n 56 LETTRE d info LA PERFORMANCE PAR LA MAINTENANCE 5 entreprises témoignent Mot du président Janvier 2015
|
|
- Gabin Bernard
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 ASSOCIATION REGIONALE DE L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE ET DE TRANSFERT DE TECHNOLOGIES n 56 LETTRE d info Janvier 2015 LA PERFORMANCE PAR LA MAINTENANCE 5 entreprises témoignent Mot du président L action Performance par la Maintenance, conduite en 2013 et 2014 par l ARIATT a accompagné 5 entreprises agroalimentaires régionales dans l optimisation de leur fonctionnement opérationnel. Le soutien de l Etat, via la Direction Régionale de l Alimentation, de l Agriculture et de la Forêt et via la Direction Régionale des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l Emploi a permis à ces industriels de se pencher sur des thématiques techniques mais aussi sur le potentiel humain disponible. En effet, s il est de nos jours important de connaître les méthodes et processus d optimisation, il est aussi complexe de les appliquer, de se les approprier et de les faire vivre. Les personnels de l entreprise, tant au niveau du service maintenance que des équipes de production et des processus supports, jouent un rôle primordial dans leur mise en place. L ARIATT a, par cette action, replacé et la maîtrise technique et l humain au cœur de la performance, avec comme résultat une amélioration de la performance des services mais aussi une valorisation des personnels de maintenance et de production. L engouement des entreprises régionales pour cette thématique, manifestée tout au long du programme et concrétisée par une forte participation à la réunion de restitution du 16 Décembre 2014, laisse présager d une importante diffusion des outils présentés dans cette lettre. FINANCÉ PAR Bonne Lecture! Jean-Jacques BRET Président de l ARIATT
2 Contexte Longtemps limitée à une action corrective, la maintenance est de plus en plus considérée comme un gisement de productivité : l anticipation des pannes de l outil de production devient un enjeu majeur. Le secteur de l agroalimentaire, de par son historique et la typologie de ses acteurs, est particulièrement concerné par les opportunités d optimisation de la performance industrielle. En effet, le modèle «IAA» s est souvent développé de manière empirique, en s affranchissant souvent des nécessités industrielles. Ainsi, même si un travail important a déjà été réalisé sur l optimisation des méthodes de production, les entreprises doivent aujourd hui impérativement gérer finement la Fonction Maintenance. Il est plus que jamais nécessaire d apporter aux opérateurs les connaissances pour conduire correctement leurs équipements et en surveiller régulièrement le bon état technologique. Par ailleurs, d autres arguments plaident, si besoin est, en faveur d une optimisation de la maintenance : 3 Son lien avec la certification qualité : la gestion de la maintenance est observée de plus en plus précisément : traçabilité, prévention, amélioration continue et évaluation, 3 La mise en œuvre, soit à l initiative de l entreprise ou à la demande de ses clients / donneurs d ordres, d un indicateur de performance nécessite une connaissance approfondie des différents éléments organisationnels, techniques et humains de la Fonction Maintenance. Forte de ces observations, l ARIATT conduit depuis 2013 une action collective d amélioration de la performance de la maintenance. Les financements de la DRAAF* et de la DIRECCTE** ont permis à 5 entreprises agroalimentaires représentatives par leur diversité de la filière franc-comtoise de bénéficier de l accompagnement technique de PI Consultants Associés. * DRAAF : Direction régionale de l Alimentation de l Agriculture et de la Forêt. ** DIRECCTE : Direction Régionale des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l Emploi. Description du programme collectif L action collective «Performance par la Maintenance» a été mise en œuvre du 1 er Janvier 2013 au 31 Décembre Pilotée par l ARIATT et animée par M. Baelde de PI Consultants Associés, elle a permis grâce une première phase de sensibilisation de présenter les enjeux et opportunités liés à l optimisation de la Fonction Maintenance en entreprise. Ainsi une première réunion en Mars 2013 a réuni 15 représentants d entreprises à qui ont été présentés les bénéfices liées à l optimisation du fonctionnement du service maintenance ainsi que les outils et méthodologies à appliquer (cf. Maintenance : les Outils de la Performance). A la suite de cette réunion, 5 entreprises pilotes de secteurs différents ont été sélectionnées : En parallèle de cet accompagnement, les industriels ont bénéficié de 3 journées collectives dans le but de leur apporter les méthodologies nécessaires à la pérennisation de l action : orientées maintenance préventive, outils de performance ou gestion du budget, ces formations ont également été ouvertes aux entreprises non pilotes afin d enrichir les débats et de déployer largement la démarche. Le 16 Décembre 2014, la réunion de restitution du programme collectif a réuni plus de 31 industriels qui ont profité des témoignages des entreprises pilotes et bénéficier des principaux enseignements de cette action collective. Conjointement à la réalisation des prestations Maintenance par PI Consultants Associés, l ARIATT a missionné M. Leblois de Comma Consulting pour la réalisation de diagnostics métrologie dans les entreprises pilotes. Elles ont ainsi été accompagnées pendant 2 journées au cours desquelles la performance des outils et des méthodologies de mesure a été évaluée. * GMAO : Gestion de la Maintenance Assistée par Ordinateur Fromagerie Milleret (70), Ets Jean-Louis Amiotte (25), Jura Terroir (39), Naturalim France Miel (39), Fromagerie Perrin-Vermot (25). Les thématiques traitées au cours des 11 journées d accompagnement furent variées (mise en place d une GMAO*, développement d indicateurs de performance, refonte du plan de maintenance préventive, gestion des stocks de pièces de rechange, animation et management des équipes, ) et adaptées aux problématiques internes des structures pilotes. Qu est-ce que la métrologie? La métrologie est définie comme étant la science des mesures. Dans la pratique, en milieu industriel, les mesures permettent de prendre des décisions, souvent sur la qualité ou la conformité du produit, afin de pouvoir le mettre sur le marché. Pour optimiser le processus métrologique il faut : identifier les mesures importantes ou critiques, s assurer de la possibilité de la répétabilité et de la stabilité, connaître l incertitude de mesure.
3 Accompagnement technique des PME pilotes Cette étape constituait le cœur du projet puisqu elle a permis de déployer individuellement, auprès des 5 PME pilotes, la démarche d optimisation de la Fonction Maintenance à travers 4 étapes : - Diagnostic de la Fonction Maintenance : détecter les anomalies de fonctionnement du service maintenance et élaborer un plan d amélioration des performances, identifier les besoins en matière de travail collaboratif. - Préconisations d améliorations dans le cadre d un plan de progrès individualisé. - Journée collective d information : bilan collectif des diagnostics avec l ensemble des PME concernées, identification de thématiques communes. - Accompagnement au déploiement des plans d actions. En parallèle, la maintenance ayant très souvent en charge, de manière globale ou partagée, la gestion des équipements de métrologie, un diagnostic spécifique, réalisé par un consultant spécialisé, a été proposé. L analyse portait notamment sur les points suivants : - Rôle du service maintenance dans le suivi des équipements de métrologie (connaissance et gestion du parc, moyens de contrôle, gestion des prestataires, gestion documentaire, formation,.). - Moyens de mesures et méthodologies mises en œuvre pour assurer le contrôle qualité du produit tout au long du process de production. - Achats et investissements relatifs aux équipements de métrologie. PRINCIPAUX PROJETS TRAITÉS DANS LES ENTREPRISES Fromagerie Milleret : Mise en place et déploiement d une GMAO (Gestion de la Maintenance Assistée par Ordinateur) Organisation de la gestion des stocks Définition des indicateurs de suivi d activité. Naturalim France Miel : Amélioration du plan de maintenance préventive et meilleure prise en compte du lien Maintenance/Qualité pour les audits Mise en place d un suivi précis des interventions en vue d alimenter un historique par équipement - Définition des indicateurs de suivi d activité. Fromagerie Perrin-Vermot : Gestion des demandes d intervention Evolution de la GMAO en partenariat avec le prestataire. Ets Jean-Louis Amiotte : Réorganisation de la Fonction Maintenance avec fusion des services des deux sites et uniformisation - Développement de la Maintenance de premier niveau. Jura Terroir : Codification du parc machine Développement des réunions multiservice Remise en place des demandes d intervention Organisation de la gestion du stock. - Gestion de la traçabilité des résultats de mesures. Maintenance : les Outils de la Performance Au cours des réunions collectives, les industriels pilotes ont pu échanger sur les problématiques mises en évidence lors des accompagnements réalisés par PI Consultants Associés. La prise en compte des attentes de ces 5 entreprises ont conduit l ARIATT à proposer des formations théoriques autour de divers outils d amélioration de la performance du service maintenance dont vous trouverez une rapide description ci-dessous. Pour plus d informations sur ces méthodes de travail vous pouvez contacter l ARIATT : Jonathan Coquelin jcoquelin@ariatt.fr ou pour un suivi personnalisé : PI Consultants Associés : Stéphane Baelde sbaelde@pi-consultants. fr Le Plan de Maintenance Préventive (PMP) Un des objectifs prioritaire du service maintenance est de savoir anticiper les pannes et baisser les défaillances afin de réduire «l effet Pompier» et d agir plutôt que de subir. Pour ce faire il est important de mettre en place un Plan de Maintenance Préventive qui peut être résumé en 5 types d actions : - Routine : vérification, lubrification, calibration. - Périodique : vérification des équipements à intervalles réguliers. - Auto maintenance : accomplie par les opérateurs de production. - Systématique : remplacement basé sur la durée de vie même des pièces : contrôles réglementaires, nettoyage, graissage, protection anticorrosion, gel - Conditionnelle : remplacement déclenché par l usure. Pour ces actions, il est indispensable de disposer d intervalles de contrôles prédéterminés et de critères d évaluation précis. Ces données seront primordiales dans la constitution d un PMP adéquat. Pour les obtenir les entreprises peuvent se baser sur : - L historique des correctifs, - Les exigences réglementaires ou professionnelles, - Les recommandations fournisseurs ou constructeurs (à adapter, il faut y faire attention), - L analyse de la criticité des équipements (via la méthode AMDEC). La méthode AMDEC (Analyse des Modes de Défaillance, de leurs Effets et de leur Criticité) a pour objectif d aider l entreprise à connaître ses points faibles en répertoriant les défaillances et en analysant leur danger, leur criticité. Celle-ci est déterminée suite à un examen précis des défaillances selon leur gravité, leur fréquence et la fiabilité de leur détection. La mise en place de ces méthodes nécessite au préalable une certaine connaissance du processus de maintenance et un suivi des actions réalisées : on ne peut s améliorer sans s évaluer! Lettre d information N 56 - Janvier 2015
4 Les Indicateurs de Performance Afin d améliorer le fonctionnement du service maintenance il est nécessaire, comme pour tout autre service, de mieux le connaître. Pour ce faire des indicateurs pertinents doivent être définis et regroupés dans un tableau de bord adapté. L objectif est ici de : - Clarifier la stratégie et les projets, - Analyser et corriger, - Planifier / définir des actions de progrès, - Communiquer et déployer : visualiser les effets de ce qui a été mis en œuvre. Ce dernier point est particulièrement important. En effet, la maintenance est souvent perçue comme source de coût plutôt que gisement de compétitivité. Un suivi détaillé des actions mises en œuvre et des défaillances évitées permet une meilleure valorisation des agents de maintenance et une meilleure compréhension de leur activité par les autres services. LES INDICATEURS SMART Afin d être le plus pertinent possible, les indicateurs doivent être : - S : Significatifs - M : Mesurables - A : Acceptables - R : avec un Responsable - T : Temporairement définis Quelques exemples d indicateurs : - Techniques : MTBF (Moyenne des temps de Bon Fonctionnement) : Correspond au temps de fonctionnement prévisible avant la prochaine panne. Temps de Référence-Temps de Panne MTBF = Nombre de Pannes MTTR = (Moyenne des Temps Techniques de Réparation) MTTR = Temps d arrêt total Nombre de pannes - Organisationnels : Temps d intervention saisi dans la GMAO. - Economiques : (cf. Budget : Calcul des coûts de maintenance) Coûts de Maintenance, Coût d indisponibilité. Budget : calcul des coûts de maintenance La mise en place et le suivi d un budget maintenance est primordial pour : - une bonne gestion du service, - un pilotage précis des investissements : chiffrer le coût des moyens dont l entreprise va avoir besoin et savoir si elle peut financer les interventions suffisamment tôt. Il permet en outre de sensibiliser efficacement les équipes comme la direction sur les dépenses effectuées. Une des problématiques majeure à résoudre est la justification du plan de maintenance préventive (cf. Le Plan de Maintenance Préventive) : pour prévoir un PMP cohérent il faut avant tout savoir ce que coûte une défaillance à l entreprise. Or il s agit d une réalité économique difficile à estimer : il faut savoir faire la balance entre la dépense effective du PMP (coût pièce + temps d arrêt + main d œuvre) et la dépense évitée. Le calcul de la dépense évitée est réalisé en additionnant plusieurs coûts à identifier dans l entreprise : - coût de la défaillance, - coût d indisponibilité de la ligne : coût d un arrêt de la ligne, - coût de la main d œuvre pour la réparation (taux horaire x nombre d heures), - coûts fixes du service maintenance : estimés à l année et ramenés à un taux horaire, - coût des consommables utilisés pour la réparation : produits, fournitures, pièces de rechange, - dépenses externalisées, travaux sous-traités. La connaissance de ces éléments est une aide précieuse pour la gestion du service maintenance, les obtenir nécessite cependant de réaliser au préalable un important travail d enregistrement et d historique afin de pouvoir disposer de l ensemble des données. Les autres préalables à la réalisation d un budget maintenance sont : - Un système documentaire à jour : liste des équipements. - Un plan de maintenance curatif et préventif. - Un historique pour réaliser les prévisions. - Des objectifs définis. Lien Qualité et Maintenance Les certifications qualité sont de plus en plus exigeantes envers les responsabilités du service maintenance dans la sécurité alimentaire et la qualité du produit. Cependant le lien Qualité/Maintenance n est pas nouveau : une des méthodes phares de gestion de la maintenance, notamment utilisée dans ce programme par PI Consultants Associés, intègre ce point au cœur de ses préoccupations. La TPM (Total Productive Maintenance), puisque c est d elle qu il s agit, a pour objectif d améliorer la stabilité des outils de production en plaçant la maintenance au cœur des processus d amélioration continue. Elle repose sur 8 piliers : - Chasse aux pertes : sont visés tous les gaspillages et perte d efficience. - Maintenance autonome : développement des compétences des opérateurs pour la prise en charge de l entretien courant. - Maintenance planifiée : maintenance préventive. (cf. Le Plan de Maintenance Préventive). - Compétences opérationnelles : amélioration des connaissances et des savoir-faire. - Maîtrise de la conception : capitaliser les savoirs pour créer des procédés adaptés, accélérer les projets : ne pas reproduire les erreurs du passé dans les nouvelles conceptions. - Maîtrise de la Qualité : maintien et amélioration de la qualité des produits : éliminer les causes de non qualité. - Services fonctionnels : améliorer l efficience des services administratifs. - Sécurité et Environnement : éliminer toute cause potentielle de problème de sécurité, d amélioration des conditions de travail et de respect de l environnement.
5 TPM CHASSE AUX PERTES MAINTENANCE AUTONOME MAINTENANCE PLANIFIÉE COMPÉTENCES OPÉRATIONNELLES MAÎTRISE DE LA CONCEPTION MAÎTRISE DE LA QUALITÉ SERVICES FONCTIONNELS SÉCURITÉ ET ENVIRONNEMENT AMÉLIORATION CONTINUE Concernant plus particulièrement la Maîtrise de la Qualité, la maintenance est aujourd hui sous haute surveillance. Les opérations de maintenance peuvent effectivement être sources de contamination et de mise en danger de la sécurité alimentaire. Avant toute opération de maintenance il faut donc faire attention à plusieurs points : - Appréhender le risque sanitaire. - Préparer les interventions. - Travailler dans le respect des Bonnes Pratiques d Hygiène (nettoyer). - Pouvoir valider l absence de risque sanitaire après l intervention. AVANT Préparer le chantier. Respecter les consignes définies pour l accès à la zone d intervention (tenue, lavage des mains). PENDANT Respect des règles d hygiène. Utilisation de matériaux autorisés. APRÈS Nettoyer l espace de travail. Ranger le matériel de Maintenance. TÉMOIGNAGES D ENTREPRISES JURA TERROIR Raphaël GAGNEUR - Responsable Maintenance «Nous sommes une entreprise de 35 salariés répartis sur 3 sites (Pont du Navoy, Saffloz et Rothonay) dont l activité principale est la collecte, la fabrication et l affinage de Comté. Notre service maintenance comprend 2 techniciens et un agent d entretien soudeur. 95% des prestations sont réalisées pour le site de Pont du Navoy. Nous nous sommes engagés dans l action ARIATT avec plusieurs objectifs : réorganiser le service pour donner plus d autonomie aux techniciens ; développer la maintenance de premier niveau ; développer un programme de stock de pièces inter site sur la gestion des pièces détachées. Nous avons dans un premier temps synthétisé plusieurs documents de travail et débuté la codification complète du parc machine. L intervention de PI Consultants nous a également conduits à une meilleure organisation avec les autres services, par la réalisation de réunions multiservices hebdomadaires et la remise en place de Demandes d Interventions (DI) formalisées qui n étaient plus très utilisées. L objectif de stock était intéressant mais trop complexe à monter, nous avons donc choisi de travailler notre stock en interne et de le gérer en attendant une GMAO. Le dernier point que nous venons de débuter est de réaliser des gammes et des fiches de suivi des équipements pour le partage des connaissances et un préventif de meilleur qualité.» Lettre d information N 56 - Janvier 2015
6 JEAN LOUIS AMIOTTE Eric POCHARD Responsable Maintenance Alain PIARD Responsable Travaux Neufs «L action Maintenance proposée par l ARIATT est arrivée à point nommé car nous étions en réflexion autour d une restructuration et d une réorganisation du service maintenance. L objectif étant de fusionner et d uniformiser les services des sites de Morteau et d Avoudrey. Il nous a fallu lister l ensemble des missions du service, dispatcher les responsabilités avec la création d un poste de responsable méthode. L uniformisation a été également profitable dans la gestion des pièces détachées avec une nomenclature commune. La maintenance de premier niveau a également été un chantier important, son développement représente un axe d évolution important pour l entreprise. Il y a également une problématique de capitalisation du savoir-faire sur laquelle nous avons encore du chemin à faire : nous allons réaliser sur Morteau un plan de gamme complet du site, comprenant des fiches procédures associées à des photos afin de limiter les pertes de compétences liées au turn-over. Enfin la mise en place d un indicateur de suivi des temps d interventions nous a permis de mettre en évidence des lacunes administratives au niveau du poste, qu il va falloir maintenant gérer individuellement.» FROMAGERIE PERRIN-VERMOT Laurent MARION Responsable Maintenance «L objectif de la participation à l action était de réaliser un diagnostic pour voir ce qui va et s accorder avec la production. Il nous fallait également traiter de la problématique des audits qualité car nous souhaitions optimiser notre implication dans la réponse aux exigences des différentes normes. Notre service est organisé autour de 5 personnes pour 125 salariés sur le site. Les agents sont aussi responsables des services généraux, des travaux neufs ainsi que de l ensemble des filiales Hameau du Fromage, des sites de Cléron et de Montmahoux. Nous fonctionnons en horaires de journée avec un technicien d astreinte. Les agents de production, assistés des CQP, sont également très autonomes et réalisent les changements de format, la maintenance de premier niveau et certains réglages. L entreprise dispose d une GMAO depuis environ 10 ans, mais nous avons changé récemment de logiciel ce qui a perturbé le ressenti de nos clients (service production) quant à la gestion des demandes d interventions. De ce fait nous avons décidé de développer grâce au programme ARIATT une GMAO plus visuelle, plus communicante et plus interactive qui intégrera les procédures de nettoyage, de réglage, d alimentarité Nous avons par ailleurs initié lors de cette action un certain nombre d axes de progrès pour être plus efficaces dans notre communication interne : réunions, GMAO La mise en place d une GMAO qui communique mieux sera également l occasion de disposer d indicateurs plus efficaces et optimisés.» NATURALIM FRANCE MIEL Philippe BOUGAUD Directeur Technique «Cette démarche était pour nous l occasion de nous pencher sur des problématiques essentiellement liées aux relations Maintenance et Qualité. Nous avions par exemple un Plan de Maintenance Préventive (PMP) très lourd, réalisé essentiellement pour s accorder au référentiel IFS. Il nous était difficile de suivre le calendrier prévu par ce PMP. La venue de Stéphane Baelde nous a permis de prendre conscience de cette lourdeur et de la nécessité d un accompagnement pour la mise en place d un suivi de la maintenance. Nous avons donc retravaillé notre PMP pour en faire un plan réalisable et pertinent. En parallèle nous avons mis en place des indicateurs de suivi (saisie des temps d interventions, saisie des coûts des pièces) pour mieux piloter le service et communiquer une synthèse mensuelle de l activité maintenance. Nous sommes également en train de codifier le parc machine pour pouvoir attribuer chaque intervention aux machines concernées. Ceci nous permettra d optimiser le PMP et de construire plus précisément notre budget. Il nous reste encore du travail à réaliser sur, entre autres, la gestion des stocks pièces détachées et la rédaction de modes opératoires d intervention.» FROMAGERIE MILLERET David De Oliveira Coordonnateur Maintenance «Les objectifs Maintenance chez Milleret sont, par ordre d importance : Qualité produit ; Sécurité ; Performance. L équipe de 12 personnes dont 7 techniciens fonctionne en 3x8. Nous n avons pas de secrétariat maintenance pour centraliser et 4 personnes responsables des commandes : Responsable technique, Technicien Process, Technicien Services Généraux et Coordonnateur. Par ailleurs nous avons initié la mise en place d une GMAO et souhaitions avoir un accompagnement sur son déploiement. La difficulté en maintenance est que les techniciens ne sont en général pas assez rigoureux pour renseigner les informations dans les bases de données. Il est nécessaire de leur faire prendre conscience que l intervention n est terminée que quand on la rentre dans la base. Il faut mettre en place des indicateurs pour surveiller cet élément. La mise en place d une GMAO ne règle pas le problème, il s agit plus d une problématique de management : il faut y accorder du temps et prendre du recul. L action réalisée grâce à l ARIATT nous a permis de prendre ce recul. A ce jour la GMAO est à 90% déployée et des modifications de la méthode de gestion des stocks par le logiciel ont été demandées. Nous avons mis en place un système de Demandes d Intervention via l outil informatique et avons de bons retours sur son fonctionnement. Une gestion plus précise de la maintenance préventive est également prévue mais nous demandera du temps. Nous avons encore du travail sur les indicateurs : nous avons mis en place un indicateur de taux de saisie dans la GMAO, qui est bien suivi quand le responsable est là, mais beaucoup moins bien en cas d absence. Il faut résoudre un problème de management lié à un service qui a longtemps fonctionné sans responsable»
7 CONCLUSION : LE MOT DES EXPERTS C O M M A «L approche métrologie est très disparate d une entreprise à l autre. Ce qui est un point fort dans une entreprise peut être un axe de progrès dans l autre. Il est cependant possible de dégager des points forts et des axes de progrès qui sont assez génériques Points forts : - les enregistrements associés aux dossiers des équipements sont conservés ; - le personnel affecté à la fonction métrologie est impliqué et très souvent autodidacte ; - bien que ça ne soit pas systématique, globalement, la sélection des équipements critiques a été effectuée de manière raisonnable ; - des critères d acceptation des équipements sont définis ; - les laboratoires d analyse internes participent à des comparaisons interlaboratoires dès lors qu il en existe. Axes de progrès : - apporter une plus grande rigueur dans la gestion des enregistrements (que ce soit dans le remplissage des formulaires ou dans le classement) afin d assurer facilement de vraies filières d audit ; - clarifier les sphères de responsabilités des différents intervenants dans le processus, ce qui constitue la base d une bonne organisation ; - assurer une montée en compétence pour permettre au personnel de prendre du recul en ayant un œil critique vis-à-vis du processus pour s installer dans une dynamique d amélioration ; - exploiter statistiquement les données métrologiques disponibles dans l entreprise (résultats d étalonnage et des surveillances intermédiaires) afin d optimiser la gestion des moyens dont les périodicités pour réaliser ces opérations ; - revoir les critères d acceptation des équipements après étalonnage pour qu ils soient adaptés au besoin ; - évaluer les incertitudes selon des méthodes pertinentes, que ce soit pour les étalonnages internes pour les mesures en production afin de s assurer que les processus de mesure sont adaptés au besoin ; - assurer la traçabilité métrologique des étalonnages externes en demandant des prestations sous accréditation ; - avoir un regard critique sur les certificats d étalonnage des prestataires externes et les exploiter afin de prendre des décisions pertinentes ; - évaluer ces prestataires afin d assurer qu ils répondent bien aux attentes de l entreprise. D une manière générale, l approche métrologie est prise en compte avec un pragmatisme qu il convient de souligner et des outils sont développés pour assurer la qualité des résultats. Toutefois, de nombreuses améliorations et optimisations sont possibles, ce qui nécessitera une réelle montée en compétence du personnel impliqué sur la fonction métrologie. Les axes de progrès suggérés dans le sens de l optimisation devraient dans la plupart des cas, conduire à une simplification du système.» PI CONSULTANTS ASSOCIÉS Stéphane BAELDE - Co-gérant «L action collective sur le thème de «La Performance par la Maintenance» proposée par l ARIATT en 2013/2014 nous a permis d accompagner 5 PME du secteur agroalimentaire ayant toutes une problématique d organisation de leur Maintenance, mais avec des attentes, des besoins, des niveaux d intégration très différents. En effet, ne serait-ce que sur le plan de la taille du service maintenance, on peut noter une forte disparité entre les différentes structures participantes (d une dizaine de personnes à une fonction totalement externalisée). Un des éléments clés pour notre cabinet a donc été d identifier, à travers la phase de diagnostic, les besoins et de proposer un plan d action adapté à chacune des entreprises. Ce diagnostic a aussi permis aux différents interlocuteurs (responsable maintenance, responsable de production, directeur industriel, ) de mesurer la situation actuelle et ainsi mieux se projeter sur les axes de travail à mener. Dans certains cas, la synthèse de notre analyse a pu être un élément fort de communication auprès des équipes et un point de départ à un projet fédérateur. La possibilité d accompagner les équipes projets dans la durée (18 mois environ) nous a permis d inscrire les plan de progrès dans une logique de moyen terme et donc de pouvoir assurer le suivi de certaines actions jusqu à leur ancrage dans les pratiques courantes de l entreprise. Par exemple pour la gestion des stocks de pièces de rechange ou la saisie des bons de travaux, il a parfois fallu du temps pour mettre en place une démarche structurée et fonctionnelle car l impact est important sur les changements d habitudes ou tout simplement sur la création de nouvelles façons de faire. Par ailleurs, il est important de noter que dans une majorité des cas un travail a été fait sur la mise en place ou sur l évolution de suivi et des indicateurs de fonctionnement de la maintenance (suivi d activité par nature, avancement du préventif, gestion du budget, ). Ceci correspond à un besoin très fort pour les PME de s assurer que la maintenance, au cœur de la performance, est efficace et que les moyens mis en œuvre sont à la fois suffisants et correctement exploités. Bref, plus que jamais, la maintenance doit être capable de se justifier et de communiquer avec les services connexes. Enfin, ce programme nous a une fois de plus montré l intérêt des échanges lors des sessions de travail et de formation en collectif. Ces journées ont pu donner aux participants l occasion de partager des problématiques, des pratiques, des coordonnées, L ouverture vers l extérieur n est pas toujours très simple en PME et ce fut là une bonne expérience.» LES RESULTATS DE LA RECHERCHE Adoption des éco-innovations par les entreprises françaises Les chercheurs ont analysé les facteurs qui influencent le comportement d adoption d une éco-innovation par les entreprises industrielles françaises. Ils montrent le rôle structurant des caractéristiques internes de l entreprise, de son profil stratégique (coûts, réponse à la demande et réglementation) et de l influence de son environnement externe. Informer les consommateurs plutôt que taxer les produits : cas de l huile de palme En prenant le cas de l huile de palme dont certains dénoncent les effets négatifs sur l environnement et sur la santé, les chercheurs montrent en laboratoire que pour changer le comportement d achat des consommateurs à l égard d un produit il vaut mieux les informer que d appliquer une taxe à ce produit. Innover dans les produits laitiers Un travail mené au sein de l Unité Mixte de recherche Ingénierie Procédés Aliments (GENIAL), dans le cadre d une thèse Cifre, a mis en lumière les mécanismes gouvernant la structuration d un produit laitier enrichi avec un polysaccharide. Ce travail ouvre la voie à la conception raisonnée et maitrisée de nouvelles textures, tout en revisitant les procédés de fabrication. Envie de vous informer? Besoin de découvrir le programme? Contactez Jonathan Coquelin à l ARIATT jcoquelin@ariatt.fr NOUVEAU:RETROUVEZ-NOUS SUR FACEBOOK Lettre d information N 56 - Janvier 2015
8 LES PROGRAMMES COLLECTIFS > ACTION RSE (RESPONSABILITÉ SOCIÉTALE DES ENTREPRISES) Sensibiliser à la démarche de Responsabilité Sociétale des Entreprises Réaliser un diagnostic RSE de l entreprise Participer à des ateliers d échanges d expériences et de bonnes pratiques Proposer un accompagnement à la construction du plan d actions et à la rédaction du rapport de développement durable Durée : 36 mois Financeurs : Conseil régional de Franche-Comté Conseils généraux 25, 39 et 70 > TRANSMISSION DES SAVOIR-FAIRE Identifier les besoins des PME en capitalisation et valorisation de Savoir-Faire Réaliser des modèles sur des fonctions «clés» de l entreprise Définir des parcours de «montée en compétences» Identifier et encourager les valeurs, les potentiels humains Durée : 12 mois Financeur : DRAAF > ERGONOMIE ET PERFORMANCE INDUSTRIELLE Limiter les gestes et postures à risques Renforcer les marges de manœuvre des opérateurs leur permettant de maîtriser les contraintes de temps Améliorer la concertation dans l entreprise grâce à la structuration d une conduite de projet collective et à l implication de l ensemble du personnel Durée : 12 mois Financeur : Conseil régional de Franche-Comté > BILAN CARBONE Accompagner les entreprises dans la réduction des émissions de Gaz à Effet de Serre : - Réalisation de Bilans Carbone - Formations à l outil Bilan Carbone Durée : 24 mois Financeur : ADEME > TRANSITION ENERGÉTIQUE : PERFORMANCE ENERGÉTIQUE ET ENERGIES RENOUVELABLES Formations à la Compétitivité Energétique Développement de la Méthanisation territoriale Diagnostics Performance Energétique et Energies Renouvelables Durée : 36 mois Financeurs : DRAAF - ADEME Conseil régional de Franche-Comté > DEFI AGROALIMENTAIRE 2015 Accompagner 10 PME agroalimentaires Bourgogne/ Franche-Comté sur leur stratégie, afin de les aider à : - Anticiper les changements - Relever les défis du développement d activité dans la perspective d un renforcement et/ou d une diversification de marchés Durée : 18 mois Financeur : BPI France via ANIA > ACTION MUTUALISATION LOGISTIQUE Identifier une ou plusieurs solutions de mutualisation logistique en vue de diminuer les coûts de transport, dans un contexte de développement durable Visiter des plateformes logistiques fonctionnant suivant des modèles différents Etudier les différentes solutions économiques envisageables, les contraintes, les écueils, etc... Définir une stratégie logistique commune et un plan d actions intégrant les objectifs recherchés Durée : 12 mois Financeur : DIRECCTE Pour obtenir de plus amples informations, n hésitez pas à contacter l ARIATT au ou à ariatt@ariatt.fr Toujours plus présent pour vous grâce à notre site Internet! ASSOCIATION REGIONALE DE L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE ET DE TRANSFERT DE TECHNOLOGIES 21 A rue Alain Savary BESANCON - Tél : Fax : ariatt@ariatt.fr
Systèmes et réseaux d information et de communication
233 DIRECTEUR DES SYSTÈMES ET RÉSEAUX D INFORMATION ET DE COMMUNICATION Code : SIC01A Responsable des systèmes et réseaux d information FPESIC01 Il conduit la mise en œuvre des orientations stratégiques
Plus en détailQuels échanges et pourquoi? Pour faire évoluer dans le temps vers quelle structure de pilotage?
La GMAO et la GTB Les outils de pilotage et de diagnostic de la maintenance, de l exploitation des installations techniques Quels échanges et pourquoi? Pour faire évoluer dans le temps vers quelle structure
Plus en détailCQP Inter-branches Technicien de Maintenance Industrielle
CQP Inter-branches Technicien de Maintenance Industrielle Guide de repérage des compétences du candidat Candidat Nom :... Prénom :........ Entreprise :... Le document original est conservé par l entreprise
Plus en détailComment réussir la mise en place d un ERP?
46 Jean-François Lange par Denis Molho consultant, DME Spécial Financium La mise en place d un ERP est souvent motivée par un constat d insuffisance dans la gestion des flux de l entreprise. Mais, si on
Plus en détailDEVENIR ANIMATEUR CERTIFIE DE LA DEMARCHE LEAN
DEVENIR ANIMATEUR CERTIFIE DE LA DEMARCHE LEAN Certification CQPM réf : 2008 07 69 0272 Animateur de la démarche LEAN pour l amélioration de la performance et des processus. BUTS DE LA FORMATION : Etre
Plus en détailREFERENTIEL DU CQPM. TITRE DU CQPM : Electricien maintenancier process 1 OBJECTIF PROFESSIONNEL DU CQPM
COMMISION PARITAIRE NATIONALE DE L EMPLOI DE LE METALLURGIE Qualification : Catégorie : B Dernière modification : 10/04/2008 REFERENTIEL DU CQPM TITRE DU CQPM : Electricien maintenancier process 1 I OBJECTIF
Plus en détailCOMPETITIVITE ENERGETIQUE DES PMI AGRO ALIMENTAIRES Déclencher l action par la formation de 1000 dirigeants
COMPETITIVITE ENERGETIQUE DES PMI AGRO ALIMENTAIRES Déclencher l action par la formation de 1000 dirigeants Okavango energy 18 rue Gounod 92210 Saint-Cloud contact@okavango-energy.com tel : 09 81 02 95
Plus en détailAide au recrutement, à l accueil et à l intégration des nouveaux entrants Professionnalisation et fidélisation d un salarié Tutorat
Objectifs : Être au plus près des entreprises et de leurs salariés en proposant des services et outils adaptés à leurs besoins. 12 fiches «service» synthétiques, répertoriées en 5 grands thèmes : PROFESSIONNALISATION
Plus en détailQualité Sécurité Environnement
Qualité Sécurité Environnement FORMATION AUDIT CONSEIL EXPERTISE >> Catalogue 2014 Nos innovations: e-learning, évaluation des compétences personnalisation Formation Hygiène Alimentaire ISO 9001 : 2008...
Plus en détailFormation Logistique Transport
CONSEIL ET FORMATION POUR LES ENTREPRISES AGROALIMENTAIRES Formation Logistique Transport Qualité Démarches de progrès Développement des compétences Sécurité des personnes Catalogue de Formations 2015
Plus en détailAppel à propositions
Appel à propositions Dispositif de professionnalisation des acteurs de l accueil, l information, l orientation, l emploi, la formation professionnelle initiale (par la voie de l apprentissage) et la formation
Plus en détailLa fonction d audit interne garantit la correcte application des procédures en vigueur et la fiabilité des informations remontées par les filiales.
Chapitre 11 LA FONCTION CONTRÔLE DE GESTION REPORTING AUDIT INTERNE Un système de reporting homogène dans toutes les filiales permet un contrôle de gestion efficace et la production d un tableau de bord
Plus en détailCONFÉRENCE HOPITECH 2011
CONFÉRENCE HOPITECH 2011 Bénéfices attendus de l intégration GTC & GMAO ANIMÉE PAR : ARNAUD PICHARD, RESPONSABLE MARKETING CODRA LAURENT TRUSCELLO, RESPONSABLE PRODUITS ET SERVICES CARL Software Hopitech
Plus en détailVotre expert en flux documentaires et logistiques. Prestations audit/conseils
Votre expert en flux documentaires et logistiques Prestations audit/conseils 1. ConseiL optimisation d exploitation courrier 2. Conseil Aménagements 3. Conseil en procédures de gestion courrier 4. Accompagnement
Plus en détailLE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE
LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE 1 LA POLITIQUE QUALITE-GESTION DES RISQUES Depuis 2003, la Direction s engage à poursuivre, la démarche qualité et à développer une gestion
Plus en détailFICHE. La GMAO en quelques lignes OCTOBRE 2008 THÉMATIQUE. Vincent Drecq
FICHE OCTOBRE 2008 THÉMATIQUE Direction de projets et programmes La GMAO en quelques lignes La G.M.A.O. (Gestion de Maintenance Assistée par Ordinateur) est un logiciel spécialisé qui facilite la réalisation
Plus en détailOrganisation de la Maintenance et des Travaux
Organisation de la Maintenance et des Travaux Politique de Maintenance et Fiabilisation des Installations...p. 191...p. 192 à 199 Politique de Maintenance et Fiabilisation des Installations OMT / GEMA
Plus en détailREF01 Référentiel de labellisation des laboratoires de recherche_v3
Introduction Le présent référentiel de labellisation est destiné aux laboratoires qui souhaitent mettre en place un dispositif de maîtrise de la qualité des mesures. La norme ISO 9001 contient essentiellement
Plus en détailFiche-action n 5.1 Accompagner les chefs d entreprise dans la définition de leur stratégie d export
Fiche-action n 5.1 Accompagner les chefs d entreprise dans la définition de leur stratégie d export ACTION : - Nature (nationale/régionale) ; - Descriptif du contenu (éventuelles sous-actions ou phases
Plus en détailI partie : diagnostic et proposition de solutions
Session 2011 BTS assistant de manager Cas Arméria: barème et corrigé Remarque: la 1 ère partie doit être cohérente avec les éléments déterminants du contexte décrit dans cet encadré, qui n est pas attendu
Plus en détailLA GMAO ACCEDER : EXPLOITATION POUR L ENSEIGNEMENT
LA GMAO ACCEDER : EXPLOITATION POUR L ENSEIGNEMENT 1 - AVANTAGES DE LA GMAO ACCEDER POUR ENSEIGNER 2 - GENERALITES POUR L EXPLOITATION EN BAC PRO ET BTS 3 LA GMAO ET LE NOUVEAU REFERENTIEL BTS 2014 MAINTENANCE
Plus en détailLES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS
LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION
Plus en détailADEME : Colloque Produits Verts. Intégrer les préoccupations RSE (responsabilité environnementale et sociale d entreprise) dans le processus achat
ADEME : Colloque Produits Verts Intégrer les préoccupations RSE (responsabilité environnementale et sociale d entreprise) dans le processus achat Juin 2008 Une solution dédiée à vos achats responsables
Plus en détailEtude des possibilités de passerelles entre les CQP des Entreprises de l industrie pharmaceutique et les CQP des industries chimiques
Etude des possibilités de passerelles entre les CQP des Entreprises de l industrie et les CQP des industries chimiques @ COPYRIGHT LEEM - Page 1 sur 51 Sommaire 1 - Finalités des passerelles... 3 2 - Principes
Plus en détailActivités. Boîte à idées pour remplir la fiche de poste * Direction. Animation d équipe et organisation du travail. Conduite de projets
Boîte à idées pour remplir la fiche de poste * Activités 1. 1. Pilotage, management Direction Informer et aider les élus à la décision Définir (ou participer à la définition de) la stratégie de la direction
Plus en détailBrevet de technicien supérieur MAINTENANCE INDUSTRIELLE
Brevet de technicien supérieur MAINTENANCE INDUSTRIELLE MINISTERE DE L'EDUCATION NATIONALE, DE l ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE Direction de l enseignement supérieur Service des contrats et
Plus en détailFICHE TECHNIQUE : METTRE EN PLACE UNE GPEC
METTRE EN PLACE UNE GPEC Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences Cette fiche technique aborde la mise en place d une démarche GPEC sous l angle de la description d un processus. Elle présente
Plus en détailRENCONTRES REGIONALES POUR L AVENIR DU BOIS EN BRETAGNE. Thématique : Projets d entreprise et accès aux financements
RENCONTRES REGIONALES POUR L AVENIR DU BOIS EN BRETAGNE Thématique : Projets d entreprise et accès aux financements Introduction: objectifs et cadre général (1/2) ATELIERS REGIONAUX THEMATIQUES Objectifs
Plus en détailCahier des charges pour l appel d offres. février 2015 SOMMAIRE
Actions Thématiques 2015 : développer les compétences des travailleurs handicapés, usagers des ESAT bas-normands dans la Branche sanitaire, sociale et médico-sociale privée, à but non lucratif Cahier des
Plus en détailGuide de bonnes Pratiques EMAT
Guide de bonnes Pratiques EMAT 1 Table des matières I. PRINCIPE GENERAL DE LA DEMANDE DE TRAVAUX... 3 II. LES MODALITES D UTILISATION DE L EMAT... 4 A. La Convention... 4 B. Expression de la demande...
Plus en détailSERVICES TECHNIQUES CENTRE HOSPITALIER. d AURILLAC. 1er congrès de l AFGRIS
SERVICES TECHNIQUES CENTRE HOSPITALIER henri MONDOR d AURILLAC 1er congrès de l AFGRIS METHODE D ANALYSE ET DE PREVENTION DES RISQUES ET CERTIFICATION ISO 9002 Un couple pertinent pour les services techniques
Plus en détailLE PROJET D ÉTABLISSEMENT DE L ENIL DE MAMIROLLE. Réunion du 28 mars 2014
LE PROJET D ÉTABLISSEMENT DE L ENIL DE MAMIROLLE Réunion du 28 mars 2014 SOMMAIRE PARTIE 1 : Le Cadre de travail Pourquoi réaliser un Projet d Etablissement? Qu est-ce qu un Projet d Etablissement? Un
Plus en détailDémarche de traçabilité globale
Démarche de traçabilité globale Dr Chi-Dung TA* Responsable Qualité, Danone Vitapole chi-dung.ta@danone.com La traçabilité existe depuis un certain nombre d'années dans les entreprises à des niveaux plus
Plus en détailFACILITIES. Tél. 04 97 288 800. www.bovis-facilities.fr. Multi. Technique. Multi. Services FACILITIES
Fotolia.com FACILITIES Au cœur de votre environnement de travail Pour l ensemble de nos prestations, bénéficiez d une qualité de service optimale, d un interlocuteur unique et d une maîtrise de vos dépenses.
Plus en détailDÉMATÉRIALISATION DES DOCUMENTS ET AUTOMATISATION DES PROCESSUS UN PREMIER PAS VERS LA BANQUE SANS PAPIER
DÉMATÉRIALISATION DES DOCUMENTS ET AUTOMATISATION DES PROCESSUS UN PREMIER PAS VERS LA BANQUE SANS PAPIER Pour les banques, le papier devrait servir à imprimer des billets ; pas à en garder la trace dans
Plus en détailCatalogue Formation 2015
Catalogue Formation 2015 Because you care about CONSUMERS HEALTH HACCP Expertise, votre partenaire en sécurité des aliments Présentation du catalogue Pourquoi faire de la formation? Formation préventive
Plus en détailD ITIL à D ISO 20000, une démarche complémentaire
D ITIL à D ISO 20000, une démarche complémentaire www.teamup-consulting.com Teamup Consulting - 1 Certificat nºinf/2007/29319 1 ère société de conseil française certifiée ISO 20000-1:2011 Sommaire Introduction
Plus en détailAugmenter l impact économique de la recherche :
Augmenter l impact économique de la recherche : 15 mesures pour une nouvelle dynamique de transfert de la recherche publique, levier de croissance et de compétitivité Partout dans le monde, la recherche
Plus en détailRÉFÉRENTIEL DES ACTIVITÉS PROFESSIONNELLES. Présentation
RÉFÉRENTIEL DES ACTIVITÉS PROFESSIONNELLES Présentation Les matériels agricoles, de travaux publics et de manutention, de parcs et jardins sont de plus en plus complexes et l'évolution de leurs technologies
Plus en détailLA RÉFORME SOLVABILITÉ 2 PETITE RECETTE À L ATTENTION DES COURTIERS
A RÉFORME SOVABIITÉ 2 PETITE RECETTE À ATTENTION DES COURTIERS UN OUTI CONÇU POUR VOUS... Vous tenez dans les mains un guide conçu pour les courtiers. Vous y trouverez toutes les informations essentielles
Plus en détailBREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR MAINTENANCE DES SYSTÈMES
BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR MAINTENANCE DES SYSTÈMES Option : systèmes de production Option : systèmes énergétiques et fluidiques Option : systèmes éoliens Septembre 2014 BTS Maintenance des systèmes
Plus en détailSOMMAIRE 1 LA POLITIQUE GENERALE ET LA POLITIQUE QUALITE 2 UNE ORGANISATION PROFESSIONNELLE FORTE ET GARANTE DE SES MEMBRES 3 NOTRE SMQ
Manuel Qualité 5 place du Rosoir 21000 DIJON Tél. : 03.80.59.65.20 Fax : 03.80.53.09.50 Mèl : contact@bfc.experts-comptables.fr www.bfc.experts-comptables.fr SOMMAIRE 1 LA POLITIQUE GENERALE ET LA POLITIQUE
Plus en détailCATALOGUE DE FORMATIONS 2014 2015
CATALOGUE DE FORMATIONS 2014 2015 Professionnels de l alimentation 06.47.75.88.57 HQSA Consulting contact@hqsafrance.fr Numéro de déclaration de prestataire de formation : SIRET SIRET : 804 : 284 284 420
Plus en détailCQP Plasturgie Opérateur spécialisé en assemblage, parachèvement finition. Référentiels d activités et de compétences Référentiel de certification
CQP Plasturgie Opérateur spécialisé en assemblage, parachèvement finition Référentiels d activités et de compétences Référentiel de certification Designation du métier ou des composantes du métier en lien
Plus en détailPolitique et Standards Santé, Sécurité et Environnement
Politique et Standards Santé, Sécurité et Environnement Depuis la création de Syngenta en 2000, nous avons accordé la plus haute importance à la santé, à la sécurité et à l environnement (SSE) ainsi qu
Plus en détailCOMMANDE REF ADMIN-CS-540-CDD
Pôle de compétitivité mondial Aéronautique, Espace, Systèmes embarqués COMMANDE REF ADMIN-CS-540-CDD Objet : Prestation d assistance dans le cadre de l action collective AEROLEAN K portée par le pôle de
Plus en détailMétiers de la Production/ Logistique
Les fiches Métiers de l Observatoire du Travail Temporaire Emploi, compétences et trajectoires d intérimaires cadres Métiers de la Production/ Logistique R & D Production Ingénieur de recherche Responsable
Plus en détailrepères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis
repères pour agir et mettre en place un projet de consolidation des compétences de Base des Apprentis Version 2 : 20 juillet 2012 L expérimentation conduite par l Agence nationale de lutte contre l illettrisme
Plus en détailGrands Magasins et Magasins Multi-Commerces
Technicien de maintenance Autres appellations du métier Technicien polyvalent, agent d entretien polyvalent, agent de maintenance Le technicien de maintenance maintient les installations techniques en
Plus en détail8) Certification ISO 14 001 : une démarche utile et efficace
Aller plus loin 8) Certification ISO 14 001 : une démarche utile et efficace 8) Certification ISO 14 001 8 La norme ISO 14001 et la certification Cette norme internationale vise à établir dans l organisme
Plus en détailUne véritable aventure humaine avant tout! Un projet ITIL est une couche fonctionnelle ajoutée au sein d une organisation informatique.
Introduction Un projet ITIL n est pas anodin Une véritable aventure humaine avant tout! Un projet ITIL est une couche fonctionnelle ajoutée au sein d une organisation informatique. Un projet ITIL ne peut
Plus en détailManuel Management Qualité ISO 9001 V2000. Réf. 20000-003-002 Indice 13 Pages : 13
Réf. 20000-003-002 Indice 13 Pages : 13 Manuel Management Qualité ISO 9001 V2000 EVOLUTIONS INDICE DATE NATURE DE L'EVOLUTION 00 09/06/2000 Edition Originale 01 29/09/2000 Modification suite à audit interne
Plus en détailCQP Plasturgie Assemblage parachèvement finitions. Référentiels d activités et de compétences Référentiel de certification
CQP Plasturgie Assemblage parachèvement finitions Référentiels d activités et de compétences Référentiel de certification DESIGNATION DU METIER OU DES COMPOSANTES DU METIER EN LIEN AVEC LE CQP Le titulaire
Plus en détailPI Consultants associés
PI consultants associés PI Consultants associés partenaire en organisation industrielle 1 PI Consultants associés Votre partenaire en organisation industrielle P.I Consultants Associés est un cabinet de
Plus en détailDéveloppement durable et PME. Introduction à la démarche
Développement durable et PME Introduction à la démarche 1. INTRODUCTION Les TPE, PME et PMI le savent aujourd hui : elles doivent s employer à limiter leur impact sur l environnement, mais également intégrer
Plus en détailDéfinir une politique de maintenance et sa stratégie de mise en œuvre de responsabilités
Chapitre 1 Définir une politique de maintenance et sa stratégie de mise en œuvre de responsabilités La politique de maintenance, entre prévention et correction 25 f Qu est-ce que le «préventif» et le «correctif»?
Plus en détailAQ053 b. Formation continue
Formation continue La formation continue au CTCPA Au CTCPA, la formation continue se présente sous deux formes : la formation inter entreprises : formation «catalogue» avec 100 stages programmées sur l
Plus en détailPosition de l ASTEE sur l innovation en matière de services d eau et de déchets
Position de l ASTEE sur l innovation en matière de services d eau et de déchets Les services publics locaux de l environnement : des services discrets mais moteurs de développement Depuis leur mise en
Plus en détailTel : 03 22 09 93 34 www.fsconcept.com e-mail : contact@fsconcept.com
F.S. Concept Concepteur de vos formations Catalogue janv 2012 Tel : 03 22 09 93 34 www.fsconcept.com e-mail : contact@fsconcept.com Tel : 03 22 09 93 34 www.fsconcept.com e-mail : contact@fsconcept.com
Plus en détailPole Formation Catalogue 2013-2014
Pole Formation Catalogue 2013-2014 Mise à jour Octobre 2013 Page 1 de 13 Nos valeurs Respect : de nos partenaires clients et fournisseurs, de nos engagements Performance : par l exigence que s imposent
Plus en détailAPPEL A PROJETS. WE NETWORK Le Silicium - 3, Avenue du Bois L abbé - 49070 BEAUCOUZE MARS 2015
APPEL A PROJETS Appel à projets à destination des PME pour l émergence et l accompagnement de projets d innovation en Pays de Loire dans le domaine des objets et solutions communicants (Internet des objets,
Plus en détail2011 2012 Animateur de la démarche Lean Contrat de professionnalisation
2011 2012 Animateur de la démarche Lean Contrat de professionnalisation "Confrontés chaque jour à une compétition plus vive et qui se livre désormais à l'échelle de la planète, les industriels doivent
Plus en détailMastère spécialisé. «Ingénierie de l innovation et du produit nouveau De l idée à la mise en marché»
Mastère spécialisé «Ingénierie de l innovation et du produit nouveau De l idée à la mise en marché» I- Présentation détaillée du programme d enseignement Répartition par modules et crédits ECTS : Intitulé
Plus en détailL agrément des entreprises pour le conseil indépendant à l utilisation de produits phytopharmaceutiques. Ordre du jour
L agrément des entreprises pour le conseil indépendant à l utilisation de produits phytopharmaceutiques Ordre du jour 1. Le cadre réglementaire 2. Les exigences organisationnelles et leurs applications
Plus en détailAnnexe I b. Référentiel de certification
Annexe I b Référentiel de certification Page 15 sur 45 CORRESPONDANCE ENTRE ACTIVITÉS ET COMPÉTENCES ACTIVITÉS ET TÂCHES A1. S ORGANISER, S INTEGRER à une EQUIPE A1-T1 Préparer son intervention et/ou la
Plus en détailTechnicien - Expert en performance thermique de bâtiments neufs ou existants
PARCOURS COMPLET DE PROFESSIONNALISATION Technicien - Expert en performance thermique de bâtiments neufs ou existants proposer un ensemble de prestations liées à l amélioration de la performance thermique
Plus en détailLe partenaire des directions financières
Le partenaire des directions financières IFRS due diligences transaction services direction financière fast close reporting controlling évaluation externalisation CSP business plan consolidation Notre
Plus en détailChapitre 1 : Introduction au contrôle de gestion. Marie Gies - Contrôle de gestion et gestion prévisionnelle - Chapitre 1
Chapitre 1 : Introduction au contrôle de gestion Introduction 2 Contrôle de gestion : fonction aujourd hui bien institutionnalisée dans les entreprises Objectif : permettre une gestion rigoureuse et une
Plus en détailRapport d évaluation de la licence professionnelle
Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation de la licence professionnelle Entrepreneuriat de l Université Paris 13 - Paris-Nord Vague D 2014-2018 Campagne d évaluation 2012-2013 Section
Plus en détailPÉRENNISER LA PERFORMANCE
PÉRENNISER LA PERFORMANCE La recherche de performance est aujourd hui au cœur des préoccupations des organisations : succession des plans de productivité et de profitabilité, plans de reprise d activités,
Plus en détailGroupement ICS eau et William Terry Conseil, représenté par:
Catalogue de Formations THERMALISME Accompagnement à la Certification Aquacert HACCP (Certification basée sur le Guide Bonnes Pratiques de la profession Conforme aux exigences règlementaires de janvier
Plus en détailIntitulé du stage. Initiation à l'environnement industriel Jeudi 15 et vendredi 16 septembre 2011
Intitulé du stage Dates Initiation à l'environnement industriel Jeudi 15 et vendredi 16 septembre 2011 Recherche et réduction des rejets de Substances Dangereuses dans l'eau Mardi 20 septembre 2011 Mardi
Plus en détailSupply chain management
Supply chain management Une gestion coordonnée des activités de la supply chain (chaîne logistique), dans une logique d optimisation globale, constitue un atout décisif pour les entreprises. Impact Cooremans
Plus en détailAGENCE AUVRAY & ASSOCIES
DOSSIER DE PRESSE 2014 CONTACT PRESSE AGENCE AUVRAY & ASSOCIES 97, boulevard Malesherbes - 75008 PARIS Sandrine Auvray/Emilie Dèbes Tel. : 01 58 22 25 95 Mail : e.debes@auvray-associes.com Sommaire I -
Plus en détailUne réponse concrète et adaptée pour valoriser votre engagement pour l environnement. www.evaluation-envol-afnor.org
Une réponse concrète et adaptée pour valoriser votre engagement pour l environnement www.evaluation-envol-afnor.org Quelques mots à propos du groupe Afnor Opérateur central du système français de normalisation
Plus en détail1 Les différents types de maintenance
1 Les différents types de maintenance Il existe différents types de maintenance s agissant des machines, et tout autant en matière de logiciels, déterminés en fonction de leur finalité, de leur résultat
Plus en détailLA MAINTENANCE. We are working on the English version. Chapitre 12. 12.1 Introduction et position du problème
We are working on the English version. Chapitre 12 LA MAINTENANCE 12.1 Introduction et position du problème Chacun peut intuitivement comprendre que la maintenance est importante parce que si un équipement
Plus en détailResponsable d agence
Responsable d agence La filière certifications de l afpols l école L afpols conçoit et met en œuvre depuis plus de 20 ans des cycles de formations qualifiantes pour répondre aux besoins de professionnaliser
Plus en détailPRESENTATION OFFRE DE SERVICE TABLEAU INTERACTIF CLASSE MOBILE
PRESENTATION OFFRE DE SERVICE TABLEAU INTERACTIF CLASSE MOBILE Vous avez investi dans la modernisation de vos salles de classe au travers du numérique. Comme tous matériels, les tableaux interactifs, les
Plus en détailPrestations d audit et de conseil 2015
M. Denis VIROLE Directeur des Services +33 (0) 6 11 37 47 56 denis.virole@ageris-group.com Mme Sandrine BEURTHE Responsable Administrative +33 (0) 3 87 62 06 00 sandrine.beurthe@ageris-group.com Prestations
Plus en détailPOLES DE COMPETITIVITE. et CENTRES D INNOVATION TECHNOLOGIQUES : OBJECTIF INNOVATION
POLES DE COMPETITIVITE et CENTRES D INNOVATION TECHNOLOGIQUES : OBJECTIF INNOVATION Plan - Qu est-ce qu un pôle de compétitivité? - Qu est-ce qu un centre d innovation technologique? - Zoom sur Valorial
Plus en détailEtude de marché de la gazéification en Languedoc Roussillon Présentation Séminaire BioénergieSud du 26 Novembre 2013
Présentation Séminaire BioénergieSud du 26 Novembre 2013 Document produit par ENEA Consulting I 89 rue Réaumur, 75002 Paris I +33 (0) 1 82 83 83 83 I www.enea-consulting.com Sommaire ENEA : qui sommes-nous?
Plus en détailTECHNIQUES INDUSTRIELLES MANAGEMENT ECOLE DU MANAGEMENT ORGANISATION INDUSTRIELLE FORMATIONS REGLEMENTAIRES BUREAUTIQUE ET INFORMATIQUE
! CALENDRIER DES S INTER-ENTREPRISES ENTREPRISES 2015 TECHNIQUES INDUSTRIELLES MANAGEMENT ECOLE DU MANAGEMENT ORGANISATION INDUSTRIELLE S REGLEMENTAIRES BUREAUTIQUE ET INFORMATIQUE CONTACTS Bas-Rhin -
Plus en détailAUDIT ÉNERGÉTIQUE ET SYSTÈMES DE MANAGEMENT DE L ÉNERGIE ISO 50001: Quels sont les liens et comment évoluer de l un à l autre?
Réunion CCI Franche-Comté - Besançon 13 mai 2014 AUDIT ÉNERGÉTIQUE ET SYSTÈMES DE MANAGEMENT DE L ÉNERGIE ISO 50001: Quels sont les liens et comment évoluer de l un à l autre? Paule.nusa @afnor.org Nour.diab@afnor.org
Plus en détailProximité Ethique Responsabilité
Qu est-ce que le développement durable à l échelle de ma TPE-PME? Proximité Ethique Responsabilité cgpme-idf@wanadoo.fr-tel: 01 56 89 09 30 www.cgpme-idf.fr Salon Entreprise Durable 20 octobre 2009 Qu
Plus en détailREFERENTIEL Chef(fe) de Projets Marketing et Commercial Titre Bac+4 certifié Niveau II J.O du 09 Août 2014 - code NSF 312
REFERENTIEL Chef(fe) de Projets Marketing et Commercial Titre Bac+4 certifié Niveau II J.O du 09 Août 2014 - code NSF 312 1 REFERENTIEL DE FORMATION CHEF(FE) DE PROJETS MARKETING ET COMMERCIALE TITRE CERTIFIE
Plus en détailGestion d événements et modulation dynamique de choix sous Sphinx par calcul de contraintes en temps réel.
Gestion d événements et modulation dynamique de choix sous Sphinx par calcul de contraintes en temps réel. Entreprise ou organisme : ICN Business School Activité de l'entreprise ou de l'organisme : Par
Plus en détailL Edition Pilotée XL
L Edition Pilotée XL Piloter son activité, une nécessité Processus décisionnel: «Exploiter les données de l entreprise dans le but de faciliter la prise de décision» Etre informé en permanence sur l état
Plus en détailMESURE DE L ÉNERGIE ET DES FLUIDES
MESURE DE L ÉNERGIE ET DES FLUIDES MESURER EN CONTINU TOUTES VOS CONSOMMATIONS D ÉNERGIE ET DE FLUIDES POUR PERMETTRE UNE OPTIMISATION DE VOS PERFORMANCES ENVIRONNEMENTALES Instrumenter vos immeubles à
Plus en détailLES 11 COMPÉTENCES CLÉ DU COACH SELON LE RÉFÉRENTIEL ICF OBJECTIFS CERTIFICATION PRINCIPES ET ORIENTATIONS
ACTIVISION Coaching : un cursus de formation complet accrédité ICF pour acquérir les compétences et la posture du coach professionnel. Une formation professionnelle, pour des professionnels, par des professionnels.
Plus en détailHACCP Évolutions réglementaires et normatives
MADRPM / CEPR Rabat 30 octobre 2007 HACCP Évolutions réglementaires et normatives Une logique de maîtrise But : maîtrise de la sécurité sanitaire des aliments Système HACCP : «Analyse des dangers, points
Plus en détailNos formations clé en main
Nos formations clé en main Une gamme de formation élaborée sur la base des métiers d expertise de Horisis Conseil adaptée aux besoins du monde de l industrie Contract Management Risk Management Maintenance
Plus en détailJe découvre Lina Maintenance
Je découvre Lina Maintenance Une interface simple et ergonomique pour optimiser la maintenance de vos équipements 1 Sommaire Présentation 4 La plateforme Lina 5 Référentiel 6 Agenda et données personnelles
Plus en détailTPM Totale Productive Maintenance
T.P.M ou Topo Maintenance Méthodes de maintenance TPM Totale Productive Maintenance 1 T.P.M ou Topo Maintenance 1. CONTEXTE GENERAL La TPM (de l anglais Total Productive Maintenance) est un système global
Plus en détailMétiers d études, recherche & développement dans l industrie
Les fiches Métiers de l Observatoire du Travail Temporaire Emploi, compétences et trajectoires d intérimaires cadres Métiers d études, recherche & développement dans l industrie R&D Production Ingénieur
Plus en détail«Identifier et définir le besoin en recrutement»
«Identifier et définir le besoin en recrutement» LES ETAPES DU RECRUTEMENT Le recrutement est une démarche structurée qui comporte plusieurs étapes aux quelles il faut attacher de l importance. La majorité
Plus en détailL obligation de négocier sur la pénibilité dans les entreprises. Premiers éléments de bilan. Direction générale du travail
CONSEIL D ORIENTATION DES RETRAITES Séance plénière du 21 novembre 2012 à 14 h 30 «Pénibilité. Transition emploi-retraite. Elaboration de cas-types pour les projections.» Document N 6 Document de travail,
Plus en détailSéminaire en ligne : Diffuser un management transversal des projets dans une université
Séminaire NQI du jeudi 14 février 2013 En partenariat avec : Séminaire en ligne : Diffuser un management transversal des projets dans une université NQI COMPTE RENDU DE SEMINAIRE EN LIGNE Présenté par
Plus en détailPôle de compétitivité Aerospace Valley. Agilité et Confiance dans la filière aéronautique (2)
Pôle de compétitivité Aerospace Valley Agilité et Confiance dans la filière aéronautique (2) Cahier des charges pour une offre d accompagnement pour une démarche «Agir ensemble pour la filière aéronautique».
Plus en détailAssociations Dossiers pratiques
Associations Dossiers pratiques Optimisez la gestion financière de votre association (Dossier réalisé par Laurent Simo, In Extenso Rhône Alpes) Les associations vivent et se développent dans un contexte
Plus en détail