Missions : Valeurs : L Hôpital de Crépy-en-Valois, c est aujourd hui :

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1 Hôpital de Crépy-en-Valois PROJET D ETABLISSEMENT UN HÔPITAL DE PROXIMITE AU SERVICE DES PERSONNES ACCUEILLIES L Hôpital de Crépy-en-Valois, c est aujourd hui : Un secteur sanitaire composé d un service de soins de suite et de réadaptation (SSR) de 30 lits et d une unité de soins de longue durée (USLD) de 30 lits, intégrant des lits dédiés aux soins palliatifs. Un secteur médico-social composé de trois établissements d hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) dont la capacité a été augmentée, soit 179 lits à effet du 1 er janvier 2009 : la maison de retraite Etienne-Marie de La Hante (81 lits) la maison de retraite Saint-Lazare (10 lits) la maison de retraite Les Primevères (88 lits), avec la création attendue d un secteur dédié à la prise en charge de personnes atteintes de la maladie d Alzheimer ou de troubles apparentés. Valeurs : Missions : Défendre et promouvoir un sentiment d appartenance à un établissement unique Prendre en soins la personne dans son intégralité : facteurs psychosociaux, médicaux, environnementaux Préserver l autonomie de la personne Développer l accompagnement et l animation de la vie du résident quelque soit le métier de l agent Accompagner dans la dignité la fin de vie pour la personne et son entourage Être et rester un établissement à taille humaine Être professionnel : connaître, appréhender et respecter les règles, procédures et protocoles, contribuer à la dynamique qualité engagée dans l établissement. Etre une structure de support et de recours principalement pour les personnes âgées et leurs familles ainsi que pour les professionnels de santé libéraux Défendre et dynamiser la filière gériatrique du territoire Promouvoir la complémentarité entre le sanitaire et le médico-social au sein d un même établissement Orientations stratégiques Conforter le positionnement de l établissement comme pôle de référence gériatrique de la partie sud du territoire D de la région Picardie, articulé avec le centre hospitalier de Compiègne Développer le projet de coordination SSR*, dans le cadre d une coopération future avec les centres hospitaliers de Compiègne et de Noyon Répondre aux attentes des patients accueillis et des organismes de contrôle et tarification Dynamiser, simplifier et harmoniser les outils du système qualité Mettre en adéquation les moyens humains accordés aux organisations déployées Rechercher des sources de financement complémentaires S inscrire dans un dispositif permettant de faciliter les liens «ville-hôpital» * l astérisque signifie qu il faut se reporter au glossaire p.27

2 Pourquoi écrire un projet d établissement? L Hôpital de Crépy-en-Valois, déployé sur plusieurs sites, se rattache au secteur sanitaire tout en ayant une grande part de son activité dans le médico-social. Il répond à différents documents stratégiques (CPOM*, conventions tripartites, rapport de certification, rapport d auto évaluation). Toutefois, c est un seul et même établissement qui accueille majoritairement des personnes âgées. Une volonté de réunir dans un seul et même document : Les valeurs/missions de l établissement. Les objectifs à 5 ans de l établissement. Les spécificités de chaque service. Pour qui écrire un projet d établissement? Le projet d établissement constitue un support unique pour l ensemble des professionnels (médecins, soignants, personnel technique, administratif ) où chacun retrouve à la fois son service, son quotidien, les valeurs et les objectifs de l ensemble de l établissement dans lequel il travaille. Les modalités d évaluation du projet d établissement Un comité de direction élargi est dédié à l évaluation du projet d établissement. Cette évaluation est programmée à la fréquence annuelle, ce qui n exclut pas des évaluations intermédiaires ciblées, initiées par la direction qualité. Les données d entrée permettant cette évaluation sont les rapports des différentes instances et comités, le plan d actions qualité, le tableau de suivi des indicateurs qualité. Cette évaluation permet de conclure sur l efficacité des processus et de juger de l état de mise en œuvre des politiques d établissement par l atteinte des objectifs identifiés. Des actions complémentaires peuvent être initiées à l issue de cette évaluation et intégrées au plan qualité. La traçabilité de cette évaluation est assurée par le bilan annuel du PACQ*. L engagement de l établissement dans le développement durable L Hôpital de Crépy-en-Valois a pour volonté d entrer dans une démarche de développement durable. Cette vision novatrice, bien que basée sur le bon sens, est transversale. Elle touche donc tous les projets que peut mettre en œuvre l Hôpital. Au-delà des aspects écologiques, économiques, le développement durable traduit une réflexion globale de gestion de l établissement. Comme tout engagement dans une démarche, il faut commencer par un état des lieux. Un autodiagnostic sera réalisé afin de pouvoir élaborer un plan d actions en fonction des résultats de cette évaluation. Le développement durable prend toute son importance dans les domaines suivants : La gestion des ressources humaines (qualité de vie au travail). La gestion des fonctions logistiques et des infrastructures (achat éco-responsables et approvisionnements). La qualité et la sécurité de l environnement (l air, la gestion de l eau, la gestion de l énergie, l hygiène des locaux, la gestion des déchets).

3 LE SOMMAIRE Les politiques... 4 La politique médicale... 5 La politique de prise en soins La politique liée aux droits des patients... 8 La politique des ressources humaines... 8 La politique hôtelière... 9 La politique économique et d approvisionnement... 9 La politique infrastructure et maintenance La politique qualité et gestion des risques La politique environnementale La politique du système d information La politique d informatisation... La politique de communication... La politique de management La politique de coopération L organisation interne Le schéma des processus... L organigramme... Direction, stratégie et gestion financière Qualité et gestion des risques Management et ressources humaines Management... Ressources humaines... Processus de prise en soins... Le SSR polyvalent Le service USLD Les services de soins des maisons de retraite Processus logistique et processus supports L hôtellerie : la restauration, le linge et l entretien... Le service technique... Le service économique, achats et stocks Les admissions facturation Le secrétariat médical le PMSI les archives médicales Le système d information La pharmacie Glossaire Hôpital de Crépy en Valois Projet d établissement

4 LES POLITIQUES 4 Hôpital de Crépy en Valois Projet d établissement

5 Axe 1 : Se positionner et se diversifier au sein de la filière gériatrique du territoire Assurer la permanence médicale à court et moyen termes Constat : Départs en retraite de plusieurs médecins Actions Être membre de la communauté hospitalière de territoire avec les CH* de Compiègne et Noyon afin de bénéficier d une attractivité plus importante en vue de recruter des personnels médicaux (stratégie de groupe public, mutualisation de plateaux techniques, équipes médicales importantes ) Développer des accès privilégiés avec le Centre Hospitalier de Compiègne pour éviter le passage systématique par le service des urgences : Constat : Passages fréquents des patients/résidents par le service des urgences Développer une culture partagée pour pouvoir bénéficier notamment d avis sur des situations médicales complexes (participation des médecins aux staffs des services gériatriques du CH* Compiègne, utiliser le n d appel unique du service gériatrique du CH* Compiègne) Pérenniser le positionnement de proximité de l Hôpital Mettre en place des consultations spécialisées avancées sur site (neurologie, ) en relation avec le CH* de Compiègne LA POLITIQUE MEDICALE Développer les liens Ville-Hôpital : promouvoir les admissions directes en SSR* et ouvrir les consultations spécialisées sur la ville Axe 2 : Maintenir et promouvoir la spécificité des soins palliatifs Constat : Cette spécificité (6 lits identifiés) permet à l établissement de ne pas seulement être un hôpital gériatrique Assurer la permanence de l intervention de l EMSP* du CH* de Compiègne dans les services de SSR* et l USLD*. Développer un partenariat avec l ACSSO* en vue de déployer les soins palliatifs sur les maisons de retraite. Développer un axe d achat tourné vers cette prise en soin (matelas thérapeutique, ). Promouvoir cette spécificité auprès des médecins de ville. Axe 3 : Mettre en adéquation l identité du service SSR* avec la population accueillie Maintenir une partie du service (1/3) en un service de SSR* polyvalent pour adultes afin de préserver l axe fort que constituent les soins palliatifs et de renforcer les liens avec la médecine de ville. Tendre vers une orientation partielle (2/3) du SSR* pour une prise en charge spécialisée des affections de la personne âgée polypathologique dépendante ou à risque de dépendance afin de bénéficier de compétences spécifiques (gériatres, ergothérapeutes, ) en lien avec le CH* de Compiègne. Axe 4 : Développer de nouvelles prises en charge axées sur la cancérologie Constat : De plus en plus de patients proviennent des services d oncologie des CH* environnants Développer une coopération avec le CH* de Compiègne autour de la cancérologie pour répondre aux interrogations médicales relatives aux prescriptions et/ou aux conduites à tenir et pour harmoniser les pratiques relatives à l oncogériatrie. Axe 5 : Sécuriser la politique du médicament Intégrer le circuit du médicament au DPI* Mettre en œuvre le système de management de la qualité de la prise en charge médicamenteuse Créer la coopération pharmaceutique dans le cadre de la future CHT* Développer la pharmacie clinique Développer la participation pharmaceutique aux activités d éducation thérapeutique auprès des patients Axe 6 : Promouvoir la coordination en EHPAD* Constat : Les missions du médecin coordonnateur peuvent être classées en trois catégories : en direction d un résident individuellement, en direction de l équipe de soins et en direction de l EHPAD* et des institutions partenaires. Prévoir le remplacement du médecin coordonnateur en âge de faire valoir ses droits à la retraite Mettre en place et suivi d un projet de vie individualisé pour tous les résidents. 5 Hôpital de Crépy en Valois Projet d établissement

6 LA POLITIQUE DE PRISE EN SOINS Le terme de prise en soins est préféré à celui de prise en charge : La prise en soins sous entend le dynamisme avec lequel l ensemble des intervenants de l équipe pluridisciplinaire, quelque soit la spécificité de leur métier, ont tous pour mission fondamentale de prendre soins. Axe 1 : Assurer la qualité et la sécurité des soins Promouvoir la bientraitance et la démarche éthique Constats : Des moyens de formations et de sensibilisation à la bientraitance (mallette MOBIQUAL, scénettes Papydoc) ont d ores-et-déjà été mis en place dans les services. Toutefois, aucune réflexion sur une démarche éthique structurée n a encore été mise en œuvre. Promouvoir la réflexion éthique centrée sur la bientraitance et accompagner les professionnels dans cette démarche. Poursuivre les actions de formation et de sensibilisation engagées. Rédiger un protocole en cas de maltraitance grave Améliorer l information liée à la pratique soignante Constats : Création d un nouveau dossier de soins individualisé en 2009, améliorant nettement la traçabilité des informations concernant le patient/résident. Mise en place des transmissions ciblées, marquée par la création du «smiley». Recherche d une uniformisation des pratiques soignantes par le biais des staffs hebdomadaires, des IDE* référentes et des référents thématiques (hygiène, escarres, douleur, alimentation). Moyens : Informatiser le dossier de soins Poursuivre l éducation thérapeutique des patients Améliorer la qualité des soins apportés aux patients/résidents Constats : Un programme de prévention des risques de chutes a été mis en œuvre depuis 2010 au sein du service SSR*. L établissement encourage les équipes soignantes à promouvoir la verticalisation des patients/résidents le nécessitant, la lutte et la prévention contre les escarres (mise en place de groupes de travail sur ce thème), le retour vers la continence, la prise en charge des personnes dénutries. Une prise en charge psychologique est proposée aux résidents et aux familles le désirant. Une assistante sociale intervient en SSR pour faciliter la sortie des patients. De même, les activités de vie et d animation sont portées par deux animatrices. La qualité des soins passe également par le plaisir partagé entre le soignant et le soigné ainsi que par l encadrement et l accompagnement des étudiants. Généraliser les outils créés dans le cadre de l EPP* prévention des risques de chute à tous les services. Poursuivre l élaboration des protocoles de lutte et de prévention contre les escarres Développer une politique de mise aux toilettes à horaires réguliers pour favoriser le retour à la continence Améliorer la prise en charge des personnes dénutries (création protocole dénutrition et utilisation de l outil MNA*) Développer une dynamique d animation partagée Constat : Un programme d animation est proposé par les animatrices en fonction des capacités physiques et cognitives et du choix du résident. Sont développés les échanges intergénérationnels et les sorties sur l extérieur. De plus, les VMEH* et d autres associations interviennent dans le cadre du projet d animation. Un suivi individuel des résidents sur leur état cognitif et thymique (= l humeur) est réalisé au cours des animations et retranscrit dans un classeur. Développer l implication de tous les professionnels dans les activités de vie et d animation Augmenter la diversité des animations Proposer des soins de rééducation de qualité Constats : Des kinésithérapeutes libéraux interviennent au sein de l établissement pour mobiliser de façon active les patients et résidents. Toutefois, l établissement ne dispose pas d équipements adaptés. Création d une salle de rééducation à Saint-Lazare Améliorer la traçabilité des actes de kinésithérapie dans le dossier de soins. Axe 2 : Mener une politique de prévention de lutte contre les infections nosocomiales Constats : L établissement travaille en collaboration avec l équipe opérationnelle d hygiène du CH* de Compiègne. Une instance spécifique a été créée : le CLIN*. Elle est complétée par une équipe de référents hygiène. Des protocoles hygiène sont régulièrement créés et mis à jour (lavage des mains, bionettoyage, précautions complémentaires...) et des audits sont organisés. L indicateur ICALIN* 2009 se situe en classe A et l indicateur ICSHA* en classe C Améliorer l indicateur ICSHA* Poursuivre la sensibilisation de tous les services de l établissement à l hygiène hospitalière Maintenir la dynamique hygiène portée par l EOH*, les correspondants hygiène et le CLIN* 6 Hôpital de Crépy en Valois Projet d établissement

7 LA POLITIQUE DE PRISE EN SOINS Axe 3 : Renforcer la prévention et la lutte contre la douleur Le soulagement de la douleur est un droit pour le patient et le résident (loi du 4 mars 2002). Constats : L établissement a engagé de nombreuses actions de prévention et de lutte contre la douleur ces dernières années : information des usagers via le livret d accueil, formation du personnel, création d une instance spécifique (CLUD*) et de référents douleur dans les services, mise en place de protocoles douleur remis à jour régulièrement, utilisation d échelles d évaluation de la douleur reconnue (EVA, Doloplus...), réalisation d audits de traçabilité, réalisation en 2010 d une enquête sur «les soignants face à la douleur». Poursuivre la prévention et la prise en charge de la douleur en dynamisant le CLUD*. Promouvoir la culture sur la prévention et la prise en charge de la douleur par un développement de l information auprès des professionnels impliqués. Evaluer le niveau de prise en compte de la douleur au travers des dossiers patients et de la traçabilité sur cette cible. Mettre en œuvre une charte douleur. Impliquer des professionnels médicaux et paramédicaux sur l actualisation des protocoles de prise en charge de la douleur. Axe 4 : Améliorer la qualité de la prise en charge palliative Les soins palliatifs sont des soins actifs dans une approche globale de la personne atteinte d une maladie grave, évolutive ou terminale. Leur objectif est de soulager les douleurs physiques ainsi que les autres symptômes et de prendre en compte la souffrance psychologique, sociale et spirituelle. Constats : L établissement dispose de 6 lits dédiés soins palliatifs répartis en SSR* (4) et en USLD*(2). Des personnes ressources sont mises à disposition des équipes soignantes : psychologue, assistante sociale, kinésithérapeute. Les services de soins travaillent en collaboration avec l équipe mobile de soins palliatifs du CH* Compiègne en SSR* et ULSD*. Un médecin et une infirmière possèdent un diplôme universitaire en soins palliatifs. Tracer la réflexion bénéfice/risque des examens complémentaires et des soins, en relation avec le patient ainsi que la sollicitation et l intervention des personnes ressources, la prévention et prise en charge des douleurs aigues ou chroniques et la souffrance psychologique. Tracer les réunions périodiques avec les référents médicaux et soignants. S assurer de la formation continue aux soins palliatifs de l ensemble des professionnels impliqués. Intégrer les résidents des maisons de retraite dans le champ d action de PALLI-ACCSO. Axe 5 : Promouvoir le projet thérapeutique et le projet de vie Le projet thérapeutique Constats : Le projet thérapeutique en SSR* est établi après l examen clinique du patient par les médecins du service. Il prend en compte l évaluation paramédicale réalisée avec la collaboration du patient. Il est réajusté régulièrement et est tracé dans le dossier du patient. L audit des dossiers 2010 dans le cadre des indicateurs IPAQSS* a montré qu il y avait une marge d amélioration importante concernant la traçabilité du projet thérapeutique. Poursuivre la traçabilité du projet thérapeutique dans le dossier du patient Le projet de vie Constats : Le projet de vie décliné dans les maisons de retraite correspond au projet de soins individualisé enrichi d un projet d animation personnalisé. Le résident et sa famille sont sollicités pour participer à l élaboration et au suivi de ce projet. Il est réévalué autant que de besoin. Depuis 2011, une consultation infirmière a été mise en place en USLD*. Généraliser la désignation de référents pour chaque résident accueilli. Mener une réflexion sur la généralisation de la consultation infirmière sur toutes les maisons de retraite après une année de fonctionnement sur l USLD*. Améliorer le support du projet de vie 7 Hôpital de Crépy en Valois Projet d établissement

8 LA POLITIQUE LIEE AUX DROITS DU PATIENT Axe 1 : Réaffirmer les valeurs de l établissement Constats : Comme énoncé dans le préambule, l établissement prône des valeurs comme la dignité de la personne, le prendre soin de la personne dans son intégralité... D autres notions fortes sont véhiculées au sein des services comme la nécessaire recherche du consentement du patient/résident, mais également le respect de la confidentialité des données médicales et autres. Ces notions touchent tous les professionnels de l établissement et sont régulièrement rappelées. Améliorer la traçabilité des consentements pour toutes les situations le nécessitant Poursuivre la sensibilisation des professionnels sur le respect de la confidentialité des informations. Travailler sur une procédure précisant les modalités de non divulgation de la présence de la personne accueillie et d hospitalisation sous X ou le refus de visite à la demande du patient/résident. Axe 2 : Promouvoir la notion de bientraitance associée à la notion éthique Constats : La réflexion éthique émerge lors de conflit de valeurs d égale légitimité comme, par exemple, lorsque le droit à la liberté se heurte à l impératif de sécurité. Dans ce contexte, l éthique consiste en une pratique de la distanciation et de la réflexion pour une prise de décision collégiale, en cherchant à concilier au mieux les impératifs juridiques, déontologiques et humains dans une décision par définition «singulière». La bientraitance est avant tout une manière d être, une manière de penser, une manière d agir, une manière de dire à l autre, qui représentent la posture professionnelle attendue par les personnes accueillies pour prendre en soins leurs besoins perturbés. Développer la notion d éthique auprès de tous les soignants Créer une instance éthique Poursuivre la sensibilisation des professionnels à la notion de bientraitance Axe 3 : Promouvoir les droits des patients et des résidents auprès des personnels de l hôpital Constats : Les droits des patients et résidents sont énoncées à travers des textes législatifs et réglementaires (loi du 4 mars 2002, loi du 22 avril 2005, décret n ) et des chartes (charte de la personne hospitalisée, charte des droits et libertés de la personne accueillie, charte des droits et libertés de la personne âgée dépendante). Toutes les chartes sont mises à disposition des usagers. Des formations sur les droits des patients ont débuté en Poursuivre la sensibilisation des professionnels aux droits des patients et des résidents Améliorer la mise en œuvre des dispositifs relatifs aux droits des patients en fin de vie Former les personnels soignants à l intérêt des directives anticipées et de la personne de confiance Développer des projets thérapeutiques LA POLITIQUE DES RESSOURCES HUMAINES Axe 1 : Mener une politique de gestion prévisionnelle des métiers et des compétences Adapter la gestion des métiers et des compétences à l évolution de l organisation hospitalière : Répondre aux exigences croissantes du secteur sanitaire par une anticipation des besoins et une mise à jour continue des données internes sur les compétences Développer et optimiser les outils mis en place dans la GPEC* Optimiser la maîtrise des dépenses de personnel : Renforcer l implication des responsables de secteurs d activité en conduisant une démarche annuelle sur une thématique en lien avec le management et la gestion des ressources humaines Continuer de promouvoir la mobilité intersites Anticiper les difficultés de recrutement notamment en gériatrie Mettre en adéquation les métiers de la santé avec les pathologies et les exigences des patients dans l établissement Promouvoir les compétences des professionnels et des managers 8 Hôpital de Crépy en Valois Projet d établissement

9 Axe 2 : Développer une politique sociale en lien avec les partenaires sociaux Le bilan social, est un outil contributif au dialogue social qui permet un état des lieux de la situation du personnel. Le projet social transcrit la politique sociale de l établissement avec des objectifs partagés par l ensemble du personnel ; il est formalisé dans un document où sont inscrites les orientations cibles pour les 5 ans à venir (développement de compétences, recrutement, amélioration des conditions de travail, ) : Rédiger le projet social en collaboration avec les partenaires sociaux et des agents volontaires Maintenir le dialogue avec les salariés sur les conditions de vie au travail en les associant aux projets lors de modifications d activités et de travaux d aménagement. Axe 3 : Assurer la qualité de vie au travail Constat : Une bonne qualité de vie au travail bénéficie aux agents mais aussi aux patients, aux résidents et à l établissement. Des actions participatives : groupes de travail notamment sur les risques psychosociaux, évaluations quantitatives et qualitatives des besoins en matériel. Des lieux de détente sont accessibles sur tous les sites Des enquêtes de satisfaction aux moyens de questionnaires qui deviendront de plus en plus ciblés Axe 4 : Promouvoir une politique globale de formation Le recensement des besoins en formation lors de l entretien annuel : Développer l utilisation du Droit Individuel à la Formation (DIF*) Le plan de formation : Développer la mutualisation de la formation entre structures Poursuivre le développement des compétences par la formation continue Garantir l adaptation des contenus des formations aux projets de l établissement L évaluation de la formation, Développer l évaluation de l efficience des formations dispensées Axe : Répondre aux exigences croissantes des patients/résidents en matière d hygiène, de qualité d accueil, de confort d hébergement, de qualité et de sécurité alimentaire Respecter les contraintes nutritionnelles et adaptées aux prises en charge spécifiques Travailler avec les personnels et les résidents, le rôle social des temps de repas. Améliorer la qualité des lieux de restauration et du service (nappes, vaisselles et couverts). Améliorer le tri du linge sale dans les structures et assurer un approvisionnement optimal en linge. Développer des outils d évaluation afin de vérifier la qualité des prestations offertes. LA POLITIQUE DES RESSOURCES HUMAINES (suite) LA POLITIQUE HÔTELIERE Mettre en œuvre le plan HACCP* et des audits annuels Améliorer la formation/sensibilisation des personnels d hôtellerie concernant les précautions complémentaires et précautions standards LA POLITIQUE ECONOMIQUE ET D APPROVISIONNEMENT Axe 1 : Répondre aux besoins des services tout en respectant les contraintes réglementaires et financières Promouvoir l anticipation des besoins Développer les marchés publics Développer une gestion saine des stocks Mettre en place des dotations Assurer un suivi financier rigoureux Poursuivre le suivi des budgets prévisionnels par service Mettre en place une comptabilité analytique par service S assurer du bon déroulement des opérations de mandatement et de liquidation Poursuivre la traçabilité des opérations de mandatement Développer les relations entre l ordonnateur et le comptable 9 Hôpital de Crépy en Valois Projet d établissement

10 LA POLITIQUE ECONOMIQUE ET D APPROVISIONNEMENT (suite) Axe 2 : Promouvoir la fiabilité de la politique d approvisionnement Répondre à un processus prédéfini d expression des besoins, de recherche/sélection des fournisseurs, de négociation et de passation de marchés, et enfin de suivi de commandes. Ce processus devra faire l objet d une procédure formalisée. Développer les achats éco-responsables Mettre en place d une politique «papier» sur l ensemble des sites Organiser les flux et optimiser les stocks : Minimiser les coûts et les risques liés aux stocks Mettre en place via l informatisation des quantités de stock minimales (seuil d alerte) Réaliser régulièrement des inventaires LA POLITIQUE INFRASTRUCTURE ET MAINTENANCE Axe 1 : Améliorer le confort des chambres Constats : La maison de retraite E.M. de La Hante et l hôpital Saint-Lazare sont de constructions relativement récentes (1994 et 2000), toutefois les critères d hébergement ont déjà changé. En effet, les personnes accueillies préfèrent en majorité être en chambre individuelle. Ainsi, ce critère a été pris en compte dans la rénovation et l extension de la maison de retraite Les Primevères débutée en Privilégier les chambres individuelles lors des travaux de réhabilitation Changer les fenêtres sur Saint-Lazare et ajouter des rideaux Privilégier l installation de sanitaires dans les chambres lorsque cela est possible (normes handicaps) Axe 2 : Améliorer le suivi des travaux de maintenance Constats : Les maintenances réglementaires sont assurées par le biais de contrat de maintenance et suivies par le responsable du service technique. Les travaux de maintenance préventive et curative sont faits majoritairement par le service technique. Action : Informatiser les bons de travaux LA POLITIQUE QUALITE ET GESTION DES RISQUES La politique qualité et gestion des risques recense l ensemble des orientations de l établissement visant à assurer l amélioration continue de la qualité, ainsi que la sécurité des biens, des personnes, des soins... Axe 1 : Situer l usager au cœur des préoccupations Constats : Prendre soin des patients et des résidents est notre cœur de métier. De ce fait, tous les services ou tous les corps de métier travaillent de façon directe ou indirecte pour satisfaire les besoins implicites et explicites des usagers (patients, résidents, familles...). Pour connaitre l avis des résidents ou des familles sur les prestations offertes par l établissement, des questionnaires de satisfaction et de sortie sont en place. Maintenir la dynamique d évaluation de la satisfaction des usagers Améliorer la stratégie de communication relative aux indicateurs qualité et aux résultats des enquêtes de satisfaction Axe 2 : Garantir la maîtrise et la gestion des risques Constats : l établissement dispose d ores-et-déjà de nombreux outils pour assurer la maîtrise et la gestion des risques dans certains domaines : le document unique des risques professionnels, les fiches d évènements indésirables, le tableau de suivi des plaintes et réclamations, les plans de gestion des crises (plan blanc et plan bleu), la fiche de constat de chutes. De même, pour pallier le risque incendie, tous les professionnels reçoivent une formation incendie annuelle. Réaliser la cartographie générale des risques Formaliser le plan HACCP* Poursuivre les moyens de prévention liés aux risques professionnels (formation, sensibilisation...) Axe 3 : Développer une coordination efficace des vigilances Constats : Des référents vigilances ont été nommés pour toutes les vigilances qui concernent l établissement (matério, pharmaco, identito, infectio). De même, un comité risques et vigilances a été créé afin d organiser la coordination des vigilances. Un classeur vigilances a également été rédigé en Sensibiliser les personnels aux vigilances Poursuivre la dynamique engagée par le comité risques et vigilances 10 Hôpital de Crépy en Valois Projet d établissement

11 LA POLITIQUE QUALITE ET GESTION DES RISQUES (suite) Axe 4 : Assurer un système qualité efficace Constats : Le système qualité repose sur le principe de la roue de Deming, c est-à-dire sur l amélioration continue, qui consiste à planifier les actions d amélioration, les mettre en œuvre, vérifier leur efficacité et apporter des modifications. Le système qualité repose également sur un système de mesures (enquête de satisfaction divers, audits, indicateurs qualité, évaluation des pratiques professionnelles). Sensibiliser les professionnels aux concepts et outils de la qualité Poursuivre la dynamique qualité au sein des services Poursuivre la stratégie de mesure de la qualité Axe 5 : Assurer l évaluation des pratiques professionnelles des personnels médicaux et paramédicaux Constats : Des évaluations des pratiques professionnelles sont organisées au sein des services SSR* et ULSD* depuis Elles ont été généralisées aux maisons de retraite en De plus, un comité EPP* a été créé en Sensibiliser les professionnels soignants et médicaux à l importance des programmes EPP* Poursuivre la dynamique engagée Axe 6 : Satisfaire aux évaluations externes Constats : L établissement a satisfait aux exigences de l accréditation et de la certification V2007 en L évaluation interne des EHPAD*, première étape vers l évaluation externe, a été engagée en Satisfaire aux exigences du manuel de certification des établissements de santé V2010 Organiser l évaluation externe des EHPAD* en 2012 Sensibiliser les professionnels à ces deux évaluations externes POLITIQUE ENVIRONNEMENTALE Axe 1 : Améliorer la qualité énergétique des bâtiments Constats : Une dynamique d amélioration de la qualité énergétique des bâtiments a déjà été impulsée par la rénovation et l extension de la maison de retraite Les Primevères. Réaliser un bilan énergétique Prendre en compte la norme HQE* lors des travaux de réhabilitation ou de construction Axe 2 : S inscrire dans une logique de développement durable Le concept de développement durable va bien au-delà de la simple recherche des économies d énergie ou du tri des déchets. Il intègre également une dimension sociale (cf politique des ressources humaines) et économique. Privilégier les achats éco-responsables Constats : L écoresponsabilité est une nouveauté qui est au centre des préoccupations des centrales d achat auxquelles l établissement adhère ; de nouvelles clauses sont également prévues pour l élaboration des cahiers des charges pour les marchés publics. Développer une politique d approvisionnement responsable Améliorer le tri des déchets Constats : A l heure actuelle, l établissement effectue le tri de nombreux déchets (DASRI*, verre, ampoules, cartons médicaments périmés,...). Toutefois, les déchets papiers et plastiques ne font pas encore l objet d un tri spécifique. Mettre en place une filière de tri des papiers et des plastiques Sensibiliser les professionnels au tri des déchets Rédiger un protocole tri des déchets hors soins Assurer la maîtrise des énergies Constats : Des moyens sont d ores et déjà utilisés pour réduire la consommation d électricité (ampoules basse consommation) et d eau (utilisation de mitigeur). De plus, des conseils sont parfois donnés aux résidents pour réduire la consommation d énergie. Toutefois, il n existe pas de politique globale de réduction de consommation des énergies. Effectuer un suivi régulier des consommations d énergie Réaliser un bilan énergétique Sensibiliser les professionnels et les résidents aux économies d énergie 11 Hôpital de Crépy en Valois Projet d établissement

12 LA POLITIQUE DU SYSTEME D INFORMATION POLITIQUE D INFORMATISATION Axe 1 : Promouvoir l utilisation de l outil informatique Constat : Les outils informatiques sont implantés dans chaque service mais les outils papiers restent majoritaires dans les secteurs de soin en raison de l absence du dossier patient informatisé (DPI*) Poursuivre les formations bureautiques Elargir le parc informatique Axe 2 : Faciliter et sécuriser le partage d informations médicales et para médicales entre les professionnels de l établissement et vers d autres établissements Optimiser la sécurité de l infrastructure technique en termes de disponibilité, d intégrité, de confidentialité et de traçabilité S insérer dans un projet de DPI* partagé entre plusieurs établissements dont le CH* pivot de la CHT*, le CH* de Compiègne et bénéficier de l apport de son équipe informatique Revoir les contrats de maintenance Mettre en place le DPI Promouvoir le DPI* en formant les professionnels à son usage Développer les interfaces entre la partie soin et la partie pharmaceutique et entre la partie soin et la partie administrative/facturation POLITIQUE DE COMMUNICATION Axe 1 : Développer les liens interprofessionnels au sein de l établissement Messagerie électronique : tous les services disposent d une adresse électronique Réunions de service, réunions interservices Politique de remplacement d absence intersites Cahiers de transmissions Journées thématiques (hygiène, ) Mettre en place une journée d accueil des nouveaux recrutés et finaliser le livret d accueil des nouveaux embauchés Elargir le parc informatique Axe 2 : Développer l information sur la vie de l établissement Points de rencontre : cérémonie des vœux, rencontres thématiques Samba : documents partagés entre les services Notes de service ou d information Livret d accueil des nouveaux recrutés HOPIQUALI : Bulletin qualité de l établissement Axe 3 : Développer la gestion documentaire Poursuivre l informatisation de tous les nouveaux documents qualité Poursuivre l informatisation du suivi des signalements des évènements indésirables ou des situations à risque Axe 4 : S ouvrir sur l extérieur Référencement auprès des annuaires spécialisés (annuaire sanitaire et social, POLITI, FHF ) Publication d articles dans la presse locale, régionale et participation aux classements de périodiques nationaux. Participation à la vie des réseaux (CCLIN*, inter CLUD*, instituts de formation ). Ouverture des activités médicosociales sur la ville : bibliothèque, écoles, musée de l archerie, conseil municipal des jeunes, repas et goûter du 3 ème âge, échange inter génération... Plaquette d information diffusée auprès des professionnels libéraux, CLIC*... Mise en ligne d un site internet en 2011 Mettre à jour le livret d accueil. Organiser une journée «porte ouverte» sur un thème particulier (Alzheimer : fatigue des aidants, ). Ouverture sur l extérieur : favoriser la participation du public aux journées existantes (hygiène) ou à venir (qualité). Développer la participation aux réseaux et filières de territoire Organiser la tenue de rencontres thématiques ouvertes sur l extérieur, EPU ou autre. 12 Hôpital de Crépy en Valois Projet d établissement

13 Constat : Les différents niveaux d encadrement sont bien définis dans l établissement : Comité de direction chargé de mettre en œuvre les politiques décidées dans le projet d établissement. Responsables de secteur diffusant sur le terrain les valeurs et objectifs, garants du respect des organisations. Professionnels de terrain vecteurs des valeurs du service public pour les patients/résidents et leur famille. Axe 1 : Favoriser le management participatif Inciter les professionnels à participer aux différents groupes de travail sur les projets de l établissement Prioriser et échelonner les groupes de travail pour s assurer d une bonne participation des professionnels et d une bonne appropriation des solutions élaborées Placer les professionnels en situations d acteur à l initiative de solutions ou de suggestions vis-à-vis de la Direction qui en dernier lieu décidera. Axe 2 : Promouvoir la vie institutionnelle Intitulés Membres Missions principales Directoire Conseil de surveillance CME* CTE* CHSCT* CRUQPC* CVS* CQSS* (souscommission CME*) CLIN* COMEDIMS* CLUD* CLAN* CRV* CEPP* CSIRMT* Direction, Présidents CME* et CSIRMT*, corps médical Représentants des collectivités territoriales, des personnels et des personnalités qualifiées (dont représentants des usagers) Ensemble du corps médical, Présidents du Directoire et de la CSIRMT, représentant du CTE* Direction et représentants du personnel Direction, représentants du personnel, médecin et inspecteur du travail. Direction, médiateurs, représentants des usagers représentants CME*, CSIRMT*, CTE* et CVS* Représentants des résidents, des familles, du personnel et du Directoire. Président CME, directions fonctionnelles et représentants CTE* et CHSCT*. Membres de la CQSS* + personnels et intervenants référents Membres de la CQSS* + personnels et intervenants référents Direction des soins, représentants des personnels soignants et médicotechniques. LA POLITIQUE DE MANAGEMENT Appui et conseil au Directeur, élaboration de la stratégie médicale et de la politique de gestion. Orientations stratégiques et contrôle permanent de la gestion de l établissement. Politique médicale, avis sur l organisation et le fonctionnement de l établissement. Donne un avis sur les conditions et l organisation du travail, la politique de formation du personnel et le projet social Conditions d hygiène et de sécurité au travail pour les salariés, prévention et analyse des accidents de travail. Veiller au respect des droits des usagers et faciliter leurs démarches pour les litiges ne présentant pas le caractère d un recours gracieux ou juridictionnel. Avis et propositions sur toute question intéressant le fonctionnement des EHPAD*. Propose et donne son avis sur la politique qualité et sécurité des soins, assure le suivi du programme de qualité et gestion des risques (PACQ*), assure le bon déroulement de la procédure de certification et d évaluation externe Définit et conduit la politique d hygiène et les correspondants. Politique du médicament en lien avec le CBU*, référencements de molécules, circuit du médicament Politique de lutte contre la douleur, validation des protocoles, formation des professionnels à l identification et prise en compte de la douleur Prise en compte des besoins et équilibres alimentaires des patients, suivi des menus et régimes en termes d appétence et d équilibre Assure la coordination des vigilances, propose un programme de sensibilisation des professionnels à la gestion des risques, assure le suivi des évènements indésirables. Assure la validation des programmes EPP*, informe les professionnels et les institutionnels sur le suivi des programmes EPP, apprécie l impact des mesures d amélioration mises en œuvre. Donne son avis sur le projet de soins infirmiers, sur les conditions générales d accueil et de prise en charge des usagers, sur la recherche dans le domaine des soins infirmiers. Elle est informée sur le rapport annuel d activité et le règlement intérieur. 13 Hôpital de Crépy en Valois Projet d établissement

14 LA POLITIQUE DE COOPERATION Axe 1 : Implanter durablement l établissement dans son environnement sanitaire et médico-social en développant des collaborations Moyens : Nom du partenaire Activité ou spécialité objet de l'accord Type d'accord Prise en charge des urgences gériatriques Consultation gériatrique avancée, consultation neurologique (en projet) CH* Compiègne EOH* Convention cadre EMSP* FMIH* DIM* Temps médical partagé Suivi de la qualité de l eau Système d information CHI*, Clermont/Oise Prise en charge des patients souffrant de troubles psychiatriques Convention de coopération IFSI* + centres de Convention de Accueil des étudiants infirmiers DE, AS DE... formation formation RSP - Réseau de soins Recours à la cellule de coordination du RSP palliatifs Admission des patients relevant de soins palliatifs pour PALLI-ACSSO Convention de réseau EHPAD* Antilly et FAM* Convention de Permanence des soins mutualisée La Sagesse coopération CH* Senlis Accueil des patients, structure d aval plan bleu Convention de recours Laboratoire d analyses Convention de Réalisation des examens de laboratoire des patients hospitalisés médicales coopération Poursuivre la contractualisation des relations en réseaux nécessaires à la continuité de prise en charge des patients. Procéder à des évaluations périodiques des conventions générant les flux de patients les plus importants. Axe 2 : Poursuivre et améliorer la coopération avec les associations du secteur Moyens : Visiteuses des malades dans les Visite aux patients/résidents, animations diverses intra et extra-muros, établissements hospitaliers (VMEH) bibliothèque, aide à l hydratation des résidents en période estivale Intervention d une équipe d aumônerie catholique auprès des patients et Paroisse de Crépy-en-Valois résidents demandeurs (Possibilité de faire appel à un ministre du culte de toute autre religion reconnue) Conseil municipal des jeunes, écoles Echanges intergénérationnels primaires, MJC, 14 Hôpital de Crépy en Valois Projet d établissement

15 L ORGANISATION INTERNE 15 Hôpital de Crépy en Valois Projet d établissement

16 16 Hôpital de Crépy en Valois Projet d établissement

17 DIRECTION, STRATEGIE ET GESTION FINANCIERE L établissement dispose de deux directeurs, un directeur général et un directeur adjoint plus spécifiquement chargé des affaires financières. Modalités de fonctionnement : Mettre en application les directives nationales, régionales et départementales dans le cadre des différents schémas et aux moyens des outils tels que le CPOM* et les conventions tripartites. Coordonner les acteurs de terrain autour des axes stratégiques définis dans le CPOM*, les conventions tripartites et le projet d établissement. Fixer les objectifs généraux à l équipe dirigeante pour une mise en application par les acteurs de terrain. Veiller au fonctionnement institutionnel de l établissement en permettant aux instances délibératives et consultatives de jouer pleinement leur rôle. Moyens : Management participatif et directif Moyens humains Réunions de direction tous les 15 jours Fonctionnement autour d une démarche projet pour la réalisation des orientations stratégiques Réunions thématiques sur les différents sites au fil de l actualité Moyens financiers Suivi de l activité Tableaux de bord financiers Budgets alloués Plan de recrutement et GPMC* Plan de formation Respect des tableaux des emplois Moyens immobiliers et mobiliers Equipement : investissement et maintenance Architecture Gestion du patrimoine Objectifs d amélioration : Favoriser la cohésion entre les acteurs de terrain et la direction : projet d établissement connu et partagé de tous, journée d accueil des nouveaux recrutés, Tendre vers une comptabilité analytique pour une meilleure gestion au plus près des acteurs de terrain. Anticiper le passage en T2A* et ses conséquences. Développer la recherche de financements complémentaires ou alternatifs : percevoir des recettes en atténuation en mutualisant certaines activités. Lancer une démarche «développement durable» : changement des attitudes quotidiennes, tendre vers le «zéro» papier, lancer des diagnostics environnementaux eau, air, énergie, mettre en place le tri sélectif, achats écoresponsables QUALITE ET GESTION DES RISQUES Modalités de fonctionnement : La direction qualité et gestion des risques a pour mission principale de manager et coordonner tous les acteurs et les actions d amélioration afin de : Répondre aux attentes des patients/résidents tout en améliorant les pratiques des professionnels et les prestations proposées Prévenir tout risque éventuel pour les usagers ainsi que pour les professionnels A cette fin, les principes de la roue de Deming (amélioration continue) sont mis en œuvre quotidiennement : la planification elle repose principalement sur deux dispositifs, à savoir, le comité de réunion qui fixe les stratégies en termes de qualité et de gestion des risques et la commission qualité et gestion des risques composée de nombreux comité (CLIN*, CLAN*, CLUD*...) la mise en œuvre différents outils existent : une gestion documentaire, un plan d amélioration continue de la qualité, un système de vigilances, un système de déclaration des évènements indésirables, un document unique... la vérification et la correction l efficacité des mesures mises en œuvre est vérifiée grâce au système de mesures mis en place : enquêtes de satisfaction, audits internes, EPP*, indicateurs qualité... Objectifs d amélioration : Poursuivre la dynamique qualité initiée au sein des services Développer une culture de sécurité des soins Sensibiliser les professionnels à la qualité et à la gestion des risques Poursuivre l amélioration du système qualité (gestion documentaire,...) 17 Hôpital de Crépy en Valois Projet d établissement

18 MANAGEMENT ET RESSOURCES HUMAINES MANAGEMENT Modalités de fonctionnement : Direction Générale Directeur et directeur adjoint Equipe dirigeante (Cadres de santé, administrateur de garde, RRH) Responsables de proximité (IDE référentes, responsables logistique & technique) Agents Moyens : Management directif : situations d urgence Management participatif : mise en place de projets Management délégatif : responsabilisation des professionnels Management situationnel : est celui qui s adapte à la situation donnée RESSOURCES HUMAINES Le bureau du personnel est composé de deux agents sous la direction de la responsable des ressources humaines également en charge des services logistiques. Les agents disposent d un logiciel de gestion pour le dossier des agents (AGIRH) qui permet de suivre la carrière de l agent, préparer les éléments de paye, suivre les formations, gérer le temps de travail et disposer de plannings dans les services. La paye est externalisée et traitée par le MIPIH* à Amiens qui héberge cette application. Modalités de fonctionnement : Missions principales : Constituer un dossier administratif à tout agent travaillant dans l établissement Assurer un suivi de la carrière de l agent de l entrée à son départ Assurer un traitement à l agent Recruter, gérer dans le respect du cadre budgétaire, prévoir des remplacements Mettre en place une GPMC* Assurer une mise à jour des connaissances des personnels par la formation Permettre l accès aux prestations sociales Assurer le suivi médical des personnels Accueillir, suivre et planifier les stagiaires Répondre aux diverses enquêtes Se tenir informé de l actualité de la législation liée aux ressources humaines Objectifs d amélioration : Former les référents des services à AGIRH plannings Etablir un tableau des emplois par service avec suivi pour les cadres de santé Organiser un temps d échange plus formalisé avec les cadres de santé Formaliser un temps de réunion périodique au sein de la direction des ressources humaines Mettre en place des journées d accueil des nouveaux recrutés Créer des supports d évaluation communs pour les managers (annuelle, renouvellement contrat, titularisation ) 18 Hôpital de Crépy en Valois Projet d établissement

19 PROCESSUS DE PRISE EN SOINS LE SSR POLYVALENT Le service SSR est composé de 30 lits dont 4 identifiés soins palliatifs. Il est constitué d une équipe médicale et d une équipe paramédicale. Modalités de fonctionnement Les notions de respect, de dignité, de pudeur et de secret professionnel sont au cœur des préoccupations de l équipe. PRE-ADMISSION : - directe depuis le domicile du patient - par transfert d une autre structure SORTIE : - la sortie est discutée et décidée lors des staffs hebdomadaires - elle est prononcée par le médecin - un courrier médical adressé au médecin traitant est remis au patient le jour de sa sortie ADMISSION : - programmation en début d après-midi - création du dossier administratif par le bureau des admissions LA PRISE EN CHARGE PALLIATIVE : - installation du patient en chambre individuelle - les soins sont regroupés et réalisés en binôme - l équipe assure une présence et une écoute active du patient et de sa famille - intervention d une équipe mobile de soins palliatifs RECUEIL DE DONNEES : - personne de confiance - régime alimentaire - paramètres vitaux - transmissions ciblées - diagramme de soins... constitution du dossier de soins individualisé REALISATION DES SOINS : - accompagnement dans la réalisation des actes quotidiens (toilettes, élimination, repas...) pour les personnes en perte d autonomie - verticalisation la plus fréquente possible - priorité donnée à la prise en charge de la douleur - participation de la famille recherchée EXAMEN MEDICAL : fait par un médecin du service le jour de l admission RECUEIL D INDICATEURS DE SUIVI CLINIQUE : - GIR* - IMC* - taille - échelle de douleur - risque de chute - risque d escarres - évaluation de la mémoire - évaluation de la dépression -... données recueillies dans les jours suivant l entrée du patient PROJET THERAPEUTIQUE: il prend en compte l ensemble des besoins du patient et organise la coordination entre les professionnels de l établissement il est réévalué toutes les semaines lors du staff ORGANISATION DE LA SORTIE: elle est abordée dès l arrivée du patient afin de préparer au mieux l après hospitalisation (retour à domicile, recherche d une structure d hébergement...). Pour cela, une assistante sociale travaille à mi-temps dans le service. Au vu de la population accueillie, une prise en soins holistique est assurée, les aspects psychologiques et sociaux sont pris en compte, ainsi que les spécificités liées au grand âge. Objectifs d amélioration : Tendre vers une orientation partielle du SSR* pour une prise en charge spécialisée des affections de la personne âgée polypathologique dépendante. Développer la collaboration avec des métiers spécifiques comme orthophoniste, psychomotricien et ergothérapeute Aménager une salle de kinésithérapie. Favoriser et formaliser des entretiens entre l équipe médicale et les familles qui le désirent. Retravailler sur la contention (demande du patient pour sécurité avec traçabilité dans dossier de soin). Systématiser la formation sur les soins palliatifs à l ensemble du personnel travaillant au sein du service. 19 Hôpital de Crépy en Valois Projet d établissement

20 LE SERVICE USLD L unité peut accueillir 30 résidents. Deux lits sont identifiés soins palliatifs. L équipe se compose d un médecin gériatre coordonnateur, d une équipe soignante (infirmiers, aidessoignants, cadre de santé), d une psychologue, de deux animatrices et d une coiffeuse. L équipe est complétée par l intervention de professionnels de santé libéraux. Modalités de fonctionnement : LE DOSSIER D ADMISSION : - les dossiers contiennent une partie administrative, médicale et paramédicale - ils sont analysés par les cadres de santé et l entrée est validée par le médecin coordonnateur sous couvert du Directeur - les entrées se font majoritairement du service de SSR de l hôpital et des maisons de retraite de l établissement LA VISITE DE PRE-ADMISSION : - il s agit d une rencontre entre le personnel soignant, la famille et le futur résident afin d évaluer l autonomie, de présenter le fonctionnement du service et de visiter les locaux - le futur résident et sa famille sont reçus par la psychologue de l établissement le consentement du résident est recherché le dossier est ensuite discuté en staff pour déterminer l admission ou non du résident. Si admission, une date d entrée est fixée LE RECUEIL DES DONNEES : - à l entrée du résident, un dossier de soins est constitué. Les informations nécessaires à la prise en soins de la personne sont recueillies : données administratives personne de confiance diagramme de soins évaluation de la douleur état bucco-dentaire taille IMC*... LE QUOTIDIEN : - les repas sont pris en chambre ou dans les salles à manger selon les désirs du résident - des animations sont proposées dans le respect des choix et les capacités cognitives de la personne - les résidents peuvent faire appel à la coiffeuse de l établissement - un système d appel malade et antifugue sont mis à disposition des résidents LA PRISE EN SOINS : - une visite médicale est assurée par le médecin coordonnateur trois matinées par semaine. - le résident a le libre choix de son médecin traitant - accompagnement dans la réalisation des actes quotidiens (toilettes, élimination, repas...) pour les personnes en perte d autonomie - maintien de l autonomie recherché : mobilisation, verticalisation, maintien de la continence... - la travail des soignants est sectorisé pour optimiser la prise en soins réunion pluridisciplinaire chaque semaine pour améliorer la prise en soins des résidents LE PROJET DE VIE : - il correspond au projet de soins individualisé (maintien de l autonomie physique, relationnelle, sociale et psychique) enrichi d un projet d animation qui tient compte des habitudes de vie - il est construit avec l équipe soignante, le résident et sa famille dans les semaines suivant l admission - il est revu autant que de besoin - une consultation infirmière a été créée en 2011 afin d impliquer le résident et sa famille dans la réalisation du projet de soins. Objectifs d amélioration : Mettre en place des référents soignants pour chaque résident Engager une réflexion sur la mise en place du projet de vie pour les résidents présentant des troubles cognitifs (support écrit) Systématiser la communication par la messagerie interne lors de l entrée du résident (prévenir : l accueil, la restauration, la pharmacie, la psychologue, l animation, la lingerie, les cadres, l assistante sociale) Réunir un maximum de résidents une fois par mois autour d un repas pris en commun sur un même étage Poursuivre l adaptation aux rythmes de vie des résidents par une plus grande disponibilité des soignants (verticalisation, toilettes, repas, déplacement, habillage, continence.). 20 Hôpital de Crépy en Valois Projet d établissement

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