnalyse statique d une pièce
Analyse statique d une pièce Contrainte de Von Mises sur une chape taillée dans la masse 1 Comportement d un dynamomètre On considère le dynamomètre de forme globalement circulaire, excepté les bossages
Plus en détailConsolidation des argiles. CUI Yu-Jun ENPC-CERMES, INSTITUT NAVIER
Consolidation des argiles CUI Yu-Jun ENPC-CERMES, INSTITUT NAVIER Plan Introduction Argiles Phénomène de consolidation Essais de consolidation Equation de la consolidation Degré de consolidation et facteur
Plus en détailCours de résistance des matériaux
ENSM-SE RDM - CPMI 2011-2012 1 Cycle Préparatoire Médecin-Ingénieur 2011-2012 Cours de résistance des matériau Pierre Badel Ecole des Mines Saint Etienne Première notions de mécanique des solides déformables
Plus en détailCorrection ex feuille Etoiles-Spectres.
Correction ex feuille Etoiles-Spectres. Exercice n 1 1 )Signification UV et IR UV : Ultraviolet (λ < 400 nm) IR : Infrarouge (λ > 800 nm) 2 )Domaines des longueurs d onde UV : 10 nm < λ < 400 nm IR : 800
Plus en détailFonctions de deux variables. Mai 2011
Fonctions de deux variables Dédou Mai 2011 D une à deux variables Les fonctions modèlisent de l information dépendant d un paramètre. On a aussi besoin de modéliser de l information dépendant de plusieurs
Plus en détailSSNV143 - Traction biaxiale avec la loi de comportement BETON_DOUBLE_DP
Titre : SSNV14 - Traction biaxiale avec la loi e comport[...] Date : 17/02/2011 Page : 1/14 Manuel e Valiation Fascicule V6.04 : Statique non linéaire es structures volumiques Document V6.04.14 SSNV14
Plus en détailCalculs de probabilités avec la loi normale
Calculs de probabilités avec la loi normale Olivier Torrès 20 janvier 2012 Rappels pour la licence EMO/IIES Ce document au format PDF est conçu pour être visualisé en mode présentation. Sélectionnez ce
Plus en détailRéalisation et modélisation de rubans déployables pour application spatiale
Réalisation et modélisation de rubans déployables pour application spatiale F. GUINOT a, S. BOURGEOIS a, B. COCHELIN a, C.HOCHARD a, L. BLANCHARD b a. Laboratoire de Mécanique et d Acoustique (LMA), 31
Plus en détailPhysique Chimie. Réaliser les tests de reconnaissance des ions Cl -,
Document du professeur 1/5 Niveau 3 ème Physique Chimie Programme A - La chimie, science de la transformation de la matière Connaissances Capacités Exemples d'activités Comment reconnaître la présence
Plus en détailLes composites thermoplastiques
Les composites thermoplastiques Définition Par définition, un thermoplastique (anglais :thermoplast) est un matériau à base de polymère (composé de macromolécules) qui peut être mis en forme, à l état
Plus en détailI- Définitions des signaux.
101011011100 010110101010 101110101101 100101010101 Du compact-disc, au DVD, en passant par l appareil photo numérique, le scanner, et télévision numérique, le numérique a fait une entrée progressive mais
Plus en détailSOCIETE NATIONALE DES CHEMINS DE FER BELGES SPECIFICATION TECHNIQUE
SOCIETE NATIONALE DES CHEMINS DE FER BELGES SPECIFICATION TECHNIQUE L - 72 FOURNITURE DE SEMELLES ELASTIQUES POUR LA FIXATION DE VOIE "TYPE BOTZELAER" EDITION: 04/2001 Index 1. INTRODUCTION... 3 1.1. DOMAINE
Plus en détail77876 MONTEREAU CEDEX FRANCE SAS
Câbles Energie SILEC CBLE 0 MOYENNE TENSION - HT ENERGIE STER GINE Documents de normalisation : Spécification Technique particulière EDF-GDF Services concernant les conducteurs pour pont gainé. Réf. STER-G/CP
Plus en détailConception parasismique des diaphragmes de toit selon la norme CSA-S16
Conception parasismique des diaphragmes de toit selon la norme CSA-S16 Robert Tremblay École Polytechnique, Montréal, Canada SCGC - Québec Québec, 16 Avril 2009 Plan 1. Information générale 2. Exemple
Plus en détailLe zinc source d inspiration
Le zinc source d inspiration Programme de livraison NedZink Depuis plus d un siècle déjà, NedZink fabrique des produits haut de gamme en zinc pour le secteur de la construction. Les produits semi-finis
Plus en détailSUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)
Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance
Plus en détailMario Geiger octobre 08 ÉVAPORATION SOUS VIDE
ÉVAPORATION SOUS VIDE 1 I SOMMAIRE I Sommaire... 2 II Évaporation sous vide... 3 III Description de l installation... 5 IV Travail pratique... 6 But du travail... 6 Principe... 6 Matériel... 6 Méthodes...
Plus en détailUtilisation du logiciel ImageJ gratuit
Utilisation du logiciel ImageJ gratuit on peut récupérer sur le lien suivant : http://rsbweb.nih.gov/ij/ à partir duquel ce résumé très bref (!!) a été élaboré Lancer ImageJ Vous avez une fenêtre qui s'ouvre
Plus en détailANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE
562 ANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE 563 TABLE DES MATIÈRES ANNEXE J... 562 POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS
Plus en détailCESAB P200 1,4-2,5 t. Transpalettes accompagnant. Spécifications techniques. another way
CESAB P200 1,4-2,5 t Transpalettes accompagnant Spécifications techniques 1,4-1,6 t CESAB P214- P216 Spécifications techniques IDENTIFICATION 1.1 Constructeur CESAB CESAB 1.2 Modèle P214 P216 1.3 Traction
Plus en détailAiryLab. 12 impasse de la Cour, 83560 Vinon sur Verdon. Rapport de mesure
AiryLab. 12 impasse de la Cour, 83560 Vinon sur Verdon Rapport de mesure Référence : 2010-44001 FJ Référence 2010-44001 Client Airylab Date 28/10/2010 Type d'optique Lunette 150/1200 Opérateur FJ Fabricant
Plus en détailAnnexe A. Annexe A. Tableaux et données relatifs à la vérification par Eurocode 3 A.3
Annexes Annexe A : Tableaux et données relatifs à la vérification par Eurocode 3... A.2 Annexe B : Format des fichiers générés et utilisés par CADBEL... A.11 Annexe C : Calcul de la résistance au flambement
Plus en détailCABLECAM de HYMATOM. Figure 1 : Schéma du système câblecam et détail du moufle vu de dessus.
CABLECAM de HYMATOM La société Hymatom conçoit et fabrique des systèmes de vidéosurveillance. Le système câblecam (figure 1) est composé d un chariot mobile sur quatre roues posé sur deux câbles porteurs
Plus en détail(Exemple ici de calcul pour une Ducati 748 biposto, et également pour un S2R1000, équipé d un disque acier en fond de cloche, et ressorts d origine)
Analyse de la charge transmise aux roulements de la roue dentée, notamment en rajoutant les efforts axiaux dus aux ressorts de l embrayage (via la cloche) (Exemple ici de calcul pour une Ducati 748 biposto,
Plus en détailChapitre 6. Fonction réelle d une variable réelle
Chapitre 6 Fonction réelle d une variable réelle 6. Généralités et plan d étude Une application de I dans R est une correspondance entre les éléments de I et ceu de R telle que tout élément de I admette
Plus en détailTD1 Signaux, énergie et puissance, signaux aléatoires
TD1 Signaux, énergie et puissance, signaux aléatoires I ) Ecrire l'expression analytique des signaux représentés sur les figures suivantes à l'aide de signaux particuliers. Dans le cas du signal y(t) trouver
Plus en détailCorrigé Exercice 1 : BRIDE HYDRAULIQUE AVEC HYPOTHÈSE PROBLÈME PLAN.
TD 6 corrigé - PFS Résolution analytique (Loi entrée-sortie statique) Page 1/1 Corrigé Exercice 1 : BRIDE HYDRAULIQUE AVEC HYPOTHÈSE PROBLÈME PLAN. Question : Réaliser le graphe de structure, puis compléter
Plus en détailHISTAR. ArcelorMittal Europe - Long products Sections and Merchant Bars
ArcelorMittal Europe - Long products Sections and Merchant Bars HISTAR Des qualités d acier innovant à haute limite d élasticité pour alléger les constructions ArcelorMittal Photo Library - Architect:
Plus en détailColle époxydique multi usages, à 2 composants
Notice Produit Edition 20 01 2014 Numéro 9.11 Version n 2013-310 01 04 02 03 001 0 000144 Colle époxydique multi usages, à 2 composants Description est une colle structurale thixotrope à 2 composants,
Plus en détailTrépier avec règle, ressort à boudin, chronomètre, 5 masses de 50 g.
PHYSQ 130: Hooke 1 LOI DE HOOKE: CAS DU RESSORT 1 Introduction La loi de Hooke est fondamentale dans l étude du mouvement oscillatoire. Elle est utilisée, entre autres, dans les théories décrivant les
Plus en détailCalcul matriciel. Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes.
1 Définitions, notations Calcul matriciel Définition 1 Une matrice de format (m,n) est un tableau rectangulaire de mn éléments, rangés en m lignes et n colonnes. On utilise aussi la notation m n pour le
Plus en détailBanc d études des structures Etude de résistances de matériaux (RDM) et structures mécaniques
Banc d études des structures Etude de résistances de matériaux (RDM) et structures mécaniques Descriptif du support pédagogique Le banc d essais des structures permet de réaliser des essais et des études
Plus en détailBTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1
BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 I. L ATOME NOTIONS EÉLEÉMENTAIRES DE CIMIE Les atomes sont des «petits grains de matière» qui constituent la matière. L atome est un système complexe que l on
Plus en détailSOL FORTE ÉPAISSEUR INDUSTRIAL FLORIM
SOL FORTE ÉPAISSEUR INDUSTRIAL FLORIM Nouvelle solution en grès cérame grande épaisseur pour l aménagement extérieur. Dalles en grès cérame fin coloré pleine masse de 2 cm d épaisseur, obtenues par atomisation
Plus en détailFONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4)
FONCTIONS DE PLUSIEURS VARIABLES (Outils Mathématiques 4) Bernard Le Stum Université de Rennes 1 Version du 13 mars 2009 Table des matières 1 Fonctions partielles, courbes de niveau 1 2 Limites et continuité
Plus en détailExprimer ce coefficient de proportionnalité sous forme de pourcentage : 3,5 %
23 CALCUL DE L INTÉRÊT Tau d intérêt Paul et Rémi ont reçu pour Noël, respectivement, 20 et 80. Ils placent cet argent dans une banque, au même tau. Au bout d une année, ce placement leur rapportera une
Plus en détailLABORATOIRE NATIONAL DU BÂTIMENT ET DES TRAVAUX PUBLICS REPUBLIQUE D HAÏTI
LABORATOIRE NATIONAL DU BÂTIMENT ET DES TRAVAUX PUBLICS REPUBLIQUE D HAÏTI Organisme Autonome sous Tutelle du Ministre des Travaux Publics, Transports et Communications PORT-AU-PRINCE, LE : 27 DÉCEMBRE
Plus en détailGénéralités. Aperçu. Introduction. Précision. Instruction de montage. Lubrification. Conception. Produits. Guides à brides FNS. Guides standards GNS
Généralités Aperçu Introduction Précision Instruction de montage Lubrification Conception page............................. 4............................. 5............................. 6.............................
Plus en détailSujet proposé par Yves M. LEROY. Cet examen se compose d un exercice et de deux problèmes. Ces trois parties sont indépendantes.
Promotion X 004 COURS D ANALYSE DES STRUCTURES MÉCANIQUES PAR LA MÉTHODE DES ELEMENTS FINIS (MEC 568) contrôle non classant (7 mars 007, heures) Documents autorisés : polycopié ; documents et notes de
Plus en détailRupture et plasticité
Rupture et plasticité Département de Mécanique, Ecole Polytechnique, 2009 2010 Département de Mécanique, Ecole Polytechnique, 2009 2010 25 novembre 2009 1 / 44 Rupture et plasticité : plan du cours Comportements
Plus en détailBREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR AGRICOLE SUJET
SESSION 2010 France métropolitaine BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR AGRICOLE ÉPREUVE N 2 DU PREMIER GROUPE ÉPREUVE SCIENTIFIQUE ET TECHNIQUE Option : Génie des équipements agricoles Durée : 3 heures 30 Matériel
Plus en détailDouille expansibleécarteur
08/2011 Instructions de montage 999415003 fr Douille expansibleécarteur 15,0 Référence 581120000 Description La douille expansible écarteur 15,0 sert à l ancrage du coffrage une face dans le béton. Il
Plus en détailSIMULATION DU PROCÉDÉ DE FABRICATION DIRECTE DE PIÈCES THERMOPLASTIQUES PAR FUSION LASER DE POUDRE
SIMULATION DU PROCÉDÉ DE FABRICATION DIRECTE DE PIÈCES THERMOPLASTIQUES PAR FUSION LASER DE POUDRE Denis DEFAUCHY Gilles REGNIER Patrice PEYRE Amine AMMAR Pièces FALCON - Dassault Aviation 1 Présentation
Plus en détailYves Debard. Université du Mans Master Modélisation Numérique et Réalité Virtuelle. http://iut.univ-lemans.fr/ydlogi/index.html
Méthode des éléments finis : élasticité à une dimension Yves Debard Université du Mans Master Modélisation Numérique et Réalité Virtuelle http://iut.univ-lemans.fr/ydlogi/index.html 4 mars 6 9 mars 11
Plus en détailSolutions d impression 3D. www.3dsolutionsystems.com Téléphone - standard : +33 (0) 1 74 31 11 93
Solutions d impression 3D www.3dsolutionsystems.com Téléphone - standard : +33 (0) 1 74 31 11 93 1 Imprimantes Dépôt de fil Cube Public Pour particulier ou petite entreprise ayant des besoins ponctuels
Plus en détailPlan du chapitre «Milieux diélectriques»
Plan du chapitre «Milieux diélectriques» 1. Sources microscopiques de la polarisation en régime statique 2. Etude macroscopique de la polarisation en régime statique 3. Susceptibilité diélectrique 4. Polarisation
Plus en détailenquête pour les fautes sur le fond, ce qui est graves pour une encyclopédie.
4.0 Contrôles /4 4 e enquête pour les fautes sur le fond, ce qui est graves pour une encyclopédie. RPPEL de 0. Wikipédia 2/2 Dans le chapitre : XX e siècle : ( 4.0 mythe paroxysme ) sous la photo d un
Plus en détailAvis Technique 14/14-2041. Luxor Silicone
Avis Technique 14/14-2041 Annule et remplace l Avis Technique 14/09-1511*V1 Flexibles comportant un tuyau en matériau thermoplastique revêtu d une tresse Flexibles de raccordement Flexible hoses Flexibel
Plus en détailLES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION
LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION LES CARACTERISTIQUES DES SUPPORTS DE TRANSMISSION ) Caractéristiques techniques des supports. L infrastructure d un réseau, la qualité de service offerte,
Plus en détailAdhésif structural pour le collage de renforts
Notice Produit Edition 18/07/2014 Numéro 3022 Version N 2014-253 N identification : 020206040010000001 Adhésif structural pour le collage de renforts Description est une colle structurale thixotrope à
Plus en détailTous les produits de la gamme SAF offrent des résistances :
Fiche Technique Strengths Are Flex La gamme SAF est basée sur une technologie et des polymères méthacrylates brevetés. Ces adhésifs de nouvelle génération permettent d adhérer sur de nombreux supports
Plus en détailP M L R O G W. sylomer. Gamme de Sylomer Standard. Propriétés Méthode de test Commentaires. Polyuréthane (PUR) Cellulaire mixte
Matière : Couleur : Polyuréthane (PUR) Cellulaire mixte Gris Recommandations d usage : Pression (dépend du facteur de forme) Déflexion Pression statique maximum :. N/mm ~ % Pression dyn. maximum :. N/mm
Plus en détailMESURE DE LA TEMPERATURE
145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les
Plus en détailLa plaque composite nora Lunatec combi
Une association remarquable : La plaque composite nora Lunatec combi pour la fabrication efficace de semelles plantaires et de semelles orthopédiques Présentation du produit Lunatec combi 1 4 nora Lunatec
Plus en détailGlissière linéaire à rouleaux
LRX Guidage linéaire Introduction Rail de guidage Joint Graisseur Corps Rouleaux cylindriques Joint Cage Couvercle d extrémité Les guides linéaires à rouleaux de la série LRX offrent une haute fiabilité
Plus en détailInformation. BASES LITTERAIRES Etre capable de répondre à une question du type «la valeur trouvée respecte t-elle le cahier des charges?
Compétences générales Avoir des piles neuves, ou récentes dans sa machine à calculer. Etre capable de retrouver instantanément une info dans sa machine. Prendre une bouteille d eau. Prendre CNI + convocation.
Plus en détailPrise en compte des Eurocodes dans le dimensionnement d ouvrages d art courant en béton armé. Comparaison avec «l ancienne» réglementation.
Prise en compte des Eurocodes dans le dimensionnement d ouvrages d art courant en béton armé. Comparaison avec «l ancienne» réglementation. Projet de Fin d Etude Auteur : GODARD Sandy Elève ingénieur en
Plus en détailMesures et incertitudes
En physique et en chimie, toute grandeur, mesurée ou calculée, est entachée d erreur, ce qui ne l empêche pas d être exploitée pour prendre des décisions. Aujourd hui, la notion d erreur a son vocabulaire
Plus en détailRappels sur les couples oxydantsréducteurs
CHAPITRE 1 TRANSFORMATIONS LENTES ET RAPIDES 1 Rappels sur les couples oxydantsréducteurs 1. Oxydants et réducteurs Un réducteur est une espèce chimique capable de céder au moins un électron Demi-équation
Plus en détailSystèmes de stockage et de manutention automatisés Ingénierie Logistique
Systèmes de stockage et de manutention automatisés Ingénierie Logistique ITALIE: Via dell Industria - 40064 Ozzano E. - Bo Italy Sede Legale - Uff.comm.italia e Servizio assitenza Via Bernardino verro,
Plus en détailEXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points)
BAC S 2011 LIBAN http://labolycee.org EXERCICE 2 : SUIVI CINETIQUE D UNE TRANSFORMATION PAR SPECTROPHOTOMETRIE (6 points) Les parties A et B sont indépendantes. A : Étude du fonctionnement d un spectrophotomètre
Plus en détailPROBLEME(12) Première partie : Peinture des murs et du plafond.
PROBLEME(12) Une entreprise doit rénover un local. Ce local a la forme d'un parallélépipède rectangle. La longueur est 6,40m, la largeur est 5,20m et la hauteur est 2,80m. Il comporte une porte de 2m de
Plus en détailD022751/01 TEXTE SOUMIS EN APPLICATION DE L ARTICLE 88-4 DE LA CONSTITUTION PAR LE GOUVERNEMENT, À L ASSEMBLÉE NATIONALE ET AU SÉNAT.
D022751/01 ASSEMBLÉE NATIONALE QUATORZIÈME LÉGISLATURE SÉNAT SESSION ORDINAIRE DE 2012-2013 Reçu à la Présidence de l Assemblée nationale le 3 octobre 2012 Enregistré à la Présidence du Sénat le 3 octobre
Plus en détailBACCALAURÉAT GÉNÉRAL SÉRIE SCIENTIFIQUE
BACCALAURÉAT GÉNÉRAL SÉRIE SCIENTIFIQUE ÉPREUVE DE SCIENCES DE L INGÉNIEUR ÉPREUVE DU VENDREDI 20 JUIN 2014 Session 2014 Durée de l épreuve : 4 heures Coefficient 4,5 pour les candidats ayant choisi un
Plus en détailInteractions des rayonnements avec la matière
UE3-1 : Biophysique Chapitre 2 : Interactions des rayonnements avec la matière Professeur Jean-Philippe VUILLEZ Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailQUELLE FIBRE UTILISER EN FONCTION DE MES APPLICATIONS. OM1, OM2 ou OM3, QUELLE EST LA FIBRE QU IL ME FAUT POUR MON INSTALLATION?
QUELLE FIBRE UTILISER EN FONCTION DE MES APPLICATIONS LE MATCH µm VS 62,5 µm Dans les années 70, les premières fibres optiques de télécommunications avaient un coeur de µm : ces dernières ont été remplacées
Plus en détail10ème Congrès Français d'acoustique Lyon, 12-16 Avril 2010
1ème Congrès Français d'acoustique Lyon, 12-16 Avril 21 Identification du dommage par EA de stratifiés composites chargés en statique et cyclique M. Kharoubi 1, L. Fatmi 1, A. El Mahi 2, R. EL Guerjouma
Plus en détailDÉVERSEMENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYMÉTRIQUE SOUMISE À DES MOMENTS D EXTRÉMITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE
Revue Construction étallique Référence DÉVERSEENT ÉLASTIQUE D UNE POUTRE À SECTION BI-SYÉTRIQUE SOUISE À DES OENTS D EXTRÉITÉ ET UNE CHARGE RÉPARTIE OU CONCENTRÉE par Y. GALÉA 1 1. INTRODUCTION Que ce
Plus en détailTP 3 diffusion à travers une membrane
TP 3 diffusion à travers une membrane CONSIGNES DE SÉCURITÉ Ce TP nécessite la manipulation de liquides pouvant tacher les vêtements. Le port de la blouse est fortement conseillé. Les essuie tout en papier
Plus en détailMODE D EMPLOI Boitier de programmation SKY300046-01
MODE D EMPLOI Boitier de programmation SKY300046-01 INTRODUCTION Merci d avoir fait l acquisition du Boitier de programmation SkyRc (SKY300046-01). Veuillez lire complètement et attentivement ce manuel
Plus en détailMESURE ET PRECISION. Il est clair que si le voltmètre mesure bien la tension U aux bornes de R, l ampèremètre, lui, mesure. R mes. mes. .
MESURE ET PRECISIO La détermination de la valeur d une grandeur G à partir des mesures expérimentales de grandeurs a et b dont elle dépend n a vraiment de sens que si elle est accompagnée de la précision
Plus en détailGuide pour l analyse de l existant technique. Partie 3
Partie 3 La Liaison Pivot sur roulement : Le Composant ROULEMENT 0 Introduction Le but de ce guide est de vous permettre une meilleure rédaction des rapports de Bureaux d Études que vous aurez à nous remettre
Plus en détailDIFFRACTion des ondes
DIFFRACTion des ondes I DIFFRACTION DES ONDES PAR LA CUVE À ONDES Lorsqu'une onde plane traverse un trou, elle se transforme en onde circulaire. On dit que l'onde plane est diffractée par le trou. Ce phénomène
Plus en détailG.P. DNS02 Septembre 2012. Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3. Réfraction
DNS Sujet Réfraction...1 I.Préliminaires...1 II.Première partie...1 III.Deuxième partie...3 Réfraction I. Préliminaires 1. Rappeler la valeur et l'unité de la perméabilité magnétique du vide µ 0. Donner
Plus en détailMicroscopies Électroniques
Microscopies Électroniques M2 Microscopie Électronique en Transmission Diffraction Nicolas Menguy Institut de Minéralogie et Physique des Milieux Condensés Plan Le microscope électronique en transmission
Plus en détailDéformabilité des sols. Tassements. Consolidation
Déformabilité des sols. Tassements. Consolidation par Jean-Pierre MAGNAN Ingénieur en chef des Ponts et Chaussées Directeur technique au Laboratoire Central des Ponts et Chaussées, Paris Professeur de
Plus en détailANALYSE SPECTRALE. monochromateur
ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle
Plus en détailPURE : dans les data centres
PURE : Rendre planifiable en toute sécurité le câblage dans les data centres L EFFET PURE : DEUX FOIS PLUS DE CONNEXIONS ET * 15 MÈTRES DE LONGUEUR DE lien EN PLUS PreCONNECT PURE constitue une étape majeure
Plus en détailVis à béton FBS et FSS
Vis à béton FBS et FSS Un montage rapide et de hautes performances. ETA-11/0093 ETAG 001-6 Usage multiple pour application non structurelle dans le béton Z-21.8-2015 ETA-11/0095 ETAG 001-3 Option 1 pour
Plus en détailEquipement d un forage d eau potable
Equipement d un d eau potable Mise en situation La Société des Sources de Soultzmatt est une Société d Economie Mixte (SEM) dont l activité est l extraction et l embouteillage d eau de source en vue de
Plus en détailVanne à tête inclinée VZXF
Caractéristiques et fourniture Fonction LavanneàtêteinclinéeVZXF est un distributeur 2/2 à pilotage externe. Les distributeurs de ce type sont commutés par le biais d'un fluide de commande supplémentaire.
Plus en détailDOSSIER TECHNIQUE R-GO SPA. Production et assemblage 100 % Française. 3 Rue Pierre Mendès France 61200 ARGENTAN
DOSSIER TECHNIQUE R-GO SPA R-GO SPA Production et assemblage 100 % Française 1 Implantation technique Il faut retenir que la partie technique a un encombrement total de 250 cm par 90 cm au minimum, et
Plus en détailSYS-849: Techniques avancées de mise en forme
SYS-849: Techniques avancées de mise en forme Cours# 11: Mise en forme par coulage mécanique (Die Casting) Boîtier de connexion électronique en zinc Source: NADCA: North American Die Casting Association
Plus en détail