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1 BONDOUFLE CORBEIL-ESSONNES COURCOURONNES ETIOLLES EVRY FLEURY-MEROGIS GRIGNY LE COUDRAY-MONTCEAUX LISSES MORSANG SUR SEINE ORMOY RIS-ORANGIS STE GENEVIEVE-DES-BOIS ST GERMAIN-LES-CORBEIL SAINT PIERRE-DU-PERRAY SAINTRY-SUR-SEINE SOISY-SUR-SEINE TIGERY VERT-LE-GRAND VERT-LE-PETIT A.I.V.E. Association Intermédiaire Vers l emploi Association loi 1901 Créée en Juin 2003 Porteuse d un ACI depuis Juin 2011 Président : Louis Launey Directrice : Corinne Felut 10, rue du Bois Guillaume Evry Tél. : Fax : contact@aive.fr (en cours de réalisation) L objet : A.I.V.E. est une association intermédiaire, c est un dispositif d Insertion par l Activité Economique. Le public : Les demandeurs d emploi qui rencontrent des difficultés particulières d insertion socioprofessionnelle, bénéficient d un accompagnement vers un emploi durable en parallèle d une activité salariée. Les moyens de l AI: L outil spécifique de l accompagnement est la mise à disposition des intervenants pour des missions de travail rémunérées par A.I.V.E., auprès d entreprises, de collectivités, d associations, ou de particuliers.. Les moyens de l ACI sont développés en seconde partie, Lire page 24 et suivantes. TERRITOIRE Territoire d intervention de l AI : A.I.V.E. intervient dans le Département de l Essonne, sur Evry, Corbeil-Essonnes et sur 19 communes avoisinantes. (Pas de notion de territoire pour l ACI)

2 VILBE RAPPORT D ACTIVITE 2012 AIVE - Page 2

3 LE PRESIDENT ET LE CONSEIL D ADMINISTRATION Corinne Felut DIRECTRICE POLE ADMINISTRATIF ET FINANCIER POLE MISE A DISPOSITION POLE INSERTION ATELIER REPASSERIE ACTIVE Noëlle Perrot COMPTABLE Clarisse Coutellier CHARGEE DE MàD Dominique Mazet CHARGEE D INSERTION Christel Rozier ENCADRANTE TECHNIQUE Sabrina Monteiro ASSISTANTE DIRECTION Brigitte Rouet CH. MàD & GOUVERNANTE Micaële Saul CHARGEE INSERTION Silvana Donadio ENCADRANTE TECHNIQUE Mylène Rouillard CHARGEE DE MàD Carine Wohlschies CHARGEE D INSERTION RESSOURCES COMPLEMENTAIRES Evelyne, Claude, Claudine BENEVOLES / ATELIERS Docteur Claudine Bodot MEDECIN DU TRAVAIL 205 intervenants salariés de l association intermédiaire 10 Salariées de l ACI CHIFFRE 2012 CHIFFRE 2012 PERSONNEL AIVE PRESENT EN 2013 (VANESSA BOUILLON REMPLACE C. COUTELLIER PDT SES CONGES MATERNITE ET PARENTAL)

4 AI ACI CCAS CDD CDI CHRS CIDFF DIRECCTE DE DILEE DO EPCI FSE IAE MàD MDS MIVE Niveau IV Niveau V Niveau VI OASI OT PLIE RSA SIAE SAP TSP ZUS Association intermédiaire Atelier Chantier d Insertion Centre Communal d Action Sociale Contrat à Durée Déterminée Contrat à Durée Indéterminée Centre d Hébergement et de Réinsertion Sociale Centre d'information sur les Droits des Femmes et des Familles Direction Régionale des Entreprises, de la Concurrence, de la Consommation, du Travail et de l'emploi Demandeur d Emploi Direction de l Insertion, de la lutte contre les Exclusions et pour l Emploi (Conseil Général) Donneurs d ordres (particuliers, entreprises, associations, collectivités..) = clients de l association désormais nommés utilisateurs Etablissement public de collaboration intercommunale Fonds Social Européen Insertion par l activité économique Mise à disposition (mission) Maison Départementale des Solidarités (anciennement CDAS) Mission Intercommunale Vers l'emploi (à Corbeil) Niveau d'études correspondant au Baccalauréat obtenu ou non (IV bis) Niveau d'études correspondant à la 3ème des collèges, au CAP ou BEP obtenu ou non (V bis) Niveau d'études inférieur à la 3ème, enseignement CAP ou BEP inachevé Outil d Aide aux Savoirs d Insertion, mis en place par les AI du Département Ordre de Travail (document contractuel entre l AI et l Utilisateur, encadrant la mission) Plan Local d Insertion par l Economique Revenu de Solidarité Active (remplace le RMI et l API) Structure d Insertion par l Activité économique Services Aux Particuliers éligibles à la loi de finances qui permet l avantage fiscal (ménage, jardinage..) Trajectoire Socioprofessionnelle Zones Urbaines Sensibles RAPPORT D ACTIVITE 2012 AIVE - Page 4

5 1 Fiche de présentation d AIVE 3 Organigramme 4 Lexique 5 Sommaire Première partie L Association Intermédiaire Présentation générale 7 L accompagnement vers l insertion professionnelle 8 L outil de l accompagnement, sa mise en place 9 Les autres formes d accompagnement 10 Les différentes étapes d accompagnement L articulation avec les partenaires, les ressources 11 Schématisation des étapes Le public 13 Caractéristiques des intervenants en L activité 16 Répartition des secteurs d activités et catégories d utilisateurs 18 L évolution de l activité en L analyse, les conséquences 20 Le développement Les résultats 22 Les sorties 23 L équipe en 2012 Seconde partie L Atelier Chantier d Insertion Présentation générale L activité économique L accompagnement L articulation des phases 27 La formation Le public 29 Caractéristiques des salariées accompagnées en Les résultats 33 La mobilisation des salariées Les avancées de l accompagnement 34 Le suivi post-chantier 6 L équipe en 2012 RAPPORT D ACTIVITE 2012 AIVE - Page 5

6 PREMIERE PARTIE L esprit de l IAE. L activité de l Association intermédiaire A.I.V.E. a été créée en C est une Association Intermédiaire (AI) qui forme en complément des dispositifs Atelier Chantier d Insertion (ACI), Entreprise d Insertion (EI) et Entreprise de Travail Temporaire d Insertion (ETTI), l offre de l Insertion par l Activité Economique (IAE). «Apparue en même temps que le chômage de masse, l insertion par l activité économique propose des emploi à des personnes en difficulté face à un marché du travail de plus en plus sélectif. Conçu comme un sas vers l emploi classique, l IAE a su démontrer que l exclusion n est pas une fatalité. Depuis plus de 40 ans, le secteur de l IAE propose des emplois à des personnes en difficulté : bénéficiaires des minima sociaux, chômeurs longue durée, jeunes peu qualifiés. Le passage par une structure IAE donne à ces personnes accès à des emplois temporaires, assortis d un accompagnement spécifique et de formations. L ensemble doit leur permettre de retrouver des habitudes de travail, de la confiance en eux, d acquérir certaines qualifications, mais aussi de résoudre les difficultés faisant obstacle leur insertion : problèmes de logement, de santé, d isolement, etc. L objectif, au terme du parcours d insertion de ces salariés, est qu ils retrouvent de l employabilité aux yeux des entreprises classiques et qu ils puissent réintégrer le marché ordinaire du travail de manière durable. / RAPPORT D ACTIVITE 2012 AIVE - Page 6 1-Présentation générale A.I.V.E. est une association intermédiaire. Son objet est l accompagnement des demandeurs d emploi vers l insertion professionnelle durable. Pour ce faire nous disposons, entre autre, d un outil spécifique qui est la mise à disposition des intervenants pour des missions de travail dans les entreprises, les collectivités, les associations, chez des particuliers.. Nous sommes l employeur des intervenants qui bénéficient parallèlement d un accompagnement vers l emploi. A.I.V.E. est lieu d accueil, d écoute, d information, d accompagnement vers une insertion professionnelle durable. L association s inscrit dans la lutte globale contre les exclusions sociales ou professionnelles. Son action s adresse à tous les demandeurs d emploi éligibles à l insertion par l économique, qui ont un projet de vie dans lequel s inscrit un projet d insertion professionnelle, s engagent véritablement dans un accompagnement tendant vers ce projet, décident d utiliser l outil spécifique des associations intermédiaires constitué par des missions de travail, auprès d utilisateurs, clients de l association, liées à un accompagnement socioprofessionnel renforcé. Avant de n être qu un lieu d accompagnement vers l insertion durable, A.I.V.E. est un lieu d intégration sociale, d évolution vers l autonomie, de reprise de confiance.

7 L accompagnement repose sur l alternance des mises disposition et des entretiens individuels. Les mises à disposition sont au service de l accompagnement, elles en sont constitutives dans la mesure où elles permettent de travailler les savoir-être et les compétences. Elles sont un outil d entraînement ou de réentraînement aux gestes professionnels. Elles permettent d évaluer et de faire évoluer les compétences, les capacités et, au-delà, l employabilité de la personne. Les utilisateurs sont associés à l évaluation des savoir-faire et des potentialités des intervenants. La mise à disposition procure à l intervenant un salaire, vecteur d autonomie et de valorisation. L accompagnement vers l insertion professionnelle L accompagnement social et professionnel concerne l ensemble des salariés en insertion embauchés par l Association. / «Les AI, Associations Intermédiaires, sont nées dans les années Elles embauchent des salariés en parcours d insertion, puis les mettent à disposition de particuliers, d associations, de collectivités locales et d entreprises. Ces mises à disposition concernent différents types d emploi notamment des emplois d entretien et de nettoyage. Elles se font à titre onéreux, mais à but non lucratif. L activité de l AI s appuie donc sur une double contractualisation : un contrat de travail est signé avec le salarié et un contrat de mise à disposition avec l utilisateur. Les AI sont conventionnées par l Etat. Dans le cas de missions en entreprise, l AI se doit de conclure une convention avec Pôle Emploi.» Extrait du HORS SERIE N 44 d ALTERNATIVES ECONOMIQUES / L INSERTION PAR L ACTIVITE ECONOMIQUE L accompagnement socioprofessionnel, c est l ensemble des différentes étapes nécessaires, mises en place pour aider la personne à devenir autonome. Il a pour objet la levée des freins, l appui des démarches et le soutien des avancées. Il dure jusqu à la sortie vers l emploi ordinaire, la formation qualifiante ou la suite de parcours avec une autre structure. Après les phases d accueil et d intégration dans la structure (accueil et information de la personne, recueil de la demande, préhension de la situation, identification de la / des réponses possibles, orientation, intégration ; état des lieux de la position et du projet de vie de la personne), l accompagnement se met en place. L accompagnement se fait au sein d A.I.V.E., sous la forme d entretiens avec les chargées d insertion, selon un rythme défini ou à la demande de l intervenant. Il est mené en lien avec les référents de parcours. L accompagnement sert à observer, encourager, soutenir les avancées, recadrer les défaillances, programmer les étapes nécessaires. Il guide vers l insertion professionnelle sur le marché classique du travail. Lors de l accompagnement, nous travaillerons sur la hiérarchisation des priorités, la levée de freins, la mise en place de moyens, le repérage et la prise de conscience des systèmes individuels, l identification des pré-occupations. Les entretiens d accompagnement sont liés aux mises à disposition dans la mesure où celles-ci demeurent un outil. Un intervenant qui utiliserait les missions sans avoir un projet ou sans accomplir des démarches nécessaires à l insertion, perdrait l outil. RAPPORT D ACTIVITE 2012 AIVE - Page 7

8 L outil de l accompagnement L accompagnement et les mises à disposition se mettent en place de manière concomitante. L association intermédiaire accompagne avec et par la mise à disposition : la mise à disposition est au service de l accompagnement, elle est aussi constitutive de l accompagnement ; la mise à disposition est une construction par imbibition. La mise en place de l outil support : la mise à disposition Après avoir étudié avec les demandeurs d emploi leurs possibilités et leurs souhaits, A.I.V.E. propose des mises à disposition auprès d utilisateurs particuliers ou professionnels (associations, collectivités ou entreprises) pour des missions de courte ou de moyenne durée. En 2012, 10 intervenants ont été recrutés directement par les utilisateurs professionnels auprès desquels ils avaient été mis à disposition. Les missions proposées sont en permanence accompagnées. Elles sont évaluées (très forte implication des utilisateurs qui retournent les questionnaires d évaluation à 75 %). Ces missions ont pour but de permettre aux intervenants de renforcer ou de diversifier leur expérience, de reprendre progressivement un rythme de travail, de se faire éventuellement remarquer par un futur employeur.. Les missions permettent la (re)valorisation de soi, par : le salaire (un salaire par opposition à une allocation), la confiance (celle que donne le sentiment de réussir à faire les choses, celle que les autres placent en vous) Nous constatons que les missions elles mêmes, quand les intervenants s inscrivent dans une continuité, sont déjà un élément de réussite pour un public éloigné de l emploi. Elles permettent de travailler : l employabilité (mise en place progressive de moyens pour se rendre disponible pour l emploi : garde d enfants, gestion des priorités..), les savoir-être professionnels : ponctualité, rigueur, persévérance.., le développement des compétences techniques ou transversales l autonomie.. L association est l employeur administratif (elle établit les fiches de paie, verse les salaires en fonction des heures effectuées, cotise aux différentes caisses). Les intervenants restent inscrits en tant que demandeurs d emploi et demeurent à tout moment disponibles pour l emploi durable. RAPPORT D ACTIVITE 2012 AIVE - Page 8

9 Les autres formes de l accompagnement Atelier La tenue de l emploi Nous créons, expérimentons, différents ateliers et outils, nous diversifions les approches afin de renforcer l accompagnement. et la approches. Depuis quelques année nous avons mis en place un atelier relooking pour préparer les intervenants à l entretien d embauche : présentation vestimentaire, coiffure Nous faisons intervenir l association La tête de l emploi. Les vêtements que nous proposons aux intervenants nous sont donnés par le Lions club de Ris Orangis. Une découpe du travail en ateliers nous permet d aller plus avant dans la préparation à l entretien d embauche. On étudie les questions habituelles de l entretien, et par jeux de rôles, chacun son tour, on s entraine lors de simulation. La vidéo est venue compléter les outils mis au service de l objectif. Nos objectifs : préparer les intervenants aux situations professionnelles d entretien d embauche, les faire bénéficier de conseils éclairés pour se mettre en valeur à moindre frais, mettre à leur disposition des vêtements qu ils pourront réutiliser en situation professionnelle, sont toujours atteints et nous assistons à chaque atelier à de jolis moment d émotion : des fous rires, des reconcilliations voire des rencontres avec un autre aspect de soi-même revalorisé, affirmé. RAPPORT D ACTIVITE 2012 AIVE - Page 9

10 Les différentes étapes de l accompagnement Chaque étape est définie par rapport à la progression de la personne. La progression de l un n est pas celle de l autre et nous ajustons nos réponses en fonction des besoins et des opportunités : nous revenons sur des étapes quand cela est nécessaire, en ajoutons, les adaptons. Chacun a le droit d avancer dans son parcours à un rythme propre dans la mesure où la progression se fait vers un objectif concerté Accueil et information de la personne, recueil de la demande, préhension de la situation. Identification de la / des réponses possibles, orientation, intégration. Etat des lieux de la position et du projet de vie de la personne. Définition d objectifs communs, recherche des outils et des appuis les mieux adaptés. Concertation avec les partenaires, mise en mouvement de leurs actions utiles. Mise en place de l accompagnement et des mises à disposition : Mise à disposition des intervenants auprès d utilisateurs dans le cadre de missions rémunérées par l association. L intervenant produit un travail, il est sous les ordres et l autorité d un commentant, il est rémunéré en fonction des heures effectuées. Avancée dans le projet : évaluation de l évolution de la personne à travers les mises à disposition ; Appréciation des écarts entre les apports de la personne et les attentes du marché de l emploi ; définition commune des stratégies, mise en évidence d un éventuel besoin de formation, travail sur l accès à l emploi. Suivi au-delà du départ de l association pour sécuriser l insertion ou reprendre les éléments qui auraient provisoirement fait échouer celle-ci. L articulation avec le partenariat, les ressources 2012 STRUCTURES SOURCES Nbre de pers. orientées Ratios POLE EMPLOI 35 17% STRUCTURES PR L'EMPLOI 56 27% MISSIONS LOCALES 23 11% AUTRES SIAE 27 13% SERVICES SOCIAUX 40 20% DEMARCHE SPONTANEE 24 12% TOTAL % Tous les acteurs sociaux, conseillers en insertion, référents de parcours sont mobilisables et mobilisés pour continuer d accompagner les personnes. Les structures et les moyens actuels se complètent dans cet objectif commun qu est la lutte contre les exclusions et l action en faveur de l insertion professionnelle. Nous travaillons autour de la personne, nous mutualisons nos compétences en fonction de nos champs d intervention et de nos prérogatives réciproques pour optimiser l accompagnement social, professionnel, (santé, logement..) des demandeurs d emploi. La coordination de nos moyens avec ces structures spécialisées se fait par contacts téléphoniques pour la rapidité et l aisance ; nous organisons également des réunions de travail où nous revenons sur les situations et l évolution des personnes concernées. 43 personnes étaient bénéficiaires du PLIE. RAPPORT D ACTIVITE 2012 AIVE - Page 10 En 2018, 68% des intervenants ont été orientés par le dispositif emploi, 20% par les acteurs sociaux. 12% sont venus spontanément puis ont été rattachés à une structure partenariale.

11 PARTENARIAT (référents de parcourt) ACCUEIL/CONTACT/ VERIFICATION DE L ELIGIBILITE DU DEMANDEUR D EMPLOI CANDIDATURES SPONTANNEES INFORMATION COLLECTIVE ENTRETIEN INDIVIDUEL AVEC LA CHARGEE D INSERTION / VALIDATION DE LA PERTINENCE DE L INSCRIPTION ATELIERS OASI ATELIER MENAGE ENTRETIEN INDIVIDUEL D INSCRIPTION/ ORGANISATION DE L ALTERNANCE REUNION D EQUIPE/ PRESENTATION DES NOUVEAUX ENTRANTS STRUCTURES SPECIALISEES (en fonction des problématiques spécifiques) VISITES ENTREPRISES /CENTRES DE FORMATION ETAPES FORMATION (extérieures) ACCOMPAGNEMENT SOCIOPROFESSIONNEL ENTRETIENS INDIVIDUELS ATELIERS LIES A L ACCOMPAGNEMENT ETAPES EMPLOI (extérieures) REUNIONS D EQUIPE/ COORDINATION PLACEMENT EN EMPLOI / EN FORMATION AUTRES SORTIES AFFECTATION SUR DES MISSIONS ACCOMPAGNEMENT DU SALARIE SUR LES MISSIONS SUIVI DE MISSION/ EVALUATION/ REINTERVENTION REUNIONS D INFOS / METIERS, DROITS.. ATELIERS type «TENUE POUR L EMPLOI» VISITE MEDICALE FORMATION PREPARATION AUX MISSIONS (CAIE) RAPPORT D ACTIVITE 2012 AIVE - Page 11

12 2-Le public Depuis le début de l année 2012, 454 personnes ont été orientées sur les informations collectives organisées par A.I.V.E. Elles étaient 630 en 2011, soit une baisse de 28% entre 2011 et Les publics éligibles Tous les demandeurs d emploi éligibles à l insertion par l activité économique, comme mentionnés à l article 11 de la loi cadre contre les exclusions et L du Code du Travail, soit les personnes sans emploi, rencontrant des difficultés sociales et professionnelles. Globalement, il s agit des personnes considérées comme prioritaires pour la politique de l emploi (bénéficiaires des minima sociaux, chômeurs longues durée..) mais aussi celles qui ne rentrent pas dans ces catégories administratives mais qui se trouvent dans des situations difficiles vis-à-vis de l emploi du fait d autres problématiques (illettrisme, sortant d incarcération..). A.I.V.E. s inscrit dans le PDILEE, Plan Départemental de Lutte contre les Exclusions et pour l Emploi, en accompagnant particulièrement le public bénéficiaire du RSA Socle. 419 ont été reçues en information collective, soit 92% des personnes orientées (ce ratio était de 84 % en 2011). 272 personnes ont été reçues en entretien(s), soit 64% des personnes qui ont participé à l info collective (ce ratio était de de 57% en 2011). La différence ( ) ce sont les personnes qui ne sont pas présentées au premier entretien organisé 2 à 3 jours plus tard ou qui, plus rarement, ont décliné la proposition de ce 1 er entretien. 122 ont intégré l association, c'est-à-dire ont pu bénéficier des missions de travail et de l accompagnement socioprofessionnel. Le delta est le nombre de personnes qui, soit sont en attente d intégration, soit n étaient pas éligibles administrativement ou dont les attentes ne correspondaient pas aux missions de l association, soit ont abandonné au cours de la phase d inscription pour des motifs inconnus. (Ce dernier ratio, c est-à-dire la proportion des personnes qui intègrent l association par rapport aux personnes qui participent à la phase d inscription est stable d une année sur l autre : 122/275= 45 % en 2012, 148/321= 46% en 2011.) Ces 122 personnes ont rejoint 83 intervenants déjà inscrits d une année antérieure. Les nouveaux entrants représentent 59% de l effectif en 2012, ils représentaient 60% en Ce sont donc 205 intervenants qui, en 2012, ont pu bénéficier d un accompagnement articulé avec des missions qu ils ont réalisées. 88% avaient été orientés par nos partenaires des dispositifs sociaux ou professionnels (97% des nouveaux entrants). 67 intervenants sont bénéficiaires du RSA socle en 2012, soit 33 % du public. Ce ratio est en légère baisse par rapport à En synthèse, nous notons que si le nombre d orientation vers la structure est plus faible (-28%), les personnes se sont mieux mobilisées sur la phase d inscription (65% des personnes orientées sont allées jusqu au 1 er entretien d inscription en 2012, contre 57% en 2011). RAPPORT D ACTIVITE 2012 AIVE - Page 12

13 Caractéristiques des intervenants accompagnés en 2012 Les publics prioritaires 67 personnes sont bénéficiaires du RSA socle (33% du public en 2012 ; 36% en 2011) 96 sont demandeurs d emploi depuis au moins 2 ans 9 sont bénéficiaires de l ASS (5% du public en 2012 ; 6% en 2011) 7 sont reconnues Travailleurs Handicapés (4% du public en 2012, comme en 2011) 82 demeurent en ZUS (40% du public en 2012 ; 34% en 2011) Age/sexe - de 26 ans de 26 à 50 ans + de 50 ans TOTAL Répartit / Sexe Femmes % Hommes % TOTAL % Répartit / Tranche d'âge 13% 70% 17% 100% Les femmes continuent de constituer la majorité de notre public. Le ratio est stable par rapport à Les ratios d âges sont stables d une année sur l autre, avec peut-être un léger renfort de la tranche d âge ans. Formation Niv. qualification 5 bis/ Totalité Nbre de personnes Répartit /niv. qual 76% 20% 3% 1 % 100% Le niveau de formation du public est en baisse d une année sur l autre : en 2010, 61% du public avait un niveau inférieur au niveau 5, en 2011 : 69%, en 2012 : 76%. RAPPORT D ACTIVITE 2012 AIVE - Page 13

14 Parcours : * TPS / Définition : on utilisera les termes de «Trajectoire socioprofessionnelle stable pour les personnes qui ont été dans les 5 dernières années en CDI ou en CDD longs renouvelés et dont l entrée au chômage se fait principalement par un licenciement. «Trajectoire socioprofessionnelle instable pour les personnes qui ont été dans les 5 dernières années en succession de contrats temporaires (CDD et intérim) avec des temps de chômage inférieurs aux temps de travail. «Trajectoire socioprofessionnelle précaire pour les personnes qui ont été dans les 5 dernières années en succession de contrats d insertion et/ou de contrats temporaires (CDD ou intérim) avec des temps de chômage supérieurs aux temps de travail.» Nous utilisons, depuis 2006, le critère d appréciation des trajectoires socioprofessionnelles (TPS*) des personnes, proposé par le Coorace. TPS stable TPS instable Ainsi en 2012 : 71% des intervenants ont connu une TSP précaire ou instable (67% en 2011) ; 22% des personnes n ont jamais travaillé en France (chiffres stables par rapport à 2011). Les difficultés repérées : (Critères de la DIRECCTE) TPS précaire DE primo demandeur DE n'ayant jamais travaillé Totalité % 22% 49% 18% 4% 100% Le tableau exprime les difficultés en nombre, le total est supérieur au nombre d intervenants, chacun pouvant cumuler plusieurs difficultés. Personnes en difficulté Problèmes financiers (peu ou pas de revenu, endettement) RATIO 2012 RATIO 2011 Evolut % 82% Souffrance psychosociale ou psychique 6 3% 9% Difficultés linguistiques (illettrisme, analphabétisme, Français Langue Etrangère) 34 17% 20% Difficultés d'accès aux droits, administratives 9 4% 2% Problèmes de santé (hors addiction, souffrance psy.) Problèmes de logement (sans domicile, hébergement précaire) Manque de disponibilité (liée à la garde d'enfants ou d'ascendants, au conjoint) 20 10% 13% 34 17% 52% 28 14% 12% Addiction (alcool, drogues, médicamenteuse) 2 1% 2% Manque de mobilité (au sens géographique du terme) 23 11% 8% Justice 2 1% 2% La première difficulté reste liée au manque de ressources financières, elle touche 83% des personnes. Quand 33% du personnes bénéficient du RSA socle, d autres ne perçoivent aucune aide d aucune sorte. RAPPORT D ACTIVITE 2012 AIVE - Page 14

15 Historique du nombre d intervenants Année Nbre d' intervenants mis à disposit Dont bénéficiaires du RSA Socle Ratio du public RSA / à la totalité des intervenants % % % % % % % % % Bien que le nombre de bénéficiaires soit en légère diminution, le ratio des bénéficiaires du RSA Socle reste stable au fil des années. 3-L activité En 2012, heures ont été travaillées, soit une baisse d activité de 9,5% par rapport à (2011 était en hausse de 10%, on retrouve en 2012 l activité de 2010). Cet inversement de tendance est liée à une très forte baisse de l activité dans le secteur des entreprises. Les autres secteurs sont relativement stables. Lire page 18 L évolution de l activité en 2012 Nbre d'heures Année travaillées par les intervenants Historique de l activité RAPPORT D ACTIVITE 2012 AIVE - Page 15

16 Répartition par secteurs d activités et catégories d utilisateurs Plus de la moitié de l activité que nous réalisons se fait dans le secteur de l entretien (nettoyage de bureaux, entretien des écoles, des habitats collectifs, maintien de l environnement des HLM, voirie, entretien du domicile..). Le secteur du bâtiment qui représentait 22% de l activité en 2011, n en représente plus que 12% en Lire page 18 L évolution de l activité en Ces missions sont en cohérence avec le public qui nous est confié : 76% du public a un niveau 5bis ou 6, ce qui traduit la réalité de personnes qui ont été en grand échec scolaire ou qui n ont reçu aucune formation dans leur pays d origine. La nature des missions est déterminée par la demande des utilisateurs de l association et leurs besoins, mais aussi par la possibilité qu a l association de proposer les compétences des intervenants.. Dans leur globalité les missions sont peu qualifiées ; beaucoup se situent dans le secteur du nettoyage, entretien du domicile ou des locaux. TACHES RELEVANT DE ANIMATION, garde d'enfants % 3% ADMINISTRATF de l'accueil au petit secrétariat % 2% 5% 4% ENTRETIEN MANUTENTION, déménagemt, préparat commandes % AUTRES ACTIVITES POUR LES PROFESSIONNELS CUISINE, service, 4% agent de 12% 10 ESPACES VERTS, voirie, ja TOTAUX % % 105 BATIMENT, second œuvre, REPARTIT DU 12% TOTAL HEURES / UTILISATEURS 21% 79% 100% ANIMATION, garde d'enfan 2% 12% 12% 5% 3% 4% 11% CATEGORIES D UTILSATEURS / 11% 51% PARTICU- LIERS ENTRETIEN POFES- SIONNELS CUISINE, service, agent de collectivité ESPACES VERTS, voirie, jardinage BATIMENT, second œuvre, bricolage ANIMATION, garde d'enfants ENSEMBLE DES UTILISA- TEURS REPARTIT HEURES PAR TACHES ENTRETIEN % CUISINE, service, agent de collectivité % ESPACES VERTS, voirie, jardinage % BATIMENT, second œuvre, bricolage % ADMINISTRATF de l'accueil au petit secrétariat ADMINISTRATF de l'accue MANUTENTION, déménage AUTRES ACTIVITES POUR MANUTENTION, déménagemt, préparat de commandes AUTRES ACTIVITES POUR LES PROFESSIONNELS Plus de la moitié des heures se fait dans le secteur du nettoyage. Ce secteur, auprès des professionnels, reste le plus important de tous les secteurs travaillés, il représente plus de 37% de l activité ( heures / au total) il représentait 40% de l activité en RAPPORT D ACTIVITE 2012 AIVE - Page 16

17 Près de 80% des missions se font auprès des professionnels CAT D UTILISATEURS / TACHES RELEVANT DE PARTICULIERS ENTREPRISES ASSOCIATIONS COLLECTIVITES BAILLEURS/ SYNDICS TOTAUX REPARTIT DU TOTAL HEURES / UTILISATEURS 21% 14% 23% 33% 9% 33% 9% 23% 21% 14% PARTICULIERS ENTREPRISES ASSOCIATIONS COLLECTIVITES BAILLEURS/SYNDICS Les particuliers, s ils ne sont à l origine que de 21% de l activité, constituent l essentiel des utilisateurs (67%). Les professionnels représentent 33% des utilisateurs, 79% de l activité se fait auprès d eux. CATEGORIE D'UTILISATEURS Nbre Ratios PARTICULIERS % ENTREPRISES 42 10% ASSOCIATIONS 58 14% BAILLEURS/SYNDICS 19 4% COLLECTIVITES 23 5% TOTAL % 14% 4% 5% PARTICULIERS 10% 67% ENTREPRISES ASSOCIATIONS BAILLEURS/SYNDICS COLLECTIVITES RAPPORT D ACTIVITE 2012 AIVE - Page 17

18 L évolution de l activité en heures ont été travaillées, soit une baisse d activité de 9,5 %. Pour comprendre, il convient d étudier le phénomène secteur par secteur. Ainsi la répartition des heures par catégorie d utilisateurs : PARTICULIERS ENTREPRISES ASSOCIAT COLLECTIVITES BAILLEURS / SYNDICS TOTAL Evolution -6,0% -49,9% 0,5% 8,1% 29,1% -9,5% de 2011 à L évolution des ratios % 20% 9% 21% 28% 33% 14% 25% 21% 23% L évolution des heures de 2011 à 2012 : PARTICULIERS ENTREPRISES ASSOCIATIONS COLLECTIVITES BAILLEURS / SYNDICS RAPPORT D ACTIVITE 2012 AIVE - Page 18 Les heures effectuées en entreprises ont chuté de 50%. Aussi ce secteur ne représente-t-il plus que 14 % de notre activité. Les heures effectuées auprès des collectivités ont progressé de 8%. Le secteur des collectivités représente un tiers de notre activité.

19 L analyse, les conséquences La quasi-totalité de l activité que nous effectuons auprès des entreprises est liée à notre positionnement vis-à-vis des marchés publics. Nous avons pu mettre à disposition d'entreprises titulaires ou sous-traitantes de marchés publics, des salariés en insertion au bénéfice des clauses d'insertion attenantes. Cela généré un total de heures de travail dans le cadre de l'exécution des clauses de 25 marchés, essentiellement dans le BTP ou les espaces verts heures en 2012, c'est 49,95% de moins que l'activité liée à ces mêmes clauses en 2011 où nous avions réalisé heures sur 38 marchés publics. (C'est même inférieur de 10,50% à 2010 où l'activité était de heures sur un nombre de marchés par contre plus restreint.) En 2012, le chiffre d affaires lié à la réalisation des misions liées aux clauses est de euros. Il était de euros en Concernant le secteur de Corbeil-Essonnes, il y a eu une baisse significative du nombre de clauses gérées par l'organisme facilitateur, la MIVE. Concernant le secteur d'evry, géré par l'agglomération d'evry-centre-essonne, c'est le contraire : le nombre de clauses a beaucoup augmenté, mais les entreprises semblent avoir fait le choix d'autres prestataires pour l'exécution de leurs obligations. Il est à noter que sur les 2 territoires, l'installation des 2 ETTI a objectivement diminué la part d'activité qui revenait antérieurement aux AI. De plus certaines entreprises ont des accords nationaux avec des sous-traitants qui embauchent des personnes en insertion pour la durée de la clause mais qui ne sont que des supports de contrats et qui ne dispensent aucun accompagnement de quelque forme que ce soit. Les organismes facilitateurs n'ont, de leur propre aveu, pas toujours la visibilité sur ce qui se fait. Ils ne sont, parfois, au mieux, qu'informés du choix de l'entreprise. A notre niveau, nous n'avons aucun espace de négociation directe et exécutons ce qu'on nous 'attribue'. L ensemble du territoire d AIVE est couvert par 4 PLIE, donc 4 organismes facilitateurs + l Agglomération d Evry Centre Essonne, et si nous travaillons avec les territoires d Evry et de Corbeil, ce n est pas encore le cas avec les autres PLIE qui ont par ailleurs les sièges d autres Associations intermédiaires sur leur territoire. En dépit de la diminution du secteur de l activité lié aux clauses et donc aux entreprises, nous avons réussi à conserver notre outil d insertion, dans un contexte difficile et changeant, où il faut redoubler d efforts ne serait-ce que pour se maintenir. Par ailleurs, nous restons confiants quant au fait que la répartition de l outil d insertion s harmonise entre les différentes SIAE de manière à ne laisser aucun public sur le côté. RAPPORT D ACTIVITE 2012 AIVE - Page 19

20 Le développement Nous continuons de développer notre activité pour de mener à bien notre action en direction des publics fragilisés au regard de l emploi. C est un travail permanent qui ne supporte aucun relâchement. Cela passe aussi bien par la qualité de notre travail au quotidien qui est de répondre aux attentes des donneurs d ordre, rapidement, de manière adaptée et efficace, d accompagner les mises à dispositions, de veiller sur le déroulement des missions et d en contrôler la bonne progression, d assurer le service après-vente qui devient de plus en plus exigent. Cela passe également par un investissement qualitatif et quantitatif dans les partenariats existants et le développement de nouveaux partenariats, notamment auprès des collectivités. RAPPORT D ACTIVITE 2012 AIVE - Page 20 En 2012, nous avons, grâce à l impulsion du service insertion du Conseil général et à son intermédiation auprès du service de gestion des collèges, pu rencontrer ce dernier et nous positionner pour répondre au besoin de main d œuvre qu il rencontre régulièrement. La fédération des 8 associations intermédiaires de l Essonne a permis de produire une réponse unique pour palier le remplacement du personnel intervenant notamment dans la restauration scolaire des collèges. Ensemble nous avons pu postuler au Marché (article 30) passé par le Conseil général et l avons obtenu. En 2012, cela a généré 288 heures de travail (qui s'intègrent dans le secteur des collectivités qui représente à lui seul 33% de l'activité avec heures travaillées en 2012). Pour ce dernier trimestre, il s'agissait d'un 'galop d'essai'. Cette période nous a permis de nous organiser autour d'un fonctionnement spécifique. S'agissant de remplacement de personnel absent, pour la restauration scolaire essentiellement, les missions sont annoncées dans un délai extrêmement court. Cela demande au service Mises à disposition de l'ai, mais surtout aux intervenants d'être particulièrement disponibles et réactifs. Les missions sont de courte durée, pour autant elles sont hautement anticipées et préparées. Les salariées en insertion auront été repérés en fonction de leurs compétences et de leur projet; leur casier judiciaire aura été demandé; une tenue de travail comprenant les chaussures de sécurité aura été fournie, des formations de type HACCP (normes d'hygiène) auront été programmées.. AIVE s'est beaucoup mobilisée et à tous les niveaux pour réussir dans cet engagement. Nous avons investi dans la fourniture des équipements, dans la mise en place de formations (une salariée permanent, qui accompagne les gestes professionnels a elle-même suivi une formation sur le Système HACCP avec ProFormalys pour accompagner les salariés qui bénéficient de cette formation via le CAIE). Nous avons mis au point des procédures, du service insertion au service comptable, en passant évidement par le service mises à disposition. L'impact sur les salariés en insertion qui participent à ce marché est tout à fait positif. Ils se sentent impliqués. L'accueil qui leur est réservé dans les collèges est valorisant et motivant; cela permet de rebondir sur un projet professionnel nouveau ou confirmé, en ayant capitalisé des savoir-faire opérationnels. Cette opération, ainsi que la volonté politique d inscrire des clauses sociales dans des marchés publics et notamment ceux qui ne sont pas dans le secteur du BTP, nous encouragent à penser que nous avons notre place dans la réalisation de ce type de marchés. Plus seulement sur de la mise à disposition de personnel auprès d entreprises titulaires ou sous-traitante des marchés mais en tant que titulaire nous-mêmes, ce qui nous donne une maitrise accrue de notre outil d insertion tout en reconnaissant notre expertise.

21 100% des intervenants ont bénéficié d un accompagnement socioprofessionnel, d une durée moyenne de 36 heures. 53% ont bénéficié d une prestation de techniques de recherche d emploi, 28% d une prestation d aide à la définition du projet professionnel.. 4-Les résultats L activité 2012 est réduite par rapport à celle de Puisqu elle est la base de l accompagnement, nous n avons pu accueillir qu un nombre plus restreint de salariés en insertion. Ils ont chacun pu bénéficier de plus d heures de mises à disposition (237 heures en moyenne, contre 220 en 2011) et de plus d heures d accompagnement (36 heures en moyenne, contre 32 en 2011). La formation 24 salariés en insertion ont pu suivre des formations d adaptation au poste de travail, notamment : 3 ont passé un CASES ; 4 ont été formés à l utilisation de la mono-brosse 5 ont été formés aux normes HACCP (hygiène/alimentaire) 22 intervenants ont vécu des périodes de formation en termes d étapes de parcours (formations : femme de chambre, CCP ADVF, agent de quai, remédiation en français, etc.) C est un total de 41 personnes différentes qui ont pu être formées pendant leur parcours au sein de l AI. 7 personnes ont, à l issue de leur parcours dans l Association intégrer une formation qualifiante ou diplômante. A la sortie du parcours dans l AI, ils/elles sont entrés en formation : espaces verts, restauration, aide à domicile, aide médico-psychologique L emploi 51 personnes ont bénéficié de missions en entreprise et 31 ont connu des étapes-emploi, c est-à-dire des petits contrats de travail qui ont jalonné leur parcours d insertion sans suspendre leur inscription. Ce sont donc 73 personnes différentes (soit 35% l effectif) qui ont, durant leur parcours dans l AI, vécu une période d immersion en entreprise. Pour autant la plupart des autres salariés ( 91%) ont travaillé en milieu professionnel qu il soit celui du cadre associatif, des collectivités, etc.., ont donc connu les composantes d un milieu de travail classique (l encadrement d un supérieur hiérarchique, l inclusion dans une équipe de travail, l utilisation d outils ou de matériel professionnel, des rythmes et des exigences tout à fait semblables au monde de l entreprise. A noter : Seuls 18 salariés, soit 9% du total des intervenants, n ont travaillé qu exclusivement chez des particuliers (17 en tant qu aide à domicile et 2 en tant que jardinier). RAPPORT D ACTIVITE 2012 AIVE - Page 21

22 SORTIES DYNAMIQUES 70% de l ensemble des sorties sont des sorties dynamiques 109 personnes sont sorties du dispositif (106 salariés de 2012 et 3 salariés de 2011 dont l'accompagnement s'est terminé en 2012) : Pour 35 personnes il s'agit d'un retour à l'emploi : 13 ont été embauchées en CDI et 22 en CDD d'au moins 6 mois qu'il s'agisse de contrats aidés ou de droit commun. 7 personnes sont entrées en formation. 34 personnes continuent leur parcours d'insertion sur un autre dispositif ou dans une autre structure d'insertion par l'activité économique. Ces résultats sont d'autant plus encourageants que la situation de l'emploi est difficile. Ils incitent à penser que l'ai installe une dynamique qui donne de l'élan aux salariés en insertion, l'envie de ne pas arrêter les efforts, la confiance que l'objectif est réalisable, la pugnacité pour réussir. GLOBALITE SORTIES 2012 TOTAL DES SORTIES SORTIES DURABLES SORTIE TRANSITOIRES SORTIES POSITIVES TOTAL S. DYNAMIQUES SORTIES NEUTRES OU NEGATIVES NBRE DE SORTIES RATIO / LA TOTALITE SORTIES AFFINAGE DE LA NATURE DES SORTIES % TOUS 29 27% 12 11% 35 32% 76 70% 33 30% NOMBRE DE SORTIES DONT RSA RATIO/ LA TOTALITE SORTIES CDI % CDD + 6 mois % Contrats Aidés 6 4 6% CDD - 6 mois 6 2 6% FORMATION 7 1 6% SIAE % DEPART RETRAITE 1 1% SP Suite Parcours 7 1 6% CH Retour Chômage 4 1 4% I Inactif 5 1 5% DE Déménagement 5 4 5% SN Sans Nouvelles % RAPPORT D ACTIVITE 2012 AIVE - Page 22 A la sortie du parcours dans l AI, ils/elles sont devenus : Employé libre-service, Auxiliaire de vie, Ouvrière de pressing, Agent de voirie, Femme de chambre, Agent de service, Peintre, Agent de collectivité, Hôtesse de caisse, Aide à domicile dans des agences de services à la personne, Agent de production, Déménageur, Agent de sécurité

23 5- L équipe en 2012 L'activité, bien que ralentie 2012, était en progression continue depuis Plus d'heures, plus d'intervenants. Sur cette lancée et compte tenu de la charge de travail grandissante, nous avons embauché, début 2012, un nouveau permanent, une chargée de mises à disposition supplémentaire. 'Sédentaire' par rapport aux deux autres chargées de mises à disposition, Brigitte et Clarisse qui accompagnent sur les sites pour présenter les intervenants aux utilisateurs et mettre en place les missions, Mylène reste à l'association. Elle accueille les demandes, répond aux sollicitations et organise les mises à disposition. Son poste a permis de maintenir la capacité d'accueil, d'en renforcer la qualité, d'optimiser la réactivité et l'organisation des mises à disposition, d'en assurer de manière plus fluide le suivi. Nous avions embauché sur 2011, un intervenant de l'ai sur un poste d'encadrement des missions de bricolage. Nous avions recruté David en CAE et l'avons fait progresser en le faisant participer à de nombreuses formations techniques, en lui faisant donner des cours particuliers en informatique. Il a pu avancer dans son poste avec l'aide de l'ensemble de l'équipe dans un premier temps et l'appui particulier d'une de ces collègues formée au tutorat justement pour l'accompagner dans sa prise de poste, dans un deuxième temps. Malgré une montée en compétences non négligeable, il n'a pas su prendre complètement son poste en charge et les missions de bricolage qu'il encadrait 30 heures par semaine, ne représentaient que 3,5% de l'activité de la structure. Nous l'avons accompagné dans sa recherche d'un poste plus en lien avec ses compétences techniques et ses ambitions et, dès la fin de son CAE, il a intégré les services techniques d'une mairie en tant que polymaintenicien, fonction qu'il occupe toujours à ce jour. Nous ne l'avons pas remplacé. Au service insertion, Dominique et Micaële remplacent Sophie, en congés parental et Véronique qui a quitté l insertion pour créer son activité professionnelle dans un autre secteur. Elles travaillent avec Carine qui partage son temps centre l AI et l ACI. A ce jour, l'ai ce sont 9 personnes sur 3 pôles articulés : 3 chargées d'insertion, 3 chargées de mise à disposition, une comptable, une assistante, la direction. Ces 3 dernières personnes et l'une des chargées d'insertion interviennent également sur l'aci. RAPPORT D ACTIVITE 2012 AIVE - Page 23

24 SECONDE PARTIE L Atelier Chantier d Insertion (ACI) a été créé en Porté par notre Association Intermédiaire (AI), il forme en complément des dispositifs Entreprise d Insertion (EI) et Entreprise de Travail Temporaire d Insertion (ETTI), l offre de l Insertion par l Activité Economique (IAE). 1-Présentation générale L ACI Active est dispositif permanent d insertion en direction d un public de niveau infra-ai. La finalité de l activité est l insertion socioprofessionnelle d un public en début de parcours (phase de mobilisation). Il s agit d accompagner un public en situation de précarité, en voie d exclusion et souvent en souffrance, sur un parcours socioprofessionnel qui empêchera une plus grande précarisation et posera les jalons de l insertion professionnelle, en mettant à sa disposition : une activité économique à laquelle il participe, à la fois constitutive et suscitatrice d insertion une forme d organisation de travail encadrée la sécurité d un salaire régulier, sur une période annoncée la stabilité des horaires De manière à : valoriser la personne à travers son travail, sa production l associer à la réussite de l entreprise, lui donner un sentiment d appartenance et de participation à l effort commun lui permettre de percevoir un salaire résultat de son travail encadrer son travail en le contrôlant, en formant le salarié, en l évaluant et en accompagnant sa progression développer ses compétences techniques et transversales : sa compréhension et son respect des consignes, la régularité de sa production, l écologie dans ses postures de travail, le soin dédié à maintenir son poste de travail en état.. travailler ses savoir-être : la ponctualité, l assiduité, l esprit d équipe, le positionnement par rapport à la hiérarchie, à ses collègues, à la clientèle de la structure RAPPORT D ACTIVITE 2012 AIVE - Page 24

25 permettre à la personne de se poser, de se projeter, d organiser sa vie lui permettre d avoir un entourage (l équipe d encadrement) sur qui compter lui procurer un travail, quelque chose sur quoi compter, un repère, un élément stable pour prendre appui la laisser en disposer pour résoudre les difficultés qui ont pu entraver sa progression : la garde des enfants, l instabilité des ressources.. 2-L activité économique Le repassage est une activité connue et accessible à tous publics. Cette activité permet de s inscrire rapidement dans une production économique au sein d une équipe. Les tâches multiples et répétées (accueil de la clientèle, traitement du linge, contrôle, mise en panière...) facilitent l acquisition de savoir-faire, développent méthode, organisation et logique, permettent de travailler le sens des responsabilités, le savoir être social, l autonomie et la reprise de confiance en ses capacités. L encadrant transmet des solutions techniques pour un rendu professionnel satisfaisant les clients, aide l exécutant à découvrir ses qualités, ses potentialités, le guide vers son projet professionnel. L activité économique support est le repassage, avec un service d enlèvement et de livraison du linge sous certaines conditions. Repassage de vêtements propres (pas d activité blanchisserie), à la pièce ou au poids, des particuliers utilisateurs. Le travail en atelier, le chainage des procédures, la logique de production, la réalité économique structurent le salarié en insertion. Ils constituent un cadre, une exigence qui forcent l implication, qui mobilisent la personne et l obligent à se dépasser En 2012, l activité économique de service aux particuliers qui s est mise en place tout au long des 7 premiers mois d activité en 2011, s est bien développée. Nous avions plus de 89 clients en 2011, nous en avons 128 en clients de 2011 ont été perdus, 62 clients nouveaux ont fait appel à nos services en 2012, 66 clients de 2011 nous ont suivis en 2012, soit 74% de clients fidèles d une année sur l autre. Nous avons dû suspendre le développement du partenariat avec les entreprises : nous étions trop justes dans notre capacité de production pour honorer plus d engagements. En effet si la qualité de notre travail reste constante (les salariées en insertion sont très bien encadrées par des techniciennes), le manque de stabilité des salariées entraine retards, absences plus ou moins longues parfois définitives, et ralentit notre capacité en termes de volume et de délais. Aussi, pour maintenir la qualité du service, y compris avec un turn-over important, nous avons différer la mise en place de cette partie de l activité qui aurait créé une demande supplémentaire trop forte. Nous travaillons avec une Conciergerie, intermédiaire entre nous et ses clients-entreprises. Ce partenariat qui ne représente pas encore un très gros volume, progresse. RAPPORT D ACTIVITE 2012 AIVE - Page 25

26 3-L accompagnement Dans une ACI, l'accompagnement 'fait partie du contrat' en ce sens qu'il se réalise sur le temps de travail. L accompagnement social se réalise individuellement, à raison d un entretien d une heure par semaine a minima. L accompagnement professionnel se fait par regroupement en sous-groupes, 3 heures toutes les 3 semaines. L ACI est un dispensateur d accompagnement socioprofessionnel en tant que tel, de par sa constitution même (apprentissage du respect, des relations sociales, des liens.., apprentissage des fondamentaux : régularité, ponctualité, effort...). Cette imbibition est de plus renforcée par un autre type d accompagnement tout aussi nécessaire, qui s attache à deux aspects : L accompagnement dit social va appréhender la globalité de la situation de la personne, identifier les difficultés qu elle rencontre, les entraves. Il a pour vocation de mettre en branle les actions nécessaires à la levée des freins pour que les personnes puissent progressivement se sentir capables d assumer leurs obligations professionnelles, familiales ou sociales, et puissent retrouver droits fondamentaux. L accompagnement dit professionnel va se canaliser autour d un axe de vie de la personne, et non des moindres : l emploi, puisqu on sait que les difficultés liées à l emploi s étendent, se prolongent sur tous les aspects de la vie des personnes. L absence d emploi est le principal facteur de précarisation ; cette absence compromet les chances des personnes de reconquérir leurs droits et de réassumer leurs responsabilités. L articulation des phases Les salariés sont recrutés en CUI-CAE, pour une durée initiale d une année. La durée de travail est de 26 heures hebdomadaires. Au début des parcours des salariées en insertion, l énergie se concentre sur ce qui permet aux personnes de 's'installer' dans le dispositif (mises au point des systèmes liés à la garde des enfants, gestion des situations d hébergement, prises en charge des problèmes de santé..). Se met immédiatement en place l accompagnement social : le public accueilli sur l atelier cumule nombre de difficultés : difficultés de logement, de disponibilité (mères célibataires), financières, de santé, manque repères, difficultés familiales L accompagnement identifie les freins, donne des priorités, des axes de travail, amorce, structure et soutient les démarches. Il se fait en lien étroit avec les partenaires dont les champs d actions spécifiques contribuent à résoudre les difficultés des personnes. RAPPORT D ACTIVITE 2012 AIVE - Page 26 Même si les difficultés sociales ne sont pas résorbées, les phases de construction professionnelle sont amorcées de manière à donner de la cohérence à l ensemble et à situer la personne dans la force du dispositif : avancer en construisant.

27 Et, donc.. Nous nous donnons pour objectif que chaque salariée effectue au moins une, et si possible, deux périodes d immersion sur un parcours d un an. Cela implique fortement la mobilisation des acteurs économiques locaux... Parallèlement s engage avec toutes les salariées, un suivi à visée professionnelle qui, pour chacune, part de l élaboration (ou la mise à plat) du projet professionnel, vers sa validation, en passant par toutes les phases de construction (mise en place d enquêtes, de période d immersion etc..), articulé avec l élaboration des outils et des méthodes de recherche d emploi : du CV au ciblage des entreprises, en passant par la préparation à l entretien d embauche. Les différentes trajectoires individuelles font que chacune est à un niveau différent de connaissance, de compréhension, de ressources, et les temps collectifs s enrichissent des apports des unes et des autres, ils permettent une dynamique d entraide, une émulation. Les périodes d immersion mises en place ont vocation de permettre de découvrir et de se tester dans un univers professionnel. Cela permet de valider un projet, de l affiner, d obtenir une première expérience. L Accompagnement vise à systématiser les démarches, renforcer l investissement, soutenir les efforts, pour rechercher une suite au parcours initié, en termes d emploi ou de formation qualifiante. Il donne de la méthode et renforce l autonomie, pour s approcher ou rejoindre l objectif d insertion professionnelle. L accompagnement se nourrit des effets du travail en atelier, cadre de réentrainement des savoir-être et des savoir-faire professionnels, des périodes d immersion en entreprise qui permettent l ouverture et l expérimentation, et des travaux collectifs pour ajuster l aide dispensée à la personne en fonction de la particularité de sa situation personnelle. Il propose des pistes, demande des efforts et de l investissement pour progresser dans les parcours et, a minima, s approcher de l objectif commun. Il a pour ambition de lever les freins qui gênent la progression, de favoriser la reprise de confiance, de renforcer les potentialités et de s appuyer sur les points forts. Enfin, c'est pour préparer la sortie qu'il faut déployer les efforts, rompre subtilement l'équilibre subtilement installé, faire accepter que, malgré tout, le dispositif est un tremplin plus encore qu'une étape, et qu'il faut trouver dedans non pas l'envie de rester mais la force de partir, pour continuer ailleurs. La formation La mise en place d une formation est un acte précis : elle répond la validation au moins partielle ou temporaire d une orientation professionnelle, au diagnostic d un besoin, au pronostic d une réussite constitutive d une avancée vers l insertion. L atelier n est pas maillé avec un projet de formation prédéfini et c est donc au fil de la mise en place des projets et des possibilités, que les étapes de formation se réalisent. RAPPORT D ACTIVITE 2012 AIVE - Page 27

28 D autres projets de formations qualifiantes sont apparus. S agissant de formations longues, leur mise en place a entrainé la sortie du dispositif pour l intégration du centre de formation pour plusieurs mois. Ainsi, 2 salariées ont intégré respectivement Amphia et le Greta pour le préparation d un CAP Petite Enfance. Lire page 32, Les résultats. En 2012, 2 personnes ont passé respectivement 1 et 2 CCP (certificat de compétences professionnelles) du titre ADVF (Assistante de vie aux Famille) auprès de l organisme de formation Amphia, Evry. Elles ont toutes les deux validé les CCP. 12 personnes ont participé à la formation 1ers secours (PSC1 : prévention et secours civique niveau 1). Cette initiation a pour objectif la prise de conscience du rôle que chacun peut tenir auprès des autres. Elle donne les moyens d une entraide responsable en formant aux premiers gestes de secours aux victimes. Elle peut être utile dans le cadre de la vie professionnelle notamment pour les projets liés aux métiers d aide aux personnes. Enfin, elle donne lieu à la remise d un certificat de la Fédération Nationale de Protection civile valorisant l implication de la personne et reconnaissant ses compétences. 4-Le public La structure ACI trouve toute sa pertinence dans l accompagnement d un public en grande difficulté d insertion, qui rencontre des difficultés multiples qui le fragilisent particulièrement. Le public de l ACI est défini par les mêmes textes que celui de l AI. Lire page 12, Première partie / Le public. Cette définition est commune à toute l IAE. Simplement, ce public n en est pas au même moment de son parcours d insertion. Il s agit d un public en situation précaire par rapport au monde du travail voire aux représentations sociétales. Le dispositif ACI permet d accueillir et d intégrer des personnes en début de parcours d insertion (chronologique ou suite à la survenance d une rupture). Les publics sont souvent caractérisés par : un bas niveau de formation un manque d expérience professionnelle une employabilité dégradée (savoir-être et/ou savoir-faire non disponibles) une trajectoire socioprofessionnelle précaire (selon la définition DIRECCTE) des difficultés de tout ordre compromettant l accès direct à l emploi (notamment ressources et logement) l exclusion. RAPPORT D ACTIVITE 2012 AIVE - Page 28 Le recrutement se fait en lien avec les acteurs sociaux qui orientent les candidats. La démarche est concertée. Un profil de poste décrivant l activité et rappelant les objectifs est communiqué aux partenaires à chaque ouverture de poste.

29 L ACI a été conventionné pour 8 postes en 2011 ; 10 en 2011 et le sera pour 12 postes en En 2012, les personnes nouvellement orientées sont au nombre de 13 ; elles ont rejoint 8 personnes embauchées en 2011 dont le contrat se poursuivait sur Les entrées reposant sur un système de roulement, 21 personnes ont travaillé sur l ACI en sont sorties au long de l année ; ces mouvements font, au 31 Décembre 2012, un groupe de 10 personnes, 10 salariées qui continuent leur parcours sur Toutes les personnes qui ont rejoint l ACI ont été orientées par les partenaires de l insertion sociale ou socioprofessionnelle : Pôle Emploi, MIVE à Corbeil, PLIE, CAF, CCAS, CIDFF... Sources d orientat Pôle Emploi Dispositif emploi : RFE/MIVE/ CIDFF.. CCAS/ MDS CAF Autres SIAE TOTAL TOT RATIO 14% 52% 24% 5% 5% 100% Caractéristiques des salariées accompagnées en 2012 Les publics prioritaires / situation d origine 15 personnes sont bénéficiaires du RSA socle soit 71 % des recrutements qui se traduisent par 50% des salariées bénéficiaires du RSA socle présentes à un moment T. 3 personnes sont catégorisées comme DELD (On n examine que les situations des personnes non bénéficiaires du RSA socle pour rechercher le statut de Demandeur d Emploi Longue Durée. En fait 18 personnes sont demandeurs d emploi depuis plus d un an, dont 8 depuis plus de 2 ans). 2 sont du RSA Activité, l une en tant qu ayant droit de son époux et l autre en tant que transfuge de l ACI d Etampes (Suite à l attribution d un logement sur Corbeil, une salariée en insertion de Val Emploi Service en début de parcours, a intégré Active). 1 personne fait partie du public jeune ( -26 ans/suivi Mission locale). RAPPORT D ACTIVITE 2012 AIVE - Page 29

30 Il est à noter que les statistiques 2012, quand elles sont rapprochées des données 2011, ne portent pas sur le même volume de salariées. 2011, 7 mois d activité, 8 postes recrutés pour 1 an, pas de turn-over. 2012, 12 mois d activité, le glissement des 8 salariées de 2011, le recrutement des personnes qui les ont remplacées et qui ont complété l équipe sur 10 postes. Des situations inhérentes à ce public se sont traduites par un nombre accru de mouvements. 21 personnes ont été concernées par l action. * TPS / Définition : on utilisera les termes de «Trajectoire socioprofessionnelle stable pour les personnes qui ont été dans les 5 dernières années en CDI ou en CDD longs renouvelés et dont l entrée au chômage se fait principalement par un licenciement. «Trajectoire socioprofessionnelle instable pour les personnes qui ont été dans les 5 dernières années en succession de contrats temporaires (CDD et intérim) avec des temps de chômage inférieurs aux temps de travail. Age/sexe Le public est depuis la création de l ACI, totalement féminin. Sans que cela ne constitue un critère de profil, les choses continuent de se faire ainsi. Répartition par tranche d'âge des 21 femmes Comme en 2011, la catégorie d âge ans est la plus représentée (57% des 21 salariées en 2012, 63% en 2011 sur 8 salariées). Formation Répartition par niveau de qualification des 21 salariées En 2011, la moitié du public était de niveau bis (un quart de niveau 5 et un quart de niveau 6) En 2012, la majorité du public est de niveau 6. Le niveau de qualification en baisse nous indique un public en plus grande difficulté d insertion professionnelle. Parcours : Nous utilisons, depuis 2006, le critère d appréciation des trajectoires socioprofessionnelles (TPS*) des personnes, proposé par le Coorace. Répartition par TPS des 21 salariées «Trajectoire socioprofessionnelle précaire pour les personnes qui ont été dans les 5 dernières années en succession de contrats d insertion et/ou de contrats temporaires (CDD ou intérim) avec des temps de chômage supérieurs aux temps de RAPPORT travail.» D ACTIVITE 2012 AIVE - Page ans ans ans ans TOTAL TPS stable % 57% 14% % 6 5bis 5 TOTAL % 24% 19% 100% TPS instable TPS précaire DE primo demandeur DE n'ayant jamais travaillé % 38% 48% 10% 5% En 2012, 86% des salariées avaient connu une TSP précaire ou instable, elles étaient 63% en Comme le niveau de qualification, cet indicateur nous informe que le public est en plus grande difficulté au regard de l emploi.

31 Les difficultés repérées : (Critères de la DIRECCTE) Le tableau exprime les difficultés en nombre, le total est supérieur au nombre de salariées, chacune pouvant cumuler plusieurs difficultés. 21 salariées de 2012 rencontrant de difficulté liées à : RATIO 2012 Problèmes financiers (peu ou pas de revenu, endettement) Difficultés linguistiques (illettrisme, analphabétisme, Français Langue Etrangère) RATIO 2011 Evolution 7 33% 62% 6 29% 37% Difficultés d'accès aux droits, administratives 20 95% 37% Problèmes de santé (hors addiction, souffrance psy.) Problèmes de logement (sans domicile, hébergement précaire) Manque de disponibilité (liée à la garde d'enfants ou d'ascendants, au conjoint) 11 52% 50% 13 62% 75% 4 21% 37% * Pour approcher la notion de situation précaire, on peut se référer à la définition proposée par le dictionnaire (Petit Robert) : Précaire../.. qui ne s exerce que par une autorisation révocable../.. dont l avenir, la durée ne sont pas assurés../.. incertain, instable../.. fugace, fugitif../.. fragile. La définition évoque les notions d emploi précaire, de travailleurs précaires...ou à cette autre définition : «La précarité se définit comme l absence d une ou plusieurs sécurités, notamment celle de l emploi ou, pourrait-on ajouter, la disposition d un emploi ne procurant pas des ressources chroniquement suffisantes, permettant aux personnes et aux familles d assumer leurs obligations professionnelles, familiales ou sociales, et de jouir de leurs droits fondamentaux.» En 2012, la première difficulté est celle de l accès aux droits. Les situations individuelles sont compliquées sur bien des aspects : logement précaire, accès aux soins difficile, situation de rupture familiale, etc.., et de fait, à la difficulté vaincue s ajoute la lourdeur de démarches administratives longues et complexes. Ces démarches administratives sont ressenties comme une difficulté à part entière alors qu elles sont un aspect des autres difficultés (l effet secondaire est devenu une maladie). Cet indice est révélateur d une difficulté d inclusion sociale avant s ajoute aux difficultés d insertion professionnelle. En conclusion de ce chapitre, nous dirons que le public accueilli est bien celui ciblé par la mesure : il s agit d un public en situation précaire* par rapport au monde du travail voire aux représentations sociétales. Les difficultés liées à l emploi s étendent, se prolongent sur tous les aspects de la vie des personnes. S il convient d apporter à ces personnes un accompagnement spécifique, professionnel et qui prend appui sur l emploi, principal facteur de précarisation, ce n est souvent pas suffisant. L accompagnement réalisé sur ACI permet de résoudre certaines difficultés mais il ne saurait enrayer la précarité quand l emploi n est pas perçu par les personnes comme un moyen d éviter qu elle ne se prolonge dans le temps et qu elle ne devienne persistante, comme moyen de reconquérir ses droits et de réassumer ses responsabilités. Lire page suivante : Les résultats RAPPORT D ACTIVITE 2012 AIVE - Page 31

32 5-Les résultats L ACI est une première étape d un parcours (de retour/d aller) vers l insertion professionnelle. Un certain constat : Le public de l ACI rencontre des problématiques lourdes et souvent anciennes, qui semblent parfois avoir défini un mode de vie dans lequel l emploi n a pas sa place (ou n a pas sa place en tant qu élément constructif structurant). Il peut se montré instable dans son engagement Aussi, assisteon parfois au sabotage de projets d insertion pourtant formulés comme un nouveau départ, une rupture avec une situation décrite comme subie. Alors que les personnes verbalisent leur engagement et leur volonté de rejoindre l emploi, elles semblent reproduire des comportements qui ont déjà fait échouer leur insertion professionnelle (abandon de poste, reproduction de schémas de fragilisation sociale, manque d investissement dans les démarches, entêtement à maintenir un objectif professionnel irréaliste..). Si l objectif de l insertion professionnelle est bien consenti, il se révèle souvent assez mal compris. L insertion professionnelle peut être vécue comme une contrainte de plus, dans une vie déjà bien complexe. L emploi, le contrat de travail que procure l ACI est bien accepté dans la mesure où ce celui-ci constitue, avec l accompagnement, un moyen d arranger certaines difficultés sociales : prises en charge des aspects de santé, de logement, aide dans les démarches administratives... Il constitue à la fois une rampe solide et confère un statut, même provisoire, qui donne certaines garanties pour les organismes extérieurs. Mais arranger n est pas résoudre, la pérennisation de solutions semble bien lointaine. Par exemple, l accès à un logement que permettent l accompagnement social et le contrat de travail peut être perçu comme un objectif. L emploi n est qu un moyen d y parvenir. Une fois le logement trouvé, l emploi ne sert plus. L objectif de l insertion professionnelle n a plus lieu d être. C était un moyen pas une finalité. La dynamique marque le pas. Le chemin est long mais reste possible. Cependant, face à cela le chômage augmente, l emploi se précarise. En conclusion, la part du public dont la sortie immédiate est l emploi est faible. Les résultats de l ACI sauraient-il se résumer à la seule considération des rares embauches directes qui lui succèdent? RAPPORT D ACTIVITE 2012 AIVE - Page 32

33 La mobilisation des salariées Les salariées sont embauchées pour une durée initiale d un an. 8 personnes ont été embauchées en 2011 et leur parcours finissaient donc en 2012 : 6 sont allées au bout de leur engagement * 1 est restée 9 mois et est partie en congés maternité 1 est sortie en emploi au bout de 5 mois pour un contrat de travail en CDI 13 personnes ont été embauchées en sont sorties avant le terme de leur contrat 1 a abandonné après 3 mois pour des motifs familiaux mais avec une promesse d embauche en CAE qui se réalisait 2 mois plus tard 2 sont sorties aux termes de 3 et 4 mois pour intégrer l une une formation au CAP petite enfance (Amphia) et l autre une formation d auxiliaire de vie sociale 1 a abandonné au bout de 6 mois (après avoir obtenu un logement) et est devenue injoignable 9 personnes ont continué en 2013 * Le contrat de l une des personnes embauchées en 2011 a été prolongé de 6 mois et c est donc avec un effectif complet de 10 personnes que nous avons terminé l année L avancée dans les problématiques individuelles 4 personnes ont obtenu un logement 2012, au bénéfice de leur engagement par l ACI 2 sont entrées sur des formations linguistiques (prise en charge en parallèle du chantier) 3 ont mis en place des systèmes de garde d enfants pérennes 6 ont ouvert des droits d accès aux soins L avancée dans les problématiques liées à l emploi 4 personnes ont découvert le monde du travail 17 ont bénéficié d aide à la définition du projet professionnel 7 personnes sont parties en périodes d immersion en entreprises 2 ont validé 3 CCP (Certificats de Compétences Professionnelles) RAPPORT D ACTIVITE 2012 AIVE - Page 33

34 Le suivi post-chantier Pour les 5 sorties en fin de contrat, 1 personne est entrée en formation CAP Petite enfance (Greta), 2 continuent leurs démarches accompagnées par l ACI (suivi-post chantier), les 2 autres personnes ne sont plus joignables. Pour les sorties anticipées, au nombre de 6 sur cette période, 2 personnes sont parties en formation, 2 ont rejoint l emploi, 1 est un abandon pour maternité, 1 est un abandon non justifié. 6- L équipe en 2012 L'équipe est stable, Christel et Silvana continuent d encadrer le travail et d organiser la vie en atelier pour les salariées en insertion. Elles fidélisent la clientèle en garantissant la qualité du travail réalisé et ce quelques soient les aléas inhérents à ce type de dispositif : formation des nouvelles salariées, départ de celles qui maitrisaient les techniques.. Carine continue d accompagner l ensemble des salariées. A ce jour, l'aci ce sont 5 personnes sur 3 pôles articulés : 2 encadrantes techniques, 1 chargée d'insertion ( à mi-temps sur l AI et l ACI) et une assistante de direction très investie dans la gestion administrative et pédagogique des salariées en insertion, une comptable, la direction. Ces 3 dernières personnes interviennent également sur l'ai. Le travail d équipe, très renforcé sur l ACI, s enrichie du travail d équipe de l ensemble de la structure, au service d un même public en insertion. RAPPORT D ACTIVITE 2012 AIVE - Page 34

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