Avantages et inconvénients
|
|
- Jeanne Simoneau
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 GESTION DU RISQUE M Y C O T O X I N E S Marqueurs biologiques liés aux mycotoxines Avantages et inconvénients Christina Schwab Chef de produit, Gestion du risque mycotoxines
2 2
3 Christina Schwab Chef de produit, Gestion du risque mycotoxines Marqueurs biologiques liés aux mycotoxines Avantages et inconvénients L analyse régulière des aliments afin de détecter la présence éventuelle de mycotoxines contribue largement à l efficacité de la stratégie de gestion des risques liés aux mycotoxines utilisée par l éleveur. L ingestion d aliments contaminés expose les animaux d élevage aux effets délétères des mycotoxines sur la santé. Les scientifiques œuvrent depuis plus de 30 ans au développement de substances appelées «marqueurs biologiques» afin de parvenir à établir une corrélation entre les effets observés sur la santé et l exposition à une contamination par les mycotoxines, et ce, grâce au dosage d un paramètre essentiel dans le sang ou d autres échantillons physiologiques. Quels sont les avantages et les inconvénients de l utilisation des marqueurs biologiques liés aux mycotoxines? Les mycotoxines sont des métabolites toxiques sécrétés par des champignons filamenteux et sont retrouvés dans la quasi-totalité des céréales. Environ 95 % de la contamination des céréales par des mycotoxines, quelle que soit la mycotoxine impliquée, a lieu avant la moisson. Malgré la mise en œuvre largement répandue de mesures préventives dans les bonnes pratiques agricoles, 81 % des échantillons d aliments analysés en 2013 (plus de échantillons) contenaient des mycotoxines (rapport BIOMIN sur les mycotoxines, 2013). Étant donné que les conséquences des mycotoxines et leurs effets sur la santé varient considérablement d un animal à l autre, les scientifiques, vétérinaires et éleveurs sont constamment à la recherche de marqueurs biologiques concluants d un point de vue diagnostique. Qu est-ce qu un marqueur biologique lié aux mycotoxines? Marqueur biologique d exposition aux mycotoxines Il est important de distinguer les marqueurs biologiques liés à l exposition aux mycotoxines de ceux liés à leurs effets au sein de l organisme. La présence d aflatoxine M 1 (AfM 1 ) dans le lait de vache constitue un bon exemple de marqueur biologique d exposition (voir tableau 1). Les marqueurs biologiques d exposition permettent de mesurer la quantité de mycotoxines ou de métabolites dans le sang, le lait, l urine, les matières fécales ou d autres échantillons physiologiques. Il est possible, dans une certaine mesure, que la concentration Tableau 1. Marqueurs biologiques potentiels d une exposition aux principales mycotoxines utilisées dans les études scientifiques et marqueurs associés aux effets de ces mycotoxines. Mycotoxine Aflatoxine B 1 (AfB 1 ) Fumonisine B 1 (FB 1 ) Déoxynivalénol (DON) Zéaralénone (ZEN) Ochratoxine A (OTA) Marqueur biologique d exposition AfM 1 dans le lait FB 1 dans le sang, l urine et les matières fécales DON, dé-époxy-don et autres métabolites dans l urine, les tissus et les matières fécales ZEN, zéaralénol, zéaralanol et autres métabolites dans le sang, l urine et les matières fécales OTA et ses métabolites dans le sang, l urine et les tissus (rein) Source: Biomin, adapté de Baldwin et al., 2011 en mycotoxines d un échantillon physiologique soit détectée inchangée alors que le reste est métabolisé. Marqueur biologique associé aux effets Sous-produits de la réaction AfB 1 -albumine dans le sang Sous-produits de la réaction AfB 1 -ADN dans l urine et les tissus Rapport Sa/So dans le sang et les tissus Cytokines proinflammatoires dans le sang et les tissus Conjugués d acide glucuronique dans l urine et les matières fécales Perturbation endocrinienne au niveau des tissus Sous-produits de la réaction OTA-ADN dans les tissus 3
4 Christina Schwab Chef de produit, Gestion du risque mycotoxines En raison de la variété des métabolites issus de chaque mycotoxine et de tant qu outils diagnostiques est uniquement possible dans les é fait qu il n existe aucune recommandation concernant les niveaux de r En tenant compte de certains facteurs, dont la production de lait, on estime qu entre 1 et 6 % de l AfB 1 ingérée peut se retrouver sous forme d AfM 1 (métabolite hydroxylé) dans le lait de vache. De manière approximative, une concentration en AfM 1 de 0,05 ppb dans le lait (niveau maximum pour le lait au sein de l UE) correspondrait à une concentration en AfB 1 comprise entre 0,8 et 5 ppb dans un aliment composé (5 ppb constituant le niveau maximum pour les aliments composés destinés aux vaches laitières au sein de l UE). Cet exemple montre qu il est conseillé de rechercher la présence de mycotoxines dans les aliments afin d éviter les risques liés à la production de lait contaminé contenant de l aflatoxine à un niveau proche du niveau maximum autorisé au sein de l UE. Marqueurs biologiques des effets des mycotoxines Les marqueurs biologiques des effets des mycotoxines au sein de l organisme, également appelés marqueurs biologiques basés sur des mécanismes de base, doivent être directement associés à une étape spécifique de la perturbation Qu en est-il de la méthode ELISA? Malgré sa rapidité d exécution et son prix peu élevé, la méthode ELISA peut uniquement être utilisée avec des matières premières validées et ne constitue pas une méthode fiable pour l analyse d échantillons physiologiques non validés. Des échantillons de sérum et de lait ont été analysés dans deux laboratoires différents afin de rechercher la présence de DON. Alors que les concentrations obtenues avec la méthode ELISA dans le premier laboratoire variaient de 69,5 à 117,5 µg/l, celles mesurées par HPLC dans le deuxième laboratoire étaient inférieures au seuil de détection. Il est évident que les résultats obtenus avec la méthode ELISA étaient de faux positifs car cette méthode ne convient pas à la détection des mycotoxines dans des matrices complexes comme la nourriture, le lait et le sang. Tableau 2. Comparaison des résultats obtenus avec la méthode ELISA à ceux obtenus par HPLC lors de l analyse d échantillons physiologiques DON avec ELISA 1 DON avec HPLC 2 Aliments utilisés en <134 µg/kg 77 µg/kg période de lactation Truie : lait 75 µg/l <0,5 µg/l Truie : sérum µg/l <2,0 µg/l Porcelet : sérum 69,5 µg/l <2,0 µg/l 1 BioCheck GmbH, Leibzig, Allemagne 2 S. Dänicke (Centre fédéral de recherche en agriculture, Institut de nutrition animale, Brunswick), Allemagne des processus métaboliques et cellulaires. Par exemple, l œdème pulmonaire porcin est précédé d une perturbation du métabolisme des sphingolipides par la fumonisine B 1 (FB 1 ). Cette substance inhibe la céramide synthétase, ce qui entraîne une augmentation du rapport sphinganine-sphingosine (Sa/So). Ce rapport constitue un marqueur biologique scientifiquement reconnu des effets des fumonisines (FUM) chez le porc, mais pas chez l homme. Et en pratique? Dans le cas des FUM, le rapport Sa/So est une donnée utilisée dans les études scientifiques mais difficilement applicable au niveau de l exploitation. Il est difficile de disposer d aliments contrôlés et impossible de définir la valeur seuil pour le rapport Sa/So en raison du manque d animaux non exposés dans les élevages. En outre, pour qu un marqueur biologique puisse être utilisé de manière pertinente en pratique, une corrélation linéaire entre l exposition à la mycotoxine et son ingestion doit exister. Certaines études scientifiques publiées ont révélé l existence de ce type de corrélation pour le DON et ses métabolites quantifiés dans le sang ou l urine du porc, mais il existe toutefois des limites. Néanmoins, les différences de concentration en mycotoxines d un échantillon physiologique à l autre ne permettent pas d établir des conclusions quant à la quantité de mycotoxines ingérée et aux effets de ces substances sur la santé des animaux. Ce point explique qu il n existe aucune valeur recommandée établie concernant les concentrations critiques de DON ou d autres mycotoxines dans le sang ou d autres types d échantillons physiologiques chez les animaux, ce qui Photo: Alex Raths_iStockphoto 4
5 Marqueurs biologiques liés aux mycotoxines Avantages et inconvénients s différences de toxicité, l utilisation des marqueurs biologiques en tudes scientifiques. Il convient également de tenir compte du isque dans les échantillons physiologiques. rend l interprétation des résultats impossible. Le fait de devoir réaliser les prélèvements destinés à une analyse censée être représentative à un moment bien précis vient encore compliquer la situation. En effet, la concentration sanguine en DON et ses métabolites atteint sa valeur maximale deux heures après l ingestion et baisse rapidement ensuite. La concentration en ZEN diminue moins vite en raison de la circulation entéro-hépatique (absorption sanguine, excrétion via la bile et réabsorption sanguine). Il est difficile de déterminer le moment opportun pour effectuer un prélèvement dans une exploitation en raison des systèmes d alimentation ad libitum généralement utilisés ; les résultats obtenus ne sont par conséquent pas représentatifs de la réalité. Il convient également de tenir compte du fait que le DON, à l instar d autres mycotoxines, se transforme en métabolites comme le DON-glucuronide et le dé-époxy- DON, ainsi qu en autres métabolites inconnus. La proportion de DON dépend de l espèce animale, de son cycle de vie, du microbiote intestinal et de l état de santé de l animal exposé. En outre, la toxicité des métabolites du DON peut varier de celle du DON comme c est par exemple le cas avec le dé-époxy-don qui n est pas toxique. Le ZEN peut se retrouver sous forme d alpha et bêta-zéaralénol, d alpha et bêta-zéaralanol, et de leurs formes glucuronées dans les échantillons physiologiques. La transformation du ZEN en alpha-zéaralénol augmente l œstrogénicité. Par conséquent, il n est pas suffisant de rechercher une seule mycotoxine de manière isolée. Analyse des marqueurs biologiques Au cours des dernières années, des méthodes d analyse basées sur la chromatographie en phase liquide couplée à la spectrométrie de masse, ou uniquement sur la spectrométrie de masse (LC-MS/MS), ont vu le jour. Il s agit de méthodes extrêmement sélectives et suffisamment sensibles pour détecter la présence de mycotoxines à des concentrations très faibles. Ces méthodes permettent en outre de quantifier simultanément plusieurs métabolites. La méthode ELISA (enzyme-linked immunosorbent assay) permet uniquement un dépistage approximatif car les effets de matrice liés aux fluides organiques altèrent les résultats. Les anticorps utilisés pour réaliser les tests ELISA de quantification des mycotoxines présentent une large réactivité croisée vis-à-vis des métabolites associés. Par exemple, la plupart des kits de tests ELISA destinés au dépistage du ZEN permettent également de détecter l alpha-zéaralénol, mais ne permettent pas de distinguer les différents métabolites. Bien souvent, la réactivité croisée vis-à-vis des différents métabolites Voie métabolique du DON chez le porc En fonction du microbiote intestinal disponible, le DON ingéré est métabolisé en de-époxy-don non toxique (DOM-1). Le DON et le DOM- 1 sont ensuite partiellement absorbés dans la circulation sanguine et transformés en DON-glucuronide (DON-GlcA) et DOM-1-glucoronide (DOM-1-GlcA) dans le foie. Après leur passage dans la circulation générale, les métabolites sont excrétés dans l urine (30 à 93 % du DON ingéré) ; les matières fécales n en contiennent qu une faible quantité (1 à 3 %). Le reste se compose de métabolites non identifiés et de DON qui sera encore dégradé par la suite. La quantification du DON dans les échantillons physiologiques est uniquement possible si tous les métabolites sont analysés, ce qui reste impossible à réaliser en pratique. DON DOM-1 Excrétion fécale 1 à 3 % DON DON-GlcA DOM-1 DOM-1-GlcA n est ni évaluée ni clairement spécifiée dans le manuel d utilisation des kits. Alors que nous disposons de méthodes validées pour l analyse des mycotoxines dans les aliments, il n en existe presque aucune pour l analyse des marqueurs biologiques. Il convient désormais d établir des mesures de contrôle qualité pour les laboratoires commerciaux concernant l analyse des mycotoxines dans les échantillons physiologiques, mesures déjà existantes lors d analyse dans les aliments. Même si les marqueurs biologiques constituent de précieux outils pour les études scientifiques, il est nécessaire de mieux connaître les facteurs intervenant sur la biodisponibilité, la cinétique et le profil métabolique des mycotoxines chez l animal avant de pouvoir utiliser ces marqueurs en pratique, dans les exploitations. Il manque encore une corrélation linéaire pour les marqueurs biologiques. En outre, il est indispensable d utiliser des groupes témoins et des méthodes de prélèvement complexes, ce qui rend les procédures très onéreuses. L analyse des mycotoxines dans les aliments est une approche fiable bien établie pour évaluer les risques éventuels et constitue par conséquent la méthode de choix. Les références bibliographiques sont disponibles sur demande. Circulation générale Excrétion urinaire ~50% 5
6
7
8 BIOMIN Holding GmbH Industriestrasse 21, A-3130 Herzogenburg, AUSTRIA Tel: , Fax: , BIOMIN Holding GmbH ART_Nr144_MYC_EN_0914_CSH_#12
MYCOTOXINES : changements règlementaires et analytiques
MYCOTOXINES : changements règlementaires et analytiques E. MARENGUE ( LDA22 ) et S. HULOT ( IDAC ) PLAN 1) La problématique 2) Les évolutions règlementaires 3) L échantillonnage : étape clé 4) Les techniques
Plus en détailTuberculose bovine. Situation actuelle
Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier
Plus en détailProfesseur Diane GODIN-RIBUOT
UE3-2 - Physiologie rénale Chapitre 5 : Mesure de la fonction rénale : la clairance rénale Professeur Diane GODIN-RIBUOT Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES
L OUTIL IDEAL POUR TOUTES LES DETECTIONS IMMUNOCHIMIQUES pour toutes les techniques immunodosages (EIA/ELISA) dot/ westernblot immunohistochimie immunocytochimie cytométrie en flux quel que soit le système
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailToxicité à long-terme d un herbicide Roundup et d un maïs modifié génétiquement pour tolérer le Roundup
A l attention de toutes les personnes qui se méfient des jugements de valeur fussent-ils émis par des scientifiques- et qui préfèrent capter les informations à leur source pour s en faire une opinion personnelle.
Plus en détailActivité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme
Activité 38 : Découvrir comment certains déchets issus de fonctionnement des organes sont éliminés de l organisme 1. EXTRAITS REFERENTIELS DU BO Partie du programme : Fonctionnement de l organisme et besoin
Plus en détaildes banques pour la recherche
ADN, cellules, tissus... des banques pour la recherche FÉVRIER 2009 Les banques d échantillons de matériel biologique (tissus, cellules, ADN ), appelées biobanques, mettent à disposition des chercheurs
Plus en détailL eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 %
24 L eau est le principal constituant du corps humain. La quantité moyenne d eau contenue dans un organisme adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres d eau pour une personne de 70 kilogrammes.
Plus en détailTEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES
TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES Classement NABM : non inscrit code : non codé DÉCEMBRE 2006 Service évaluation des actes professionnels
Plus en détail5.5.5 Exemple d un essai immunologique
5.5.5 Exemple d un essai immunologique Test de grossesse Test en forme de bâtonnet destiné à mettre en évidence l'hormone spécifique de la grossesse, la gonadotrophine chorionique humaine (hcg), une glycoprotéine.
Plus en détailPrévenir la colonisation par Campylobacter chez les poulets de chair. Dr. Wael Abdelrahman Consultant technique, Probiotiques volailles
Prévenir la colonisation par Campylobacter chez les poulets de chair Dr. Wael Abdelrahman Consultant technique, Probiotiques volailles Prévenir la colonisation par Campylobacter chez les poulets de chair
Plus en détailLa lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.
Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détailACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie
ACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie Capacité d adaptation des systèmes en Agriculture Biologique aux épisodes de sécheresse AUTONOMIE ALIMENTAIRE Maître d œuvre : Chambres d Agriculture
Plus en détailLes tests thyroïdiens
Les tests thyroïdiens Mise à jour de juin 2007 par S. Fatio Réf: les images et les graphiques sont tirés de www.endotext.org (textbook d endocrinologie online et libre d accès) QuickTime et un décompresseur
Plus en détailPour en savoir plus sur la
Pour en savoir plus sur la Connaître son ennemi Moyens de lutte Mycotoxines La recherche Ce que vous pouvez faire La fusariose de l épi est une maladie fongique qui touche plusieurs cultures céréalières
Plus en détailGénétique et génomique Pierre Martin
Génétique et génomique Pierre Martin Principe de la sélections Repérage des animaux intéressants X Accouplements Programmés Sélection des meilleurs mâles pour la diffusion Index diffusés Indexation simultanée
Plus en détailCONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD?
CONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD? Hélène MANGEARD François MALADRY Tuberculose : infection mycobactérienne Infection mycobactérienne chronique (M. Tuberculosis ++ ou bacille
Plus en détailLe VIH et votre foie
Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)
Plus en détailDiagnostic des Hépatites virales B et C. P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux
Diagnostic des Hépatites virales B et C P. Trimoulet Laboratoire de Virologie, CHU de Bordeaux Diagnostic VHC Dépistage: pourquoi? Maladie fréquente (Ac anti VHC chez 0,84% de la population soit 367 055
Plus en détailLA PERITONITE INFECTIEUSE FELINE
Marie-Hélène BONNET 8, Avenue de l Amiral Narbonne 111120 Bize Minervois Tél. 04.68.40.61.50 Email : manoirperceval@wanadoo.fr LA PERITONITE INFECTIEUSE FELINE A lire très attentivement, et à faire lire
Plus en détailTransfusions sanguines, greffes et transplantations
Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222
Plus en détailUtilisation des substrats énergétiques
Utilisation des substrats énergétiques Collège des Enseignants de Nutrition Date de création du document 2010-2011 Table des matières I Les organes et les substrats... 3 I.1 Les substrats énergétiques...
Plus en détailTEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY)
TEST ELISA (ENZYME-LINKED IMMUNOSORBENT ASSEY) Lise Vézina, technicienne de laboratoire Michel Lacroix, agronome-phytopathologiste Direction de l innovation scientifique et technologique Au Laboratoire
Plus en détail4. Conditionnement et conservation de l échantillon
1. Objet S-II-3V1 DOSAGE DU MERCURE DANS LES EXTRAITS D EAU RÉGALE Description du dosage du mercure par spectrométrie d absorption atomique de vapeur froide ou par spectrométrie de fluorescence atomique
Plus en détailAnnales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale
Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale Plombémie Plombémie 07PLO1 ; 07PLO2 ; 07PLO3 et 07PLO4 2007 Edition : décembre 2008 Afssaps -143/147, Bd Anatole France F-93285
Plus en détailGènes Diffusion - EPIC 2010
Gènes Diffusion - EPIC 2010 1. Contexte. 2. Notion de génétique animale. 3. Profil de l équipe plateforme. 4. Type et gestion des données biologiques. 5. Environnement Matériel et Logiciel. 6. Analyses
Plus en détailL immunoenzymologie. Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic cificité des anticorps pour leurs nes
L immunoenzymologie Technique puissante couramment utilisée e en recherche et en diagnostic Basée e sur la très s grande spécificit cificité des anticorps pour leurs antigènes nes Test qualitatif Détection
Plus en détailDIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires.
Produits de thérapie cellulaire DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires. DIAPOSITIVE 2 La fabrication des thérapies cellulaires est examinée par la Division
Plus en détailKIT ELISA dosage immunologique anti-bsa REF : ELISA A RECEPTION DU COLIS : Vérifier la composition du colis indiquée ci-dessous en pages 1 et 2
KIT ELISA dosage immunologique anti-bsa REF : ELISA : 0033 (0)169922672 : 0033 (0)169922674 : www.sordalab.com @ : sordalab@wanadoo.fr A RECEPTION DU COLIS : Vérifier la composition du colis indiquée ci-dessous
Plus en détailL ALCOOL ET LE CORPS HUMAIN
L ALCOOL ET LE CORPS HUMAIN TABLE DES MATIÈRES Présentation 1 L alcool, différent des autres aliments 2 Différent au moment de l absorption 3 Différent au moment de l élimination 4 Différent dans les conséquences
Plus en détail*Institut Supérieur Agricole de Beauvais, Département des Sciences Animales, B.P. 30313, 60026, Beauvais Cedex
Appréciation de la qualité sanitaire du CORAMI, co-produit de l'amidonnerie du blé utilisé en alimentation porcine Diana RINGOT* Pascale LESTRADET* Francis WILLEQUET* *Institut Supérieur Agricole de Beauvais,
Plus en détailTOX. 360 MERCURE toxicologie médicolégale
- I - PHASE PREANALYTIQUE A. Prélèvements TOX. 360 MERCURE toxicologie médicolégale 1. Nature : Selon le consensus S.F.T.A du 23/02/96 concernant les modalités de l autopsie en Médecine Légale : - Sang
Plus en détailGranulés anti-limaces : pas sans risques!
Granulés anti-limaces : pas sans risques! Conseils pratiques pour une utilisation et un stockage corrects et sans danger pour vos animaux domestiques Comment utiliser et stocker sans danger les granulés
Plus en détailMYCOTOXINES : Guide d'utilisation des kits immunoenzymatiques format microplaques (kits ELISA)
SOMMAIRE MYCOTOXINES : Guide d'utilisation des kits immunoenzymatiques format microplaques (kits ELISA) Institut de Recherches Technologiques Agro-Alimentaires des Céréales Version 2 SOMMAIRE Points Critiques
Plus en détailLes tests génétiques à des fins médicales
Les tests génétiques à des fins médicales Les tests génétiques à des fins médicales Nous avons tous hérité d une combinaison unique de gènes de la part de nos parents. Cette constitution originale et l
Plus en détailDOSSIER D'INSCRIPTION
CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE NICE ECOLE D' INFIRMIERS ANESTHESISTES CONCOURS D ENTREE DOSSIER D'INSCRIPTION DATE LIMITE DE DEPOT LE DERNIER JOUR OUVRABLE DU MOIS DE MARS ANNEE N ECOLE INFIRMIERS
Plus en détailwww.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage
2 HTS 3 Immunologie / Immunologie Informations Techniques 3 I 2 ELISA 96 Puits 3 I 4 ELISA 96 Puits en Barrettes 3 I 6 en Barrettes de 8 Puits 3 I 7 en Barrettes de 12 Puits 3 I 8 en Barrettes de 16 Puits
Plus en détailMaîtrise des phases critiques en élevage porcin : Comment améliorer la santé digestive du porcelet?
1. Introduction : Maîtrise des phases critiques en élevage porcin : Comment améliorer la santé digestive du porcelet? P. Rondia* et J. Wavreille** Centre wallon de recherches agronomiques *Unité Nutrition
Plus en détailAPPLICATION QMS AMIKACINE Système intégré Ortho Clinical Diagnostics VITROS 5600, systèmes de chimie VITROS 5,1 FS et 4600
Microgenics Corporation Entreprise de Thermo Fisher Scientific APPLICATION QMS AMIKACINE Système intégré Ortho Clinical Diagnostics VITROS 5600, systèmes de chimie VITROS 5,1 FS et 4600 Réf. 0373910 Destiné
Plus en détailIntroduction. CRA-W- Département Productions et Filières, Unité Mode d élevage, bien être et qualité
Gestion raisonnée du parasitisme gastro-intestinal chez le jeune bétail laitier à l herbe Remience Virginie, attachée scientifique 1 ;Vanvinckenroye Caroline, assistante 2 ; Decruyenaere Virginie, attachée
Plus en détailChapitre II La régulation de la glycémie
Chapitre II La régulation de la glycémie Glycémie : concentration de glucose dans le sang valeur proche de 1g/L Hypoglycémie : perte de connaissance, troubles de la vue, voire coma. Hyperglycémie chronique
Plus en détailProduire avec de l'herbe Du sol à l'animal
GUIDE PRATIQUE DE L'ÉLEVEUR Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal avril 2011 BRETAGNE PAYS DE LA LOIRE SOMMAIRE Paroles d éleveurs 4 Quelle place donner à l herbe Le choix d un système fourrager 8
Plus en détailAnnales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale
Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale Anticorps anti-tissus non spécifiques d organe (anticorps anti-mitochondries de type M2) Immuno-pathologie 04ATI2 Janvier 2005
Plus en détailInfestation par Dipylidium caninum,
Fiche technique n 24 Infestation par Dipylidium caninum, le téniasis félin à Dipylidium Parmi tous les vers qui peuvent infester le chat, Dipylidium caninum est un parasite fréquemment rencontré dans le
Plus en détailAnnales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale
Annales du Contrôle National de Qualité des Analyses de Biologie Médicale ARN du virus de l hépatite C : ARN-VHC ARN-VHC 03VHC1 Novembre 2003 Edité : mars 2006 Annales ARN-VHC 03VHC1 1 / 8 ARN-VHC 03VHC1
Plus en détailBREVET D ÉTUDES PROFESSIONNELLES AGRICOLES SUJET
SESSION 2010 France métropolitaine Option : élevage canin et félin BREVET D ÉTUDES PROFESSIONNELLES AGRICOLES ÉPREUVE E DU DEUXIÈME GROUPE Durée : 2 heures Matériel(s) et document(s) autorisé(s) : Calculatrice
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT Les étapes du don de rein DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT concerner CHACUN le don du vivant 3 /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailCompléments - Chapitre 5 Spectroscopie
ompléments - hapitre 5 Spectroscopie Spectroscopie par résonance magnétique nucléaire (RMN 13 ) Tandis que la spectroscopie RMN 1 H fournit des données sur la disposition des atomes d'hydrogène dans une
Plus en détailTest direct à l Antiglobuline (TDA ou Coombs direct)
Test direct à l Antiglobuline (TDA ou Coombs direct) Mise en évidence par le réactif de Coombs polyspécifique d une fixation des anticorps (Igs) ou des fractions du complément (C3d) sur les hématies du
Plus en détailÉVALUATION DU RISQUE SANITAIRE LIE A LA PRÉSENCE D OCHRATOXINE A DANS DES FARINES ALIMENTAIRES ET LES VINS COMMERCIALISÉES AU BÉNIN
International Journal of Innovation and Applied Studies ISSN 2028-9324 Vol. 7 No. 3 Aug. 2014, pp. 1085-1089 2014 Innovative Space of Scientific Research Journals http://www.ijias.issr-journals.org/ ÉVALUATION
Plus en détailRÉPERTOIRE RELÈVE SCIENTIFIQUE AU SERVICE DES ENTREPRISES AGROALIMENTAIRES. 2 e édition
RELÈVE SCIENTIFIQUE AU SERVICE 2 e édition Juin 2011 Réalisé par : Partenaire financier du CQVB : Objectif : Ce répertoire vise à faciliter le maillage entre les étudiants-chercheurs universitaires et
Plus en détailLe but de la radioprotection est d empêcher ou de réduire les LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION
LES PRINCIPES DE LA RADIOPROTECTION TOUT PUBLIC 1. Source de rayonnements ionisants 2. Les différents rayonnements ionisants et leur capacité à traverser le corps humain 3. Ecran de protection absorbant
Plus en détailNOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Bisolax 5 mg comprimés enrobés. Bisacodyl
NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR Bisolax 5 mg comprimés enrobés Bisacodyl Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament car elle contient des informations importantes pour
Plus en détailRegistre des dossiers et des mesures correctives du programme LCQ
Programme Lait canadien de qualité des Producteurs laitiers du Canada Registre des dossiers et des mesures correctives du programme LCQ Utiliser avec le Registre et le Calendrier de DGI pour des dossiers
Plus en détailConférence ALINE GRENIER, AGR. ET PIERRE MASSIE PROGRAMME D APPRENTISSAGE EN MILIEU DE TRAVAIL (PAMT)
Conférence ALINE GRENIER, AGR. ET PIERRE MASSIE PROGRAMME D APPRENTISSAGE EN MILIEU DE TRAVAIL (PAMT) 38 Programme d apprentissage en milieu de travail (PAMT) ALINE GRENIER ET PIERRE MASSIE POURQUOI LE
Plus en détailMesures in situ et sur site
Mesures in situ et sur site Avantages de la mesure in-situ pas de perturbation du milieu pas d échantillonnage (prélèvement, conditionnement, stockage) mesure en temps réel Senseurs chimiques Biocapteurs
Plus en détailDECiDE, un outil pour évaluer les émissions de gaz à effet de serre (GES) et les consommations énergétiques des exploitations agricoles wallonnes
DECiDE, un outil pour évaluer les émissions de gaz à effet de serre (GES) et les consommations énergétiques des exploitations agricoles wallonnes 14 ème journée d étude des productions porcines et avicoles,
Plus en détailCONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE
Ministère de l enseignement supérieur et de la recherche Ministère de la santé et des sports CONCOURS DE L INTERNAT EN PHARMACIE Valeurs biologiques usuelles Edition de Novembre 2009 (6 pages) Conseil
Plus en détailPARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement
PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?
Plus en détailMarc VARCHAVSKY Conseil National CER FRANCE Olivier BOUCHONNEAU Président de CER FRANCE 49
Impact de la variabilité des prix des produits agricoles et des intrants sur les exploitations en France Marc VARCHAVSKY Conseil National CER FRANCE Olivier BOUCHONNEAU Président de CER FRANCE 49 Colloque
Plus en détailUne conférence-débat proposée par l Institut National de la Recherche Agronomique
Economies d'énergies dans les procédés agro-alimentaires : l'optimisation coût/qualité, un équilibre pas si facile à maîtriser Une conférence-débat proposée par l Institut National de la Recherche Agronomique
Plus en détailPLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE
PLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE CHEFIRAT B. Les intoxications aiguës constituent un réel problème de santé publique dont l impact reste encore à évaluer. Le nombre total
Plus en détailCOMMISSION EUROPÉENNE DIRECTION GÉNÉRALE DE LA SANTÉ ET DES CONSOMMATEURS
Ref. Ares(2013)2807435-01/08/2013 COMMISSION EUROPÉENNE DIRECTION GÉNÉRALE DE LA SANTÉ ET DES CONSOMMATEURS Direction F Office alimentaire et vétérinaire DG(SANCO) 2013-6657 RM FINAL PROJET DE RAPPORT
Plus en détailRISQUE CHIMIQUE : VÉRIFIER L EFFICACITÉ DES ACTIONS DE PRÉVENTION COLLECTIVE
RISQUE CHIMIQUE : VÉRIFIER L EFFICACITÉ DES ACTIONS DE PRÉVENTION COLLECTIVE >> www.cramif.fr RISQUE CHIMIQUE : LE SUIVI DES MESURES DE PRÉVENTION Dans le cas du risque chimique, lorsque la substitution
Plus en détailPROPOSITION TECHNIQUE ET FINANCIERE
Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Votre correspondant : Romain CRESSON INRA Transfert Environnement Avenue des Etangs Narbonne, F-11100, France Tel: +33 (0)4 68 46 64 32 Fax: +33 (0)4 68 42 51
Plus en détailLA A RESPIRATION CELLULAIRE
Instructions aux professeurs Domaine : 1.1 Le transport de substances, réaction chimique de la respiration cellulaire, p. 6 Travail à réaliser : Les élèves répondent aux questions. Matériel : Feuilles
Plus en détailTests de comparaison de moyennes. Dr Sahar BAYAT MASTER 1 année 2009-2010 UE «Introduction à la biostatistique»
Tests de comparaison de moyennes Dr Sahar BAYAT MASTER 1 année 2009-2010 UE «Introduction à la biostatistique» Test de Z ou de l écart réduit Le test de Z : comparer des paramètres en testant leurs différences
Plus en détailTRAVAUX PRATIQUESDE BIOCHIMIE L1
TRAVAUX PRATIQUESDE BICHIMIE L1 PRINTEMPS 2011 Les acides aminés : chromatographie sur couche mince courbe de titrage Etude d une enzyme : la phosphatase alcaline QUELQUES RECMMANDATINS IMPRTANTES Le port
Plus en détailDocument d information 1. Principaux aspects de la proposition de la Commission COM (2000) 716 du point de vue de l alimentation animale
Proposition de la Commission COM (2000) 716 établissant les principes généraux et les prescriptions générales du droit alimentaire, instituant l Autorité Alimentaire Européenne et fixant des procédures
Plus en détailQualités nutritives des salades. DOSSIER SPéCIAL BIO F R C magazine FéVRIER 2010 N O 25. Quand la météo s en mêle
DOSSIER SPéCIAL BIO F R C magazine FéVRIER 2010 N O 25 Laitues d hiver Moins de pe Les laitues pommées bio se révèlent exemptes de pesticides. Plus «Bonne nouvelle: toutes les salades sont conformes et
Plus en détailDepuis les années 1930, la production mondiale
PRÉVENTION Cancers et substances chimiques Depuis les années 1930, la production mondiale de produits chimiques a été multipliée par 400. Parmi les 100000 substances chimiques recensées dans l Union européenne
Plus en détailBiologie Appliquée. Dosages Immunologiques TD9 Mai 2015. Stéphanie Sigaut INSERM U1141 stephanie.sigaut@inserm.fr
Biologie Appliquée Dosages Immunologiques TD9 Mai 2015 Stéphanie Sigaut INSERM U1141 stephanie.sigaut@inserm.fr 1 ELISA 2 3 4 [Ac] 5 6 7 8 9 Correction : Faire la moyenne D0-1 et D0-2 pour toute les valeurs
Plus en détailEFFICACITE DE LA RPP DANS LA DÉTECTION DE SUBSTANCES ISSUES DES FAMILLES DU MDMA, DES AMPHETAMINES ET DES HALLUCINOGENES TYPE 2CB RECUEILLIES EN MILIEU FESTIF PRADEILLE J.L.*, CHAKROUN N.**, BELTRAN V.*,
Plus en détailLaboratoire Eau de Paris. Analyses et Recherche
Laboratoire Eau de Paris Analyses et Recherche L eau, un aliment sous contrôle public Pour Eau de Paris, approvisionner la capitale en eau, c est garantir à ses 3 millions d usagers une ressource de qualité,
Plus en détailIntérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée
Intérêt diagnostic du dosage de la CRP et de la leucocyte-estérase dans le liquide articulaire d une prothèse de genou infectée C. Rondé-Oustau, JY. Jenny,J.Sibilia, J. Gaudias, C. Boéri, M. Antoni Hôpitaux
Plus en détailPrévention de la fusariose des épis de maïs et de l accumulation de mycotoxines dues aux Fusarium spp.
Prévention de la fusariose des épis de maïs et de l accumulation de mycotoxines dues aux Fusarium spp. Elzbieta Czembor, Plant Breeding and Acclimatization Institute, Radzikow, Pologne; Jozef Adamczyk,
Plus en détailAMINES BIOGENIQUES. Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine
AMINES BIOGENIQUES Dopamine/Noradrénaline/Adrénaline (CATECHOLAMINES) Sérotonine/Histamine/Dopamine Effets physiologiques des bioamines via le systeme nerveux autonome Cardiovasculaire: Augmentation du
Plus en détailRevenu agricole 2013 : une année délicate pour les productions céréalières
Agreste Champagne-Ardenne n 4 - Juillet 2015 Réseau d information comptable agricole En 2013, le Résultat Courant Avant Impôt (RCAI) moyen des exploitations agricoles champardennaises couvertes par le
Plus en détailTests rapides de dépistage
Tests rapides de dépistage Maladies infectieuses Marqueurs cardiaques Marqueurs de tumeurs Grossesse Rhumatologie Allergies Drogues > Pour un diagnostic rapide et économique > Résultats exacts et fiables
Plus en détailFiche 19 La couleur des haricots verts et cuisson
Fiche 19 La couleur des haricots verts et cuisson Objectif : Valider ou réfuter des «précisions culinaires»* permettant de "conserver une belle couleur verte" lors la cuisson des haricots verts frais (gousses
Plus en détailSVE 222 & PCL-442. Fascicule de Travaux Pratiques
SVE 222 & PCL-442 Fascicule de Travaux Pratiques 2014-2015 Institut Supérieur de l Education et de la Formation Continue Bassem Jamoussi & Radhouane Chakroun 1 Sommaire PCL 442/SVE222 - TP N 1 : Etude
Plus en détailÉvaluations aléatoires : Comment tirer au sort?
Évaluations aléatoires : Comment tirer au sort? William Parienté Université Catholique de Louvain J-PAL Europe povertyactionlab.org Plan de la semaine 1. Pourquoi évaluer? 2. Comment mesurer l impact?
Plus en détailTableau pour la conservation et le transport des spécimens à l externe
1. OBJECTIF : Ce document comprend un tableau indiquant les informations nécessaires la conservation des spécimens, à l externe. Il comprend aussi un tableau indiquant les informations nécessaires pour
Plus en détailParcours de visite, lycée Exposition: LA RADIOACTIVITÉ De Homer à oppenheimer
Complétez le schéma de gestion des déchets nucléaires en vous aidant du panneau, les surfaces des cercles sont proportionnelles à leur importance Parcours de visite, lycée Exposition: LA RADIOACTIVITÉ
Plus en détailLes vers de nos compagnons
Les vers de nos compagnons Il se peut que votre animal de compagnie soit contaminé par des vers sans que vous ne vous en rendiez compte. Près d'un animal de compagnie sur deux (chat et chien) est porteur
Plus en détailL importance du suivi du dioxyde de carbone (CO 2. ) dans la production de dindes
FICHE D INFORMATION L importance du suivi du dioxyde de carbone (CO 2 ) dans la production de dindes info.hybrid@hendrix-genetics.com www.hybridturkeys.com Dans la production de dindes, la performance
Plus en détailÉtiquettes approuvées pour les porcs
Étiquettes approuvées pour les porcs Programme d identification et de traçabilité des animaux d élevage VERSION 1 1 er juillet 2014 Les étiquettes approuvées sous le programme national d'identification
Plus en détailRegistre de donneurs vivants jumelés par échange de bénéficiaires. Qu est-ce qu une greffe de rein par échange de bénéficiaires?
Registre de donneurs vivants jumelés par échange de bénéficiaires Qu est-ce qu une greffe de rein par échange de bénéficiaires? Le Registre de donneurs vivants jumelés par échange de bénéficiaires. Notre
Plus en détailBiochimie I. Extraction et quantification de l hexokinase dans Saccharomyces cerevisiae 1. Assistants : Tatjana Schwabe Marcy Taylor Gisèle Dewhurst
Biochimie I Extraction et quantification de l hexokinase dans Saccharomyces cerevisiae 1 Daniel Abegg Sarah Bayat Alexandra Belfanti Assistants : Tatjana Schwabe Marcy Taylor Gisèle Dewhurst Laboratoire
Plus en détailMISE À JOUR SUR L ÉVOLUTION DE LA SITUATION CONCERNANT
22 février 2014 Message à tous les éleveurs et intervenants du secteur porcin du Québec MISE À JOUR SUR L ÉVOLUTION DE LA SITUATION CONCERNANT LA DIARRHÉE ÉPIDÉMIQUE PORCINE (DEP) PREMIER CAS DE DEP DANS
Plus en détailFiche technique n 1 : le logement construction des boxes.
Bâtiments d élevage : Pourquoi? Aspects climatiques : Fiche technique n 1 : le logement construction des boxes. - le porc est sensible aux brusques changements du climat, - surexposition au soleil : déshydratation
Plus en détailCharte de la Banque ADN et de Cellules de Généthon
Sommaire 1. PREAMBULE... 2 2. DEFINITIONS... 2 3. CADRE LEGAL... 3 4. ORGANISATION DE LA BACG... 4 5. PRESTATIONS DE LA BACG... 5 6. MODALITES DE CONTRIBUTION ET D UTILISATION DES SERVICES... 5 7. REGLES
Plus en détailSECTION II RELATIVE AU PRÉLEVEUR
SECTION II RELATIVE AU PRÉLEVEUR II-0 INDEX SECTION II Pages Section relative au préleveur Heures d ouvertures des laboratoires pour clients externes Requête régionale II-2 II-2 II-3 Informations requises
Plus en détailAnticorps neutralisants des Interférons dans la Sclérose En Plaques en Bretagne
Anticorps neutralisants des Interférons dans la Sclérose En Plaques en Bretagne Pr Gilles EDAN, Dr Emmanuelle LEPAGE, Morgane PIHAN (Interne), Virginie OLIVE, (Attaché de recherche clinique), Neurologie,
Plus en détailHémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX
Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants Docteur Christine BOITEUX Théorie Endocardites et anticoagulation POUR Thromboses Emboles septiques CONTRE Favorise emboles septiques et diffusion
Plus en détail(Ordonnance sur le Livre des aliments pour animaux, OLALA) Le Département fédéral de l économie (DFE) arrête:
Ordonnance sur la production et la mise en circulation des aliments pour animaux, des additifs destinés à l alimentation animale et des aliments diététiques pour animaux (Ordonnance sur le Livre des aliments
Plus en détailLes débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie
Les débouchés des diplômés de L LMD Sciences de la Nature et de la Vie Pour quel métier vous êtes fait? Des doutes sur ta formation actuelle : faut-il poursuivre? Vous avez une idée de métier mais est-ce
Plus en détailGlossaire de termes relatifs à l assurance de la qualité et aux bonnes pratiques de laboratoire
Glossaire de termes relatifs à l assurance de la qualité et aux bonnes pratiques de laboratoire Notre engagement: la qualité et l amélioration continue Photos Couverture: en haut à gauche; istockphoto.com/yegor
Plus en détail