Janie ZELLER ES NOTE BREVE DE STAGE D APPROFONDISSEMENT

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1 Janie ZELLER IFTS ES NOTE BREVE DE STAGE D APPROFONDISSEMENT

2 J ai effectué mon stage d approfondissement en Inde, avec une population rurale défavorisée. J ai principalement travaillé auprès des enfants cependant j ai pu rencontrer aussi les familles. Je communiquais en anglais avec les personnes de l association et en hindi avec les villageois et les enfants. La langue a été une barrière dans les premiers temps seulement. I. LE CONTEXTE DE STAGE 1) L association L association «Smt. Vijayadevi Jamanalal Jain Seva Samiti» est une association indienne basée à Sarnath dans l Etat de l Uttar Pradesh, au nord de l Inde. Elle est soutenue par plusieurs associations étrangères dont une association française : «Les enfants de Varanasi» avec laquelle j ai beaucoup été en contact. J ai travaillé pour le projet «SAVE» (Social Awarness in Village Education). Ce projet a pour objectif principal la scolarisation des enfants ; mais cela a dû passer tout d abord par une prise de conscience dans les villages de l importance de l éducation. En effet, pour pouvoir scolariser les enfants il faut que les parents y voient un sens. Ce projet a deux grandes parties : Des écoles gratuites dans les villages, pour les villageois. Un programme de parrainage d enfants, pour ceux qui devront aller dans d autres écoles payantes. Les écoles gratuites ont été mises en place par le directeur de l association, en lien avec les villageois et avec des aides financières d occidentaux (notamment par le biais des associations étrangères). Il y a six écoles maternelles et une école primaire, les enseignantes sont des jeunes filles des villages, alphabétisées mais souvent peu formées (sauf pour l école primaire). Chaque école comprend entre 50 et 80 enfants. Les places sont tout de même limitées... On y enseigne l hindi, l anglais, les mathématiques ainsi que la musique et le dessin. Le directeur voudrait que l accent soit mis sur la transmission des valeurs de la non-violence selon Gandhi, il travaille cela sur du long terme avec les enseignantes car elles n ont pas toujours la même approche. L association souhaite augmenter le nombre d écoles maternelles et primaires gratuites en s étendant à d autres villages, afin de toucher le plus d enfants possible. Il veut créer également un collège pour que les enfants d aujourd hui puissent continuer à aller à l école après la classe 3 (CM2). 1

3 Puisque tous les enfants ne peuvent pas avoir accès à ces écoles, un système de parrainage a été mis en place pour d autres enfants, ils iront alors dans des écoles privées des alentours. Des personnes occidentales couvrent ainsi les frais d inscription et de scolarité pour un enfant, si possible sur du long terme. Il y a actuellement 180 enfants parrainés. L association n intervient pas dans les écoles privées, cependant elle offre aux enfants parrainés des cours de soutien scolaire du soir, car venant de familles analphabètes, ils n ont pas d aide à la maison. De même, des petits examens réguliers ont lieu au siège de l association pour soutenir et vérifier l évolution scolaire de chaque enfant. Enfin un «contrôle» a lieu dans les familles des enfants pour vérifier qu elles aient bien droit au parrainage. C est aussi l occasion pour les parents de parler de leurs difficultés, l association voyant leurs conditions de vie pourra parfois les orienter, les conseiller. Il y a également des centres d alphabétisation pour les femmes du village, mis en place à leur demande. Cependant tous les centres ne fonctionnent encore pas très bien car parfois les femmes ne viennent pas, elles trouvent que c est une perte de temps. Elles semblent avoir pris conscience de l importance de l éducation pour leurs enfants, cela reste compliqué pour ellesmêmes. Le désir d éducation est fort mais les conditions de vie leur demandent d avoir d autres priorités. La scolarité est donc l objectif premier de l association, cependant d autres projets sont en cours : Création d un dispensaire pour les villageois, avec une médecine ayurvédique. Achat de terrains pour créer une coopérative agricole pour les femmes du village, afin que les familles deviennent autonomes au niveau alimentaire. 2) La population L association est née du constat que l école coûte «cher», elle est donc inaccessible à la majorité de la population villageoise. De manière générale, L Inde dresse un tableau alarmant notamment à propos du taux d analphabétisme et de sous scolarisation des filles. Cela est variable selon les Etats, en Uttar Pradesh la discrimination est très forte, c est l Etat le plus pauvre de l Inde et où les traditions demeurent très présentes 1. 1 Documentaire Les enfants d abord, réalisé par F. Compain 2

4 En région rurale, les familles ont en moyenne entre 4 et 7 enfants, à cela s ajoutent d autres difficultés : La dot amène les parents à économiser toute leur vie pour marier leurs filles. Les femmes sont souvent mariées très jeunes car cela permet aux parents de payer une dote moins chère, l une des enseignantes par exemple a été mariée a 13 ans; il s agit dans tous les cas de mariages arrangés. La dot détermine le statut de la femme. Le système des castes est également très présent malgré son abolition. Le travail non rétribué concerne les trois quarts des enfants actifs. La pauvreté alourdit ces taches. Beaucoup de femmes font des petits travaux pour compléter un faible revenu. Pour donner un exemple des conditions de travail des femmes, elles sont plusieurs à faire des broderies sur saris payées 50cts d euros la semaine divisés par 5 femmes. De plus elles travaillent souvent le soir, sans électricité, elles ont pour la plupart de gros problèmes de vue à cause de ce travail. Enfin, de nombreux villageois et leurs enfants ont des problèmes de santé dus à une sous-alimentation, une malnutrition (il n y a pas de moyens pour conserver les aliments, pas d électricité. De plus la nourriture n est pas variée), un manque d hygiène et des habitats insalubres. En conséquence de ces conditions de vie, l enfant a une vie dure. Il est responsabilisé très tôt pour pouvoir aider la famille qui est dans une situation difficile. Il n y a pas beaucoup de place pour les jeux, pour l «enfance» au sens où nous pourrions l entendre dans nos pays. 3) La fonction éducative Cette association fait un travail d enseignement, mais au vu des nombreuses problématiques présentes dans ces villages on peut dire qu elle exerce un travail social de manière générale. En effet, le siège de l association accueille de nombreuses personnes venant demander aide et conseil. Pour cela le directeur est toujours disponible pour orienter les personnes. Il lui arrive, s il en a la possibilité d apporter un soutien financier, dans des cas d urgence médicale par exemple. Sinon il s agit surtout d un soutien moral. Son but premier étant la scolarisation, il oriente les personnes ailleurs si elles viennent pour autre chose, cependant j ai pu constater qu elles viennent aussi simplement pour parler. Le directeur est donc en quelque sorte le «travailleur social» du lieu, c est en tout cas comme cela qu il est perçu par les habitants. 3

5 En ce qui concerne la scolarité, dans les représentations traditionnelles l école n est pas utile, encore moins pour les filles car elle prive les familles d une main d oeuvre indispensable. L association cherche donc à travailler cela avec les villageois. Le directeur s occupe des questions budgétaires et organisationnelles, avec l aide d une autre personne salariée. Il anime les réunions d enseignants, décide des orientations à prendre ; il est aussi en lien avec tous les enfants et leurs familles. Enfin il s occupe de toute la partie parrainage : reçoit les familles en demande, les aide à monter un dossier et cherche des parrains occidentaux. L association cherche à placer les villageois au cœur du projet en montant les écoles dans les villages, en embauchant des villageois comme enseignants, etc. Cela semble fonctionner, les habitants se sentent partie prenante de ce projet et sont donc plus motivés. Le directeur souhaite avancer doucement, avec des petites étapes, afin que les villageois aient le temps d intégrer chaque étape. Si l on va trop vite ils n en verront plus le sens et risquent d abandonner. L objectif est de faire évoluer des mentalités et des traditions très ancrées, cela prend beaucoup de temps. II. INTERVENTIONS PERSONNELLES L enfant indien a une vie déterminée par sa «caste» et sa religion; il a donc peu de possibilité de faire des choix. J ai pu observer à l école des enfants qui obéissent et répètent mais ne semblent pas réfléchir par eux-mêmes et pour eux-mêmes. Le plus souvent, ils n expriment pas leurs envies, leurs désirs, leurs mécontentements, leurs idées. J ai constaté dès les débuts de mon stage que les enseignants, de même que la plupart des adultes que j ai rencontré, ne leur laissent pas cette possibilité de s exprimer. Seul le directeur de l association, lorsqu il intervient dans les écoles dialogue et créé un véritable échange avec les enfants. Suite à ce constat j ai donc choisi d orienter mon stage en grande partie vers un travail d expression des enfants. Cependant je voulais aussi que les enseignantes y voient un sens, or cela a été compliqué. J étais soutenu dans mes idées par le directeur qui pouvait aussi faire le lien avec les enseignants, notamment lors des réunions. Quelques enseignants ont peu à peu trouvé intéressantes mes idées, mais d autres pas. Je me suis par la suite questionné sur ma légitimité à vouloir modifier un fonctionnement, des traditions et des façons de penser qui sont là depuis toujours. 4

6 J ai choisi de me centrer sur les enfants de l école primaire afin de ne pas me «perdre» dans cette association qui comprend 500 enfants et pour avoir le temps d approfondir certaines choses. J ai donc «utilisé» l école tous les matins. C était un moyen d échanger tant avec les enseignantes notamment à propos des méthodes qu elles utilisent, qu avec les enfants autour de thèmes diversifiés. J ai donné des cours d anglais, de mathématiques, de biologie tout en montrant aux enseignantes des méthodes plus ludiques, en tentant de ne pas critiquer leurs façons de faire qui consiste en l apprentissage par cœur et la répétition. J ai abordé des thèmes différents, là encore support à la relation, mais aussi pour apporter des connaissances que les enseignantes n avaient pas forcément, pour permettre de développer une curiosité et une ouverture d esprit en sortant des matières principales. J ai parlé notamment du système solaire, des mers et océans, de certains pays d Europe et d Afrique... J ai fait une sorte de «prévention» en les informant sur les maladies qu ils peuvent rencontrer et comment les éviter (hygiène, rythme de vie, protection...). Nous avons aussi parlé des cinq sens avec les plus petits enfants et fait des jeux en lien avec le thème. J ai fait de la prévention de l environnement avec des enfants parrainés (plus grands) lors des cours du soir. J ai organisé des journées dessins, peinture et musique, afin que les enfants puissent développer leur imagination et leur créativité. Nous avons beaucoup travaillé la lecture et la présentation individuelle ou en groupe (en anglais) avec les plus grands. Je me suis aussi servie des réunions d équipes (environ une par semaine) pour faire passer mes idées aux enseignantes car sans le directeur pour traduire, la communication pouvait s avérer difficile. Nous avons parlé notamment des méthodes d enseignement, d une éventuelle formation des enseignantes (elles n ont que 18 ans), de la non-violence, terme qui d ailleurs n a pas le même sens pour tous, nous avons aussi parlé des punitions. Enfin nous avons organisé une journée «socialisation» où nous avons parlé aux enfants des règles du «vivre ensemble», de l importance de communiquer entre eux plutôt que de se taper, ce qu ils faisaient énormément. Pour travailler l expression, et le sens du plaisir avec les enfants, j ai organisé un «centre de loisirs» les après-midi. Les enfants par petits groupes venaient faire différentes choses (herbiers, jeux, bricolages, dessins, collages...) avec ce que nous trouvions dans leur environnement (les moyens matériels sont très limités) pour qu ils puissent éventuellement les reproduire par la suite. 5

7 En dehors de l école primaire, je suis allée régulièrement dans les villages avec une personne de l association pour repérer les besoins de la population, en particulier les familles des enfants parrainés. Cela a été très enrichissant car j ai pu approcher la culture indienne de près et connaître de nombreuses familles avec qui nous avons été dans un réel échange. Cela m a permis notamment de mieux comprendre le contexte dans lequel vivent les enfants dont je m occupe et de comprendre aussi les attitudes des enseignantes que j avais du mal à accepter en début de stage. En fin de stage, je suis allée visiter sept écoles privées afin de mieux comprendre le système scolaire indien et pour découvrir s il existe diverses méthodes d enseignement. Cela m a permis de sortir de l association pour avoir un regard plus large. J ai fais ensuite un compte rendu pour l association française. Enfin, j ai accompagné un groupe d adolescents parrainés en voyage scolaire, cela a été une expérience riche pour moi car j ai passé ces trois jours uniquement avec des personnes des villages ne parlant pas anglais et je les ai «accompagné» dans la découverte d un ailleurs qu ils n avaient jamais vu. III. CONSTATS ET QUESTIONNEMENTS Ce stage a été enrichissant personnellement mais aussi professionnellement alors que les besoins sont très différents de ceux que je peux trouver en France. J ai dû apprendre à m adapter, à m armer de patience car je voulais avancer trop vite dans les débuts, ce qui ne servait à rien. J avais trop d ambition. J ai donc réduit mes objectifs de départ, j en ai éliminé certains comme un groupe de discussions et d échange avec les jeunes filles du village. En effet elles étaient intéressées mais n avaient pas le temps de venir. J ai trouvé mes limites dans la confrontation avec l écart culturel. Par exemple avec les enseignantes, j ai appris à sans cesse re-questionner ma pratique et mes paroles, à tenter de comprendre que des personnes puissent raisonner totalement différemment de nous, à donner mon opinion sans pour autant être dans le jugement ou dans quelque chose qui s apparenterait à de l ethnocentrisme. Il nous est important dans notre travail d être prêt à découvrir l inconnu, des choses qu on ne s imaginait pas exister, et donc accepter d être déstabilisé, bousculé. Cela nous permettra d être plus ouvert à ce qu on observe, de s adapter et d être pleinement disponible. 6

8 L entrée en contact provoque certaines choses, l «autre» par sa différence nous amène à revisiter notre propre identité, à l approfondir. Nous ne pouvons que mieux travailler avec cette différence lorsqu on se connaît soi-même avec nos capacités et nos limites. Dans le travail d éducateur on est toujours amené à rencontrer la «différence». On peut se questionner sur ce qu est la différence : par rapport à quoi est-on différent? Les usagers pour et avec lesquels nous travaillons ont tous des difficultés, celles-ci sont liées à une «différence» ou un écart par rapport à une norme, au niveau du mode de vie par exemple. Les normes varient d un pays à l autre. Qu est-ce que la norme? Qu est-ce que la norme chez nous et en Inde? Mais aussi qu est-ce que la norme pour une personne dite «marginale», SDF, déficiente, etc...? 7

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